Les femmes et le déséquilibre économique
Posté par nofim le 2 mai 2014
Vers une nouvelle idée du commerce équitable au
regard du couple
par Jacques Halbronn
Dans de précédents textes, nous avons montré que les
femmes étaient particulièrement bien adaptée s aux
termes de l’échange économique, au gain d’argent,
du fait. même de leur cloisonnement professionnel, de leur spécialisation,ce
spécialisation, ce qui n »était pas le cas des hommes
qui avaient plus vocation à assumer
une approche globale, celle des chefs de file, des
créateurs au sens large. Or, il nous apparait que le
comportement actuel des femmes génére un certain
déséquilibre socioéconomique auquel il serait bon de
remédier.
Ce comportement se traduit par un certain déni de ce que
les hommes apportent aux femmes, et de ce qu’elles leur
doivent, dans tous les sens du terme. Cela pose la question
de la prétendue gratuité de certains types de services
rendus par les hommes ou si l’on préfére d’une fausse
réciprocité entre celui qui émet et celui qui reçoit. Cela
pose aussi la question de la frigidité fémininae liée à une
certaine forme d’ingratitude. Ce déséquilibre génére du
chômage et donc alourdit la charge des aides sociales qui
sont censées suppléer à certains manquements. Tout
travail mérite salaire, dit-on.
Cette frigidité féminine conduit évidemment les femmes
à ne pas apprécier ce que les hommes peuvent leur
apporter et a un ressort plus psychologique que
physiologique (ménopause). La femme qui n’éprouve
pas de plaisir auprès d’un homme, ni au niveau sexuel, ni
au niveau intellectuel ne lui est pas redevable et c’est du
fait même de cette frigidité qu’elle peut inverser les
rapports comme ces prostituées qui se font payer.
Dans bien des relations entre hommes et femmes, ce sont
les hommes qui apportent plus aux femmes que l’inverse et
tout discours sur la symétrie serait factice, et ce dans tous
les domaines, tant physique que psychique. Que donnent-
elles en retour? Dès lors qu’elles sont programmées en
tant qu’agents économiques, il serait logique qu’elles
aussi, de leur côté, apportent leur savoir faire qui est
lié aux biens « matériels », à leur acquisition,par le moyen
de l’échange des compétences. Or, au lieu de cela, les
femmes considérent qu’elles en ont bien assez fait en
acceptant, en recevant ce que les hommes ont à leur
offrir. Le couple, en ce sens, devient un marché de dupes.
Certes, les femmes paient-elles leur psychanalystes, leur
« kiné », leur « masseur » mais dans le couple, tous ces
services sont censés être gratuits ne serait-ce que parce
qu’ils ne coûtent rien aux hommes sinon un peu de temps.
Il semble donc souhaitable que l’on mette fin à une telle
représentation des choses qui a des effets socio-
économiques pervers.
Tout se passe comme si ce que l’on pouvait réaliser
sans l’aide d’un appareillage ou sans être soi même devenu
une machine avec sa fonctionnalité – on parle d’un
métier à tisser- ne justifiait pas de rémunération, de
« compensation » (récompense) liée aux besoins
existentiels de la personne.
D’où l’importance de la vie de couple pleine et entière avec
obligation légale de présence. Il n’en est pas de même dans le
cas des relations épisodiques où chacun vit de son côté
et c’est ce « régime » qui est la source de bien des maux de
notre société, en dépit du « mariage pour tous » (homosexuel)
ou du PACS.
Le couple traditionnel évitait en pratique et de façon
empirique certaines dérives et aboutissait tant bien que
mal à un certain « arrangement » entre l’homme et la femme,
sans qu’il ait été besoin d’élaborer quelque modéle. En
revanche, le couple nouvelle formule qui tend à se
répandre où chacun habite de son côté et est contraint
à une certaine forme de symétrie économique ne nous
semble viable que sous certaines conditions qui respectent
la qualité des « prestations » et des « engagements » de chacune
des parties, sur la base d’un apport de l’homme qui ne lui
coûte rien sur le plan de l’acquisition externe mais qui
sollicite l’énergie interne, avec à la clef le spectre de
l’impuissance, ce qui montre que ce n’est pas si évident
et automatique que cela.
Cela dit, se pose aussi le probléme de la frigidité du
partenaire féminin et pas seulement sur le plan
strictement sexuel. D’ailleurs, nous pensons que la
sexualité s’étend bien au delà de l’acte sexuel proprement
dit tant dans le temps que dans l’espace.
C’est le processus de cette frigidité au sens large
qu’il nous intéresse ici d’étudier voire de psychanalyser.
En effet, la frigidité peut être le symptôme d’un refus de
devoir quoi que ce soit à son partenaire alors que l’on
prend plaisir par ailleurs à la compagnie d’autres
personnes sans parler des médias, des spectacles. En
refusant à l’homme ce qu’il a à offrir gracieusement ,
la femme frigide le contraint à assurer une prestation
plus « matérielle », plus concrète, ce qui débouche
sur une logique d’échanges tarifés, avec l’engrenage qui
va avec, s’accompagnant volontiers du maintien
d’habitations séparées avec ce que cela exige de dépenses
supplémentaires.
Nous avons ainsi dressé le portrait robot de la femme
qui affiche – car cela peut n’être qu’une posture- son
peu d’excitation pour ce que l’homme a à lui offrir
de par sa personne et sans passer par quelque
truchement. Il est clair que le schéma classique de la
rencontre à base de restaurant et de cinéma va dans le
sens de cette frigidité puisque l’homme s’en trouve
réduit à payer des services (même s’il y a partage), à
régler « de sa poche » et non de sa personne. Certes, ce
n’est là qu’un début qui peut évoluer vers un autre mode
de relation mais d’emblée l’on peut repérer si la femme
est sensible ou non à ce que l’homme a à lui apporter, par ses
questions, ses observations qui sont censées la stimuler.
En aucun cas, pensons-nous, est-il souhaitable de
partir sur une sorte de symétrie égalitaire arithmétiquement
Il importe que la femme apprécie à sa juste « mesure » ce
que l’homme lui apporte et qu’elle choisisse celui dont
elle saura apprécier pleinement la contribution, sans
être dans l’attente de quelque succédané. Sinon, il
vaudrait mieux qu’elle envisage carrément une
relation avec une autre femme. On aura compris qu’à
l’arrière plan de cette étude se pose la question de la
nécessité d’une sorte de « commerce équitable, ce
qui implique de préférence l’acceptation de la vie commune pour
le couple. Rappelons que dans le judaïsme traditionnel, ce
sont les femmes qui sont chargées de veiller à l’aspect
matériel de la famille et qu’un homme seul n’est pas
en situation normale.
JHB
02 05 14
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l’avarice des femmes
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