Posté par nofim le 13 avril 2014
L’Astrocyclon, comme modélisation d’un péril biotechnologique.
Par Jacques Halbronn
Quelle est la portée de l’astrologie pour les hommes ? Est-elle un corps étranger dont ils pourraient fort bien se passer (Avoda Zara, en hébreu). ? Ou bien au contraire est-elle un régulateur incontournable et structurant ? Est-ce qu’ils ne se porteraient pas plus mal si l’astrologie n’existait point que ce soit en tant que savoir et surtout comme réalité ? Le fait est, en tout cas, que l’existence de l’astrologie a des effets sur le cours des choses et que le monde serait imprévisible sans l’ »astrologie, du moins au niveau humain. Mais l’astrologie est d’abord une clef pour comprendre les femmes et pour que les femmes se comprennent.
Selon nous, il ne semble pas indispensable pour les sociétés dominées par les hommes de tenir spécialement compte de l’évolution des états d’âme féminins dont traite principalement l’Astrologie, telle du moins que nous pensons l’avoir restituée.
C’est un peu comme lorsqu’il fait beau ou « vilain », cela n’empêche pas de vivre à condition que l’on prenne certaines précautions et protections. C’est pourquoi l’ignorance des vrais lois et normes de l’astrologie n’a pas empêché l’Humanité de poursuivre son cours Il reste que l’on aurait probablement pu éviter certaines catastrophes si on avait été averti en effectuant à temps certaines « prévisions » comme l’on fait des prévisions météorologiques.
Mais l’essentiel de ce qui fait que l’Humanité est l’Humanité ne se limites certainement pas au seul paramétré astrologique
Nous avons exposé notre thèse selon laquelle le système astrologique relèverait d’une biotechnologie avancée en dialectique donc avec la Science. On peut parler d’un dispositif instauré par une civilisation étrangère à la Terre ou appartenant à un tout autre cycle de civilisation terrestre disparue. Quelque part, l’Humanité actuelle peut vouloir se libérer d’un tel joug.
La notion de mâle dominant qui est impliquée par un tel système n’est en effet pas vraiment favorable aux hommes, comme nous nous en sommes récemment expliqués. Le mâle dominant élu par l’assemblée des femmes, leur convergence autour de son nom, crée un grave déséquilibre au sein de la population mâle, notamment si nous continuons à nous diriger vers la mondialisation, ce qui permettrait de faire fonctionner l’humanité avec très peu de création masculine, celle-ci étant canalisée au profit des femmes. A terme on aurait ainsi un surplus de population masculine qui pourrait déboucher sur une forme de génocide avec en outre une alliance des femmes avec les machines. Tout cela peut sembler de la science-fiction mais selon nous un tel scénario est à craindre si l’on ne change pas la conception actuelle de l’économie mondiale, ce qui passe par le repli sur des entités géopolitiques plus nombreuses et une nécessaire biodiversité. Or, le concept de mâle dominant va radicalement à l’encontre de la demande de biodiversité.
Nous prônons une sociabilité de proximité et donc qui ne serait pas envahie par le virtuel supranational. Les hommes ont besoin de proximité pour former leurs enfants mâles et la défection des pères hypothèque l’éveil des potentialités chez leurs garçons.
Ce mâle dominant c’est aussi bien évidemment Dieu, Jésus Christ, Allah etc. Les femmes reconnaissent un tel principe masculin sous sa forme unique. Mais cette unicité va évidemment à l’encontre de la population masculine. Le fait même que la divinité soit masculine ne favorise aucunement les hommes. Inversement, une divinité féminine ne favoriserait pas les femmes car dans les deux cas, le virtuel se substitue au réel, d’autant qu’il est aisé à dupliquer. L’on peut imaginer à terme des hologrammes ou des clones constitués à partir d’un mâle dominant.
En conclusion, l’Astrocyclon que nous avons mis en évidence et qui pourrait être comparé, toutes proportions gardées, à la découverte de la double hélice de l’ADN (cf. C. Allègre, Acides nucléiques, in Dictionnaire Amoureux de la Science, Ed. Plon-Fayard 2005, pp 27 et seq) met en évidence un phénomène biotechnologique qui nous interpelle au niveau de la bioéthique. Cet Astroyclon permet d’effectuer des prévisions relativement fiables. Il convient d’envisager des protections contre un tel phénomène comme on le fait face aux dangers de tsunami. La phase montante de Saturne, rappelons-le –et nous en traversons une en ce moment- a un caractère paradoxal qui peut nous induite en erreur puisqu’elle conduit à une focalisation sur des hommes mais en très petit nombre du fait même de la dite focalisation, ce qui poise le problème du plein emploi et du chômage des hommes. Nous avons décrit en long et en large, dans de précédents textes, les perspectives générées par la phase montante avec les hommes « laissés pour compte » ;; Quant à la phase descendante elle doit également être très surveillée puisque c’est alors que les femmes prennent le pouvoir en s’emparant des dépouilles du mâle dominant ce qui leur permet de se passer carrément de l’Humanité masculine réelle au profit d’une Humanité masculine virtuelle En ce sens, l’image de la Tour de Babel nous semble devoir être interprétée comme la remise en question de tout processus unitaire au profit d’une biodiversité qui nous semble la meilleure garantie du principe de proximité que nous privilégions désormais.
JHB
13 04 14
Cet article a été publié le Dimanche 13 avril 2014 à 23 h 48 min et est catégorisé sous ASTROLOGIE, FEMMES, machine, Médecine.
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