jacques halbronn Astrologie et Ethique. Paradoxe. Les phases favorables peuvent générer des abus.

Posté par nofim le 11 juin 2025

jacques  halbronn    Astrologie  et Ethique.  Paradoxe . Les phases favorables peuvent générer des abus.

 

La notion de phase favorable ou défavorable  est assez  ambivalente  car en période « favorable », l’on  risque d’être tenté d’abuser de la situation, ce qui est susceptible de se mettre « en  faute », ce qui sera sanctionné lors de la phase « défavorable ». Il est essentiel de respecter le principe de  cyclicité : ‘la  roue  tourne », ce qui exige de la part de l’astrologue d’avoir une approche dialectique. Or, force est  de constater qu’André Barbault, n’a pas sérieusement développé  celle-ci dans ses multiples publications. Certes, son indice  cyclique  comporte -t-il une courbe ascendante et une courbe descendante. En revanche, son étude du cycle Saturne-Neptune, sous la forme qui est la sienne ces derniers temps,dans l’attente d’une nouvelle conjonction,  fait totalement abstraction, désormais de toute processus inverse, ne faisant plus référence qu’aux conjonctions se produisant tous les 36 ans!

  Nous pensons qu’une  approche cyclique exige absolument  une division en deux temps – ce qui est la base de notre Astrologie Septénale (Din/Hessed). Cette dualité  n’est possible que  par rapport à une division de l’écliptique en  lien avec les axes équinoxiaux et solsticiaux, constituant des périodes de  7  ans, elles mêmes divisée en deux périodes de 3  ans et demi.  Barbault a dès les années 50 (et même avant), sacrifié le référentiel zodiacal au profit des combinatoires planétaires lesquelles ne permettent pas un découpage régulier et égal des phases,  à la différence du cycle des saisons. C’est ce qui  hypothèque, plombe, ses divers  modéles. La question du Bien et du Mal  est au coeur de la pensée astrologique et elle doit y être réintégrée Certains  astrologues ont décidé d’aborder de front ce problème

cf 

.Michaël MANDL

Michaël MANDL  

« Le Bien et le Mal en astrologie »


 

« Comment comprendre les harmonies et les dissonances ?

La terminologie astrologique est souvent associée à des jugements de valeur, notamment s’agissant de connotations harmonieuses ou dissonantes et même bénéfiques ou maléfiques, qu’il s’agisse des planètes, des aspects ou des maisons. Ainsi, Mars et Saturne seraient deux maléfiques, tandis que Vénus et Jupiter seraient bénéfiques ; il en va de même pour les aspects, respectivement les carrés et les oppositions d’une part et les sextiles et les trigones d’autre part ; quant aux maisons, l’axe 5/11 serait bénéfique, tandis que l’axe 6/12 serait maléfique, ainsi que la maison 8. Comment faut-il comprendre et interpréter ces attributions ? »

On notera cependant  que ce  chercheur ne se référe pas aux saisons  et au Zodiaque, ce qui est assez  caractéristique des errements de l’astrologie contemporaine. Nous exposerons ci après  l’approche qui est la notre, à titre de comparaison et d’alternative, à la lumière de la dualité du Bien et du Mal, au coeur de certaines religions.

Evangile  selon Matthieu, chapitre  6
12« Pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés; 13  ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du malin. Car c’est à toi qu’appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen! 14 Si vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre Père céleste vous pardonnera aussi;… » 

Ce  texte du Nouveau Testament n’est selon nous compréhensible qu’à la lumière de l’Astrologie Septénale. Nous avons exposé, dans d précédents textes,  que  certaines personnes étaient portées par la phase Hessed et d’autres par la phase Din. Or, ces phases propices sont également celles qui soumettent à la tentation, qui nous aménent  à offenser  autrui, à lui  faire du tort, à l’offenser. Et ce sont les autres phases, allant en sens inverse, qui nous permettront de nous repentir, de nous  faire pardonner nos excés, nos abus de pouvoir. Autrement dit, telle phase fera de nous des bourreaux  et d’autres des victimes et c’est la   vraie  mission de l’astrologue  que de nous préparer à cette double épreuve.

Le passage, tous les 3 ans et demi (cf le Livre de Daniel) est littéralement  crucial en ce qu’il génére un basculement, c’est la Roue de Fortune (du Tarot) Celui qui est marqué par le Hessed doit savoir que cette phase Hessed  l’exposera à des tentations alors que le Din sera celle de l’expiation, la repentance, la réparation, le dédommagement (des préjudices causés), le châtiment. Pour celui qui est marqué par le Din, le processus sera mathématiquement inverse. Les changements de phase provoquent immédiatement  et assez  brusquement  de nouvelles perspectives. En effet, pour notre Astrologie Septénale- ce qui permet justement de la valider en tant que science- c’est bien  à des dates précises que le basculement  a lieu, soit tous les 1260  jours.   

En ce sens, le christianisme  nous semble fortement, puissamment inspiré par l’Astrologie Septénale, laquelle est très ancienne même si sa formulation est récente vu qu’une fausse astrologie s ‘y est substituée des siècles durant.  Mais le Christianisme  aura perdu en route le mode d’emploi lequel,  en tout état de cause,  n’est pas nécessaire en ce que le processus est actif  en nous, selon la Nouvelle Alliance (Jérémie XXXI, Epitre aux Hébreux). Mais l’exposé précis et circonstancié  de cette cyclicité n’en est pas moins souhaitable. Qui est  Hessed et qui est Din? Les gens du Hessed, ce sont ceux qui aiment à se rassembler au sein d’une Eglise, d’ un territoire bien délimité  alors que les gens du Din sont de  fortes personnalités chargées de prendre en charge le « troupeau » à l’image d’un Moïse envoyé vers les Enfants d’Israel (livre de l’Exode) ou d’un  Jésus se dédiant, à son tour, à ces même enfants, 2000 ans plus tard. 

Matthieu XV 24  Jésus  «  répondit: « Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël. »
On dira que la phase Hessed est marquée par un manque de rigueur (Din) et la phase Din par un manque d’amabilité. Il est clair que chaque  nouvelle phase causera un certain mal  chez ceux  ayant baigné dans la phase précédente,
On pense  au pharmakon  pour décrire une telle  ambivalence:
« C’est le philosophe Bernard Stiegler qui emprunte cette notion de « pharmakon » à Jacques Derrida, lui-même l’empruntant à Platon. En grec, le pharmakon désigne à la fois le remède et le poison. Et pour Stiegler, toute technologie est pharmakon, elle est à la fois poison et remède » 
On aura compris  que l’avénement d’une nouvelle phase  déterminera des prises de conscience, des  révélations de ce qui est à dénoncer, à corriger ( Tikoun).
JHB  22 06 25

 

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