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Le probléme des nouvelles planètes en astrologie

Posté par nofim le 28 février 2014

Nouvelles planètes et mysticisme : l’étrange mélange

Par  Jacques  Halbronn

 

De nos jours,  la plupart des astrologues francophones ont tendance à croire que le recours aux planètes nouvellement découvertes et inconnues de la tradition antique et médiévale sont un gage de modernité voire de scientificité. Or, l’histoire de l’adoption des dites planètes- et les discours sur la portée symbolique de leur découvert  nous amène à penser que ce sont plutôt les milieux ésotériques voire occultistes qui leur auront d’abord accordé quelque attention. Par ailleurs, ce flirt de l’astrologie avec l’astronomie contemporaine ne se sera pas déroulé sans encombre comme en témoigne le récent épisode Pluton et un siècle plus tôt l’affaire Vulcain.

Les astrologues d’aujourd’hui ont la mémoire courte ou si l’on préfère ne connaissent pas trop bien l’histoire d l’astrologie des XIX et XXe siècles si bien que le nom de Vulcain ne leur dit pas grand-chose  à moins d’être des lecteurs d’Alice Bailey (dont Rudhyar fut proche dans les années trente du siècle dernier- il publie son Astrology of Personality aux ed. Lucis) ou d’Alan Leo.

Dans son traité sur les Sept Rayons, Alice Bailet donne la liste des sept « planètes sacrées » en commençant par Vulcain réputée être une planéte encore plus proche du Soleil que Mercure.  Quant à Alan Leo, dams Esoteric Astrology. A study in Human Nature, il donne la même liste (incluant la Terre) avec Vulcain en tête et il insiste sur le fait que le système solair est un organisme, ce qui rejoint le point de vue d’un Jean-Pierre Nicola (Pour une astrologie Moderne, Seuil,  1977) aux antipodes de toute spiritualité ou révélation en matière astrologique. Dans les Cahiers Astrologiques, Volguine lance encore à la fin des  années trente une enquête sur Vulcain. (cf.  un épisode de la série « Arthur C. Clarke’s Mysterious World » dans les années 80. Source Wikipedia)  Or, de  nos jours,  l’idée d’une planéte intramercurielle semble avoir fait long feu et les astrologues eux-mêmes en ont fait leur deuil, sauf les aspects de Bailey. Rappelons que le nom de Vulcain sera recyclé dans les années soixante par Jean Carteret pour désigne avec Proserpine l’une des deux transplutoniennes (et c’est à ce titre qu’on les trouve dans le Traité d’Astrologie Pratique d’André Barbault. Vulcain dont le nom même (le dieu forgeron) était censé désigner un astre brulant en sera arrivé à désigner un astre singulièrement éloigné du soleil mais tout aussi invisible. Le nom de Vulkanus aura également été utilisé pour désigner une « transneptunienne » par les astrologues de l’Ecole de Hambourg, il y  a une centaine d’années.

On ne reviendra pas sur le récit tant de fois ressassé de la découverte des trois Trans saturniennes censées avoir été découvertes à de moments clef de l’Histoire contemporaine (1781  1846  et 1930). Mais Pluton a récemment perdu son statut de « planéte » à part entière. Notons toutefois qu’au XVIIe siècle, les satellites étaient désignés comme « planètes ». (Planètes Médicis  autour de Jupiter, etc.).

Or, force est de constater que la très grand majorité des astrologies dans le monde n’a pas fait mine, depuis 2006 – date du déclassement de Pluton- de renoncer à se servir de Pluton. Pas plus que ces astrologues ne se sont décidées à intégrer les autres planètes de la famille à laquelle désormais Pluton est associé, d’ailleurs.

On sait que ces nouvelles planètes – y compris les astéroïdes (entre Mars et Jupiter) ont  excité les esprits de certains astrologues (de Léon Lasson à Roger- Benoist Jourlin  en passant par les Italiennes Lisa Morpurgo et Carla Prietto (cf les  interviews sur You Tube) qui  se sont mis à penser que les douze signes du zodiaque devaient indiquer qu’il existait de tout temps douze planètes dans le système solaire. On sait aussi que ces nouvelles planètes ont été introduites dans le dispositif présent dans la Tétrabible de Ptolémée (IIe siècle de notre ère) non sans de sévères perturbations alors même qu’en 2014, l’on n’est toujours pas parvenu à un quelconque consensus entre les astrologues sur l’affectation d’une planéte pour chaque signe. (cf. nos propres  recherches in Mathématiques divinatoires, Ed. La Grande Conjonction-Guy Trédaniel, 1983).

Le problème posé par les tentatives d’intégration de planètes inconnues des Anciens  affecte l’idée même que l’on se fait de la genèse de l’Astrologie. Jusqu’alors, l’idée d’une « astrologia perennis » pratiquée  depuis les âges les plus reculés  était sous –jacente. Avec la découverte d’Uranus (à la limite du visible) et plus encore de Neptune,  l’on allait basculer de facto dans une théorie  bien différente à savoir que les anciens astrologues ne disposaient pas d tout le savoir astronomique nécessaire pour décrypter cet ensemble constitué par le système solaire. C’est ce que laisse entendre, notamment le RET de Jean-Pierre Nicola – exposé il  y a  50 ans (in La Condition Solaire)- dont les trois planètes du groupe  T (pour Transcendance) sont les trois transsaturniennes.

Plus que jamais, en tout état de cause, domine en astrologie contemporaine  le multi-planétarisme. On a dit plus haut que les nouvelles planètes (cf. déjà Néroman, dans les années Trente) avaient été associées à certains signes (comme Uranus avec le signe du Verseau, Neptune avec celui des Poissons etc.). Or, quand l’historien  réfléchit sut la raison d’être de cette mise en corrélation signes –planètes ; il est contraint de penser qu’un tel dispositif  aura été conçu autour du parcours d’un seul astre à travers le zodiaque, cet astre s’imprégnant successivement des significations de chaque signe lui-même associé à un dieu plutôt qu’à une planète. (cf. à ce sujet l’Astronomicon de Manilius, poème astrologique latin). L’idée d’associer un dieu – (lié ou non à un astre) fait sens et visait  d’ailleurs à  évacuer le symbolisme zodiacal (ou en tout cas à le marginaliser) en faveur d’un symbolisme mythologique dont Nicola a d’ailleurs montré qu’il obéissait à une certaine logique évolutive (cf. sa Théorie des Ages).La découverte de nouvelles planètes aura d’ailleurs permis aux dieux qui n’avaient pas été sélectionnés par les astronomes de prendre leur revanche en intégrant désormais pleinement le discours astrologique, et en ce sens, il importe peu que Pluton ou Vulcain aient pu être disqualifiés en tant que planètes, dès lors que leur portée symbolique est  flagrante. Le couple Pluton-Proserpine (Perséphone, épouse du dieu des Enfers) notamment est un exemple remarquable d’une dualité masculin-féminin mais  aussi Eté-Hiver (avec l’intervention de Déméter- Cérès face à Hadès-Pluton) et l’on peut regretter que du fait des aléas astronomiques, l’astrologie n’ait pas encore intégré la déesse Proserpine – (sauf notamment dans le cas de l’Astrologie de Jacky Alaïz,  cf. nos enregistrements sur You Tube et sur le blog Facultelibredastrologiedeparis)

 

 

 

 

JHB

28. 02. 13

 

Publié dans ASTROLOGIE, RELIGION | Pas de Commentaire »

Le probléme des nouvelles planètes en astrologie

Posté par nofim le 28 février 2014

Nouvelles planètes et mysticisme : l’étrange mélange

Par  Jacques  Halbronn

 

De nos jours,  la plupart des astrologues francophones ont tendance à croire que le recours aux planètes nouvellement découvertes et inconnues de la tradition antique et médiévale sont un gage de modernité voire de scientificité. Or, l’histoire de l’adoption des dites planètes- et les discours sur la portée symbolique de leur découvert  nous amène à penser que ce sont plutôt les milieux ésotériques voire occultistes qui leur auront d’abord accordé quelque attention. Par ailleurs, ce flirt de l’astrologie avec l’astronomie contemporaine ne se sera pas déroulé sans encombre comme en témoigne le récent épisode Pluton et un siècle plus tôt l’affaire Vulcain.

Les astrologues d’aujourd’hui ont la mémoire courte ou si l’on préfère ne connaissent pas trop bien l’histoire d l’astrologie des XIX et XXe siècles si bien que le nom de Vulcain ne leur dit pas grand-chose  à moins d’être des lecteurs d’Alice Bailey (dont Rudhyar fut proche dans les années trente du siècle dernier- il publie son Astrology of Personality aux ed. Lucis) ou d’Alan Leo.

Dans son traité sur les Sept Rayons, Alice Bailet donne la liste des sept « planètes sacrées » en commençant par Vulcain réputée être une planéte encore plus proche du Soleil que Mercure.  Quant à Alan Leo, dams Esoteric Astrology. A study in Human Nature, il donne la même liste (incluant la Terre) avec Vulcain en tête et il insiste sur le fait que le système solair est un organisme, ce qui rejoint le point de vue d’un Jean-Pierre Nicola (Pour une astrologie Moderne, Seuil,  1977) aux antipodes de toute spiritualité ou révélation en matière astrologique. Dans les Cahiers Astrologiques, Volguine lance encore à la fin des  années trente une enquête sur Vulcain. (cf.  un épisode de la série « Arthur C. Clarke’s Mysterious World » dans les années 80. Source Wikipedia)  Or, de  nos jours,  l’idée d’une planéte intramercurielle semble avoir fait long feu et les astrologues eux-mêmes en ont fait leur deuil, sauf les aspects de Bailey. Rappelons que le nom de Vulcain sera recyclé dans les années soixante par Jean Carteret pour désigne avec Proserpine l’une des deux transplutoniennes (et c’est à ce titre qu’on les trouve dans le Traité d’Astrologie Pratique d’André Barbault. Vulcain dont le nom même (le dieu forgeron) était censé désigner un astre brulant en sera arrivé à désigner un astre singulièrement éloigné du soleil mais tout aussi invisible. Le nom de Vulkanus aura également été utilisé pour désigner une « transneptunienne » par les astrologues de l’Ecole de Hambourg, il y  a une centaine d’années.

On ne reviendra pas sur le récit tant de fois ressassé de la découverte des trois Trans saturniennes censées avoir été découvertes à de moments clef de l’Histoire contemporaine (1781  1846  et 1930). Mais Pluton a récemment perdu son statut de « planéte » à part entière. Notons toutefois qu’au XVIIe siècle, les satellites étaient désignés comme « planètes ». (Planètes Médicis  autour de Jupiter, etc.).

Or, force est de constater que la très grand majorité des astrologies dans le monde n’a pas fait mine, depuis 2006 – date du déclassement de Pluton- de renoncer à se servir de Pluton. Pas plus que ces astrologues ne se sont décidées à intégrer les autres planètes de la famille à laquelle désormais Pluton est associé, d’ailleurs.

On sait que ces nouvelles planètes – y compris les astéroïdes (entre Mars et Jupiter) ont  excité les esprits de certains astrologues (de Léon Lasson à Roger- Benoist Jourlin  en passant par les Italiennes Lisa Morpurgo et Carla Prietto (cf les  interviews sur You Tube) qui  se sont mis à penser que les douze signes du zodiaque devaient indiquer qu’il existait de tout temps douze planètes dans le système solaire. On sait aussi que ces nouvelles planètes ont été introduites dans le dispositif présent dans la Tétrabible de Ptolémée (IIe siècle de notre ère) non sans de sévères perturbations alors même qu’en 2014, l’on n’est toujours pas parvenu à un quelconque consensus entre les astrologues sur l’affectation d’une planéte pour chaque signe. (cf. nos propres  recherches in Mathématiques divinatoires, Ed. La Grande Conjonction-Guy Trédaniel, 1983).

Le problème posé par les tentatives d’intégration de planètes inconnues des Anciens  affecte l’idée même que l’on se fait de la genèse de l’Astrologie. Jusqu’alors, l’idée d’une « astrologia perennis » pratiquée  depuis les âges les plus reculés  était sous –jacente. Avec la découverte d’Uranus (à la limite du visible) et plus encore de Neptune,  l’on allait basculer de facto dans une théorie  bien différente à savoir que les anciens astrologues ne disposaient pas d tout le savoir astronomique nécessaire pour décrypter cet ensemble constitué par le système solaire. C’est ce que laisse entendre, notamment le RET de Jean-Pierre Nicola – exposé il  y a  50 ans (in La Condition Solaire)- dont les trois planètes du groupe  T (pour Transcendance) sont les trois transsaturniennes.

Plus que jamais, en tout état de cause, domine en astrologie contemporaine  le multi-planétarisme. On a dit plus haut que les nouvelles planètes (cf. déjà Néroman, dans les années Trente) avaient été associées à certains signes (comme Uranus avec le signe du Verseau, Neptune avec celui des Poissons etc.). Or, quand l’historien  réfléchit sut la raison d’être de cette mise en corrélation signes –planètes ; il est contraint de penser qu’un tel dispositif  aura été conçu autour du parcours d’un seul astre à travers le zodiaque, cet astre s’imprégnant successivement des significations de chaque signe lui-même associé à un dieu plutôt qu’à une planète. (cf. à ce sujet l’Astronomicon de Manilius, poème astrologique latin). L’idée d’associer un dieu – (lié ou non à un astre) fait sens et visait  d’ailleurs à  évacuer le symbolisme zodiacal (ou en tout cas à le marginaliser) en faveur d’un symbolisme mythologique dont Nicola a d’ailleurs montré qu’il obéissait à une certaine logique évolutive (cf. sa Théorie des Ages).La découverte de nouvelles planètes aura d’ailleurs permis aux dieux qui n’avaient pas été sélectionnés par les astronomes de prendre leur revanche en intégrant désormais pleinement le discours astrologique, et en ce sens, il importe peu que Pluton ou Vulcain aient pu être disqualifiés en tant que planètes, dès lors que leur portée symbolique est  flagrante. Le couple Pluton-Proserpine (Perséphone, épouse du dieu des Enfers) notamment est un exemple remarquable d’une dualité masculin-féminin mais  aussi Eté-Hiver (avec l’intervention de Déméter- Cérès face à Hadès-Pluton) et l’on peut regretter que du fait des aléas astronomiques, l’astrologie n’ait pas encore intégré la déesse Proserpine – (sauf notamment dans le cas de l’Astrologie de Jacky Alaïz,  cf. nos enregistrements sur You Tube et sur le blog Facultelibredastrologiedeparis)

 

 

 

 

JHB

28. 02. 13

 

Publié dans POLITIQUE | Pas de Commentaire »

Du protectionnisme à l’économie « virtuelle »

Posté par nofim le 28 février 2014

 

Le Made in France et l’Economie Virtuelle.

Par  Jacques Halbronn

 

 

On n’entend partout que le protectionnisme est une fausse bonne idée, laquelle défend notamment le ministre du Redressement Productif, Arnaud Montebourg. Or, nous pensons que le protectionnisme a bel et bien des vertus que l’on n’a pas su assez jusqu’ici bien exposer et défendre sur le plan philosophique, éthique et économique..

Les adversaires du protectionnisme nous expliquent le principe de l’échange : j’importe et j’exporte. Tel serait le bon deal ! C’est le credo du Libre Echange ! C’est le principe de l’interdépendance ; Pas la peine de se développer sur tel créneau car  dans ce cas, il n’y aura plus d’échange. Si je ne manque de rien, je n’ai rien à échanger. On bascule dans l’apologie du manque  comme fondement même de l’économie. On est en plein dans une logique de troc !

Si l’on transpose un tel raisonnement dans les relations au sein d’une même société – ce sont mes lacunes qui  me font aller vers autrui à condition bien entendu qu’autrui ait aussi ses propres carences. C’est l’alliance de l’aveugle et du paralytique. L’aveugle prête ses jambes et le paralytique ses yeux. Et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possible. !

Nous avons la faiblesse de croire que ce modèle n’est pas le plus souhaitable et qu’il s’inscrit en fait dans un phénomène de nivellement par le  bas que nous avons eu maintes fois l’occasion de dénoncer et qui fait que les solutions de handicap et de pénurie, les pis-aller et les succédanés  tendent à devenir la norme

Même la cuisine est marquée par ce  type de marché de dupes consistant à combiner deux produits immangeables pour en faire un plat tout à fait estimable, ce qui a donné naissance à une ribambelle de plats régionaux tous aussi indigestes les uns que les autres.

Cela dit, ces « plats régionaux » ont au moins l’avantage de se constituer, en principe et au départ, de produits locaux et  sont emblématiques d’un certain protectionnisme. On fait avec ce qu’on a. Ce qui génère une certaine biodiversité et plus largement une diversité culturelle voire individuelle. A une autre échelle. On peut dire sans exagérer que le protectionnisme aura contribué à une très grande diversité ne serait-ce que sur le plan linguistique, Certes, il s’agit là d’une multiplication des cloisonnements qui sont la bête noire du libre-échange. Nous avons-nous-mêmes dénoncé  un tel danger mais est-ce vraiment un danger ? Il y a cloisonnement et cloisonnement (cf infra)

Nous pensons que notre rapport à autrui doit être de servir d’exemple. Quand un enfant apprend à parler, il prend modèle sur ses parents, sur son entourage mais il ne va pas dépendre d’eux pour parler. Il lui faut devenir autonome en cultivant en lui-même cette faculté. Est-ce du protectionnisme ? Il est heureux tout de même que chacun sache parler, n’est-il pas vrai ? Que chacun puisse faire l’amour, que chacun apprenne à se laver. Et nos sociétés pénalisent d’ailleurs ceux qui n’y parviennent pas en les traitant d’handicapés physiques ou mentaux. C’est dire que notre idée de l’homme n’est pas vraiment, réflexion faite, celle  de l’import-export mais bien de l’’exemple à suivre mais à suivre avec ses propres moyens. Entendons par là  que  l’on peut imaginer une société d’êtres indépendants les uns des autres mais se ressemblant du fait qu’ils respectent les mêmes valeurs, développent les mêmes aptitudes. C’est cela la logique citoyenne, et non celle de quelque complémentarité des manques. Cela implique une certaine complétude (et non complémentarité) qui est celle de l’ »honnête homme. ».

Autrement dit, pourquoi chaque société ne développerait-elle pas ses propres capacités en réalisant des objectifs communs ? On nous dira que cela fait redondant, « double emploi ». Mais faut-il que l’économie nous enseigne à faire des économies ?  On sait  très bien qu’il ne faut pas aider les gens – et  surtout pas les enfants- à outrance car cela les empêche de se développer, de s’ éveiller par eux-mêmes.

Prenons le cas d’un compositeur ?  On nous dira – au premier abord, qu’il compose pour autrui. Mais qu’est-ce à dire ?

Est-ce que cela signifie « à la place d’autrui » ? Nous ne le pensons pas. Les enfants le savent bien qui quand ils voient quelqu’un faire quelque chose veulent en faire de même, ce qui ne signifie pas lui emprunter ce qu’il a fait. C’est le sujet agissant  et non l’objet qui en est le « produit » qui compte.  L’emprunt doit rester virtuel, on a montré la voie mais à chacun de la suivre à son rythme, à sa façon, sans tomber dans une imitation servile qui relèverait du plagiat. Il fait toujours réinventer. Et cela vaut d’une génération  à l’autre. Il n’est pas bon qu’une génération se contente d’hériter de la précédente par exemple sur le plan musical ou pictural et même si ce qu’elle fait est moins « bon », cela vaut mieux  que de réchauffer les restes.. Querelle des Anciens et des modernes. Est-ce qu’un physicien répéte  ce que d’autres physiciens ont trouvé avant lui ? Non,  il lui fait pousser plus loin, faire une découverte mais on ne peut pas découvrir ce qui l’a déjà été. C’est cela le challenge ! Bien sûr que l’on a imité Versailles mais chaque nouveau Versailles, en Europe, a sa propre idiosyncrasie.  On n’est pas dans le copié-collé !

Il y a là un paradoxe que semble ignorer les libre-échangistes, à savoir que la nature humaine est une et que c’est justement parce qu’elle est une qu’elle peut se permettre d’être diverse. Chacun sait que cette humanité doit être réinventée à chaque instant et par chacun mais que l’idéal est bien que l’on réveille des aptitudes qui sont les mêmes chez tout le monde.

Nous avons dénoncé dans nos écrits la religion de l’emploi fondé sur le sentiment du besoin.  L’employé persuade son employeur qu’il a besoin de lui parce qu’il sait faire des choses que le dit employeur ne sait pas faire. De qui se moque-t-on ? Est – ce à ce prix que l’on doit aller vers le « plein emploi » ? En s’inventant des limites de façon factice ? Ce sont là les cloisonnements que nous réprouvons.

On connait ce type de discours du genre : à chacun son métier. C’est au nom de ce corporatism que l’on compte favorisr l’emploi C’est comme si à toute occasuin, on nous serinait : mais ce n’est pas à vous de le faure, faites –vous aider ! Laissez faite les choses par cexu qui les font le mieux ! Que ne dit-on pas au nom de la « perfectionb », du « mieux faire » ? Un bel argument de vente assurément.  On aurait « miux à fair » que s’occuper de son jardin  Laissez cela à un « jardinier » qui , copmme son nom l’ondique, est censé s’occyper des jardins. C’est probablement cela que l’on met dans la tête des enfants. Le métier, c’est une humanité en lambeaux, en fragments, segmentée.  Certes, il est bon que l’on salue un chef d’œuvé mais comme on l’a dit à tire d’exemple à suivre ou à poursuivre avec plus ou moins de bonheur. Dans bien des domaines, on l’a dit, il n’est pas question de déléguer, de se faire représenter. Il y a de choses que je ne peux faire à la place d’autrui même si je sais que je m’en sortirais mieux !

C’est aussi au nom d’un idéal de perfection que l’on réprouve les improvisations, qu’on décourage des vocations. Au lieu de se réunir dans son quartier pour apprécier les artistes du coin, on va passer des CD de telle vedette nationale ou étrangère qui est tellement plus excitante ! Or, toujours dans cette logique d’identification : on se sentira plus capable d’imite un voisin que quelque personnalité lointaine  Le cœur du problème est là, dans l’identisation au semblable, au proche. Plus quelqu’un est proche de nous, plus cela nous encourage à faire comme lui. A l’inverse, on se décourage et l’on se contente de se procurer le « produit ». Or, dès que l’on veut un produit et non un modèle, on bascule dans une économie de l’import-export. Pour notre part, nous sommes en faveur d’une économie du virtuel.

Résumons-nous : nous pensons que chacun doit cultiver son jardin qui est en fait le même pour tous mais qui incombe néanmoins à chacun. Il faut travailler d’abord sur soi.

, exploiter ses propres ressources. Economie du sujet et non de l’objet ; je m’inspire d’un sujet, d’une personne et je consomme un objet/ Passons d’une économie de consommation à une économe d’inspiration.  Ne vivons pas au-dessus de nos moyens ! Celui qui ne peut se construire qu’une maison dans tel matériau s’en contente mais garde à l’esprit l’image d’une maison dont il doit se doter et qui ressemblera peu ou prou aux autres. Mais ce sera sa maison. Ce qui compte dans l’économie virtuelle, ce n’est pas le partage des mêmes objets mais des mêmes idées, des mêmes images et quelque part des mêmes sensations. Que la France soit imitée, enviée, qu’elle serve de modèle est une évidence. Il n’y a qu’à voit les milliers de mots qui ont été empruntés par l’anglais au français et comme tout le monde parle anglais, quel hommage rendu de facto au français. Que la France ait servi de modèle à diverses « révolutions », tant mieux ! Que tel compositeur ait inspiré tant d’autres compositeurs, à la bonne heure ! Mais si la France d’hier a su y faire, pourquoi pas celle d’aujourd’hui ou de demain. Soyons dignes de nos prédécesseurs en étant à leur hauteur, en puisant en nous mimées une nouvelle énergie. Le protectionnisme, c’est aussi cela : chercher en soi – et pour un pays dans son sol, son sous-sol les ressources dont il a besoin et on chez autrui ou à l’étranger. Il importe aussi de nous défier des objets techniques qui sont censés nous aise, nous seconder. Est-ce que l’Humanité serait devenue  ce qu’elle est, au bout de près de 4 milliards d’années, si elle avait recouru à des instruments, à des outils au lieu de se transformer elle-même, en perfectionnant ses propres organes, ses membres ? Il vaut quand même mieux que nous puissions parler en ne recourant qu’à nos propres facultés que par le truchement de quelque appareillage  à l’instar de certains handicapés. Dans la mesure du possible, imitons ceux qui nous ressemblent le plus car ils nous apparaissent comme les plus naturellement à notre portée,

 

 

JHB

28 02 14

Publié dans ECONOMIE, machine, POLITIQUE, SOCIETE | Pas de Commentaire »

L’astrologie et la prise en compte des changements

Posté par nofim le 28 février 2014

 

L’Astrologie comme science du changement

Par  Jacques  Halbronn

 

Le grand apport de l’Astrologie en ce début de Troisiéme millénaire est dans le domaine du changement, ce dont les astrologues eux-mêmes- aussi paradoxal que cela puisse sembler(ne semblent guère être conscients au regard de leur politique de communication qui est totalement à revoir.

Il est évident que l’idée même de prévision est fonction de celle de changement. S’il n’y avait point changement, à quoi servirait de prévoir puisqu’aucun élément nouveau n’interviendrait ? C’est dire qu’Ube astrologie qui ne prévoit pas fait fausse route, une astrologie qui ne situe pas les évènements d’une vie dans le temps est à côté de ses pompes (cf. Didier Geslain et son étude des chanteurs ou Stéphane Rieux , sur les criminels).

A quoi tint cette tendance de plus en plus marquée chez les astrologues (on pense notamment aux réunions de l’association Source, à  Paris, on pense aux diatribes d’Alain de Chivré (IEA, FDAF) contre la prévision astrologique), à faire l’impasse sur la succession des configurations au cours de la vie comme si ce qui se trouvait dans le thème natal suffisait pour cerner une carrière ? Quelle incurie !

Certains astrologues croient que notre psychisme est constant. Or, la constance et le changement ne font pas bon ménage, à ce qu’il nous semble. Nous avons aussi noté plus généralement que les voyants n’avaient pas intégré l’idée que les gens puissent changer  et c’est là que l’absence de l’astrologie dans le champ divinatoire apparait manifeste et choquante. (cf infra)

Cette tendance à figer les choses est typique du syndrome d’hyper-émission. Dans d’autres textes, nous avons  signalé cette tendance à émettre de façon figée et répétitive que l’on pouvait observer au niveau des machines (on pense notamment à tous les appareils émetteurs comme un lecteur de CD) mais aussi des êtres humains. Cette tendance nous apparait comme particulièrement avérée chez les femmes et en serait en fait un trait distinctif. On distinguera entre émission et transmission. Transmettre n’est pas émettre mais donner à autrui les moyens d’émettre. Si je rédige un texte qui sera lu par quelqu’un d’autre, je suis dans la transmission et cette autre personne sera dans l’émission. On peut transférer un document sans passer au stade de l’émission qui sera avant tout orale, vocale alors que la transmission est avant tout écrite, imprimée. Je peux envoyer en morse un message  qui sera « reçu » sous la forme d’un code et seulement lu en fin de parcours.

Alors que la réception exige une attention  de chaque instant à ce qui se passe autour de soi, l’émission implique simplement de s’en tenir à ce qu’on a à émettre en faisant le moins de fautes possibles par rapport au texte de référence. La notion de ‘faute » ne se situe nullement au même niveau dans les deux cas. D’un côté, je dois capter une réalité vivante, susceptible de relever de plusieurs « grilles de lecture », de l’autre, un matériau figé, « mort », « éteint » que je fois ranimer, faire revivre en quelque sorte. La transmission passe du vivant au mort et l’émission du mort au vivant.

Ainsi, celui qui est surtout dans l’émission  n’a pas à être à l’écoute mais a besoin qu’on soit à l’écoute de ce qu’il « lit » à voix haute comme un haut parleur répétant cent fois le même message même quand il n’y a personne pour l’entendre.. Cela conduit à supposer que tout est figé dans sa forme et que l’émetteur ne peut que  servir à faire  entendre une « voix » laquelle exprime comme une sorte de vérité définitive et immuable. Car suppose que le monde bouge, remettrait en question la pertinence du message et exigerait un travail d’ajustement à ce qui se  passe autour de lui dont l’émetteur sait qu’il est incapable sauf si  une nouvelle transmission intervient sous une forme « morte » à la façon d’un nouveau CD. Ce type d’émetteur est fonction de ce qu’on y met et non de ce qui se passe autour de lui. Dans le meilleur des cas, il ne réagira qu’à des signaux très limités, à certains mots mais pas à des situations complexes et non formalisés par le langage. Il est clair que si j’appuie sur la touche « off » d’un appareil, il captera le message d’arrêt mais cela n’ira pas plus loin et il est impératif que l’on communique avec l’émetteur dans la langue ou les langages qu’il pratique, qu’il est programmé à reconnaitre (scan)

On aura compris que l’hyper-émission  limite au maximum tout changement externe et suppose que le message transmis à émettre reste toujours valable indéfiniment ou en tout cas jusqu’à nouvel ordre émanant de la chaîne de commandement (formelle ou informelle)  dont il dépend.

Le grand apport de l’astrologie sera donc de fournir des équations de changement tant en ce qui concerne le processus de temps qu’en ce qui concerne la catégorie des interlocuteurs. Nous avons, en effet, indiqué, dans de précédents textes, que la pris en compte du sexe de l’interlocuteur était un donnée incontournable dont le travail astrologique ne pouvait en aucune façon faire l’économie. On ne peint pas/plus s’adresser à quelqu’un sans tenir compte de son sexe ni du cycle en cours.

L’astrologie a pour mission de délivrer ce type d’information, de norme générale permettant de baliser l’espace-temps de nos relations à autrui.  L’idée selon laquelle il faut tenir compte de chaque cas particulier est une plaisanterie si elle ne préconise pas préalablement une approche globale.

Contrairement à ce que la plupart d’entre nous affirmons, notre esprit pratique en permanence le recours aux généralités et ce sont celles-ci qui nous font gagner du temps et nous permettent de « prévoir ». Savoir les choses quand elles sont déjà arrivées ce n’est pas prévoir. Nous fonctionnons tous dans le « prévisible » et dans le « prévu », ce que l’on était en droit raisonnablement d’attendre au vu de nos statistiques personnelles. Personne ne peut fonctionner dans la vie sans disposer de critères et de repères Il n sert à rien de le nier ! Et c’est cela qui est lié à l’idée de captation, de réception.

On ne peut prévoir que dans le général. On dira que telle personne appartient à tel « type », que la situation à venir est de tel « type » et donc que l’on doit s’attendre à ce que les choses se passent de telle manière au cours d’une phase d temps bien délimitée à ne pas dépasser. Un gynécologue ne procède pas autrement avec ses patientes et l’on n’image pas qu’il n’ait pas une connaissance « générale » de l’anatomie féminine et du processus de grosses à Ss différents stades. Un scientifique, c’est quelqu’un qui sait comment les choses sont censées se passer. Cela ne l’empêchera pas, évidemment, de noter des aberrations, des anomalies, mais il ne pourra cerner une anomalie (comme son nom l’indique) que parce qu’elle se  démarque de la « norme » (énorme, énormité est ce qui sort de la norme) et il lui faudra donc confronter son bagage avec un cas concret. C’est dialectique : passage du général au participer et du particulier au général. Celui qui est dans l’hyper-émission est incapable de cadrer par lui-même, il ne peut que répondre à des ordres, que les suivre. Sa capacité réceptive est excessivement étroite. Un mot suffit à le déclencher. Il ne lui en faut pas davantage. En ce sens, paradoxalement, l’hyper-émetteur sera hyper-réactif à certains signaux mais ne saura pas appréhender une réalité complexe par lui-même.

Nous combattons ces astrologues qui tablent tout sur le seul thème natal au prétexte que nous serions immuables dans notre façon de penser et d’agir. Ces astrologues là sont étrangers à la notion de cycle ou plus exactement, l’horloge est censée avoir stoppé au moment de la naissance. Si en principe, l’astrologue dispose de certains outils « prévisionnels », ceux-ci sont tellement lourds dans leur maniement – pas tant dans les calculs qui sont dévolus à l’ordinateur qu’au niveau du suivi de l’interprétation- qu’ils tendent à être délaissés  sauf si l’on s’en tient à une date bien précise et notamment celle de la consultation ou par exemple d’une élection.. On le note même dans les conférences d’astrologie où les astrologues ne prennent même plus la peine de  s’intéresser à une succession de dates et préfèrent s’en tenir au seul thème natal.

Cela vaut aussi pour la « synastrie » qui fige les protagonistes dans leurs thèmes respectifs sans tenir compte des évolutions que ne peuvent pourtant pas ne pas avoir connues les personnes au cours du temps.. Lors de la consultation, il importe que le praticien des arts divinatoires, dispose d’un outil fiable- que seule l’astrologie est en mesure de lui fournir (cf. notre Astrocyclon). Il est notamment des périodes critiques qu’il convient de resituer dans un processus continuel d’ajustement et d’évolution de la relation. Il est regrettable que tant de praticiens enferment, emprisonnent,  leurs patients dans ce moment de crise et entérinent des décisions ponctuelles qui sont liées au fait que ce moment aura été figé et que la personne ne cesse d’émettre le même message et que le praticien s’en tienne au dit message pour travailler. On ne peut prévoir si l’on ne dispose pas d’un savoir séquentiel qui détermine des étapes, des stades. En ce sens, le prativien ne peut faire l’économie d’un enseignement  général – qui ets de l’ordre de l’émission et qu’il complétera par une perception d’éléments particuliers. Mais on ne mettra pas la charrue devant les bœufs.

 

JHB

28 02  14

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La divination au service du coaching

Posté par nofim le 28 février 2014

 

Du coaching divinatoire

Par  Jacques  Halbronn

 

De  récents reportages sur des voyants et leurs clients (cf. notre vidéo sur La  Monade, sur You Tube) nous ont permis d’avancer  au sujet des motivations des personnes qui vont consulter et celles qui accueillent leurs demande, ce qui nous a permis, pensons-nous, de mieux cerner ce que l’on peut qualifier de coaching divinatoire, qui est un coaching assez « hard » qui comporte une certaine pression sur le client/patient sinon un certain « forcing »…A qui s’adresse ce type de « suivi » et qu’est-ce plus généralement qu’un coach ?  Nous dirons que le coach est celui qui aide à faire arriver les choses que la personne qui va le consulter a en projet. Si par exemple, une femme souhaite quitter son mari, le coach « doit » l’aider à y parvenir et ce par tous les moyens. Le coach fait en sorte  que « ça » arrive.

Maintenant, le coaching « divinatoire » va être amené à « voir » la personne dans la situation qu’elle souhaite obtenir, atteindre comme si c’était déjà fait et en laissant entendre que c’était écrit et programmé. Ce qui est d’autant plus percutant si l’astrologue sort son support d’un ordinateur,  à savoir une carte du ciel dressée pour une date donnée. Le doute dès lors n’est  évidemment plus permis et donc cela ne peut qu’inciter le client à aller de l’avant. Si l’on (se) fixe une date limite, cela focalise encore plus le client sur le but à atteindre et que le coach et son client se sont fixé.  Du côté du coach, ce qu’il annonce, ce qu’il prépare a toutes les chances de se produire puisqu’il conditionne son client dans la réalisation d’un certain objectif. On demande simplement au client de faire preuve d’un peu de patience pour que cela «se fasse ». On est dans une dynamique de self fulfiling prophecy, c’est-à-dire qu’il y a un effet d’annonce et cela facilite la réalisation de la prophétie. Qu’est ce qui pourrait résister à une telle poussée ?

La différence entre l’astrologie et la psychologie d’une part et les divers « arts divinatoires » tient au fait que l’astrologie et la psychologie tiennent un discours général sur le monde avant d’aborder un cas particulier tandis que les arts divinatoires ne connaissent que des cas particuliers. Cela présente l’avantage de canaliser quelque peu les désirs des clients. Il y a des garde-fous qui n’existent pas dans les arts divinatoires où le client est « roi ». En astrologie et en psychologie, le client ne l’est pas. Il doit respecter des normes et c’est encore plus vrai en médecine et le praticien représente un certain Surmoi, au nom de sa « science » et c’est dans le « carcan », le respect de la dite science que le client pourra songer à  avancer dans son projet….On est là dans une approche statistique. L’astrologue, nous dit où l’on en est, à dans un processus de temps en cours mais aussi dans un processus d’espace qui est notre appartenance au sexe masculin et féminin, non pas en tant qu’individu unique en son « genre ». On sera surpris  de nous voir associe le sexe aux astres mais nous avons montré que les astres agissaient sur nous par le truchement de cette dualité du masculin et du féminin. Le destin astral d’une femme n’est pas identique à celui d’un homme. Cela dit, nous sommes bien conscients qu’il est des formes d’astrologie ayant des prétentions plus fortement individuelles mais elles ne peuvent néanmoins pas faire l’économie d’un certain nombre de généralités qui sont d’ailleurs traitées dans les cours d’astrologie.

En ce sens, nous dirons que l’emprise de l’astrologue sur son client sera plus faible que celle du voyant car il ne traitera le cas de son client que par le biais d’un discours sur ‘Humanité toute entière, c qui nous fait parler d’une astrophysiologie plutôt que d’une astropsychologie. L’astrologie ne nous dit pas tant quand nous obtiendrons ce que nous voulons que de vouloir c que nous pouvons raisonnablement  obtenir, au vu des circonstances. Au mieux, elle  nous dira par où on devra passer avant d’en arriver là  où l’on veut en arriver, tout en respectant une certaine séquence de temps, illustrée par   des séries  de symboles plus ou moins parlants, dont le Tarot est issu (cf. les « roues »  regroupant signes, planètes, maisons et  saisons  sous la forme de douze « tableaux », sur une base iconographique). Le

Problème du coaching divinatoire c’est qu’il n’a guère de garde fous scientifiques, il n’a que la « vérité » du praticien et le désir plus  ou moins fantasmatique de son client. Si en plus le voyant, par transmission de pensée (télépathie), « donne » les prénoms des personnes visées, alors le doute n’est plus permis, c’est bien de ces personnes qu’il s’agit pour accomplir son destin. En tout état  de cause, le voyant lui aussi fonctionne sur des généralités de son cru qui sont dues à sa propre expérience de la vie  à l’état brut. Ses clients sont un peu comme des enfants qu’il façonne à sa guise et à son image.

Ce qui nous frappe quand nous discutons avec  des personnes qui n’ont pas de formation astrologique ; ce sont des propos du type « cela ne va pas changer «.  Le client est lui-même prisonnier d’un certain discours qu’il ressasse sans prendre la mesure du changement qui se produit autour de lui. Il  a été déclenché à un instant T par tel ou tel « signal » (stimulus) et il  s’est installé une fois pour toutes dans une certaine posture au lieu de relativiser, de resituer dans le contexte, dans l’interaction du moment les choses. Le grand problème des pratiques divinatoires c’est que, paradoxalement, elles figent. Elles partent d’une situation donnée et extrapolent à partir de là alors que cette situation peut singulièrement varier au fil du temps. Que l’on se méfie des demandes des clients (et surtout des clientes), par trop marquées par l’émission et pas asssez par la réception.

 

 

 

JHB

28.02 14

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La crise du couple et le facteur changement

Posté par nofim le 28 février 2014

 

 

Comment gérer les crises de couple

Par  Jacques  Halbronn

 

Tous les trois ans et demi, tout couple est voué à connaitre quelques soubresauts. Cela s’explique dans l’astrologie de l’Astrocyclon par le fait qu’alternativement l’homme et la femme se passent le relais et que cela génère un certain état dépressif tantôt chez l’un tantôt chez l’autre et cet état tend à être contagieux.   Ces crises d’une certaine durée menacent l’avenir du couple mais on peut essayer de faire en sorte qu’elles ne produisent pas trop de dégâts, notamment en les annonçant suffisamment à l’avance pour se préparer au choc et ne pas ainsi  lui accorder plus d’importance que cela ne le mérite.

Un cas assez fréquent est celui qui fait intervenir des tiers qui risquent de ne pas prendre la mesure de la situation et de finir comme les dindons de la farce, le couple en crise s’étant entre temps ressaisi et ayant traversé la période de transition et d’ajustement ;On ne saurait donc trop se méfier de ces personés qui se disent « séparées » définitivement sans espoir de retour et qui s’offrent une parenthèse avec  quelqu’un dont elles se débarrassent sans trop de scrupule le moment venu. Certes, ce sont là des opportunités pour les heureux élus mais elles risquent de n’être que de peu de durée, le temps que le couple se rabiboche, riche de son passé, de ses souvenirs et de certains acquis matériels que l’on n’a pas trop envie de sacrifier. Ce n’est évidemment pas là une loi absolue et dans certains cas, l’échec de l’aventure aurait probablement pu être évité avec un peu plus de doigté et de précaution.  Mais souvent l’alternative vécue avec le nouveau partenaire n’est pas concluante et l’on préférera revenir vers l’homme ou/et la femme de sa vie. Ce qui peut empêcher le « retour », c’est  que l’un des deux anciens partenaires ait trouvé entre temps son bonheur ailleurs, quand bien même l’autre souhaiterait renouer.

Si l’on prend comme unité de temps  3 ans et demi (soit 7/2), l’on peut se faire une idée du nombre d’occasions de rupture qui se seront présentée par exemple sur une trentaine d’années de vie commune et chaque fois , ce sera à nouveau une épreuve de vérité et l’on aura beau jeu de dire que la réconciliation n’aura été que de courte durée mais selon nos travaux c’est la norme et le mieux est de le savoir et de se préparer à de telles échéances.

Cela dit, il est rare que l’on rencontre quelqu’un qui n’a pas déjà un certain passé  lequel peut resurgir inopinément, parfois au bout de nombreuses années.

Le facteur qu’il ne faudrait pas perdre de vue est le facteur Temps.  Les gens changent, évoluent. Dans le couple, cela bouge et c’est cela qui compte. Ce mouvement peut à certains moments faire problème mais si on laisse du temps au temps, cela finit par s’arranger, ne serait-ce que parce que justement, les comportements, entre temps, auront changé.  Et cela change tout ! Le mouvement va réguler ce qu’il a pu perturber et donc notre conseil est de laisser passer du temps. En tant que spécialiste de la cyclologie, nous réfutons les discours figés du genre « il ou elle ne changera pas ». Ce n’est pas une question de volonté, c’est plutôt un processus intérieur qui est à l’œuvre et qui fait évoluer les données du problème tel qu’il a pu se poser en un instant T.  C’est cela qui explique que les gens se réconcilient, du  fait qu’ils s’aperçoivent que des changements sont en cours. Affirmer que rien ne bouge, que les gens ne changent pas contribue à figer l’analyse au lieu de la renouveler, à maintenir indéfiniment un même disque, une même antienne.

Si un couple ne reprend pas, cela tient à une certaine forme de désespérance qui peut être entretenue par certains conseillers qui se fondent sur ce que leurs clients leur déclarent. Il importe que les conseillers soient avertis de l’évolution générale de la société selon une certaine cyclologie générale. Un conseiller financier ne doit-il pas être au fait de ce qui se passe dans le monde. Il en est de même selon nous sur le plan relationnel, il y a également un processus général de changement dont il est essentiel de prendre connaissance et qui est notamment fourni par les recherches cyclologiques (cf. nos travaux sur l’Astrocyclon).

 

JHB

28. 02. 14

 

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De l’abandon au pardon : prévision et prévention

Posté par nofim le 27 février 2014

 

 

L’abandon (et le pardon)  comme marqueur  déterminant de la recherche cyclologique

Par  Jacques Halbronn

 

Dans nos expériences de vie, l’abandon, le nôtre ou celui d’autrui  constituent généralement des moments forts et souvent assez pénibles. Et il est bon de pouvoir les prévoir non pas tant pour les empêcher que pour les comprendre et s’y préparer car l’abandon est un phénomène en soi assez traumatisant, d’où qu’il vienne. En effet, surtout quand l’abandon est le fait d’autrui on a du mal parfois à expliquer le timing de cette « décision » d’abandonner, d’interrompre, de ne pas poursuivre, de faire avorter un processus engagé, depuis un certaine temps oui depuis un temps certain. Pourquoi un tel découragement, une telle perte de « moral », à cet instant ? Qu’est ce qui a « flanché » ? Et que peut-on faire face à l’abandon d’un projet ; à un tel renoncement à poursuivre, pourquoi donc a-t-on déclaré forfait, décidé de « laisser tomber » ? Nous ne reviendrons pas ici sur nos travaux cyclologiques dans le détail (cf. sur le blog Nofim). Sachons seulement que ce sont des événements dont la cyclologie doit tenir le plus grand compte pour se constituer et se baliser tant ils marquent les esprits plus que toute autre chose, d’autant que le suicide est aussi une forme d’abandon. Si toi aussi tu m’abandonnes. On connait la chanson (Le train sifflera trois fois). A contrario,  on se soivienyt aissi quand il n’y a pas eu abandon alors que cela aurait pu se concevoir. L’abandon comme le non abandon peuvent surprendre et cela montre bien que cela tient à un facteur « externe » qui ne correspond pas nécessairement au coirs des choses mais qui peut interférer avec celui-ci.

La consultation astrologique pourrait d’ailleurs tourner autour des souvenirs d’abandon qui sont parfois plus significatifs que le commencement de quelque chose. Quelque part, l’abandon (give up) signifie la fin de quelque chose. Que l’abandon soit surmonté ou non, il apparait comme une constante de la condition humaine.

Autrement dit, le temps de l’abandon petit être annoncé, anticipé. (cf. nos travaux sur l’Astrocyclon) et c’est un moment délicat à négocier qui exige bien des précautions pour que cela ne provoque pas de « rupture », pour que le « pire » puisse être évité. Moais parfois l’abandon est vu comme libérateur ou du moins on a des sentiments mitigés de soulagement et de déception. .C’est souvent un acte unilatéral qui s’impose à autrui avec une certaine brusquerie.

Avec notre cyclologie de l’Astrocyclon, nous distinguions nettement entre l’abandon qui est de notre fait et celui qui est le fait d’autrui, et l’abandon qui vient des femmes et celui qui émane des hommes.

Les astrologues ont perçu empiriquement cette affaire d’abandon au sein d’une dynamique cyclique. Ils la mettent habituellement sur le compte d’un « carré » ou d’une « opposition » qui vient faire obstacle et de fait aucun cycle n’échappe tout à fait au risque de l’abandon, du découragement – (du mot cœur). L’arcane XI du Tarot, la Force, indique cette notion de victoire sur les problèmes (Fortitudo) face au Mat (Fou), arcane (0)  non numérotée (XXII)  qui annonce une fuite (fugitif), une errance. (Pour nous les arcanes du tarot vont par paires totalisant 11 ou 22)

On peut ainsi demander, à titre préventif, à un astrologue quand  se présentera un certain risque d’abandon, d’où qu’il vienne, le résultat état peu ou prou le même. C’est en gros tous les 3 ans et demi. On sait que bien des couples se séparent au bout de cette durée.  Ces 3 ans et demi se retrouvent également dans la littérature prophétique, apocalyptique ?

Si on compare l’astrologie au tarot, nous dirons que l’astrologie- du moins celle que nous préconisons- est plus fiable que ne l’est le Tarot sous cet angle de l’abandon, de la séparation, du  divorce. En effet, le tirage du tarot (quel qu’il soit) est aléatoire alors que notre astrologie de l’ Astrocyclon fournit un calendrier bien étayé et que l’on peut suivre sur plusieurs années. mois après mois, année après année.  Selon nous, en tout état de cause, c’est ola question phare de la divination et de l’astrologie, que celle de l’abandon. Un de ses corollaires serait la réconciliation et notamment le « pardon » d’avoir douté, d’avoir « quitté », d’avoir fui, non sans une certaine lâcheté (on a « lâché »). Qui ne connait ces histoires de gens qui partis faire une course ne reviennent jamais ou bien plus tard. Cela donne lieu à des tentatives de retour d’affection qui sont le fonds de commerce des occultistes. Il faut rallumer la flamme qui se sera malencontreusement éteint. On essaiera de rassurer la personne qui a fauté ou failli  que cela ne compromet pas la relation et que l’on est tout disposé à pardonner ce passage à vide.

Il vaut mieux toutefois éviter de commencer quelque chose à proximité d’un point de rupture et laisser passer ce cap pour engager quelque chose. Cela l’astrologie peut le dire, le conseiller car sur le calendrier que nous avons établi (cf notre schéma sur la page d’accueil  du blog de la Faculté d’Astrologie de Paris), l’on peut voir les échéances successives. Le meilleur moment, c’est au fond au lendemain d’un moment d’abandon car cela laisse le plus de temps pour se retourner avant d’avoir à affronter une crise. A contrario, si l’on commence quoi que ce soit quelques mois avant un nouveau point critique, l’abandon sera d’autant plus pénible qu’il ne sera même pas dû à la lassitude d’une relation déjà ancienne.

JHB

27  02  14

 

 

 

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Le binôme astres/femmes au coeur de l’Histoire.

Posté par nofim le 27 février 2014

La crise masculine au regard de notre astrologie

Par  Jacques  Halbronn

 

 

Dans un précédent texte nous avons traité de la crise au féminin, à l’approche de Saturne par rapport aux quatre étoiles fixes royales. Mais il est probable que cela ait son pendant lorsque Saturne est éloigné au maximum des dites étoiles en longitude.

Nous avons maintes fois indiqué l’intérêt du passage de la phase montante à la phase descendante Saturne, aux antipodes du processus inverse. Si les femmes vivent mal l’approche de Saturne – ce qui se traduit par un sentiment de trahison, dû à une forme de saturation, d’excès de tension – avec des déclarations définitives qui impliqueraient un besoin immédiat de se soulager de ses contrains, de ses engagements, de ses responsabilités, d’où  une attitude de fuite,  l’on dira que les hommes vivant mal  la position inverse au sortir de la phase montante de l’Astrocyclon (cf. nos vidéos sur le blog facultelibredastrologiedeparis), ce qui correspond à un passage de relais au profit des femmes, un besoin de se décharger d’un certain fardeau. On pense au départ, à la démission de De Gaulle en 69 au lendemain du référendum. Il y aurait donc une sorte de parallèle entre ces deux « points ».  Mais nous pensons que là encore, on est dans un cycle d’essence féminine (car pour nous les femmes sont porteuses de cyclicité plus que les hommes). Lors de la phase descendante de Saturne,  les femmes vont reprendre la main après la parenthèse liée à leur propre crise et se réhabiliter. La confiance revient entre les sexes, ce qui conduit les hommes à se décharger sur les femmes de certaines corvées mais nous avons souligné les problèmes liés à toute forme de délégation, à savoir notamment une certaine cristallisation conduisant progressivement à toutes sortes de cloisonnements dans le temps et dans l’espace. On assiste donc à une baisse de créativité globale mais à une volonté féminine de tirer le meilleur parti de ce qui existe déjà.

C’est dire que selon nous,  les femmes sont singulièrement marquées par le cycle de Saturne alors qu’il semblerait que les hommes ne le subissent que par défaut. Selon nous l’astrologie est un apport d’une biotechnologie avancée (peut être d’origine extra-terrestre ou d’une civilisation disparue,  (cf. notre entretien avec  Geneviève Béduneau sur les dieux-astronautes, You Tube) qui a été construit sur un binôme astres/femmes. Et d’ailleurs, les femmes sont irrésistiblement attirées par l’astrologie, même sous des formes corrompues, car cela parle à leur mémoire subconsciente. Elles se perçoivent comme des machines reliées à  des rouages. Les hommes, quant à eux, ne se reconnaissent pas dans un tel schéma, sauf si ce sont des spécialistes du domaine.

Selon notre thèse, ce sont les stades successifs du comportement féminin qui balisent nos rythmes sociaux. Lorsque les femmes sont très « en forme », elles se substituent aux hommes. En revanche, quand elles sont en fin de cycle, à l’approche d’une nouvelle conjonction de Saturne, tous les 7 ans (cf. notre récente étude sur les crises féminines de saturation), avec une des quatre étoiles fixes royales, elles donnent des signes d’épuisement qui impliquent une reprise en main par les hommes, ce qui permet de redonner l’initiative au vivant face à la machine.. On échappe alors à une certaine cristallisation du monde et l’on  entre dans une phase d’innovation et d’exploration de ses propres potentialités tant  à l’échelle des individus que des structures sociales.(cf nos textes sur le protectionnisme)

 

JHB

27. 02. 14

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La crise septennale des femmes.

Posté par nofim le 27 février 2014

 

La crise de confiance chez les femmes et le cycle de Saturne

Par Jacques Halbronn

 

Les astrologues « sérieux » ont coutume d’ironiser sur  l’idée selon laquelle des millions de gens pourraient avoir simultanément les mêmes comportements, vivre les mêmes expériences. Ce faisant, nous pensons qu’ils partagent et diffusent des préjugés anti-astrologiques. Il est peut être « contre-intuitif » d’imaginer une certaine synchronicité des attitudes, des réactions mais selon nous c’est justement là que se situe la « preuve » de l’Astrologie ou du moins d’un certain  pan de l’astrologie car il n’est évidemment pas question de prouver toute l’astrologie comme l’imaginait Suzel Fuzeau-Braesch (auteur d’un Que sais-je en 1989 sur le sujet) qu’U s’intéressait aux résultats et non aux moyens des astrologues et donc prenait la tradition astrologique comme un tout solidaire.

Pour notre part, nous prendrons le contrepied de ce préjugé  anti-synchronique car il n’est de science que du général et nous sommes résolument hostile à l’aspect « artistique » et artisanale de la pratique astrologique quand il s’agit de prouver quoi que ce soit en astrologie. Vient s’ajouter un autre blocage, un autre obstacle épistémologique à savoir la prise en compte que nous jugeons absolument nécessaire de l’appartenance sexuelle. Car parler de synchronicité est une chose mais si tout le monde vit la même  chose, ce n’est pas vraiment concluant. Ce qui est marquant, c’est si les hommes et les femmes, par exemple, ont des modes de fonctionnement différents, contrastés face à certaines formes d’astrologie. De la sorte, on fera d’une pierre deux coups en apportant la preuve à la fois d’une certaine cyclicité planétaire et de la portée sociale de la sexuation. Excusez du peu !

La thèse que nous défendons ici est la suivante : lorsque Saturne se rapproche d’une des quatre étoiles fixes royales, ce qui se produit en gros tous les 7 ans, les femmes tendent à présenter un comportement de décalage social assez aigu, qui s’apparente à une forme de disjonction (on prend ici sciemment l’image d’un disjoncteur électrique) comme s’il y avait saturation. La « conjonction » générerait  chez les femmes en général de la « disjonction »  du fait d’une saturation énergétique. Il y aurait en tout cas un « tournant » difficile à gérer harmonieusement et cela exigerait d’extrêmes précautions d maniement pour que l’on n’arrive pas à déclencher ce processus de saturation/disjonction, qui s’apparenterait à une forme de surmenage. (Femmes au bord de la crise de nerf). On peut dire qu’à ces moments-là les femmes deviennent plus ou moins ingérables.et en quelque sorte indomptable (cf. La mégère apprivoisée. Shakespeare).

C’est donc à une grande enquête que nous invitons le public – sur la base de sondages à grande échelle pouvant être conduits par des instituts spécialisés. La question centrale serait : avez-vous remarqué dans votre entourage des comportements de femmes surprenants, ces derniers temps, avec des réactions disproportionnées (over-reaction) ?  On collecterait les réponses et selon nous l’on observerait une intensification de tels comportements à l’échelle de toute une société, toutes classes confondues. Ce serait un nouveau cycle féminin qui serait ainsi mis en évidence au même titre que la menstruation. (Les »règles »)

Vu que nous sommes justement en ce moment à un tel « pic », nous invitons nos lecteurs à enquêter autour d’eux ou à collecter des informations dans ce sens. Bien entendu, d’autres sondages auront lieu  à d’autres moments – et notamment à des phases paradoxales du cycle de Saturne (à 45° d’écart de ce qui se passe en ce moment) pour vérifier que  les femmes n’ont ce comportement qu’à des moments bien spécifiques.

On dira que la période sensible débute autour du passage de Saturne à 15° taureau, lion, scorpion ou verseau. On est actuellement avec un Saturne vers 20° scorpion. Cela doit durer jusqu’à la conjonction avec les étoiles fixes royales respectives puis la tension s’apaise progressivement.

Qu’est ce qui caractérise ces phases de disjonction féminine ? Un manque certain de sang-froid, une interprétation très angoissante des situations qui se présentent, ce qui provoque des réactions totalement démesurées qui peuvent nuire à l’entourage et à l’intéressée, du fait de ce qu’il faut bien appeler des crises dont les femmes elles-mêmes ne parviennent pas à se justifier des torts causés avec le recul., d’où un certain sentiment de culpabilité. Toute la question est alors celle de l’accompagnement optimal de ces crises qui isolent les femmes de leurs proches, comme si l’effort demandé pour  coexister était au-dessus de leurs forces, d’où une certaine panique….

 

C’est évidemment là une « face cachée » de la femme que celle-ci tente de minimiser  quand elle revendique une quelconque forme de parité avec les hommes. Il nous semble en tout cas que nous avons circonscrit le cycle de ces crises, d’une durée moyenne que l’on peut situer autour de plus ou moins un an, tous les 7 ans. Cela devrait ouvrir vers des recherches au niveau des neurosciences et à des examens  spécifiques des cerveaux féminins  lors de ces phases critiques.

Il semble souhaitable d’assurer un suivi de quelques milliers de femmes dans chaque pays et de noter les modifications d’année en année et ce qui se passe lors des phases « critiques » que nous avons signalisées.

Selon nous, ces crises peuvent avoir des incidences considérables d’entrainement  par leur dimension quantitative affectant l’état nerveux de  la moitié d’une population et avoir des effets de perturbation remarquables au niveau politique. (Révolutions, psychologie des foules). Les hommes ne peuvent pas, de leur côté, ne pas être affectés par les bouleversements psychiques des femmes

L’effet positif de ces crises, faut-il le souligner non sans un certain cynisme, c’est que les femmes se trouvent ainsi mises « hors-jeu » et donc cela permet aux hommes de se rapprocher les uns des autres, « sur le dos » des femmes, ce qui peut avoir des effets très positifs en ce qui concerne la vie sociale, en relativisant leur dépendance par rapport aux femmes.. On pourrait parler d’un phénomène périodique de « vidange », de décrochage qui permet de parvenir à une certaine universalité, aux dépends de tous les cloisonnements et les frontières (qui constituent un fardeau culturel pénalisant), ce qui favorise la formation des « empires », qui représentent une logique salutaire de dépassement.

Pour en revenir à la pratique ordinaire de la consultation, nous dirons que l’on peut annoncer, dans grand risque d’erreur qu’une femme de l’entourage du client passera par un grave période de doute, marquée par une forme de défiance  exacerbée (par rapport à autrui mais aussi par rapport à elle-même)  pouvant produire des prises de distance dont on pourra tenter de limiter les effets les plus fâcheux.

 

 

 

 

JHB

27 02 14

 

 

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Apologie du protectionnisme individuel et collectif

Posté par nofim le 27 février 2014

 

 

 

 

 

Pour un protectionnisme innovateur

Par Jacques  Halbronn

 

Il y a une alternative à une société où chacun aurait besoin de l’autre, qu’il s’agisse des individus ou des Etats. Est-ce là une apologie du protectionnisme ? On pense au développement de la betterave à sucre sous le Premier Empire du fait de la difficulté de recevoir le sucre des Antilles. (Canne à sucre).  Entendons par là qu’en renonçant à importer, on peut trouver en soi, sur son propre « territoire » ce dont nous avons besoin et c’est en cela une  puissante incitation à la recherche, au développement au progrès. Si chacun puisait dans ses propres ressources tant humaines que matérielles  ne serait-ce pas préférable ? On sait que les exportations ont ruiné certains pays du fait de la concurrence et les importations posent des problèmes comparables. Cela vaut autant pour chacun de nous que pour chaque entité territoriale, chaque ville notamment. Au lieu de puiser dans ses ressources propres, dans celles de son entourage on préfère consommer des produits qui viennent d’ailleurs.

On nous demandera : que serait une société où chacun vivrait en autarcie et se contenterait de ce qu’il a, de ce qui émane de lui  ou en tout cas de ce qui émane de son groupe, de son environnement ?

Il s’agit de ne pas vivre au-dessus de ses moyens mais surtout d’augmenter ses moyens non pas tant en vue de l’exportation mais de la consommation intérieure et personnelle en évacuant les dépendances à l’importation.  La détection des ressources humaines et autres et prioritaire. La France a développé l’atome pour être indépendante au niveau énergétique. Il y a ainsi des défis à relever. Il faut cesser d’importer un produit sous prétexte qu’il revient moins cher que s’il est réalisé sur place.  Mais encore faut-il savoir si ce produit est absolument nécessaire ou s’il est lié à des habitudes  qui pourraient être revues  et  corrigées. On pense ainsi aux transports en commun préférables aux véhicules individuels, qui correspondent à un besoin artificiel. Certains pays comme Israël sont sous-développés au niveau de leur réseau ferroviaire. Au niveau alimentaire, les habitudes peuvent aussi singulièrement être repensées

L’idée est de privilégier une approche verticale par rapport à une approche horizontale, c’est-à-dire approfondir ce quel l’on a et ce que l’on est plutôt que de faire appel à des apports extérieurs, ce qui correspond à une forme d’aliénation.

On connait l’argument des anti-protectionnisme (cf. Philippe Simonnot  L’Erreur économique.   Denoël  2004  pp 215 -216) autour du « double exemple (…) du chirurgien  et de la secrétaire ou du champion de foot  et du jardinier (..) Même si le chirurgien  a un avantage absolu sur sa secrétaire dans la frappe de son courrier et le champion de foot sur son  jardinier, ils ont l’un et l’autre  inrtéret à se consacrer à leur métier où ils gagnent  beaucoup d’argent. C’est le principe  même de la division du  travail  transposée  au niveau de n’importe quel  groupe humain : villes, régions ;  nations. Donc tout pays  a vocation à échanger avec le reste du monde »

On se doute que nous ne souscrivons pas à un tel type de raisonnment malthusien qui part du princope que nous somms tous cloisonnés et « complémentaires ». Pour nous,  une telle  présentation des choses est un leurre. Nous spmmes ce que nous devnons et non pas l’inverse.  Nous avons le devoir d’accéder à une certaine universalité  par nos propres moyens et non pas en trichant. Se faire aider par autrii ne sera jamais qu’un pis aller avec la bonne conscience de poivoir donner un emploi à autrui.  Un tel échange de « bons procédés » ne méne à rien sinon à un appaucrissemment de la valeur individuelle. On entre là dans un cercle vicieux qui nous faiy penser à une personne qui achéte un produit sans goût et qui compense par l’ajour d’ingrédients de toutes sortes au lieu de rechecher un produit de meilleure qualité. C’est une prime à la médiocrité.   On connait les dégâts causés par des exportations à vil prix sur l’économie de certains pays (notamment en Afrique)

Au plus haut niveau,  toute limitation est facheuse. Un présdent de la République ne peut faire l’impasse sur aucun domaine de son gouvernement. Toute délégation entraine une complication de la communication, des résistances, des dépendances. A nous de trouver dans chacun de nos actes une plénitude et un enseignement, sans avoir à passer par autrui ? Qui peut le plus, peut le moins ? La tendance au  cloisonnement, nous l’avons souligné à maintes reprises, est  typiquement féminine, ce qui l’apparente au fonctionnement d’une machine qui émet beaucoup mais capte de façon très schématique.  On pense à ces gens qui arrivent à monologuer dans une langue étrangère mais qui ne comprennent rien à ce qu’on leur dit dans cette langue. Quand il y   a un tel décalage entre ce qui est émis et ce qui est capté, on sort de la nature humaine pour basculer dans le monde des machines.

On aura compris que nous sommes opposés à l’emprunt, à l’endettement, au mimétisme qui démobilise. A chacun d’explorer ses propres ressources intérieures et à s’organiser par rapport à celles-ci. Il vaut mieux apprendre à chanter que d’acheter des disques, à composer qu’à interpréter  Que chacun cultive son jardin et apprenne à en vivre! Il doit en être de même d’une ville, d’une région, d’un Etat, ce qui permet de développer les spécificités et les spécialités dans les matériaux de construction par exemple  C’est cela la biodiversité.  Paradoxalement, à force d’approfondir la verticalité, on améliore l’horizontalité car « les grands esprits se rencontrent ». Nous croyons à l’universalité et c’est pour cela que nous ne craignons pas la diversité qui ne saurait être qu’une apparence, un passage vers l’unité.

Renoncer à faire appel à autrui tant pour une personne que pour un pays, c’est encourager l’exploration de nos propres ressources, ce qui est loin d’être le cas en ces périodes de mondialisation.  Comme tous ces films en version doublée qui passent à la télévision et encore, la France n’est pas la moins bien placée en termes de production nationale. Le protectionnisme  bien assumé favorise incontestablement l’innovation et ne fait sens que par l’innovation que cela induit..

 

 

 

 

JHB

27 02  14

 

Publié dans DIETETIQUE, HISTOIRE, machine, SOCIETE | Pas de Commentaire »

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