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Jacques Halbronn Retour sur un texte paru il y a 40 ans : L’alternance sous la Ve République et le concept de bloc

Posté par nofim le 12 décembre 2021

Jacques  Halbronn  Retour sur un texte paru il y a 40  ans : L’alternance sous la Ve République et le concept de bloc 

Dans le grand Livre des Prédictions (Paris Ed Balland 1981, pp. 175 et seq) formant une sorte de dyptique avec Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau (Paris, Albatros, 1979), nous nous proposons de commenter u texte de notre plume datant de 1981, au lendemain de l’arrivée de Mitterrand au pouvoir  et 20 ans avant le passage dans un nouveau siècle voire un nouveau millénaire..  NOus associons  1968  et 1981: « Il aura donc fallu treize ans avant que l’enthousiasme de « mai 68′ retrouve un écho  d’envergure (…) Quel élément  astrologique   permet de rapprocher ces deux dates? (.) Il faut à nouveau vers la planète Saturne (..) Nous avons mis au point une méthode qui classe les phases de Saturne en deux catégories, l’une active, l’autre passive  se suivant à sept années d’intervalle. Quand Saturne passe au Bélier et en Balance- soit l’axe des équinoxes c’est la phase  active (…) Quand, Saturne, en revanche, passe en Cancer et en Capricorne- soit l’axe des solstices- c’est la phase passive »  Or, avec le recul, nous pensons l’inverse: c’est lors du passage sur l’axe solsticial, que les positions se durcissent alors que lors du passage équinoxial, les frontières tendent à se dissoudre en faveur d’un fédéralisme supranational. En 1989, le passage sur l’axe solsticial aura conduit à l’effondrement du bloc communiste (Pacte de Varsovie puis URSS).  Quand il y a invasion, cela reléve du passage vers une phase équinoxial du fait des moindres résistances et réactivités à une présence étrangère. Il conviendrait de se demander où était l’erreur quand nous rédigions ce texte il y a 40 ans. Quelle lecture proposer de la  Ve République? La  gauche profite mieux de la phase passive que la droite laquelle accentue les clivages et les différences.  Rappelons qu’au lendemain de 1995, nous aurons la cohabitation en 1997 avec Jospin sous la présidence de Chirac. La notion même de cohabitation est typique de l’équinoxialité (que nous appelions à l’époque « active », ce qui est un point de vue car il semble au contraire que c’est avec la solsticialité qu’il y a le moins de passivité. Ces points sont déterminants et une simple erreur d’analyse du contenu des phases peut se révéler fatale pour l’astrologue même si son découpage en phases est valable. Certains d’ailleurs préférent ne pas se mouiller et renoncent même à déterminer  une dialectique des phases/ C’est ainsi que concernant le cycle Saturne-Neptune,  Barbault n’a pas pris la peine de distinguer au moins deux cas de figure, si bien que ses prédictions restent terriblement dans le flou. Qu’est ce que Barbault attendait de 1989? Un renforcement ou un affaiblissement de l’URSS? Ajoutons que les configurations valent pour tous les pays et donc qu’il peut se passer quelque chose dans n’importe lequel.  Pour en revenir à la Ve République, qui n’échappe évidemment pas à la régle; on rappellera que la décolonisation aura correspondu avec une phase solsticiale alors que la Guerre d’Algérie est  en rapport avec la phase équinoxiale qui précéda. 

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jacques Halbronn Le contenu de nos vidéos sur TELEPROVIDENCE est restitué par Google. Reconnaissance audio.

Posté par nofim le 12 décembre 2021

Jacques Halbronn Astrologie/André Barbault à la veille des …

www.youtube.com › watch
jacques  Halbronn   Le contenu de nos vidéos  sur TELEPROVIDENCE  est restitué par Google. Reconnaissance  audio. dans ASTROLOGIE

APERÇU
7:16
Même quand Barbault annonce une troisiéme guerre mondiale pour 1982, … 1930-31, 1943, 1955-56, 1968 …    Restitution du propos oral.
YouTube · Halbronn Jacques TELE DE LA SUBCONSCIENCE · 24 août 2021

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Jacques Halbronn Mémoire, oralité et capacité de connexion.

Posté par nofim le 11 décembre 2021

Jacques  Halbronn   Mémoire, oralité  et  capacité de connexion. 

 

 

Mémoire et oralité  sont liées, l’écrit palliant précisément les défaillances mémorielles. C’est dire que celui qui dépend par trop de l’écrit – et cela vaut pôur tous les supports informatiques – n’exerce pas sa mémoire, ce qui signifie qu’il affaiblira sa capacité de connexion. En effet, ce qui nous permet d’activer notre mémoire, de retrouver une information stockée passe par un complexe réseau d’associations d’idées, de mots. C’est dire que la mémorisation développe l’intelligence et inversement, une mauvaise mémoire défaillante  ou une mémoire peu exercée, constitue un handicap mental, de la pensée. 

Mais l’on peut aller plus loin car chercher dans sa « mémoire » nous connecter avec un certain Inconscient Collectif. D’une façon générale, l’écrit dépend de l’oralité. Comme en hébreu, où l’écrit ne marque pas les voyelles, ce qui en fait un pense bête de l’oral. Nous avons déjà fait remarquer (cf notre groupe face book  français, francologie) que l’écrit n’était pas la voie royale vers l’oralité mais que c’était l’inverse, ce qui renvoie à la notion de préscience, de « bon sens », qui fait que l’on ne dépendra pas aveuglement de la chose écrite laquelle peut avoir été corrompue, altérée, vouée à des erreurs de traduction, de transmission  etc.

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  11 12 21

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jacques Halbronn Méthodologie Chronéme/Choréme. Savoir à qui un texte s’adresse et de qui il émane. Bible et Nostradamus

Posté par nofim le 11 décembre 2021

jacques  Halbronn  Méthodologie Chronéme/Choréme. Savoir à qui un texte s’adresse et de qui il émane 

 

 

Il est essentiel de déterminer la destination d’un texte.. C’est notamment le cas des Dix Commandements et du « Ecoute Israel ». Force est de constater que les Juifs ont cru que certains commandements leur étaient destinés alors meme que cela visait une autre population qui leur était soumise, à savoir les « Israélites », les gens du Septentrion.

Que nous dit notamment le commandement du Shabbat? Qu’il s’agit d’un jour de repos. Mais qui doit se reposer, se protéger de la charge de travail qui lui est assignée  sinon l’esclave? On retrouve cette préoccupation sous le Front Populaire (1936)avec les « congés (vacances) payés », avec la semaine de ’40 heures.

Dès lors, le respect du Shabbat ne saurait faire sens pour les employeurs qui ne partagent pas les mêmes préoccupations. 

Il  en est de même pour la récitation du « Ecoute Israel » (Shema Israel) lequel, comme son nom l’indique, s’adresse à la communauté d’Israel qui n’est pas celle de Judée. Il suffit de lire les Livres des Prophétes pour noter que ceux ci s’adressent le plus souvent à la communauté du Nord, celle de la Maison d’Israel (Samarie, Galilée).  Ces commandements – Mistwoth- renvoient d’ailleurs à la Nouvelle Alliance (Jérémie XXXI) laquelle vise les mauvais serviteurs, qui désobéissent à leur maitre.

 Autrement dit, il y aurait là une perte de conscience de dualité: savoir distinguer entre l’autre et soi même et ne pas tout confondre car cela fait désordre, cela sonne faux.

C’est donc  tout le rituel actuel en vigueur dans les synagogues qui serait à réaménager, y compris d’ailleurs en ce qui concerne la lecture annuelle du Pentateuque (Torah) qui comporte, notamment dans le Livre de l’Exode , un texte centré sur les « enfants d’Israel » ‘et ce, dès le premier verset. On peut se demander s’il n’y pas eu, à un certain stade, confusion (on pense au dernier film d’Almodovar, Madres paralelas) au sein d’une bibliothèque de textes, à une époque où l’hébreu s’était assez largement perdu. On aura confondu la littérature propre à la maison de Judah avec celle propre à la maison d’Israel. (cf notre mémoire sur la plateforme SCRIBD).  Une telle confusion nous est par ailleurs familière avec le corpus Nostradamus au sein duquel auront fini par cohabiter textes authentiques et imitations, piratages.  Par ailleurs, en ce qui concerne l’ensemble centurique, le premier volet fut réalisé au service de la Ligue et le second -et cela vaut pour l’Epitre à Henri II, imitation d’une première épitre (cf nos Documents inexploités sur le phénoméne Nostradamus. ed  Ramkat, 2002) que l’on ne peut comprendre que comme annonçant  le retour du protestantisme, pour la fin du xVIIIe siècle.

Par choréme et chronéme, nous entendons les critères et les arguments à mettre en avant pour situer texte dans l’espace social (choréme) et au sein d’une certaine période (chronéme (cf notre introduction au Texte prophétique en France, 1999). C’est ainsi que le thème du pardon  dans le christianisme ne se comprend que de la part de ceux qui sont accusés de déviance, de trahison, ce qui correspond au schisme qui suivit la mort du roi Salomon, sans qu’il soit besoin de remonter à un « péché originel » commis par Adam…comme voudrait nous la faire accroire une certaine exégèse/

 

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Jacques Halbronn L’idée de pouvoir au prisme de l’Ancienne Alliance et de la Nouvelle.

Posté par nofim le 11 décembre 2021

 

 

 Jacques  Halbronn L’idée de pouvoir au prisme  de l’Ancienne Alliance et de la Nouvelle.

ל הִנֵּה יָמִים בָּאִים, נְאֻם-יְהוָה; וְכָרַתִּי, אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל וְאֶת-בֵּית יְהוּדָה–בְּרִית חֲדָשָׁה 30 Voici, des jours vont venir, dit le Seigneur, où je conclurai avec la maison d’Israël et la maison de Juda une alliance nouvelle,
לא לֹא כַבְּרִית, אֲשֶׁר כָּרַתִּי אֶת-אֲבוֹתָם, בְּיוֹם הֶחֱזִיקִי בְיָדָם, לְהוֹצִיאָם מֵאֶרֶץ מִצְרָיִם:  אֲשֶׁר-הֵמָּה הֵפֵרוּ אֶת-בְּרִיתִי, וְאָנֹכִי בָּעַלְתִּי בָם–נְאֻם-יְהוָה.  31 qui ne sera pas comme l’alliance que j’ai conclue avec leurs pères le jour où je les ai pris par la main pour les tirer du pays d’Egypte, alliance qu’ils ont rompue, eux, alors que je les avais étroitement unis à moi, dit le Seigneur.
לב כִּי זֹאת הַבְּרִית אֲשֶׁר אֶכְרֹת אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל אַחֲרֵי הַיָּמִים הָהֵם, נְאֻם-יְהוָה, נָתַתִּי אֶת-תּוֹרָתִי בְּקִרְבָּם, וְעַל-לִבָּם אֶכְתְּבֶנָּה; וְהָיִיתִי לָהֶם לֵאלֹהִים, וְהֵמָּה יִהְיוּ-לִי לְעָם.  32 Mais voici quelle alliance je conclurai avec la maison d’Israël, au terme de cette époque, dit l’Eternel: Je ferai pénétrer ma loi en eux, c’est dans leur coeur que je l’inscrirai; je serai leur Dieu et ils seront mon peuple.
לג וְלֹא יְלַמְּדוּ עוֹד, אִישׁ אֶת-רֵעֵהוּ וְאִישׁ אֶת-אָחִיו לֵאמֹר, דְּעוּ, אֶת-יְהוָה:  כִּי-כוּלָּם יֵדְעוּ אוֹתִי לְמִקְּטַנָּם וְעַד-גְּדוֹלָם, נְאֻם-יְהוָה–כִּי אֶסְלַח לַעֲוֺנָם, וּלְחַטָּאתָם לֹא אֶזְכָּר-עוֹד.  {ס} 33 Et ils n’auront plus besoin ni les uns ni les autres de s’instruire mutuellement en disant: « Reconnaissez l’Eternel! » Car tous, ils me connaîtront, du plus petit au plus grand, dit l’Eternel, quand j’aurai pardonné leurs fautes et effacé jusqu’au souvenir de leurs péchés.

 

 

Nous  dirons que l’Ancienne Alliance place le leader au centre  et le peuple à la périphérie alors que la Nouvelle Alliance place le peuple au coeur du systéme, les leaders n’en étant que l’émanation, la représentation. Deux conceptions, donc, bien différentes du Pouvoir.

Au regard de l’astrologie, il apparaitrait que le cycle saturnien correspondrait à la ‘Nouvelle Alliance »  et le cycle jupitérien  à l »Ancienne Alliance ». Le cycle saturnien confèrerait ainsi au peuple une « unité » tenant à l’impact cosmique agissant de façon subconsciente alors que le cycle jupitérien  impliquerait l’exercice du charisme, du magnétisme du  chef. Ce cycle que nous avons eu l’occasion de décrire, correspond à une durée de 12 ans alors que celui de Saturne est de 14-15 ans, soit un demi-cycle.  Si le cycle de Saturne est collectif, le cycle de Jupiter est individuel puisqu’il se calcule à partir de la date de naissance, mais sans qu’il soit  besoin d’une extréme précision: 12 ans, à la louche.  Le cycle de Saturne comporte deux temps que nous avons eu l’occasion de décrire, celui de la solsticialité et celui de l’équinoxialité déterminés par le passage de Saturne sur les étoiles fixes correspondant aux axes saisoniers,en tenant compte de la précession des équinoxes.  Quant au cycle jupitérien, il ne dépend pas du mouvement de la planéte Jupiter mais reléve d’une horloge interne propre aux seuls « jupitériens ». 

Nous serions tentés d’associer les Juifs à Jupiter,  en hébreu Tsedeq, qui donne le Tsadiq, incarnant la Première Alliance. La Nouvelle Alliance ne se présente que dans un second temps tout comme Saturne vient s’ajouter aux six premiers astres (Soleil, Lune, Mercure, Vénus, Mars et Jupiter) et aux Six Jours  de la Création.  Jésus annonce la Nouvelle Alliance prenant la suite de l’Ancienne et liéé à déterminisme astrologique collectif, l’astrologie se divisant en une astrologie génethliaque, natale, et une astrologie mondiale..

Le Jupitérien n’a pas vocation à vivre avec d’autres Jupitériens, il a besoin d’être entouré d’une  cour de Saturniens.   Toute société repôse sur le pouvoir  type Ancienne Alliance ou sur le pouvoir type Nouvelle Alliance/ Mais l’on peut concevoir une lutte des classes confrontant les deux types de pôuvoir, l’un étant celui du peuple qui a besoin d’un déterminisme d’ensemble et donc  unificateur, l’autre relevant de la personne du chef, du souverain, la combinaison des deux allant vers une forme de monarchie constitutionnelle, parlementaire. Il nous semble enfin nécessaire de garantir constitutionnellement l’alternance et de ne pas la traiter comme une éventualité aléatoire.

 

 

JHB  08 12  21

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Jacques Halbronn Astrologie, lutte des classes et Alliances, ancienne et nouvelle.

Posté par nofim le 10 décembre 2021

Jacques Halbronn  Astrologie, lutte des classes et Alliances, ancienne et nouvelle.  Pour bien comprendre et l’astrologie et la lutte des classes (selon Marx) et les alliances (selon le prophéte Jérémie), il convient  de prendre la mesure de la dialectique Jupiter-Saturne. 

 

La relation entre le Royaume de Judée et la maison d’Israel est assez nettement exposée dans le récit qui est donné de ce qui aboutira à un schisme, plusieurs siècles durant, à la mort de Salomon.

 

 Wikipedia:

« Le jour où Roboam se rend à la cité de Sichem pour se faire proclamer roi et succéder à son père, Jéroboam le rejoint avec le peuple d’Israël et demande au nouveau roi d’être moins dur que son père. Après trois jours de délibération, Roboam refuse et déclare qu’il sera plus sévère encore

Alors dix tribus d’Israël se révoltent contre Roboam et sacrent Jéroboam nouveau roi d’Israël. Les deux tribus restantes, la tribu de Juda et la tribu de Benjamin, restent fidèles à Roboam et constituent ce que l’on appelle le royaume de Juda. Jéroboam choisit pour son nouveau royaume deux capitales, Sichem et Phanuel » On voit bien, à l’aune de ce récit que les 10 tribus ne se trouvaient pas sur un pied d’égalité avec les 2  autres. Il y avait pour le moins une relation de vassalité des unes par rapport aux autres, ce qui remet en question le mythe de 12 tribus issues des fils de Jacob, surnommé Israel par les scribes à la solde de la Maison d’Israel. On aurait donc affaire à une « lutte des classes », à un clivage entre gouvernants et sujets. Et l’idée d’Ancienne et de Nouvelle Alliance ne se comprend que dans un tel contexte.  L’idée de Nouvelle Alliance est une sanction prise contre les dominés voire les esclaves qui refusent d’obéir. Désormais, par une opération s’apparentant à l’installation d’une « puce », ils suivront automatiquement toutes les opérations qui leur seront successivement demandées et cela s’apparente en fait à une détermination astrologique. C’est ce que nous avons décrit par ailleurs à propos de l’astrologie EQSOLS et l’alternance de ses phases d’équinoxialité  et de solsticialité. Les Chrétiens ont récupéré cette idée de Nouvelle Alliance qui leur évite de dépendre de leurs maitres puisqu’ils dépendront des astres. Ont-ils de la sorte gagné au change? On peut en douter.  Astrologiquement, la Nouvelle Alliance dépend de la planéte Saturne, la planéte ajoutée aux six d’origine, en rapport avec les Six Jours de la Création (rappelés dans la Guerre des Six Jours) et donc le Shabbat est liée à la maison d’Israel et non à celle de Judah, c’est un temps où les esclaves n’ont pas à travailler comme l’indiquent l’un des Dix Commandements. C’est d’ailleurs ce qui s’est maintenu jusqu’à nos jours avec le jour de repos obligatoire pour protéger les travailleurs. Quant aux tenants de l’Ancienne Alliance -on pense à la notion d’Ancien Régime sous la Révolution- ils ne sont pas astreints  collectivement à subir le cycle de Saturne  et dépendent de la dernière des six planétes, à savoir Jupiter et son cycle de 12 ans mais bien évidemment il leur faut tenir compte du cycle saturnien pour gouverner  en connaissance de cause en sachant ce qui convient tant en phase équinoxiale qu’en phase solsticiale, comme il a été expliqué ailleurs. Dès lors que les gens de l’Ancienne Alliance – c’est à dire les Juifs- ne sont pas programmés pour obéir à Saturne, ils sont en mesure, éventuellement, d’intervenir quand les choses vont trop loin dans un sens ou dans l’autre, constituant ainsi un garde -fou. Dans le Talmud, il est d’ailleurs annoncé que certains Juifs ne relévent pas du « Mazal », ce qui désigne Saturne. Mais, pour des raisons que  nous avons précisé ailleurs, le nom d’Israel aura fini par désigner le peuple juif, occultant ainsi la division sociale pourtant encore bien nette du temps de Jésus quand il déclare qu’il est venu avant tout pour les « brebis perdues de la maison d’Israel » et sera surtout présent au Nord, en Galilée, donc dans le territoire anciennenent dévolu à la maison d’Israel. Les Chrétiens auront d’abord été les descendants de la dite maison et non pas des paiens. Il importe de préciser que les revirements stratégiques ne sont pas tant le fait du cours passé des événements que des exigences du calendrier avec son énchainement contrasté de périodes.  On est donc constamment dans un certain compte à rebours et sans l’astrologie, on en ignore le décompte. Il  y  a là une sorte de couperet, ce que l’on retrouve à la fin d’un mandat électoral ou d’une mise à la retraite, qui ne dépendent aucunement des enjeux du moment. C’est bien là tout l’intérêt de la prévision astrologique de nous fournir en temps utile les clefs d’une telle organisation du temps/

Nous ajouterons  que le Shabbat s’apparente -ou vice versa- aux Saturnales, d’autant que Shabbat renvoie à Shabtai, le terme hébraique pour Saturne dans le Sefer Yetsira (Livre de la Création/Formation)

 

 Wikipedia;

« Les Saturnales (en latin Saturnalia) sont, durant l’antiquité romaine, des fêtes se déroulant une semaine avant le solstice d’hiver (soit à partir du 17 au 23 décembre) qui célèbrent le dieu Saturne et sont accompagnées de grandes réjouissances populaires.(..) Durant cette période, les barrières sociales disparaissaient, on organisait des repas, on échangeait des cadeaux » 

Le  véritable esprit du Shabbat n’est pas du tout celui que l’on pratique actuellement. C’est justement le jour où les Juifs doivent être très actifs puisque leurs serviteurs sont de repos. Shvita, en hébreu, c’est la grève. C’est le jour « où la bonne est de sortie ». En ce sens, l’ »on peut dire en effet que c’est un temps où « les barrières sociales disparaissent ».

 

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Jacques Halbronn Retour sur Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau, 1979

Posté par nofim le 10 décembre 2021

ANEV Jacques  Halbronn   Retour sur Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau, 1979   

 

 

 

 

  Il y a un peu plus de 40 ans paraissait un ouvrage collectif, issu d’un Colloque tenu en septembre 1977, à Paris. Ces Actes de colloque (oragnisés  avec la Revue de Roger Faloci, Lautre Monde-auront fait date quant à la qualité des contributeurs, dont certains n’avaient d’ailleurs pas participé à ces rencontres.  Ce fut d’ailleurs un esquisse de nos Guides Astrologiques  à partir de 1982, puisque chaque auteur avait fourniu une présentation de sa carrière. Il nous a semble intéressant  d’examiner un tel corpus avec le recul de quelques décennies, ce qui est toujours une bonne chose, d’autant que nous avons  quelque peu passé le cap fatidique de l’An 2000 qui  occupait  les esprits à l’époque. Mais commençons justement par donner une liste exhaustive des collaborateur, dans l’ordre de la « table des matières »:  Andrée Petibon, Jacques d’Arès, Robert Amadou, Fernand Schwarz, David Williams, Jean Charles Pichon, Christian Meier Parm, Jean Phaure, M. L. Chaterji,  Hans Andersen,  Gustave- Lambert Brahy,  Jean Sendy,  Julierre Du Rouchet, Jean Hoyoux, Michel Villeneuve, Catherine Aubier?  Germaine Holley,  Jacqueline Bony-Belluc, Krista  et Hecto Leuck,  André Delalande, Serge Hutin avec Henri Caillaud, Max Lejbowicz,(thèse, Lille III, 2002″ L’ historien, son siècle et sa recherche : recherches sur l’acculturation des enseignants médiévaux (Xe-XIIIe siècles), Alexander Ruperti,  Pierre Heckel, Blanca Hernandez  Lupion,  sans oublier Raymond Abellio.  François Gibelin (Rossi), Paul Roland, R. Ripert, Jean Paul Bourre,  Arnold Waldstein, Daniel Giraud plus une table ronde  dirigée par  nous même, avec Guy Leclercq, Jean Bromennac, Arthur Le Bau, André Gauthier Walter pour ne citer que ceux qui n’avaient pas été mentionnés par ailleurs. Cette table ronde nous apparait comme d’un intérêt tout particulier.   Force est de constater certaines absences comme celle d’un André Barbault.  On rapprochera ce Colloque de celui que nous tiendrons en 2004, entièrement filmé  et accessible sur notre chaine You Tube Téleprovidence, 25 ans plus tard dont la liste des participants fut également imposante, même si l’on constate  l’émergence d’une autre génération.  ,Là encore, l’on remarque, en quelque sorte, des absences, comme celle de Barbault, une fois de plus, dont nou s étions la « bête noire »ce qui contribua à le marginaliser. On notera qu’une telle participation dans les deux cas  diffère remarquablement des Colloques organisés par Yves Lenoble -et non filmés- entre 1990 et 2003 ne réunissant qu’une poignée de chercheurs face à une salle  composée d’étudiants.   

 

Il est clair qu’un tel Colloque pouvait s’avérer dérangeant en ce qu’il touchait à des points essentiels de la doctrine  astrologique/ Essayons de faire le point sur cette question sensible du Zodiaque. Pour commencer, l’on notera qu’André Barbault, en dépit de la publication des Editions du Seuil  avec ses 12 livrets,  avait totalement mis de côté un tel débat puisque, avec son frère ainé, Armand, il avait élaboré une astrologie qui entendait s’en émanciper à tous égards avec sa théorie des conjonctions planétaires, qui n’y accordait plus le moindre rôle, les aspects prenant la place des signes, en tant que facteurs structurants. N’y avait-il pas en effet double emploi même si le dispositif des Dignités planétaires  figurant dans la Tétrabible de Ptolémée, reliait  structurellement planétes et signes? A entendre Barbault, il convenait de ne pas s’encombrer du passage des planétes dans les signes, ce qui évitait et évacuait le débat sur la précession des équinoxes, pourtant à la base de la théorie des Ere précessionnelles, au coeur d’Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau. On ajoutera une mise à l’écart des étoiles fixes par dessus le marché par delà la question des constellations. Il ne restait plus en lice, dans l’astrologie selon Barbault, que les planétes, mais pas seulement celles connues de toute antiquité mais les « nouvelles », confortant l’idée d’une astrologie « moderne » au fait des avancées de l’astronomie.  Tout cela permettait d’être en prise avec diverses critiques adressées à l’astrologie, quitte , au demeurant, à force, à la rendre impuissante. En tout cas, une telle astrologie  avait le mérite stratégique de renouveler le débat et d’échapper aux attaques habituelles de la pârt notamment des astronomes comme Paul Couderc, auteur d’un Que Sais je (aux PUF) dans les années cinquante, sur l’Astrologie. Avec son indice cyclique Barbault irait encore plus loin en ne tenant plus ,compte de l’identité des planétes, toutes placées sur le même pied, indifféremment; en quelque  sorte dépersonnalisées.  Or, nos travaux  sur le cycle de Saturne montreraient au contraire qu’il importait de regarder du côté de l’écliptique sinon du Zodiaque avec ces passages de Saturne autour du point vernal et non en faisant appel à un autre partenaire planétaire. En effet,  avec Barbault, c’était toute la cyclicité astronomique qui se trouvait  bousculée.  D’une part avec le cycle Saturne Neptune qui ne respectait nullement les données numériques propres à l’agencement du systéme solaire. Selon la planéte associée, Saturne changeait de durée de cycle : 36 ans pour Saturne Neptune, 20 ans pour Jupiter Saturne alors que son cycle était de  28 ans environ , ce qui la reliait aux 28  jours de la Lune (cf aussi la Loi de Bode) et par ailleurs, l’indice cyclique   brouillait allégrement l’ordre des révolutions planétaires. On était donc loin, au final, avec Barbaut, d’une quelconque orthodoxie astronomique ou mythologique, ce qui le distinguait des recherches d’un  Jean Pierre Nicola et sa théorie des Ages. Mais revenons à Aquarius et au débat lancé notamment dans la table ronde par Guy Leclercq.  On butte selon nous, sur une question de méta-langage, c’est à dire à la terminologie utilisée par les astronomes et qui en elle même n’a aucune prétention scientifique pas plus que le nom des rues. Si les astronomes ont jugé bon d’emprunter au cycle des saisons  la série des 12  signes zodiacaux, liés aux 12  rencontre soli-lunaires au cours d’une année terrestre, était ce une raison pour que les astrogues en tirent le parti que l’on connait et de même pour ce qui est du nom des planétes? Et en ce sens, André Barbault n’avait pas tort de n’y pas y attacher trop d’importance. Mais fallait-il, pour autant, jeter le bébé avec l’eau du bain et notamment le référentiel saisonnier à base des axes des équinoxes et des solstices, divisant l’année non pas en 12 mais en 4? Et d’ailleurs, la mise en évidence de la précession des équinoxes ne témoignait-elle pas d’ un certain intérêt pour les dits axes? De la part de qui? Des astronomes ou des astrologues? A priori, les astronomes n’avaient que faire du cycle saisons et de la précession qui l’affectait. C’était donc une affaire pour les seuls astrologues. Cela nous renvoie à l’importance du 4: 4 saisons mais aussi 4 temps soli-lunaires  marquant notamment le calendrier juif, avec la célébration du « premier du mois » lors de chaque nouvelle Lune (néoménie). Le 7 ressortait  avec les 4 semaines et comme on a vu plus haut, ces mêmes chiffres se retrouvent avec Saturne et l’on pense au Songe de Pharaon avec 7 vaches maigres devorant 7 vaches grasses et selon l’interprétation de Joseph (Livre de l’Exode), cela signifiait deux périodes de 7 années, soit un demi- cycle de Saturne. L’on sait aussi que dans la Bible, existe un rapport entre le jour et l’année, qui est celui de la Lune et de Saturne.(cf aussi les directions secondaires en astrologie) C’est tout cela que nos travaux sur Saturne (15 ans après la sortie d’Aquarius) mettait en branle sur cette simple observation que certains événements marquants  se produisaient avec  Saturne passant dans la même région du ciel, abstraction faite de tout aspect avec une autre planéte. Le défaut des ères precessionnelles tient à l’importance acccordée aux constellations . En principe, on doit relier deux points entre eux : si l’on se sert du point vernal, la logique voudrait qu’on le mît en rapport avec un point stellaire.  L’étoile fixe se combine fort bien, par ailleurs, avec une planéte et forme couple avec elle sans affecter le cycle naturel de la planéte. à la différence de ce qui se passe dans un cycle incluant deux planétes, où la planéte la plus rapide doit poursuivre la plus lente, ce qui casse, comme on a dit plus haut, l’harmonie générale du systéme. Quelles sont les raisons de ce refus d’associer une planéte avec une étoile? D’aucuns argueront du fait que l’étoile n’appartient pas à notre systéme solaire mais elle n’en est pas moins l’arrière-plan pouvant servir de repére et c’est ainsi que l’ont compris les astronomes eux mêmes en instaurant des constellations. Donc pourquoi être plus royaliste que le roi. 

En fin de compte, si l’on ne saurait souscrire à la connexion point vernal- constellation, on retiendra que l’idée de rechercher l’étoile correspondant au point vernal à telle ou telle époque, est bel et bien mise ici en exergue /Cette connexion  cycle des saisons et cycle précessionnel  est au coeur de la pensée astrologique et montre qu’il est vain d’opposer  astrologie sidéraliste et astrologie tropicaliste. On notera que l’Histoire des Religions  fut le lieu de l’essor de la théorie des ères et cela ne va d’ailleurs pas sans enjeu théologique. Déjà Albumasar avec sa théorie des grandes conjonctions Jupiter Saturne spécualait sur la durée de la religion musulman, en associant celle-ci à la triplicité d’eau, ce qui lui permettait d’en fixer le terme. De même, la prophétie des papes de Malachie (voire notre ouvrage Papes et prophéties, Ed Axiome, 2005) spéculait sur la durée de la papauté. En ce sens, la question de l’Ere du Verseau n’est pas sans impacter sur l’avenir reservé au Christianisme, à la  fin  de l’ère des Poissons. (cf le débat de l’une des commissions, lors de notre Colloque de 2004, en ligne sur notre chaine You Tube)

Toutefois, ce qui diffère entre l’approche rétrospective et la prospective, c’est que, cette fois, l’on peut se demander à quel symbolisme l’on aura affaire. Car pour les ères précédentes, on avait droit carrément au symbole zodiacal correspondant, la question qui se pose est celle d’une influence consciente ou subconsciente du schéma zodiacal. Or, on entend le plus souvent que cette nouvelle Ere imposera son esprit « aquarien »  à l’Humanité, il ne s’agirait donc pas  d’une simple volonté de se conformer culturellement à la signalisation céleste. Cela fait penser au passage de l’Ancienne Alliance à la Nouvelle Alliance, de lois consciemment acceptées à des lois dictées à notre psychisme de façon subconsciente.

 

 

 

 

 

 

JHB  10  12  21

 

 

 

 

 

 

 

 

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jacques Halbronn Epistémologie de l’Histoire de l’Astrologie

Posté par nofim le 10 décembre 2021

jacques  Halbronn  Epistémologie de l’Histoire de l’Astrologie   

 

 

L’Histoire de l’astrologie s’est vue cantonnée à des problématiques de réception et cela vaut en fait pour l’ensemble des études ésotériques, en milieu universitaire. Il n’était pas question d’aborder l’astrologie de l’intérieur avec les problématiques qui étaient les siennes. Il fallait se contenter de situer l’astrologie au sein de telle époque, de telle culture, telle aura été, nous semble-t-il, la condition de sa présence dans telle ou telle enceinte académique.  Quand on examine les travaux consacrés à l’Histoire de l’Astrologie, force est de constater que les auteurs ont mieux à faire que de suivre le conseil de Bouché Leclercq, dans son Astrologie Grecque (1899) déclarant que l’on ne perd pas son temps à étudier comment certains auront perdu le leur. Mais d’une façon générale, il aurait semblé incongru d’aborder l’astrologie comme on l’aurait fait par exemple de la médecine comme s’il était clair que l’astrologie avait abouti à une impasse et qu’il n’y avait rien à attendre, l’astrologie contemporaine n’étant pas censée mettre en perspective celle des siècles passés en dépit de l’image d’un Kepler, « astrologue astronome », (cf Gérad Simon, Ed  Gallimard, 1977), grand réformateur de l’astrologie et d’ailleurs, il n’était pas demandé à un historien de l’astrogie de s’impliquer outre mesure dans un tel débat quant à ce qui pourrait ou non être « sauvé » de son corpus. IL était tenu à un devoir de neutralité et dispensé d’essayer d’y voir clair. On ne lui en demandait pas tant! On ne s’étonnera donc pas qu’Hervé Drévillon (lire et écrire, ed Champvallon, 1996) n’ait pas jugé bon de s’intéresser à la nature des objections qu’un Pierre Gassendi pouvait adresser à l’astrologie quant à la cohérence de tel ou tel de ses dispositifs, de ses classements alors que précisément, de telles critiques  avaient marqué toute une partie du XVIIe siècle et étaient certainement plus encourageantes que l’indifférence dont elle sera victime par la suite. Il y a là une erreur de perspective regrettable. Comment comprendre un Morin de Villefranche dans sa polémique avec son  confrère Nicolas Bourdin sans traiter du fonds du débat (cf notre édition des Remarques Astrologiques, Ed Retz, 1975) comme si tout cela ‘ne pouvait être qu’anecdotique. Pas d’acharnement thérapeutique, n’est ce pas.   Quand nous avons traité dans notre mémoire « post-doctoral  en 2007 de la « naissance de la critique nostradamique au XVIIe siècle », nous avions pris le parti de resituer la dite critique -en 1656- au regard des recherches actuelles sur le sujet, puisqu’il y  était question de la « naissance de la critique nostradamique », ce qui supposait, ipso facto, d’en étudier l’histoire jusqu’à nos jours. Il eut fallu pour cela réunir un jury composé d’épistémologues et de critiques  des textes et non d’auteurs ayant traité  du corpus Nostradamus aux seuls XVIe-XVIIe siècles, ce qui pose la question de la « modernité » des méthodologies en oeuvre.

 

JHB  10 12 21

 

 

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Jacques Halbronn La GRANDE CONVERGENCE 2025-26

Posté par nofim le 10 décembre 2021

Jacques  Halbronn  La GRANDE CONVERGENCE  2025-26

 

 

Yves Lenoble déclarait dans une récente interview avec Laura Winckler dans la revue Acropolis à propos d’André Barbault:.

 

« S’il avait annoncé bien longtemps à l’avance que 2020 serait la pire année du XXIe siècle, il a annoné que la plus belle période du XXIe siècle est 2025-2026. Espérons qu’il voit aussi juste de ce côté-là »" Lenoble fait probablement ici référence à la pandémie, thème abordé en 2011 par Barbault. Il nous semble qu’il accorde une importance totalement disproportionnée à ce phénoméne  au prisme de l’Histoire de l’Humanité et quant au XXIe siècle, il est à peine commencé. Mais c’est là le travers de ces astrologues qui se  croient capables, pour les besoins de la cause,  à n’importe quel prix,  d’accorder de l’importance à tout ce qui viendrait confirmer une prévision qui entre dans leurs vues. Tout est question d’interprétation, n’est ce pas… Quant à déclarer que « la plus belle période du XXIe siècle » couvre les années 2025-2026, c’est vraiment beaucoup s’avancer, cette terminologie « la pire » ou ‘la plus belle » nous paraissant, en tout état de cause, pour le moins inadéquate voire puérile.   Cela dit,  nous sommes tout à fait d’accord, pour pointer les années 2025-2026, qui correspondent au passage de Saturne sur l’axe équinoxial, en bélier  mais aussi, pour les tenants du cycle Saturne-Neptune à  une conjonction dans ce même signe, forcément. 

On se dispensera de ces jugements à l’emporte pièce car l’astrologie se situe en amont et non en aval (comme la voyance avec sa boule de cristal) et l’usage que les hommes feront de telle ou telle configuration si l’on peut en annoncer les moyens, ne nous permet pas d’en déterminer les résultats, au final. Question de déontologie. Quand nous parlons de « grande convergence », nous n’entendons pas, comme le font la plupart des astrologues actuels, quelque conjonction ou concentration de planétes. Car nous ne souscrivons pas à une telle représentation des choses décalée par rapport à la matrice saisonnière, au niveau analogique. Le pari de Barbault aura été de détacher, de délester totalement l’astrologie du référentiel zodiacal, bref de n’en tenir aucun compte, préférant connecter les planétes entre elles que de les situer  zodiacalement (signe/constellation) C’est probablement ce que Lenoble appelle dans le même interview, de « modernisation » de l’astrologie. Cela a donné chez Barbault aussi bien l’étude du cycle Saturne-Neptune que la mise en place d’un indice « cyclique » à partir de cinq planétes au delà de Mars dont trois inconnues durant des millénaires même si l’on a pu -les astronomes en l’occurence- leur conférer des noms de dieux appartenant au meme ensemble mythologique que les planétes dites du Septénaire, ce qui aura apparemment suffi à leur intégration! D’ailleurs, si l’on remonte à Albumasar,  les conjonctions Jupiter- Saturne s’articulaient bel  et bien selon la classification des signes selon les 4 Eléments, avec une succession de « triplicités ».  Pour notre part, nous n’avons pas d’inclinaison à dramatiser la prévision astrologique outre mesure et nous pensons que tous les 7 ans et donc tous les 15 ans, des tournants significatifs se présentent. 

Toutefois, nous accordons la plus grande importance au prochain rendez-vous de 2025-2026 non point au regard de l’Histoire de l’Humanité mais à celui de l’Histoire, plus humblement, de l’Astrologie.  C’est bien là un rendez vous majeur à ne pas manquer car l’avenir de l’astrologie est en jeu. Ce sera le moment où jamais pour l’astrologie de marquer des points. André Barbault avait cru que ce serait le cas quand il pointait il y a 40 ans, les années 1981-82, sur la base de son ‘indice cyclique » Mais cela avait fait pschitt! Il est vrai que cet indice était assez bancal et constituait une étrange synthèse de cinq cycles en un seul et même graphique sans périodes  de même durée. A ce propos, il nous semble qu’Yves Lenoble mélange  délibérément deux paramétres : celui de l’indice cyclique et celui du cycle Saturne Neptune, passant allégrement de l’un à l’autre, à l’avenant. Car la désignation de l’échéance 2025-2026 reléve de Saturne Neptune alors que la question de, 2020, chez Barbault,  dépend de l’indice cyclque, la dite conjonction ayant, selon Barbault, vocation, du moins au départ, à couvrir l’aire géopolitique russe, d’où l’écho à l’échéance de 1989 qui là encore faisait coincider le cycle Saturne-Neptune et le passage de Saturne sur l’axe solsticial. Autrement dit, nous avons ici affaire à pas moins  de  trois paramétres, excusez du peu.

 

Donc, pour en revenir au rendez -vous de 2025-2026, nous commencerons par renvoyer à 2011, 14-15 ans plus tôt, à savoir au « printemps arabe » qui fit tâche d’huile en un rien de temps. L’on peut certes parler ici d’épidémie en astrologie quand un phénoméne s’étend au niveau socio-politique et c’est autrement plus sérieux que la « pandémie » que nous traversons actuellement et qui ne concerne aucunement le plan propre à  l’astrologie quoi qu’en pense Yves Lenoble. En tout cas, c’est ce type de contamination qui nous intéresse et non celui de quelque virus. L’astrologie est tombée bien bas! 

Ce que nous entendons ici par « grande convergence » est lié à la notion d’équinoxialité ( cf l’Astrologie EQSOLS), une telle phase se représentant tous les 15 ans environ. On retrouve une telle phase en 1940  lorsque l’Europe continentale fut placée sous la férule nazie sans rencontrer du moins avant le passage en phase solsticiale, car tout  a  une fin , de résistance vraiment substantielle. 15 ans plus tard, ce sera la mise en place de la Communauté Européenne, également caractéristique d’une remarquable voire improbable convergence et  Barbault, embarqué dans son trip « russe » n’a pas compris que le passage de Saturne sur l’axe équinoxial, n’avait pas grand chose à voir avec la mort de Staline: Décidément, Barbault aurait tendance à tout voir sous l’angle médical!  Quand nous déclarons que l’astrologie ne doit pas pas manquer un tel rendez vous, cela signifie qu’il va y jouer plus que jamais son crédit pour l’avenir  et il importe donc qu’avant cette date, les astrologues parviennent à « converger » à ce propos encore que nous soyons encore en phase solsticiale.

C’est l’occasion de préciser le rôle de Jupiter face à Saturne. Si Saturne traite des mouvements sociaux comme nous l’avions fort bien déterminé en 1994 dans ‘L’astrologie selon Saturne » dont la réussite prévisionnelle ne bénéficia pas d’un succés mérité, faisant ainsi perdre 30 ans à la communauté astrologique,  en revanche, Jupiter, la planéte de l’élite n’obéit pas, n’est pas soumise au cadre EQSOLS, ce qui lui permet de prendre de la hauteur, c’est ce qui permettra à De Gaulle, en 1940 d’échapper au climat équinoxial alors en vigueur.

Il reste que nous nous présentons  avec dans notre bagage cette belle réussite pour 1995 et ce n’était pas là une étude rétrospective mais prospective  alors que tout l’indice cyclique de Barbault reposait exclusivement sur une  approche a posteriori,  fondée sur l’étude de deux événements bien connus, à savoir les Deux Guerres Mondiales, d’où sa projection, son extrapolation vers une Troisiéme. En outre, cette prévision attestée pour 1995 reste valable trente ans après puisque lorsque’ l’on aborde la question des grands mouvements sociaux, on  traite dans la foulée 1968 et 1995. Car il est un peu  facile de commenter l’actualité à chaud! cf  « 1968, 1995, jeu d’échelles inversées »  de  Michelle Zancarini-Fournel/ Espace Temps Année 1997 64-65 pp. 42-53. in: Construire un événement. Mouvement social, sciences social). Cette année 1995 a acquis une dimension historique dans la mémoire collective, ce dont Barbault ne saurait se tarquer  avec ses prédictions mondiales pour le début des années 80 du siècle dernier qui avaient entrainé toute une génération d’astrologues dans le mur. 

En conclusion, quelques rémarques méthodologique:  quand André Barbault traite de la pandémie au prisme de son indice cyclique,  il «  »oublie » la Seconde Guerre Mondiale laquelle n’est pas marquée par un tél phénoméne alors que c’était le point de départ de l’élaboration par Gouchon de son « indice de concentration planétaire ». 

 

 

 

 

JHB  10 12 21

 

 

 

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Jacques Halbronn Sa trajectoire depuis 2016 et Réforme et Réenchantement

Posté par nofim le 9 décembre 2021

Jacques  Halbronn   Sa trajectoire depuis 2016  et  « Réforme & Réenchantement » ouvrage mis  en ligne sur SCRIBD

 

 Récemment, nous avons mis en ligne un ouvrage que nous avions gardé par devers nous, sans le diffuser,  ce qui nous laissait toute liberté pour le corriger indéfiniment. Mais nous nous sommes résolus à le mettre en ligne car il garde une certaine valeur dans sa construction et sa composition alors que par la suite, l’ouvrage de 500 pages aura triplé de volume. Nous nous chargerons ici, toutefois, de signaler les points qui auront faite l’objet de plus de changements.

 

I le statut des étoiles fixes

Nous avons établi que les étoiles fixes correspondant aux axes équinoxiaux et solsticiaux  changeaient du fait de la précession des équinoxes. On doit donc renoncer aux étoiles fixes royales qui ont fait leur temps. La précession des équinoxes  a été découverte du fait de la recherche des étoiles correspondant au cycle saisonnier, lesquelles sont en conjonction périodique avec Saturne.

 

 

 

II la question du français oral   Nous mettons désormais l’accent sur le différentiel entre le français oral et le français « lu » décalé par rapport au premier. La langue française dispose d’un clavier consonantique et vocalique exceptionnel dans sa pratique réelle qui n’est pas celle qui figure sur le papier. En ce sens, le français est une langue initiatique qui aura été (mal) imitée par l’anglais. Pour nous, le français est créateur de nouvelles consonnes et de nouvelles voyelles par sa « gastronomie » du langage.  On a l’exemple de combinaison de consonnes avec le « Tsadé », avec le « X » mais ce ne sont là que des traces d’un phénoméne bien plus étendu. On pense à des formes comme « de la viande » qui doit se prononcer « dla viande » (voir aussi « de l’eau » et de  la soupe à rendre par « dl »eau » et d’lasoupe)

 

 

 III les relations Hommes-femmes

 

Nous avons établi une cyclicité : l’homme permet  à la femme de faire des enfants et la femme diffuse l’oeuvre de l’homme.  C’est le sens du passage de Genése II sur la femme « aide » de l’homme, ce qui fait pendant au régne animal où le mâle  est au service de la femme pour l’enfantement.

 

 

IV Théologie  de la Sur-nature. 

 

 L’astrologie reléve de la Surnature, à distinguer nettement de la Nature tout comme des créations humaines. On pourrait parler d’un « Sur dieu » qui n’est nullement réductible au dieu premier mobile.  Il importe de distinguer Nature et Surnature.

 

 

 

 

 

 

 

 

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