De la pulsion cyclique vers le mariage
Posté par nofim le 3 mars 2014
L’astrologie et les pulsions de mariage
Par Jacques Halbronn
Selon nos observations et nos corrélations, il semblerait que la conjonction en train de se former (à plus ou moins long terme) de Saturne avec l’une des quatre étoiles fixes royales, pousserait au mariage, avec tout ce que cela peut avoir de contraignant et d’exclusif. Inversement, quand Saturne se situe à 45° (grosso modo) de l’une des dites étoiles (sot en fait au mi- point de deux des dites étoiles) cela favoriserait plutôt une polygamie beaucoup moins romantique, ce qui correspond à un temps où les hommes s’entourent de toute une équipe de collaboratrices, sans velléité de rapprochement particulier avec aucune d’entre elles. Ces deux cas de figure opposés correspondent à des statuts sociaux fort différents des femmes, dans un cas, c’est la femme au foyer, dans l’autre, c’est la femme au travail. Dans un cas, les deux partenaires peuvent n’avoir aucune activité professionnelle en commun alors que dans l’autre, cas une activité commune serait la règle et le ciment. On voit là se dessiner une dualité remarquable quant au statut des femmes dans la société et cela ne date certainement pas d’hier mais remonte à plusieurs millénaires. Le mariage entre deux humains de même sexe ne nous semble pas viable selon notre philosophie de l’économie (cf infra) en ce qu’il ne garantit pas une véritable autonomie, l’autonomie ne limitant pas au seul fait que chaque partenaire ait un salaire car pour nous, la gratuité est la régle et le paiement l’exception.
Dans la vie des hommes, l’opportunité du mariage se présenterait tous les sept ans environ et l’on peut fournir les dates en question à un an près sur les 40 dernières années 1972, 1978, 1986, 1993, 2000, 2007, 2014. Pour chacune de ces dates, il peut s’être présentés plusieurs partis, consécutivement. Salon nous, ce scénario se reproduirait aux mêmes dates pour des millions de personnes en âge de se marier. C’est ce caractère quantitatif qui prouverait, viendrait confirmer une certaine forme d’astrologie Du moins en ce qui concerne la planéte Saturne.
On pourrait parler d’un processus de réchauffement (phase montante de l’Astrocyclon) alternant avec un processus de refroidissement. (-phase descendante de l’Astrocyclon). Par réchauffement, nous entendons une sorte de conditionnement vers une relation fusionnelle et uniquement affective tandis que par refroidissement, des points communs professionnels ainsi qu’une relation non exclusive avec une seule femme seraient à relever.
Nous attachons la plus grande importance, contrairement aux astrologues traditionnels (qui préfèrent généralement une astrologie individuelle), à une synchronicité comportementale (par-delà la synchronicité entre les hommes et les astres) qui explique que les deux personnes en présence, un homme et une femme, soient l’une comme l’autre fortement motivées à vivre un « grand amour » et à se laisser entrainer dans une certaine spirale conduisant la femme à être de façon permanente à la disposition de son « conjoint ».
La question des rapports hommes-femmes est cruciale et matricielle au niveau économique. Vive seul coûte plus cher que vivre à deux. Le couple est une unité économique particulièrement viable et qui vise à une autosuffisance, du fait d’une certaine gratuité des services, et cette gratuité est déterminante économiquement en dépit de ce que peuvent penser certains. Plus dans une société, il y a de couples respectant les lois du mariage de façon rigoureuse et plus l’économie n’a des bases saines. En revanche, dès qu’il y a ce que nous avons appelé polygamie, l’on passe à une relation salariale qui va couter à l’employeur car la dynamique du couple ne peut plus fonctionner. On n’est plus dans le bénévolat et il y a un engrenage puisque pour payer des salaires, il faut se démunir ou entrer dans une dynamique d’échanges qui met en cause l’autonomie.
Selon nous (cf. nos textes sur le protectionnisme), au nom d’un certain universalisme, si chaque unité économique fonctionne correctement, c’est-à-dire relève les défis qui sont propres à sa situation, il n’y aura pas de déséquilibre social. Mais cela implique que chacun cultive son jardin et apprenne à tirer le meilleur de ses potentialités, sans s’imposer ou se laisser imposer arbitrairement des limitations, des cloisonnements mais soit en recherche de progression, d’évolution, de croissance interne et non externe.
Le couple, répétons-le, ne serait-ce que sur le plan de la procréation n’a besoin d’aucun apport extérieur si ce n’est sur le plan Trans générationnel (dot, donation, héritage notamment par la femme). Quand il y a crise du couple, avec le passage de la monogamie à la polygamie, l’on passe à un autre type d’économie (cf. supra) mais tout cela s’inscrit dans une cyclicité que nous avons observée et décrite par ailleurs (cf. L’Astrocyclon)
Le rapport que les humains entretiennent avec le mariage relève seau nous d’un tropisme instinctif atavique (et en quelque sorte hypnotique, pavlovien) qui s’inscrit dans un cycle de 7 ans. Lorsque Saturne se rapproche peu à peu de l’une des 4 étoiles (Alderman, Regulus, Antarès ou Fomalhaut), se déclenche chez les humains (mais peut-être surtout chez les femmes, déjà sujettes à la menstruation, ce point restant à approfondir) une sorte d’obligation « morale » de former ou de reformer un couple, ce qui constitue, on l’a dit, un enjeu socio-économique capital. Quand le couple se défaut, c’est une autre économie de substitution qui prend temporairement la place et qui est à terme ruineuse car au lieu d’exploit ses ressources propres, on fait appel à des apports (import/export) qui génèrent inévitablement un certain appauvrissement du fait d’une mauvaise exploitation des richesses dont dispose l’être humain par lui-même (cf. la parabole des talents dans l’Evangile, les théories de Max Weber sur économie et religion). Le mariage reste donc pour nous une institution essentielle et en toit état de cause, la pulsion vers le mariage appartient à un déterminisme qui ne saurait être refoulé par le culturel, même si l’on assiste à des manifestations d’inhibition et de résistance plus ou moins bien vécues.
JHB
03.03.14
Publié dans ASTROLOGIE, ECONOMIE, FEMMES, HISTOIRE, Médecine, RELIGION, SOCIETE | Pas de Commentaire »