Le rapport planéte/étoile et Lune/Saturne

Posté par nofim le 20 février 2015

La combinatoire planéte/étoiles et la matrice soli-lunaire.

par  Jacques  Halbronn

 

Le XXIe siècle verra-t-il la reconnaissance d’une cyclicité liée à certains signaux célestes bien déterminés? Il n’est pas question

ici d’une quelconque  reconnaissance du thème astromantique sauf dans le cadre de la parapsychologie mais bien de la valeur

d’un certain outil qui peut servir à apporter une lumière sur le cours et le déroulement des choses. C’est plus le fonctionnement des

sociétés qui nous semble concerner l’astrologie de demain  que celui des individus dans leur spécificité propre.

Il ne s’agit pas davantage de chercher à baliser nos activités, jour par jour, semaine par semaine, mois par mois mais sur une base plus large car si l’on se sert des planétes lentes, comme Saturne, ce n »est pas pour pratiquer une astrologie à la petite semaine, mais bien

pour dépasser le cadre annuel. En effet,  le fer de lance de l’astrologie ce sont les deux planétes les plus lentes connues de l’Antiquité à

savoir Jupiter et Saturne. En revanche, la combinatoire de ces deux planétes nous semble être une fausse bonne idée qui inspira les

travaux d’un Albumasar (ou Aboumashar) au Xe siècle de notre ère car pour nous il faut respecter un paralléle entre les 7 jours

de la semaine, découpés par la Lune et les 7 années liées au cycle de Saturne, divisé en 4 par les étoiles fixes royales.

Le rapport planéte-étoile est le seul à permettre un cycle de 7 ans et seul Saturne s’y préte, du moins au sein du Septénaire.

Nous sommes en faveur d’une astrologie minimale et d’un maniement hyper-simple, à la portée de tous. En effet, la régle consiste à partir

d’une date donnée d’ajouter ou de soustraire un multiple de 7, par le seul calcul mental, donc sans l’aide des éphémérides. Si tel type

d’événement a eu lieu en telle année,  un événement du même type aura lieu sept ans plus tard ou aura eu lieu sept ans plus tôt. et entre ces deux dates, distantes de 7 ans, on peut raisonnablement penser qu’au mi-point, à mi-chemin,  on trouvera un événement inverse des deux autres. C’est un peu schématique mais c’est bien l’idée générale.

Il arrivera que l’on ne sache pas immédiatement de quoi il  pourrait bien s’agir mais en creusant un peu plus, on a toutes les chances

de trouver une corrélation viable. C’est l’anamnèse.

Si nous proposons une pratique aussi sîmple, c’est pour éviter  l’image d’une humanité fonctionnant comme une montre d’horloger et dont il  faudrait scruter les progressions jour après jour. L’astrologie doit pouvoir s’accomoder d’une certaine approximation et rien n’est plus

grotesque en ce sens que la « synastrie » qui compare deux thèmes, degré par degré comme si nous étions des machines.  Nous

préconisons une astrologie à visage humain.

N’écoutons plus ces astrologues « scientistes » qui  tentent de nous persuader que toutes les planétes du systéme solaire, y compris celles

découvertes récemment, feraient sens pour l’astrologie. En fait,  l’astrolpgie pour exister n’a besoin que d »une seule et unique

planéte, ce qui ne signifie nullement que l’on ignore l’existence d’autres planétes mais que le choix des sociétés anciennes s’est porté sur tel astre et non point sur tel autre.

Même ceux qui ont des doutes quant au modéle « saturnien » que nous proposons, devront tôt ou tard admettre que l’on ne saurait faire

l’économie des étoiles fixes seules garantes de la numérologie astrologique et notamment du 7 lunaro-saturnien.

Cette analogie  un jour pour un an, on la retrouve avec le

Caréme – que l’on célébre en ce moment : on lit sur

Internet  :

« Le carême : 40 jours pour recevoir en partage la vie du Christ

40 jours, comme les 40 semaines que passe le petit d’homme « dans le ventre de sa mère avant de venir au jour ou les 40 ans passés au désert par le peuple d’Israël avant d’entrer dans la Terre Promise ou encore les 40 jours de jeûne de Jésus avant de « sortir » pour annoncer le Royaume de Dieu. »

Si l’on se référe au

judaïsme, il faut savoir que le Dieu d’Israël n’est pas unique mais qu’il est le seul, ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Il est le seul

qui ait été choisi, retenu mais il n’est point pour autant le seul dieu existant pas plus qu’Israël n’est le seul peuple existant mais il

est le seul qui ait été « élu » et ce parmi tant d’autres. Il est

le seul qui compte vraiment.

Ce qui fait probléme, c’est que ce Dieu d’Israël n’est pas nommé de façon claire.

On ne saurait donc se contenter de le qualifier de « dieu » puisqu’il n’est pas le seul dieu pas plus qu’Israel ne saurait être seulement appelé

peuple sans autre précision. D’aucuns ont proposé d »appeler ce dieu  « Yahvé » ou « Jéhovah » (cf le tétragramme) tout comme le 7e jour est appelé « Shabbat » en tant que jour choisi parmi tous les autres.

 

 

 

 

 

 

JHB

22 02 15

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