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jacques Halbronn Astrologie mondiale . Crise des empires. Tout va de 15 ans en 15 ans : 1944-1960-1975-1989-2003

Posté par nofim le 30 septembre 2021

Jacques Halbronn  Astrologie mondiale . Crise des empires. Tout va de 15 ans en 15 ans : 1944-1960-1975-1989-2003

En 1975, nous avions donné une  communication  a congrès d’Ebertin, à  Aalen (Allemagne) sur Saturne et le Colonialisme . Plus de 40 ans après, ces deux  paramétres, Saturne et le Colonialisme  nous apparaissent comme la seule véritable clef de l’Astrologie Mondiale.  Mais un autre paramétre doit être mise en avant, à savoir le cycle de 15 ans  car c’est selon nus l’unité  astrologique de mesure. Toute tentative d’utiliser une durée plus longue est vouée à l’échec. Toute tentative ne présentant pas une dure récurrente est également à rejeter On pense évidemment au cycle Saturne Neptune de 36 ans ou à l’indice cyclique qui n’a de cyclique que le nom car il n’offre aucune récurrence numérique digne de ce nom.

Dans le présent  article, il est clair que le notion de Guerre Mondiale ressort complétement relativisée car  notre série 1944-1960-1975-1989  montre bien que 1944  n’est qu’un épisode comme un autre, et ne saurait justifier  de  configurations particulières.

Pour route personne  un tant soit peu au courant de l’Histoire contemporaine, ce quatuor de dates, de 15 ans en 15 ans,  correspond  à un processus de  retrait pour l’envahisseur.

1944   sonne la fin de la présence allemande en France, à la  suite du Débarquement « allié » et tout ce qui suivra jusqu’à la division de l’Allemagne en 1949.

1960  sonne la fin de la présence française en Algérie mais aussi la fin de l’Afrique Occidentale Française..(AOF) Mais cela correspond aussi à la construction du Mur de Berlin contre l’influence occidentale.

1975  sonne la fin  de la présence américaine au Viet Nam mais aussi le retrait en cette même année des Israéliens de la péninsule du Sinaï.

1989  sonne la fin de l’emprise russe en Europe Orientale mais aussi la dislocation en 1991  de l’URSS.

Bien  évidemment,  à cette série  « solsticiale »  fait pendant une série « équinoxiale » en sens inverse avec un processus d’occupation, de conquéte,. On pense à l’occupation de la Cisjordanie jordanienne lors de la Guerre des Six Jours   On pense à la Guerre d’Algérie qui témoignait d’un refus de la France de se retirer.

La phase solsticiale liée au passage de Saturne en cancer en 2003 correspond à la crise entre la France et les USA au sujet de l’intervention prévue en Irak. Ce sera notamment marqué par le discours du ministre des Affaires Etrangères Dominique de Villepin qui contraindra les USA à s’engager sans l’aval du Conseil de Sécurité de l’ONU, craignant le véto de la France et d’autres membres.

Actuellement le retrait  des Américains d’Afghanistan- en phase  solsticiale,  correspond à une nouvelle phase solsticiale, qui fait pendant, toutes proportions gardes avec leur retrait du Viet Nam en 1975.

Selon nous, le modéle que nous proposons  est dans la ligne, par sa simplicité de celui d’un Albumasar avec son cycle Jupiter-Saturne de 20 ans, articulé  sur les triplicités  alors que le notre l’est sur les quadruplicités. Sa théorie des Grandes Conjonctions aura donné une image favorable de l’astrologie des siècles durant  si bien que l’on peut raisonnablement penser que c’est la découverte d’Uranus en 1781 qui aura été le coup de grâce pour l’astrologie.

Comment se fait-il alors que les astrologues français d’aujourd’hui ne saluent nos travaux comme il convient? Cela tient au fait qu’ils ont encore  du mal à reconnaitre, à admettre qu’André Barbault  a fait fausse route. Les astrologues ont toujours préféré les attaques aux réformes.

 

 

 JHB

30 09 21

 

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jacques Halbronn Son premier texte publié : Les hommes et les institutions en face de la guerre du Viet Nam (1966)

Posté par nofim le 30 septembre 2021

jacques  Halbronn  Son premier texte publié: «   Les hommes et les institutions en face de la guerre du Viet Nam   Où  se trouve la  véritable  force ? » (octobre  1966) paru dans le bulletin de Philippe Lévy (Association des jeunes pour la connaissance de l’Etat AJCE) 

 

La supériorité militaire des Etats Unis au Viet Nam étant  incontestable, il semble à première vue que leur victoire soit assurée, incontestable.; comment se pourrait-il, en effet, qu’une puissance  incapable de gagner la guerre malgré un tel avantage matériel accepte une défaite?

Telle serait l’évidence si le Président des Etats Unis  n’était pas une « machine politique » mais il a été élu  par les Améticains pour les dirigér, non pour incarner les Etats Unis, non pour prendre en mains leur destin. Voilà pourquoi on n’est pas en droit de parler des Etats Unis mais il faut dire le Président des Etats Unis.

Ce  dernier  ne peut agir  exactement comme il le désire. Le Président Johnson le sait bien, et il s’en félicité. Il est un instrument, un nom sur l’échelle d’une institution l’Etat d’où il puisse son pouvoir et dont le soutien lui est indispensable, mais qui est aussi une chaîne/ Cependant, il n’est pas de ceux qui sentent ce poids qui les empêche d’agir à leur guise. Par là le Président Johnon ne se sent responsable que de manière limitée. Il en est ainsi dans presque toutes les démocratie et les monarchies où sont élus ou  acceptés des hommes revêtus d’une légitimité sans laquelle ils ne seraient pas en mesure de  gouverner; mais à partir de ce moment là, ces hommes deviennent des « machines politiques » indignee de gouverner.

Acceptés librement par ceux à qui ils doivent commander, ils sont dans l’Etat, alors que ceux qui se fonr respecter par leur seule valeur sont d’une autre nature. Ces derniers recherchent la liberté de la puissance solitaire, au lieu de tenter de limiter leur pouvoir dans le cadre d’institutions rassurantes. On reproche souvent la liberté prise par ceux qui veulent agir au-dessus des lois, qui veulent incarner l’Etat, on oublie que ceux-ci ne sont pas du tout que de la même espèce que ceux là et que la liberté des premiers est beaucoup plus dangereuse que celle des seconds.

Il peut arriver  qu’un « sytéme »  obtienne d’excellents résultats, les meilleurs jamais. Il n’est pas  concevable qu’un roi soit apte à gouverner un pays; ce serait une coincidence inouie. Il n’est pas non plus concevable  que ce soit par les votes de tout un peuple que le plus apte à gouverner soit  désigné. Un homme de « tallle étatique » n’est pas choisi, il s’impose et démontre ainsi qu’il est capable de prendre des décisions de gouvernement.

Si la Guerre du Viet Nam était une lutte entre deux hommes de « taille étatique » comme Mao Tsé Toung et le Général De Gaulle, elle serait sans issue car aucun ne céderait dans l’hypothèse où un conflit de deux personnages de cette envergure  peut éclater. Mais cette guerre est une guerre de faiblesse., elle représente un aveu d’incapacité en face du communisme et de ce qu’il apporte  aux pays « en voie de développement ». Pour éviter d’autres guerres du Viet- Nam en Asie, en Amérique, en Afrique, il faudrait un président de « taille étatique ». Sans un président fort, la guerre sera toujours imminente, inévitable.. Il y a des guerres de faibles, de résistance, des guerres réactionnaires et des guerres de forts, de conquéte, d’espoir.

Lorsque l’ambassadeur des Etats Unis à l’ONU, M. Goldberg annonce fièrement que son pays ne méne pas une guerre idéologique, il ne nous apprend rien mais aucune déclaration ne saurait nous inquiéter davantage. Qu’est ce qu’une guerre qui n’a pas pour fin une conquéte, dont ceux qui la ménent ne cherchent pas à imposer leur loi? C’est une guerre absurde, interininable, une fausse guerre,sans paix possible, une guerre qui ne peut se terminer que par la guérison de l’agresseur,. Or, il aggrave sa maladie.

Si Ho Chi Minh était un homme aux capacités limitées, faible, il y aurait longtemps que la guerre serait terminée au Viet Nam puisque seule la puissance militaire et économique départagerait les opposants.Mais il ne faut pas croire qu’Ho Chi Minh résiste parce qu’il a des pouvoirs très étendus mais plutot parce qu’il est capable d’avoir des pouvoirs très étendus. Lyndon Johnson-sinon les Etats Unis, s’inclinera  devant Ho Chi Minh et Mao Tsé Toung ».

 

 

Commentaire: en 1975,  fin de la Guerre du Viet Nam. Une prévision  réussie.

 

« Le conflit étant dans l’impasse et de plus en plus impopulaire dans l’opinion publique américaine, les accords de paix de Paris décident en 1973 du retrait militaire américain. En 1975, le Nord Viêt Nam réalise une offensive contre le Sud Viêt Nam et remporte la victoire (chute de Saïgon). Le pays, officiellement réunifié l’année suivante, devient la république socialiste du Viêt Nam. En même temps que le Viêt Nam, le Cambodge et le Laos deviennent, eux aussi, des pays communistes. » (Article Wikipedia)

 

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Jacques Halbronn Les années 1973-1983 au prisme des archives de la BURA (Bibliothèque Universitaire de Recherche Astrologique.)

Posté par nofim le 29 septembre 2021

Jacques  Halbronn   Les années 1973-1983  au prisme des archives de la BURA (Bibliothèque Universitaire de Recherche Astrologique.

 

 

Etat provisoire

 

 

 

 

 

 

 

Ecole Supérieure d’Astrologie de Paris   Jacques Berthon à JHB  17 septembre 1973

Mon cher Vice Présiden  Vous trouverez sous ce pli un document à verser à  votre bibliothèque.

 

 

 

  Nice, le 30 janvier  1974

Volguine à  JHB Entête des Cahiers Astrologiques

Cher Monsieur

J’ai bien reçu votre aimable lettre du 20 janvier dont  je vous remercie. L’ouvrage de Morin de Villefranche dont vous  me communiquez quelques pages est en effet inconnu probablement de la quasi totalité des astrologues français contemporains. J’adhère  très volontiers  à votre idée d’en publier  quelques pages dans les Cahiers dès la fin de l’enquéte sur Pluton

 Il serait très pittoresque de passer une photocopie de ces pages

PS (…) Pour  votre thèse, il faut piocher  dans le Talmud babylonien  que je n’ai fait que feuilleter dans ma jeunesse sans prendre des notes- ce que je regrette et interpréter certaines page comme je l’ai fait dans le numéro 30 des C. A. d’un passage de la Bible.  Très amicalement.

JHB

 

2.02.74 ISAR  President’s  Report

 (Julienne Sturm)

I visited Paris in October 1973 to organize the symposium (..)

Arrangements were made with Jacques Halbronn  Vice President of the CIA. to send articles by French astrologers. 

 

25 avril  1974

Cher Monsieur

J’ai bien reçu votre lettre du 9 avril. En ce qui concerne les Journées Internationales que vous organisez vers le 10 septembre salle Adyar, J »accepte volontiers que les Cahiers Astrologiques  y figurent parmi les organisation de soutien.. Par contre, mon état de santé ne me permet absolument pas d’envisager un tel déplacement  et je ne vois pour l’ moment personne qui puisse , au nom des Cahiers, et en mon lieu et place participer à votre intéressante table ronde mais j’y penserai.

Il me faudrait pour le 12 juin au plus à   la suite des remarques  astrologiques de Morin car l’imprimerie sera  fermée  pour sa fermeture annuelle  (…)

PS Merci d’avance pour Trigone 

 

1974 Patrice Louaisel à JHB

Pour le Congrès de l’ISAR je vous  demanderai 1/4 d’heure pour le GERAS

 

 

Al Morrison   CAO Times  25 October 1975

Dear Colleague.  

Thank you for your letter  of 12 October. Congratulations on becoming editor of Les Cahiers Astrologiques

 

CEBESIA  Brahy à JHB

8  novembre 1975 C’est très aimable de votre part de m’inviter à votre Congrès de décembre: j’accepte volontiers

 

 

 

 

21 06 76

JHB à Volguine:

Cher monsieur.

Je rentre d’Israel et vous remercie d’avoir inclus deux articles de ma plume dans les deux derniers numéris (de CA) Je transmettrai dans les jours qui suivent à Paul Rogel  trois articles en sus de ma traduction du Liber Rationim d’Ibn Ezra.

 

 

27. Internationale Arbeitstagung für kosmobiogische Forschunf   AAlen   6-10 August 1975 

Jacques Halbronn  Astrologie une Kolonialismus.  Der Saturnzyklus von 1937- 1975

 

Club des AMis  de l’Astrologie rationnllle et des sciences humaines

Didier Racaud. à JHB  20 12 1975

Char mai

Oui, ce Congrès m’a plu et fait la connaissance d’amis de Dom Neroman

 

 

30 janvier 76  Grand  Bornant   Claire Santagostini

 

Cher ami/. Je  vous remercie de votre lettre. Je suis très contente  de voir que cette année les cours auront lieu au FIAP, cela arrange tout. Je vous remercie vivement de votre offre de faire partie du Conseil d’Administration du MAU.

 

Lettre de Robert Changeux:

Ma rencontre avec Jean Carteret se fit au Congrès de décembre 1975. 

 

 24 thermidor  1976  L/ J.   Pernot

Il m’a été permis  d’en juger récemment en vous écoutant  sur l’antene dans l’excellente émission de Lucien Barnier « Les histoires extraordinaires »"

 

6. 7. 76   Centre Belge pour l’Etude Scienttifique des Influences astrales

Jacques  de Lescaut ????

 

21 juillet 76  Georges Dupeyron

Cher ami  En ce qui concerne le Congrès de Bordeaux, je préférerai qu’il se fasse en mai 1977 plutôt qu’en juin

Note: Ce congrès n’aura pas eu  lieu.

 

 

 

24 juillet 76 Dominique Devie (Reims)

 

J’ai oublié le principal hier du moins c’est important. La date du Congrès de Reims. Je propose les 27 et 28 novembre (..) Nous avons donc Michaud, Santagostini, Dupeyron, Heckel, »

 

 

Commentaire de Geoffry Cornelius (Astrological  Lodge,  Londres) 10. 12. 78  Statement with regard to the Four Propositions concerning the création of a European Federation of Astrology  proposed by J. Halbronn  10th december 1978 (Lille)    Le Congrès de Lille décembre 78  fut l’occasion du lancement d’une  fédération , la motion fut signée par Blanca Hernandez (Espagne), Edith Wangemann (allemagne), Jean Hoyoux ( Belgique) Jacques Halbronn (France) . Elle fut préparée avec l’aide de Denis Labouré.

 

 

 

CEBESIA Brahy  (début 78)

Mon cher Halbronn

J’ai bien reçu  en son temps le programme de votre Congrès des 25-26 février prochains .  Il semble que vous ayiez réunis  une pléiade d’ interventions des plus intéressantes. Si tout cela se confirme, on n’aura qu’à vous féliciter pour votre dynamisme 

 

6 mars 1978 Accord   passé entre le Mouvement Astrologique Universitair et l’Institut d’astrologie traditionnelle   Denis Labouré, Jacques Halbronn

L’IAT recommandera l’emploi  de l’ouvrage  « Traité de l’heure dans le monde » de Gabrie comme instrument de travail pour ses cours

 

 

 

17 aout  78  Dane Rudhyar  à JHB

Cher Monsieur

Merci pour votre cordiale lettre. Je crains malheureusement qu’il me sera impossible de venir en Frace et de participer à vos activités malgré mon grand désir de le faire 

 

 

 

Cosmoplan   Guy Le Clerq  à  JHB  28 avril 1978

Cher Jacques 

Quelques remarques à propos des Journées de Paris 

10 Décembre 78 Geoffrey Cornelius   Statement with regard to the Four Propositions concerning the création of a Européan Federation of Astrology proposed by J. Halbronn

 

Déclaration  du 11 décembre 78  Lille  Edith Wangemann, (RFA)  Jean Hoyoux (Belgique), Blanca Hernandez, (Espagne) Jacques Halbronn  envisagent le projet de la Confédération Européenne d’Astrologie  avec faveur et les soulettront dans les meilleures conditions à leurs conseils respectifs »

 

 

Vlaams Astrologische Ge…schap  à JHB  26 Septembre  1981

Cher Monsieur  Je viens de recevoir le « Bottin Astrologique » qui me fait grand plaisir. Je t’en remercie et je te félicite pour cette heureuse initiative.

 

Guy de Penguern  25 09 81  Je viens de recevoir votre « Bottin Astrologique » et vous en remercie vivement;

 

5. 11. 81 Serge Pastor Heureux d’apprendre l’existence du Bottin Astrologique. Merveilleuse initiative

 

 

 

 

 

 

CEBESIA  Brahy à JHB  30 juin 1982

 

Question Fédération, l’expérience m’a rendu sceptique 

 

15 juillet  1982

Convention entre René Zuili  représentant la Société Astro Gramme et Jacques Halbronn (MAU Centre  Providence)  M Zuili sera le secrétaire général d’une nouvelle association intitulée Mouvement Astrologique de France (présidée par Catherine Aubier)   Il se mettra  en rapport  avec le Mouvement Astrologique de Suisse Romande, de Francine Mercier,  et le Mouvement Astrologique de Belgique en vue d ‘une fédération francophone qui  comprendra  également l’Institut d’Astrophysique du Québec

 

 

Centre d’astrologie et de parapsychologie; 

Georges Schepers

 

7  mars 1983  Voici la liste qu’on peut considérer comme définitive des participants au Congrès(de Tournai) 

 

Jean Cuypers  21 septembre 1982

 

Il ne devrait pas être impossible en effet que je me rende au congrès d’Athènel

Il

 

 

 

29 09 21

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Il y a racisme quand on ne recrute et ne fréquente qu’un certain type de personne par Jacques Halbronn

Posté par nofim le 27 septembre 2021

 Il  y a racisme quand on ne recrute et ne fréquente qu’un certain type de personne 

par  Jacques Halbronn

 

De nos jours,  il y a un certaine hypocrisie autour de la notion de racisme. Nous en donnerons deux illustrations

 

 

I  Les fréquentations

Que dire des personnes  qui ne fréquentent que des gens qui leur ressemblent, comme par hasard. Qui se ressemble s’assemble, dit l’adage.

Un groupe hyper homoégne dans sa composition ne pourrait il être taxe de « racisme » et la famille est l’exemple même,de facto, d’une forme d’exclusion de fait de ceux qui n’ont pas le même « type ».

Il serait donc intéressant – par le biais de l’image, de montrer à quel point un certain grégarisme physique est la régle.

 

 

 

II Le recrutement

 

Que dire des sociétés qui n’emploient à certains postes qu’un seul et même type de personne? Par exemple, à la Bibliothèque Nationale, l’on ne peut qu’observer  un recrutement très spécifique. N’est ce pas là une forme de racisme de par une telle « préférence ethnique?

Le probléme, c’est que ce type de « politique » genére à son tour du racisme et l’on sait que les Juifs , par exemple, auront eu à subir les conséquences de leur spécialisation imposée comme préteurs à gage. On est dans un cercle vicieux.

Certes, l’on peut comprendre que les gens aiment se retrouver « entre eux »  mais cela ne constitue t-il pas un apartheid de facto, de leur fait même si l’on est dans le déni?

 

 

 

 

JHB

27 09 21

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Les piéges de la recherche astrologique. Coincidences et anachronismes

Posté par nofim le 27 septembre 2021

Les piéges de la recherche astrologique. Coincidences  et anachronismes par Jacques Halbronn

 

 

L’astrologie est assurément un terrain miné où l’on aura vite fait de prendre des vessies pour des lanternes.

I  Les coincidences

Quand un événement a lieu, plusieurs facteurs cosmiques ou non peuvent entrer en jeu et on fera bien d’envisager toutes les hypothèses, de procéder à tous les recoupements  avant de crier victoire.

André Barbault aura été victime et à sa suite tant d’autres d’une sacrée coincidence avec le cycle Saturne Neptune. Prenons simplement 1989. Est-ce que la seule façon de rendre compte astronomiquement des événements  passait par le dit cycle? Evidemment, si l’on élimine d’entrée de jeu certaines possibilités, et que l’on décide de s’en tenir aux conjonctions entre deux planétes,  l’on se déleste des alternatives comme l’entrée de Saturne sur l’un des deux grands axes saisonniers, qui est le b-a ba de l’astrologie antique. à savoir  Bélier-Balance et Cancer Capricorne, une constante que les astrologues auront eu tout loisir d’observer des millénaires durant, ce qui n’est évidemment pas le cas du cycle Saturne Neptune, vu que Neptune n’a été repéré que depuis 1846.   Quels auront été les recoupements de Barbault: 1917, 1953. C’est bien peu mais cela tient à la durée d’un tel cycle à savoir 36 ans alors que le passage de Saturne sur les axes saisonniers  a lieu tous les 7 ans, ce qui permet  un nombre bien plus elevé de recoupements. Or, aussi bien en 1953 qu’en 1989 Saturne passait bel et bien sur les dits axes, l’axe équinoxial  dans un cas, l’axe solsticial dans l’autre.  Mais  encore  aurait -il  fallu vérifier si à chaque passage de Saturne sur les dits axes , des changements importants se produisaient. Or,  Barbault avait jeté le bébé avec l’eau du bain: on peut certes se délester des 12 signes du Zodiaque mais certainement pas des deux  grands axes saisonniers! Bien pis, Barbault avait  renoncé à introduire une quelconque dualité, binarité dans son systéme,- à la suite de sa déconfiture  prévsionnelle lors de l »opposition  de Saturne à Neptune (1971) se rendant incapable de distinguer une conjonction Saturne-Neptune d’une autre à moins de recourir aux aspects d’autres planétes, ce qui n’aurait pu que  tout embrouiller car c’est (clair comme) la bouteille à l’encre.. L’absence de binarité  est la fin de toute prévision astrologique car l’on peut annoncer tout et son contraire,  le chaud comme le froid.

 

II Les anachronismes

Peut-on se servir d’une planéte comme Neptune en astrologie mondiale (ou non)?  D’aucuns diront que Neptune a toujours exisé même si on ne l’avait pas repérée de la même façon que le bacille  de Koch a du sévir  bien avant qu’on ne le découvre. Mais comparaison n’est pas raison. L’astrologie est liée à l’art de  gouverner et elle fixe des lois qui sont censées être  à la portée de tous les citoyens. Il faut avoir l’esprit drolement tordu pour croire en une astrologie dont le processus céleste serait resté si longtemps hors de notre portée. C’est là une vision  fort peu démocratique et républicaine (la chose publique (res publica), commune). On voit donc que la démarche de Barbalt ne brillait certainement pas par un souci de transparence et de clarté.   Laisser entendre que les astrologues n’eurent pas à leur disposition, des millénaires durant, toutes les données nécessaires nous semble bien douteux

L’astrologie est assimilable à une Loi donnée à une Société. On pense à la Révélation de la loi sur le Mont Sinai (Livre de l’Exode) C’est une loi qui est explicite, qui implique le recours  à des signes visibles à l’oeil nu et non dans l’attente de quelque forme de transhumanisme technologique. Croit-on ainsi valider l’émergence d’une ‘astrologie moderne » en mettant en avant les nouvelles planétes, comme l’a cru un Jean-Pierre Nicola avec son systéme RET (englobant Uranus, Neptune et Pluton) en laissant de surcroit les astronomes  baptiser à leur guise les nouveaux venus? C’est bien plutôt vers plus d’anthropologie que vers plus de cosmologie qu’il convient d’aller.

 

 

 

 

 

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Sur la judéité de Jésus objective par Jacques Halbronn

Posté par nofim le 26 septembre 2021

Sur la judéité objective  de Jésus  par Jacques Halbronn

 

 

Nous dirons que Jésus personnifie le Juif  non point par ses idées mais par ses  actes.  Son aptitude à faire bouger les lignes est édifiante et tout juif  en pleine possession de ses moyens se reconnaitra en lui. Nous avons en effet appris,  notamment depuis le X VIIe siècle, qu’être Juif ne saurait se réduire à l’adoption d’une certaine doxa, d’un « judaisme. C’est pourquoi l’on préférera le terme de judéié  cf Nathalie SABA, Les paradoxes de la judéité dans l’œuvre romanesque d’Albert Memmi, éd. Edilivre APARIS, Paris, 2008.)

En aucun cas, Jésus ne nous apparait comme  unique en son genre. Nous le voyons comme un « Juste », un Tsadiq, au sens qui réssort dans l’épisode de Sodome qand « Dieu » demande combien de Justes on peut compter dans cette ville. Il suffirait d’une infirme proportion mais encore  faut-il que le compte y soit. Ce qui ne sera pas le cas.

Cela signifie qu’il s’agit d’une ville qui ne »cultive » pas ses Justes, qui ne leur permet pas de remplir leur rôle de purification tout comme l’on  parlera d’une insuffisance de certains éléments dans le sang d’une personne. La carence en  globules rouges conduit à l’anémie.

Jéssus ne serait donc pas Juif parce qu’éléve dans le judaisme mais de par sa mentalité  révolutionnaire.

On doit distinguer en ce  sens  antijudaisme et antisémitisme. L’un concerne une certaine historicité, l’autre une certaine supériorité pouvant se manifester dans les domaines les plus divers et ce sans rapport avec le judaisme. Un Juif peut tout à fait  s’oppose  à une certaine orthopraxie ou à une certaine forme de sionisme.

Ainsi, selon nous, il n’est nullement évident que les Juifs doivent vivre ensemble et l’on sait le caractère sinistre du terme « concentration » au XXe siècle. Il semble que l’on ait fait la preuve que  le rassemblement des Juifs ne soit pas la bonne  « solution ». D’ailleurs, Herzl, dans sn Etat Juif,  limitait la portée d’un tel regroupement (cf notre ouvrage Le sionisme et ses avatars E Ramkat, 2002)

Il importe que le XXIe siècle reconnaisse l’existence nécessaire  d’une minorité au sein de toute société/ La crise sanitaire a malheureusement montré- de façon assez malsaine   que l’on tendait  à vouloir  imposer un seul et même statut pour tous au lieu de  traiter une certaine élite selon d’autres critères. On entend des consignes selon lesquelles,  il est question des « autres », ce qui en français ne signifie nullement différence mais similitude, assimilation à une seule et même et  unique  catégorie/.

Comme le note Alain Minc dans son dernier livre,  les Juifs qui ont le plus d’impact se sont démarqués des pratiques et des croyances en vigueur de leur temps.  Mais, il arrive toujours un moment où certaines appartenances se font plus manifestes à la fois chez les Juifs et chez les non Juifs. Ce qu’on appelle dans notre anthropocosmologie  la période solsticiale de Saturne.

JHB

25 09 21

 

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Jacques Halbronn Linguistique comparée. La question du bi-consonantisme

Posté par nofim le 26 septembre 2021

Jacques  Halbronn   Linguistique comparée.  La question du bi-consonantisme

 

Certaines langues ont fait preuve d’un certain rejet du biconsonantisme et veulent absolument une séparation des consonnes au moyen de « voyelles ».: place (fr)  et piazza, en italien  plein  et lleno (fr) en espagnol    Avec  l’anglais,  lors  de ses emprunts au français;  centre  devient center , septembre devient september, pauvreté devient poverty  et tout à l’avenant. Mais l’on retrouve  à l’identique  question (cf  Hamlet  de Shakespeare)/ L’anglais pratique  aussi le bicononantisme avec les mots  word et world;

Abordons à présent le cas  de l’hébreu. On observera que le biconsonnantisme dans cette langue a  valeur morphologique  plus encore que lexicale. Ani Hoshev (présent)  Ani Hashavti (prétérit) L’adjonction d’un suffixe ou d’un préfixe, selon que l’on veut marquer le passé ou le futur exploitera le biconsonnantisme. Tout se passe comme si un ajout provoquait en contre partie une  contraction si l’on admet que le biconsonnantisme constitue une contraction. Mais en français aussi dans le cas de la formation du futur, on aboutit mai seulement à l’oral à du biconsonnantisme. Je mange,   je mangerai qui fait apparaitre le duo « mang’rai ». Le  biconsonnantisme du français ne  se manifeste pas  nécessairement à l’écrit si ce n’est que dans certains cas l’écrit a pu s’ajuster sur l’oral de façon à éviter une certaine distorsion entre ces deux plans, d’où l’usage des apostrophes et  des accents.  Des  prénoms comme Charles ou Georges ont un facteur consonnantique.

On retrouve  justement  un forte dose de biconsonnantisme  au  niveau des prénoms  hébraico -bibliques : Rivka (pour Rébecca),  Shlomo (pour Salomon), Shmouel (Samuel),  Israël,  Esther, Avraham , Yitshaq (Isaa, Yehezkiel (Ezéchiel) etc Mais comme on l’a dit,  telle forme d’un mot usera du biconsonnantisme mais pas telle autre/ Ani Zokher (je me souviens) alors que l’on dira « lizkor » à l’iinfinitif.. D’où l’impact de la préfixation  et  de la suffixation quant  à la  contraction  liée au biconsonnantisme;

On aura  donc noté certaines affinités entre le français et l’ hébreu sous l’angle du consonnantisme.

Il ne faut pas confondre les lettres comportant deux consonnes  comme le tsadé, (en hébreu),  le « x » (français  Exercice), le « z » (allemand  Zeit)  ou le  « j » (Anglais John) et le phénoméne que nous venons de décrire qui consiste à joindre deux lettres au sein d’un mot ou d’une phrase.

 

 

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Jacques Halbronn Son parcours universitaire de 40 ans, de 1974 à 2014

Posté par nofim le 25 septembre 2021

Jacques Halbronn Son parcours universitaire de 40 ans, de 1974 à 2014

 

Nos relations avec nos directeurs de thèse successifs n’ont pas été simples et probablement les « torts » sont « partagés ». En fait, nous avons le plus souvent préparé plusieurs thèses en paralléle ou en alternance sans parler des diverses publications qui auront accompagné une période de plus de trente ans. Les thèmes principaux auront été la linguistique, l’astrologie, le prophétisme.

En 1973, Georges Vajda accepte de diriger une thèse de troiséme cycle (INALCO EPHE VE section Paris III) qui aura pour titre La problématique astrologique chez les principaux penseurs juifs du Moyen Age Espagnol. Ce n’est qu’en 1979 que nous serons invité à soutenir/ Entre temps, Vajda en 1977 nous avait accordé une préface pour notre édition de traités astrologiques d’Abraham Ibn Ezra.(Ed Retz) qui avait été précédée dans la même collection dirigée par René Alleau, de notre édtiion des Remarques Astrologiques de Jean Baptiste Morin, astrologue du XVIIe siècle. Mais il y avait eu aussi en 1976 la parution de nos Clefs pour l’Astrologie, chez Seghers dans la collection dirigée par Luc Decaunes. En 1976-1977, nous avions fait des séjours d’étude en Israël. Mais par ailleurs, depuis 1976, sous la direction de Jacques Merleau Ponty, nous préparions une thèse d’Etat en épistémologie à Paris X Nanterre. Notre soutenance avec Vajda fut suivie d’un contrat d’un au CNRS mais Vajda allait décédé peu après.

En 1980, nous nous inscrivimes à l’Université Lille III (Villeneuve d’Ascq) en Etudes anglophones avec André Joly et décrochions l’année suivante un DEA à propos de la traduction anglaise d’un traité astrologique du milieu du XVIe siècle d’Auger Ferrier. Nous primes ensuite comme directeur de thèse, à Paris V Louis Jean Calvet auquel nous présentames en 1987 un mémoire qui fut contesté par l’un des rapporteurs, ce qui nous conduisit à en présenter un nouveau en 1989 qui allait subir le même sort. C’est alors que nous allions nous inscrire à Paris VII avec Yves Lecerf en ethnométhodologie, qui avait été un des rapporteurs du mémoire de 1989.  Description du français à la lumière des relations interlinguistiques.

Mais ce n’est qu’en 1995, juste avant sa mort, que Lecerf nous accorda….. la soutenance d’un DESS (sur Paris VIII). Le milieu astrologique et ses membres. En 1986, nous avions publié dans les actes du Colloque de Bayeux, une bibliographie su les Cométes., grâce à Réné Pilllorget (192(-2015) - Professeur d’histoire contemporaine de l’Université de Lille III qui nous avait ouvert certaines portes

Mais dès 1985, nous avions obtenu que Jean Céard, spécialiste de la Renaissance et ayant écrit sur les prodiges, nous dirigeât pour thèse d’Etat à Paris XII Créteil. Ce n’est qu’à la fin de 1998 que Céard, à la veille de prendre sa retraite, nous invitera à soutenir. Mais entre temps, il était passé à Paris X Nanterre. Pendant toute cette période, on retiendra qu’en 1990, Céard fera une préface au Répertoire

Chronologique Nostradamus de Robert Benazra, paraissant dans une collection que nous dirigions (La Grande Conjonction, chez Trédaniel). En 1994, nous fumes chargés d’une exposition Astrologie et Prophéties. Merveilles sans images, à la Réserve de la Bibliothèque Nationale, peu avant son transfert sur le site Tollbiac. En 1993, nous avions publié deux éditions de textes astrologiques,avec Trédaniel, l’un sur Nicolas Bourdin (XVIIe siècle), l’autre sur Etteilla (XVIIIe siècle). Notre thèse d’Etat s’intitulera Le texte prophétique en France, Formation et fortune et couvrait une période allant de la fin du XVe siècle au début du XXe. Elle paraitra aux Presses Universitaires du Septentrion (Villeneuve d’Ascq). Nous passions beaucoup de temps à visiter des bibliohèques de par le monde; pour réaliser notre Catalogue Alphabétique des Textes Astrologiques Français. (mis en ligne sur le site du CURA de Patrice Guinard, en 1999.

Dans la foulée de notre thèse d’Etat, nous décidames de préparer à l’EPHE un post doctorat sous la direction de Louis Chatelier (Histoire du catholicisme) qui ne sera soutenu qu’en 2007 sous le titre Le dominicain Giffré de Réchac et la naissance de la critique nostradamique en France (XVIIe siècle). là encore, les choses trainèrent quelque peu. En 2002, nous avions fait acte, sans succés,  de candidature pour la succession d’Antoine Faivre, à la chaire des Courants Esotériques (EPHE VE section) et publions (Ed Ramkat) deux ouvrages, Prophetica Judaica Aleph et Beith, issus de notre thèse d’Etat, l’un sur Nostradamus et l’autre sur Theodore Herzl et son Etat Juif, ce qui comprenait un développement important sur les Protocoles des Sages de Sion. En 2005, à la mort de Jean Paul II, nous avions fait paraitre Papes et prophéties.(Ed Axiome)

En 2011, Gérardf Morisse,, historien  et  bibliographe, Bordeaux, - Société des bibliophiles de Guyenne , Revue française d’histoire du livre) nous donna l’occasion de publier une série de travaux, un par an pendant 4 ans, dans la Revue Française d’Histoire du livre, (Ed Droz), : dont notamment l’exposé de nos méthodes de travail  sur le corpus Nostradamus, le Tarot et le Kalendrier des Bergers, le Splendor Solis, Lichtenberger et le Mirabilis Liber. Voilà donc un parcours d’une quarantaine d’années, dans un cadre universitaire mais qui ne fut absolument pas couvert par une quelconque aide financière. Selon nous, la chaire d’Antoine Faivre aurait du nous revenir au vu de l’importance de nos travaux.

Nous avons à peine mentionné ici nos contributions sur Internet. : Hommes et sites, Bibliotheca Hermetica, Propheties.it, Arka. CURA, sans parler de nos propres sites.

Les difficultés que nous avons rencontré tiennent à notre méthodologie , à ce que nous avons appelé ailleurs une approche régénérative, visant à restituer un corpus par delà ses dérives et ses imitations.

 

 

 

JHB

25 09 21

Publié dans ASTROLOGIE POLITIQUE, LINGUISTIQUE, NOSTRADAMUS, prophétisme | Pas de Commentaire »

jacques Halbronn Sur l’Histoire Secréte de l’Astrologie par Patrice Bouriche

Posté par nofim le 25 septembre 2021

jacques  Halbronn  Sur l’Histoire Secréte de l’Astrologie par Patrice Bouriche

 

Arrêtons nous sur l’oeuvre de l’autre  Patrice – non pas Guinard mais Bouriche, lequel revendiquer une astrologie « sidéraliste » et s’en prend aux tenants du « Zodiaque des saisons d’où son sous titre « Révélations sur l’imposture du Zodiaque des Saisons ». Il y est évidemment question de la précession des équinoxes; du « zodiaque des étoiles » Il y  est question  des  « incohérences du zodiaque tropical ». Bouriche s’en  prend  aux  « saisonologues ». Les gens se référeraient à un zigne zodiacal « qui n’est pas le  bon » Bouriche  voit dans la théorie des ères  adoptée par l’astrologie « tropicale » le signe d’une victoire annoncée du zodiaque sidéral.

Il semble que toute l’argumentation de Bouriche s’articule sur notre signature zodiacale. Or, l’on peut tout à fait  concevoir une astrologie qui n’accorde aucune importance à une quelconque typologie à 12 facteurs. L’idée selon laquelle, seuls les axes

saisonniers seraient valables  a été formulée au XVIIe et XVIIIe siècle. Donc Bouriche rejette le Zodiaque saisonnier  au prétexte d’une telle typologie à 12 possibilités  au lieu d’admettre la possibilité d’une division « saisonnière » en 4 périodes. Par ailleurs,  si l’on admet qu’il y a  un axe éqiuinocial et un axe solsticial, son argument sur les 2 hémisphères tombe puisque les deux signes équinoxiaux  s’équivalent au prisme même du zodiaque saisonnier ne retenant que le critère équinoxial et le critère solsticial. Là encore, Bouriche s’en tient à une représentation caricaturale et figée du Zodiaque saisonnier  en ne prenant pas la peine de s’en tenir aux seuls fondamentaux, à savoir les deux axes.

L’argument que Bouriche ressasse est le suivant (cf le  quatriéme de couverture de son tome I): « les personnes nées  par exemple, entre le 21 mars et le 16 avril ,ne sont pas bélier mais bien Poissons, d’où la nécessité  de revenir ai zodiaque des étoiles afin de  retrouver la cohérence perdue »

Autrement dit,  Bouriche fige la situation: il  y  a le public qui croit aux 12  types. Dont Acte. IL y a une astrologie qui traite des 12 types. dont acte. Et tout le reste de sa démonstration s’appuie sur ces deux constats! Or, c’est précisément là que le bât blesse, dans cette description ethnologique de certaines pratiques en vigueur. La recherche  astrologique est censée aller au delà d’un tels stade! Dans une approche régénérative qui est la notre, il s’agit de ne pas s’en tenir à certaines dérives. On observa que Bouriche ne s’iintéresse guère aux étoilles fixes, en dépit d’un sidéralisme affiché. Pour lui, être sidéraliste se réduit à l’ayanamsa, à la prise en compte d’un décalage . mais il  ne propose pas la conjonction d’une planéte avec une étoile fixe et se contente de noter l’entrée d’une planéte dans une constellation alors que la constellation  n’est que pure convention inventée par les astronomes.

En tout état de cause, si l’on ne tient pas compte des 12  types, et si l’on s’en tient à d’autres critères, toute l »argumentation quant au fait que les gens se reconnaitraient mieux dans leur signe sidéral que dans leur signe sidéral  devietnt  vaine  et ne vise que les adeptes d’une telle caractérologie.  Bouriche se référe  dans sa propre présentation  comme « spécialiste d’astrologie mondiale », laquelle se passe fort bien de toute division en 12, comme l’a bien montré André Barbault qui ne tient même pas compte du signe où se forment les conjonctions planétaires!!

Bouriche nous parle de la précession des équinoxes mais d’où vient que l’on ait remarqué un tel phénoméne? Précisément parce que l’on accordait de l’importance à l’étoile fixe correspondant à l’équinoxe et dont on savait que ce n’était pas toujours la même. Ce qui va dans le sens de l’étude du point vernal correspondant à telle étoile à un moment donné et qui aura servi à établir la théorie des ères precessionnelles dont on n’est pas non plus obligé d’accepter le principe sous prétexte que des gens  l’ont accepté.

Pour nous, il n’y  a pas d’opposition entre tropicalisme et sidéralisme : le tropicalisme a besoin des étoiles fixes – pas des constellations- pour gérer les rapports entre Zodiaque et planétes, l’étoile fixe jouant le rôle d’interface car une planéte ne peut

se joindre à un axe saisonnier mais seulement  aux étoiles  qui lui correspondent. Selon nous, en  effet, l’astrologie doit être visuelle, ce qui passe par la conversion des équinoxes en un axe stellaire. Ce qui permet de visualiser dans le ciel à quel moment

une planéte passe sur  un des deux axes saisonniers du  fait qu’elle se rapproche de telle étoile fixe dument identifiée pour un instant T  et , répétons le, c’est bien ainsi que l’on avait  découvert et intégré la précession dit des équinoxes.

Patrice Bouriche attache beaucoup trop d’importance au méta-langage des astronomes qui ont jugé bon de baptiser les planétes et de regrouper les étoiles en 12 secteurs, prenant modéle sur le calendrier soli lunaire. Il veut croire et faire croire que

l’astrologie ne peut pas exister sans ce substratt mythologic- symbolique dont pourtant l’astrologie française s’est largement émancipée et l’on pense notamment à Jean-Pierre Nicola. Il a un demi siècle de retard.

Bouriche cite Gauquelin  et  sa typologie planétaire qui ne dépend nullement du zodiaque mais des maisons, et  que l’on divise généralement en 12 secteurs, ce qui selon Gauquelin est sans importance car on en revient à une division en 4 : horizon- méridien. Bouriche plaide pour le 12 contre le 4 mais rappelons lui, qu’il n’y a que 4 saisons quand il parle d’un zodiaque saisonnier..  Ce sont les astronomes qui ont introduit  une telle symbolique  et  ils  ont continué avec Uranus, Neptune et Pluton et  les astrologues ont eu le tort de les suivre.. Qu’il lise l’Histoire du Ciel de l’Abbé Pluche, (c 1740).

Certes, les astrologues continuent à se servir du référentiel des 12 secteurs mais ils ne le font que par simple commodité et convention sans devoir leur accorder plus d’importance. C’est l’interface des éphémérides et l’on peut tout à fait positionner les planétes autrement (cf Gabriel Les Grandes Ephémérides, 1500-1899; Paris, Trédaniel  1990; Nous mêmes nous avons écrit sur  les signes zodiacaux,(le grand Livre du Sagittaire, Tchou, 1980;  dirigé une collection de livrets zodiacaux (Solar, France Loisirs, 1982-1992), dirigé Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau, Ed Albatros, 1979) mais il s’agit de simples exercices de style. Dans l’Astrologie selon Saturne, ¨Paris, 1994, nous nous sommes contentés de décrire certaines zones en degrés sans indiiquer les signes correspondants(cf  aussi  ,notre  Lettre à une amie astrologue en   préambule  à  notre réédition de l’Histoire de l’Astrologie de Serge Hutin, Artefact, 1986)

On notera que Bouriche se  sert des planétes transsatuerniennes, inconues des Anciens (cf  p. 89 de  son tome III,  De l’impasse saisonnière à la rédemption stellaire »)

 

 

 

 

 

 

JHB

25 09 21

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Jacques Halbronn Le genre du roman et la dialectique matière-forme. Manifeste de la culture vivante.

Posté par nofim le 25 septembre 2021

Jacques  Halbronn    Le genre du roman et la dialectique  matière-forme . Manifeste  de la  Culture vivante

 

 

Au prisme de ce que nous appelons  « culture vivante », le genre du roman  nous apparait comme marqué d’une puissant  formalisme qui ne laisse guère de liberté de manoeuvre au lecteur lequel ne peut se permettre de sauter des pages sans risquer de

se perdre. Cela tient au fait que l’auteur  fait jouer  son « autorité »  en ce qu’il est seul à connaitre le « fil de l’histoire », le « mot de la fin », à  gérer le « suspense », ce qui vaut notamment pour le roman policier. Seul l’auteur a les clefs de son roman.

A l’opposé,  l’essai s’appuie, se référe  des données qui ne dépendent pas de son auteur. mais que l’auteur partage avec son lecteur, ce qui accorde davantage de liberté de manoeuvre à ce dernier. Or, un essai ne se présente pas comme un objet unique en son genre, un monde à part, ni dans le temps, ni dans l’espace. Le philosophe ne prétend pas être le seul à savoir de quoi il traite. Chacun de ses lecteurs  est en principe en  mesure de compléter, de prolonger l’essai au moyen d’autres textes du même auteur ou d’un autre auteur.  On parlera de l’oeuvre d’un auteur   englobant tout ce qui émane de lui et qu’il convient d’aborder comme un puzzle dont l’auteur lui même n’a pas la maitrise. C’est pourquoi le roman  peut être qualifié d’autoritaire, dans tous les sens du mot.

Pour la culture vivante, une oeuvre ne peut être que diffuse, et chaque lecteur  pourra « composer »  son  « anthologie » à son aise, ce que facilitent désormais les moteurs de recherche qui permettent de capter  la diversité des textes dus à un auteur donné

et en faire une re-composition, une réinterprétation, ce qui donne lieu  à un processus de création en aval.   On retrouve la même problématique en peinture ou en musique. Au sein d’une oeuvre, chaque pièce n’est qu’un élément d’un ensemble. L’on reconnait  tel compositeur à travers la diversité de ses productions et  le consommateur de culure, s’il est connaisseur,   retrouvera le fil sans avoir besoin du secours d’un encadrement rigide.

Seul l’auteur aurait le droit de faire jouer sa propre fantaisie et c’est cette fantaisie qui rend le roman imprévisible  et donc inaliénable. On pense à une personne qui relaterait un événement auquel elle seule aurait assisté, ce qui ne donnerait aucun  droit au chapitre à ses lecteurs, à ses

auditeurs  alors qu’en philosophie, il est question d’une expérience commune, accessible  à tous et donc chorale.

Par culture vivante, on entendra à la fois une oeuvre dont chacun peut s’emparer et dont les contours sont flous puisque non circonscrits par le cadre d’un livre bien défini mais  relevant d’une constellation de textes, de pièces pouvant s’assembler

diversement. C’est la force d’une oeuvre, sa puissance de rayonnement qui comptera  et non une mainmise de l’auteur sur son « ouvrage », par opposition à son « oeuvre. Cultture vivante (et non zombie)  cela signifie ici de privilégier l’oeuvre contemporaine et ne pas  s’en tenir à des oeuvres déjà pleinement reconnues, ce qui donne peu de mérite à celui qui emboite le pas des générations précédentes. Or, force est de constater que les concerts, les musées, les bibliothèques vont mettre en avant des auteurs déjà anciens,. La Culture vivante entend redonner au « consommateur » de culture un rôle plus actif, plus libre.

L’oeuvre est la matière, c’est à dire une coulée de lave  vouée à se refroidir par le biais de la forme.

La définion du « roman » dans un article de Wikipedia est la suivante:  « Le terme commence alors à se rapprocher de son sens moderne, celui de récit fictif à épisodes centré autour d’un ou de plusieurs personnages.

Le roman a tout d’abord été le récit d’une aventure fantastique, comprenant un personnage idéal vivant une aventure idyllique elle-même. »

Pour nous, le roman  est  en affinité avec le féminin -F comme forme- et c »est d’ailleurs dans ce genre, que les femmes auront   pu jouer un role marquant bien plus que dans d’autres domaines/ L’auteur de roman  entend garder le contrôle de bout en bout de ce qu’il produit et la fantaisie  le protége en quelque sorte contre toute intervention extérieure. Il est soi disant le seul à pouvoir raconter ce qu’il raconte, puisqu’il s’agit d’un constat dont il aura été le seul  témoin présent, les autres se trouvant ipso facto  disqualifiés.  Les rencontres entre femmes se font entre personnes  « autoritaires », jalouses de leur pré carré sur lequel il ne faudrait pas empiéter  alors que les  conversations entre hommes se référent à un savoir partagé dont  nul n’aurait le monopole..

Chaque lecteur a le droit de composer  son menu littéraire ou musical à sa  guise mais cela ne saurait avoir de valeur scientifique, ce qui exigerait une approche aussi exhausttve et critique que possible. On ne saurait réduire un auteur  à l’une ou l’autre de ses productions/ Il reste que le roman est un vecteur autoritaire qui ne permet pas à son lecteur de faire preuve d’esprit critique sur le fond lequel est fonction du « bon plaisir » de l’auteur. Autrement dit, la lecture des romans  génére une population  formatée pour se plier à une autorité  à la différence des essais.

 

JHB

25 09 21

 

 

 

 

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