jacques Halbronn Anthropocosmologie: le terrestre et le céleste. Astrologie et sexe.

Posté par nofim le 22 mars 2022

jacques  Halbronn  Anthropocosmologie:  le terrestre et le céleste. Astrologie et sexe. 

 

 

L’astrologie  fait-elle l’impasse sur le sexe? Les  astrologues pensent-ils que les signes zodiacaux, que le thème astral peuvent  se  substituer à la prise en compte du sexe? Dans le cadre de l’anthropocosmologie; il nous semble qu’il importe de combiner les signes célestes et les signes terrestres et que le sexe est un signe terrestre de première importance.  Autrement dit, nous entendons intégrer le sexe et l’astrologie  au sein d’une anthropocosmologie. Inversement, il nous semble hors de question d’exclure les signes célestes de l’approche anthropologique. 

En fait, nous pensons que la description psychologique d’une personne ne saurait ignorer la dimension du sexe, du genre et qu’il est essentiel dans la formation d’un astrologue de bien maitriser la description de  la  psychologie, du psychisme du masculin et du  féminin.  Bien plus nous pensons qu’une bonne connaissance de ce qui distingue le masculin du féminin  –et notamment ce que nous appelons la psychologie sensorielle-pourrait conduire à se passer carrément du thème natal  ou du signe solaire lesquels ne feraient que combler le vide laissé par l’incurie du  traitement de la question du  genre. Autrement dit,  plus l’on approfondit la question du masculin et du féminin, plus l’on peut se passer de l’astropsychologie statique du thème natal et du signe solaire par opposition à une astrologie prévisionnelle et cyclique qui, elle, serait parfaitement légitime et fondée.

Le problème, c’est qu’actuellement, la question du sexe est en jachère et que les recherches en ce domaine sont apparemment au point mort, hormis évidemment la dimension anatomique et médicale, pathologique., et ce en dépit du travail d’un Sigmund Freud, il y a plus d’un siècle.  Nous avons procédé à  certaines expérimentations, notamment lors des colloques organisés en l’An 2000, dont le premier sur la Dualité, consistant à  faire passer pour issues du thème natal  des descriptions typologiques fondées sur le sexe des consultants (patients).  Il suffisait pour cela de choisir dans le thème de la personne ce qui correspondait peu ou prou à la description genrée que nous avions établie à l’époque. Michel Gauquelin avait d’ailleurs montré qu’un même portrait psychologique censé fondé sur le thème natal présenté à diverses personnes, était accepté comme véridique par les intéressés.

Autrement dit,  dans le cadre de ce que nous avons appelé, il y a 30 ans, la « cosmothérapie » (cf Clefs pour l’astrologie. Réédition 1993), nous proposons aux étudiants en astrologie de leur fournir un bagage solide en psychologie « sexuelle » en leur épargnant ce faisant de se perdre dans le labyrinthe du thème natal  qui est une métastase de la vraie astrologie, dans le cadre d’études d’anthropocosmologie. Cette expression  fut notamment mise en avant par l’INAC, l’Instititut National d’Anthropocosmologie;, sis à Liége (Belgique) fondé par le regretté Jean Hoyoux (décédé en 1986) – cf le cohgrès INAC MAU  de 1978; à Lille- et portée par Jacques Vanaise sans que cela implique forcément  la même démarche que la notre, laquelle entend refonder l’astrologie sur l’observation de la société  et non sur la tradition astrologique. 

Il est à noter que cette pseudo psychologie astrologique natale  sera parvenue dans bien des cas (cf le débat à la FDAF, du temps d’Alain de Chivré) à éclipser la dimension prédictive de l’astrologie qui est pourtant son coeur de métier car le céleste ne saurait s’entendre sans une dimension cyclique/ D’ailleurs, chez la femme, du  moins  jusqu’à la ménopause, existe  une cyclicité, celle de la menstruation dont la périodicité est en analogie avec celle de la  Lune. Rappelons que le sexe reléve du visuel et que l’astrologie actuelle contribue à en nier la portée (cf notre  récente étude Anthropologie du visuel  sur NOFIM)

 

 

 

 

JHB 22 03 22

Publié dans anthropocosmologiz, ASTROLOGIE, RELIGION | Pas de Commentaire »

jacques Halbronn Pour une anthropologie du visuel

Posté par nofim le 22 mars 2022

jacques  Halbronn Pour une anthropologie du visuel. 

 

 

Tout se passe comme si  s’était développé ces derniers temps un tabou vis à vis du visuel. Certes, on nous parle de signes ostensibles d’appartenance mais cela dépend de nos désirs d’appartenance et cela peut relever du fantasme ou de l’imposture, même dans le cas du choix d’une langue et d’un statut  juridique (comme la naturalisation, la conversion qui donnent droit à un document que l’on  peut montrer ou pas  )

 Or il existe des visuels  qui ne dépendent pas de nous, comme le sexe (encore que l’on puisse en changer) l’âge, la couleur de la peau. Le visuel permet de « pré-voir », d’avoir quelque idée  peu ou prou sur ce quel  pourra être, risque d’être le comportement, l’attitude d’une personne donnée. Ainsi, le masque serait-il un obstacle à la perception visuelle.(cf la pandémie) d ‘autrui;  Notre société  actuelle semble vouloir déterminer son propre visuel et ne pas dépendre des données immédiatement perceptibles à l’oeil nu et en cela elle s’arroge une certaine liberté. Mais à quel prix?. Au prix d’une certaine désorientation, d’une imprevision face à l’autre qui devient un inconnu ou qui se fait passer pour ce qu’il n’est pas vraiment. On retrouve le masque  qui suggère une identité  dont on s’est emparé.

En linguistique, nous avons le cas des synonymes où deux mots visuellement distinctes se voient chargés d’une même signification, comme c’est le cas, notamment, en anglais du fait de sa diglossie, liée à ses emprunts au françaisSelon nous, ce refus du visuel est toxique et l’enfant qui est inévitablement marqué par le visuel se voit très tôt découragé d’y recourir, du  fait d’un « Surmoi » qui lui impose de ne pas en tenir compte, de ne pas se fier au dit  visuel pour se fier à un certain consensus ambiant encore que certains enfants refusent un tel leurre qui met en cause leur autonomie de perception. 

 Il importe de revenir au principe matriciel du visuel, tant sur terre qu’au ciel -et nous pensons notamment aux signes célestes, aux configurations astrales.  Le déni du visuel  n’a au vrai que des effets limités car au niveau de la Subconscience, nous sommes des êtres déterminés par le visuel. Chassez le naturel, il revient au galop.    L’étranger est tenté par la pratique d’un tel déni du visuel car cela lui permet de relativiser sa différence, son « étrangeté », il souhaite se fondre par la ruse dans la masse  de l’espace dans lequel il entend pénétrer. 

 

 

JHB  22 03 22

 

 

 

 

Publié dans anthropocosmologiz, ASTROLOGIE, FEMMES, LINGUISTIQUE, sociologie | Pas de Commentaire »

jacques Halbronn Sans une astrologie retrouvée, l’humanité court à sa perte.

Posté par nofim le 21 mars 2022

jacques  Halbronn  Sans  une astrologie retrouvée, l’humanité court à sa perte.   

 

 

2022 aura à la fois mis en évidence l’impuissance de l’astrologie selon Barbault  et souligné l’urgence de maîtriser  parfaitement les problématiques cycliques car avec la menace nucléaire rééditée, on ne peut plus se contenter de l’empirisme et du tatonement actuels. en raison même des avancées technologiques qui risquent de nous dépasser et de nous broyer. Et cette urgence doit absolument prévaloir sur l’alerte écologique. 

Il est de la responsabilité du milieu astrologique de mettre fin à un certain aveuglement en reconnaissant tout simplement les faits, à savoir que le dénommé Halbronn aura  finalement accouché de la « bonne » astrologie qu’il avait déjà présenté en 1976 dans Clefs pour l’astrologie (traduit en espagnol,  réédité en 1993),  il y aura bientôt un demi-siècle.   

Les  astrologues  ont désormais une lourde responsabilité, à la fois s’ils ne reconnaissent pas la vraie astrologie et à la fois s’ils continuent  à promouvoir   une fausse astrologie qui risque d’égarer les esprits. Par ailleurs,  les divers systèmes électoraux avec leurs calendriers aléatoires ne peuvent, eux aussi, qu’embrouiller les esprits et générer de fausses échéances. Actuelllement, les pratiques démocratiques dont l’Occident est si fier peuvent l’entrainer à sa ruine. En ce sens, les instituts de science politique, de droit constitutionnel  devront rapidement  prendre connaissance de l’astrologie « retrouvée » car l’on voit bien qu’ils ne sont pas à la hauteur de la situation. A la différence du monde médical, qui aura su  comprendre comment fonctionne notre organisme physique, les sciences sociales ne sont pas parvenu, en temps voulu, à décrire l’anatomie de  la gouvernance de la Cité.  Ces politilogues qui occupent les plateaux des média nous font penser aux médecins dans les pièces de Molière dont on célébre l’anniversaire de sa naissance en 1622.

 

 

 

 

JHB  21 03 22

Publié dans ASTROLOGIE | Pas de Commentaire »

jacques halbronn Anthropocosmologie : le sept, la Lune, les régles, les saisons, Saturne.

Posté par nofim le 21 mars 2022

jacques  halbronn Anthropocosmologie  :   le sept, la Lune,les régles,  les saisons, Saturne

 

La thèse que nous dédfendons  est  » créationnaiste » par opposition à  un processus qui serait naturel, spontané, sui generis. En ce qui concerne la genése  de l’astrologie, les astrologues ont bien tort d’insister sur son incription dans la « Nature »,  comme serait tenté de la faire un Jean Pierre Nicola. Certes, se référer à la Nature plutôt qu’ à des dieux étrangers à notre Humanité, « extra-terrestres », c’est en apparence choisir un « profil bas » et il ne faudrait pas trop charger la barque en s’exposant aux sarcasmes  de tous ceux qui rejettent absolument toute intervention d’une  intelligence extérieur,  dotée d’un « intelligent design ».

Selon nous, plusieurs facteurs militent en faveur d’une certaine transcendance originelle de l’astrologie après avoir envisagé d’autres solutions telle que l’instrumentalisation à propos de nos commentaires sur les résultats Gauquelin (cf « La pensée astrologique » in Histoire de l’astrologie de Serge Hutin, Ed Artefact, 1986) 

On commencera par notre satellite, la Lune dont les « chiffres » sont en résonance avec ceux de la planéte Saturne, ce qui crée une sorte de lien entre la lune qui représente  notre Terre et Saturne, notre « ciel ». (cf  Genése I, 1) Notons aussi que la femme a  un cycle en analogie avec celui de la Lune, ce qui achève de nous convaincre  du lien très particulier  qui relie l’humanité au systéme solaire.

Ensuite, il ressort que le  Zodiaque renvoie au cycle saisonnier, donc au rapport du Soleil à la Terre (cf notre précédente étude) et le cycle saisonner s’articule sur les équinoxes et les solstices.

C’est pourquoi nous nous intéressons au passage de Saturne sur notre cycle saisonnier annuel.  Avouons que tout cela n’est pas très « naturel » et sent son invention, celle de l’Intelligent Design.   Cependant,  la thèse que nous défendons est de nos jours de mieux en mieux acceptée.  On renverra à l’ouvrage ,  » Dieu, la science, les preuves « de Michel-Yves Bolloré et Olivier Bonnassies (Guy Trédaniel, 2021) qui  « , selon Thiérry Magnien  » prend le risque de confondre les domaines de la science et de la foi, et de faire de Dieu un fabricant tout-puissant de l’univers. » et l’astrologie serait au coeur même d’une telle problématique et contribuerait à l’entériner si ce n’est que nous ne défendons pas l’idée d’un univers « créé » et planifie, mais, plus modestement, de dieux ayant agencé notre petit monde,  notre ciel de proximité, à savoir le seul « systéme solaire » et une humanité terrestre capable d’en suivre le mouvement cyclique, représenté par Saturne puisque nous pronons un saturnocentrisme, nouvelle révolution après celle de Copernic, au début du XVIe siècle..

Qui dit dessein intelligent  implique que rien n’est fait par hasard mais a sa raison d’être, à savoir la bonne gouvernance de notre humanité et pour cela, selon le principe d’Occam, il faut que les choses soient simples, lisibles, intelligibles par notre Humanité ou en tout cas par ses leaders. De même nous pensons que le message premier de l’astrologie n’aura pas été alambiqué mais fondé sur la réuurence du nombre 7, ce qui renvoyait à Saturne.  C’est ainsi que nous avons construit toute notre astrologie mondiale, dès 1976, dans Clefs pour l’Astrologie, sur ce nombre qui, selon nous, sous tendait la formation et la dislocation des empires et c’est cela qui nous aura conduit de fil en aiguille à la relation Saturne- Quatre Saisons.   

Par ailleurs, nous avons reproché, paradoxalement, à la tradition  astrologique dominante d’être géocentrée en ce qu’elle percevait les planétes du systéme solaire comme autant de facteurs et de vecteurs agissant. Mais c’est là un géocentrisme de mauvais aloi qui aura contribué, avec Ptolémée à des représentations très compliquées tant sur le plan astronomique (Almageste) qu’astrologique (Tétrabible)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  21 03 22

Publié dans ASTROLOGIE | Pas de Commentaire »

Jacques Halbronn Astrologie « ô temps, suspends ton vol » L’alternance comme suspension et report.

Posté par nofim le 21 mars 2022

Jacques  Halbronn   Astrologie  « ô temps, suspends ton vol » L’alternance comme suspension et report.   

 

 

 

Une conséquence sur laquelle nous n’avons probablement pas, jusqu’ici, suffisamment insisté en cyclologie est la nécessité d’attente du retour de la phase dans laquelle on se trouve à un instant T. A la solution de la continuation  pour une durée indéfinie, « sine die », et celle de l’arrêt définitif, s’oppose celle de la suspension pour une durée déterminée.

Il  est clair que ce qui est accepté en phase équinoxiale risque de ne plus l’être en phase solsticiale et vice versa mais cela pourra le devenir si l’on attend jusqu’à la phase équinoxiale suivante, à venir. Il semble cependant que cette notion de suspension, de report ne soit pas pleinement conscientisée et notre premier réflexe est de vouloir perpétuer, pérenniser les termes d’un accord  ad vitam aeternam ou bien d’en fixer la fin En revanche, la détermination, la fixation, l’éventualité d’une suspension  ne vient pas immédiatement à l’esprit, nous a-t-il semblé.

Il  est vrai que cela ne fait sens que dans le cadre d’une périodicité permettant de  déterminer un calendrier, une durée de la suspension. Il y a certes, le droit constittutionnel qui fixe la fin d’un mandat électif et les soumet à une suspension si le « sortant »  n’a pas  été reconduit mais le probléme, c’est que pour fixer les dates, il ne dispose d’aucun critère valable au regard de la cyclicité, s’interdisant, ce faisant, d’annoncer la date d’une « reprise », d’une « restauration » de la phase d’avant.

 

Ecclésiaste  III  1-12

« Il y a un moment pour tout et un temps pour chaque chose sous le ciel : Il y a un temps pour enfanter et un temps pour mourir, un temps pour planter et un temps pour arracher les plantes. Il y a un temps pour tuer et un temps pour guérir, un temps pour démolir et un temps pour construire. Il y a un temps pour pleurer et un temps pour rire, un temps pour gémir et un temps pour danser. Il y a un temps pour lancer des pierres et un temps pour les ramasser. Il y a un temps pour embrasser et un temps où il n’est pas bon de le faire. Il y a un temps pour chercher et un temps pour perdre, un temps pour garder et un temps pour jeter. Il y a un temps pour déchirer et un temps pour coudre, un temps pour se taire et un temps pour parler. Il y a un temps pour aimer et un temps pour détester, un temps pour la guerre et un temps pour la paix. J’ai regardé les occupations que Dieu impose aux humains. Il fait toute chose belle en son temps, Dieu fait arriver toute chose au bon moment. Il a donné aussi aux humains le désir de connaître à la fois le passé et l’avenir. Pourtant, ils ne peuvent pas connaître l’ensemble de ce que Dieu accomplit. Ainsi, je le sais, le seul bonheur pour eux, c’est de se réjouir et de profiter de la vie. »   

Ce principe de suspension nous apparait comme singulièrement propice  à garantir une certaine équité en évitant les mesures par trop  radicales.

 

 

 

 

 

JHB  21 03 22

 

Publié dans ASTROLOGIE | Pas de Commentaire »

Jacques Halbronn La disqualification des cycles longs en astrologie

Posté par nofim le 19 mars 2022

Jacques  Halbronn    La disqualification des cycles longs en astrologie 

 

 

L’astrologie  donne des verges pour se faire fouetter par les anti-astrologues de service. C’est certainement le cas de son investissement sur les cycles longs. Il est étonnant que l’on n’ait pas signalé la faille des travaux sur le cycle Saturne-Neptune (36 an) et sur le cycle Saturne-Uranus.(45 ans) chers notamment à André Barbault, Yves Lenoble et Gilles Verrier. Il est grand temps que la recherche  astrologique prenne ses distances par rapport à ces cycles incluant des planétes inconnues de l’Antiquité.

 

I Cela ne géne apparemment pas grand monde que pendant la plus grande partie de l’Histoire de l’Humanité,   ces planétes n’aient pas été perçues et intégrées car cela donne une image hors sol de l’astrologie. le fait qu’on leur ait donné des noms de dieux comme aux planétes du Septénaire n’y change strictement rien  et d’ailleurs, ce fut l’oeuvre des astronomes et non des astrologues, ce qui est logique puisque les  noms des signes et des planétes sont une invention des astronomes et n’offrent aucun caractère scientique : c’est du méta-langage de pure convention. Or, le métalangage  n’exige aucune cohérence et est aléatoire, d’où le caractère hétérogéne des séries zodiacales et planétaires et l’astrologue ne saurait puiser dans un tel vivier!

 

II Les cycles longs  englobent nécessairement des cycles courts et comme on dit, même une horloge arrêtée donne la bonne heure deux fois par jour. Certains , comme Yves  Lenoble, se sont entichés des cycles longs en croyant que cela permettrait une connexion avec les représentations des historiens qu’ils ont pris pour argent comptant. Mais ce faisant,  ils auront  laissé pour compte une grande partie des événements astrologiquement significatifs.  Ils parlent de ce qui correspond à leur grille mais pas de ce qui n’y correspond pas, ce qui s’apparente à une forme d’escroquerie intellectuelle. Ce faisant, ils constituent des chaines évenementielles boiteuses et bancales; du fait de leur astrologie disproportionnée  et décalées au regard de l’anthropologie sociale. 

 

III Le cycle de 7 ans aura été occulté et sacrifié sur l’autel des cycles longs. L’indice cyclique de Barbault   aura tenté d’intégrer les cycles longs au sein d’un modéle unique qui est  une monstruosité cyclique,  qui ne comporte aucune périodicité  régulière et récurrente.

 

 

JHB  19. 03 .22

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB   19 03 22

Publié dans ASTROLOGIE | Pas de Commentaire »

jacques halbronn L’esprit des colloquues astrologiques, leur vraie raison d’être

Posté par nofim le 18 mars 2022

 

 jacques  halbronn  L’esprit  des colloques  astrologiques, leur vraie raison d’être   

 

Le   rôle des colloques est selon nous de faire apparaitre des clivages.Tout bon animateur de tables rondes doit susciter, découvrir chez les participants des lignes de clivage, ce qui exige évidemment de rassembler des positions aussi diverses que possible et de parvenir à mettre d’accord sur ce qui rapproche tout autant que sur ce qui divise. Cela vaut dans le domaine politique dans les médias que dans le domaine astrologique et en fait dans tous les domaines. Quand on ne parvient pas à faire ressortir des clvages et donc à montrer les limites de ce que l’on pouvait considérer un peu vite comme un consensus, on envoie des signes de faiblesse aux observateurs. C’est ce qui explique actuellement la démarche d’un Serge Bret Morel et avant lui d’un Philippe Zarka, qui parle de l’astrologie comme d’un tout monolithique, cristallisé. Il est donc urgent de faire étalage d’une certaine diversité pour dissuader les potentielles attaques.

  C’est le rôle des colloques astrologiques que  d’éviter une telle perception des choses. Malheureusement,  depuis une trentaine d’années,, une tendance dans  un certain milieu astrologique aura été d’écarter les voix dissonantes, chez Yves Lenoble (ARRC Hermés) comme chez Franck Agier (Baglis TV) Nous nous opposons vigoureusement à une telle stratégie qui ouvre un boulevard aux astrosceptiques face à une cible qui reste figée et qui ne se renouvelle guère.

C’est  pourquoi, nous pensons qu’il est grand temps  de penser à concevoir un « nouveau visage pour l’astrologie », ce qui pourrait être le thème d’un prochain colloque organisé par la BURA (Bibliothèque Universitaire de Recherche Astrologique) et la BINA  (Bibliothèque Internationale de Numérisation en Astrologie) à l’automne 2022. Nous lançons donc un Appel à communications autour de deux axes:  1  bilan de l’astrologie: que valent les statistiques, que valent les succés prévisionnels et 2 état de l’anti-astrologie, valeur de ses arguments avec un 3e axe, autour  de  ce « nouveau visage »  représenté notamment mais pas seulement par les avancées remarquables de l’Astrologie EXOLS. 

 A ce propos,  il convient d’applique la grille EXOLS  à la problématique générale des Colloques. La phase de 7 ans de solsticialité a vocation à casser une image d’un seul tenant de l’astrologie car toute avancée conduit à une croisée des chemins. Même les théories les  plus assurées  débouchent sur des clivages. A contrario, au bout  de 7 ans, l’on passe à une phase d’équinoxialité qui va tendre à unifier le monde des chercheurs autour d’un courant qui sera parvenu à l’emporter. C’est ainsi que fonctionne toute Cité scientifique ou autre.  Une mue de l’astrologie est nécessaire. D’autres mues ont précédé et l’on peut penser qu’autour d’André Barbault  entre autres – on peut penser  à Jean Pierre Nicola ou à Michel Gauquelin, chacun en son style- a pu se développer une certaine espérance de renouveau de l’astrologie, pendant un bon demi-siècle. Mais  l’on est en droit désormais d’en faire le bilan et de constater la nécessité de l’émergence d’un nouvel élan pour prendre la reléve de la génération née dans les années Vingt du siècle dernier. 

Il importe notamment de tirer tous les enseignements de la crise actuelle de 2022  en ce qui concerne l’arsenal de l’astrologie à la Barbault. Etrangement, les choses semblent se répéter, comme il y  a  60 ans. Barbault n’avait pas vu venir la crise de 1962  pas plus que celle de 202-il décéde en 2019 mais cela n’empêche pas qu’il aurait pu annoncer 2022 (au lieu de s’égarer sur une affaire de pandémie qui ne reléve pas de la géopolitique. Dans les deux cas, Barbault va pointer en vain  1965 (La crise mondiale, Ed Albin Michel) et à la suite Lenoble 2026 (voir le site des astrophiles) du fait de la prochaine conjonction Saturne Neptune.  Certes, reconnaissons que Barbault  a  eu raison de mettre la Russie au coeur de la recherche astrologique  mais il aura manqué des rendez vous majeurs au niveau de la chronologie prévisionnelle sans parler de rendez vous sans effet pour le début des années 80. La question est de savoir si l’on va continuer à défendre coute que coute  une cause perdue ou bien si l’on va reconnaitre  qu’il est temps de changer de logiciel: 

Envoyez nous donc votre accord pour participer à ce forum qui sera structuré à partir de vos propositions comme ce fut le cas en novembre 2004 qui fut un grand rassemblement des divers courants et qui fut prolongé par la mise en place de notre télévision à partir de 2007-2008 où l’on mit en ligne de nombreuses archves vidéo de nos colloques depuis les 20 ans écoulés alors.   Cela dit, c’est bien en 2025-2026 que le milieu astrologique devrait trouver son chemin de Damas avec le passage de Saturne sur l’axe équinoxial bélier-balance non point en raison de la validation des prévisions d’un Lenoble mais parce que ce passage devrait être un signal fort pour les 7 années qui suivront quant à l’intégration de l’astrologie  dans le champ de la science politique et sa reconnaissance comme un protagoniste incontournable, ce qui signifie à terme  l’effondrement de l’ostracisme dont elles est victime, du fait d’une  diabolisation et d’une stigmatisation/ C’est le rôle de la phase équinoxiale d’abolir les frontières.

 

JHB 18 03 22

 

 

 

Publié dans ASTROLOGIE | Pas de Commentaire »

jajacques halbronn La question des subdivisions du cycle astronomique en astrologieJ

Posté par nofim le 17 mars 2022

jacques  halbronn  La question des subdivisions du cycle astronomique en astrologie

 

Sous  le terme « subdivision » , nous entendrons ici, les aspects, les périodes qui découpent un cycle astronomique selon  l’Astrologie Mondiale

 

La question des aspects  se pose d’emblée quant à leur nombre et à leur signification. En astrologie mondiale,  la multiplicité des aspects apparait vite comme une échappatoire facile.  Sélon nous,  une approche binaire est recommandée et plus crédible. Encore faudrait-il s’entendre sur la subdivision d »un cycle astronomique et sur le statut de l’aspect d’opposition et de l’aspect de quadrature. à propos desquels régne une confusion persistante.  La division en 4 du cycle est la plus logique, comme c’est le cas pour les 4 saisons. Mais en fait, un cycle comporte deux hémicycles et chaque hémicycle. est divisible en 2.    Le  carré avec son attribution  dissonante  est extrémemennt révélateur.  La phase 2 est en antinomie avec la phase 1. et la phase 4 avec la phase 3,  et la phase 3 avec la phase 2  et ainsi de suite/ En revanche, l’opposition ne devrait pas être un marqueur de conflit mais assimilée à une conjonction, ce que Barbault n’a  pas compris pour son indice cyclique en mettant l’opposition au même niveau qu’un carré. . On notera d’ailleurs que le sextile  (aspect réputé harmonque)et  l’opposition connnectes des signes correspondant aux même Eléments  De surcroit;, si le carré connectes des signes  de genre différent, tel n’est pas le cas de l’opposition..

En  astrologie EXOLS, le carré trouve toute sa portée puisque l’on distingue très nettement la tonalité équinoxiale et la tonalité solsticiale.  Mais en fait les aspêcts créent de la confusion quand on tient compte des aspects entre plusieurs cycles planétaires, comme l’a proposé Yves Lenoble pour expliquer certaines aberrations de l’indice cyclique.  Les aspects ont été inventés par les astronomes pour se répérer dans le cile comme le zodiaque et le nom des planétes et ce métalangage n’a aucun caractère scientifique. Or, pour les astrologues, tout ce qui émane de l’astrologie est de l’or. Grave erreur/ 

En revanche, la division en 4 saisons offre une réalité bien plus solide et objective. Quant aux aspects entre planétes, c’est une fiction visuelle, à commencer par la conjonction car les planétes ne tournent pas les unes par rapport aux autres. C’est pourquoi nous rejetons les aspects entre planétes et a fortiori avec les planétes inconnues de l’Antiquité et invisibles à l’oeil nu comme  Uranus et Neptune. Rappelons que la tradition astrologique avait instauré les décans et les termes, pour découper chaque signe zodiacal en 3 et en 5 respectivement avec un systéme de maitrises planétaires. Les tentatives des astrologues pour relier les planétes et les 12 signes sont assez pathétiques puisuqe si les planétes existent, ce n’est pas le cas des 12 signes mais seulement des 4 saisons, liées à l’inclnaison de la Terre  (cf notre annexe).

En ce qui concerne l’astrologie allemande, la Kosmobiologie de Ebertin, l’on commet une erreur majeure en assimilant le carré à une conjonction sous prétexte que cela relie deux signes cardinaux, ou deux signes fixes ou deux signes mutables.

En conclusion, nous insisterons sur le point suivant:  un cycle en astrologie n’est pas un cycle en astrologie. L’astrologie doit travailler sur des demi-cycles et c’est pourquoi nous accordons la plus grande importance aux intérvalles de 15 ans en 15 ans, qui corresppondent àes événéments du même ordre, tout comme les saisons équinoxiales se ressemblent  à l’instar  des saisons solsticiales

 

.

 

 Annexe (pris sur Internet)

Les saisons

Le cycle des saisons trouve son origine dans l’inclinaison de la Terre. En effet, l’axe de rotation de la Terre (l’axe nord-sud) est incliné d’environ 23° par rapport au soleil.Les rayons du soleil frappent donc la Terre avec un angle différent selon la période de l’année. En été, l’hémisphère nord voit le soleil plus directement et la quantité de lumière (et donc de chaleur) reçue à sa surface est plus grande ! D’ailleurs la course apparente du soleil dans le ciel est plus grande. Par contre, l’hémisphère sud reçoit moins de lumière est il y fait donc plus froid.

En hiver, c’est l’inverse. L’hémisphère nord est plus incliné par rapport au soleil et la qualité de lumière reçue à sa surface est plus faible, cela implique une baisse des températures. Le soleil apparait plus bas sur l’horizon et sa course apparente est plus courte.

 

 

 

 

 

 JHB  17 03 22

Publié dans ASTROLOGIE | Pas de Commentaire »

jacques Halbronn Le mirage de la conjonction de Saturne avec deux transsaturniennes en 1988-89

Posté par nofim le 16 mars 2022

jacques  Halbronn Le mirage  de la conjonction de Saturne avec deux transsaturniennes en 1988-89

 

Baglis TV vient de mettre en ligne des exposé de Gilles Verrier sur le « cycle » Saturne Uranus avec une conjonction, fin sagittaire-début capicorne   laquelle coincide grosso modo avec le « cycle » Saturne-Neptune, d’où des réflexions sur les événements de 1989 que l’on associe généralement à la conjonction Saturne Neptune. Mais c’est oublier une notion bien plus évidente, à savoir le passage de Saturne sur l’axe solsticial  capricorne-cancer qui est le vrai moteur du processus. Cette coincidence entre le  changement de phase septennal de Saturne et les formation de ces deux conjonctions  aura ainsi  entrainé des conclusions parfaitement erronées, ce qui est le propre des coincidences.

Il importe de comprendre  que les cycles longs- 36 ans pour Saturne Neptune et 45 ans pour Saturne Uranus ne sont validés que par le biais des cycles courts avec lesquels ils coincident périodiquement. On peut le démontrer en observant que  ces deux cycles ne rendent pas compte de toute une série d’événements du même odre, ce qu’en revanche permet le cycle Saturne-axes précessionnels de l’astrologie EXOLS, faisant alterner  Equinoxialoité et solsticialité. Le défaut  de ces deux cycles bi-planétaires en question qui se trouvent avoir coincidé fin 1988 début 1989, c’est de ne pas comporter de binarité et donc d’interpréter à l’identique les conjonctions ainsi formées, sans teiir le moindre compte de leur positionnement zodiacal: quarte printemps, quarte Eté etc comme si cela était indifférent. On a donc là une approche très grossière au niveau cyclologique tant chez Barnault, chez Lenoble que chez Verrier.   

Autrement dit, il y a là un appauvrissement regrettable de l’analyse cyclologique, à la fois au niveau d’un balisage chronologique

lacunaire de l’Histoire du XX siècle et du début du XXIe siècle,  et  là la fois en ne distinguant pas les conjonctions successives de chaque cycle.  L’outil ainsi proposé par ces chercheurs est bien moins performant que celui que nous avons proposé et il serait bon que Baglis TV  instaure un débat contradictoire à ce sujet dans l’intérêt et pour l’honneur  de la cause  astrologique. Ce serait désorùaais grand temps!   Quelques exemples des carences du cycle Saturne Neptune déjà signalés mais qui pourraient  être mises en évidence pour le cycle Saturne Uranus-on notera dans le en 1977  (soit un demi cycle de Saturne, qui raméne des périodes de même nature que pour 1989-1991 mais aussi que 2022.  Quand Lenoble annonce pour 2026 des effets comparables à ceux de 1989 du fait d’une nouvelle conjonction Saturne-Neptune,  il  ne tient pas compte du fait qu’en  2026 la conjonction aura lieu sur l’axe équinoxial dont les effets diffèrent radicalement de 1989; sur l’axe solsticial. A bon entendeur salut. Errare humanum  est, perseverare diabolicum.

Verrier signale que la prochaine conjonction Saturne-Uranus aura lieu en  2032. L’alignement du cycle Saturne Uranus n’aura eu qu’un temps et il  y a là un décrochage. En tout état de cause, Verrier qui fait son exposé en 2021  ne « voit » evidemment pas venir les événements de 2022 pas plus que Lenoble., qui s’inscrivent dans une phase solsticiale de 7 ans qui s’achèvera fin 2025. Il est vrai que pour cette « école » d’astrologie, la notion de phase de 7 ans est  étrangère et qu’ils croient que l’impact d’une conjonction se réduit à l’année durant laquelle elle survient et c’est ainsi que Barbault associait Saturne Neptune à la seule année 1953! A ce propos, le passage de Saturne en phase équinoxiale, ce qui englobe le moment de la dite conjonction, fut d’abord celui de la formation de la Communauté Européenne, donc strictement rien à voir les événements de 1989, en phase solsticiale.  De même en 2025-26, on sera en phase équinoxiale et non plus en phase solsticiale comme en 1989, ce qui signifie que la période solsticiale actuelle s’achèvera et la phase suivante en prendra le contre pied.  Selon nous, une phase de 7 ans  commence par un signal fort – c’est la conception (au sens de la procréation) au moment de la conjonction et atteint son pic – c’est l’accouchement-à mi- parcours, soit 3 ans et demi. En l’occurrence,  1988  produira tous ses effets en 1991 avec le démantélement de l’URSS. De même, ce qui se passe actuellement en 2022 est le pic de la phase de 7 ans en astrologie EXOLS et cela aura  débuté avec les problémes posés par le Royaume Uni aboutissant au BREXIT.  Ce qui d’ailleurs nous indique que l’Union Européenne n’a pas fini d’être affectée par la phase solsticiale actuelle, ce qui fait pendant à l’Ouest à ce qui se produisit à l’Est de l’Europe en 1989,  sous la même configuration.

Par ailleurs, Verrier  s’intéresse aux aspects entre les deux planétes au lieu de s’ancrer sur le passage de Saturne sur les axes  saisonniers, rompant en cela avec la théorie des grandes conjonctions d’Albumasarr. pour Jupiter-Saturne -(on ignorait alors l’existence d’Uranus mais pas du dieu). Saturne joue un rôle important également pour les périodes de 300 ans en  300 ans, ce qui aboutira à 1789 (cf l’ouvrage de Denis Labouré Astrologie et religion). Mais ce qui fait surtout probléme, ne l’oublions pas, c’est le recours de Verrier à toutes les planétes du systéme solaire alors que cela correspond à un géocentrisme quand on croyait que les planétes tournaient autour de la Terre. L’astrologie n’a pas assumé cette révolution copernicienne du XVIe siècle. Avec le polyplanétarisme, aucune configuration ne se répété exactement car il y a toujours un autre mélange planétaire alors qu’en astrologie EXOLS, toutes les phase du meme type ont le même profil, puisque seul Saturne compte en tant que planéte, dans un processus héliocentré qui veut qu’il’y ait qu’un seul et unique facteur central. Saturne est le coeur du systéme astrologique.(cf notre manifeste « L’ Astrologie selon Saturne, 1994, paru en période solsticiale comme actuellement, 28 ans plus tard. IL aura fallu tout un cycle de Saturne pour que  la vérité l’emporte/Quant à l’usage de planétes au delà de Saturne, il s’agit bien là d’une hérésie moderniste..

La période solsticiale actuelle est une invitation à affirmer qu’il n’y a pas une seule Astrologie qui serait celle de Barbault, Lenoble et Verrier mais qu’il existe une alternative, celle de l’Astrologie EXOLS et les adversaires de l’astrologie comme Serge Bret Morel seraient bien avisés de mettre tous les chercheurs en astrologie dans le même sac. Il semble d’ailleurs qu’à partir de 2026, en phase équinoxiale, la supériorité de l’astrologie EXOLS fera l’objet d’un consensus général et que les pratiques d’un Verrier et d’un Lenoble auront fait long feu?. (cf  Verrier   Le cycle Saturne Uranus.  1988- 2032 un duo inattendu entre abstraction et incarnation ») En tout état de cause, la théorie selon laquelle  il faudrait tenir compte de la succession de conjonctions planétaires, dans l’esprit de l’indice cyclique de Barbault, aura été mise à mal car cette période de 1988-89  aura été-avec le recul, bien plus calme que celle que nous traversions actuellement en 2022. Quant au jugement que l’on peut porter sur 1989, il convient désormais de le relativiser car si cela se trouve, cela n’aura été qu’un moment sans lendemain à long terme. En cyclologie, rien n’est  d’ailleurs définitif et  la gravite de événements dépend  souvent  davantage  des  leaders, que des astres. Avec d’autres leaders que ceux qui sont en place actuellement, il est  fort probable, comme d’ailleurs en 1989, que les choses auraient pu prendre une toute autre tournure.  

 

 JHB  16 03 22

Publié dans ASTROLOGIE | Pas de Commentaire »

jacques Halbronn Astrologie: la cléf saisonnière des Quatre Eléments

Posté par nofim le 15 mars 2022

jacques  Halbronn  Astrologie:  la clef saisonnière  des Quatre Eléments 

 

Sur  quelle base a-t-on attribué les Eléments aux signez zodiacaux? Actuellement, l’exposé des 4 Eléments est le maillon  faible de la tradition astrologique. On se contente de reproduire un dispositif à partir du Bélier:  Feu-terre-air-eau  encore et encore. Abumasar conférait aux « triplicités » un rôle majeur pour ses  « grandes conjonctions »  Jupiter- Saturne avec un changement de triplicité tous les 800 ans environ (40 x 20 ans).

En fait; il il importe de partir des axes équinoxiaux et solsticiaux: l’axe équinoxial Bélier- Balance correspond à Feu-Air  et l’axe solsticial  Cancer-capricorne à  Eau-Terre, ce qui marque le caractère des 4 saisons. Contrairement à ce qu’on a pu dire, ce sont les signes cardinaux qui font reférence et non les signes fixes et de toute façon, au prisme de l’astronomie et de la cosmographie, seuls les axes en question sont recevables et donc les signes cardinaux (voir les 4  points cardinaux).  On aura répartie ces correspondances aux 12 signes au moyen de triangles, ce qui permettait de passer de 4 à 12.

D’ailleurs l’ordre  Feu terre Air eau  est déterminé par le passage, en sens inverse, précessionnel, du zodiaque du bélier au capricorne, du capricorne à la balance, de la balance au cancer et du cancer au bélier. En tout état de cause, une telle répartition dans les 12 secteurs ne fait guère sens, pas plus d’ailleurs que la répartition des 7 « planétes » entre les 12 Signes (maitrises planétaires) comme il est proposé dans la Tétrabible attribuée à Ptolémée,   

 

Nous avons donc le Feu pour le Printemps,  la Terre pour l’Hiver, l’Air pour l’automne  et  l’Eau pour l’Eté. On peut cependant se demander si les correspondances ainsi constituées entre saisons et éléments sont pertinentes au regard de la météorologie. Est ce que le printemps est en affinité avec le Feu  et ainsi de suite? Il semble que tout ait été décalé, des signes cardinaux aux signes fixes: initialement, cela aurait du être : terre et printemps, feu et Eté,   Eau et Automne, Air et hiver. Ce qui ferait du bélier un signe de terre, le cancer un signe de feu,  d e la balance un signe d »eau et du capricorne une signe d’air puisque ce sont les signes cardinaux qui sont les marqueurs des saisons.

Mais dans ce cas, l’axe équinoxial serait lié au couple Terre-Eau  et l’axe solsticial au couple Feu-Air, ce qui nous semble plus correct si l’on admet que l’équinoxialité correspond à un stade de l’enfance et la solsticialité au stade de la maturité.  Terre et Eau seraient selon nous des éléments plus basiques correspondant au gout et à l’odorat tandis qu’Air et Feu correspondraient à l’ouie et à la vue.

 

JHB 15 03 22

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Zodiaque astrologie avec plus importantes divisions - Dualité, triplicité  et quadruplicity Photo Stock - AlamyClassement des signes - L'Astrologie de Partage e-theosis
 

 

Publié dans ASTROLOGIE | Pas de Commentaire »

123456
 

Hertiuatipo |
L'actualité du droit d... |
Beats Pas Cher |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Lixueosche
| Kenpkcv
| Luivaterfoxs