Jacques Halbronn Sur sa synergie avec la revue L’Autre Monde de Roger Faloci

Posté par nofim le 3 mars 2022

Jacques  Halbronn   Sur sa synergie avec la revue Autre Monde de Roger Faloci   

 

Il  y a une quarantaine d’années, la revue de Faloci  et le MAU (Mouvement Astrologique  Universitaire) de Jacques  Halbronn connurent un certain état de grâce sous la forme d’une certaine synergie dont nous donnerons ici quelques échantillons dont notamment les deux congrès qui furent organisés en septembre 77 et en février 78, respectivement sur l’Ere du Verseau et la Grande Conjonction de 1982.  On trouve ici dans cette revue qui allait en 1979  faire paraitre, avec les éditions de l’Albatros de Bertrand Sorlot, « Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau, un reflet de l’activité du MAU durant cet âge d’or des années 77-79/

 

n°8   Le Tarot sephirotique. Une mancie traditionnelle  à la portée de tout le monde. par  Jacques  Halbronn/ « Il sélectionne 10 arcanes majeur (…)Les autres arcanes (..) constituent un écrin, une tfiguration (..) qui n’apporteraient que confusion si on les mélait au tirage proprement dit’ En 1983, dans Mathématiques Divinatoires, Préface Jean Charles Pichon, nous reprendrons cette étude.

 

n°10   La Révolution Astrologique. Entretien avec Jean Mars(avec  Christian Delorme)

 

n°13     Nostradamus par Serge Hutin  En 1986  Jacques Halbronn  fut chargé de la rééditions de l’Histoire de l’Astrologie de Hutin, (Ed Marabout,  1970. Hutin avait assuré des cours à la FLAP.

 

n°14  Fernand  Schwarz   Nouvelle Acropole. Voyage au Centre de l’homme.    Le MAU publiera en 1980  un dossier sur l’astrologie et les années 80 dans la revue Nouvelle Acropole. Cet auteur contribuera au collectif Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau

 

L’Ere du Verseau Ce congrès  déboucha sur des Actes « Aquarius » 1979.

Photos,  Jacques Halbronn et J. J. Rocca Cristinacce au cours de l’allocution d’ouverture du congrès d’astrologie. Photos de Fernand Scwharz, de Marielle Clavel (plus tard Garrel) d’une des tables rondes avec Catherine Aubier, Jacques Halbronn,  A. D. Grad, Eric Weil, Jacquelins Bony Belluc

Note: Catherine Aubier et Jacqueline Bony Belluc enseignaien,t à la FLAP (Faculté Libre d’Astrologie de Paris, fondée par Jacques Halbronn) tout comme Marielle Clavel. Catherine Aubier contribuera à la Collection Zodiaque chez Solar, dirigée par Jacques Halbronn, 1982 (reed France Loisirs  1992)

 

n°16

Le Yi King par Dominique Devie En 1982, Jacques Halbronn  fera une préface pour 

son « Tarot arlésien: étude d’un jeu de lames divinatoires ancien en langue provençale ». 

 

n°17 

 

« La Grande Conjonction » . 

L’Autre monde  et le MAU  proposent  les 25 et 26 février   1978   une congrès d’astrologie unique.La grande conjonction de 1982 au FIAP, 28, rue Cabanis 75014 Paris   En 1982, au mois de  juin, le 21 exactement, jour du solstice d’été, va  se produire un événement exceptionnel dans notre systéme solaire: huit planétes vont se trouver  en parfait alignement dans une même région du ciel. On y trouve les interviews  avec  photos  de Jean Hoyoux, de l’astronome Edgar Stram, de Pierre Zeevaert, de Jacques Halbronn et des responsables de la revue Jean Jacques Cristinacce et Roger Faloci. Hoyoux  et Zeevaert venaient de Belgique et co-organisèrent avec le MAU le Congrès de Lille, en décembre 1978

. On s’arrêtera  sur ce congrès qui était axé notamment sur les prévisions d’André Barbault connues depuis 1967 (Les astres et l’Histoire Ed JJ Pauvert). On sait que la montagne (prévision d’une Troisiéme Guerre Mondiale) accouchera d’une souris. Mais ce qui est intéressant ici c’est  que l’on avait affaire, il y a 40 ans, à un phénomene astronomiquement remarquable dont les astrologues entendaient tirer des conclusions qui n’étaient pas recevables par l’astrome présent au Colloque,Edgar Stram/  Il répliqua ‘je ne comprends pas pourquoi vous voulez qu’il se passe quelque chose sur Terre parce que huit planétes vont se trouver en conjonction alors qu’elles restent sur leur orbite’

.

 

 La  face cachée dees hommes politiques. Portraits morphopsycholoqiques par Marielle Clavel (plus  tard Garrel), enseignante à  la FLAP (Faculté Libre d’Astrologie de Paris)

 

n°22   Jacques  Halbronn  La géomancie, un jeu d’enfants 

 

n°26 Jacques  Halbronn  A propos du jeu d’échecs. (sur les éléphants comme pièces du jeu)

 

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Mieux vaut pas d’astrologie qu’une mauvaise astrologie par Jacques Halbronn

Posté par nofim le 2 mars 2022

 Jacques  Halbronn

Mieux vaut pas d’astrologie qu’une mauvaise astrologie 

 

Les  hommes captent les vibrations du moment   mais qu’ils se méfient des prévisions à plus ou moins long terme car cela n’est plus  dans leurs cordes « naturelles ». Ils peuvent certes penser que l’astrologie est en mesure de les aider à connaitre un futur relativement lointain mais toute prévision est vouée à être démentié, y compris la fixation de dates par d’autres moyens que l’astrologie. Autrement dit, soit il faut vivre au présent, soit disposer de la « bonne astrologie », c’est à dire celle que nous appelons l’Astrologie EXOLS, abréviation d’Equinoxe et de Solstice. 

Les pires erreurs que nous pouvons commettre relévent d’attentes de longue date, de plan élaborés longtemps à l’avance et que nous appliquons sans capter les énergies du moment. Il ne s’agit même pas de prévoir mais de vouloir imposer un tempsde façon artificielle, en méconnaissnce de cause.  En tout état de cause, même si l’on a les bonnes clefs, on ne pourra déterminer les effets que peu de temps avant les échéances car il y a le facteur humain, la personne du leader présent ou absent qui fera la différence et cela ne peut être connu des décennies à l’avance comme le croyait André Barbault annonçant en 1955 ce qui se passerait en 1989.  Il est clair que l’astrologie  existe qu’on en ait ou non conscience et ce depuis des millénaires. La littérature astrologique n’aura fait que génerer une « Sur conscience » décalée par rapport à la véritable astrologie.

 

JHB  02 03 21

 

 

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Jacques Halbronn Le clivage entre une astrologie géocentrée et une astrologie héliocentrée

Posté par nofim le 2 mars 2022

Jacques  Halbronn  Le clivage entre une astrologie géocentrée et une astrologie héliocentrée 

 

 

Ce clivage ne date pas d’hier mais nous l’avons reformulée autour de la révolution « copernicienne » avec le passage d’une astrologie  géocentrée,  avec une Terre autour de laquelle  graviterait tout le sytéme solaire vers une astrologie héliocentrée avec le Soleil au centre et donc les planétes n’ayant plus la même relation avec la Terre. Or,  force est de constater que l’astrologie actuelle, celle en tout cas qui se référe à la  Tétrabible de Ptolémée,est bel et bien restée depuis bientôt 500 ans géocentrée. Cela dit,  il existe bel et bien une  autre astrologie, plus compatible avec l’héliocentrisme, c’est celle qui confère au Soleil un rôle majeur à plus d’un titre. Cette astrologie est bien connue, c’est celle qui attribue à chacun un signe « solaire », déterminé par la présence du Soleil dans un certain secteur du Zodiaque, lors d’une naissance. Quel contraste avec la « carte du ciel » où tout le systéme solaire se trouve mobilisé, ce qui conduit à prendre en compte plusieurs signes, vue la répartition des planétes dans le ciel « natal ».. 

 Alloprof:

« Les solstices et les équinoxes, qui correspondent au début de chaque saison, sont influencés par la révolution et l’inclinaison de la Terre.

En effet, la révolution et l’inclinaison de la Terre influencent l’angle avec lequel les rayons du Soleil frappent la surface du sol et la quantité d’ensoleillement quotidien sur un territoire donné. C’est ce qui détermine les saisons ».   

Ainsi, cette astrologie héliocentrée recourt à une évidente économie de moyens en comparaison d’une  astrologie géocentrée. Un seul curseur suffit à classer les gens et le soleil joue un double rôle.  Il est clair que l’astrologie géocentrée est ptoloméenne car Ptolémée, il y aura bientôt 2000 ans, était le défenseur du géocentrisme que Copernic entendit pourfendre. 

Avec l’informatisation de l’astrologie, la complexité déjouait les garde fous car l’astrologue était dispensé de tous les calculs et se voyait délivrer en fort peu de temps une « carte « qu’il ne lui restait plus qu’à interpréter. 

On a tendance de nos jours à opposer une astrologie « populaire »  héliocentrée à une astrologie « savante » géocentrée. Un surcroit de données astronomiques  servirait forcément de caution scientifique. 

Nous pronons une astrologie axée sur la seule planéte Saturne mais articulée sur le cycle solaire des saisons.(équinoxes et solstices).  Une astrologie purement solaire ne serait en effet guère d’utilité car le cycle basique des saisons  est annuel. A contrario,  Saturne, planéte la plus lente connue jusqu’à la fin du XVIIIe siècle,  a un cycle près de 30 fois plus lent, ce qui dégage des périodes sensiblement plus amples, 4 x 7 ans au lieu de 4 x 3 mois. et ne parlons pas du cycle mensuel de la Lune! Nous avons montré que le dispositif des maitrises planétaires avait été « trafiqué » dans la Tétrabible par l’adjonction de Saturne. Originellement, un tel dispositif ne comprenait que six astres, Lune, Soleil, Vénus, Mars et Jupiter. Mais il ne s’agissait pas de planétes mais de « dieux », de  tonalités à l’instar de ce qui se dit des 12 types Zodiacaux. On avait 12 secteurs répartis entre six « dieux » et ce n’est que par la suite que l’on aura voulu leur attribuer des « demeures » planétaires, ce qui était une hérésie!   

Pour activer le systéme, il fallait un curseur. On a vu plus haut que le Soleil avait pu jouer ce rôle. Or, dans le dispositif  que nous examinons, le soleil est un des six « dieux » tutélaires, il ne saurait donc jouer le rôle de curseur, lequel doit être dévolu  à une entité ne  figurant pas dans cette série, ce qui est le cas de Saturne. La Tétrabible aura donc complétement faussé le dispositif en  y intégrant Saturne au même rang que les six dieux alors que Saturne était prise bel et bien comme planéte et non comme dieu. D’ailleurs, Saturne n’appartient pas à l’Olympe. Nous avons consacré beaucoup de temps à comprendre le sens d’un tel dispositif (cf  Clefs pour l’Astrologie. Ed Seghers 1976 et 1993) et ce n’est que tardivement que nous avons pris conscience de ce que ce dispositif était bancal puisqu’il n’assignait au Soleil et à la Lune qu’un seul secteur, chacun tandis que les autres astres avaient droit à deux.  Nous avons fini par comprendre que ce déséquilibre tenait à l’interpolation de Saturne dans le dit dispositif! La lecture de Manilius  était en ce sens édifiante car le dispositif qu’il proposait dans son Astronomicon – un siècle avant la Tétrabible – incluait des divinités qui n’avaient pas encore donné leurs nom à des planétes, ce qui ne se produira que bien plus  tard.

Pour notre part, il ne s’agit pas  de diviser la course de Saturne selon 12 secteurs et nous  nous contentons d’une division en 4 selon les axes équinoxiaux et solsticiaux car la division en 12 n’a pas le même fondement astronomique et cosmographique que la division en 4. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  02 03 22

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jacques halbronn Solsticialité et Equinoxialité comme facteurs structurants pour une Géopolitique du XXIe siècle

Posté par nofim le 2 mars 2022

jacques  halbronn  Solsticialité  et Equinoxialité comme facteurs structurants pour  la Géopolitique du XXIe siècle

 

 

Nous     vivons pleinement en ce moment un pic de solsticialité avec la crise russo-ukrainienne. Que faut-il entendre par là? Le refus d’un déni de différence. Un retour du refoulé. Croire que les anciens clivages aient pu disparaitre  était bien naîf! C’est d’ailleurs le propre de la phase équinoxiale de le laisser entendre alors que tout est cyclique et que le futur est aussi le retour du passé. Eternel Retour.  Pour la géopolitique astrologique que nous mettons en avant, cela signifie que la Solsticialité proteste contre toute tentative d’effacement d’une certaine réalité. Et cela vaut pour tous les domaines: le christianisme n’est il pas parfois tenté de nier  le phénoméne juif, de le récupérer, de se l’approprier?  Faut -il  refuser une certaine dualité du monde? Tel serait bien le fantasme équinoxial en toutes ses manifestations.

En d’autres termes, nous pensons -et singulièrement en cette phase solsticiale,  qu’il est légitime de vouloir maintenir en Europe la conscience d’une certaine dualité, ce qui signifie des façons différentes  de penser l’organisation de la Société/ Il vaut mieux avoir plusieurs fers au feu,  ne pas tout mettre dans le même sac.  Que la solsticialité  soit traversée par des périodes équinoxiales pour harmoniser les choses et ne pas les laisser dériver trop loin l’une de l’autre, certes. La question est bien celle de la norme: est ce l’équinoxialité qui le serait ou bien la solsticialité? That is the question! Selon nous, il importe de respecter la dualité, notamment celle des hommes et des femmes, la diversité des races, des religions, des cultures. Et donc, l’équinoxialité ne serait qu’une parenthèse, une pause, une suspension qui ne saurait se prolonger indéfiniment.

Or tout se passe actuellement, du moins du point de vue « occidental » que c’est l’inverse qui devrait faire référence, servir de socle!  Chaque phase doit se déployer selon le temps qui lui est imparti et actuellement, qu’on le veuille ou non, c’est l’heure de la solsticialité au sens de l’Astrologie EXOLS. et ce jusqu’à la fin de 2025, quand Saturne passera au Bélier,ouvrant une nouvelle phase équinoxiale mais cette nouvelle phase ne fait sens que dans la mesure où elle aura été précédée par un temps solsticial en bonne et due forme. Un temps pour chaque chose. C’est là tout le sens de l’altérité.

Il ne s’agit pas  ici de défendre les actions d’un Poutine dans la forme mais le fait qu’il résiste, rejette,  une expansion des  valeurs occidentales peut tout à  fait se concevoir. Jusqu’où l’OTAN, jusqu’où l’UE? Est ce que l’on n’est pas à contre-temps quand on voudrait passer tout de suite à un élargissement englobant l’Ukraine alors que la phase équinoxiale n’est pas encore advenue? Est ce que la crise actuelle ne tient pas à un tel  décalage de phase? Gardons -nous de l’irréversible quand nous devrions  savoir que c’est là un leurre!

 

 

 

 

JHB  02 03 22

 

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jacques Halbronn Epistémologie de l’astrologie: les fondements et les causes

Posté par nofim le 1 mars 2022

jacques  Halbronn    Epistémologie de l’astrologie:  les fondements et les causes  IIe Partie 

 

 

Nous avons signalé l’usage chez Verney et Guinard de l’expression « fondements » pour conduire la recherche  astrologique. Mais cette formule  s’oppose à celle de « causes », comme nous allons nous en expliquer ci-après. Cette dialectique fondements/causes est extrémement significative et constitue un clivage méthodologique majeur pour la Recherche Astrologique.  On distinguera les fondementsistes et les « causalistes », ce qui nous semble bien plus pertinent que la distinction proposée par Barbault entre physicistes  et symbolistes.   

Rechercher les fondements renvoie au « savoir » astrologique tel qu’il nous a été transmis, tel qu’il nous  est parvenu. Par exemple, Guinard s’intéressa aux fondements des « maitrises planétaires », c’est à dire un dispositif  que les astrologues ont « reçu » et que l’on trouve déjà exposé dans la Tétrabible de Ptolémée (IIe siècle de notre ère) A l’opposé de cette démarche, nous entendons poser la recherche des « causes ». Qu’entendons-nous par là? 

Il s’agit d’expliquer certaines séries d’événements, des successions et des alternances de périodes que l’on  a pu observer et dont il s’agit de montrer qu’elles pourraient avoir un substrat astronomique. Il est possible qu’André Barbault ait procédé ainsi à propos de l’Histoire de la Russie au XIXe siècle et au delà. Dans ce cas, on parlera de corrélations d’ordre anthropocosmologique. Ici, l’astrologie cohabite avec la science des nombres quand elle repére la répétition des même intervalles, ce qui est susceptible de renvoyer à une cyclicité planétaire. 

L’intéret de cette méthode, c’est qu’elle n’a nullement la charge de valider toute la tradition astrologique ni meme d’y faire référence. C’est ainsi que nous avons procédé, notamment dans notre Astrologie selon Saturne (1994-1995  Ed La Grande Conjonction). Nous avions observé que certains événements se reproduisaient tous les 30 ans environ et notre attention se porta sur  Saturne et le fait qu’il se rapprochait chaque fois du « point vernal » (0° bélier) sans chercher à le connecter à une autre planéte, laissant le champ à d’autres hypothèses d’un autre type.  Dans le cas des résultats Gauquelin, l’on doit se demander si ‘l’on est en quête de fondements ou de causes. Gauquelin entendait il mettre en évidence certains traits d’une tradition astrologique qu’il connaissait ou bien avait-il pu constater  des séquences remarquables?

En 1976, dans Clefs pour l’Astrologie (Ed Seghers) nous avons suivi les deux voies. D’une part une étude approfondies des Maitrises planétaires, dans un esprit structuraliste et de l’autre, une cyclologie liée à l’histoire des empires se formant et se défaisant, tour à tour, ce qui nous conduisit non pas à valider une théorie dejà connue mais à proposer  l’étude des passages d’une planéte donnée sur les signes cardinaux, sans aller dans le sens d’une combinatoire planétaire à la Barbault..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 JHB  01 03 22

 

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jacques Halbronn Les limites de la méthode prévisionnelle d’André Barbault en Astrologie Mondiale sur 1917-2022

Posté par nofim le 1 mars 2022

jacques  Halbronn  Les limites de la méthode prévisionnelle d’André Barbault en Astrologie Mondiale  sur 1917-2022. 

 

 La grille de Barbault ^part de la conjonction Saturne Neptune de 1917, correspondant la Révolution bolchévique. Mais c’est aussi Saturne en Lion, en milieu de phase solsticiale. La conjonction suivante se produit en 1953, soit 36  ans plus tard  et puis 36 ans plus loin, on a 1989  et encore 36 ans plus loin 2025, à venir, Or, dans le cas de la prochaine conjonction Saturne Neptune, celle-ci aura lieu au début du signe du Bélier, soit en phase équinoxiale alors qu’en 1989; la conjonction s’était produite en phase solsticiale.  Ce qui nous conduit à une impasse au vu des événements actuels en Ukraine, se déroulant en fin février-début mars.

En effet, ce qui se passe actuellement offre un caractère « solsticial », à savoir une scission, une coupure comme en 1989. Mais la conjonction Saturne Neptune est encore loin de se présenter. On notera qu’en 2011, Barbault avait annoncé une pandémie mais non un risque de guerre mondiale comme on n’en avait pas connu depuis les années 1961-62 ou encore 1977 avec les euromissiles. En comparaison de ce qui se passe actuellement sur le plan politique,  la pandémie nous apparait comme comme ne relevant pas de l’astrologie. On note aussi que Barbault ne se préoccupe plus guère de la conjonction Saturne-Neptune tout comme en 1989 il n’en disait mot, prudemment – chat échaudé…- avant que les événements ne s’imposent. 

Le malheur, c’est que comme pour 1962, il y a 60 ans, Barbault a un train de retard et Yves Lenoble nous annonce la date de 2026, 4 ans après la bataille! Car on peut prévoir qu’en 2026 on n’aura pas droit à un 1989 bis puisque c’est maintenant que cela a eu lieu  tout comme il était dérisoire d’annoncer en 1963 une crise mondiale pour 1965 (Ed Albin Michel) au lendemain de la crise de Cuba.

En fait, même si la grille Saturne Neptune avait pu donner quelques corrélations entre 1917 et 1989 mais probablement pas au delà,  le probléme, ‘c’est qu’elle aura manqué d’autres corrélations lesquelles fonctionnent si l’on se sert de la grille jumelle que nous avons proposée  autour des passages de Saturne sur les axes  équinoxiaux et solsticiaux.  Car 1962 figure bien dans notre liste tout comme  1933, 1977 ou 2008 sans parler de 2022.. Chaque fois que Saturne passe sur l’axe Lion-Verseau, au pic d’une phase solsticiale, on a droit à un clivage géopolitique majeur qui se reproduit depuis 1917? Notons qu’entre 1917 et 2022, il y a 105 ans, soit 90 (3×30) + 15, ce qui correspond à 3 cycles et demi de Saturne.

Bien pis, si l’on examine de près les corrélations Saturne-Neptune, on est obligé d’exclure la conjonction de 1953 de la série solsticiale  puisque cela se produit en phase équinoxiale,c’est à dire tout le contraire de 1917 et de 1989 ou 2022.  Ce qui marque l’Europe alors dans les années cinquante, ce n’est pas la mort de Staline, mais la construction de la Communauté européenne. Le probléme avec la grille de Barbault, c’est qu’elle ne prévoit qu’un seul cas de figure, du fait qu’elle ne tient aucun compte du positionnement zodiacal de la dite conjonction! Et c’est bien ce qui va se passer en 2026, selon un processus d’alternance: une fois la conjonction Saturne Neptune est solsticlale (1917 et 1989= et une fois, elle est équinoxiale (1953 et 2026), soit tous les 72 (3×36) ans dans les deux cas

 

 

 

 

 

 

 

JHB  01 03 22

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jacques Halbronn La carence iconographique dans les recherches sur le Tarot et le Zodiaque

Posté par nofim le 1 mars 2022

jacques  Halbronn  La carence iconographique dans les recherches sur le Tarot et le Zodiaque 

 

A l’occasion  d »une relecture d’un volume consacré aux mancies et que nous avions initié en 1978, nous observons, notamment dans les études d’Arnold Waldstein et de Dominique Devie, certaines lacunes dans leur travail consacré aux correspondances symboliques.

 

 

I  Le Tarot et les Maisons 

S’il y a un ensemble dans le champ astrologique qui vaut d’être rapproché du Tarot, ce n’est pas le Zodiaque mais le dispositif des « maisons » astrologiques lequel  est bien moins connu sur le plan iconographique. La plupart des chercheurs ignorent encore que les maisons astrologiques ont eu droit à des images. (cf notre étude 1993, in  L’Astrologie du Livre de Toth. Recherches sur l’Histoire de l’Astrologie et du Tarot, Paris, Trédaniel, 1993, p. 49 et  frontispice) Ainsi, le lien Tarot-Astrlogie serait à caractère iconographique et certains rapprochements sont en effet assez saisissants en comparaison des propositions de nos deux  auteurs/ On notera que Paul Huson( Mystical Origins of the Tarot, From Ancient Roots to Modern Usage, Destiny Books, Vermont, 2004) reprend ou en tout cas recoupe nos travaux datant de 1993 sans nous citerOn trouve cette série dans des documents comportant des sphères concentriques.

 

Selon nous, les comparaisons et les correspondances doivent s’effectuer sur la base des documents les plus anciens. D’ailleurs, le Livres d’Heures (cf notre étude in Revue Française d’Histoire du livre, 2015) auront inspiré le Tarot notamment dans le cas du Kalendrier et Compost des  Bergers, dans sa partie consacrée à l’Enfer. Si l’on considére le cas de la Roue de fortune, on la trouve dans le supplice de la roue des Damnés. 

 

 

II Le Zodiaque et les Mois de l’année 

 Une lacune aussi  fâcheuse tient  à la non prise en compte de l’iconographie des mois de l’année, que l’on retrouve reprise sur certaine cathédrales. Mais la série la plus célébre est celle des Très Riches Heures du Duc de Berry, qui nous permet de comprendre l’origine du Zodiaque lequel ne saurait être un point de départ.  Le cas du signe des Gémeaux aura particulièrement retenu notre attention car cela correspond au mois des amours, en Mai, ce qui souligne le caractère vénusien de ce signe dont l’iconographie est ambigue: sont ce deux hommes ou s’agit-il d’un couple enlacé?  Le Zodiaque nous parle de la façon dont les sociétés vivent les saisons, comment leurs moeurs en sont impâctées au prisme d’une anthropocosmologie.

Le nombre 22  a beaucoup interpellé les chercheurs: il convient de citer le Sefer Yetsira qui est un commentaire de l’alphabet  hébraique, classant les lettres en trois groupes; un de 3 ou 4, un de  6 ou 7 et un de 12 pour les 12 signes. En 1978; dans la revue L’Autre monde (Promedit) ,nous avions proposé un tarot « sefirotique » en 10 arcanes supérieurs, formant cinq couples totalisant 22: 6 °et 16, 7 ° 15; 8 + 14, 9 +13, 10 ° 12, 11 ° 22-  en mettant en évidence les similitudes  graphiques, dans chaque cas./(cf  nos Mathématiques Divinatoires, 1983) On notera aussi que 22  équivaut  à 3×7 +1.

Par ailleurs, nous avons signalé une carence comparable en ce qui concerne le corpus Nostradamus   où certains n’ont pas compris qu’il avait existé dès le début des années 1560 de fausses éditions de ses almanachs  avec des vignettes différentes de celles des pronostications authentiques. Or, les contrefaçons sous la Ligue des Prophéties ont recouru à ces vignettes d’éditions pirates pour fabriquer les éditions datées de 1555  et 1557.

I

 

 

 

Bibliographie 

Jacques  Halbronn,  Mathématiques Divinatoires,  Préface  Jean Charles Pichon,  Paris,  Trédaniel, 1983

Jacques  Halbronn   Recherches sur l’Histoire de l’Astrologie et du Tarot,  Paris, Trédaniel, 1993

Paul  Huson Mystical Origins of the Tarot, From Ancient Roots to Modern Usage, Destiny Books, Vermont, 2004 

Robert M. Place  The Tarot, History, Symbolism and Divination, Jeremy P. Tarcher, Penguin 2005 Nicolas  Tereschenko  Les Trésors du tarot. Accès aux mystères du cosmos, 1986, Atlas, Trédaniel

Claude Darche. Le grand livre des tarots. Ed Solar 1995

Owald Wirth  Le Tarot des imagiers du Moyen Age, Préface  Roger  Caillois,,  Ed Tchou, 1978

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  01 03 22

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