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jacques halbronn Les femmes comme enjeu cyclique déterminant en Astrologie EXOLS

Posté par nofim le 31 octobre 2023

jacques  halbronn  Les femmes comme enjeu, volant  cyclique déterminant  en Astrologie EXOLS 

 

 Nous proposons comme test majeur de la validité de notre modéle astrologique que l’on examine de près les variations dans le traitement des femmes au cours du cycle saturnien en ses 4 phases de 7 ans.  Ce ne sont pas tant les femmes qui sont l’élément moteur mais elles sont bel  et bien partie prenante et le vivront intensément au cours de leurs vies, étant entendu qu’elles seront impactées synchroniquement et non pas sur la base de quelque thème personnel. Tout homme, normalement constitué, aura eu l’occasion d’observer des variations quant à la place qu’il va accorder aux femmes dans sa vie. C’est aux abords du passage vers une nouvelle phase qu’un revirement est susceptible de se produire dans un sens ou dans un autre étant entendu qu’en astrologie EXOLS, ces tournants se produisent lors du passage de Saturne sur l’axe Gémeaux Sagittaire et non pas Cancer-Capricorne en ce qui concerne l’entrée en solsticialité et sur l’axe Poissons- vierge  et non pas Bélier-Balance dans le cas de l’équinoxialité. Cela peut tout à fait s’observer à l’échelle individuelle mais surtout chez les leaders qui sont les personnes astrologiquement les plus impactées.On pense à nos présidents de la République, notamment depuis Chirac.(voir le film  Bernadette)  Il ne doit pas s’agir de cas isolés mais bien plutôt convergeants car une hirondelle ne fait pas le printemps. Lors de tels passages, donc, les occasions ne manqueront pas, se succéderont dès l’entrée dans une nouvelle phase solsticiale, de rapprochements amoureux, ce qui risque de troubler le mode de vie des intéressés. Inversement, vient la phase équinoxiale et  le leader  pourra à nouveau se consacrer pleinement à sa carrière quitte à mettre la ou les femmes de côté. C’est donc sur ce flux et ce reflux que nous proposons d’établir un « fait « astrologique et non plus comme le pensait un Michel Gauquelin  sur la position de telle ou telle planéte au moment de la naissance.(cf L’influence des astres, ed du Dauphin, 1955). Notre astrologie n’est pas à la merci du recueil de telles informations  d’autant que ce qui nous intéresse est la répétition sur une certaine durée d’un meme phénoméne dans un même sens avec une certaine visibilité publique. Cela dit, les deux phases ne concernent pas uniquement un tel registre mais affectent toutes les composantes sociales et l’on pense notamment à la question des Juifs lesquels sont aussi un enjeu de taille pour nos travaux en cyclologie.

 

 

 

 

 

 

 

JHB 31 10 23

Publié dans anthropocosmologiz, ASTROLOGIE, Juifs | Pas de Commentaire »

jacques halbronn Sociologie du milieu astrologique. Le projet « La Vie Astrologique » (1981-2007)

Posté par nofim le 31 octobre 2023

jacques  halbronn   Sociologie du milieu astrologique. Le projet  « La Vie Astrologique » (1981-2007)

Outre nos travaux consacrés à la littérature  astrologique, des origines à nos jours, nous avons parallélement une chronique du milieu astrologique francophone couvrant tout le XXe siècle; sous le label  « La vie astrologique ».

 

 

9782857071105: Guide de la vie astrologique

 

En 1984 paraitra le « guide de la vie astrologique », connu sous son sigle « GVA »  dans le cadre d’une co-édtion Guy Trédaniel -La grande Conjonction (nom de notre propre structure d’édition) avec une  riche  préface de Robert Changeux ( datant de 1982), comme  témoin privilégié.. Des  rééditions auront lieu en 1990 et 1992. Ce guide  n’est pas seulement l’oeuvre d’un observateur mais aussi d’un acteur du milieu astrologique,, nombre d’événements recensés étant  dus à nos initiatives. S’il comporte un « Bottin » par ordre alphabétique se voulant aussi exhaustif  que possible des astrologues qui comptaient alors et une série de photos de Colloques, les 150 premières pages constituent bel et bien  une histoire des années  1965-1985, et l’on pourrait y  mettre en exergue les noms de Jean-Pierre Nicola et d’André Barbault. pour  renforcer la cohérence d’un tel triptyque, inégalé à l’étranger.

En 1992, nous ferons paraitre, dans ce même cadre  La Vie Astrologique il y a cent ans d’Alan Leo à F. Ch. Barlet, en faisant appel à deux auteurs anglo-saxons, Patrick Curry  et Nicholas Campion pour des préfaces. Puis en 1995, suivra  La Vie Astrologique Années trente cinquante De Maurice Privat à Dom Néroman.

A partir de 1994, soit dix ans après notre première édition du GVA, nous ferons paraitre, cette fois, aux seules éditions de la Grande Conjonction,  le « Nouveau Guide  de la Vie astrologique » avec de nombreuses reproductions d’affiches de Colloques et de pages de titrre de revue spécialisées mais sans les développements historiques de la première édition.  En 1995, nous inclurons ces recensements dans le cadre d’un DESS (Paris VIII St Denis), sous la direction d’Yves Lecerf avec pour titre; » Le milieu astrologiques, ses structures et ses membres » En 1997, nous ferons paraitre aux éditions  Laurens le dit guide, doté d’un Avant -propos. « Regards  sur le monde astrologique »  Ajoutons qu’en 2006, alors que les éditions Axiome  avaient fait faillite, nous ferons paraitre une toute nouvelle mouture, ce qui allait ainsi bel et bien nous permettre de couvrir tout le XXe siècle. GUIDE DE LA VIE ASTROLOGIQUE 2006-2007 (sur DVD  puis en ligne  sur notre blog MAQOR. Unblog.fr http://maqor.a.m.f.unblog.fr › gva2006_2p_salon avec des préfaces  de Geoffrey Dean  et de Jean-Marc Lepers. 

Cette nouvelle édition  ne se  limitait pas à un  « Bottin, »  mai »s  comportait une dimension ethnologique  substantielle. Ajoutons qu »en 2020 nous publierons notre Enquéte autour de la Société Astrologique  de France 1909-1963  de Léopold Miéville  au Colonel Firmin Maillaud » ( https://fr.scribd.com/document/447990767/Jacques-halbron-Enquete-sur-la-Societe-Astrologique-de-France-SAF) Mais l’on peut aussi remonter à 1981 et à la parution de notre « Bottin astrologique. Brefs jugements sur quelques  astrologues d’aujourd’hui (Ed La grande conjonction), prototype de la série « La Vie astroloique » Citons quelques passades de l’introduction:  » Celui qui aborde  le monde des astrologues a toutes chances d’éprouver un sentiment d’égarement (..) Rappelons certaines tentatives qui précédèrent notre Bottin.: l’équipe de la revue Astrolabe consacra en 79 un numéro aux astrologues selon un principe différent: chacun  devait envoyer sa notice biographique et ceux qui ne répondaient pas à l’enquéte n’apparaissaient pas tandis que des inconnus zélés avaient droit  à d’assez longs développements. Citons encore   des informations parues  à notre initiative dans la revue L’Inconnu et dans un « sanwich » de Libération (cf aussi, Astrololabe 1973-74 sur les « associations à congrès » par Jacques Halbronn)  » notons aussi que l’ouvrage « Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau » (Ed Albatros-Autre Monde  1979) comportait une notice pour chaque auteur.

 

 

 JHB  09 11 23

 

Publié dans ASTROLOGIE, sociologie | Pas de Commentaire »

jacques halbronn Théologie. La mission/vocation thérapeutique des Juifs

Posté par nofim le 30 octobre 2023

jacques  halbronn  Théologie. La mission/vocation  thérapeutique des Juifs 

On sait que les Juifs se seront fortement illustrés en tant que médecins, notamment au Moyen age. Cela correspond bel et bien à leur ADN à condition de conférer au terme « médecin » une acception très large : médecins du corps, de l’âme mais aussi médecins de la société, à la fois thérapeutes et anatomistes car on ne peut déceler une pathologie que si l’on a une idée claire de la norme.. Cela englobe donc un Maimonide, un Marx, un Freud et toutes sortes de chercheurs dans le domaine de la linguistique et de la sociologie contemporaines.

On connait la notion de Tikoun Olam, Réparation du monde. Cela renvoie au Tsadiq, au Juste, au sens qui est mis en avant à propos de Sodome (Genése). On songe aux « déserts médicaux » quand on juge qu’il n’y a pas ou plus assez de médecins par habitants. II importe donc que les Juifs qui sont les maitres du Tikoun soient présents un peu partout, en proportion raisonnable, sinon il y a péril en la demeure.  Le Tkoun, c’est aussi la capacité de nettoyer, de repérer la crasse, la saleté, la pourriture, l’erreur  ce qui exige un flair particulier.

Autrement dit, c’est bien là le test qui permettrait de reconnaitre qui est juif et qui ne l’est pas, et l’on pourrait envisager de constituer des épreuves allant  dans ce sens, permettant d’apprécier, dès le plus  jeune âge, notamment chez les garçons,  la faculté de décrire, de signaler et de réparer les dysfonctionnements.

Le psaume 30 (attribué au roi David), au verset 3,  s’adresse à Dieu(Yahwé) comme celui qui guérit, le « Rofé » (Refoua= médecine):

יְ וַתִּרְפָּאֵנִי.

 

 

 מִזְמוֹר:  שִׁיר-חֲנֻכַּת הַבַּיִת לְדָוִד. 1 Psaume. Cantique de la dédicace du temple; par David.
ב  אֲרוֹמִמְךָ יְהוָה, כִּי דִלִּיתָנִי;    וְלֹא-שִׂמַּחְתָּ אֹיְבַי לִי. 2 Je t’exalterai, Seigneur, car tu m’as relevé; tu n’as pas réjoui mes ennemis à mes dépens.
ג  יְהוָה אֱלֹהָי–    שִׁוַּעְתִּי אֵלֶיךָ, וַתִּרְפָּאֵנִי. 3 Eternel, mon Dieu, je t’ai invoqué, et tu m’as guéri:

 

 

 Wikipedia:

Le tikkoun olam, ou tikkun olam en anglais, en hébreu : תיקון עולם, « réparation du monde », est un concept issu de la philosophie et de la littérature juive, recouvrant en grande partie la conception juive de la justice sociale ou de réparation dans les courants libéraux, réformateurs et sécularisés, et celui de restauration, d’homéostasie ou d’intégrité dans les courants juifs orthodoxes.

Selon certaines explications, plus grand est le nombre de mitzvot (prescriptions religieuses) réalisées, plus le monde se rapproche de la perfection. De cette idée, acceptée par tous, y compris par les juifs karaïtes, le mysticisme juif a développé l’idée que le tikkoun olam déclencherait ou accomplirait les prophéties concernant la venue du Messie ou celles du monde à venir. La croyance dans le tikkoun olam est l’un des concepts centraux du Zohar (le Livre de la Splendeur), et plus encore de l’école lourianique de la Kabbale.

Le tikkoun olam occupe une place éminente dans la liturgie juive comme dans l’Alenou (lètakken olam bèmalkhout Shaddaï, « réparer le monde dans le Royaume du Tout-puissant. »), ou dans la Mishna, où la locution mip’nei tikkoun olam (« du fait du tikkoun olam ») sert à indiquer qu’une pratique n’est pas tant suivie parce qu’elle a force de loi, mais parce qu’elle permet d’éviter des conséquences sociales négatives. »

 

 

 

 

JHB  01 11 23

Publié dans judaîsme, Juifs | Pas de Commentaire »

jacques halbronn Subconscience. Le poids d’un passé lointain sur nos comportements actuels

Posté par nofim le 30 octobre 2023

jacques  halbronn Subconscience.  Le poids d’un passé lointain sur nos comportements actuels 

 On ne saurait comprendre le monde d’aujouird »hui sans faire la part belle à des « lois » qui ont été instaurées il y a des millénaires. Ces « lois » il convient de la situer dans le cadre de cette « Nouvelle Alliance » prophétisée dans le Livre de Jérémie. (XXXII). 

 

לב כִּי זֹאת הַבְּרִית אֲשֶׁר אֶכְרֹת אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל אַחֲרֵי הַיָּמִים הָהֵם, נְאֻם-יְהוָה, נָתַתִּי אֶת-תּוֹרָתִי בְּקִרְבָּם, וְעַל-לִבָּם אֶכְתְּבֶנָּה; וְהָיִיתִי לָהֶם לֵאלֹהִים, וְהֵמָּה יִהְיוּ-לִי לְעָם.  32 Mais voici quelle alliance je conclurai  (…) au terme de cette époque, dit l’Eternel: Je ferai pénétrer ma loi en eux, c’est dans leur coeur que je l’inscrirai; je serai leur Dieu et ils seront mon peuple.
לג וְלֹא יְלַמְּדוּ עוֹד, אִישׁ אֶת-רֵעֵהוּ וְאִישׁ אֶת-אָחִיו לֵאמֹר, דְּעוּ, אֶת-יְהוָה:  כִּי-כוּלָּם יֵדְעוּ אוֹתִי לְמִקְּטַנָּם וְעַד-גְּדוֹלָם, נְאֻם-יְהוָה–כִּי אֶסְלַח לַעֲוֺנָם, וּלְחַטָּאתָם לֹא אֶזְכָּר-עוֹד.  {ס} 33 Et ils n’auront plus besoin ni les uns ni les autres de s’instruire mutuellement en disant: « Reconnaissez l’Eternel! » 

 

 Cette « loi » agit en nous, de façon subconsciente  et ne passe pas par l’éducation propre à un milieu donné, comme le prétendent les tenants de la Théorie du genre.

Il régne ainsi un certain nombre d’interdits qui impactent notamment les relations entre hommes et femmes et leur rôle dans la sphère publique. On relévera en particulier le rapport au langage et plus précisément à certaines sonorités dont l’accés serair prohibé chez les femmes, d’où des tensions et des incompréhensions entre les sexes.

Tout se passe, en effet, comme si existait un interdit concernant l’usage des diphtongues   pour les femmes. Ce qui expliquerait le recours au « je » et au « moi » en lieu et place du « nous », du « vous », du « on ». Les femmes, de facto, s’autocensureraient quant à tout usage d’un terme traitant du collectif, de la chose publique et se cantonneraient au témoignage personnel,  lequel ne recourrerait point à des sonorités interdites. Or, en dépit de toutes les révolutions sociales, identitaires à propos de la condition féminine, les femmes semblent bien se plier encore, en notre XXIe siècle, à une telle réglementation. On est là dans une sorte de phénoméne hypnotique(cf  la série de nos « hypnologica » en annexe), où la femme va toujours trouver des explications à de tels comportements alors qu’il s’agit d’une surdétermination atavique, ancestrale. 

 Plus généralement,  il importe d’englober le déterminisme des phases astrologiques de solsticialité et d’équinoxialité, lequel distinguera, de 7 ans en 7 ans, des basculements dans les attitudes. C’est ainsi qu’en phase solsticiale, les hommes feront plus appel aux femmes qu’en phase équinoxiale comme on a pu l’observer pendant la Premère Guerre Mondiale, impactée par une phase solsticiale.(au sens de notre Astrologie EXOLS) Quand arrive une nouvelle phase équinoxiale, la synergie hommes-femmes tend à se décomposer et la femme se retrouve sur la touche, comme quantité  négligeable, comme fardeau, nullement indispensable, d’où une situation contrastée des femmes d’une période à l’autre. Reconnaissons que

nous ne saurions déterminer depuis quand un tel

statu quo est en place. Il est certainement antérieur   au 

temps de Jérémie,  son texte devant lui être bien antérieur.

 

Quant à la revendication dans les Evangiles d’une « Nouvelle Alliance », elle expliquerait le mépris pour les préceptes (mitwoth) édictées, dès lors que les vrais 

commandements seraient gravés dans nos coeurs, ce qui figure dans le « Ecoute Israel » constemmant  récité par les fidéles Juifs.

 

4 Écoute, Israëla, l’Éternel, notre Dieu, l’Éternel est UN. Chémâ, Israël, Ado-naï Elo-henou, Ado-naï Ehad’ שְׁמַע, יִשְׂרָאֵל: יְהוָה אֱלֹהֵינוּ, יְהוָה אֶחָד.
Béni soit à jamais le nom de son règne glorieux. Baroukh chem kevod malkhouto le’olam vaed  
5 Tu aimerasb l’Éternel ton Dieu, de tout ton cœur,
de toute ton âme
et de tous tes moyens.
Veahavta ett Ado-naï Elo-hekha, bekhol levavekha,
ouvkhol nafchekha,
ouvkhol meodekha
וְאָהַבְתָּ, אֵת יְהוָה אֱלֹהֶיךָ, בְּכָל-לְבָבְךָ
וּבְכָל-נַפְשְׁךָ,
וּבְכָל-מְאֹדֶךָ.ּ
6 Que les commandements que je te prescris aujourd’hui
soient gravés dans ton cœur.c
Vehayou hadevarim ha’èlè
acher Anokhi metsavekha hayom al levavekha
וְהָיוּ הַדְּבָרִים הָאֵלֶּה,
אֲשֶׁר אָנֹכִי מְצַוְּךָ הַיּוֹם–עַל-לְבָבֶךָ ּ
7 Tu les inculqueras à tes enfants, tu en parleras (constamment),
dans ta maison ou en voyage, en te couchant et en te levant.
Vechinantam levaneykha, vedibarta bam,
bechivtekha bevethekha ouvlekhtekha baderekh, ouvchokhbekha ouvkoumekha
וְשִׁנַּנְתָּם לְבָנֶיךָ, וְדִבַּרְתָּ בָּם, בְּשִׁבְתְּךָ בְּבֵיתֶךָ וּבְלֶכְתְּךָ בַדֶּרֶךְ, וּבְשָׁכְבְּךָ וּבְקוּמֶךָ

 On notera une contradiction: car si ces préceptes sont gravés nul besoin de les inculquer:

 

 ANNEXE

Archives  sur  Encyclopaedia  Hermetica;  Ramkat;free.fr


HYPNOLOGICA

Yin / Yang


Cette rubrique concerne un champ que l’on peut symboliser
par le concept d’Hypno (du grec upnos, sommeil).
Il s’agit de tout ce qui se situe mimétiquement dans notre prolongement,
de ce qui vient nous compléter, humainement ou technologiquement,
organiquement ou socialement.
On s’intéressera notamment à ce qui vient renforcer ou compromettre notre potentiel hypno.
Hypno pose le rapport complexe et paradoxal du créateur avec sa créature,
de l’homme à la machine, du natif face à l’immigré, de l’homme vis à vis de la femme,
bref la question de l’altérité.


En définitive, hypno implique un passage, un changement d’état, une trans-mission
comme c’est le cas du sommeil mais aussi de la mort ;
hypno aborde le phénomène du subconscient, de ce qui fonctionne par delà la conscience,
et dont nous (nous) sommes dé-chargés, ce sur quoi on peut se re-poser.


Sommaire :

1 - Les clivages : le conjoncturel et le structurel, par J. Halbronn
2 - La zone Tsélem ou la convergence des clivages, par J. Halbronn
3 - Le Zar ou la place de l’étranger dans l’Histoire des Civilisations, par J. Halbronn
4 - De l’appropriation de la langue de l’autre, par J. Halbronn
5 - Radioscopie des prétentions minoritaires des Musulmans, par J. Halbronn
6 - De la laïcité régulation à la laïcité intégration, par J. Halbronn
7 - Clefs pour le féminin, par J. Halbronn
8 - Savoir assumer sa marginalité, par J. Halbronn
9 - La perpétuation des clivages dans l’Inconscient Collectif, par J. Halbronn
10 - La sexuation au regard de la grammaire : les marqueurs de temps, par J. Halbronn
11 - La femme et la représentation du futur, par J. Halbronn
12 - Les effets épistémologiques de la dialectique sujet / objet, par J. Halbronn
13 - L’étrangeté du génie, par J. Halbronn
14 - Animus et anima revisités, par J. Halbronn
15 - La modernité et l’arrachement des différences, par J. Halbronn
16 - Déni des clivages et crCse de l’Histoire, par J. Halbronn
17 - Vie & Mort ou la dialectique masculin / féminin, par J. Halbronn
18 - Culture existentielle et culture ontologique, par J. Halbronn
19 - De la féminisation actuelle du monde, par J. Halbronn
20 - Splendeur du sujet et transcendance de l’objet : la question du couple, par J. Halbronn
21 - Anthropologie de l’espace-temps, par J. Halbronn
22 - La femme et la conscience, par J. Halbronn
23 - Utopie ? Le couple comme unité socioprofessionnelle, par J. Halbronn
24 - Les modes de la pseudo-communication, par J. Halbronn
25 - Science, conscience, inconscience, par J. Halbronn
26 - Le couple entre la vie et la mort, par J. Halbronn
27 - La femme étrangère comme mise en évidence de l’instance surmoïque, par J. Halbronn
28 - La machine face aux notions de droite et de gauche, par J. Halbronn
29 - L’autre et les automatismes : vers le préfixe “hypno”, par J. Halbronn
30 - Valeur heuristique du concept Hypno pour le XXIe siècle, par J. Halbronn
31 - Les mécanismes de substitution : de la délégation et du mimétisme, par J. Halbronn
32 - Equilibre du monde et filiation mimétique, par J. Halbronn
33 - Ethique et épistémologie du Hasard, par J. Halbronn
34 - Etude hypnologique : les femmes et leur mission, par J. Halbronn
35 - Savoir-prévoir et ethno-prévisibilité, par J. Halbronn
36 - Etudes hypnologiques : la constitution des systèmes, par J. Halbronn
37 - La femme s’appartient-elle ?, par J. Halbronn
38 - Les modes de refoulement chez l’homme et la femme, par J. Halbronn
39 - Etude hypnologique : prise de risque et crise de confiance, par J. Halbronn
40 - Le triptyque hommes, femmes, machines, par J. Halbronn
41 - Peut-on faire l’impasse sur le différentiel / différentialisme H. F. ?, par J. Halbronn
42 - Incarnation et Tradition, par J. Halbronn
43 - Etudes hypnologiques : pour une nouvelle lecture de l’individu, par J. Halbronn
44 - Du bon usage de la femme, par J. Halbronn
45 - L’attente hypnologique, par J. Halbronn
46 - Mimétisme, instrumentalisation et hypnologie, par J. Halbronn
47 - Vieillissement et féminisation, par J. Halbronn
48 - Caractères acquis et socio-biologie, par J. Halbronn
49 - La femme caméléon, par J. Halbronn
50 - L’arbre (homme) et l’oiseau (femme), par J. Halbronn
51 - Rhétorique de l’immigré(e), par J. Halbronn
52 - Instrumentalisation et Inconscient, par J. Halbronn
53 - Le regard de la femme, par J. Halbronn
54 - Les femmes et la communication molle, par J. Halbronn
55 - La crise actuelle du langage : l’aveugle et le paralytique, par J. Halbronn
56 - Psychosociologie et Anthropologie de la sexuation, par J. Halbronn
57 - Populations en voie de marginalisation : femmes et maghrébins, par J. Halbronn
58 - Pour une anthropologie de la phobie, par J. Halbronn
59 - La carence polysémique de l’étranger, par J. Halbronn
60 - L’absurde tabou de l’eugénisme, par J. Halbronn
61 - L’espace-temps de l’Autre, par J. Halbronn
62 - Immigration et syndrome de dépossession, par J. Halbronn
63 - Islamophobie et xénophobie : l’amalgame, par J. Halbronn
64 - Des signes et critères de la féminité, par J. Halbronn
65 - La dérive identitariste maghrébine, par J. Halbronn
66 - Androgynat masculin, androgynat féminin, par J. Halbronn
67 - L’avenir virtuel de la femme, par J. Halbronn

 

 

JHB  30 10 23

Publié dans féminisme, Juifs, subconscience | Pas de Commentaire »

jacques halbronn La notion de promiscuité au coeur de la prévision astrologique.

Posté par nofim le 28 octobre 2023

 Jacques  halbronn   La notion de promiscuité au coeur de la prévision astrologique. Des lois sur les Juifs à la Solution Finale. Il est probale que ce sont les avancées allemandes à l’Est et la découverte des Juifs de ces régions  qui auront conduit Hitler à passer d’une politique d’exclusion à une politique d’extermination. Sur Internetr ‘ Sauf en tordant les mots, on ne peut trouver dans Mein Kampf un projet d’extermination physique des Juifs. Hitler ne conçoit pas en effet de tuer tous les Juifs de la Terre, y compris ceux d’Amérique ou d’Afrique du Sud ! Il se satisfait donc de la perspective de chasser le demi-million de Juifs qui peuple l’Allemagne… Mais il oublie au passage que sa politique de conquête placera en son pouvoir les millions de Juifs polonais et soviétiques, sans possibilité de les chasser comme les précédents.’  Tant qu’il s’agissait de dégrader la situation des Juifs allemands, on se trouvait dans une situation inverse de celle qui fut en vigueur sous la Révolution Française, à savoir accorder aux Juifs français un statut d’égalité. (cf le mémoire de l’Abbé Grégoire). De même, le guerres de religion en France impliquaient des gens de même langue, de même apparence, ce qui aboutit à l’Edit de Nantes (1598)/ Mais les choses allaient se présenter autrement avec l’arrivée sous le joug allemand des Juifs polonais, entre autres. La Shoah nous apparait comme un syncrétisme entre antisémitisme et xénophobie. En 1896, herzl, dans son Judenstaat justifiait le projet sioniste en ce qu’il éviterait l’arrivée de Juifs étrangers en France (cf  le sionisme et ses avatars au tournant du XXe siècle  Ed Ramkat 2002).     En ce qui concerne, les lois de Vichy sur les Juifs comme celles des nazis, nous sommes en présence d’un processus qui déjà tenait compte de la présence de Juifs étrangers Sur  Internet  La loi du 3 octobre 1940 « portant statut des Juifs » est un décret-loi du régime de Vichy qui a pour objet  »d’exclure de la communauté française un groupe d’hommes , de femmes et d’enfants ,les uns de citoyenneté française , les autres étrangers »parce que qualifiés de Juifs » L’on sait que la situation différait en pratique selon les catégories. En fait,  dans un cas il s’agissait de mettre à l’écart des citoyens français partageant une même culture que les non Juifs alors que dans l’autre, alors que dans l’autre, il s’agissait de personnes se différenciant à plus d’un titre de la population locale. L’antisémitisme en France, dans l’Entre Deux Guerres,  visait largement les Juifs étrangers, venus d’Allemagne ou de Turquie, entre autres.    

Sur Internet

Rafle du Vel d’Hiv : nouvel éclairage sur un crime français (1942)

 » L’opération de la police parisienne vise 35 000 juifs étrangers et leurs enfants, eux Français pour la majorité »

 

 

    JHB 28 10 23

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jacques halbronn Linguistique et politique. La voie royale de la diphtongue

Posté par nofim le 26 octobre 2023

Jacques halbronn   Linguistique et politique. La voie royale de la diphtongue 

 

La diphtongue est la marque de fabrique de la langue française, dont le nom lui même comporte une diphtongue à l’instar la monnaie, le franc et de la peuplade des Francs. On peut dire qu’il s’agit là d’un trésor, d’une pratique sacrée.  Un mot  revient constamment  en français: l’adjectif « bon » qui est décliné de toutes sortes de façons, au masculin mais aussi sous la forme féminine primaire, « bonne », qui ne respecte pas la diphtongaison ou si l’on préfére n’y a pas accés.

Ce son « bon » ou  « bonne »  fait pendant à l’anglais good et right, à l’hébreu tov.(shana tova) On en donne une liste non exhaustive. Bon voyage, bonne santé, bon appétit,  bon courage, bonne année, bonsoir, bonjour, bon anniversaire, bonnes fêtes, bonheur, bonne foi,  sans parler de la forme « bien » comme dans Bienvenue, devenant en anglais Welcome et en italien Benvenuto sans  respect de la diphtongue. On retrouve notre diphtongue dans les dérivés de verbe, comme parlement passé en anglais sans sa diphtongue, ou encore agreement. La diphtongue vaut aussi pour les adverbes du français et les anglais ont préféré remplacer le « ment » par le « ly », qui n’a plus rien à voir avec le processus diphtonguant, spécialement devenant  ainsi specially.  Pourtant, ce son diphtongué se retrouve tout de même en anglais dans I don’t, I can’t alors que le participe présent du français en ant, quand il passe en anglais dans de nombreuses tournures, se voit décomposé donc dédiphtongué. Le fait que l’anglais ne marque pas le genre pour les adjectifs et les participes,  le dispense de toute façon de recourir à toute diphtongaison ou diphtongation. 

 Selon nous, à l’origine, l’allemand était fortement diphtongué comme en témoignent des formes écrites éminemment diphtongables :ein, nein, kein, sein, dein, mein, qui font pendant au français un, non, aucun son, ton, mon.  En français, la diphtongue est présente et constitué un marqueur de genre alors qu’elle est occultéé en raison d’une mauvaise transmission des codes de prononciation en allemand, où  au lieu d’opposer diphtongaison et non diphtongaison, l’on  prononce le « e »  comme une voyelle à part entière alors qu’il s’agit d’un facteur diacritique dont nous avons décrit la double fonction ailleurs. Notons ainsi en français le mien masculin diphtongué et la mienne, pour le féminin, non diphtongué, en raison précisément de la lettre e postérieure.

Il convient, enfin, d’inverser le passage du masculin au féminin, si souvent exposé dans les grammaires, alors qu’en réalité, l’on part du féminin pour aller  vers le masculin, selon un processus de contraction qui exige une initiation spécifique chez les locuteurs et l’on peut penser que la diphtongue a du jouer un rôle de discrimination des sexes, les femmes n’ayant pas le droit de diphtonguer; ce qui était signalé par la présence de la lettre e à la suite de la diphtongue. L’hébreu, du moins tel qu’il se présente dans le Livre de la Genése, prône le passage du masculin au féminin au chapitre II  avec le verset qui déclare que le féminin de Ish (homme) sera Isha (femme). 

La question est de savoir si  l’hébreu comporte ou non une potentialité de diphtongaison même quand celle-ci ne se réalisé plus. Nous avons signalé  le marqueur d’antinomie : Ein (Ein Soph, infini), Eineni qui est en synonymie avec  « Lo ». C’est soit la  trace d’un processus disparu soit celle d’un emprunt ponctuel à une autre famille de langue; En ce qui concerne le yiddish, proche de l’allemand,   la dphtongaison  virtuelle est plus nette mais ne parvient pas ou plus au stade supérieur de l’oralité, pas plus d’ailleurs que l’allemand classique.

 

 

 

JHB 27 10 23

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jacques halbronn Les dérives souverainistes de la gauche au prisme de l’astrologie EXOLS. Les cohabitations de 1997 et 1986

Posté par nofim le 25 octobre 2023

 

jacques  halbronn  Les dérives souverainistes de la gauche au prisme de l’astrologie EXOLS

 

 

Seule l’astrologie EXOLS semble en mesure de rendre compte d’une attirance périodique de la Gauche pour l’idée de souverainisme. En phase solsticiale, le souverainisme a le vent en poupe alors qu’il a du plomb dans l’aile en phase équinoxiale. C’est en phase équinoxiale que la gauche est le plus à son aisé et c’est en phase solsticiale que la droite est le mieux droite dans ses bottes. Rappelons dans les grandes lignes nos analyses: la Droite nie les différences de genre et de race voire sur l’autel d’un bagage national à adopter, à s’approprier en lieu et place alors que la Gauche relativisera les différences nationales (cf Marx) Robert Jaulin Les Chemins du vide, Robert Jaulin, Bourgois. 1977) , linguistiques voire religieuses, tout en assumant voire en instrumentalisant des différences jugées plus fondamentales et universelles, plus structurelles , plus objectives, de genre et de race. C’est ainsi que la NUPES regroupe en fait à gauche des sensibilités fort contrastées par rapport à la notion de Nation et que la phase équinoxial qui est en train de se déployer risque de lui être fatale; L’article de Noe Clectic atteste d’une certaine perplexité: Souverainisme de gauche : histoire d’un oxymore politique (2022 in Traces par Noe Clectic) « Après les élections présidentielles de 2022 et un second scénario-catastrophe Macron-Le Pen, et pour continuer d’intenses débats amorcés au milieu des années 2010 à gauche, il paraît nécessaire de s’intéresser au concept politique de souverainisme. En effet, à l’aune des crises économiques, sanitaires et écologiques du temps, celui-ci fait un retour fracassant dans les discours politiques et se retrouve au centre des débats dans de nombreuses organisations militantes. Dans ce premier article, nous définirons le souverainisme, dresserons un court historique du concept en France et insisterons sur les raisons de son attrait actuel à gauche. Dans un second temps, nous explorerons les raisons qui font que cette voie stratégique s’avère être une impasse pour les projets socialistes, en nous intéressant aux portes de sortie possibles à notre époque pour dessiner un horizon politique commun, écologiste et émancipateur. » Sur Internet L’Europe est – elle une idée de gauche ? À relire le célèbre discours de Victor Hugo sur les « États-Unis d’Europe » prononcé le 21 août 1849, on serait tenté de répondre par l’affirmative. Très tôt, l’Europe est une idée généreuse attachée à celle de paix et à la lutte contre toutes les dérives du nationalisme. Pourtant, on devine ce que cette affirmation a de réducteur. La gauche n’a pas le monopole de l’Europe, loin s’en faut ; la droite, en effet, ne se limite pas au nationalisme belliciste, et une partie d’elle — des libéraux aux démocrates chrétiens — milite depuis longtemps pour la cause européenne. Bien plus, la gauche a toujours été divisée sur la question, et elle compte de nombreux antieuropéens, les communistes en particulier. Si les proeuropéens de gauche ont joué un rôle essentiel dans la construction européenne, ils ont dû se battre âprement à l’intérieur de leur propre camp, contre les adversaires de l’idée et contre ceux qui approuvent l’idée, mais contestent la méthode par laquelle celle-ci est réalisée. En mai 2004, Daniel Cohn-Bendit ne s’est-il pas écrié : « Si on avait attendu la gauche, l’extrême gauche, les bien-pensants qui, au nom d’une Europe meilleure, ont refusé les petits pas de la construction européenne, on aurait encore en Europe des États-nations rivaux. » Et de « dire merci » aux pères de l’Europe, y compris les De Gaulle, Kohl et Giscard, « même si ce n’est pas notre culture » [Auffray, 2004]. 2Il s’agit bien d’une question de culture politique. L’Europe est précocement un des combats de la gauche, un combat symbolique et mythique, de Hugo à Mitterrand, mais elle a eu du mal à s’intégrer complètement dans la culture de gauche, car elle n’a jamais impliqué toute la gauche, pas plus qu’elle ne l’a concernée exclusivement. De fait, elle a été un objet de débat permanent au sein des trois ou quatre gauches françaises : la gauche républicaine et radicale, précocement militante de l’Europe, les socialistes dans un premier temps plus internationalistes qu’européistes, puis relativement divisés sur la question, et les communistes, ainsi que les groupes d’extrême gauche, relativement unis dans le refus de la construction européenne. »

Prenons le cas de l’arrivée au pouvoir de Jacques Chirac en 1995, soit en période équinoxiale, ce qui, en principe, ne  favorise pas une politique de droite  l’emportant sur le socialiste Lionel Jospin. L’on sait que dès 1997, il y aura cohabitation avec comme premier Ministre le dit Jospin. En revanche, en 2002,  Jospin ne sera pas au second tour et d’ailleurs, on est passé en phase solsticiale, Jean Marie Le Pen le devançant de peu au premier tour, ce qui donnera l’avantage à Chirac lequel avait adopté un   discours de gauche, sur la base d’une étude sociologique:

 

  Sur Internet

 

 » Le terme de « fracture sociale » est apparu sur la scène politique et médiatique lors de la campagne pour l’élection présidentielle de 1995, en devenant le slogan du candidat Jacques Chirac. Ce candidat avait fait sienne une note du sociologue Emmanuel Todd, qui n’était d’ailleurs pas impliqué dans la campagne et qui analysait le malaise politique français constaté depuis 1981. Il évoquait à ce propos le « désarroi populaire ». Il soulignait aussi qu’une large part de la confusion actuelle venait de ce que les élites politiques et journalistiques adhéraient à une vision fausse de la structure sociale, qui empêchait la représentation politique des conflits d’intérêts et de classes traversant la « société française »  

Inversement, Mitterrand  avait du  subir une cohabitation en 1986  avec Chirac comme Premier Ministre, en phase solsticiale alors qu’il avait triomphé en 1981  en phase équinoxiale.

,  JHB 28 10 23

 

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jacques halbronn La question juive ne se résout pas par le biais de la langue ou de la terre.

Posté par nofim le 25 octobre 2023

jacques  halbronn  La question juive ne se résout pas par le biais de la langue ou de la terre.   

 

 On associe généralement les Juifs à une certaine langue et à une certaine terre, ce qui nous semble extrémement réducteur. Il conviendra donc de relativiser singulièrement  ces deux critères.

 

 

  I La terre.

  L’habitude d’associer un peuple à une terre est bien connue et souvent  un peuple portera le nom d’une certaine terre, les Bretons et la Btetagne, les Américains et l’Amérique  et les Jiifs à la Palestine ou  à  Israel. Or, nous pensons que  les peuples sont tout à fait susceptibles de migrer et  donc de changer de terre. L’assimilation d’un peuple à une terre  « donnée »   pourrait induire en erreur d’autant que se pose la question de ses limites; de ses frontières dont on sait que celle-ci peuvent varier en plus ou en moins  au hasard des conquétes. Le « retour » des Juifs géré, orchestré  par l’empereur perse Cyrus  vers leur « terre » d’origine, entérine une telle vision des choses et cela aura impacté selon nous la rédaction du Livre de l’Exode (dans le Pentateuque).  On peut parler d’un syncrétisme  historico-géographique avec le cas de peuples qui se disputent une même terre et s’en approprient chacun la dénomination.  Autrement dit, nous n’excluons nullement qu’il faille éviter d’associer les Juifs au nom d’une certaine terre car théologiquement, une telle association ne fait guère sens. Pourquoi ce « peuple élu » serait-il cantonné à  un lopin de terre assez dérisoire? D’ailleurs Herzl, dans son Etat Juif (1896)  n’était nullement obsédé par un retour en Palestine et signalait comme autre option l’Argentine (cf  Le sionisme et ses avatars au tournant du XXe siècle. Ed Ramkat 2002 . Préface H. Gabrion) sans parler de la solution « ougandaise » envisagée  à la veille de sa mort ( 1904).  En tout état de cause la polarisation sur une terre ne peut que banaliser la question juive, ce qui était d’ailleurs dans l’esprit de Herzl.  Pensée syncrétique  chez Herzl obnubilée par la solution nationale : une terre, une langue bien distinctes des autres.

 

 

II  la langue.

  En ce qui concerne le role de l’hébreu comme attribut privilégié des Juifs, la position ne nous semble guère plus convaincante au prisme de nos travaux en linguistique comparée  lesquels font apparaitre une certain infériorité de l’hébreu par rapport à une langue comme le français et ce, à plus d’un titre. D’une part, la centralité du français sur le plan lexical  fait que cette langue constitue un dénominateur commun pour un grand nombre de langues. D’autre part,  la phonologie du français présente une sophistication sans rival. Le seul fait d’ailleurs que l’hébreu ne note que les consonnes et laisse les « voyelles » en dehors de son alphabet de 22 lettres est assez significatif tant il est vrai comme  nous l’avons montré- que l’on ne saurait séparer consonnes  et voyelles, avec notamment la fonction  diacritique de la lettre « e » qui distribue  les unes et les autres bien au delà du « sheva » hébraique. Le fait d’ailleurs de déclarer que le tétragramme est imprononçable est assez remarquable (Wikipedia « יהוה est le Tétragramme (grec ancien : Τετραγράμματον /   Tetragrámmaton, « mot composé de quatre lettres »), le théonyme du Dieu d’Israël, composé des lettres yōḏ (י),  (ה), wāw (ו),  (ה), et retranscrit YHWH en français« ) 

 La comparaison entre l’hébreu et le français fait ressortir  la « modernité » du français, constituant un progrès technique.. C’est ainsi que la lettre « e » en français joue un rôle de pivot, permettant à tour de rôle de produire des sonorités nouvelles. Le français – ou du moins ce qu’il véhicule-  est la langue de l’Humanité nouvelle qui ringardise  les langues anciennes. La lettre « e » est d’ailleurs doté de plusieurs accents (grave, aigu, circonflexe), ce qui dénote déjà une certaine spécificité; Mais ce ne sont pas les accents qui sont ici déterminants mais la position antérieure ou postérieure par rapport aux consonnes. On en rappellera ici les effets à savoir que la position  postérieure du « e » défait ce qu’a causé le  e  en position antérieure et en ce sens, restaure un état premier purement consonantique alors que la position antérieure bouleverse complément le dit ordre établi. Ce qui nous raméne à notre idée de l’alternance des phases en astrologie EXOLS, la phase équinoxiale défaisant ce qu’a réalisé la phase solsticiale et vice versa. Avec le « e » on est donc en plein dynamique cyclique.   Si l’on compare avec la condition actuelle de l’hébreu moderne, on note que le Vav peut alternativement jouer le role d’une consonne (le son V) et d’une voyelle (le son O/ OU), le Vav jouant par ailleurs un rôle en hébreu biblique de par sa fonction « renversive/conversive », changeant le passé en futur et le futur en passé.(cf Genése I).   

sur  Internet 

 

                     
   En hébreu biblique, la lettre vav (sixième lettre de l’alphabet) possède une étrange propriété grammaticale : elle inverse le temps. C’est ce qu’on appelle un « vav conversif » ou « vav inversif ». Quand cette lettre est placée devant un verbe au futur, elle le transforme en passé; et quand elle est placée devant un verbe au passé, c’est le futur qui est exprimé. »

On observe donc une certaine parenté entre le  double  usage  de  la lettre « e » en  français et celui de la lettre « vav » en hébreu. Rappelons aussi l’existence de six lettres « doubles » (bagadkaphat) en hébreu, cette dualité étant déterminée par le « daguesh », le point qui est déterminant selon qu’il est présent ou absent.

Notice wikipedia  « Le daguech ou daguesh (hébreu : דָּגֵשׁ, [dāgēš], intensificateur) est un signe diacritique introduit dans le système de ponctuation massorétique du texte hébraïque afin de signaler un changement phonétique dans certaines consonnes de l’alphabet hébraïque ».

Il nous semble  que le yiddish, langue judéo-allemande des Ashkénazes,  étant plus proche de l’allemand – langue du Congrès de Bâle de 1897 correspond  davantage à notre représentation d’une langue  idéale, à l’instar du français et qu’il eut mieux valu l’adopter en Palestine que l’hébreu moderne, atteint par les épreuves du temps. Il existe en fait un lien très net entre le français et l’allemand si ce n’est que l’allemand est diphtongable mais non dispntonguée; Entendons par là qu’à l’écrit, elle apparait comme  favorisant la diphtongaison mais que cela ne se réalise pas à l’oral, ce à quoi il conviendrait à l’avenit de remédier; On pense aux formes diphtongables de l’allemand : nein, ein, kein; mein, dein, sein qui permettraient logiquement  la dialectique du masculin et du féminin, en marquant la diphtongaison du masculin/ Au lieu de cela, on a droit à une solution batarde avec  la finale en « e » traitée comme une voyelle à part entière alors que cette lettre a une fonction essentiellement diacritique, c’est à dire de mettre fin  à la diphtongaison de la forme masculine.  Insistons sur le fait que  le masculin est postérieure au fémin, en constituer un état plus sophistiqué, celui justement de la diphtongaison;  Mais l’allemand est infiniment mieux loti que les langues qui ont pour marqueur de genre le o et le a comme l’espagnol  et l’italien. Dans le cas de l’hébreu, on   a  affaire à une situation hybride  avec le féminin  comportant une finale en « a » sans un masculin  en « o » : guedola/ gadol. mais sans  diphtongabilité à la différence de l’allemand;

 

 

 

 

 

Evitons enfin de sacraliser l’hébreu en tant que langue des Ecritures Saintes (Ancien Testament) -comme on le fait pour l’arabe et le Coran- tant le corpus biblique nous apparait comme dramatiquement syncrétique du fait notamment de sa prise de controle par les descendants du Royaume septentrional d’Israel. Pour notre part, si les Juifs doivent se relier à une langue matricielle, ce serait bien plutôt au français qu’à l’hébreu et quant à leur terre, leur intégration diasporique témoigne de l’inanité de perpétuer un certain esprit de ghetto. La langue ne vaut pas par ce qu’elle véhicule mais par ce qu’elle incarne intrinséquement.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  26 10 23

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Jacques halbronn Nostradamus tel que traité par Jacques Halbronn et Gilles Polizzi Colloque RHR Marseille 1998

Posté par nofim le 24 octobre 2023

Jacques  halbronn   Nostradamus  tel  que  traité par  Jacques Halbronn  et Gilles Polizzi Colloque RHR  Marseille  1998 

 

 Lors du Colloqie  Formes du millénatisme en Europe à l’aube des temps modernes,  deux exposés  concernaient Nostradamus, ceux de Halbronn  et de Polizzi   en 19ç8. L’années précédente, deux exposés se  confrontaient sur le même sujet, ceux de Halbronn  et de Michel Chomaat (Journées Verdun Saulnier, De quelques dates clairement exprimées par Michel Nostradamus, dans ses « Prophéties » 

Paris Sorbonne). A la fin de 1998 (il y a 25 ans) « , nous avions enfin obtenu le feu verts de Jean Céard,(qui npus supervisait depuis 1985!)  en départ pour la retraite pour la soutenance de notre thèse d’Etat, Paris X,  Le texte prophétique en France, Formation et fortune, somme qui comprenait une partie sur le même Nostradamus.  On abordera ici  les textes présentés en 1998 à Marseille. ( Actes parus  chez Honoré Champion)   Notre titre  ne revoyait pas explicitement à Nostradamus à la différence de celui choisi par Polizzi  pas plus d’ailleurs que le titre de notre communication de 1997 (« Les prophéties et la Ligue ») Commençons par l’exposé de  Gilles Polizzi » Le thème millénaiariste  dans les prophéties de Nostradamus ».  L’auteur note un certain décalage entre la Préface à César le dit thème.(p. 411) alors même que les quatrains seraient imprénés par le dite thème. Poilzzi rappelle que Pierre Brind’amour a présenté une édition critique de la « première édition » de 1555 (Droz 1996)  précédé en 19989  et 1990 par les bibliographies de Chomarat et de Benazra( préfacée par Céard) Poizzi  se référant à une autre communication ai dit Colloque de E. Weber, conclut «   rejette  « hypothèse d’un faux inégral » de l’Epitre à Henri II, laquelle aurait  paru avant la mort du Roi.  Autremenrt dit, Polizzi ne met pas en doute la paternité de Nostradamus sur les éditions des Centuries et leurs deux  épitres introductives. Polizzi aborde la question de l’Antéchrist chez Nostradamus,  terme figurant au titre de notre exposé    »Pierre Du  Moulin  et le thème du Pape Antéchrist »  En 1997, dans notre exposé, nous avions mis en exergue le quatrain IV  46 preuve d’une importation du temps de la Ligue alors que Polizzi  choisira le quatrain I,   89., ces deux quatrains figurant dans l’édition  de 1555 chez Macé Bonhomme, » édité par Brind’amour/ Polizzi ne semble donc pas avoir eu connaissance du contenu de notre communication du début de 1997 ou en tout cas ne pas avoir jugé bon  de la mentionner. Début  1997, Polizzi  avait contribué, de son côté, au Collectif « Nostradamus ou le savoir transmis »/

  Notre exposé autour de Pierre du Moulin commençait par cet avertissement  : « mieux  coùprendre l’Epitre de Nostradamus à Henri II  Nous  nous  efforcions de montrer que les thèmes réformés impactaient le second volet des Centuries, face au premier, marqué par le parti de la Ligue.  Il nous faut  à présent couvrir les 25 ans qui nous séparent de ce Colloque. En 2002, parurent nos Documents inexploités sur le phénoméne Nostradamus ( Ed Ramkat) avec la vraie Epitre au Roi,qui avait inspiré la fausse, et en 2005  » Papes et prophéties . Décodages et influence » (Ed Axiome) connectant  les Prophéties pseudo  malachiennes aux  pseudo nostradamiennes,  parus en fait à peu près en même temps, à la toute fin du XVIe siècle.   En 2007, notre post doctorat ( EPHE  Ve section) abordera notamment les rapports entre prose et quatrains dans le corpus Nostradamus, tant au niveau des almanachs que des Centuries.

Par la suite, nous avons montré que l »Epitre à Henri II  en tête du second volet des Centuries avait remplace l’Epitre au pape Pie IV, ce qui ressort  de la comparaison entre les quatrains de la Centurie VIII  avec la dite Epitre au pape. Nous avions en 1991 dans la revue RHR organisatrice du Colloque de 1998,  publié une étude comportant des données sur la dite Epitre.(Une attaque réformée oubliée contre Nostradamus (1561), laquele revue avait publié en 1987 une importante étude de Chantal Liaroutzos sur l’emprunt à la Guide des Chemins deFrance de Charles Estienne  sur le contenu de certains quatrains, laquelle n’était pas signalée par Polizzi. Il ne semble pas que Polizzit ait étudié la dite Epitre à Pie IV, laquelle circula notamment en Italie dans le cours des années 1560 et qui traitait notamment du thème de l’Antéchrist.

 

-Sur la fortune  itlalienne  de l’Epitre  de Nostradaus   à Pie IV -Collections numérisées  de la BNF( Gallica)

1566 

Pronostico universale di tutto il mondo, il qual comincia dal principio dell’ anno 1565 e finisce al principio dell’anno 1570, raccolto dalli « Presagi » del divino Michiele Nostradamo et dalli pronostici di molti altri eccellentissimi autori … per M. Francesco Barozzi,…
libraria del « Mercurio »
 
Il Vero Pronostico calcolato dall’ eccellmo astrologo et filosofo M. Michel Nostradamo Francese, il qual narra diligentemente tutte le perverse calamità, che deve incorrere l’anno 1566…
per Alessandro Benatio
 
Li Presagi et pronostici di M. Michele Nostradamo, quale principiando l’anno M.D.LXV. diligentemente discorrendo di anno in anno fino al 1570… Diligentemente estratti dalli originali francesi, nella nostra italica lingua…
 
Li presagi et pronostici di M. Michele Nostradamo Francese , quale principiano l’anno M.D.LXV diligentemente discorendo di anno in anno fino al 1570… diligentemente estratti dalli originali francesi nella nostra italiana lingua…
LivresConsultable sur Gallica     
En tout état de cause, la prise en compte des almanachs nostradamiques nous semble fondamentale. D’une part, parce qu’il a existé des éditions pirates comme l’ont rappelé  Chomarat et Benazra comportant des quatrains mais aussi de   l’autre des  vignettes en page de titre (imitant les vignettes des Pronostications), ce qui est le modéle suivi par les faussaires, ce qui explique à la fois les vignettes des éditions 1555 et 1557 des « ¨Prophéties » et le format même des centuries de quatrains:  Ce serait donc à partir de ces faux almanachs que les faussaires auraiet conçu et mis en oeuvre le corpus centurique lequel puisera en différentes sources, comme l’ont montré Liaroutzos et Brind’amour; JHB   26 10 23

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jacqies halbronn La dialectique Géographie (espace) -Histoire ( temps)

Posté par nofim le 24 octobre 2023

jacqies halbronn    La  dialectique  Géographie (espace) -Histoire ( temps) 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  24 10 23

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