jacques halbronn Anthropologie de la Dualité.
Posté par nofim le 1 janvier 2025
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Posté par nofim le 1 janvier 2025
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Posté par nofim le 22 novembre 2024
jacques halbronn Anthropolinguistique. L’ambivalence de « propre » et de « certain »
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Larousse Propriété
« . Qui appartient spécialement à quelqu’un, à quelque chose, qui lui est particulier, personnel : C’est une coutume propre à cette région. » On dit aussi le « propre de l’homme »
Mais quel rapport avec la « propreté » ? La saleté (ce qui met en question la propreté) est une menace pour la propriété, en ce qu’elle corrompt, qu’elle s’interpose. D’où la nécessité pour notre Humanité de veiller sur la proprété tant mentale (rôle dévolu à l’homme) que physique (rôle dévolu à la femme).-cf nos textes, vidéos, « shorts », à ce sujet. On parle même d’un sens « propre » et d’un sens « ‘figuré’ de « propre ».
L’anglais a emprunté au français le sens de « propre », en rapport non avec la propreté mais avec la propriété : proper (properly) tout en continuant à dire « clean » alors que pour « certain », il a adopté les deux sens :je suis’I am) certain (certainty pour le français certitude) et un certain fait (a certain fact) On notera qu’en français l’adverbe « certainement » comporte une telle ambivalence;(en anglais certainly)
Sur le web :
« certainement , adverbe
Sens 1
Sûrement, sans aucun doute.
Synonyme : à, assurément, sûrement
Traduction en anglais : certainly
Sens 2
Probablement, avec de fortes chances pour que ça se passe ainsi.
Exemple : Elle va probablement rappeler demain.
Traduction en anglais : most probably
JHB 22 11 24
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Posté par nofim le 22 novembre 2024
jacques halbronn La Propreté comme garante de la propriété des choses, des idées
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JHB 22 11 24
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Posté par nofim le 21 novembre 2024
jacques halbronn Le mimétisme, comme source d’erreur et de confusion. A dénoncer
Il y plus de 30 ans que nous avions pondu un gros mémoire (https://fr.scribd.com/document/367010714/jacques-HALBRONN-Linguistique-de-l-Erreur-et-Epistemologie-Populaire) consacré au phénoméne de l’erreur.
Un des moteurs de l’erreur est certainement le mimétisme, c’est quand on tente de copier autrui que l’on commet inévitablement des contre-sens, que l’on néglige tel ou tel facteur, avec un résultat que l’on pourra qualifier de monstrueux et qui reléve de la corruption, source de désordre, de brouillage. Nous sommes bien là face au véritable péché originel. Errare humanum est, perseverare diabolicum/ Nous dirons que le Juste (au sens de la Genése) est celui qui repére instinctivement l’erreur, le faux semblant, la contrefaçon, la substitution, ce dont nous avons amplement traité à propos des « Centuries » faussement attribuées à Nostradamus.( publications entre 1991, 1997, 1999, 2002, 2007, 2015) et qui, ce faisant, protége la Société de ses maux, de ses travers, de ses nuisances. L’immigration, sous toutes ses formes, tout comme la promiscuité, nous apparaissent comme une source majeure d’erreur et d’errance mais aussi, par voie de conséquence, de déni, de dissimulation sous prétexte/couvert d’assimilation, de conversion, d’intégration.
Nous dirons que l’erreur menace la propreté/propriété des choses, elle pervertit le monde en le compliquant et cela nous évoque le phénoméne de Babel où il est question de la multiplication artificielle, redondante, des langues.(Livre de la Genése)
JHB 21 11 24
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Posté par nofim le 4 novembre 2024
jacques halbronn Mais qui est Adam au premier et au cinquiéme chapitres de la Genése?
Genése I
On trouve dans le verset 27, successivement, un singulier (Oto) et un pluriel; (Otam)
Genése V
Etrangement, dans la traduction des premiers versets du chapitre V de la Genése, on trouve alternativement ‘être humain » (verset 1 et 2) et « Adam » -versets 3 et 4. Il faudrait savoir…. On note au chapitre V que l’on dit (verset 3) qu’Adam créa à son image tout comme il avait été crée à l’image de Dieu;
Genése IV
La naissance de Seth estrappelée successivement aux chapitres I V et V , ce qui est redondant et trahit une forme de syncrétisme. On note aussi qu’au verset 26 du chapitre V , apparait le tétragramme (Yahwé) alors que le nom d’Elohim figure au verset précédent.
Selon nous, Adam ne doit pas être traduit par « homme », » être humain », par ‘humanité » mais plutôt par Surhomme, c’est à dire une catégorie supérieure d’humanité, à laquelle se référent les Evangiles quant à la généalogie de Jésus (Luc, III) Jésus remonte ici à Adam et donc à Dieu, par Adam; selon une longue dynastie dont il ne serait qu’un chainon.
23 Quand il commença, Jésus avait environ trente ans ; il était, à ce que l’on pensait, fils de Joseph, fils d’Éli,
36 fils de Kaïnam, fils d’Arphaxad, fils de Sem, fils de Noé, fils de Lamek,
37 fils de Mathusalem, fils de Hénok, fils de Jareth, fils de Maléléel, fils de Kaïnam,
38 fils d’Énos, fils de Seth, fils d’Adam, fils de Dieu. »
»
.Latin:
Esékiel III
JHB 04. 11 24
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Posté par nofim le 21 juillet 2024
jacques halbronn EPistémologie, la fausse dialectique de l’oral et de l’écrit;le vrai visuel
On a tendance à opposer l’oral à l’écrit alors que l’écrit n’est jamais qu’une transposition de l’oral, un « transport », un « transfert » . La véritable dialectique est celle de l’oui et de la vue, mais l’écrit est un pseudo-visuel, ce qui met les « sciences » liées à l’écrit dans une situation fort ambigue, batarde, à l’instar de la chauve souris; dans le judaisme, on aime à opposer l’oral ( torah beAlPé) à l’écrit « torah bikhtav ») mais ces deux modes ont énormément en commun à commencer par l’importance des mots , du langage et l’on reste là dans le registre du nocturne, même si l’accés à l’écrit implique un certain recours à la lumière, sous une forme ou sous une autre.. Le champ nocturne de l’oral/écrit – ce qui fait songer à la Caverne de Platon- permet la négation – le négationisme- du réel, lequel passe impérativement par le vrai visuel, celui que nous offre l’observation de la nature tant céleste qu’humaine laquelle reste constante, c’est à dire fondamentalement identique à travers les âges et la Science, stricto sensu doit reposer sur le vrai et non sur le faux visuel, avatar d’une transmission orale,
Depuis longtemps, en ce qui concerne notamment l’astrologie, nous insistons pour nous en tenir au vrai visuel, ce qui est perceptible à l’oeil nu, à échelle humaine, sans passer par le livre ou le téléscope.(cf la lunette de Galilée) et cela vaut aussi bien pour l’observation du Ciel que pour ce qui nous est donnné à voir sur terre;
JHB 21 07 24
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Posté par nofim le 13 juillet 2024
jacques halbronn Topiques sensorielles. Les femmes entre le ça et le pseudo -Surmoi de l’ouie, de la parole. Psychopathologie du « name dropping »
Chazt évjaide craint l’eau froide
Ce qui peut rendre difficile l’identification d’un caractère, d’un tempérament tient à ce que celui-ci peut avoir été atteint par un certain traumatisme qui aura généré une forme d’inhibition pouvant être confondue avec un véritable Surmoi au sens où nous l’entendons dans le cadre des « topiques sensorielles ». Entendons par là qu’une personne marquée par un ça sera confrontée tôt ou tard à des épreuves qui affecteront son psychisme, brouillant ainsi les pistes. On verra alors se constituer un « pseudo-Surmoi » qui aura certaines apparences du Surmoi mais qui en sera la contrefaçon.
Sur le web
« L’expression “chat échaudé craint l’eau froide“ signifie que notre prudence redouble à la suite d’une mésaventure. Ainsi, celui qui a vécu une expérience malheureuse se méfiera si un événement identique se profile. La formule sous-entend une méfiance excessive envers la simple apparence de ce qui peut faire mal – un objet ou une situation – et qui ne présente pourtant pas de danger. Le terme “échaudé” implique le fait d’avoir tiré les enseignements d’une épreuve et de s’en prémunir »
Cette personne basculera alors d’une trop grande liberté propre au ça à une approche excessivement prudente et circonspecte, propre au pseudo-Surmoi. Comment, donc, distinguer vrai et faux Surmoi, quel que soit le domaine sensoriel concerné? Dans le domaine de la parole, on pense au Paradoxe du comédien selon Denis Diderot. A force de déconvenues dans l’exercice d’une parole libre, ne supportant pas de contrainte, l’on peut être tenté de recourir à des garde-fous de façon à se protéger soi même du fait d’un risque de débordement voire de délire. Cela conduira à imposer à sa parole un certain carcan, consistant à préférer citer autrui que de parler en son nom propre dans le genre « ce n’est pas moi qui le dis » Quand la personne reprend le propos d’autrui, elle se constitue ipso facto, de par cet expédient, une certaine zone de confort. On connait ainsi des pseudo-philosophes sévissant sur certains médias (comme dans « ‘Avec philosophie » sur France Culture), qui pratiquent le « name dropping », à tout bout de champ.
Sur le web
« .Le name dropping est une figure de style consistant à citer des noms connus, notamment de personnes ou d’institutions, pour tenter d’impressionner, selon le cas, ses interlocuteurs, auditeurs, lecteurs ou spectateurs »
Dans le champ universitaire, le « thésard » est censé s’exprimer en passant par tel ou tel « auteur » en évitant de développer une pensée qui lui soit propre. C’est là la « régle du jeu » qui viserait à éviter les dérives. Il faut citer encore et encore pour avoir la meilleure note, la bonne mention!
Il y a bien là un grand écart car paradoxalement, les personnes qui se prétent à une telle pratique ont en effet tout intérêt à éviter l’improvisation, quitte à prendre un excés de précautions pour donner le change! Le ça conduit, de par ses excés mêmes, à freiner ses audaces, par crainte du ridicule et selon nous, les femmes sont les premières victimes de telles inhibitions, ce qui risque fort de les brider en les conduisant à renoncer à prendre des positions trop aventurées.
Mais passons à d’autres champs sensoriels avec le même type d’éclairage. On pense au domaine du tactile, du toucher. On dira que celui qui aura usé et abusé du contact physique aura pu être échaudé et cela aura généré une forme d’inhibition, par réaction, une forme de timidité dans le rapport spontané à autrui, notamment autour de la question du consentement explicite, tant au niveau de la demande que de la réponse, d’où la problématique de l’accusation de viol à éviter à tout prix. Nous sommes ici à nouveau confrontés à un pseudo Surmoi, en passant d’une extreme à l’autre avec un luxe de précautions. L’on débouche d’ailleurs sur un autre paradoxe, celui d’un Surmoi se changeant en ça. Le vrai Surmoi, celui qui capte optimalement les messages, sous leurs diverses formes,du fait de son expérience, pourra prendre quelque risque, en montant la barre, en connaissance de cause.
Autre champ à explorer, celui du visuel. Une personne sûre de son goût – ce qui correspond à un Surmoi de l’oeil- pourra se risquer à innover, voire à révolutionner dans une certaine esthétique; à adopter des tenues « osées ». Inversement, le ça de l’oeil aboutira à force à adopter un profil bas, en s’en tenant à des formules « classiques », qui ne choqueront pas Et il en est de même, au niveau olfactif, quand une personne maitrisera les effets de tel ou tel parfum sans avoir besoin d’être chaperonnée à la différence de quelqu’un qui n’est jamais très sûre de la réception, de la réaction par rapport à ses propres initiatives..
JHB 15 07 24
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Posté par nofim le 6 juillet 2024
jacques halbronn Astrologie EXOLS et Anthropolinguistique. Le masculin ou la décantation/ le tri du féminin. Passage de la Gauche à la Droite, de la langue au texte.
Le modéle que nous avons mis en évidence à l’issue de nos recherches linguistiques, autour du passage de l’écrit à l’oral, mettant en évidence le fait qu’en français, le masculin contracte le féminin, l’abrége, peut s’appliquer à la vie politique. Nous dirons que la Gauche correspond au féminin et la Droite au masculin: dans un cas on ajoute, dans l’autre, on retranche et c’est la base même, selon nous, de toute idée d’alternance politique, au regard du droit constitutionnel du moins tel que nous entendons le réformer . De la même façon, on dira que le texte est masculin et la langue féminine, le texte étant nécessairement une sélection opérée sur la langue.
Ce faisant, il nous apparait que l’on serait en mesure de dédramatiser le débat politique en soulignant la nécessité d’un va et vient entre le registre du féminin et celui du masculin, ce qui correspond, au fond, au passage de la Gauche vers la Droite et inversement. Or, le débat actuel -on en conviendra, ne met pas vraiment le doigt sur une telle problématique et l’on se contente d’agiter les mots de gauche et extréme gauche, de droite et extréme droite sans connecter ces différents états entre eux sur un mode dialectique.
Entendons par là. que comme dit l’Ecclésiaste, il y a un temps pour ceci comme il doit y avoir un temps pour cela. Donc un temps pour retrancher, soustraire (Droite) et un camp pour étendre, augmenter (gauche). L’on aura compris au prisme de nos recherches astrologiques, que la Gauche correspond aux phases équinoxiales tandis que la Droite correspond au phases solsticiales. Or, actuellement, on est encore en phase solsticiale, jusqu’à l’arrivée de Saturne à la moitié du signe cardinal du Bélier. Cela signifie que l’heure est au retranchement, au délestage masculin et non à la pléthore des apports et des ajouts, ce qui caractérise la mentalité féminine.
JHB 06 07 24
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Posté par nofim le 4 juin 2024
jacques halbronn Réflexions anthropologiques autour de la question de la maladie, comme état temporaire .
Parler de maladie tend à faire supposer qu’il s’agit d’un état, d’un « mal » passager. Il importe donc de distinguer ce qui est de l’ordre d’un certain désordre physique ou mental et ce qui reléve d’un état « viscéral », inhérent à la personne visée. Au fond, traiter l’autre de « malade » c’est contester la légitimité de son état, refuser de l’y enfermer une fois pour toutes. Ce serait donc un moindre mal que de qualifier quelqu’un de malade en ce qu’il s’agit d’un déni d’essentialisation. L’autre ne serait « que » malade, il y aurait en lui, ponctuellement, un certain mal, à titre provisoire. Si l’autre est malade, il peut, doit être « soigné », on doit le placer dans un cadre hospitalier pour qu’il puisse à terme se débarrasser de son « mal ». Voilà donc bien une situation qui nous interpelle!
Cela nous fait penser à la théorie du genre où l’on va tenter de relativiser l’état mental d’une personne en mettant cela sur le compte de son environnement, de son éducation; On dira qu’il a été « mal élevé », « malappris », qu’il y a eu dysfonctionnement, c’est à dire une sortie de la norme/normale et cela rejoint donc l’idée de maladie. Il ne faudrait, surtout pas, nous enjoint-on, réduire quelqu’un à sa maladie, d’où la question des rapports de la Justice avec la psychiatrie. En URSS, l’on envoyait les dissidents dans des hopitaux psychiatriques pour les « traiter » les ramener à un état de santé dont ils se seraient écartés, éloignés..
Sur ke web
» La psychiatrie punitive en URSS était un système utilisé pour emprisonner les dissidents dans les hôpitaux psychiatriques, appelés psikhouchka (психушка en russe), souvent sous le diagnostic de « schizophrénie torpide » ou « schizophrénie latente », « schizophrénie larvée », « schizophrénie lente », « schizophrénie … »
Dès lors, le médecin serait celui chargé par la société de guérir les malades. Que nous dit le « Serment d’Hippocrate » (texte de 2012)
“Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux. »
Or, comment déterminer si quelqu’un est ou n’est pas en « bonne santé » si l’on ne fixe pas de normes appropriées? Pour notre part, la notion de normalité ne saurait être la même pour l’homme et pour la femme. Ce qui est pathologique pour l’un ne l’est pas pour l’autre. Certains comportements féminins seraient des symptomes inquiétants chez un homme alors qu’ils sont inhérents à la ‘nature » de la femme et vice versa. Nous renvoyons à nos travaux sur les « topiques sensorielles » autour du ça et du surmoi.
On comprend dès lors à quel point la qualification de « maladie » peut faire probléme et cela vaut au niveau de la Justice voire des « codes ». Peut on juger un homme selon les mêmes critères que pour une femme et vice versa?
Se pose aussi la question au niveau cyclologique , au prisme de nos travaux astrologiques : est-ce que telle attitude se conçoit comme « normale » au cours de telle phase spécifique? Le médecin se trouve confronté ainsi à un double défi: risque de relativiser un état permanent ou de stigmatiser un état passager.
JHB 04 06 24
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Posté par nofim le 19 mai 2024
jacques halbronn Pour une réforme/refonte du droit privé et du droit public sur la base de son anthropocosmologie.
Notre première formation universitaire aura été dans le domaine du Droit, tant civil que constitutionnel, à Paris II Assas, à partir de la rentrée 1965 et soixante plus tard c’est dans ce même domaine que nos recherches aboutissent, à double titre.
Dans le domaine du Droit constitutionnel, nos travaux sur la cyclicité, les périodes, impactent de plein fouet notre projet de nouvelle constitution, bas sur la connaissance de périodes de 7 ans déterminées une fois pour toutes et non de façon conjoncturelle et conjecturelle. Rappelons les balises d’un tel calendrier faisant alterner les périodes équinoxiales(E) et solsticiales (S) On se limitera ici à un calendrier allant de 1956 à nos jours: 1956 S 1964 E, 1971 S, 1978 E, 1986 S, 1993 E, 1999 S, 2007 E, 2025, 2023 E. En résumé, les phases S confèrent le pouvoir à la « base », par le biais du suffrage universel et du référendum alors que les phases E confèrent le pouvoir à des Sages (tsadiqim) triés sur le volet. Ces changements d’orientation ne sont pas négociables.
Dans le domaine du Droit civil et pénal, il sera tenu compte dans la Loi et pas seulement dans la jurisprudence. On ne saurait juger un homme comme on le ferait pour une femme et vice versa. On se référe ici à nos travaux sur les « topiques sensorielles » articulées sur le « ça » et le « Surmoi », qui sont directement ancrés sur la Loi, sous divers angles de vue. Ce qu’il faut retenir, c’est que ce qui est admis par les hommes ne l’est pas par les femmes et inversement. Le facteur « genre » ne saurait être ignoré et tel acte commis par un homme n’aura pas à être jugé pareillement pour une femme et réciproquement.
JHB 19 05 24
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