Dimorphisme de l’espéce humaine
Posté par nofim le 28 juin 2014
La véritable dimension du dimorphisme de l’Humanité
par Jacques Halbronn
En 2003, il a été établi que l’Humanité était constituée de
deux espéces bien distinctes, l’homo sapiens et l’homme de
Neanderthal.Commennt ces deux espéces ont fusionné reste
un mystère mais les faits sont là. Ce qui nous intéresse tient
à ce que cela vienne recouper ce que nous avons pu
signaler précédemment et qui recoupe d’ailleurs la théorie du
genre. L’astrologie, sous un tout nouveau « design »
vient donner une dimension singulière à ce dimorphisme
propre à l’Humanité. Les deux axes de notre approche du
dimorphisme sont d’une part le rapport au langage (sous
sa forme visuelle ou sous sa forme orale) et de
l’autre le rapport aux signaux (célestes), par delà le critère
anatomique qui n’est aucunement spécifique à l’Humanité,
quant à lui. Car pour nous le dimorphisme de l’Humanité
n’est pas réductible à celui d’autres espéces animales.
I Le dimorphisme au prisme de la sensorialité
Notre travail sur la psychosociologie sensorielle
(cf l’Astrologie Sensorielle, in Cosmopolitan, janvier 1977) est
le socle sur lequel nous avons constitué notre propos sur
le dimorphisme d’une humanité hybride et fonction d’une
ancienne symbiose.
Nous suggérons donc d »engager au plus vite des recherches
dans ce sens car il s’agit là d’un enjeu majeur pour
l’Humanité au niveau d’une exigence conscientielle qui
devrait caractériser le XXIe siècle.
Ce qui est à établir et à valider concerne la thèse suivante:
les femmes se comportent comme si nous vivions dans
l’obscurité, ce qui est devenu encore plus absurde depuis
l »expansion des systémes d’éclairage. Or, ce trait ne s’observe
pas chez les hommes dans la même mesure, ce qui s’expliquerait
par un atavisme qui ne s’inscrit pas dans une culture des
ténébres. Vieux débat d’ailleurs que cette dualité lumière-
ténébres (chez Zoroastre/Zarathoustra par exemple, dans les
Manuscrits esséniens de la Mer Morte mais aussi chez
Platon avec le mythe de la caverne).
.Notre réflexion s’interroge sur le rôle de l’oralité en termes
de communication. Pourquoi parlons-nous, utilisons-nous
notre bouche pour dire des choses sans passer nécessairement
par le visuel, la gestuelle? En bon ockamien que nous
sommes, nous pensons que le plus souvent l’on parle pour
ne rien dire, que la parole orale n’est pas « nécessaire ». Or, entre
femmes, la parole est perçue comme un marqueur essentiel de
la présence à l’autre. Parler, c’est indiquer, signifier que l’on
est là. Mais quand les gens se voient, ont-ils besoin d’en
passer par là? Seule l’obscurité qui anéantit le visuel peut
justifier le passage par la parole car celle-ci est une énorme
dépense d’énergie et en ce sens n’est pas du tout écologique
tant pour l’émetteur que pour le récepteur. La parole est
en fait une nuisance sociale.
Nous avons pu en efffet remarquer que la parole empéchait
les personnes qui la subissaient de se concentrer mentalement.
Quand autour de nous « ça » parle, notre capacité de réflexion
s’en trouve atteinte et notre attention à ce que nous faisons
en devient plus superficielle. En ce sens, la cohabitation
entre hommes et femmes, dans un même espace,
fait bel et bien probléme. Mais surtout, le rapport des femmes
à la parole est anachronique et décalé par rapport à la
réalité technologique la nuit et encore plus absurde en plein
jour.
D’ailleurs, nous ne sommes pas anatomiquement
équipés pour nous protéger du bruit, ne pouvant « fermer »
nos oreilles comme on peut le faire pour nos yeux, grâce
à nos paupières à moins de nous servir de nos mains et donc
de nous empêcher de nous en servir par ailleurs. On peut
fermer sa bouche mais pas son nez, sauf encore une fois en
recourant aux mains.
La seule chose qui puisse justifier, par conséquent, le fait
de parler de façon incessante ou récurrente, c’est le fait de
ne pas voir, soit parce qu’il ne fait pas clair, soit parce que
l’on n’a pas une bonne vue. C’est un certain modus vivendi
qu’instinctivement les femmes assument sans que cela
soit le plus souvent justifié. C’est un savoir vivre d’un autre
temps: on « fait la conversation ». Celui qui ne parle pas
se cache, inquiéte, ne se signale pas, quand il n’y a pas de
visibilité. Dis mois comment tu te comportes et je te dirai
d’où tu (pro)viens! En ce sens, hommes et femmes ne
viennent pas, comme dirait John Gray, de la même
« planéte ».(sans référence ici à l’astrologie)
Nous dirons donc que les femmes descendent de l’espéce
humaine qui vivait sans lumière. Nous n’aborderons pas
ici les conditions de la symbiose qui s’est produite et qui
a abouti à ce que les garçons, en régle générale, descendent
d’une autre humanité que les filles. C’est toute la théorie
du genre qui est à repenser et il est notamment intéressant
d’étudier le rapport des enfants à l’obscurité et à la parole.
II Le dimorphisme au prisme de la cyclicité.
L’autre volet de notre dossier concerne la question des
phases que nous avons qualifiées de « vénusienne » et de
‘martienne ».
La phase vénusienne est plus favorable aux activités qui
correspondent aux compétences des femmes et la
phase martienne mettrait plus en valeur les hommes.
Rappelons- en ici les grandes lignes: la phase Vénus
est le début, l’amorce d’un cycle et la phase Mars son
aboutissement, sa finalité. Donc là encore, le dimorphisme est
flagrant.
On trouve là encore un critère d’habitat. Les femmes sont
plus faites pour des espaces restreints et les hommes pour
des espaces plus vastes, ce qui recoupe la question de l’ouie
(sens de proximité et passant par un langage spécifique
propre à un groupe bien défini, notamment dans des
régions de relief difficile où les populations communiquent
peu entre elles) et de la vue (panoramique)
Selon notre théorie cyclique, le temps aurait été ainsi
réparti entre un temps féminin et un temps masculin.
Le temps féminin est symbolisé par le taureau et par les
gémeaux (iconographie d’un couple) , deux « signes »
qui évoquent la fécondité, le couple alors que le temps masculin
l’est par l’archer (scorpion, sagittaire) mais aussi par la mise
à mort du cochon/porc (iconographie automnale qui n’est
pas sans évoquer une scéne de crucifixion). Le symbole
du porc a disparu de la symbolique zodiacale mais on la
retrouve dans le zodiaque chinois (sanglier). Les animaux
domestiques finissent par être abattus à la mauvaise saison.
Ces deux phases sont des occasions de confrontation entre
les deux sexes, les hommes voulant unifier un monde
vénusien très compartimenté et les femmes revendiquant
des relations de proximité, une décentralisation, ce qui tend
à la multiplicité..
Comment, face à un tel ensemble de données croire encore
que l’on puisse nier un tel dimorphisme qui correspond à une
forme de complémentarité instaurée comme il est dit dans le
Livre de La Genése (cf les travaux de Jean Sendy et de
Zachariah Sichtin)?
JHB
28. 06. 14
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