jacques halbronn Astrologie Septénale & Prophétisme. Durée des périodes : 1260, 1290 ou 1280 jours? Tribulation de 7 ans.

Posté par nofim le 30 juin 2025

jacques  halbronn   Astrologie  Septénale & Prophétisme. Durée des périodes : 1260, 1290  ou  1280 jours?  Tribulation de 7 ans.

Nps  travaux  sur les origines de l’Astrologie, bien avant les textes de la Tétrabible (IIe siècle AD) et en lien avec l’Arbre Séfirotique, mettent  en évidence deux temps de trois ans et  demi, soit  le 8e du cycle sidéral  de Saturne. Il est question dans la Bible d’une  tribulation de 7 ans, elle même divisée en deux parties?  Au milieu de la période de 3 ans 1/2; il  y a , nous dit-on, « rupture » Puis au bout des 3 ans  et demi, les forces  ayant triomphé au bout de 3 ans et  demi, seront défaites. Séphirotiquement, on a successivelent une phase Din, une phase Hessed puis le retour à une phase Din, soit le début d’une nouevvle période de 7 ans. La question qui se poase, ici, est celle du nombre de jours. Selon nous, ce nombne doit être de 1280 jours et non de 1260 jours ou de 1290  jours En effet, si l’on divise 1280  par deux, obtient 640 jours, 64  étant obtenu en multiplian 8  par lui même. Or, l’on sait à quel point le cycle de Saturne est à diviser par 8 puisque c’est ainsi que l’on arrive à 3 ans 1/2, le semi-carré de 45°  est également appelé « octile »  Ajouons  que l’année n’est pas de 260  jours mais de 365 jours 1/4/..

Web  sur Dane Rushyar:

« L’octile (45°) ou demi-carré est obtenu par la division du cercle par 8.

Le nombre 8 s’écrit comme le symbole de l’infini. Il est associé à la perfection divine, à l’Esprit, au Christ. Dans l’octogone on inscrit deux carrés ou deux croix symboles de la matière et de l’incarnation.

« Par et à travers le demi-carré, l ’esprit se diffuse dans la matière.* »

Dans le cycle des aspects, le demi-carré croissant (45° en analogie avec le signe du Taureau) est une phase de mobilisation des énergies pour aller de l’avant. Mais la résistance du passé est telle qu’il faut fournir un effort pour surmonter les obstacles. L’inertie et le sentiment de frustration peuvent être vaincus par l’expression de la volonté, par une affirmation adolescente déterminée. »

Sur le web;

- Quelque temps après l’enlèvement de l’Église, l’Antichrist conclut un traité avec Israël. C’est le début de la tribulation de sept ans.

- Au milieu de la tribulation (1 260 jours plus tard), l’Antéchrist rompt le traité, profane le temple et commence à persécuter les Juifs.

- À la fin de la tribulation (1 260 jours après la profanation du temple), Jésus-Christ revient sur terre et défait les forces de l’Antéchrist.
sur le  web:

Etude  sur le  web:

« Pourquoi Daniel et l’Apocalypse donnent-ils des décomptes différents de 1 260, 1 290 et 1 335 jours pour la tribulation ?
Réponse

Les livres de Daniel et de l’Apocalypse sont souvent étudiés ensemble, car leurs prophéties concernant la fin des temps s’imbriquent bien l’une dans l’autre. Les deux livres mentionnent un certain nombre de jours pendant la tribulation : Daniel mentionne 1 290 jours et 1 335 jours ; l’Apocalypse mentionne 1 260 jours, soit un « écart » total de 75 jours (1 335 – 1 260 = 75).

Daniel 12:11-12 dit : « Depuis le moment où le sacrifice perpétuel sera aboli et où sera dressée l’abomination de la désolation, il y aura 1290 jours. Heureux celui qui attendra et atteindra la fin des 1 335 jours.

Apocalypse 11:3 dit : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, habillés de sacs, pendant 1260 jours ».

Ces deux prophéties traitent de périodes spécifiques associées à la tribulation de sept ans.

Un autre verset de Daniel établit la durée de deux périodes de la tribulation : « Il imposera une alliance d’une semaine à beaucoup, et au milieu de la semaine il fera cesser le sacrifice et l’offrande. Le dévastateur commettra les pires monstruosités jusqu’à ce que l’anéantissement et ce qui a été décidé se déversent sur lui ». (Daniel 9:27). Le « prince qui doit venir » est l’Antéchrist ou la « bête » de l’Apocalypse.

Selon Daniel 9:27, la tribulation commence par la signature d’un traité de paix entre l’Antéchrist et Israël, prévu pour une durée de « sept », c’est-à-dire une série de sept ans. Mais les « sept » sont divisés par deux : au milieu des sept années, l’Antéchrist rompt le traité et installe dans le temple un objet sacrilège (l’ »abomination qui cause la désolation »). L’expression « au milieu » indique que la première moitié de la tribulation dure 3½ ans (1 260 jours, en utilisant une « année prophétique » de 360 jours). De même, la seconde moitié de la tribulation dure encore 1 260 jours (encore 3½ ans), soit un total de sept ans.

Apocalypse 11:3 mentionne spécifiquement 1260 jours, ce qui correspond exactement à la prophétie de Daniel sur l’abomination de la désolation. Dans l’Apocalypse, nous avons un détail supplémentaire : deux témoins divinement désignés prêcheront et feront des miracles pendant la moitié de la tribulation – la première moitié, selon la chronologie de l’Apocalypse. Ces deux témoins sont tués au milieu de la tribulation ; leurs corps gisent dans les rues pendant trois jours et demi, tandis que le monde célèbre leur disparition ; puis ils sont ressuscités et emportés au ciel (Apocalypse 11:7-13).

Les 1 260 jours de la seconde moitié de la tribulation commencent lorsque l’Antéchrist rompt le traité, occupe le troisième temple juif et y installe un objet de culte profane et sacrilège. Cette période de 1 260 jours se termine lorsque l’Antéchrist est vaincu à la bataille d’Armageddon, lors du retour de Jésus sur terre. À ce moment-là, la tribulation prendra fin.

Daniel 12:11 mentionne cependant 1290 jours, soit 30 jours de plus que la seconde moitié de la tribulation. Différentes idées ont été avancées pour expliquer ce qui se passe pendant ces 30 jours supplémentaires. Une théorie probable est que la terre d’Israël sera reconstruite au cours de ce mois après la dévastation qu’elle a subie pendant la tribulation.

Ensuite, selon Daniel 12:12, il y aura 45 jours supplémentaires, en plus des 30 jours supplémentaires, après quoi quelque chose d’autre se produira. Daniel ne dit pas explicitement ce qui se passera, mais il dit que ceux qui resteront jusqu’à la fin de ce segment (1 335 jours après la rupture du traité et 75 jours après la fin de la tribulation) seront « bénis ». La bénédiction est ici l’entrée dans le royaume millénaire. Que se passera-t-il pendant ces 45 jours ? Très probablement, le jugement des nations païennes, décrit dans Matthieu 25:31-46, aura lieu à ce moment-là. Lors de ce jugement, également appelé jugement des brebis et des boucs, les nations païennes seront jugées pour la manière dont elles ont traité Israël pendant la tribulation. Ont-ils aidé les « frères et sœurs » de Jésus (Matthieu 25:40), ou ont-ils fermé les yeux sur les difficultés des Juifs ou, pire encore, ont-ils participé à leur persécution ?

Ainsi, ceux qui survivront à la tribulation et au jugement des brebis et des boucs entreront dans le millénaire. C’est une bénédiction.

En résumé, voici le calendrier tel que nous le voyons :

- Quelque temps après l’enlèvement de l’Église, l’Antichrist conclut un traité avec Israël. C’est le début de la tribulation de sept ans.

- Au milieu de la tribulation (1 260 jours plus tard), l’Antéchrist rompt le traité, profane le temple et commence à persécuter les Juifs.

- À la fin de la tribulation (1 260 jours après la profanation du temple), Jésus-Christ revient sur terre et défait les forces de l’Antéchrist.

- Au cours des 30 jours suivants (jusqu’à 1290 jours après la profanation du temple), Israël est reconstruit et la terre est restaurée.

- Au cours des 45 jours suivants (jusqu’à 1 335 jours après la profanation du temple), les nations païennes sont jugées pour la manière dont elles ont traité Israël.

- La dispensation du millénaire commence et durera 1 000 ans (Apocalypse 20:3, 5-6).

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jacques halbronn Astrologie Septénale. Les passages de relais et les mises à la retraite (provisoires). Les points gamma/

Posté par nofim le 29 juin 2025

jacques  halbronn  Astrologie Septénale. Les passages de relais et les mises à la retraite (provisoires). Les points gamma.  

 

Tout rendez  vous  astrologique digne de ce nom doit  tourner autour d’un enjeu de (re)prise (ou de perte) de pouvoir,  ce qui devient et ce qui revient – cela  doit s’inscrire dans  une Histoire, un avant et un après, celui de l’alternance de phases..On sait qu’en Astrologie Septénale,  c’est le théatre d’une guerre interminable entre les gens du  Din et les gens du Hessed, qui est marquée par des intervalles de 3 ans et demi en 3 ans et demi.

  En Astrologie septénale, il est vain de proposer une date isolée, c’est à  dire non opposée à une autre date, de sens contraire., ce qui renvoie à la question des aspects entre Saturne  et les points « gamma ». Nous utilisons ici l’expression « point  gamma » dans un sens large, non pas réservé au 0° bélier mais étendu au 0°cancer, au 0° balance et au 0° capricorne, les seuls aspects que nous prenons en compte sont ceux de Saturne. La tradition visant à consacrer un certain jour de la semaine comme doté d’un caractère sacré nous met sur la voie du  choix d’une seule et unique planéte à considérer (cf les Dix Commandements et le respect du Shabbat).

On aura l’aspect de 0° (appelé conjonction) de Saturne avec  un des  points gamma et celui de 45° (semi- carré), ces deux aspects annoncent la victoire d’un camp sur l’autre, le premier celui des gens du Din, le second celui des gens du Hessed, ce qui est rendu possible par une baisse de régime du camp opposé, lequel ne  sera  plus en possession de tous ses moyens/. C’est dire que toute prévision- pour être recevable, doit comporter sa contrepartie, ne saurait être à  sens  unique. C’est en principe ce que permet la  théorie des aspects, en ce sens qu’elle  désigne les gagnants et les perdants.

Mais encore faut-il  (pré)déterminer qui sont les gens du Din et quels sont ceux du Hessed. Cela se pratique en  observant sur un certain nombre d’années ce qui aura été un moment « heureux » ou au contraire « malheureux », le mot « heure »  renvoyant à une théorie du Temps (Heure).  Mais comme on sait, « le bonheur des uns fait le bonheur des autres » La grande leçon de l’astrologie est bien que tout est temporaire alors que les gens voudraient un résultat  définitif, ce qui est un leurre. IL suffit de savoir attendre pour qu’un moment propice se représente, selon un calendrier établi une fois pour toutes.

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB 29 06 25

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jacques halbronn Astrologie. Epistémologie. L »intégration de planètes « lentes » impacte les perspectives prévisionnelles

Posté par nofim le 29 juin 2025

jacques  halbronn  Astrologie. L »intégration de planètes « lentes » impacte les perspectives prévisionnelles. 

 

Il faut comprendre qu’en tenant compte de planétes au delà de Saturne et de Neptune, l’on propulse l’astrologie dans le long terme, avec des  conséquences déstabilisantes  pour la pratique de l’astrologie. Une  chose est de travailler  sur Saturne, une autre sur Neptune, cinq fois plus lent dans sa révolution sidérale, par exemple. Depuis la fin du XVIIIe siècle, l’astrologie aura basculé dans une  autre dimension,  glissé vers une autre échelle en prenant en compte successivement Uranus (1781) et Neptune (1846). Non  seulement ces astres sont invisibles mais -ipso facto-ils mettent bien plus de temps pour accomplir leur cycle.  Dans les années  20  du XXe siècle, l’astrologie allemande s’est penchée sur les « transneptuniennes ».

 

 wikipedia

« L’astrologie uranienne, également connue sous le nom d’École d’astrologie de Hambourg, est un courant né en Allemagne dans les années 1920. Elle se réclame des travaux du géomètre et astronome amateur Alfred Witte (en) (1878-1941), publiés en 1928 sous le titre Regelwerk für Planetenbilder (Règles des figures planétaires[ Son utilisation reste marginale et l’existence des objets transneptuniens (OTN) qu’elle postule n’a jamais été prouvée. Toutefois plusieurs astrologues acceptent le principe des mi-points.Les termes de système d’astrologie uranienne et d’École d’astrologie de Hambourg sont forgés le 2 juillet 1923, lors du deuxième Congrès des Astrologues allemands tenu à Leipzig Ils émanent des travaux du géomètre et astronome amateur Alfred Witte (en) (1878-1941), qui émet de Juillet 1923 à Janvier 1924 l’hypothèse de quatre planètes transneptuniennes, et de ses disciples Ludwig Rudolph[(1893-1982) et Friedrich Sieggrün (1877-1951). En 1928, Ludwig Rudolph publie l’essentiel des travaux de son maître dans le livre Regelwerk für Planetenbilder (Règles des figures planétaires). Ces idées sont développées par Friedrich Sieggrün, qui ajoute entre 1927 et 1934 quatre objets transneptuniens à ceux proposés par Witte. »

Cette astrologie du long terme a  pour effet  d’espacer les échéances, ce qui épargne aux astrologues d’avoir à se charger la mémoire et la culture historique  d’un trop grand nombre de données à maitriser préalablement. Sans des bases chronologiques substantielles, aucune  critique n’est possible et l’on ne sera pas en mesure d’objecter quant à la non prise en compte de tel ou tel événement majer comme la Crise de Cuba (1962) omise par André  Barbault dans sa Crise Mondiale de 1965 . En ne mobilisant qu’un petit nombre de dates, il devient problématique de mettre en évidence  statistiquement des récurrences ou des  dialectiques. L’astrologue se  voit entrainer dans une sorte de surenchère   surdimensiojnnée puisqu’il va devoir accorder la plus  grande importance aux dates se dégageant des configurations qui sont ainsi  formées./

 

 

 

 

 

JHB 29 06 25

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jacques halbronn Astrologie. LA véritable dialectique des aspects en Astrologie Mondiale.

Posté par nofim le 28 juin 2025

jacques  halbronn  Astrologie.  La véritable dialectique des aspects  en Astrologie Mondiale.

 

 

On ne saurait contester le rôle des aspects  en Astrologie Mondiale mais cela implique précisément d’établir une théorie valable des Aspects/ Dans le cas d’André  Barbault, l’on observe  (cf son propos dans la Crise Mondiale de 1965) qu’il oppose les « bons  » aspects, le sextile et le trigone  aux « mauvais » qui seraient le semi carré, le carré et le sesqui carré, réservant un statut particulier à l’opposition. Or, selon nous, seuls sont pertinents les aspects multiples de 22°30 à savoir 45°, 90°, sesqui carré mais aussi  67°30. (45 + 22°30), qui est la moitié de 135°/ Exit  le sextil  et le trigone.  On s’aperçoit que l’on ne peut faire cohabiter les multiples de 30° et ceux de 22°30 car cela crée un chevauchement stérile.  L’importance accordée au  trigone tient à l’intervalle observé de 120° entre deux conjonctions Jupiter – Saturne/

En fait, la dialectique aspectale  serait la suivante: deux phases de 45° (90°/2), l’une que nous associons dans l’arbre séphirotique avec Din  et l’autre avec Hessed, soit deux temps de  trois ans et demi, puisque chaque quadrant saisonnier couvre 7 ans, le quart du cycle saturnien de 28 ans.

Pour nous, la phase Hessed est l’antithèse de la phase Din, elle correspond à un temps  de désinhibition  bien caractérisé par la fameuse devise  révolutionnaire,  Liberté, Egalité, Fraternité., laquelle  confère le poids de la vérité à une assemblée, à un consensus collectif. Cette phase est le pendant d’une phase Din, enclenché par le passage de Saturne sur les axes  équinoxiaux et solsticiaux, laquelle renforce la  verticalité dinienne  à l’encontre de l’horizontalité  hessédienne.  On perçoit une telle tension au sujet de l’Islam  quand on l’oppose à la République., loi d’en  haut d’ un côté, la Charia  et loi que s’octroient les sociétés. En fait, on ne peut occulter une telle tension nécessaire.  Il y  a un temps pour Din  et un temps pour Hessed et cette alternance ne saurait être déterminée arbitrairement  et vainement  (vanité des vanités) par en bas mais en accord avec un « plan divin » dont notre Astrologie Septénale  aurait la clef. Nous pensons donc nécessaire d’ajuster le temps constitutionnel sur le temps céleste.

Dès lors, la prévision astrologique a pour mission de veiller au respect de cette alternance, elle n’ a pas à prévoir l’imprévisible  et surtout, il  est vain de travailler sur le « long terme »  car il n’y a rien de nouveau sous le Soleil (cf le Livre de l’Ecclésiaste) puisque tout se représente tous les 7 ans. C’est pourquoi, la durée de  7ans est par excellence celle de l’Astrologie, son unité fondamentale de mesure.  D’où les aspects de conjonction (0°), d’octile (22°30), de semi-carré (45°) et de demi-sesqui carré (67°30),les deux premiers  déterminent le temps de la phase Din  et les deux derniers, le temps de la phase Hessed,  quand les hommes tendent à sacraliser leurs propres créations,  au lieu de respecter les vraies lois divines. Hessed, c’est  le Lien social, alors que Din, c’est le respect du Plan divin.  Dans le  film  d’Orson Wells, la Soif du mal (Touch of Evil), l’un des personnages bascule de la phase Hessed à la phase Din, quitte à  trahir son complice  habituel.  On  dira que les aspects  (Saturne- point gamma(chaque entrée en signe cardinal) de 0° et 22°30 sont de type Din  et que les aspects Saturne- point  gamma de 45° et 67,5° sont de  type Hessed.

 

 

 

JHB 29 06 25

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jacques halbronn La crise actuelle de conscience du monde juif à l’aune de la dialectique Din/Hessed.

Posté par nofim le 28 juin 2025

jacques  halbronn  La  crise actuelle de conscience du monde juif à l’aune de la dialectique Din/Hessed.   Nous  avions prévu  que le passage de la phase Hessed à la phase Din  (cf notre Astrologie Septénale) – ce qui a lieu tous les 7 ans – aurait pour effet une critique acerbe du sionisme, lequel est marqué par la phase Hessed laquelle a conduit les  Juifs à un vouloir vivre ensemble  plutôt que de chercher à guider les nations en s’immergeant en leur sein. Nous avons là les deux causes, en alternance de l’antisémitisme et de l’antisionisme. Tantôt l’on va reprocher aux Juifs  de dominer le monde, tantôt de se replier sur une certaine « terre » sacralisée, un ghetto.  

Les propos  actuels  de Jean Christophe Attias  attestent d’un tel basculement sans qu’il en comprenne les raisons cycliques.

Jean-Christophe Attias

 
Fin de la naïveté.
Je suis un naïf. Tout cela n’était peut-être pas si difficile à comprendre. Simplement, même si je ne suis plus tout jeune, il me fallait encore vivre un peu. J’ai naïvement cru que le peuple juif, héritier d’une histoire, d’une mémoire, d’une culture et d’une tradition de pensée si singulières, aurait pu, à la différence d’autres peuples, hésiter face à la tentation de la violence absolue. J’ai naïvement cru qu’il saurait trouver le juste équilibre entre la peur d’un retour de l’horreur pour lui-même et la peur de l’infliger à d’autres. Cet équilibre, le peuple juif ne l’a pas trouvé. Une partie du peuple juif en tout cas. Ne gardant rien de deux millénaires d’existence diasporique, synonyme d’une impuissance relative, d’accommodement et de compromis, de résistance obstinée autant que pacifique, le peuple juif, ou tout au moins une partie du peuple juif, est devenu un peuple normal. Il ne fait plus de nécessité vertu. Il fait de la puissance le tremplin du vice. Territoire, État, armée, rien désormais ne lui manque. Le peuple juif peut aujourd’hui tout faire, il en a les moyens. Et il le fait. Est-il ainsi à la hauteur de sa responsabilité historique, fidèle à son passé, et digne inventeur d’un avenir raisonnable ? Je me permets d’en douter. Voilà qui n’est pas pour me consoler. Mais la conscience claire de ce qui est en jeu m’apporte un léger soulagement. Celui de la conscience claire, justement, ce qui n’est certes pas la conscience nette, mais me permet de savoir précisément qui je suis, où je suis, et quel est mon devoir. 
JHB  28 06 25
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Simone Bitton

Je suis rarement en désaccord avec toi, mais non , je ne crois pas que les juifs soient devenus un peuple « normal » en commettant un génocide. La normalité, ce n’est pas la monstruosité que cette société de cinglés sanguinaires qui chantent en choeur «  que votre village brûle » en détruisant des maisons pour 5000 shekels par maison détruite. Israël est un pays malade, très malade , et la société juive israélienne n’est pas normale du tout. Ce qui est normal, ce sont ces dizaines de milliers de jeunes couples qui prennent leurs enfants et partent s’installer ailleurs, choisissant de redevenir des juifs en diaspora, quelles que soient leurs opinions politiques et leur degré de religiosité. Je ne dis pas que c’est la solution, ça ne l’est pas , mais en tous cas ceux là choisissent la normalité, et je les en félicite. Normalité humaine, et normalité juive.
Jean-Christophe Attias

J’aurais dû mettre « normal » entre guillemets. Reste que le sionisme avait pour objectif officiel une « normalisation » de l’existence juive. On voit le résultat. Il faut croire que l’humain n’est pas « normal ». Et pour ce qui me concerne je suis, je reste un juif diasporique. Je ne connais pas d’autre façon (ni de façon plus normale) d’être juif. Le sionisme a dépouillé la judéité d’une bonne part de son humanité. Au fond, je crois que nous sommes d’accord.

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jacques halbronn La Vie astrologique. Barbault et la vente des livres. Quelle est donc la « vraie » astrologie »? Origine de « very »

Posté par nofim le 28 juin 2025

jacques  halbronn    La Vie  astrologique. Barbault  et la vente des livres Quelle est la « vraie » astrologie? Origine  de « very »

On lite sur la 4e de couverture de 1964. La crise mondiale de 1965 (Ed  Albin Michel), la présentation suivante de l’auteur « Devenu Vive -président du Centre International d’Astrologie »,il est le principal  représentant de l’aile marchante de l’astrologie. Sa  collection d’ ouvrages sur les douze signes du Zodiaque (plus de 600.000 exemplaires vendus en  français et diverses traductions en ont fait l’astrologue le plus lu dans le monde » Barbault était alors âgé de 42 ans.  La série, parue aux Ed du Seuil, dont il s’agit est en fait l’oeuvre d’un collectif  relié à l’association « CIA » . La liste des collaborateurs est d’ailleurs fournie pour  chacun des 12  livrets. On reléve  entre autres les noms de Jean-Pierre Nicola, de  Jacqueline Aimé, Claire Santagostini,, mais il est précisé « sous la direction de François Régis Bastide,. Nous mêmes, aurons à gérer une telle situation, 20 ans plus tard, en  mentionnant le mouvement astrologique  unifié

Il semble, donc,  assez  déplacé de se référer à de tels ouvrages, voués à être  réédités, des décennies durant, liés au mois de naissance, pour décréter que  Barbault serait l’astrologue « le plus lu  dans le monde », en 1963. Examinons le niveau d’astrologie de ces livrets  de Barbault découpés en trois parties « Etre, paraitre, exister », ce qui n’est pas sans  rappeler le  RET de Nicola: On nous  y présente les thèmes de personnalités lus ou moins  célébres  mais sans mention  de  transit , ce qui s’imposerait dans une approche  astro-biographique

Sur le web

«  Depuis plus de quarante ans, André Barbault est l’un des grands vulgarisateurs français de l’astrologie, apprécié pour sa rigueur et ses qualités pédagogiques. Auteur de nombreux ouvrages, il a signé des classiques, du Traité pratique d’astrologie (1961) au Petit Manuel d’astrologie (1972). »

Dans sa  boulimie de  grands éditeurs (Seuil, Albin Michel, Fayard, Payot, Grasset, Rocher)  Barbault aura probablement regretté de ne pas  avoir rédigé le Que Sais  je sur l’astrologie (PUF), ou les Clefs pour l’Astrologie (Seghers), dans des collections pluridisciplinaires sans parler de l’article Astrologie  de l’Encyclopaedia Universalis  ou le Dictionnaire de l’astrologie  chez Larousse. En  tout cas, le succés remarquable de la série zodiacale à la fin des années cinquante, l’aura marqué dans sa quarantaine;  en  venant confirmer  une vocation de leader.  Cette collection comportait une méthode de calcul du thème natal qui disparaitra par la suite. Il est tout de même assez  paradoxal que  Barbault  ait pris ses distances par rapport au  référentiel zodiacal dont il lui est apparu qu’il n’avait pas sa place en  astrologie mondiale. Dès les années cinquante, son traitement du cycle Saturne Neptune  n’en avait tenu aucun compte.

On notera l’Avertissement ouvrant (en pages roses) chaque  volume de la Collection, dans la première mouture et consistant en un véritable manuel (on le retrouve dans l’édition  flammande)

NE LISEZ PAS CE LIVRE  « si vous cherchez le moyen infaillible de gagner à la loterie, si vous  croyez que le  8  ne  vous est pas favorable.Si vous croyez  que les natifs de votre signe doivent porter  des pierres de lune pour être aimés le mercredi, si vous  estimez qu’il y a  de bons et de mauvais signes, que le mot  « décan » est un mot  sérieux. Si vous pensez que les Gémeaix  ne peuvent aimer que des béliers. MAIs  AlORS VOUs POUVEZ  LIRE CE LIVRE   si vous  admettez qu’ »il y a quelque chose de vrai » dans l’Astrologie, Si  vous  reconnaissez  la valeur psychologique de ces symboles que sont les signes du Zodiaque. Si  vous  apercevez  un fonds  commun chez êtres astrologiquement ressemblants (..)Si vous  voulez  nous  faire le plaisir d’étudier avant toute chose les pages roses  de l’Astrologie »  On poursuit « Il  n’entre pas  dans  notre propos de reprendre le procès de l’astrologie. cette grande méconnue et de la présenter sous son vrai  visage, nous l’avons fait ailleurs etc »

Telle est bien la question, un demi siècle plus tard: quel est le « vrai visage de l’astrologie ». Et force  est de constater que Barbault n’était pas en mesure d’accéder à la « vérité de l’astrologie », ce à quoi prétendit Michel Gauquelin;  avec sa « Vérité sur l’Astrologie » mais  là encore, sans y parvenir vraiment. L’Astrologie septénale serait-elle la plus proche de ce qu’est fondamentalement l’Astrologie?

 

 

Origin and history of very:  ancien  français    »verai » (latin:  verus)


 

« very(adj.)

late 13c., verreiverray  »true, real, entitled to the name, genuine; » late 14c. « actual, sheer; » from Anglo-French verrai, Old French verai  »true, truthful, sincere; right, just, legal, » from Vulgar Latin *veracus, from Latin verax (genitive veracis) « truthful, » from verus  »true » (source also of Italian vero), from PIE root *were-o-  »true, trustworthy. »The meaning « greatly, extremely » is by mid-15c. The word was used as a pure intensive by late 14c. Writers in 16c. introduced verierveriestThe very thing  »just what is suitable or requisite » is by 1690s. »

 

 

 

JHB 29 06 25

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jacques halbronn Linguistique. La pratique du Shewa instrumentalisée en français oral. Les affixes

Posté par nofim le 27 juin 2025

jacques  halbronn  Linguistique. La pratique du Shewa  instrumentalisée en français oral. Les  affixes

  Dans ce texte, nous voudrions faire la synthèse de nos diverses études sur ce sujet et montrer que dans la plupart des langues dont nous avons quelque pratique, il y a  eu une déperdition de la pratique du Shewa dont la raison d’être est devenue très floue  au fil  du temps. 

Le rôle du Shewa est de relier  deux monémes en procédent à une réduction laquelle permet la mise en oeuvre d’une forme d’unité. On distinguera le shewa prefixal  du shewa suffixal. Le  cas le plus remarquable que nous ayons mis en  évidence concerne la conjugaison. Il s’agit de « souder » au radical  un  affixe. J’ai aime(r) versus J’aimer-ai. On observe que l’auxiliaire  avoir sert ici d’affixe.  Oralement,  le shew de « aimerai »  donne « aim’rai, ce qui correspond à la fonction abréviative du Shewa. Dans les langues sémitiques, le  pronom personnel  sert de suffixe pour marquer le passé. Katabnou: nous avons écrit, le nou étant issu d’Anahnou.

Un autre exemple est lié aux marqueurs de genre. Exemples: petite  et petit.  Pour passer du  féminin au masculin, en  français, on ne prononce pas la consonne finale.  On devrait logiquement, écrire « petite » et prononcer ou non le « e » final, selon le contexte. Il semble que, croyant bien faire, on aura supprimé le « e » final de l’adjectif  et du participé.   

Le  processus  de soudure de l’affixe (préfixal) au  radical vaut notamment pour l’article (défini  ou indéfini) mais aussi pour le démonstratif  (ce), le relatif  (‘que), le pronom  personnel ( j’aime) avec le plus souvent l’usage d’une apostrophe. C’est ainsi que l’emprunt à l’arabe aura souvent pris la forme  article plus nom comme  un tout.(alchimie).

L’on passe du préfixe « de » au préfixe ‘dis », du fait de la liaison selon que le préfixe est suivi d’une consonne ou d’une voyelle/ ex/ Défaite, désastre.

 

 

 

 Sur le web

 Le Shewa «  est employé en linguistique pour désigner la voyelle moyenne centrale, notée [ə] dans l’alphabet phonétique international (API). Il correspond à peu près au e dit muet du français moderne. Il se trouve dans des mots comme « menu », « samedi » ou comme prothèse vocalique (épenthèse) dans « ours(e) brun ».

 

 

 

 

 

 

JHB  29. 06 25

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jacques halbronn La crise économique de 1965 selon André Barbault, au prisme de des Cahiers Astrologiques de Volguine (mai 1962)

Posté par nofim le 27 juin 2025

 jacques  halbronn    La  crise économique  de  1965   selon  André Barbault, au prisme  de des Cahiers Astrologiques de Volguine (mai  1962)

Avant de prendre la direction  de la Revue l’Astrologue, André  Barbault  avait été un des piliers des Cahiers Astrologiques, dans le cadre d’une « direction collective avec le Centre International d’Astrologie) On y indique les réunions  qui se tiennent Bd Saint Germain  avant de passer rue Las Cases.. Quant à Alexandre   Volguine, il avait en 1927  avec la Revue Française d’Astrologie, eu une collaboration  avec le Centre d’Etudes Astrologiques (devenu par la suite Société Astrologique  de France,  cf l’Encyclopédie du Mouvement Astrologique  d’Herbais de Thun) En mars -avril 1960, les Cahiers ( n°85),   feront paraitre un « centiéme numéro » ‘ »Une  borne » , vu qu’avant guerre, 15 numéros étaient déjà parus, à partir de 1938, sans compter les deux numéros de la Revue Française d’Astrologie (à consulter  sur Gallica) On  s’intéressera ici  aux deux  numéros spéciaux consacrés à l’Astrologie Mondiale.(n°s 86 et 99, 1960  et 1962) avec des textes d’André Pélardy (Delalande) et Barbault.

Numéro 86 (mai  juin 1960)  Il y est  beaucoup   question de la crise algérienne,(« Algérie, An 60  par  Barbault) .  Pélardy écrit « De 1960 à 1961″, pp. 142  et  seq)   on est  en  effet  à la  veille de Accords d’Evian. Mais  comment  viennent à se profiler les crises de Berlin (Novembre 1961 et de Cuba (Octobre 1962 que ce soit avant ou après coup?  L’étude la plus  révélatrice  a pour titre  » La crise historique  (sic) de 1965-66″ ‘, datée du 26 mai  62 (n° 86, pp. 175  et  seq), signée  André  Barbault. Cela sera repris  en 1963  dans  un ouvrage intitulé La  crise mondiale (Ed Albin Michel). La  nouvelle  échéance « mondialement  critique » , à la suite des deux guerres mondiales, est pour 1965.  On  s’ y propose, déclare  Barbault,  de procéder à une  « enquête prévisionnelle d’après la méthode des cycles planétaires » (référence faite aux  numéros  4, 25  et 36 des CA)  « Alternance des sextiles et des trigones versus les carrés et les oppositions »  détente et   accords, conflits  et dépassements. On retrouve cette dualité avec l’indice cyclique (Les astres et l’Histoire, ed Pauvert, 1967)  Uranus  est associé à la Droite, Neptune  à la Gauche. « on ne peut  tricher »,  correspondances  « indiscutablement établies ». Tout  tourne  autour de l’ »enchevêtrement  de 1965  (thème, p. 177) L’auteur  déclare  avoir la « conviction   absolue »  que  tout va se  jouer entre 1965  et 1971 du fait  des  « quatre  grandes  conjonctions en 7 ans » On  y aborde  successivement  le  sextil Neptune Pluton, le sextil Uranus Neptune, la  conjonction Uranus-Pluton, l’opposition Saturne -Uranus,le  trigone Saturne-Neptune, l’opposition Saturne-Pluton. Barbault  récapitule son spectre  prévisionne  « les époques  privilégiées  de la crise » (pp. 185 et seq) Il   commence  avec  la « mi aout 1963″c ‘est  dire qu’il ne  voit pas venir la crise   d’octobre 1962  dans les Cahiers qui paraitront  en juillet aout 1962. Peu importe qu’elle se localise, selon nous,  en telle ou telle  région du globe car l’enjeu de l’Astrologie  se situe dans le temps et non dans l’espace et ce d’autant que pour nous l’astrologie est un phénoméne mondial  qui trouve sa manifestation de façon aléatoire à tel endroit plutôt qu’en tel autre. Barbault  jongle avec les aspects qui se forment successivement entre les différentes planétes alors que pour nous,  en Astrologie Septénnale, les échéances sont mathématiques, géométriques  plus qu’astronomiques ou physiques. Pour  nous, l’astrologue ne se  rend utile en maitrisant les changements de phase les plus proches au regard de la dialectique saturnienne  unique  « Din » et « Hessed », alternance de périodes de 3 ans et  demi.. Avec le  recul de plus d’un demi  siècle,  nous savons pertinemment  que les enjeux mondiaux  majeurs des années 60   se sont  focalisés  sur 1961-62 (Mur de Berlin, missile sur l’île de Cuba). . Tout se passe comme si Barbault  faisait preuve d’une certaine myopie prévisionnelle qui ne sera pas corrigée en 1963 dans son ouvrage « La crise mondiale ».  Il ne semble pas avoir tiré les leçons de sa  défaillance prédictive dans les 50 ans qui lui resteront à  vivre! Barbault  de conclure » Faut-il  prévoir comme la plupart  de mes  confrères, depuis  longtemps et encore à l’heure actuelle, une troisième  catastrophe planétaire? » Barbault ne  croit pas, écrit-il en 1962, à une « troisiéme  guerre universelle » (p.187) Barbault  ne pense pas, dit-il  en termes de  Guerres sanguines ni  d’affrontement Est Ouest. « La parole  ne sera pas aux armes ». « J’envisage surtout pour 1965-66 une grave crise  économique occidentale aussi  grave, aussi lourde  en conséquences que celle de 1929-31″. On sait qu’il aura fallu attendre 1973 et le  choc pétrolier déclenché par la Guerre de Kippour. D’ailleurs, Barbault ne semble pas avoir prévu, pour les années à venir  le  choc de  la Guerre des Six Jours (1967)  qui correspond à une phase DIN  (Saturne en Bélier, signe cardinal)

Et Barbault  de reconnaitre »  On ne peut  se  cacher que  cette crise  générale  se fait au profit de l’Est, au détriment de l’Ouest,à moins de contester les corrélations de base mais  alors   autant renoncer à l’astrologie elle-même » Il faut être dans le sens de l’Histoire, déclare un Barbault, ayant fait très tôt le pari de la victoire finale du communisme. Enjeu également pour l’Astrologie. Nous laisserons ici ouverte la question de l’évolution de la démarche astrologique de Barbault autour de l’idée  de  « guerre mondiale ». Mais on est quand même surpris de devoir constater que le dispositif  appliqué par Barbault ne lui ait pas permis de « voir » ce qui allaite se passer dans les mois à  venir en cette année 1962 qui date son texte. 

1962, c’est 27 ans avant 1989, c’est à dire Saturne entrant en l’une des  phases DIN  (Capricorne- début  verseau) La phase DIN  met en évidence les failles de la  phase HESSED  qui précéde et force est de constater que la crise de Cuba ne se termina pas très glorieusement pour l’URSS -( le  « demi-tour »  des navires soviétiques), comme le signalera Jacques  Reverchon, dans  sa   »Valeur des Jugements et Pronostics Astrologiques » Mais, en Astrologie septénale, tout est à charge de revanche, ce que l’astrologue ne devrait  jamais oublier. Barbault semble avoir été partagé entre son devoir d’astrologue  et son devoir de militant! (cf  notre dossier « André Barbault et l’histoire du communisme « - Hommes & Faits  https://hommes-et-faits.com › Para_Psy › https://fr.scribd.com/document/505436781/Jacques-HALBRONN-Les-Legendes-Dorees-De-Nostradamus-a-Andre-Barbault

 

 

 

JHB  27 06 25

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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jacques halbronn Psychosociologie du métier d’avocat

Posté par nofim le 26 juin 2025

jacques  halbronn  Psychosociologie du métier d’avocat   

 

 

L’avocat  est un chercheur  entravé  dont le temps  est compté, facturé. Ce qui en fait un chercheur stipendié de second ordre. D’une part, parce qu’il a une mission de résultat  au sens qu’il doit délivrer un propos sur commande  et d’autre part, parce qu’il est bridé dans ses investigations par  une certaine  forme de cupidité inhérente à sa profession. On parle de ses « clients » mais on pourrait aussi  se référer à ses employeurs. Quelle est donc sa déontologie?.

On lit sur le web:

« L’avocat doit faire preuve de prudence, pour ne pas conseiller à son client, une solution s’il n’est pas en mesure d’apprécier la situation décrite, de déterminer à qui ce conseil ou cette action est destiné, d’identifier précisément son client. Lorsqu’il a des raisons de suspecter qu’une opération juridique pourrait avoir pour résultat la commission d’une infraction, il doit s’efforcer d’en dissuader son client. S’il n’y parvient pas il doit se retirer du dossier. (Article 1-5 « Devoir de prudence» du Règlement Intérieur National de la profession d’avocat )

Selon nous, le  bâclage des dossiers est  le risque principal. Faute de temps.  On peut se demander si l’avocat ne peut être accusé de complicité de tentative de spoliation du fait  qu’il ne signale pas les pièces  appropriées,  faute  de ne pas les avoir demandées à son employeur à moins qu’il n’ait pas jugé  souhaitable  de les mentionner. Que penser d’un avocat qui aura joint, sans s’en rendre compte, à son dossier des pièces  compromettant la position de son employeur?  On a l’impression que l’avocat  joue à la loterie, il ne sait jamais ce que ses actions/arguments vont produire.  Il finit par développer un certain  cynisme  et la mauvaise foi  semble être la régle. 
Dans le domaine de la vraie recherche,  il n’y a pas prescription et rien ne saurait être acquis définitivement alors que dans les prétoires,  si un argument, une pièce n’ont pas été présentés en temps utile, ils seront qualifiés d’irrevable, ce qui fait que l’exercice du Droit s’apparente à du sport. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB 27 06 25

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jacques halbronn Théorie des aspects: base 180 degrés ou 90 degrés ? 30 minutes = 0,5.

Posté par nofim le 25 juin 2025

jacques  halbronn  Théorie des aspects:  base 180  degrés  ou 90 degrés ? 30 minutes = 0,5

 

Il semble  que la base 180 degrés ait servi de référence à la tradition des aspects. Les aspects s’échelonnent depuis la conjonction  jusqu’à l’opposition en passant par  le semi sextil, le semi carré, le carré, le  trigone, le sesqui-carré et l’opposition; Toutefois,  les 4 saisons nous apparaissent comme le référentiel par excellence, ce qui confère à l’aspect  de quadrature une place centrale

. Il  y a d’autres aspects dont il est relativement peu question, celui de 22°30 et celui  de 67°30 dont le double donne  45° et 135°/ Pour une astrologie à  base 90, les aspects de 22°30 et 67°30 jouent un role  majeur en ce qu’ils établissent la division en 4 du quadrant saisonnier, avec entre les deux, l’aspect de 45°(semi-carré).

Pour l’astrologie septénale, le semi- carré entre Saturne et le point gamma  des axes équinoxiaux  et  solsticiaux, constitue la  frontière entre la zone « Din » et la zone « Hessed » Le semi-carré équivaut à un signe et demi, soit 30° plus 15°, ce qui confère aux signes fixes, une position intermédiaire, de transition  entre signes cardinaux et signes mutables, classification  qui s’articule précisément sur une division en 4 du cercle, de l’écliptique. 

Autrement dit, la division en 2  du cercle – ou si l’on préfère le doublement de 90°-  ne nous semble, a contrario,  guère pertinente  et cela vaut pour le sesqui-carré de 135°(67°30 x2) et tout ce qui dépasse  90° à savoir le trigone (120°, base des triplicités)  En pratique, il est préférable de parler d’aspects de  22,5, de  67,5. En tout  état  de cause, l’aspect de  67,5° est incontournable  en astrologie mondiale alors que ceux de 60° et de 120° sont trop proches de ceux de 67°30 et de 135°; seuls les dérivés de 45° sont à retenir.

En  astrologie mondiale septénale, ce sont les aspects de Saturne aux 4 points gamma qui importent  et non à quelque autre planéte  comme le pensait Albumsar (AbouMashar) lequel sanctifiera l’aspect de trigone, au prétexte que les conjonctions de Jupiter à Saturne se produisaient successivement avec  des intervalles  de 120° et donc en passant d’un Elément à  un autre.(cf  Richard Lemay. — Abu Ma’shar and Latin Aristotelianism in the Twelfth Century : the Recovery of Aristotle’s Natural Philosophy through Arabic Astrology;  c.r. par Guy  Beaujouan,  Cahiers de Civilisation Médiévale Année 1965)

 

JHB 28 06 25

 

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