jacques halbronn Mais qui est Adam au premier et au cinquiéme chapitres de la Genése?

Posté par nofim le 4 novembre 2024

jacques  halbronn   Mais qui est Adam au premier  et au cinquiéme chapitres de la Genése?

 

 

Genése I

כו וַיֹּאמֶר אֱלֹהִים, נַעֲשֶׂה אָדָם בְּצַלְמֵנוּ כִּדְמוּתֵנוּ; וְיִרְדּוּ בִדְגַת הַיָּם וּבְעוֹף הַשָּׁמַיִם, וּבַבְּהֵמָה וּבְכָל-הָאָרֶץ, וּבְכָל-הָרֶמֶשׂ, הָרֹמֵשׂ עַל-הָאָרֶץ.  26 Dieu dit: « Faisons l’homme (Adam) à notre image, à notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail; enfin sur toute la terre, et sur tous les êtres qui s’y meuvent. »
כז וַיִּבְרָא אֱלֹהִים אֶת-הָאָדָם בְּצַלְמוֹ, בְּצֶלֶם אֱלֹהִים בָּרָא אֹתוֹ:  זָכָר וּנְקֵבָה, בָּרָא אֹתָם.  27 Dieu créa l’homme (Adam) à son image; c’est à l’image de Dieu qu’il le créa. Mâle et femelle furent créés à la fois.

 On trouve dans le verset 27, successivement, un singulier (Oto) et un pluriel; (Otam)

 

 

 Genése V

א זֶה סֵפֶר, תּוֹלְדֹת אָדָם:  בְּיוֹם, בְּרֹא אֱלֹהִים אָדָם, בִּדְמוּת אֱלֹהִים, עָשָׂה אֹתוֹ.  1 Ceci est l’histoire des générations de l’humanité. Lorsque Dieu créa l’être humain (Adam), il le fit à sa propre ressemblance(bedemout).
ב זָכָר וּנְקֵבָה, בְּרָאָם; וַיְבָרֶךְ אֹתָם, וַיִּקְרָא אֶת-שְׁמָם אָדָם, בְּיוֹם, הִבָּרְאָם.  2 Il les créa mâle et femelle, les bénit et les appela l’homme (Adam), le jour de leur création.
ג וַיְחִי אָדָם, שְׁלֹשִׁים וּמְאַת שָׁנָה, וַיּוֹלֶד בִּדְמוּתוֹ, כְּצַלְמוֹ; וַיִּקְרָא אֶת-שְׁמוֹ, שֵׁת.  3 Adam, ayant vécu cent trente ans, produisit un être à son image (betsalmo) et selon sa forme, et lui donna pour nom Seth.
ד וַיִּהְיוּ יְמֵי-אָדָם, אַחֲרֵי הוֹלִידוֹ אֶת-שֵׁת, שְׁמֹנֶה מֵאֹת, שָׁנָה; וַיּוֹלֶד בָּנִים, וּבָנוֹת.  4 Après avoir engendré Seth, Adam vécut huit cents ans, engendrant des fils et des filles.

 

 Etrangement, dans la traduction des premiers versets du chapitre V de la Genése, on trouve alternativement  ‘être humain » (verset 1 et 2)   et « Adam » -versets  3  et 4.  Il faudrait savoir…. On note au chapitre V que l’on dit (verset 3) qu’Adam créa à son image tout comme il avait été crée à l’image de Dieu;

 

 

 Genése IV

כה וַיֵּדַע אָדָם עוֹד, אֶת-אִשְׁתּוֹ, וַתֵּלֶד בֵּן, וַתִּקְרָא אֶת-שְׁמוֹ שֵׁת:  כִּי שָׁת-לִי אֱלֹהִים, זֶרַע אַחֵר–תַּחַת הֶבֶל, כִּי הֲרָגוֹ קָיִן.  25 Adam connut de nouveau sa femme; elle enfanta un fils, et lui donna pour nom Seth: « Parce que Dieu (Elohim) m’a accordé une nouvelle postérité au lieu d’Abel, Caïn l’ayant tué. »
כו וּלְשֵׁת גַּם-הוּא יֻלַּד-בֵּן, וַיִּקְרָא אֶת-שְׁמוֹ אֱנוֹשׁ; אָז הוּחַל, לִקְרֹא בְּשֵׁם יְהוָה.  {ס} 26 A Seth, lui aussi, il naquit un fils; il lui donna pour nom Énos. Alors on commença d’invoquer le nom de l’Éternel (Yahwé).

 

 La naissance de Seth estrappelée successivement aux chapitres I V  et V , ce qui est redondant et trahit une forme de syncrétisme. On note aussi qu’au verset 26 du chapitre V , apparait le tétragramme (Yahwé) alors que le nom d’Elohim figure au verset précédent.

Selon nous, Adam ne doit pas être traduit par « homme », » être humain », par ‘humanité » mais plutôt par Surhomme, c’est à dire une catégorie supérieure d’humanité, à laquelle se référent les Evangiles quant à la généalogie de Jésus (Luc, III) Jésus remonte ici à Adam et donc à Dieu, par Adam; selon une longue dynastie dont il ne serait qu’un chainon.

23 Quand il commença, Jésus avait environ trente ans ; il était, à ce que l’on pensait, fils de Joseph, fils d’Éli,

36 fils de Kaïnam, fils d’Arphaxad, fils de Sem, fils de Noé, fils de Lamek,

37 fils de Mathusalem, fils de Hénok, fils de Jareth, fils de Maléléel, fils de Kaïnam,

38 fils d’Énos, fils de Seth, fils d’Adam, fils de Dieu. »

 »

.Latin:

qui fuit Enos qui fuit Seth qui fuit Adam qui fuit Dei

 

fils d’Enos, fils de Seth, fils d’Adam, fils de Dieu 
La forme latine  « fuit Adam, qui  fuit Dei »  a été ainsi rendue par « fils d’Adam, fils  de Dieu »  On notera qu’au chapitre V, il n’est pas rappelé l’existence d’Abel et de Caïn.
En tout état de cause, selon nous, Adam ne saurait correspondre, verticalement,  à l’humanité ordinaire et ce n’est pas sans raison que l’on raccorde Jésus non pas à l’humanité  toute entière mais bien un personnage nommé Adam On trouve là une symbolique de la croix, rencontre de la verticalité et de l’horizontalie, de la dynastie et du peuple, de la planéte et de la constellation.. Force est de constater que la création d’un être supérieur, Adam, a été largement méconnue, estompée par les traductions. De même, le  fait qu’Adam soit à la fois « masculin »  et ‘ »féminin », – à l’image d’Elohim- signifie selon nous qu’il est capable de surfer sur la succession des phases, des « vagues » de par sa dualité intérieure, ce qui est la caractéristique des vrais leaders, vous à rester en place, d’une phase à l’autre, en connexion directe avec la structure anthropocosmque instauré.
En fait nous avons de bonnes raisons de penser que le Livre de la Genése débutait au chapitre V, en ce qu’il se présente comme le livre des générations (Sefer Toldoth) et que le Chapitre I er pourrait avoir été calqué sur le chapitre V. Or, les chapitres II  et III introduisent le drame du Jardin d’Eden et de l’expulsion de celui-ci, ainsi que le meurtre d’Abel par Caïn, autant d’évenements  traumatiques largement commentés par l’exégése chrétienne (péché originel) On relévera notamment le passage de la forme « Elohim » à la forme « Yahwé Elohim », au cours du chapitre II,  rendue par « Eternel Dieu » Au chapitre III, on trouve simplement « Yahwé », avec la disparition d’Elohim.
Signalons dans le livre d’Ezékiel  l’usage de  « Ben Adam », traduit par « Fils de l’Homme » et non par « Fils d’Adam.(versets 1, 3 4) Le prophéte est envoyé  vers la « maison d’Israel » (on retrouve la formule dans les Envangiles (les « brebis perdues de la maison d’Israel ») dans la bouche de Jésus. Ezékiel est envoyé (à l’instar de Moïse, Exode III) vers ces Enfants d’Israel (Beney Israel) et l’on peut même se demander si Exode III n’a pas été repris d’Ezékiel.

 

 Esékiel  III

 

א וַיֹּאמֶר אֵלַי–בֶּן-אָדָם, אֵת אֲשֶׁר-תִּמְצָא אֱכוֹל:  אֱכוֹל אֶת-הַמְּגִלָּה הַזֹּאת, וְלֵךְ דַּבֵּר אֶל-בֵּית יִשְׂרָאֵל.  1 Et il me dit: « Fils de l’homme, mange ce que tu trouves là, mange ce rouleau et va parler à la maison d’Israël. »
ב וָאֶפְתַּח, אֶת-פִּי; וַיַּאֲכִילֵנִי, אֵת הַמְּגִלָּה הַזֹּאת.  2 J’ouvris la bouche, et il me fit manger ce rouleau.
ג וַיֹּאמֶר אֵלַי, בֶּן-אָדָם בִּטְנְךָ תַאֲכֵל וּמֵעֶיךָ תְמַלֵּא, אֵת הַמְּגִלָּה הַזֹּאת, אֲשֶׁר אֲנִי נֹתֵן אֵלֶיךָ; וָאֹכְלָה, וַתְּהִי בְּפִי כִּדְבַשׁ לְמָתוֹק.  {פ} 3 Et il me dit: « Fils de l’homme, tu nourriras ton ventre’ et rempliras tes entrailles de ce rouleau que je te donne »; je le mangeai et il devint dans ma bouche aussi doux que du miel.
ד וַיֹּאמֶר, אֵלָי:  בֶּן-אָדָם, לֶךְ-בֹּא אֶל-בֵּית יִשְׂרָאֵל, וְדִבַּרְתָּ בִדְבָרַי, אֲלֵיהֶם.  4 Il me dit encore: « Fils de l’homme, debout! Va auprès de la maison d’Israël et communique-leur mes paroles.
ה כִּי לֹא אֶל-עַם עִמְקֵי שָׂפָה, וְכִבְדֵי לָשׁוֹן–אַתָּה שָׁלוּחַ:  אֶל-בֵּית, יִשְׂרָאֵל.  5 Car ce n’est pas comme à un peuple à l’idiome obscur et à la langue lourde que tu es envoyé à la maison d’Israël.
ו לֹא אֶל-עַמִּים רַבִּים, עִמְקֵי שָׂפָה וְכִבְדֵי לָשׁוֹן, אֲשֶׁר לֹא-תִשְׁמַע, דִּבְרֵיהֶם; אִם-לֹא אֲלֵיהֶם שְׁלַחְתִּיךָ, הֵמָּה יִשְׁמְעוּ אֵלֶיךָ.  6 Ce n’est pas à des peuples nombreux au langage obscur et à la langue lourde, dont tu ne comprends pas les paroles; si à ceux-là je t’envoyais, eux, ils t’écouteraient.
ז וּבֵית יִשְׂרָאֵל, לֹא יֹאבוּ לִשְׁמֹעַ אֵלֶיךָ–כִּי-אֵינָם אֹבִים, לִשְׁמֹעַ אֵלָי:  כִּי כָּל-בֵּית יִשְׂרָאֵל, חִזְקֵי-מֵצַח וּקְשֵׁי-לֵב הֵמָּה.  7 Mais la maison d’Israël ne consentira pas à t’écouter, car ils ne veulent pas m’écouter; car la maison d’Israël tout entière a le front rétif et le coeur endurci

 

 

 

JHB 04. 11 24

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jacques halbronn Epistémologie la fausse dialectique de l’oral et de l’écrit. Le vrai visuel

Posté par nofim le 21 juillet 2024

jacques halbronn EPistémologie,  la fausse dialectique  de l’oral  et de l’écrit;le vrai visuel

 

 

   On  a tendance à opposer l’oral à l’écrit  alors que l’écrit n’est jamais qu’une transposition de l’oral, un « transport », un « transfert » . La véritable dialectique  est celle de l’oui et de la vue, mais l’écrit est un pseudo-visuel, ce qui met les « sciences » liées à l’écrit dans une situation fort  ambigue, batarde, à l’instar de la chauve souris; dans le judaisme, on  aime à opposer l’oral ( torah beAlPé) à l’écrit « torah bikhtav ») mais ces deux modes ont énormément en commun à commencer par l’importance des mots , du langage et l’on reste là dans le registre du nocturne, même si l’accés à l’écrit implique   un   certain  recours à  la lumière, sous une forme ou  sous une  autre.. Le champ nocturne  de l’oral/écrit – ce qui fait songer à la Caverne de Platon- permet la négation – le négationisme- du réel, lequel  passe impérativement par le vrai visuel, celui que nous offre l’observation de la  nature tant céleste qu’humaine laquelle reste constante, c’est à dire fondamentalement identique à travers les âges et la Science, stricto sensu doit reposer sur le vrai  et non sur le faux visuel, avatar d’une transmission orale, 

 Depuis longtemps, en ce qui concerne  notamment l’astrologie, nous insistons pour nous en tenir au vrai  visuel, ce qui est perceptible à l’oeil nu, à  échelle  humaine, sans passer par le livre ou le téléscope.(cf la lunette de  Galilée) et cela vaut aussi bien pour l’observation  du Ciel que pour ce qui nous  est donnné à voir sur terre;

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  21 07 24

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jacques halbronn Topiques sensorielles. Les femmes entre le ça et le pseudo Surmoi de l’ouie, de la parole. Psychopathologie du name dropping

Posté par nofim le 13 juillet 2024

jacques  halbronn Topiques sensorielles. Les femmes entre le ça et le pseudo -Surmoi de l’ouie, de la parole.   Psychopathologie du « name dropping »

 

Chazt  évjaide craint l’eau froide

 

Ce qui peut rendre    difficile l’identification d’un caractère, d’un tempérament tient à ce que celui-ci peut avoir été atteint par un certain traumatisme  qui aura généré une forme d’inhibition pouvant être confondue avec un véritable Surmoi au sens où nous l’entendons dans le cadre des « topiques sensorielles ». Entendons par là qu’une personne marquée par un ça sera confrontée tôt ou tard  à des épreuves qui affecteront son psychisme, brouillant ainsi les pistes. On verra alors se constituer un « pseudo-Surmoi » qui aura certaines apparences du Surmoi mais qui en sera la contrefaçon.

Sur le web

« L’expression “chat échaudé craint l’eau froide“ signifie que notre prudence redouble à la suite d’une mésaventure. Ainsi, celui qui a vécu une expérience malheureuse se méfiera si un événement identique se profile. La formule sous-entend une méfiance excessive envers la simple apparence de ce qui peut faire mal – un objet ou une situation – et qui ne présente pourtant pas de danger. Le terme “échaudé” implique le fait d’avoir tiré les enseignements d’une épreuve et de s’en prémunir »

Cette personne basculera alors d’une trop grande liberté propre au ça à une approche excessivement prudente et circonspecte, propre  au pseudo-Surmoi. Comment, donc, distinguer vrai et faux Surmoi, quel que soit le domaine sensoriel concerné? Dans le domaine de la parole, on pense au Paradoxe du comédien selon Denis Diderot. A force de déconvenues dans l’exercice d’une parole libre, ne supportant pas de contrainte, l’on peut être tenté de recourir à des garde-fous de façon à se protéger soi même du fait d’un risque de débordement voire de délire.  Cela conduira à imposer à sa parole un certain carcan, consistant à préférer citer autrui  que de parler en son nom propre dans le genre « ce n’est pas moi qui le dis » Quand la personne reprend le propos d’autrui, elle se constitue ipso facto, de par cet expédient, une certaine zone de confort. On connait ainsi des pseudo-philosophes sévissant sur certains médias (comme dans « ‘Avec philosophie »  sur France Culture),  qui pratiquent le  « name dropping », à tout bout de champ.

Sur le web

« .Le name dropping est une figure de style consistant à citer des noms connus, notamment de personnes ou d’institutions, pour tenter d’impressionner, selon le cas, ses interlocuteurs, auditeurs, lecteurs ou spectateurs »

Dans le champ universitaire, le « thésard » est censé s’exprimer en passant par tel ou tel « auteur » en évitant de développer une pensée qui lui soit propre. C’est là  la « régle du jeu » qui viserait  à éviter  les dérives. Il faut citer encore et encore pour avoir la meilleure note, la bonne mention!

Il  y a bien là un  grand écart  car paradoxalement, les personnes qui se prétent à une telle pratique ont en effet tout intérêt à éviter l’improvisation, quitte à prendre un excés de précautions pour donner le change! Le ça conduit, de par ses excés mêmes, à freiner ses audaces, par crainte du ridicule et selon nous, les femmes sont les premières victimes de telles inhibitions, ce qui risque fort de les brider en les conduisant à renoncer à prendre des positions trop aventurées.

Mais passons à d’autres champs sensoriels avec le même type d’éclairage. On pense au domaine du tactile, du toucher. On dira que celui qui aura usé et abusé du contact physique aura pu être échaudé et cela aura généré une forme d’inhibition, par réaction, une forme de timidité dans le rapport spontané à autrui, notamment autour de la question du consentement explicite, tant au niveau de la demande que de la réponse, d’où la problématique de l’accusation de viol à éviter à tout prix.  Nous sommes ici à nouveau confrontés à un pseudo Surmoi, en passant d’une extreme à l’autre avec un luxe de précautions.  L’on débouche d’ailleurs sur un autre paradoxe, celui d’un Surmoi se changeant en ça. Le vrai Surmoi, celui qui capte optimalement les messages, sous leurs diverses formes,du fait de son expérience, pourra prendre quelque risque, en montant la barre, en connaissance de cause. 

Autre champ à explorer, celui du visuel. Une personne sûre de son goût – ce qui correspond à un Surmoi de l’oeil-  pourra se risquer à innover, voire à révolutionner dans une certaine esthétique; à adopter des tenues « osées ». Inversement, le ça de l’oeil aboutira à force à  adopter un profil bas, en s’en tenant à des formules « classiques », qui ne choqueront pas Et il en est de même, au niveau olfactif, quand une personne  maitrisera les effets de tel ou tel parfum sans avoir besoin d’être chaperonnée à la différence de quelqu’un qui n’est jamais très sûre de  la réception, de la réaction  par rapport à ses propres initiatives..

 

JHB  15 07 24

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jacques halbronn Astrologie EXOLS et Anthropolinguistique Le masculin ou la décantation, le tri du féminin. Passage de la Gauche à la Droite, de la langue au texte.

Posté par nofim le 6 juillet 2024

jacques  halbronn Astrologie EXOLS et  Anthropolinguistique. Le masculin ou la  décantation/ le tri du féminin. Passage de la Gauche à la Droite, de la langue au texte.

 

Le modéle que nous avons mis en évidence à l’issue de nos recherches linguistiques, autour du passage de l’écrit à l’oral, mettant en évidence le fait qu’en français,  le masculin  contracte le féminin, l’abrége, peut s’appliquer à la vie politique. Nous dirons que la Gauche correspond au féminin et la Droite au masculin: dans un cas on ajoute, dans l’autre, on retranche et c’est la base même, selon nous, de toute idée d’alternance politique, au regard du droit constitutionnel du moins tel que nous entendons le réformer . De la même façon, on dira que le texte est masculin et la langue féminine, le texte étant nécessairement une sélection opérée sur la langue. 

Ce faisant, il nous apparait que l’on serait en mesure de dédramatiser le débat politique en soulignant la nécessité d’un va et vient entre le registre du féminin et celui du masculin, ce qui correspond, au fond, au passage de la Gauche vers la Droite et inversement. Or, le débat actuel -on  en  conviendra, ne met pas  vraiment le doigt sur une telle problématique et l’on se contente d’agiter les mots de gauche et extréme gauche, de droite et extréme droite sans connecter ces différents états entre eux sur un mode dialectique. 

Entendons par là. que comme dit l’Ecclésiaste, il y  a un temps pour ceci comme il doit y avoir un temps pour cela. Donc un temps pour retrancher, soustraire  (Droite) et un camp pour étendre, augmenter (gauche). L’on aura compris au prisme de nos recherches astrologiques,  que la Gauche correspond aux phases équinoxiales  tandis que la Droite correspond au phases solsticiales. Or, actuellement, on est encore en phase solsticiale, jusqu’à l’arrivée de Saturne à la moitié du signe cardinal du  Bélier. Cela signifie que l’heure est au retranchement, au délestage masculin  et non à la pléthore des apports et des ajouts, ce qui caractérise la mentalité féminine.

 

 

 

 

 

 

JHB 06 07 24

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jacques halbronn Réflexions anthropologiques autour de la question de la maladie, comme état temporaire, passager

Posté par nofim le 4 juin 2024

jacques  halbronn   Réflexions anthropologiques  autour de la question de la maladie, comme état temporaire .

 

Parler de maladie tend à faire supposer  qu’il s’agit d’un état, d’un « mal » passager. Il importe donc de distinguer ce qui est de l’ordre d’un certain désordre physique ou mental  et ce qui reléve d’un état « viscéral », inhérent à la personne visée. Au fond, traiter l’autre de « malade »  c’est contester  la légitimité de son état, refuser de l’y enfermer une fois pour toutes. Ce  serait donc un moindre mal que de qualifier quelqu’un de malade en ce qu’il s’agit d’un déni d’essentialisation. L’autre ne serait « que » malade, il y aurait en lui, ponctuellement, un certain mal, à titre provisoire. Si l’autre est malade, il peut, doit être « soigné », on doit le placer dans un cadre hospitalier pour qu’il puisse à terme se débarrasser de son « mal ».  Voilà donc bien une situation qui nous interpelle!

Cela nous fait penser  à la théorie du genre où l’on va tenter de relativiser l’état mental d’une personne en mettant cela sur le compte de son environnement, de son éducation; On dira qu’il a été « mal élevé », « malappris », qu’il y  a eu  dysfonctionnement, c’est à dire une sortie de la norme/normale et cela rejoint donc l’idée de maladie. Il ne faudrait,  surtout pas, nous enjoint-on, réduire quelqu’un à sa maladie, d’où la question des rapports de la Justice avec la psychiatrie. En URSS, l’on envoyait les dissidents dans des hopitaux psychiatriques pour les « traiter » les ramener à un état de santé dont ils se seraient écartés, éloignés..

Sur ke web

 » La psychiatrie punitive en URSS était un système utilisé pour emprisonner les dissidents dans les hôpitaux psychiatriques, appelés psikhouchka (психушка en russe), souvent sous le diagnostic de « schizophrénie torpide » ou « schizophrénie latente », « schizophrénie larvée », « schizophrénie lente », « schizophrénie … »

Dès lors, le médecin  serait celui chargé par la société de guérir les malades. Que nous dit le « Serment d’Hippocrate » (texte de 2012)

“Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux. » 

 Or, comment déterminer si quelqu’un est ou n’est pas en « bonne santé » si l’on ne fixe pas de normes appropriées? Pour notre part, la notion de normalité ne saurait être la même pour l’homme et pour la femme. Ce qui est pathologique pour l’un ne l’est pas pour l’autre. Certains comportements féminins seraient des symptomes inquiétants chez un homme alors qu’ils sont inhérents à la ‘nature » de la femme  et  vice versa. Nous renvoyons à nos travaux sur les « topiques sensorielles » autour du ça et du surmoi.

 

On comprend dès lors à quel point la qualification de « maladie » peut faire probléme et cela vaut au niveau de la Justice voire des « codes ». Peut on juger un homme selon les mêmes critères que pour une femme et vice versa? 

 Se pose aussi la question au niveau cyclologique , au prisme de nos travaux astrologiques : est-ce que telle attitude se conçoit comme « normale »  au cours de telle phase spécifique?  Le médecin se trouve confronté ainsi à un double défi: risque de relativiser un état  permanent ou de stigmatiser un état passager.

 

 

JHB 04 06 24

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jacques halbronn Pour une réforme/refonte du droit privé et du droit public

Posté par nofim le 19 mai 2024

jacques halbronn  Pour une réforme/refonte  du droit privé et du droit public sur la  base  de son anthropocosmologie.

 

Notre première formation universitaire  aura été dans le domaine du Droit, tant civil  que constitutionnel, à  Paris II Assas, à partir de la rentrée 1965 et soixante plus tard c’est dans ce même domaine que nos recherches aboutissent, à double titre. 

 

Dans le domaine du Droit constitutionnel, nos travaux sur la cyclicité, les périodes, impactent de plein  fouet notre projet de nouvelle constitution, bas sur la connaissance de périodes de 7 ans déterminées une fois pour toutes et non de façon conjoncturelle et conjecturelle. Rappelons les balises d’un tel calendrier faisant alterner les périodes équinoxiales(E) et solsticiales (S) On se limitera ici à un calendrier allant de 1956 à nos jours: 1956 S   1964  E, 1971  S, 1978 E, 1986 S, 1993 E, 1999 S, 2007 E, 2025, 2023 E. En résumé, les phases S  confèrent le pouvoir à la « base », par le biais du suffrage universel  et du référendum alors que les phases E confèrent le pouvoir à des Sages (tsadiqim) triés  sur le volet. Ces changements d’orientation ne sont pas négociables.

  Dans le domaine du Droit civil  et pénal, il sera tenu compte dans la Loi et pas seulement dans la jurisprudence. On ne saurait juger un homme comme on le ferait pour une femme et vice versa. On se référe ici à nos travaux sur les « topiques sensorielles »  articulées sur le « ça » et le « Surmoi », qui sont directement ancrés sur la Loi, sous divers angles de vue. Ce qu’il faut retenir, c’est que ce qui est admis par les hommes ne l’est pas par les femmes et  inversement. Le facteur « genre » ne saurait être ignoré et tel acte commis par un homme n’aura pas à être jugé pareillement pour une femme et réciproquement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB 19 05 24

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jacques halbronn Anthropo Linguistique Pathologie de l’hébreu moderne. Le Tildé et le Shva.

Posté par nofim le 28 avril 2024

jacques  halbronn Linguistique  Pathologie de l’hébreu moderne. Les marqueurs de genre

 

Nous avons longtemps fait fausse route à propos des marqueurs de genre de l’hébreu. Cela tient au fait que l’hébreu est syncrétique et reléve de procédés successifs. C’est ainsi que la finale en « a » ne correspond pas à la structure première de cette langue, il s’agit d’un emprunt morphologique à d’autres langues : on pense notamment  à des langues latines comme l’italien ou l’espagnol. On ne devrait pas dire  at et Ata mais  Ant pour le masculin (avec diphtongue)  et   A-nt  pour le féminin L’arabe nous rappelle l’existence du ‘ant » pour la deuxiéme personne  du singulier comme du pluriel. Ce qui conduit à supposer l’existence d’une diphtongue pouvant se faire ou se défaire, alternativement. L’hébreu aura perdu en route  ce « n », qui correspond à un « tildé ».

  • انتَ » que l’on peut écrire “anta” en phonétique et qui se traduit par « toi » pour le masculin.
  • « انتِ » que l’on peut écrire “anti” en phonétique et qui se traduit par « toi » pour le féminin.
  • « انتما » que l’on peut écrire “antuma” en phonétique et qui se traduit par « vous deux » pour le masculin et le féminin.
  • « انتم » que l’on peut écrire “antum” en phonétique et qui se traduit par « vous » pour le masculin.
  • «انتن » que l’on peut écrire “antunna” en phonétique et qui se traduit par « vous » pour le féminin. 
  • L’arabe dialectal tunisien que nous avons appris à pratiquer en 1973 est capable de connecter les consonnes entre elles sans l’aide de voyelles, ce qui lui permet de respecter la « musique » du féminin alors que l’hébreu n’y parvient plus. En revanche, le français a gardé le sens du « sheva » à l’oral, en pratiquant volontiers le choc des consonnes tout comme il a également réussi à gérer la musique des voyelles en respectant à l’oral la diphtongaison. 

 

 L’inverse du tildé est le sheva, qui élimine la voyelle alors que le tildé l’amplifie.  Le « shva » sert à relier directement les consonnes entre elle alors que le tildé renforce le registre opposé, celui des sons « vocaliques ». On dira que le sheva peut être rendu par une apostrophe et le tildé par un « é » comme dans le cas des participes passés du français s’écrivant initialement « ed », ce qui a  été conservé dans l’emprunt anglais..

Autrement dit, à l’origine,l’hébreu marquait le genre en passant d’une domination des consonnes à une domination des voyelles. L’arrivée du marqueur féminin en « a » est venue perturber cette dialectique. 

On retrouve un cas du même ordre en allemand avec  le passage de eine à ein (de une à un); avec une prononciation  du e final au féminin  alors que le « e » sert à renforcer la consonne et non à servir de voyelle, le fémin étant à domination consonantique. Mais comme l’allemand a perdu l’usage de la diphtongue, il ne réalise plus celle du « ein »,  voué à la diphtongaison de par la présence du « n » et n’élimine pas le son consonantique  « n ». 

 

 

JHB 29 04 24

Publié dans anthropolinguistique, LINGUISTIQUE | Pas de Commentaire »

jacques halbronn Anthropolinguistique et Société. Le singulier et le pluriel

Posté par nofim le 19 avril 2024

jacques  halbronn   Anthropolinguistique et Société. Le singulier et le pluriel 

 

Selon nous, l’usage du masculin et du féminin comme celui du singulier et du pluriel  est la marque d’un certain modéle d’organisation sociale.  On a déjà traité de la question du genre. On abordera ici celle du nombre.  Selon nous, le singulier concerne le langage du chef et le pluriel celui de la masse et il est clair que la masse doit subir une décantation pour parvenir à la singularité du capitaine (caput)

Ce n’est que progressivement que la masse aura fini par s’octroyer l’usage du singulier, renonçant  au  nous et au vous  pour le  je et le tu. Le seul fait d’utiliser les mêmes termes que l’élite aura contribué à affirmer une certaine égalité. entre le haut et le bas, chacun prétendant pouvoir se servir de la première personne du singulier, ce qui esr un contre sens au regard d’une anthropolinguistique au même titre que la  confusion  entre le masculin  et le féminin.

C’est là toute la question de l’usage d’un même signifiant  quand il est perçu comme référant à un même signifié. C’est ainsi que si deux personnes emploient le mot « dieu », on dira que cela renvoie nécessairement à une seule et même entité, ce qui est une prime à l’imitation et au mimétisme. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB 19 04 24

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jacques halbronn Anthropolinguistique. L’astronomie féminine, l’astrologie masculine.

Posté par nofim le 18 avril 2024

jacques  halbronn  Anthropolinguistique. L’astronomie féminine, l’astrologie masculine

 

Nos travaux d’ordre linguistique auront mis en évidence une certaine alchimie, consistant en un processus de décantation, de « réduction », d’abréviation comme la production de diphtongues. Or, il apparait que les rapports entre Astronomie et Astrologie peuvent tout à fait être analysés, décryptés à partir d’un tel modéle, ce que les historiens de l’astrologie, dans leur immense majorité devraient tôt ou tard finir par  intégrer. Ceux -ci nous expliquent que l’astronomie est venue enrichir l’astrologie du fait de ses découvertes (cf Rencontre avec Frédéric Louvet pp. XXIX Les dossiers de l’Histoire, 1985  sur l’Astrologie. 1986)

Nous dirons que l’astrologie est à considérer comme une lecture de livre ouvert  qui obéit aux régles de la linguistique telles que nous les avons définies; A savoir, au commencement, comme dit le livre de la  Genése, un matériau  (tohubohu) demandant à être structuré, modelé. Ne pas comprendre cela, c’est assimiler l’oral à l’écrit, alors que l’oral  est la transcendance de l’écrit, sa sublimation. On lit trop souvent sous la plume d’astrologues « sérieux », qu’il faudrait ne rien « jeter » de ce qui s’offre à nous au niveau cosmique, s’engager à tenir compte de tout ce qui nous est donné à voir, tant à l’oeil nu que par le biais de la lunette ou du télescope. D’où le mépris affiché à l’encontre de ceux qui oseraient simplifier, donc appauvrir, le clavier céleste alors même que les astronomes s’offriraient à l’étendre indéfiniment. Ces bonnes âmes ne comprennent pas à quel point elles font fausse route et nuisent terriblement à la cause astrologique de la même façon que ceux qui n’ont pas appris à respecter l’écrit de la langue française pour en tirer la substantifique moelle.

Sur le web:

« Extraire « la substantifique moelle » de quelque chose, c’est en retenir ce qu’il y a de meilleur, de plus précieux ou de plus profond ».

C’est donc séparer le bon grain de l’ivraie/ En ce sens une astrologie qui ne garderait comme moteur qu’un seul et unique astre obéirait à cette logique de la décantation  qui sous -tend le systéme électoral, passant du quantitatif au qualitatif, ce qui est aussi  la question de la Royauté, d’un Jésus entouré de ses apôtres; De nos jours, les astrologues traitent le soleil comme un astre parmi d’autres, lui accordent un signe zodiacal comme aux autres. Enorme contre-sens!

 

 

 

 

 

 

JHB 18 04 24

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jacques halbronn Psychosociologie Le démon de la liberté et le ça.

Posté par nofim le 18 avril 2024

jacques halbronn Psychosociologie Le démon de la liberté  et la  dégradation  du  ça. 

 

 La problématique sensorielle  est un marqueur social fondamental au prisme de l’anthropolinguistique en ce que cela distingue très nettement les hommes et les femmes, tout en mettant en évidence un troisiéme type « neutre » qui couvre le monde des « invertis ». 

 L’homme inverti est marqué par un « ça » féminin, avec une liberté de parole et un manque de (re)tenue, un laisser aller  caractéristique du ça de l’ouie et de la vue.. En revanche,  son rapport à la propreté du corps et du vetement sera impacté par le Surmoi de l’odorat et du toucher propres aux femmes. En ce qui concerne le toucher, il ne faut pas compter sur l’homme inverti pour agir librement, sans prévenir, sans s’assurer du consentement de la femme, en raison d’une certaine timidité. Autant de points qui seront perçus comme positifs par les femmes qui se  plaignent tant  du viol et des odeurs de mâles! Cet homme inverti sera mal vu par ses congénéres « normaux »  et aura tendance à faire groupe avec ses pareils vu que ses manières ne  plaisent guère à ces derniers. Cet homme sera mieux en phase avec des femmes « normalement » constituées.

Quid de la femme invertie? Elle sera appréciée par les hommes « normaux » en ce qu’elle n’a pas les défauts des femmes « normales ». Elle ne laisse pas libre cours à sa parole et elle n’est pas trop maniaque côté propreté. En ce sens, les femmes « normales » ne l’apprécieront guère.

C’est dire que les libertés des uns ont un effet répulsif et  se heurtent à des allergies sensorielles si bien que le couple nous apparait comme la solution idéale  pour les invertis dans les conditions exposées plus haut. Ceux-ci sont finalement étrangers aux topiques sensorielles dans la mesure où  ils ne sont ni marqués par un ça ni par un Surmoi particuliers.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB 18 04 24

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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