jacques halbronnn Astrologie et Judaisme Sanctification d’une seule planéte « shabbatique », Saturne

Posté par nofim le 31 mars 2025

jacques  halbronnn Astrologie  et  Judaisme  Sanctification d’une seule planéte « shabbatique », Saturne

La pratique du Shabbat  comporte une dimension astrologique dont on  n’avait plus perçu  toute la portée, depuis fort longtemps. Dans la liturgie synagogale, dans la partie faisant suite au « Shema Israel » intitulée « Amida », on trouve cet étoge du jour du Shabbat mais sans relation avec la planéte Saturne traditionnellement associé à ce jour, comme c’est le cas en anglais- Saturday. Shabtai est le nom attribué à cet astre dans le Sefer Yetsira. Il  est question dans cet éloge d’une « sanctification »: « Tu as sanctifié le  septième jour et Tu l’as consacré à ta gloire.. C’est lui qui a couronné l »oeuvre  de la création du Ciel et de la Terre. Tu l’as béni entre tous les jours et Tu l’as sanctifié entre tous  les  temps  (Zemanim) ainsi qu’il est écrit dans le Livre  de  la Torah.  (…) Dieu  bénit le septiéme jour  et le proclama saint(Kadosh) » (cf pp 80-81  du   Siddour  Taher Libénou, Ed MJLF 1997-2001).

Le  7  est la  clef  du temps astrologique, à la fois parce que le cycle de Saturne se divise en 4 temps de 7 ans, à mettre en rapport avec la Lune  qui est également articulée sur le 7 , mais cette fois il s’agit de 7 jours. Et chacun de ces jours est traditionnellement associée au « septenaire »  Lundi pour la Lune, Mardi pour Mars, Mercredi pour  Mercure,  Jupiter (en italien Giovedi) pour  Jupiter,  Vénus pour le Vendredi, Saturne pour samedi  et le Soleil pour le Dimanche (anglais Sunday, allemand, Sonntag). En mettant l’accent sur le Shabbat, l’on désigne ipso facto la planéte Saturne-Shabtay. Il faut comprendre que c’est la seule et unique planéte qui compte, qui est « élue », ‘sanctifiée ». Le judaisme a par ailleurs accordé de l’importance au multiple de 7 , comme 49.

Chavouoth  (Les Semaines) sur le web

« une fête de deux jours, célébrée depuis le coucher du soleil dimanche 1er juin jusqu’à la tombée de la nuit mardi 3 juin 2025) coïncide avec la date à laquelle D.ieu a donné la Torah au peuple juif au mont Sinaï il y a plus de 3300 ans. Elle a lieu au terme de 49 jours de compte impatients, qui nous ont permis de nous préparer pour ce jour spécial. Elle est célébrée en allumant des bougies, en restant éveillés toute la nuit à étudier la Torah, en écoutant la lecture des Dix Commandements à la synagogue, en faisant un festin de produits laitiers et plus encore.

» Il  y  a un lien  entre le Shabbat  et Shéva,  7  en hébreu. A l’issue du Shabbat, on se souhaite une « bonne semaine » Shavoua Tov » . Shavouoth célébre le 7.  49  jours après Pessah (Pâques), période durant laquelle on ne peut célébrer de mariage à l’exception du 33e jour (Lag baOmer)

Il importe donc, dans l’optique d’une réforme du  judaisme d’accorder la plus grande importance au cycle de Saturne en paralléle avec celui de la Lune et d’ailleurs, il serait souhaitable que le Shabbat coincide avec les phases de la Lune, ce qui n’est pas respecté depuis fort longtemps, si ce n’est par hasard.

JHB 31 02 25

 

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jacques halbronnn Astrologie et Judaisme Sanctification d’une seule planéte « shabbatique », Saturne. Le 7.

Posté par nofim le 31 mars 2025

jacques  halbronnn Astrologie  et  Judaisme  Sanctification d’une seule planéte « shabbatique », Saturne 

 

  La pratique du Shabbat  comporte une dimension astrologique dont on  n’avait plus perçu  toute la portée, depuis fort longtemps. Dans la liturgie synagogale, dans la partie faisant suite au « Shema Israel » intitulée « Amida », on trouve cet étoge du jour du Shabbat mais sans relation avec la planéte Saturne traditionnellement associé à ce jour, comme c’est le cas en anglais- Saturday. Shabtai est le nom attribué à cet astre dans le Sefer Yetsira. Il  est question dans cet éloge d’une « sanctification »: « Tu as sanctifié le  septième jour et Tu l’as consacré à ta gloire.. C’est lui qui a couronné l »oeuvre  de la création du Ciel et de la Terre. Tu l’as béni entre tous les jours et Tu l’as sanctifié entre tous  les  temps  (Zemanim) ainsi qu’il est écrit dans le Livre  de  la Torah.  (…) Dieu  bénit le septiéme jour  et le proclama saint(Kadosh) » (cf pp 80-81  du   Siddour  Taher Libénou, Ed MJLF 1997-2001). 

 Le  7  est la  clef  du temps astrologique, à la fois parce que le cycle de Saturne se divise en 4 temps de 7 ans, à mettre en rapport avec la Lune  qui est également articulée sur le 7 , mais cette fois il s’agit de 7 jours. Et chacun de ces jours est traditionnellement associée au « septenaire »  Lundi pour la Lune, Mardi pour Mars, Mercredi pour  Mercure,  Jupiter (en italien Giovedi) pour  Jupiter,  Vénus pour le Vendredi, Saturne pour samedi  et le Soleil pour le Dimanche (anglais Sunday, allemand, Sonntag). En mettant l’accent sur le Shabbat, l’on désigne ipso facto la planéte Saturne-Shabtay. Il faut comprendre que c’est la seule et unique planéte qui compte, qui est « élue », ‘sanctifiée ». Le judaisme a par ailleurs accordé de l’importance au multiple de 7 , comme 49.

 

Chavouoth  (Les Semaines) sur le web

« une fête de deux jours, célébrée depuis le coucher du soleil dimanche 1er juin jusqu’à la tombée de la nuit mardi 3 juin 2025) coïncide avec la date à laquelle D.ieu a donné la Torah au peuple juif au mont Sinaï il y a plus de 3300 ans. Elle a lieu au terme de 49 jours de compte impatients, qui nous ont permis de nous préparer pour ce jour spécial. Elle est célébrée en allumant des bougies, en restant éveillés toute la nuit à étudier la Torah, en écoutant la lecture des Dix Commandements à la synagogue, en faisant un festin de produits laitiers et plus encore.

 » Il  y  a un lien  entre le Shabbat  et Shéva,  7  en hébreu. A l’issue du Shabbat, on se souhaite une « bonne semaine » Shavoua Tov » . Shavouoth célébre le 7.  49  jours après Pessah (Pâques), période durant laquelle on ne peut célébrer de mariage à l’exception du 33e jour (Lag baOmer)

Il importe donc, dans l’optique d’une réforme du  judaisme d’accorder la plus grande importance au cycle de Saturne en paralléle avec celui de la Lune et d’ailleurs, il serait souhaitable que le Shabbat coincide avec les phases de la Lune, ce qui n’est pas respecté depuis fort longtemps, si ce n’est par hasard.

 

JHB 31 02 25

 

 

 

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jacques halbronn Pour une chaire de criticologie. Linguistique, Bible, Droit, Astrologie, Nostradamus

Posté par nofim le 29 mars 2025

jacques  halbronn    Pour une chaire de criticologie. Linguistique, Bible, Droit,  Astrologie, Nostradamus. 

Pour nous, la critique des systèmes s’apparente à une forme d’archéologie qui va  au delà d’une lecture superficielle des documents qui nous sont parvenus. Il s’agit de restituer la genése de tel ou tel dispositif  par une critique « interne » et non plus « externe » en partant d’un postulat structuraliste selon lequel nos  sociétés  ne construisent pas des  systémes n’importe comment mais selon une certaine logique à restituer, à restaurer en passant outre les corruptions ayant pu donner l’impression du contraire/  

Pour ce qui nous concerne, nous avons  appliqué notre méthodologie d’investigation à des domaines assez divers, puisque cela va de la critique des textes religieux à celle des Centuries « nostradamiques » en passant par celle de la littérature astrologique et de la dialectique de l’écrit  et de l’oral au niveau linguistique, notamment en ce qui concerne la langue  française. Cela a  à voir  avec la notion de « dessein intelligent »  et touche à la démarche théologique de la révélation, de la Création, prenant le contre pied de la thèse de l’Evolution. Pour nous,  l’accent n’est pas mis sur la matière mais sur la forme, le modéle, la matrice. C’est ainsi que pour nous la grammaire importe plus que le lexique. Une même matrice  va produire des effets différents  selon  le terrain, le vécu, le matériau  auxquels elle est appliquée. Cela  vaut notamment pour l’astrologie,  un même signe solaire n’exercera pas les mêmes effets selon la personne sans qu’il soit nécessaire de dresser son « thème »!

 

 

 

 

Sur  le  web

Que sont la critique rédactionnelle et la haute critique ?

 

jacques  halbronn    Pour une chaire de criticologie. Linguistique, Bible,  Droit, Astrologie, Nostradamus dans ASTROLOGIE POLITIQUE print« La critique rédactionnelle et la haute critique ne sont que deux des nombreuses écoles de critique biblique. Leur intention est de faire des recherches sur les Écritures afin de déterminer leur auteur, leur historicité et la date à laquelle elles ont été écrites. La plupart de ces méthodes sont des attaques visant à détruire biblique.  On peut distinguer deux formes principales de critique biblique : la haute critique et la critique textuelle. La critique textuelle vise à reconstituer le texte original, dont les manuscrits sont perdus. La haute critique étudie l‎’authenticité du texte et pose des questions comme : quand ce texte a-t-il été réellement écrit ? Qui l‎’a réellement écrit ?

Beaucoup de critiques ne croient pas en l‎’inspiration des Écritures et se servent donc de ces questions pour masquer l‎’œuvre du Saint-Esprit dans la vie des auteurs de nos Écritures. Ils croient que notre Ancien Testament n‎’est qu‎’une compilation de traditions orales qui n‎’ont été écrites qu‎’après la captivité d‎’Israël à Babylone en 586 av. J.-C.

« Bien sûr, on voit dans les Écritures que Moïse a écrit la Loi et les cinq premiers livres de l‎’Ancien Testament (appelé le Pentateuque). Si ces livres n‎’avaient pas réellement été écrits par Moïse, mais dataient de nombreuses années après la naissance de la nation d‎’Israël, les critiques pourraient de ce fait mettre en doute leur fiabilité et ainsi réfuter l‎’autorité de la Parole de Dieu. Mais ce n‎’est pas le cas. La critique rédactionnelle affirme que les auteurs des Évangiles n‎’étaient que les derniers compilateurs de traditions orales, pas les témoins directs des événements. Un critique rédactionnel a dit que l‎’objectif de son travail était de trouver la « motivation théologique » des auteurs dans la sélection et la compilation de traditions ou d‎’autres sources chrétiennes écrites. » 

 

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jacques halbronn Toute cyclologie génére et révéle des tensions entre les périodes.

Posté par nofim le 29 mars 2025

Jacques halbronn  Toute cyclologie génére et révéle  des tensions entre les périodes/ 

La condition  de « l’Homo Astrologicus » (titre de notre premier article  en juin 1969)  avec des phases ayant chacune leur spécificité  et se succédant  comme autant de cloisons, de couperets, comporte à coup sûr une dimension  dramatique au coeur  même du phénoméne astrologique, à l’instar d’ailleurs de l’alternance propre à la vie politique avec ses changements d’équipe (cf le « spoils  system » aux USA)  Une période de 7  ans ne s’écoule pas comme un fleuve  tranquille. Elle se découpe en trois temps de 840 jours et on observe que les astrologues se montrent incapables de déterminer la durée d’impact d’une des multiples configurations dont ils entendent user sinon abuser.  La  durée d’un an souvent sous entendue n’étant guère  valable. 

On s’intéressera d’abord au passage de Saturne en signe fixe, à mi parcours donc de nos 7 ans. Il s’agit d’une période qui est marquée par l’effet d’aubaine, par la chance avec ce que cela comporte d’imprévisible, d’aléatoire et il n’est pas conseillé aux astrologues d’exploiter un tel filon  qui se révéle assez vite illusoire. C’est ainsi qu’en 1953, le  jeune André  Barbault aura cru pouvoir sauver le cycle Saturne Neptune sur lequel il avait misé gros, en exploitant la mort  de Staline, quitte à la comparer avec la choc de la Révolution d’Octobre 1917. Or, à la mort du dictateur, Saturne arrivait à 27° du signe de la Balance, soit à la frontière avec le signe fixe du Scorpion, ce  type de signe, on vient de le dire, nourrissant bien des chimères, des coincidences  et des faux semblants.

La phase qui suit est celle des signes mutables qui correspond à une forme d’ubris socio-juridique, d’auto-détermination au cours de laquelle l’Humanité entend prendre son destin en main, le modeler à sa guise, en pleine souveraineté. On  a vu récemment, en France les effets d’une telle période sur les formations politiques, prêtes,  à tour de rôle, à renverser un gouvernement.

Et enfin, Saturne  parvient en signe cardinal (selon l’Astrologie Septennale) et c’est le juge de paix, la fin des mirages. C’est ainsi que Barbault vécut assez mal 1982, lui qui avait annoncé une « troisiéme guerre mondiale », en raison des conjonctions de planétes lentes (cf son indice cyclique). Or Saturne était en balance tout comme en 1953 mais la phase « fixe » ne vint pas, cette fois, lui sauver la mise. En 1967, alors que Saturne entrait en signe cardinal (Bélier) ,ce fut la déconfiture de  Nasser  qui allait  tomber de  haut, à la suite de la « Guerre des Six Jours » (juin);

 sur le web

1967, guerre des Six-Jours: le jour où Nasser démissionna

« Israël gagne en six jours la guerre de 1967 contre trois Etats arabes qui bordent ses frontières. Déclenchée le 5 juin par un bombardement des aéroports égyptiens, elle se termine le 10 juin sur les hauteurs du Golan syrien. Outre le triomphe israélien, cette guerre est marquée par la démission de Nasser. Une démission surprise, vite reprise, mais qui marque l’Egypte et le monde arabe. »
Or, à l’approche de l’entrée de Saturne en bélier, au printemps 2025, l’on s’aperçoit que le temps « mutable » touche à sa fin, notamment pour les alliances de « gauche »  et implose  comme un château de cartes. Cette entrée en Bélier pourrait d’ailleurs sonner la fin du mythe Barbault, à l’occasion même d’un Colloque « Source », consacré aux  conséquences de  la formation de la conjonction Saturne Neptune en bélier. Précisons  que, pour sa part,  Barbault n’attachait aucune importance au signe où avait lieu une telle conjonction. C’est toute une génération d’astrologues qui va se trouver compromise par un  tel « événement »  tout comme au début des années 80 et le non événements d’une nouvelle guerre mondiale. Aux astrologues de prier pour que quelque chose de vraiment catastrophique ait lieu mais la catastrophe n’est ce pas justement celle de telles pseudo- prophéties?
JHB 29 03 25

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jacques halbronn La Vie Astrologique. Deux congrès anniversaires: 2004 (MAU) et 2025 (Source)

Posté par nofim le 29 mars 2025

Jacques  halbronn  La  Vie  Astrologique. Deux congrès anniversaires: 2004 (MAU) et 2025 (Source) 

  En novembre 2004, nous célébrions, avec la présence de  Julienne Mullette (Sturm), fondatrice de l’ISAR (International Society for Astrological Research) le trentième  anniversaire du congrès  de Paris- Porte Maillot  de 1974. 2025 correspond au 20e anniversaire de la création  de l’association Source  qui tient ce week- end de la fin mars, un Congrès à Paris en cette occasion mais aussi au cinquantième anniversaire de la fondation du Mouvement Astrologique  Universitaire (MAU) Etrangement,  Source nait au lendemain de notre Congrès de 2004 auquel avait participé Yves Lenoble, qui avait  travaillé  avec Catherine Gestas, dans le cadre de SEP Hermés (depuis 1990, Porte Mailot) après  avoir collaboré avec Danièle Rousseau, dans le cadre de la FFA (Fédération Française d’Astrologie, fondée en 1984) – sans oublier l’AGAPE de Solange  de Mailly Nesle (école fondée en 1989) et avec nous mêmes, aux débuts du MAU. Par ailleurs,  Yves  Lenoble  aura été mobilisé dans l’entreprise d’Astroflash (autour d’André Barbault) et aura été marqué par  l’Astrologie Conditionaliste de Jean-Pierre Nicola.

L’ambition du Congrès Source 2025-  auquel nous avons assisté dans sa partie conclusive,  est d’emblée sensiblement plus modeste, de par son envergure, que celui  du Congrès MAU 2004. le nombre d’intervenants chercheurs  bien plus restreint.  Les  enjeux ne semblent pas avoir été les mêmes. Pour Catherine Gestas, la quantité  a toujours primé  sur la qualité  et une brochette de personnalités  lui suffisait, le gros du public étant constitué d’inconnus anonymes sans bagage significatif. Les intervenants des meetings  SEP Hermés étaient généreusement rémunérés, du fait même des entrées payantes du public et ils avaient droit à d’amples temps de parole , en raison même de leur petit nombre. A l’inverse, les rencontres MAU ne comportaient aucune  gratification et impliquaient surtout des débats et non des cours magistraux mais ne prévoyaient pas la présence d’un « public’  d’éléves qu’il aurait  fallu ménager, probléme qui se posera avec Frank Agier et sa structure vidéo payante, Baglis.  En 2007, va  prendre forme l’idée de télévision astrologique, à la suite des tentatives de Roger Héquet puisant dans nos enregistrements vidéo, à commencer par  ceux du Colloque de 2004,  ce sera TELEPROVIDENCE .Enfin, on saluera la  récente  création de la BINA, Bibliothèque Internationale de Numérisation Astrologique,qui met en ligne une partie des fonds de périodiques de la Bibliotheca Astrologica, fondée par nous en 1972.

Une différence majeure entre   nos activités et celles de Catherine Gestas, aura tenu au fait que nous ne nous sommes aucunement limité à Paris et avons pleinement assumé une dimension internationale francophone (Bruxelles, Genéve,  Montréal  etc)  mais aussi « provinciale » avec des rendez vous dans tout l’hexagone,  en connexion notamment avec les rencontres de Lyon  (RAO de Frank  Nguyen) et de Bordeaux (Atelier d’Astrologie d’Aquitaine de Josette  Bétaiolle)  Il aura fallu des  guides entiers ‘entre 1989 et 2006) pour recenser de  façon exhaustive nos rassemblements.  Le MAU  a su séparer  ses activités d’enseignement de celles liées aux colloques nationaux et internationaux  car il a vite compris que cela impliquait des processus radicalement différents, d’où la création en 1975 de la Faculté Libre d’Astrologie de Paris qui permettait de disposer de fonds permettant d’avoir des colloques à entrée libre alors que SEP  Hermés et Source auront voulu fonctionner autrement, avec  pour conséquence le faible nombre d’intervenants et le manque de débat entre eux, ce qui explique que nous n’ayons pas été invités à nous exprimer de façon critique sur le thème »  Saturne-Neptune  en bélier »lequel  est  vécu comme l’annonce d’un individualisme (renforçant l’astrologie individuelle) faisant suite au collectivisme des Poissons. La mise en valeur exacerbée  de la tonalité  Bélier  est ici  aux antipodes de l’astrologie mondiale de Barbault et l’insistance sur la  typologie des 12  signes appartient à une autre époque.https://fr.scribd.com/document/478879729/Premiere-partie 

Personnalités présentes identifiées  à ces  journées Source:Marielle Garrel(Clavel) ( à la naissance du MAU et de la FLAP en 1975), Denis Labouré, Bernard Duchatelle,  Samuel Djian Gutenberg, Elisabeth Frésard, Catherine Louis, Yves Lenoble, Lynn Bell, Catherine Gestas, Luc Bigé, Philippe Thibaut, Emmanuel Leroy, Martine Barbault,  Denis Avronsart etc  plus  les  femmes astrologues de la « Nouvelle Vague » avec Sarah Chouraqui.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  31 03 25

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jacques halbronn Linguistique comparée (Famille latine/Sémitique). Epistémologie. Préfixes et Suffixes

Posté par nofim le 27 mars 2025

Jacques  halbronn  Linguistique comparée (Famille latine/Sémitique). Epistémologie. Préfixes  et Suffixes

 

 Nous  avons déjà eu l’occasion de rappeler que la finale en « ed » du prétérit et du participe passé en anglais venait de l’ancien français (les bleds); ce qui pose la question de l’usage de l’accent sur la lettre « e » en français « moderne ».

Le cas de l’infinitif nous semble particulièrement intéressant à étudier au prisme du rôle du  verbe auxiliaire  avoir tant pour le passé que pour le  futur. Il a  mangé, il mangera. 

Il est clair, en effet, qu’initialement, le passé composé de la première conjugaison ne se terminait pas par un « é » Rappelons que la conjugaison  en « ir » n’est pas concernée (écrit/e).

Or, nous avons dans le dispositif  actuel

 Il  a mangé / il mangera.

Il  a  écrit, il écrira   On peut se demander si au départ, on n’avait pas « il a écrire » au lieu  « il a  écrit » puisque, au futur, on trouve il écrira et non pas il écrita (sic)…. Mais l’on peut se demander si on n’avait pas à l’origine,  il  a manger , ce qui conduit  logiquement  à il mangera.  Nos observations  visent la consonne « r » , dans les  deux groupes, laquelle aurait disparu dans les deux  cas si ce n’est que l’emprunt de l’anglais au français met en avant une finale en « ed » du participe français  et non pas  en  « er ». La finale er semble être au demeurant sensiblement plus attestée que la finale ed. Un infirmier/une  infirmière etc. On devrait donc ne pas changer la prononciation  française en vigueur mais rétablir l’écrit, sachant que, selon nous,  l’infinitif est neutre à l’écrit  et n’est impacté par des  marqueurs qu’à l’oral  Le mise en place du  é  reléve d’un facheux alignement de l’écrit sur l’oral, ce qui vient sensiblement perturber l’agencement  grammatical.

D’une  façon  générale, l’accent -quel  qu »il soit( sur le « e » tend à éliminer une consonne,  tout comme l’apostrophe une voyelle.  L’anglais « forest » correspond au français « forêt  tout comme l’allemand Fenster au français  fenestre.

En fait, le français  procéde à l’inverse  de l’hébreu:préfixation du passé   et suffixation du  futur;   Selon nous, il faut partir de l’infinitif et  compléter par le  verbe avoir, soit en position préfixale, soit en position suffixale.   Au niveau de l’écrit, on en restera à la forme infinitive avec le   dans tous les cas de figure  J’ai manger(sic)  (devenu manged (cf le « ado » de l’espagnol), puis mangé), et je mangerai. On  aura forme  en « er » pour le participe passé, au masculin  et  en ère, au féminin. Cela ne devrait pas trop surprendre  vue la fréquence en français des finales en  er et ere. exemple  Premier/première.   Logiquement, le passé devrait correspondre à des préfixes  et le futur à des suffixes. C’est le cas pour les langues latines et notamment pour le français:  j’ai mangé (ed,er), je mangerai, Le  verbe avoir a ici  valeur d’affixe. A  contrario,  les langues sémitiques inversent le processus  en usant du suffixe pour marquer le passé et du préfixe pour marquer le futur. Cela pourrait  s’expliquer pour l’hébreu en raison du « vav conversif » (usité dans Genése I, avec le  Vayomer) tout comme dans la « Shema Israel » avec le VaAhavta)) car cette pratique ( dont nous ignorons son existence pour l’arabe) va faire – comme son nom l’indique – d’un passé un futur et d’un futur un passé. C’est ainsi que « tu aimeras » devient dans le « Shema Israel » « tu as aimé » alors que ‘ »il a dit » devient « et il dira »! On pourrait aussi s’intérroger  tant qu’à faire sur la question de la lecture de gauche à droite ou de droite à gauche qui distingue les deux familles de langues.

 

 

 

 

 

 

 

  JHB 31 03 25

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jacques halbronn Epistémologie. L’astrologie doit se repérer sur les matrices grammaticales.

Posté par nofim le 26 mars 2025

jacques  halbronn  Epistémologie. L’astrologie doit  se repérer sur les matrices grammaticales.

 

L’historien de l’astrologie ne saurait s’appuyer sur la littérature  astrologique laquelle exige un devoir d’inventaire. Il  faut remonter bien en amont,  au delà  de Ptolémée et de Morin de Villefranche Pour restituer les véritables fondements de ce domaine, il importe  de recourir  à une approche que nous avons qualifié d’anthropolinguistique car selon nous,c’est dans ce domaine  que nous avons balisé qu’il convient de rechercher la matrice astrologique.  Nous pensons notamment à la distinction entre article indéfini et article défini, l’article indéfini étant riche d’une infinité de potentialités, ce qui correspond  au stade de l’écrit  avant le passage à l’acte qu’est l’oral. L’astrologie ne saurait se noyer dans le magma astronomique  mais elle est le fruit d’une décantation, d’une réduction, au sens alchimique du terme, ce qui nous conduit à un systéme planétaire  limités à Saturne et accessoirement à la Lune et au Soleil, lesquels viennent structurer les 4 saisons (en trois temps) On aura compris qu’il n’existe pas pour nous d’astrologie sans support théologique et vice versa pas de théologie sans référentiel astrologique. Mais cette théologie ne saurait être le Panthéon mythologique véhiculé par l’astronomie mais s’inspirer du monothéisme biblique et Sabbatique (7e jour, cf  Genése II) 

Il importe de comprendre la notion de matrice (http://cura.free.fr/2015/1511matrice1.html), à savoir que l’application d’une même structure(tel  signe, telle planéte) à des champs différents produira des effets divers qu’il serait bien vain pour l’astrologie de tenter de décrire par le biais de telle ou telle configuration astrale (cycles planétaires liés à tel pays, ou carte du ciel pour telle personne). Autrement dit, l’application doit passer impérativement par l’étude du terrain, d’où la notion d’anthripocosmologie, combinant le Ciel et la Terre. En linguistique, l’on observe que des langues peuvent relever d’une même grammaire, tout en disposant de lexiques  et d’alphabets différents et inversement  relever d’une même lexique traité au moyen de matrices différentes.

 

 

 

 

 

 

 

JHb 31 03 25

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jacques halbronn Astrologie. Epistémologie. Problémes de datation et de contenu

Posté par nofim le 26 mars 2025

jacques   halbronn Astrologie. Epistémologie. Problémes de datation et de contenu 

 

La  recherche  astrologique se  heurte à deux enjeux: la forme et le contenu.  Que peut valoir une échéance si l’on n’en cerne pas le contenu? Il importera donc  de constituer un « bon » (right) calendrier  articulé  sur des descriptions pertinentes d’un point  de vue anthropologique. Le cas le plus frappant concerne l’interprétation des débuts de cycles.

Deux lectures se proposent à nous, la plus tentante  serait de voir dans les signes cardinaux inaugurant chaque saison, un temps de (re) commencement Or, nos plus récentes recherches dans le domaine théologique et cyclique nous mettent en garde par rapport à de pseudo-évidences, ce qui pose d’emblée la question des relations dialectiques entre astronomie  et astrologie.

Pour nous, l’astronomie constitue un matériau  brut auquel il convient de donner forme  et dans ce sens, le premier temps sera celui de la forme et non de la matière selon un principe d’évolution et non d’involution ,  d’aboutissement  et non de dégradations, de corruption. Pourquoi cela? Parce qu’avec la « Création », comme le montre le premier chapitre du Livre de la Genése, on est sorti du chaos gazeux correspondant à la phase mutable et a été mise en place un systéme  parfaitement abouti, ce qui correspond à un « plan divin », à un « dessein intelligent » et non à un ensemble aléatoire, indéfini. Autrement dit, en phase cardinale, ce « plan » s’imposera le plus fortement, succédant à la phase mutable,  où tout aura perdu de son sens, de sa détermination.

 

JHB  26 03 25

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jacques halbronn Lingustique comparée. L’impact du Vav conversif (Bible) sur le futur suffixal du verbe français. Rôle de l’auxiliaire avoir.

Posté par nofim le 26 mars 2025

jacques halbronn    Lingustique comparée. L’impact du Vav  conversif (Bible)  sur le futur suffixal  du verbe français.  Le  rôle de l’auxilaire  « avoir »

 

 

 

La  thèse que nous soutiendrons à présent qui vient en quelque sorte couronner nos travaux en linguistique comparée  concerne l’impact du Vav conversif  sur la dimension suffixale du  verbe au futur dans les langues latines  et notamment dans le cas  du  français. Comment expliquer, en effet, que la conjugaison du futur en français  fasse appel à des suffixes alors qu’en  hébreu et en arabe, le suffixe  concerne l’accompli, le passé. Inversement,  le futur  devrait être marqué par l’usage des préfixes, comme c’est le cas dans les langues sémitiques.

 

On notera d’ailleurs  que le français dispose parallélement, de formes préfixales pour marquer le futur: je vais  manger, ce qui se retrouve dans l’anglais  I  am going to. L’anglais, comme l’allemand, d’ailleurs forment leur futur  de  façon préfixale  : I  will eat, Ich  werde essen etc. Il y a donc bien là une anomalie propre aux langues latines dont il convient de rechercher la cause dans la pratique du vac conversif;

 

Sur le  web

  En hébreu biblique, la lettre vav (sixième lettre de l’alphabet) possède une étrange propriété grammaticale : elle inverse le temps. C’est ce qu’on appelle un « vav conversif » ou « vav inversif ». Quand cette lettre est placée devant un verbe au futur, elle le transforme en passé; et quand elle est placée devant un verbe au passé, c’est le futur qui est exprimé. En principe, le passé est accompli, et le futur inaccompli. On pourrait considérer tout ce qui est ponctuel comme accompli (qu’il s’agisse du passé ou du futur); et tout ce qui dure comme inaccompli (qu’il s’agisse du passé ou du futur). Dans cette logique, en hébreu ancien qui diffère de l’hébreu moderne, comme peut-être en arabe et en araméen, on exprime moins le temps que le degré d’accomplissement. Mais la pratique est plus complexe. Le vav biblique démultiplie les distinctions possibles. Il transforme le duratif en ponctuel; ou le ponctuel en duratif (avec un changement d’accent tonique). On aboutit à quatre temps grammaticaux : accompli ponctuel, accompli duratif, inaccompli ponctuel, inaccompli duratif. »  Berechit, le début de la torah, et son troisième verset souligné en jaune, « Dieu dit, Que la lumière soit! Et la lumière fut ».jacques  halbronn   Lingustique comparée. L'impact du Vav  conversif (Bible)  sur le futur suffixal  du verbe français. Rôle de l'auxiliaire  avoir. dans Bible berechit-et-lumiere-futExemples :- quand haya, qui signifie « il était », est écrit vehaya, il signifie « et ce sera ».- l’expression yehi or, « Que la lumière soit » (Gn 1.3) est marquée d’abord au futur. Juste après, on ajoute un vav « Et la lumière fut » – la phrase est maintenant au passé.
 Google

 

 Tout  se passe,  semble-t-il,  comme si, à un certain stade, on  avait interverti, en hébreu  biblique, accompli et inaccompli en utilisant un code spécifique, à savoir  l’usage de la lettre « vav » et que ce code  avait fini par ne plus être « sous contrôle », dans les langues latines;

En
Sur  le  Web« Le  Shema Israel, texte majeur de la liturgie judaique, est  fortement marqué par l’usage du vav conversif, avec une suffixation censée en fait marquer le futur à partir du passé. »

JH dans FRance

Le Shema Israël est le texte principal de la liturgie juive. Composé de trois extraits de la Tora, on le récite matin et soir accompagné de bénédictions. C’est ce texte qui se trouve dans la Mezouza.

 

1er paragraphe

Écoute Israël, l’Éternel est notre Dieu, l’Éternel est UN.

Tu aimeras (Ve Ahavta) l’Éternel ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton pouvoir » La  forme « Ahavta » – tu aimeras  est un passé, avec le V qui précéde et implique une inversion des temps.   

Mais  il existe une autre piste  autour du verbe avoir. Le  futur et le passé composé, en français, fonctionnent en symétrie:  je mangerai  et j’ai mangé. Dans un cas, le verbe avoir est en position suffixale pour l’inaccompli et dans l’autre en position préfixale pour l’accompli. On peut aussi noter le paralléle entre je vais manger (futur) et je viens de manger (passé)


 

 JHB 26 03  25

 

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jacques halbronn Réflexions critiques sur la méthodologie d’André Barbault en matière d’Astrologie Mondiale : Neptune (1846) et Staline.(1953)

Posté par nofim le 26 mars 2025

jacques  halbronn   Réflexions  critiques sur la  méthodologie d’André Barbault en matière d’Astrologie Mondiale: Neptune (1846) et Staline.(1953)

 

  La tenue dans quelques jours d’un Congrés touchant à la conjonction Saturne-Neptune  est l’occasion de faire le point sur  la   méthodologie barbaultienne , et montre à quel point le milieu  astrologique s’est  privé de ses éléments les plus  valables., avec notamment les récents décés de Patrice Guinard, de Daniel  Cobbi, d’Yves Lenoble, faisant suite à celui  de Michel Gauquelin, de  Jean-Pierre Nicola, de Barbault lui- même. Mais heureusement, sans  fausse modestie,  nous sommes toujours bien là pour protéger  cette communauté et la représenter..Congrès en petit comité  que celui qui vient et fort  parisien (hormis Emmanuel Leroy  de Lille), si on le compare à celui que j’ai organisé en 2004 et qui est toujours intégrakement en ligne. On saluera la présence de deux  chercheurs éminents, Luc Bigé et Emmanuel LeroY, Bernard Duchatelle, Samuel  Djian Gutenberg,  Denis Labouré quant à la gent masculine  en compagnie  de Mesdames Élisabeth Frésard, Marie-Noëlle Baudron, Martine Barbault, Lynn Bell, et  Claire Decroix-Barbault  des  habituées  dans le cadre des  soirées de  l’association Source de Catherine Gestas!   Le gros du public  sera constitué d’anonymes  payants préts à célébrer quelque grande messe communautaire:

La prise en compte de Neptune en Mondiale est déjà  en soi très discutable. Selon nous, l’astronomie nous offre une représentation « gazeuse » du  systéme solaire  et il revient à l’astrologie de  faire le  tri, sur la base d’un certain nombre de critères  Quant à la mort de Staline en mars 1953, présentée par Barbault comme le corollaire de la Révolution d’Octobre de 1917, 36 ans plus tôt (durée du cycle Saturne-Neptune), la comparaison  est bien ténue, entre un mouvement organisé sous la conduite de Lénine  et  ce qui n’aura été en soi qu’un accident, à savoir la mort dans son lit de Staline. L’astrologie, dans les deux cas, n’aura  certainement  pas eu le même impact. Notons  que cette mort se produit à l’approche de l’entrée de Saturne dans le signe fixe du scorpion (octobre 1053),  ce type de signe indiquant des événements imprévus, à l’instar du Covid et ne relevant pas de calculs politiques. On n’est donc pas là dans le registre des signes cardinaux. La comparaison de 1953 (fin balance)  et de 1989(Capricorne)  ne tient pas. En revanche la mort de Staline et de De  gaulle  correspondent toutes deux à l’entrée de Saturne en signe fixe, respectivement Scorpion et Taureau, soit un intervalle d’un demi-cycle de Saturne

Si l’on prend 1989, échéance suivante du cycle  barbaultien,  on oublie le printemps de Prague (avec Dubcek), 21 ans plus tôt (3×7), en 1968,  dont le souvenir vient d’être ravivé par le film  « Radio Prague, les ondes de la révolte  » 2024.

  • film Prague sur www.allocine.fr
    web
    « Ce thriller politique et drame personnel suit un groupe de journalistes de la Radio tchécoslovaque luttant contre la censure imposée par le régime communiste » 
    C’est dire qu’il importe de  suivre le cours des événements de 7  ans en 7  ans et non de 36 ans en 36  comme on nous  invite avec le dit Congrès. Tant en 1968 qu’en 1989, c’est le Pacte de  Varsovie  qui est l’acteur principal. Rappelons aussi, sur la base du  dit  cycle de 7 ans,  en  1961 le blocus de Berlin. Construction du Mur  et 28 ans plus tard  sa destruction.  Nous  dirons  qu’une  configuration astrale ne saurait être réservée à un seul pays, à une seule religion, à une seule idéologie. Attribuer le cycle Saturne-Neptune – si tant est que  ce cycle fasse sens- à la Russie ne nous parait pas viable. Réduire les échéances aux seules conjonctions réduit d’autant  les possibilités de vérification  et tend inéluctablement à vouloir grossir l’impact de telles configurations et ce d’autant que même un cycle de 7 ans doit être décomposé en trois sous -phases sur la base de la division en signes cardinaux, fixes et mutables (en Astrologie septennale) tant et si bien que nos congressistes se trouvent contraints à pratiquer une surenchère événementielle de mauvais aloi. Alors que Barbault aura fini par se contenter d’un rendez vous tous les 36 ans, soit moins de trois par siècles, notre Astrologie Septennale, quant à elle, propose un changement de cap  tous les 840 jours  avec  des récurrences à la clef qui  répondent aux exigences de réfutabilité  d’un Popper/.
    Selon nous, quand Saturne passe  en signe fixe, il y a un lâcher prise du processus prévisionnel et la prévision devient prédiction. C’est ainsi que la mort  « naturelle »  reléverat du temps fixe  alors que la mort préméditée  serait déterminée en période cardinale ou mutable,  à la suite d’une délibération  issue du haut ou du bas de la pyramide du pouvoir. Dans le cas de la mot de Staline, le temps fixe met en évidence, une dimension aléatoire en décalage par rapport à toute initiative pleinement assumée comme l’exécution  ou l’assassinat.

 

 

 

 

 

 

JHB 26 03 25

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