Contre l’enseignement mixte dans les petites classes
Posté par nofim le 25 novembre 2014
Les dangers de la mixité aux débuts de la scolarité. Le Nouvel Emile.
par Jacques - Emile Halbronn
Selon nous, il importe de distinguer très nettement la formation des petits garçons et celle des petites filles, contrairement à la tendance qui semble de nos jours devoir ou vouloir prédominer. il s’agit là d’un enjeu de toute première importance. On assistera notamment sur
le nécessaire apprentissage de la solitude par les enfants de sexe masculin. Cette solitude, nous la concevons avant tout par rapport
aux objets de toutes sortes et non pas tant en ce que l’enfant serait isolé de ses semblables. On sait que nous privilégions pour les
garçons le non apprentissage de la lecture car cela implique le recours à des objetys: stylo, papier, clavier, écran etc. L’enfant mâle
constitue la principale richesse d’un pays et il importe donc de ne pas la gaspiller, la gâcher, la frelater. L’enfant femelle, a contrario, a une valeur bien moindre, et se situe plus dans le quantitatif que dans le qualitatif, ce qui le rend, ipso facto, assez interchangeable, remplaçable par la machine et par des populations étrangères ou à l’étranger.
L’enfant mâle devra donc individuellement et /collectivement apprendre à se débrouiller tout seul, c’est à dire avec ses propres ressources physiques et mentales sans recourit à des « objets » fabriqués. Il communiquera par la parole et retiendra par la mémoire sans chercher aucunement à restituer quoi que ce soit littéralement. L »esprit compte plus ici que la lettre.
Nos lecteurs doîvent être familiers avec la dialectique altérité intérieure/altérité extérieure. Dans un cas, il s’agit d’explorer les ressources propres à l’individu en évitant toute aide d’objets, ce qui est très heureux sur le plan écologique. Précisons cependant que nous évoquons ici le cas d’objets transformés par l’homme plus que d »objets que l’on peut observer sans avoir là les saisir
manuellement. On pense ainsi aux astres dont le mouvement(les luminaires notamment) peut inspirer par exemple une
rythmicité. En ce qui concerne l’alimentation, nous conseillons avant tout la consommation de fruits mûrs car le fruit se suffit
à lui-même, il n’a besoin d’aucun additif pourvu qu’il ne soit ni trop mûr , ni pas assez.
Les petites filles, au contraire, pourront s’initier à la « cuisine », à la préparation de produits exigeant un assaisonnement et qui ne seront
pas nécessairement consommables tels quels, qui auront beson d’une cuisson.
Nous voudrions insister sur les problémes posés par l’acquisition par les petits garçons de valeurs « féminines » et vice versa.. Nous avons récemment eu l’occasion (cf sur notre « chaîne » sur You Tube et sur Google +) de signaler que les femmes avaient eu raison
de revendiquer certaines activités dont les hommes les avaient privées. En tout état de cause, il n’est pas bon d’adopter les valeurs
de l’autre sexe, car c’est là une forme de perversion.
Désormais, les choses sont devenues plus claires. Les femmes ont investi les domaines qui leur convenaient et Marx signalait que
grâce à la machine, les femmes auraient accés au travail, tout en pressentant que cela ferait probléme pour les hommes. (Manifeste)
Les femmes ont vocation à assister les machines et d’ailleurs une femme qui lit à voix haute un texte est parfaitement dans son rôle.
Il revient donc aux hommes d’investir les territoires qui leur sont impartis et qui exigent un progrès non pas technique mais
« bio-technique », par une meilleur exploitation de leurs facultés « innées ». Ce domaine « masculin » permet à l’ Humanité de progresser,
d’innover, dans la verticalité alors que les femme se situent surtout dans l’horizontalité, dans la diffusion, à la duplication, à la reproduction à grande échelle, ce qui implique que celles-ci travaillent en groupe, collectivement, dans un certain bruit qui
est susceptible de détranger les hommes dans la mesure où leur intériorité ne passe pas par la parole mais par la « pensée » (cogito,
transmission de pensée)
Autrement dit, ceux qui parlent de mixité ne savent pas de quoi ils parlent et d’ailleurs eux-mêmes dans la vie courante seraient les
premiers à déconseiller certains mélanges sur le plan alimentaire. On est donc là avec la thèse de la mixité en plein fantasme. Ce sont des apprentis sorciers qui entendent expérimenter en aveugles. Or, il ne s’agit pas de faire n’importe quoi, n’importe comment!
Ce n’est que parce que d’aucuns ont une vision excessivement abstraite de la réalité humaine qu’ils se permettent de prôner une
mixité sauvage. Ils pourront répliquer, certes, que l’on verra bien! Mais le probléme, c’est que l’éducation – comme ils le reconnsaissent eux memes les premiers- est capable de modeler et de remodeler, avec l’idée de façonner ainsi une sorte d’androgyne. Et c’est bien
justement là le problème, c’est que les méfaits de telles méthodes ne se feront sentir qu’au bout d’un certain temps et après il sera trop
tard! Certes, l’Humanité continue, en dépit de toutes sortes d’idéologies pernicieuses, à maintenir une certaine tonicité intellectuelle et
les sociétés continuent à oeuvrer comme elles l’ont toujours fait mais jusqu’à quand?
JHB
25 11 14
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