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Jacques Halbronn Astrologie EXOLS L’équinoxialité: les empires et les génies face au déni solsticial

Posté par nofim le 24 juillet 2022

Jacques  Halbronn   Epistémologie.  Astrologie EXOLS    L’équinoxialité: les empires  et les génies face au déni solsticial   

 

 

On  ne saurait se lancer  en astrologie mondiale sans un certain bagage en sciences sociales ou en tout cas on ne saurait y  poursuivre des recherches  sans procéder à un certain nombre de mises au point structurelles. C’est ainsi que le passage d’une période équinoxiale à une période solsticiale exige d’apprendre à distinguer entre différents types de structures et donc de différences et bien entendu le chercheur en astrologie se doit d’expliciter sa méthodologie et  ne saurait laisser son interlocuteur dans le vague.   

La question sera donc la suivante : quelles sont les structures qui seront mises en cause en phase équinoxiale et quelles sont celles qui le seront en phase solsticiale. Les structures fragilisées en phase solsticiale seront celles qui sont les plus contingentes, c’est à dire celles qui dépendent de l’arbitraire du politique, comme c’est le cas pour la fixation des frontières et le découpage des entités  concernées., ce qui vise une multiplicité  et une multiplication de subdivisions, de clivages, de cloisonnements de toutes sortes qui risquent fort de « sauter » en phase équinoxiale. Inversement, l’arrivée d’une phase équinoxiale a  toutes les chances  d’ébranler -sept ans durant, la perception  et la  conscience des structures les plus  fondamentales à savoir les empires  et les divisions du travail, telles que celles concernant la création. 

Très tôt, la  question des empires nous apparut comme un sujet d’étude majeur pour la recherche  astrologique (cf  Clefs pour l’Astrologie, Seghers,  1976). Contrairement à une certaine idéologie anticolonialiste, anti-impérialiste, les empires sont une des manifestations les plus remarquables de la créativité politique et la solsticialité est le temps de l’ébranlement de toutes les formes d’empires au nom du « nationalisme ». L’ Historien ne peut qu’être fasciné par la dynamique « impériale » qui maintient et préserve une certaine unité du monde, c’est la constitution des empires qui marque le plus puissamment les esprits et qui place les créateurs d’empires  au dessus de ceux qui en auront compromis l’existence. De nos jours, d’ailleurs,  l’on reconnait toute l’importance à accorder aux ensembles les plus ambitieux à travers l’Histoire. 

L’astrologie mondiale a tout à gagner à s’atteler à la question de la formation des empires car c’est bien là un enjeu géopolitique de toute première importance, qu’il s’agisse  de l’empire russe en Europe ou de l’empire français en Afrique, sachant que la période actuelle de par son caractère solsticiale en est une remise en cause, pour une période bien circonscrite dans le temps car l’on aura trop souvent annoncé prématurément la fin de telle ou telle structure impériale  au niveau  horizontal..

De la même façon, ai niveau cette fois vertical, l’on assiste périodiquement à un déni utopique de la lutte des classes, d’une dialectique entre le monde d’en haut et le monde d’en base. Là encore,  le rôle des leaders nous semble bien être une des constantes de l’Histoire de notre Humanité. Mais cela n’est pas sans rapport avec la question du masculin et du féminin, ce que les périodes solsticiales  ont tendance à mettre en doute  tout comme d’ailleurs la question des « races » dont la présence reste un des faits les plus manifestes à observer.  On voit que l’on passe alternativement d’un mode de déni à un autre, d’un différencialisme à un autre, ce qui n’est pas sans impact  au niveau théologique;

En effet, la solsticialité fait la part belle à ce que les humains peuvent élaborer, constituer, inventer, modifier alors que l’équinoxialité est vouée à reconnaitre des constantes incompressibles et sur lesquelles nous n’avons guère prise. En termes de gauche et de droite,  il nous apparait  que la vocation de la gauche serait du coté de l’équinoxialité et celle de la droite du coté de la solsticialité mais une certaine confusion régne de nos jours dans les représentations politiques et autour de l’idée d’alternance. On siulignera en particulier que la reconnaissance de certains clivages n’implique pas pour autant leur acceptation, ce qui rend compte d’une certaine ambiguité des discours On pense notamment à la notion de lutte des classes voire de guerre  des sexes.. La solsticialité tend à atténuer la conscience de tels clivages en mettant l’accent sur la nation censée dépasser de telles différences. C’est ainsi qu’un Eric Zemmour  plaide en faveur d’une appropriation culturelle- sur la base d’un modéle français-  qui viendrait  abolir toutes les différences d’origines. En termes prévisionnels, le prochain passage de Saturne sur un axe équinoxial en 2025 devrait favoriser le renforcement des empires, des fédérations mais aussi creuser les clivages entre les élites  et le peuple. On reconnaira plus volontiers le rôle crucial des génies, quant à leur mission de guide de l’Humanité etlà encore, comment nier la formule du Panthéon, à Paris,  Aux grands hommes, la patrie reconnaissante.?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  24 07 22

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jacques Halbronn Le cycle de 7 ans et son fondement astrologico-astronomique

Posté par nofim le 23 juillet 2022

jacques Halbronn    Le cycle de 7 ans  et son fondement astrologique.   

 

En astrologie, une chose es de  remarquer une cyclicité, une autre de l’expliciter par le biais de l’astronomie. Autrement dit,  les astrologues semblent plus à meme de s’entendre sur l’observation du monde que sur celle du Ciel. On peut très bien concevoir que l’on s’accorde sur l’existence d’un certain cycle de vie et ne pas s’entendre sur les fondements cosmiques du dit cycle, qu’il s’agisse d’un cycle de 7 ans ou de 15 ans ou de 30 ans..On peut même penser que ces cycles puissent faire sens en dehors du milieu astrologique, ce qui permettrait en quelque sorte de désenclaver l’astrologie.

Quand Ruperti nous parle d’un cycle de 7 ans  (Les cycles du devenir, Ed Rocher, 1981), il est fort possible que bien des gens aient eu l’occasion de noter une telle structuration du temps, en dehors même de l’astrologie et c’est d’ailleurs sur cette expérience que surfent certaines écoles d’astrologie.en tenant le discours suivant: vous avez noté une telle cyclicité eh bien, cela peut s’expliquer par l’astrologie!  Une belle accroche, au demeurant.   Il ne reste plus alors que de parler de la Lune et de ses phases de 7 jours qui deviennent 7 ans et au fond la Lune peut fort bien, pour beaucoup, jouer ce rôle dans l’esprit de beaucoup de gens. On a donc sous la main  et le cycle de 7 ans et le cycle de la Lune, qui l’un et l’autre, donnent une image rassurante, familière de l’astrologie..Dont acte. 

De son côté,20  ans après,  notre ami Roger Hequet, pour sa part, se  sera beaucoup intéressé au cycle de 15 ans, soit  grosso modo, le double d’un cycle de 7 ans et il en rend compte par le biais de son ACB (Astrochronobiologie), un dispositif au demeurant assez complexe, articulé sur le « temps sidéral ».( Ed. du Rocher, Le temps sidéral vécu – Essai d’astrochronobiologie, 2001).   

Dans nos deux exemples,  l’on nous propose  des observations relativement simples, à savoir ce qui se repéte à iutervalles réguliers et une grille astronomico-cosmographique qui s’en trouve en quelque sorte validée, ipso facto.  C’est bien là tout le débat: C’est ainsi qu’André Barbault observe des récurrences dans l’ Histoire du communisme qu’il va connecter avec une certaine configuration à savoir le cycle Saturne-Neptune, lequel dure 36 ans. le probléme, c’est qu’il peut exister d’autres modes d’explication de tel ou tel phénoméne comme par exemple le passage de Saturne sur les axes équinoxiaux/solsticiaux, tous les 7 ans  et 36 ans est bien proche de 35 ans (5×7)  Un critère que nous avons mis en avant par ailleurs est celui du refus que nous opposons à toute combinatoire planéte-planéte, ce qui vaut aussi pour le processus soli-lunaire. En 1994, nous avons publie une Astrologie selon Saturne où nous nous contentions de noter dans quel secteur de l’écliptique Saturne revenait sans rechercher d’autre facteur planétaire, nous contentant de nous référer au point  vernal, ce qui nous permettra de prévoir les mouvements sociaux de l’année suivante dont on n’aura pas vu beaucoup d’équivalent depuis mai 68, 27 ans plus tôt.

En vérité, l’on peut imaginer que l’on s’accorde sur certains cycles sans chercher nécessairement à les étayer astronomiquement et ce ne serait déjà pas si mal que de naviguer ainsi de 7 ans en 7 ans ou de 15 ans en 15 ans. Il est d’ailleurs préférable de passer de 15 ans en 15 ans car on retrouve le même type de phase alors que de 7 ans en 7 ans, on a des phases en carré, qui correspondent à des événements de nature opposée, ce qui signifie  que le carré est plus conflictuel que l’opposition. Or, il ne semble pas – du moins jusqu’à plus ample informé- que les tenants d’un cycle de 7 ans aient noté les tensions entre deux temps séparés de 7 ans.   C’est là un point essentiel que de respecter une certaine dialectique au niveau prévisionnel, de façon contrastée. Car pour nous, l’écart de 7 ans  annonce une alternance et non une répétition.  Non pas que nous parlions ici d’aspect entre planétes mais du simple fait que les deux axes équinoxiaux et solsticiaux sont en carré: bélier et cancer, cancer et balance et ainsi de suite alors que l’opposition se situe sur un seul et même axe, équinoxial ou solsticial. Il y a  là des fondamentaux à respecter

JHB  23 07 22

 

 

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Jacques Halbronn sur le Cycle saisonnier de la Lune

Posté par nofim le 23 juillet 2022

Jacques  Halbronn  sur  le Cycle saisonnier de la Lune   

 

.  Si l’usage du Soleil ne pose pas de probléme en ce qu’il se connecte naturellement aux axes saisonniers, il n’en est pas de même de la Lune dont les phases sont tributaires de son rapport  au Soleil (lunaison etc). De même le rapport de la Lune à Saturne dépend d’un processus analogique un jour pour un an. C’est dire que le statut de la Lune est problématique. Ce n’est que par analogie que l’on peut structurer le cycle lunaire en le rapportant aux axes équinoxiaux et solsticiaux, qu’elle atteint tous les 7 jours et non comme dans le cas du Soleil tous les  3 mois.  Ce passage sur les dits axes nous semble plus pertinent que les aspects qu’elle forme avec le Soleil également tous les 7 jours. car nous sommes très réservés sur les aspects entre prometteurs et plus généralement entre deux astres alors que nous serions volontiers favorable aux rapports astres – axes saisonniers (écliptique) voire axes horizon-méridien (maisons)   Par voie de conséquence, la question reste posée de la fixation d’un calendrier lunaire, selon que l’on se base sur les rapports Lune Soleil ou sur les rapports lune-axes saisonniers. D’aucuns nous feront remarquer que visuellement ce sont bien les aspects de la Lune au Soleil qui s’offrent à nous  avec la nouvelle lune, la pleine lune et les états intermédiaires mais du point de vue de notre doctrine, rien ne saurait prévaloir sur la centralité saisonniere également à base 4 et dans le cas de Saturne, il est clair que ce ne sera pas le Soleil qui fera référence mais bien les axes équinoxiaux et solsticiaux! Or, nous nous efforçons d’adopter une démarche générale valable pour nos trois prometteurs, lune, soleil, Saturne et comme on le sait, la solution ne consiste pas, à notre sens, dans une  quelconque combinatoire interastrale  chère à nos prédecesseurs mais bien dans un rapport entre un astre et un facteur d’un autre type.sur le modéle « hétérosexuel »  masculin/féminin, le seul qui permette une vraie fécondation.. 

Cela nous conduit à redéfinir le cycle de la Lune sur la base du passage de notre satellite sur les axes bélier-balance et cancer-capricorne et non sur les aspects Lune Soleil. Dans les deux cas, on obtient 7 ans mais pas au même moment, sauf exception. Le Shabbat devrait donc être déterminé  par ce passage de la Lune tous les 7 jours sur l’un des deux axes sus nommés, alternativement équinoxiaux et solsticiaux.

  Il est clair que si l’on veut travailler sur des phases de 7 ans, il n’est nullement nécessaire de passer par la Lune et qu’il vaut mieux passer carrément par son « octave » supérieure qu’est Saturne et son passage sur les mêmes axes, cette fois tous les 7 ans et non tous les 7 jours. Quant au Soleil, c’est tous les 3 mois que son cycle change de phase, coincidant tout simplement avec le changement de saison.. Certes, Rudhyar aura souhaité préserver la référence au thème natal car celui ci représente la « personnalité », le processus d’individuation  jungien d’où son tropisme pour les maisons astrologiques. Mais tel n’est pas notre souci puisque pour nous, les cycles ne dépendent pas du moment de la naissance et sont à vivre collectivement et donc harmonieusement. Pour un compositeur comme Rudhyar, son astrologie semble bien être une cacophonie!

Nous disposons de trois curseurs et nous pouvons éventuellement noter dans quelle phase saisonnière se trouvent respectivement la Lune, le Soleil et Saturne et ce sont ces 3 informations au niveau des significateurs  que l’on peut éventuellement croiser comme on le fait pour le rapport soleil-ascendant sans avoir à combiner les prometteurs entre eux.

Dès lors, le début des mois devrait dépendre du passage de la Lune sur le point vernal et non sur une conjonction soli-lunaire tout comme les semaines devraient s’aligner sur les deux axes saisonniers. En revanche, la Pâque doit correspondre au passage  annuel du Soleil sur le point vernal et à un autre niveau, il importe de célébrer les passages de Saturne tous les 7 ans sur ces mêmes bases.

 

 

 

 

 

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Jacques Halbronn L’enseignement des directions pour l’astrologie mondiale

Posté par nofim le 22 juillet 2022

Jacques  Halbronn  L'enseignement des directions pour l'astrologie mondiale 

Nous prendrons comme référence l'ouvrage de François Guiraud  sur les directions symboliques (Ed CEDRA) 
On  observe que la traditions des directions a su sauvegarder les notions de prometteur et de significateur /

Plan de l'ouvrage de Guiraud :

Introduction
1
Définition et calcul des directions symboliques.
    Qu'est-ce qu'une direction ? Les directions symboliques.
    Principe des directions symboliques. Calcul. La correction de
    l'heure de naissance. Exemple concret de calcul.
5
Particularité des directions symboliques
    Le fixe et le mouvant. Aspect solaire et saturnien des directions
    symboliques. L'unité dans un thème. L'unité, le point et le degré.
11
Comment évaluer une direction ?
    Exemple. Les difficultés de l'astrologie.
15
Les significateurs
    Définition. Une planète peut avoir des significations
    contradictoires. Comment procéder ? Règles pour déterminer
    le principal significateur, pour chaque question. Exemples.
27
Les prometteurs
    Définition. Comment procéder pour déterminer l'événement promis ?
    Comment déterminer le prometteur d'un événement ? Premier exemple.
    Exemple pour le thème n°1. De quelques significateurs et prometteurs 

Cela dit, il semble que Guiraud ne distingue pas entre planétes vouées à la fonction de prometteur
 et celles vouées à celle de significateur. Rappelons que pour nous, les luminaires et Saturne aux 
deux extrémités du dispositif  des domiciles (Tétrabible  de ¨Ptolémée) sont des prometteurs alors que les 4 planétes 
ccentrales doivent servir de significateurs. On l(étrange impression qu'une planéte pourrait, selon les circonstances
sservir de prometteur ou de significateur  comme si l'on avait perdu à la longue la conscience d'une division entre deux statuts
 distincts. Pour nous, le Soleil est le type même du prometteur  désignant par son passage un certain signe à
un certain moment, ce qui permet de dire que telle personne est née sous tel signe/ On aura compris que cette 
dualité prometteur/significateur ne saurait être réservée à la seule technique des directions et doit servir au regard
dde toute pratique prévisionnelle. Pour l'historien, force est de constater que ce distingo nous  aura été conservé de la
ssorte alors qu'il devrait servir bien plus largement.

JHB   23. 07 22

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Jacques Halbronn Sur Dane Rudhyar, et le cycle Lune-Saturne de 28 an

Posté par nofim le 22 juillet 2022

Jacques  Halbronn   Sur Dane Rudhyar  et  le cycle  Lune- Saturne de 28 ans.

 

 

  Dans le cadre de notre enquéte sur les grandes figures de l’astrologie du XXe siècle, nous ouvrons  ici le dossier Dane Rudhyar (Astrologie Humaniste) par le biais du cycle de la Lune progressée   et de Saturne.   Incontestablement, Rudhyar aura point l’importance du cycle de 7 ans mais il l’aura abordé  d’une façon qui nous pose probléme, à plus d’un titre. A commencer par l’importance qu’il accorde au thème natal individuel, « personnel » , ce qui va l’entrainer à mettre en avant la « lune progressée », sachant que les chiffres de la Lune correspondent à ceux de Saturne, à savoir  le nombre  28.  Pour notre part,  il n’est pas du tout nécessaire de passer par la Lune et l’on peut directement s’adresser à Saturne. Par ailleurs, le cycle de Saturne n’est pas , pour nous, un cycle articulé sur le thème natal mais reléve de l’astrologie mondiale. 

Dès lors, le « retour » de Saturne sur sa position natale ne nous semble pas significatif car nous sommes tous collectivement concernés par le passage de Saturne sur les axes équinoxiaux et solsticiaux, qui se produisent tous les 7 ans, en alternance. Il ne nous semble donc pas utile de préférer les aspects de Saturne à sa position radicale car cela  (dé)multiplie à l’infini le processus cyclique saturnien au lieu de s’en tenir à un seul. Ce qui simplifie considérablement les choses, on l’avouera. 

 Donc, l’idée de diviser la vie en période de 7 ans, à partir de la naissance devrait laisser la place à un découpage universel du temps terrestre, à partir du cycle mondial en rapport analogique avec  4 Saisons de 7 ans. Parfois, ce cycle universel peut coincider avec la position natale de Saturne, mais ce ne saurait être qu’un cas particulier quand quelqu’un a son Saturne natal sur l’un des deux axe:  bélier/balance ou cancer.capricorne et c’est ce type de coincidence qui aura conduit André Barbault à valider le cycle Saturne-Neptune lequel aura coincidé au XXe siècle  avec le passage de Saturne lors des conjonctions des dites planéte.

Certains chercheurs ont opté pour le cycle d’Uranus lequel est aussi  en mesure d’intégrer des périodes de 7 ans.(cf nos annexes ci dessous); 7 x 12 = 84. mais il est clair que cela ne donnera pas le même calendrier cyclique qu’avec Saturne. Or, nous avons suffisamment montré à quel point les phases de 7 ans selon Saturne recoupaient le cours des événements.(cf L’Astrologie selon Saturne, Pari, 1994) en alternant phases équinoxiales et solsticiales. En tout état de cause, la division du cycle en 4 périodes (Saturne) nous semble plus intéressante que celle en 12 périodes (Uranus) tant il est vrai que le 4 est un diviseur plus puissant que le 12,  à commebcer par les 4 saisons et les phases de la Lune. Par ailleurs,  Uranus est un astre qui n’aura été découvert qu’en 1781 et donc cela signifierait que les astrologues n’auront pas été en mesure de maitriser le cycle de 7 ans pendant la plus grande part de l’Histoire de l’Humanité, ce qui est contraire à une approche anthropocosmologique exigeant que nos sociétés puissent s’enrichir de la connaisance cyclologique Quant à la technique de la Lune progressée – un jour pour un an – que l’on retrouve dans l’Ancien Testament, et que Rudhyar a adoptée et popularisée, elle a l’inconvénient majeur de dépendre de la structure des maisons de chaque thème natal, ce qui nuit à une capacité de l’astrologie de cerner le cours général de l’Histoire. Cela dit, ce lien numérique Lune Saturne  nous conduit à penser que notre systéme solaire ne reléve pas de la Nature mais aura été aménagé selon un « dessein intelligent » à l’intention de notre Terre, dont la Lune est précisément le satellite/

 

 

 

 

 

 Annexe:
VIVRE LE PREMIER RETOUR DE SATURNE AUTOUR DES 29 ANS (28/30 ANS)  Voilà un thème qui angoisse souvent énormément le jeune amateur d’astrologie, que ce transit saturnien revenant sur ses pas natals et réputé pour le moins “compliqué”, mais est ce vraiment forcément impérativement toujours tant le cas que cela ?
Christelle  Firework

Selon Dane Rudhyar le cycle de 84 ans pourrait être envisagé comme nombre archétypique du développement personnel individuel et spirituel de l’homme.

C’est en tous cas la moyenne de la durée de vie auquel l’homme peut prétendre aujourd’hui. Nous connaissons, sans les énumérer ici, de nombreuses références au nombre 7. 88 ans est le temps de révolution complète d’Uranus autour du Soleil. En astrologie, Uranus est aussi la seule planète du système solaire à pouvoir revenir à sa position natale.

Ce cycle peut être divisé en 7 périodes de 12 ans, (correspondant aux cycles de Jupiter), ou en 12 périodes de 12 ans. 84 peut encore être divisé en 3 périodes de 28 ans correspondant à peu près à trois cycles de Saturne (29,5 ans) en référence à trois périodes successives que sont l’hérédité (de 0 à 28 ans), l’individualité (de 28 à 56) et la spiritualité (de 56 à 84). Notons encore que ces trois périodes correspondent à trois cycles de Lune progressée.

Or, comme en général, l’homme vit surtout dans la première phase héréditaire sans jamais vraiment parvenir à la phase individuelle ou spirituelle, Rudhyar met plutôt l’accent sur un cycle de vie de 70 ans (7 X 10) avec une période intermédiaire à 35 ans (7 X 5) que Ruperti a étudié de façon idéale dans son livre “les cycles du devenir”. Il considère deux hémicycles, l’un croissant de 0 à 35 ans et l’autre décroissant de 35 à 70 ans.

 

 

AKALI   astro

Le nombre 28, le nombre 84

28 est un nombre parfait, c’est à dire un nombre dont la somme des diviseurs est égal à lui même. 28 se divise par 1, par 2, par 4, par 7 et par 14 : donc 1 + 2 + 4 + 7 + 14 = 28.
D’après la Kabbale, le nombre 28 est la force qui amène le monde à la manifestation, qui fait passer du néant à l’être, avec à la fois la notion de voie, de splendeur et d’amour.

28, c’est aussi la « gloire » (addition pythagoricienne) du nombre 7 :
1 + 2 + 3 + 4 + 5 + 6 + 7 = 28

Le nombre 84 correspond à la somme des additions des 7 premiers chiffres :

1 (1)
+ 3 (1 + 2)
+ 6 (1 + 2 + 3)
+ 10 (1 + 2 + 3 + 4)
+ 15 (1 + 2 + 3 + 4 + 5)
+ 21 (1 + 2 + 3 + 4 + 5 + 6)
+ 28 (1 + 2 + 3 + 4 + 5 + 6 + 7)
= 84

Le cycle de 28 ans

28 ans, c’est approximativement la durée du cycle de la Lune progressée dans le thème, ainsi que la durée du cycle de Saturne en transit.

 

 

 

 

JHB  22 07 22

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jacques Halbronn Le malentendu Gauquelin et la confusion significateurs/prometteurs en astrologie

Posté par nofim le 21 juillet 2022

jacques  Halbronn   Le malentendu  Gauquelin  et la confusion significateurs/prometteurs en astrologie

 

 

   Le projet de Gauquelin -dans ses grandes lignes, tel qu’il se détermina  dans son esprit dès la fin des années 40 consistait à prouver la validité des attributions mythologiques aux planétes du Septenaire en passant par l’Astrologie, d’où une corrélation assez remarquable – cerise sur le gâteau — entre signification des dites planétes et catégories socioprofessionnelles. Or,  nous avons récemment montré que les astronomes avaient emprunté aux astrologues leurs associations des dieux et des signes zodiacaux pour les appliquer aux planétes. Quiproquo : les dieux en question servaient à préciser le rôle de chaque significateur, occupant un secteur fixe. Or, en accordant aux planétes des significations respectives, l’on transformait des significateurs en prometteurs, ce qui n’est pas sans rappeler la dialectique saussurienne des signifiants et des signifiés. 

Manilius dans son poéme Latin proposait, au Ier siècle de notre ère les correspondances suivantes: (Astronomicon;  p. 136- 137 dans la Collection Bibliotheca Hermetica,  dir.  René Alleau, 1970): « Pallas protége le Bélier,,  la déesse de  Cythère (Vénus)le taureau,  Apollon, les aimables  Gémeaux, Vous présidez, Mercure à l »Ecrevisse (Cancer) et  vous  Jupiter , vous  vous  unissez à la mère des dieux pour gouverner le Lion. La Vierge  avec son  épi appartient  de  droit à Cérés et la  balance à  Vulcain qui l’a forgée, le scorpion  belliqueux  s’attache à Mars, Diane (Lune) protége le  chasseur, moitié homme et moitié cheval (sagittaire centaure), Le Capricorne rétréci est  attribué à Vesta. Le verseau, astre de Junon est opposé à celui de Jupiter; Neptune revendique au ciel les poissons comme originaires de son  empire »  (traduction Pingré)  Un tel  dispositif  diffère singulièrement de celui que l’on trouve au siècle suivant dans la Tétrabible de Ptolémée avec le recours à uniquement  7 astres (dont les luminaires) et non 12. Si les dieux reconnus par la Tétrabible correspondent aux appellations planétaires de son temps, ce n’est nullement le cas chez Manilius dont certains dieux  ne  trouveront  leur demeure qu’au XIXe siècle : Neptune,  Vesta, Cérés,  Junon, Pallas ( Minerve), Vulcain ayant été associé, à la fin du dit siècle, à un astre supposé se situer entre Mercure et le Soleil.   

En fait, la Tétrabible, oeuvre d’un astronome,  enterrinait déjà une tel malentendu et il faut donc se situer en amont de cet ouvrage pour comprendre que le tableau des domiciles qui s’y trouve  comportait, en son axe, les luminaires en tant que prometteurs et en son centre 4 divinités, Mars, Vénus, Mercure et  Jupiter, qualifiant les 4 saisons, découpant l’écliptique ( les 12 signes  ne faisant que subdiviser les saisons)  Il ne convenait donc pas d’utiliser ces appellations au niveau des planétes alors que celles-ci visaient des secteurs de  90°

Si Gauquelin avait pris conscience d’un tel glissement qui n’avait d’ailleurs aucune importance pour les astronomes, -on est dans le méta-langage- il ne se serait probablement pas lancé dans une telle entreprise. Le drame, c’est que par le biais des statistiques, Gauquelin (cf L’influence des astres, Ed Dauphin 1955) allait prétendument  valider  de telles attributions de 4 significateurs zodiacaux à 4 prometteurs planétaires.  Gauquelin n’avait pas compris que des planétes devaient rester « neutres », en tant que curseurs et se contenter de pointer  des significateurs, à mesure qu’elles passaient sur leurs territoires respectifs! 

Nous nous trouvons donc en quelque sorte obligés de rejeter l’ensemble des résultats Gauquelin batis sur des bases épistémomologiquement fausses et ce d’autant plus que ce sont les astronomes qui ont provoqué une telle confusion, tant leur instrumentalisation de l’astrologie  était sans importance et d’autant plus que pour l’astrologie antique la mythologie servait à illustrer et baliser le parcours des curseurs qu’étaient les luminaires (voire l’Ascendant) et nullement à qualifier les dits curseurs puisque ceux ci par leur mobilité se comportaient comme des caméléons, passant successivement par 4 tonalités correspondant aux 4 divinités évoquées. Bien pis , Gauquelin, en s’intéressant à Saturne, mettait dans le même sac 3 significateurs et un curseur. En effet,  Saturne aura été intégré  dans le dispositif des domiciles pour faire pendant aux luminaires, dans les signes opposés et c’est bel et bien Saturne qui est le super curseur, avec son cycle de 28 ans, soit 4 x 7 ans..

Dans l’esprit de Gauquelin, tout se passe comme si une planéte était à la fois  prometteur (curseur) et signficateur(ce qui explique bien le sens du mot « signe ») sans chercher à qualifier les secteurs/maisons  traversés. On retrouve là une certaine désinvolture  que nous avions signalé chez André Barbault,  polarisé sur les seules planétes sans considération pour les secteurs occupés lors des configurations étudiées. En la même années 1955, Barbault publiait une Défense et Illustrations de l’Astrologie (Grasset) où il traitait notamment du cycle Saturne-Neptune. 

Au XVIIe siècle, on trouve nettement la distinction significateurs/prometteurs, cf Le Tombeau de l’astrologie Judiciaire du Jésuite Jacques de Billy, 1657 et  d’Henri Rantzau; le Traité astrologique des jugemens des themes genetliaques .en la même année..-(google.books)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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JHB  21 07 22

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jacques Halbronn Linguistique comparée de trois langues latines: français, italien, espagnol.

Posté par nofim le 21 juillet 2022

jacques  Halbronn    Linguistique comparée  de trois langues latines:  français, italien, espagnol.

 

Il est utile de distinguer dans les rapports entre langue, le plan oral  et le plan écrit. C’est ainsi que le français a des affinités à l’écrit avec le castillan et à l’oral  avec l’italien, ce qui signifie des modes de contact sensiblement distincts , comme nous l’avons récemment montré quant aux interactions du français avec l’anglais qui passent plus par l’écrit que par l’oral.

Dans le cas des rapports du français avec le castillan,  nous dirons que comme pour ce qui est de l’anglais,  c’est le contact écrit qui aura prédominé. En effet à l’écrit, le castillan se rapproche du français par les marqueurs de nombre mais il les restitue à l’oral à la différence du français. A contrario, le passage du français vers l’italien (toscan) serait surtout oral puisque l’on n’y retrouve pas certains traits de l’écrit du français. En revanche, l’italien serait plus proche de l’oral, de la sonorité du français que ne l’est l’espagnol.

Un autre exemple est le fait que l’espagnol rend fortement les consonnes finales (hacer,  comer) tandis que l’italien use de voyelles pour terminer un verbe (mangiare, fare etc).  Or,  si le français écrit  marque les finales, il les occulte à l’oral. Et donc là encore, l’italien se rapprocherait plus du français oral et l’espagnol du français écrit, ce qui pourrait éventuellement s’expliquer sur le plan culturel et du fait des Guerres d’Italie. 

 

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jacques halbronn L’astrologie mondiale est saturnienne et ne reléve pas du thème natal.

Posté par nofim le 20 juillet 2022

jacques  halbronn  L’astrologie mondiale est saturnienne  et  ne reléve pas du thème natal.

 

Selon nous, l’astrologie généthliaque n’a rien à voir avec le Zodiaque  et les cycles planétaires qui parcourent l » ecliptique. En ce sens, elle a pu se former bien plus tôt puisqu’elle n’exigeait pas le même niveau de connaissance astronomique mais s’inscrivait dans le ponctuel, dans le court terme. C’est cette astrologie des « maisons » qu’explora un Michel Gauquelin, statisticien (décdé en 1991), depuis les années cinquante du siècle dernier et non pas l’astrologie des « saisons ».(cf  le Colloque La raison des maisons (1988), sur notre chaine Youtube, télé de la subconscience) Or, les astrologues pratiquent un syncrétisme combinant allégrement ces deux astrologies.  D’ailleurs, l’astrologie des saisons n’a pas besoin de la connaissance des données de naissance car elle s’intéresse au « destin » collectif, par delà les problématiques personnelles. On notera que Gauquelin n’aura aucunement validé les combinatoires planétaires. 

Le probléme posé par une astrologie « gauquelinienne » tient néanmoins aux diverses fonctions planétaires, ce qui va à l’encontre de ce que nous entendons par « prometteurs », à savoir que l’astre prometteur  voit son champ d’action circonscrit par les secteurs qu’il traverse et non du fait de son essence propre. Selon nous, c’est le significateur qui donne une coloration au prometteur et non l’inverse tout comme le Soleil pointe tel ou tel signe, tout en restant « neutre » Or, chez Gauquelin, l’astre joue un rôle de significateur, puisqu’il est censé déterminer un certain créneau socio-professionnel. Inversement, chez Gauquelin, les « maisons » ne sont pas porteuses de significations particulières, à la différence de la pratique astrologique. D’ailleurs, en astrologie généthliaque classique, tout se passe comme si tant les maisons que les planétes étaient des significateurs à tel point qu’il y a comme un manque de « prometteurs »! Bien pis, tous ces facteurs se combinent au niveau des planétes par le biais des aspects sur la base des intervalles de degrés. Or, selon nous, à la lecture, notamment, de la Tétrabible, ce sont les signes qui sont en aspect et non point les planétes. 

En fait, le systéme décrit par Gauquelin  est à base 4, sur la base de l’axe de l’horizon  et de l’axe du méridien, ce qui constitue un paralléle avec les axes équinoxiaux  et solsticiaux dans l’autre astrologie. si ce n’est que Gauquelin (cf notre postface à ses Personnalités PLanétaires, parue après sa mort, Paris, Trédaniel, 1992) n’introduit pas de changement entre l’impact du passage d’une planéte sur l’un ou l’autres des axes horizon/Meridien., ce qui serait un service minimum. Autrement dit, les secteurs chez Gauquelin ne sous-tendent même pas de significations particulières! C’est une astrologie rudimentaire, une proto-astrologie à la Gauquelin  en comparaison de notre astrologie EXOLS avec des prometteurs chargés de significations  et des significateurs qui en sont dépourvus.

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jacques Halbronn Signes ascendant, lunaire, solaire versus périodes saturniennes.

Posté par nofim le 19 juillet 2022

jacques  Halbronn Signes ascendant, lunaire, solaire  versus périodes saturniennes.

 

 Dans les années trente, un ingénieur des mines, Maurice Rougié  (1884-1953), sous le pseudo de Dom Nécroman, devenu Dom Néroman, se penchait sur la question des maitrises planétaires. Voyons comment il s’y est pris: Nous reprenons des passages de son Traité d’Astrologie Rationnelle, paru sous l’Occupation, et réédité depuis (chez Arma Artis, 2008). Néroman (pp. 56 et se)  n’aura pas tenu compte de la distinction entre prometteurs et significateurs et traite des « dignités » du Soleil comme de celles de Mars ou d’Uranus et il ne saisit pas que le systéme est à base 4  et non 12 . On noe  que dans la Tétrabible, au chapitre des termes, ne figurent pas les luminaires, ce qui prouve qie ce sont des prometteurs passant successivement sur des significateurs.(Livre I n°19 et 20 cf  l’édition Oxus 2007)   En 1974,  parait  chez Hachette  une Introduction à la Nouvelle Astrologie. traduit de l’italien;(cf  pp 30  et seq) et là encore, la division entre prometteurs et significateurs n’est pas respectée. Il convient de s’interroger sur le mode d’emploi d’un tel dispositif  des « Dignités planétaires » : il semble bine que Ptolémée n’ait pas compris le vrai caractère binaire  du tableau  qui lui avait été transmis. Selon nous,  tant Néroman  que Morpurgo  ont pensé qu’il convenait d’y intégrer les planétes transssaturniennes et même les hypothétiques transplutoniennes ainsi, ches Néroman, que les astéroides, se demarquant ainsi carrément de l’astrologie antique. On retrouve cette démarche chez Jean Carteret, repris par André Barbault dans son Traité pratique d’astrologie (Ed Seuil) en imitation de  Mendéleev.’cf  Notice Wikipedia  Tableau périodique des éléments »".Tant de  signes que de planétes. Pourtant, une tradition liée à la détermination du « signe » de naissance, à partir de la position du Soleil ou de la Lune se sera maintenue. On trouve ainsi cette description  sur Internet:

« Le signe lunaire d’une personne est définie par la position de la Lune sur le zodiaque à sa naissance. Dans quel signe la Lune s’est déplacée quand il/elle est né, alors quel signe est son signe lunaire.

On croit qu’il y a une relation entre l’homme et les douze signes du zodiaque. Les signes du zodiaque sont censés correspondre à des types de personnalité. Et en plus du caractère, son signe du zodiaque affecte également la force et la fortune de cette personne. La plupart des gens connaissent probablement leur signe solaire, mais connaissez-vous votre signe lunaire ? En fait, l’astrologie professionnelle préfère le signe lunaire au signe solaire, en particulier pour les femmes. » On pourrait aussi évoquer le signe « ascendant » (rising sign)  qui sert également de curseur-prometteur. C’est le curseur le plus rapide de tous puisqu’il dépend du mouvement diurne et de la rotation de la Terre. Au dessus, l’on trouve la Lune avec ses 28 jours, puis le Soleil qui correspond à l’année terrestre. Mais il existe un échelon supplémentaire, celui de Saturne et de ses 28 ans soit par rapport à la Lune  un an pour un jour. C’est en fait, le seul qui soit opérationnel sur le plan prévisionnel, les autres plans correspondant à des durées bien trop brèves.L’écart entre le Soleil et Saturne est de 1 pour 28 ou si l’on préfére d’une saison de 3 mois pour une saison de 7 années! Nous  distinguons une astrologie natale, généthliaque Ascendant, lune, soleil d’une astrologie  périodique  ne relevant pas de l’heure de naissance. Là encore, il ne faut pas  ignorer la dualité  inhérente à l’astrologie que l’on a signalée entre prometteurs et significateurs.

 

 Bibliographie:    Jacques  Halbronn Les mathématiques divinatoires, Trédaniel, 1983

Clefs pour l’astrologie. Ed Seghers  1996, 1993

JHB 

 

19 07 22

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jacques halbronn Le syncrétisme autour de Jésus, de INRI à ICHTUS

Posté par nofim le 19 juillet 2022

jacques  halbronn  Le  syncrétisme autour de Jésus,  de INRI  à ICHTUS

 

 

  On connait deux sigles se référant à Jésus dont le contenu, selon nous, diffère sensiblement, l’un soulignant la « royauté » (avec le R  pour Rex en latin) de Jésus, l’autre sa « messianité » (avec le CH pour Christ, en grec (Jésus Christ) et il ne nous semble pas qu’il faille considére comme équivalentes ces deux formulations comme c’est le plus souvent sinon toujours la régle, la coutume. 

 

INRI figure lors du drame qui se déroule à Jérusalem jusqu’à la mise en croix alors qu’ICHTUS (à rapprocher de poisson en grec) concerne selon nous  la reconnaissance de Jésus comme Messie, lorsqu’il intervient en Samarie, en Galilée, autour du Lac de Tilbériade, soit dans les limites de l’Ancien Royaume d’Israël. S’agit il d’ailleurs d’un seul et même personnage ou bien de la conjonction de deux itinèraires différents?

Selon nous, le premier Jésus est celui de la Nativité, des Rois Mages annonçant l’avénement d’un roi qui supplantera Hérode,l’imposteur.  On comprend que le Nouveau Testament début par une généalogie; Ce Jésus est désigné avant même qu’il ait fait quoi que ce soit, il est prédestiné de par sa naissance même, sa généalogie  L’autre Jésus est plus tardif et est lié à de tout autres enjeux. Comme il le dit, il est là pour les brebis perdues de la maison d’Israël. La Samaritaine lui demande s’il n’est pas le Messie attendu par les populations ostracisées du Nord.  Il est donc inacceptable d’employer la formule Jésus Christ pour ce qui concerne ce qui se passe en Judée, à Betléhem, à Jérusalem. Ce titre vaut tout à fait, en revanche, pour son ministère ponctué de guérisons miraculeuses. Ajoutons que ce Messie n’est pas censé être galiléen et peut fort bien être judéen si ce n’est qu’il n’est pas venu pour les Judéens, dont nous pensons d’ailleurs, que ce derniers n’attendaient pas un Messie, lequel en la personne de Cyrus, les avait ramené à Jérusalem pour reconstruire le Temple/. Ce sont bien les gens du Nord qui sont dans l’attente (cf l’EPitre aux Ephésiens) d’un changement de leur état, comme ce fut d’ailleurs le cas à la mort de Salomon, ce en quoi ils furent déçus. Cette attente séculaire s’est exacerbée. On ne peut donc exclure qu’un Jésus, de lignée princière, n’aura pas été sourd à leur espérance/ 

Les paralléles avec la vie de Bouddha sont assez frappants tant par les conditions de sa naissance que par la prise de conscience de sa mission:

 

« Un  bodhisattva venu du ciel Tusita sous la forme d’un éléphanteau blanc à six défenses, tenant dans sa trompe un lotus blanc, pénétra dans son corps par le flanc avec sa trompe (…)« La tradition affirme qu’à 29 ans, alors qu’il se promène hors de l’enceinte du palais, il découvre la souffrance endémique de son peuple qui lui avait été cachée jusqu’alors et le fossé qui la sépare du luxe de sa vie aristocratique ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB 19 07  22

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