jacques halbronn Barbault. Sa théorie dialectique des aspects.

Posté par nofim le 15 juin 2025

jacques halbronn Barbault . Sa  théorie dialectique  des aspects.

 

Un des symptomes de l’échec de la recherche en Astrologie tient à la non résolution de la question des aspects, ce qui aurait certainement mérité la tenue d’un Colloque au lieu des gadgets que l’on nous offre. Pour la plupart des astrologues, le carré et l’opposition seraient des angles de tension. Pourtant Barbault, à sa façon, aura fait de l’aspect d’opposition une configuration de détente, à l’encontre de la conjonction, puisque l’opposition entre planétes lentes ferait remonter son graphique alors que la conjonction le ferait plonger,ce qui explique son annonce au demeurant ratée- de troubles graves pour le début des années 80 du siècle dernier./i

Pourtant, si l’on étudie les quadruplicités, l’on est conduit à placer conjonction, carré et opposition sur le même plan. Le tort de Barbault, c’est de ne pas avoir assumer pleinement la dualité, une chose et son contraire: la Roche Tarpéienne est proche du Capitole comme s’il n’était pas en mesure d’affronter la contradiction, le revers de la médaille. C’est bien beau d’annoncer une victoire, encore faut-il savoir qu’elle ne sera jamais définitive! Quel est donc l’aspect susceptible de faire barrage à la belle harmonie des signes de même acabit? Notre réponse est la suivante, à mi-chemin, à mi-parcours, il y aura une crise (cf notre texte sur la ménopause des femmes dans la deuxiéme partie de leur vie) et si l’on prend une des quatre saisons, qui divisent le cercle en 4 fois 90°, on aboutit à 45° (semi-carré) Pour l’astrologie septénale, le semi-carré est un aspect majeur et non pas mineur,il marque la frontière entre les phases. Avec le semi-carré, tout vient s’inverser, se retourner. Il est lié au 8, au chemin octuple, à l’octo-topos. Un semi-carré est évidemment neutralisé par un autre semi-carré, une période de trois ans et demi correspond à la division en 8 du cycle sidéral de Saturne; elle prend le contre pied dans un sens ou dans une autre. Le semi-carré de Saturne avec les axes équinoxiaux ou solsticiaux est signe d’involution, de régression, (ce qui correspone à la valeur Hessed, qui n’acccepte pas la rigueur du plan divin (Din). Notre approche du langage passe par les affixes (préfixes et suffixes) que nous assimilerons au semi-carré.

En 1976, lors de la première édition française de Clefs pour l’astrologie (p. 146): « Il faut faire la distinction entre le seuil d’une phase et son paroxysme, en plein milieu de la phase considérée »

Cela revenait à mettre l’accent sur le milieu d’une phase, soit 45°, moitié de 90° On notera qu’au football, sur un match de 90 minutes, on a deux mi-temps de 45 minutes. Idem pour le rugby.

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« Un match de football standard se déroule sur une durée de 90 minutes, divisée en deux mi-temps de 45 minutes chacune. Entre ces deux périodes, les joueurs bénéficient d’une pause de 15 minutes pour récupérer. » On aurait donc affaire ici à une équivalence degrés/minutes comme il en est une entre jours lunaires (28 jours) et années saturniennes.(28 ans)
Revenons à présent sur les travaux d’André Barbault tels que parus entre 1955 (Grasset) et 1965 (Albin Michel) qui semblent tout ignorer de la crise Berlin et de Cuba de 1961-1962, aussi bien en perspective qu’en rétrospective..

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De Berlin à Cuba (1961-1962)
Par Frédéric Bozo
« Les années 1961 et 1962 sont décisives pour les rapports entre la France et l’Alliance. L’arrivée de John Kennedy à la présidence des États-Unis, en janvier 1961, inaugure une nouvelle politique américaine à l’égard de l’OTAN. Plus dynamique, mais surtout plus dirigiste, cette politique tend à réaffirmer le leadership américain dans l’Alliance et à faire évoluer celle-ci dans un sens qui va rapidement se révéler à l’opposé des conceptions de De Gaulle. Or, à la faveur du rebondissement de l’affaire de Berlin et de la crise de Cuba, cette tendance va s’accentuer et conduire le Général à se démarquer de plus en plus de la politique américaine. D’autant plus que le rétablissement du statut international de la France, avec la fin du conflit algérien et la poursuite de l’effort nucléaire, accroît considérablement sa marge de manœuvre. »

Paradoxalement, si Barbault se manifestera au lendemain de la chute du Mur de Berlin (1989), il ne se prononce guère sur le moment de sa construction (1961), 28 ans plus tôt, soit un cycle sidéral de Saturne. D’un côté, un certain succés, de l’autre, un échec prévisionnel cuisant, ce qui apparait clairement avec le recul du temps.

De nos jours, en 2025, on ne veut retenir de Barbault que la conjonction Saturne-Neptune alors que la relecture des deux ouvrages de notre corpus, « Défense et illustration de l’astrologie », et « 1964.La crise mondiale de 1965. Prévisions astrologiques » montre que Barbauilt accordait une importance certaines à la succession des aspects du sextil au semi-carré, du trigone au sesqui-carré etc. Barbault met en évidence les revirements et les retournements résultant des aspects de Saturne à Neptune. ( Défense et illustration, pp. 190 et seq), Crise Mondiale, pp 91 et seq) Ne se servant guère des positions sur le Zodiaque, Barbault investit la succession des apects. Pour lui, les aspects entre planétes seraient plus réels que le découpage de l’écliptique en signes. Le changement d’aspect pour cet auteur prévaut sur les considérations saisonnières (quadruplicités). L’on sait que nous avons au contraire, mis en avant le passage d’une seule planéte, Saturne, au sein de chaque quadrant de 90°, débutant chaque fois par un signe cardinal. (cf notre Astrologie Septénale) Comment expliquer qu’en 2025, le milieu astrologique ne cherche plus à suivre le cours des événement à la loupe, comme le préconisait le » maître » Barbault? Cela s’explique, selon nous, par la baisse de niveau de culture extra-astrologique de ses membres et par l’éloignement progressif inévitable des faits en question. En outre, l’importance que Barbault accordait à l’époque à la dialectique du communisme et du capitalisme semblel avoir fait long feu!! A l’evidence, Barbault, à cette époque aurait souhaité que l’astrologie soit reconnue par les tenants cette idéologie. Il va en 1967 (Les astres et l’Histoire. Ed Pauvert) abandonner le cycle Saturne-Neptune et son découpage en aspects(semi carré compris) pour un autre modéle, légué par Henri Gouchon, qui ne tient plus compte de la succession des aspects ave la domination de la seule conjonction, mettant les autres aspects dans le même sac dans le cadre de son « indice cyclique’ (indice de concentration planétaire) avec en perspective les guerres mondiales du XXe siècle, y compris une troisiéme, annoncée pour le début des années 80, dont on sait ce qu’il en est advenu. Avec le recul, c’est bien dans les années 61-62 que l’on aura bel et bien frisé une nouvelle guerre mondiale. Mais l’on sait aussi que la chute du Mur de Berlin fut une divine surprise pour Barbault qui se rappellera alors ce qu’il avait écrit dans les années 50-60 dans l’attente de la conjonction de Saturne à Neptune en 1989. (pp. 186-189). D’ailleurs, paradoxalement, Barbault semble avoir fini par parier sur l’échec de l’URSS face aux USA et 1989 en est la manifestation la plus flagrante, à commencer par l’annonce du premier homme sur la Lune que Barbault voyait à l’Est et non à l’Ouest, du côté communiste et non du côté capitaliste. Force est de constater une très grande ambivalence dans les prévisions de Barbault, ce qui, au demeurant, reléve de la dualité même du discours astrologique, lequel ne se prête pas à une approche unitaire. Barbault  jongle  avec la Dialectique marxiste qui lui permet d’élaborer une théorie des aspects. 

Défense et illustration 1955 DIALECTIQUE

 » Les  cycles  Saturne – Neptune marquent  une  progression  constante du mouvement révolutionnaire » (p. 187)  (..) En 1952-53, nouvelle conjonction (Saturne – Neptune)  : la mort de Staline inaugure un  nouveau cycle pour le communisme russe et mondial (..)Staline  meurt et l’URSS est en pleine métamorphose:  elle engage un nouveau  cycle qui la conduit à l’échéance capitale de 1989″ 

On peut parler avec Barbault  d’une approche dialectique du monde exprimée astrologiquement par l’alternance même des  « bons » et des « mauvais » aspects, la conjonction maintenant, rétablissant périodiquement le cap pour une  arrivée en tête. C’est la « théorie des contradictions (thèse-antithèse-synthèse) », le mauvais aspect étant l’antithèse.  Etrangement,  dans l’indice  cyclique, les conjonctions sont sources de tensions extrémes, un accouchement dans la douleur.

 

La  crise mondiale 1963   p. 98  EUPHORIE  » Le  grand essor »

 » l’URSS  est partie  pour une  brillante célébration  du  cinquantième anniversaire  de la Révolution  d’Octobre (en 1967) (..) Tout (sic) donne  finalement à penser  qu’arrivée à l’opposition  de 1971-72 l’URSS  vivra un temps de dépassement  en  ayant  « doublé » « les USA »

 » L’astronautique  représente l’avant garde de l’aventure humaine. Or, que les Russes  soient à la tête  de la course  à l’espace es  symbolique du proche avénement de l’URSS en tant que leader  du monde » Rappel: en 1969, le premier homme sur la Lune  viendra des USA.  En  1992, démembrement de l’URSS.(cf nos  articles sur ce  sujet) 

 

Il est clair que l’astrologie se doit d’être dialectique, en Astrologie sépténale, la phase Din  est la Thèse  et la phase Hessed,l’Antithèse. Mais ce ne sont pas les aspects qui en cette Astrologie sous-tendent  une telle dynamique mais la structure interne de chaque quadrant saisonnier, soit 7  ans divisées 2  fois  3 ans 1/2, ce qui exige pour l’astrologie de demain de se « déplanétariser ».

 

 

 

 

JHB 15 06 25

Publié dans ASTROLOGIE POLITIQUE, astrologie septennale | Pas de Commentaire »

jacques halbronn Astrologie. Faire dire à un propos le contraire de ce que l’on avait prévu astrologiquement

Posté par nofim le 4 juin 2025

jacques  halbronn   Faire dire à un  propos  le contraire de ce que l’on avait prévu astrologiquement

 

 

Au cours des années, notamment en tenant des  journaux « intimes », nous avons appliqué nos modéles à ce que nous avions vécu, avec plus ou moins de bonheur. Quand nous relisons nos tentatives successives, force est de constater une certaine complaisance à plier les événements aux dits modéles. C’est ainsi qu’à l’époque où nous oppositions  équinoxialité et solsticialité – ce qui n’est plus du  tout notre démarche aujourd’hui – nous avions trouvé des corrélations tout comme nous  en trouvons actuellement au prisme de notre Astrologie Septénale. La  tentation- l’astuce- consiste notamment à réinterpréter les évenements  en leur conférant un autre sens, une autre acception, en faisant dire à une prévision le contraire de ce que l’on avait voulu dire.

Le cas de Barbault et de 1989 est caractéristique. On célébre la  justesse de sa prévision  en ce qu’il avait annoncé que cette année serait déterminante pour la Russie, l’URSS, le monde communiste, grâce au retour de la conjonction de Saturne avec Neptune.(cf  notamment le Pronostic Expérimental  en Astrologie. Payot, 1973)   On peut lire ainsi lors de la sortie d’un de ses livres en 2004, aux éditions du Rocher:

Introduction à l’astrologie mondiale: la prévision historique par la connaissance des rythmes du cosmos

Couverture
« En 1955, dans un ouvrage intitulé Défense et illustration de l’astrologie, André Barbault annonçait trente-quatre ans à l’avance une  » échéance capitale  » pour l’URSS en 1989.(…) Dans cet ouvrage fondamental, publié en 1979 sous le titre Astrologie mondiale, ici révisé et actualisé par l’auteur, il dévoile les bases, les méthodes et les limites d’une astrologie prévisionnelle rigoureuse, trop souvent discréditée par l’amateurisme. A titre de démonstration de la validité de ses méthodes, l’auteur offre en outre des prévisions nouvelles sur une crise mondiale à survenir en 2010″.
..En réalité, comme nous l’avons montré dans une précédente étude, les événements de 1989-1991 constituèrent un échec cinglant pour  Barbault. Certes, il avait vu juste pour ce qui était de l’importance des dates mais son attente d’une montée en puissance de l’URSS  fut radicalement déjouée. Alors, qu’est ce qu’une astrologie qui peut se permettre d’ annoncer une chose et son contraire, sans sourciller? Apparemment, le milieu astrologique n’aura pas trop fait la fine bouche et Barbault répliquera à certaines critiques de la part d’astrologues qu’il ne faut pas cracher dans la soupe, ce qui revient à une sorte de chantage.  On  a observé la même apologétique  avec Nostradamus  et ses admirateurs.
Andr� Barbault et l’histoire du communisme

Jacques Halbronn, docteur �s Lettres

A la m�moire de Jacques Reverchon

 

Jacques Halbronn est en outre Docteur en �tudes Orientales sous la direction de Georges Vajda. Sa th�se est parue en 1985 sous le titre ��Le monde juif et l’astrologie��. Il a tent� une exp�rience d’�migration en Isra�l au lendemain de la Guerre des Six Jours. Par ailleurs, il s’est sp�cialis� ces derni�res ann�es dans l’�uvre de Th�odore Herzl et dans la gen�se des Protocoles des Sages de Sion, qui constituent une partie de sa th�se d’�tat ��Le texte proph�tique en France��. Cette th�se est diffus�e dans les biblioth�ques universitaires, sur tout le territoire national, sur microfiche, sous la r�f�rence ANRT 34216.

 

Le communisme a jou� un r�le important dans la recherche en astrologie mondiale d’Andr� Barbault�; on peut m�me dire que c’est par cet angle l� que l’on p�n�tre le mieux ses m�thodes de travail, le traitement s�mantique des textes qu’il produit, pour le pire et pour le meilleur. On peut d’ailleurs raisonnablement supposer que c’est sur ce sujet que Barbault aura connu ses plus grandes joies et ses plus grandes d�convenues…

On suivra donc Barbault, sur pr�s de cinquante ans, depuis 1945, avec l’Astrologie Agricole, qui comporte un appendice sur les cycles et o� il aborde le cycle Saturne-Neptune

jusqu’aux approches imm�diates de l’An 2000. Il est rare, pour l’historien du texte proph�tique que nous sommes, de pouvoir suivre un astrologue ou un proph�te sur une aussi longue dur�e, commentant ainsi lui-m�me ses propres textes, refl�tant in�vitablement les enjeux id�ologiques de son temps, en tout cas de sa g�n�ration.

1.����� Une mort providentielle�: 1953

 

Devant r�diger un article pour la fin de l’ann�e 1952, dans le quotidien, l’Yonne R�publicaine, le journal qu’A. B. lisait d�j� avant guerre, celui-ci fait remarquer que la conjonction Saturne-Neptune va � formule qu’on appr�ciera plus loin � se reproduire. Or c’�tait, note A. B., cette m�me configuration qui s’�tait form�e en 1917, ann�e de la R�volution d’Octobre. Pourquoi, d�s lors, ne pas annoncer un �v�nement important pour la Russie, en 1953�? Trois mois plus tard -puisque l’article consid�r� para�t pour le premier de l’an, Staline mourrait. C’est ce que l’on peut appeler une pr�vision � court terme avec des outils � long terme. Cela dut �tre pour Barbault, qui venait de franchir le cap de la trentaine, une grande satisfaction encore que nous n’avons pu v�rifier s’il s’en �tait vant� dans les mois qui suivirent dans une revue.

�Cependant, la lecture des journaux de l’�poque permettait de se rendre compte que les choses bougeaient et pourraient aboutir � quelque changement en Russie, m�me sans la mort de Staline qui n’est m�me pas un assassinat et qui en soi �chappe peu ou prou � l’astrologie. Car qu’est ce que cet astrologue « moderne » qui croit que la mort « naturelle » est inscrite dans les astres�? Il aurait �t� en r�alit� plus convaincant si Staline avait �t� d�chu.

Toujours est-il que, d�s lors, Barbault fera figurer la date de 1953 au m�me titre que celle de 1917 comme �tant « la » date importante depuis la R�volution d’Octobre.

En r�alit�, la conjonction s’�tait d’abord d�j� form�e en 1952 et l’ann�e suivante, elle se reforme du fait des r�trogradations. D’ailleurs quand AB publie en 1945 son Astrologie agricole, il avance la date de 1952 et non de 1953. Autrement dit, le pronostic pour 1953 sent d�j� le r�chauff�. Il concernait initialement l’ann�e pr�c�dente. A aucun moment A. B. ne s’en est expliqu�! On peut d’ailleurs se demander pourquoi il n’a pas donn� l’ann�e 1952…Tout se passe comme si A. B. s’�tait aper�u, au vu des �v�nements qui se pr�paraient alors � Moscou, qu’il serait judicieux de se brancher finalement sur la « queue » de cette conjonction. Peut-�tre � qui sait�? � A. B. n’avait-il pas eu l’opportunit� de publier son travail plus t�t�?

Au demeurant, il faudra encore quelque temps, notamment le XXe congr�s du Parti Communiste d’Union Sovi�tique (PCUS)de 1956 pour que l’on puisse vraiment parler d’un nouveau cycle. Quant au moment o� ce cycle, historiquement sinon c�lestement, va s’achever, cela est largement sujet � d�bat. Mais reconnaissons que sur le moment et sans recul cette mort de Staline a pu frapper les lecteurs et plus encore l’astrologue A. B. qui en fait une affaire personnelle. De l� � faire de cette mort l’�v�nement principal entre 1917 et 1989, il n’y avait qu’un pas�! En effet, par la suite, on peut �tre surpris que cette date reste en �vidence dans les travaux de Barbault non pas comme une fin de cycle, mais comme « la » fin du cycle engag� en 1917 � la maladie et la mort de L�nine ont eu un effet �galement marquant, qui aboutit pr�cis�ment � l’av�nement de Staline � d’autant que son syst�me exige une certaine pr�cision, en raison des subdivisions mises en oeuvre, sur la base des aspects. 1953 n’est pas 1956. L’histoire de l’Union Sovi�tique comporte d’autres �ch�ances d’importance au moins �gale. 1953 ne rev�t cette importance que parce qu’elle fonde le cycle Saturne-Neptune�! et parce que A. B. s’est impliqu� dans son processus.

En r�alit�, on a du mal � comprendre ce que peut vouloir signifier un pronostic de la fin d�cembre 1952 concernant un �v�nement se produisant tous les 36 ans�! S’il s’agit d’une p�riodicit� aussi longue, il va de soi qu’elle se sera probablement manifest�e d�j� en 1952 de la m�me fa�on que A. B. attribue les �v�nements de 1848 � cette m�me conjonction survenue deux ans plus t�t�! Que signifie d�s lors un pronostic aussi tardif alors que l’astrologue est cens� d�j� vivre en cette nouvelle p�riode�: qu’a-t-il � annoncer qu’il ne connaisse d�j�?

On le con�oit�: s’il avait rappel� que cette date lui tenait particuli�rement � c�ur, on lui en aurait fait le reproche. En revanche, en pr�sentant cette date « � froid » comme une �vidence historique r�trospective, cela passait mieux. Apr�s 1989, A. B. baisse la garde et reconna�t son investissement personnel de fa�on � constituer un « doubl� ». A. B. aura donc annonc� et pas seulement expliqu� apr�s coup et 1953 et 1989. En r�alit�, ce pronostic de d�cembre 1952 corrige celui de 1945.

2.����� La proph�tie du plan septennal

 

En 1963, A. B. publie un petit livre, chez Albin Michel, qui annonce la prochaine supr�matie de l’URSS ou plus exactement la confirmation d’un processus en cours, symbolis� par l’industrie spatiale sovi�tique. C’est « la Crise mondiale de 1965.Pr�visions astrologiques » avec comme date de r�f�rence 1964.

C’est justement et cela n’est nullement un hasard-ce qu’affirme un Nikita Khrouchtchev dans son Rapport au XXIe congr�s extraordinaire du Parti Communiste d’Union Sovi�tique (PCUS) et notamment dans un texte intitul� « Les chiffres de contr�le du d�veloppement de l’�conomie nationale de l’URSS pour 1959-1965″. Texte prospectif dont A. B. fait son beurre.

Comment Barbault a-t-il pu croire que les dates avanc�es par Khrouctchev pouvaient �tre pertinentes sur le plan astrologique�? Car il ne saurait bien entendu s’agir d’une co�ncidence, Barbault a bien calqu� sa proph�tie sur celle du plan septennal, qui ne fut d�cr�t� qu’en 1959. Un texte traduit en fran�ais paraissait dans la Collection « Etudes Sovi�tiques »�: le Septennat sovi�tique (1959-1965) » et ce n’�tait point l� un ouvrage r�trospectif.

Reverchon, dans son �tude critique, Valeur des jugements et pronostics astrologiques, fascicule bilingue qui porte aussi un titre anglais, Value of the astrological judgements and forecasts (D�partement 91, Yerres) souligne, en 1971, ce rapprochement sans pr�ciser que A. B. a purement et simplement emprunt� � Mr K. Un assez mauvais calcul, au demeurant car soit le pronostic s�av�rait juste et on aurait pu reprocher � A. B. d’avoir fond� sa pr�vision sur une autre pr�vision bien assur�e, soit – comme ce fut le cas – le pronostic �tait d�menti par les faits et l’astrologie n’en sortait pas grandie. En r�alit�, rien d’�tonnant�: pourquoi l’astrologue ne ferait-il pas alliance avec le politique ou l’�conomique pour �tayer son propos pr�visionnel, quitte � commettre un d�lit d’initi� �? Qu’est ce que ne seraient pas pr�ts � faire certains pour prouver qu’ils ont bien servi l’astrologie �?

La d�cennie Soixante d�bute dans l’euphorie[1]dans le camp communiste et Barbault est emport� par cet enthousiasme aux relents proph�tiques. Il reprend mot pour mot, date pour date, l’argumentation sovi�tique et communiste, pensant ainsi cr�dibiliser, avant et surtout apr�s coup, son pronostic concernant le trigone Saturne-Neptune.

Il lui faudra assez vite d�chanter et il passera sous silence ce grand rendez-vous de 1965 qui aurait du correspondre � un d�passement �conomique des USA par l’URSS, selon les termes m�mes de Khrouchtchev. On sait qu’il n’en fut rien et que ce sont les am�ricains et non les russes qui d�barqu�rent les premiers en 1969 sur la Lune, malgr� la pr�diction de Barbault. Ce spectacle � la t�l�vision a du sonner un temps le glas de ses vaticinations. Encore en 1967, dans Les Astres et l’Histoire (p. 309), il tient le pari de la victoire communiste. Pour cette �tape d’antith�se � de 1965 � 1972 � ��Mais ni le trigone Saturne-Neptune, ni l’opposition Saturne-Neptune ne parviendront � inverser les rapports de force entre les deux super puissances��.

En 1989, dans l’Astrologue, Barbault cite divers textes concernant sa pr�diction. Or, curieusement, il omet de mentionner le texte suivant�: pp. 308-30, (paru dans Les Astres et l’Histoire)�:

��� la th�se, nous savons que les deux partants Am�ricains et Russes pos�s, le premier avec une sup�riorit� et une avance, le second une inf�riorit� et un retard, dans la finalit� d’une domination mondiale. A la synth�se nous avons vu se pr�senter la perspective de l’enfantement d’une soci�t� nouvelle, issue de cette double �volution mais o�, en tant que tendance, le second partant aurait l’avantage sur le premier.��

Il lui en pr�f�re un autre, figurant dans le m�me ouvrage�:

��Ces deux partants sont en fin de course, l’un l’autre, pour la derni�re destination de 1988-1989, � l’�ch�ance de laquelle le monde tend � se renouveler pour enfanter une nouvelle soci�t�.��

Cette derni�re formule est reprise apr�s 1989 �:

��Or, ces deux partants arrivent ici en fin de course au m�me point et au m�me moment, comme pour se fondre en un unique courant. Cette destination commune et unique de 1989, c’est l’�ch�ance � laquelle le monde tend � se renouveler pour enfanter une nouvelle soci�t�.�� (L’avenir du monde, p. 145)

Le choix par A. B. des textes qui attestent de sa pr�diction n’est nullement innocent. Dans un cas, il s’agit bien de la victoire annonc�e de l’Union Sovi�tique sur les USA en termes �conomiques et il est typique que A. B. ne cite aucun passage de sa Crise mondiale de 1965�:

��Tout donne finalement � penser qu’� l’arriv�e de l’opposition de 1971-72, l’URSS vivra (…) un temps de d�passement en ayant « doubl� » les USA.�� (p. 98)

Dans l’autre cas, il est vaguement question d’une nouvelle soci�t� � l’�chelle mondiale… Ce qui ne mange pas de pain. A. B. en �vacuant ses propres formules malheureuses sur la prochaine victoire du communisme trahit ainsi son malaise.

D�cid�ment, l’opposition Saturne-Neptune ne donne pas grand chose. Entre 1953 et 1989, on obtient 1971 et c’est alors que Reverchon, dans un texte bilingue, fait un constat d’�chec… Certes, 1989 rach�tera… 1971. Mais, il ne s’agit pas de jouer au casino, surtout si l’on se sert d’un m�me cycle�: un succ�s ne saurait dans ce cas compenser un �chec�! L’astrologie n’est pas le tir � l’arc�!

En tout �tat de cause, dans quel �tat d’esprit se trouvait A. B. au lendemain de cette opposition Saturne-Neptune si d�cevante tant pour les communistes suivant la ligne de Khrouchtchev que pour les astrologues suivant la ligne de Barbault�?

Pudiquement, dans ses Entretiens (Pierre Horay) avec Mich�le Reboul, A. B. note en 1978�:

��Une large confirmation de corr�lations successives ayant �t� obtenue, nous nous sentons autoris�s (sic) � pronostiquer une �tape capitale pour le communisme et l’Union Sovi�tique � la nouvelle conjonction Saturne Neptune de 1989 et une crise pr�alable sous le carr� de ces astres qui se produira en 1980.�� (p. 86)

A cette date, il n’est pas dispos� � reconna�tre son �chec. Il en sera diff�remment en 1989 dans l’Astrologue�:

��Par contre, autant reconna�tre que j’ai tr�buch� sur l’opposition de 1971-1972 (180�) estim�e pouvoir correspondre � un d�passement de la puissance �conomique am�ricaine (!)�� (p. 4) Mais comment se fait-il qu’A.B. ne propose pas une autre lecture de cette opposition�? Il ne suffit pas de d�clarer que l’on a tr�buch�, il eut convenu de corriger le tir�! Sinon, c’est r�duire l’astrologie � une s�rie de coups pr�visionnels. 

Andr� Barbault est obs�d� par l’id�e que l’URSS et les USA fassent au moins jeu �gal. Faute pour l’URSS de d�passer l’Am�rique, il annonce encore en 1987 (L’Astrologue n�80) la confrontation entre les deux « empires » et ce pr�cis�ment pour les ann�es 1988-92, ann�es de la conjonction Saturne Neptune mais aussi de celle de Saturne et d’Uranus et d’Uranus-Neptune mais l� encore le d�clin de l’URSS emp�chera que cela se produise et d’ailleurs en 89, les Etats Unis ne joueront qu’un r�le assez secondaire. Et inversement quant � 1991, les russes ne seront eux-m�mes que des spectateurs forc�s � la neutralit� dans la Guerre du Golfe.

3. L’�re Gorbatchev

 

Fin 1987, alors que Gorbatchev est d�j� au pouvoir, A. B. publie un article dans sa revue. Il y est question pour 1989 des relations russo-am�ricaines puisque en cette ann�e l� deux cycles se rejoignent. Or, le paradoxe, c’est que c’est pr�cis�ment � partir de 1990 et de la Guerre du Golfe que l’on consid�re qu’il n’y a plus d�sormais qu’une seule super puissance�! Barbault lui aussi a compl�tement perdu son pari�! Dans son « Histoire d’une Pr�vision » (L’Astrologue, 4e trimestre 1989), A. B. ne sait pas encore que quelques mois plus tard, la marginalisation de l’URSS va se confirmer de fa�on �clatante sur la sc�ne mondiale.

Certes, il se passe des choses importantes dans le bloc communiste autour de 1989 mais exactement en sens inverse de ce que Barbault avait annonc�. Pour donner l’impression qu’il a r�ussi, il est oblig� de r�duire son propre discours � un propos insignifiant�: on passe d’un d�passement des USA par l’URSS �. une date importante dans l’histoire de l’URSS puis pour la paix du monde�!�!�! Mais alors, la question reste pos�e�: est-ce que dans son ensemble le cycle Saturne-Neptune est ou non valable�? Car ce pronostic pour 1989 n’a de sens, du point de vue astrologique, que s’il s’inscrit dans une s�rie pass� et � venir satisfaisante.

Il y aurait donc r�ussite dans les dates et �chec dans le pronostic de ce � quoi ces dates correspondraient. Mais si l’�v�nement annonc� n’a pas eu lieu, quel sens pourrait avoir de dater un non �v�nement ou un contre-�v�nement�? Imaginons l’effet qu’un tel pronostic pourrait avoir � l’�chelle individuelle.

Il n’y a m�me pas eu de guerre, avec un vainqueur et un vaincu, c’est le bloc communiste qui est tomb� tout seule, de ses propres contradictions. Encore faudrait-il situer cela au sein d’un cycle des d�colonisations et des ind�pendances. Au fond, A. B. aurait eu la chance que la date annonc�e coincide avec un autre cycle qu’il n’a jamais �tudi�!

Bien plus, peut-on s�rieusement, r�trospectivement, faire un lien entre 1989 et 1953�? Est-ce que la mort de Staline mit fin alors � la domination de l’URSS sur l’Europe de l’Est�? D�s 1956, la r�pression sovi�tique en Hongrie d�montrait le contraire et il faudra attendre pr�cis�ment jusqu’en 1989 pour que les choses changent�!

Pr�diction ou pr�vision�? En ce qui concerne la date avanc�e de 1989 s’agit-il d’une pr�vision articul�e sur un syst�me coh�rent ou bien d’une date obtenue par hasard voire par on ne sait quelle intuition ne relevant pas stricto sensu de l’astrologie�? On pense au Varennes de Nostradamus.

Dix ans apr�s 1989, force est de constater que cette date n’a pas constitu� le d�but d’un nouveau cycle pour la Russie. Il n’y a pas eu apr�s la d�stalinisation qui aurait d�but� � la mort de Staline en 1953, un nouveau r�gime militaire, par exemple. 1989 n’a pas �t� marqu� par une entente entre l’URSS et les USA pour le gouvernement du monde. Depuis l’�poque de Gorbatchev, dans les ann�es Quatre Vingt, la Russie n’a pas, avec Eltsine et Poutine, chang� de r�gime quinze ans plus tard�! Le pouvoir n’est pas pass� aux mains des g�n�raux du type Lebed.

Il semble bien que les �v�nements des ann�es 88 – 89 appartiennent � un autre cycle que celui d’Uranus Neptune. Ceux-ci rel�veraient, bien plus t�t, on l’a dit, de la d�colonisation, ce qui n’est nullement propre aux dates de ce cycle, comme on l’a montr� Ce processus frappe alternativement tel ou tel empire. Et d’ailleurs, la meilleure preuve que les �v�nements ne sont pas propres � la Russie est qu’ils ont lieu ailleurs comme ce fut le cas en 1988 en Isra�l avec l’Intifada.(voir notre article in Ayanamsa 2000) Car le probl�me de cette affirmation d’un cycle r�serv� � un seul pays est que cela est falsifiable, cela exige que l’onde de choc s’arr�te aux fronti�res.

4. L’avenir du cycle Saturne-Neptune

 

En bonne logique, A. B. aurait du tout tabler sur ce cycle, le seul qui ait vraiment fait ses preuves et m�me consacrer un livre entier � ce seul cycle. Or, il n’en est rien. Bien au contraire, lorsque A. B. parle du d�but du XXIe si�cle, il n’accorde au cycle Saturne-Neptune qu’une place bien modeste parmi d’autres cycles pourtant moins bien valid�s. Attitude somme toute surprenante comme si n’aurait pas suffi � sa gloire la mise en �vidence de la r�alit� d’une influence plan�taire sur l’Histoire des hommes. Mais peut-�tre pense-t-il que c’est tout ou rien et que si tel cycle « marche », il doit en �tre de m�me de tous les autres…

L’astrologue a besoin en outre d’un certain recul�: en 1989, sous l’excitation de la r�ussite, A. B., dans le N� 89 de l’Astrologue (p. 19) n’h�site pas � baliser les vingt ans � venir sur la base du cycle Saturne-Neptune. Mais il ne semble pas qu’il ait eu le sentiment d’avoir r�ussi ses pronostics car il ne s’en fera pas l’�cho dix ans plus tard, en 1998, dans ses ��Pr�visions astrologiques pour le nouveau mill�naire�� (p. 192)�:

��Ce cycle (Saturne-Neptune) qui avait incarn� l’id�al communiste d’une population laborieuse revient donc � la charge sous un jour nouveau de type coop�ratif�; l� o� le marxisme d’Etat a tragiquement �chou�…��

Mais d�j� en 1993, dans l’Avenir du Monde (Editions du F�lin), le discours s’�tait �dulcor�:

��La conjonction Saturne-Neptune est surtout (sic) expressive d’une promotion des couches inf�rieures de la population mondiale etc.��(p. 202)

On tombe dans l’insignifiance�! Exit la Russie, bonjour la g�n�rosit� sociale�: on est pass� du communisme au socialisme bon teint�! Or la Russie existe toujours, on le sait avec le recul que n’avait pas encore A. B. qui r�agit trop souvent � chaud, parfois plus en journaliste qu’en historien.

Parall�lement, A. B., � partir de Les Astres et l’Histoire, traite de l’indice de concentration plan�taire et annonce une tr�s grave conflagration pour la premi�re moiti� des Ann�es 1980. Sur la quatri�me de couverture de l’Astrologie Mondiale, en 1979, il est indiqu�:

��Que nous r�servent les ann�es 1980�? Une �tape capitale pour le communisme et l’Union Sovi�tique � la nouvelle conjonction Saturne-Neptune de 1989. De 1981 � 1984, cinq conjonctions se renouvelleront entre les cinq plan�tes lentes qui, en 1982-1983, seront rassembl�es en une zone d’exceptionnelle concentration �: celle-ci qui se reproduit tous les cinq si�cles (�) annonce une phase particuli�rement importante de l’histoire du monde.��

Or, que penser d�s lors de la pr�vision pour 1989 qui fait suite � ces ann�es annonc�es comme catastrophiques et qui le seront beaucoup moins que Barbault a voulu le laisser entendre�? Est-ce que ces ann�es de concentration plan�taire n’�taient pas a priori susceptibles de marquer l’URSS plus encore que cette ann�e 1989�? C’est un peu comme ce proph�te qui annonce la fin du monde et qui traite de l’avenir au del� de cette date comme si de rien n’�tait�! Barbault a-t-il annonc� que la troisi�me guerre mondiale du d�but des ann�es 80 �pargnerait l’URSS�? C’�tait hautement improbable. Si les choses s’�taient pass� comme pr�vu par A. B. nul doute que l’URSS eut aussi travers� des heures graves. On voit donc l� cohabiter plusieurs �ch�ances li�es � des syst�mes pr�visionnels distincts chez le m�me auteur. Mais, jusqu’� quel point, l’�chec d’une pr�vision, chez celui-ci, peut-il compenser l’apparente r�ussite d’une autre�?

5 Une r�volution oubli�e�: 1905

 

Comment un historien du communisme r�agit-il quand il voit l’historique propos� par Barbault concernant son �tude du cycle Saturne-Neptune puisque c’est ce cycle que Barbault assigne au communisme et qui serait la clef de son devenir�?

Nous avons eu l’occasion d’�tudier la question des deux r�volutions � propos des Protocoles des Sages de Sion, dans notre th�se d’Etat, le Texte proph�tique en France, (cf. article sur ce texte antis�mite, en anglais, in Jewish studies, 2000). C’est en r�alit� autour de la R�volution de 1905 (F.X. Coquin. La r�volution russe manqu�e, Paris, Ed. Complexe, 1985 et Colloque « 1905. La premi�re r�volution russe », Paris, 1986) qui aboutit notamment � la cr�ation d’une Douma que l’on consid�ra d’abord que ce texte antis�mite rev�tait un caract�re proph�tique. Par la suite, l’on se reporta sur celle d’Octobre 1917 qui en �tait la r�p�tition � une autre �chelle.

Donnons d’abord la parole � A. B. narrant les grandes �tapes du communisme, et faisons abstraction des correspondances astronomiques qu’il place en vis � vis. A. B. d�cr�te qu’un nouveau cycle pour la Russie commence en 1917. Mais il prend ses d�sirs pour des r�alit�s, tout simplement en raison de la conjonction Saturne-Neptune, l’Histoire n’a qu’� suivre�:

« 1882…. 1917….1952  » et il poursuit�: « Donc 1917, c’est la conjonction et avec elle la prise de pouvoir »

En 1973, dans le Pronostic exp�rimental en astrologie (Payot), A. B. pariait encore sur les �tapes successives � et pas seulement la conjonction et l’opposition � du cycle Saturne Neptune. Il ne s’y essaiera plus avant 1989.

Ce qui frappe le lecteur, c’est qu’� propos de ce cycle (pp. 149-150), A. B. ne dit rien pour 1971-1972 alors que l’ouvrage parait en 1973 et pour les ann�es � venir, il se contente d’�num�rer les aspects mais ne donne aucun pronostic. Bizarre�! On sent quand m�me une g�ne dont il s’expliquera… en 1989 sur la d�ception de l’opposition pour 1971. En 1973, A . B. ne veut pas encore faire le bilan et constater l’�chec alors il pr�f�re ne rien inscrire. Quant � sa pr�vision du d�passement des USA par l’URSS, il ne reste plus qu’une modeste note�: sextil (1959)�: ��p�riode d’essor �conomique sans pr�c�dent et de sup�riorit� technique et scientifique��. Mais cette p�riode, combien de temps dure-t-elle�? Est-ce une « longue » ou une « courte » p�riode�? A. B. navigue entre les phases de 36 ans et celles de 2/3 ans. C’est selon. Cela permet de limiter les d�g�ts des extrapolations�: oui en 1959, il y avait un essor extraordinaire et c’est d’ailleurs pour cela qu’AB a fantasm� sur 1971. Il traite de l’�conomique comme du politique alors que l’�conomique est � long terme�! M�lange des genres�! Exit en fait l’�conomique qui est trop casse cou, bonjour le politique avec ses revirements constants, ce qui limite les d�g�ts. Quand on se trompe de tendance, c’est toujours par anticipation en politique alors qu’en �conomie, cela risque d’�tre r�dhibitoire de fa�on d�finitive.

Tout se passe comme si, � lire Barbault, la R�volution de 1905 n’avait pas exist�, comme si elle n’avait pas �t� une r�p�tition g�n�rale. Comment A. B. peut-il faire abstraction dans son descriptif de cette date�? Comment, en fait, peut-il d�limiter son �tude � 1917�? Comment une Mich�le Reboul, en 1978, dans ses Entretiens, ne lui fait-elle pas remarquer une telle lacune�? Cette �clipse de la r�volution de 1905 n’a jamais �t� signal�e, � notre connaissance ni par Barbault, ni par ses lecteurs, ce qui en dit long sur l’esprit critique de ce public.

Comment ignorer que les deux r�volutions sont coupl�es et que l’une pr�pare en quelque sorte la seconde�? Un Trotsky[2], notamment, a particip� aux deux r�volutions et la premi�re fut, selon l’expression m�me de L�nine, une r�p�tition g�n�rale de la seconde. L’affaire du Potemkine, reprise par Eisenstein, dans un film, est de 1905.

Plus grave, si 1917 est l’aboutissement de 1905, il n’y a pas � chercher d’aboutissement pour 1917�! La boucle est boucl�e et un nouveau cycle commence dont les enjeux seraient � d�finir. La mort de L�nine aurait assez bien convenu pour d�terminer une nouvelle phase, qui pourrait �tre appel�e stalinienne. Or, Yves Lenoble, dans son ouvrage sur les cycles (Ed. de l’ARRC), commentant Barbault, veut faire d�marrer cette p�riode stalinienne � 1917, ce qui permettrait de donner du sens � l’�ch�ance de 1953.

Refuser la dualit� 1905-1917, c’est ne pas comprendre que l’astrologie a pour vocation de situer une activit� au sein d’un cycle, avec en effet une phase pr�paratoire, une phase de maturation et une phase de conclusion et de renouvellement.

Si l’astrologie a un discours � tenir sur l’Histoire, c’est bien celui de la r�p�tition. (cf. P. L. Assoun, La r�p�tition historique chez Marx, PUF, Reed 1999). D’autant que Barbault va retenir des �v�nements infiniment moins importants pour correspondre aux aspects successifs qui rythment le cycle Saturne-Neptune. En d�pit des publications successives que A. B. va consacrer � l’astrologie mondiale, il ne parviendra- ou ne tentera – jamais d’ ins�rer 1905 dans son tableau�! Ce qui montre le carcan du syst�me utilis� (cf. notre article in La lettre des Astrologues, 2000)

Or, entre 1881 et 1917, s’il fut une date importante, c’est bien celle de 1905. Malheureusement, elle ne correspond pas � l’opposition interm�diaire qui a lieu en 1897….Notons d’ailleurs 1881- 36 ans avant 1917 qu’ A. B. aurait pu, au demeurant, citer l’assassinat du tsar Alexandre II. Il ne l’a pas fait.

6.L’expansion sovi�tique en Europe

 

La Russie n’a nullement disparu en 1989�! Et c’est l’URSS qui a �clat� et non la Russie qui en est de tr�s loin la partie centrale et la plus massive, d’autant que les anciennes r�publiques de l’URSS en restent largement d�pendantes., �chappant pour l’heure � l’attraction de l’Union Europ�enne. Si les Etats d’Europe de l’Est ont retrouv� une ind�pendance perdue au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, la Russie reste ce qu’elle est et son destin ne s’est pas arr�t�. A ce propos, si 1989 a vu certains pays s’�manciper du joug sovi�tique, on aurait pu s’attendre � ce que le m�me cycle ait fix� le moment de leur asservissement et ce ne fut pas 1953 mais plut�t les ann�es 1946-1948, en raison de l’occupation sovi�tique li�e � la fin de la Seconde guerre mondiale. La domination sovi�tique en Europe de l’Est n’a pas commenc� ni encore moins cess� en 1953 � les �v�nements de Hongrie en 1956 et de Tch�coslovaquie en 1968 en t�moignent � et par cons�quent 1989 ne saurait faire pendant � cette date. Il faudrait la dater du reflux de l’arm�e allemande apr�s Stalingrad, en 1942.

On aura probablement grossi l’importance pour l’avenir de 1989. Cela n’est pas plus important, en tout cas, que la perte par la France de ses colonies�! Or, voil� que Barbault d�cide que le communisme s’est effondr� et qu’il n’y a donc plus de se servir du cycle Saturne Neptune � son endroit�!

Logiquement, les astres se doivent de fixer le d�but et la fin d’un processus. A vrai dire, il nous semble que ces deux dates de 1917 et de 1953 sont des dates interm�diaires ou en tout pas des dates de commencement de cycle�: 1917 vient � la suite de 1905 qui devrait donc �tre « conjonctionnel » et 1953 est bien moins pertinent par rapport � 1989 que les ann�es 1940 (1942-1948) point de d�part de la domination sovi�tique qui s’ach�ve pr�cis�ment en 1988-1989.

�Avec un recul de dix ans, on est amen� � relativiser l’importance de cette perte des pays satellites pour la Russie, et la r�volution de 1917 – tout comme celle de 1905 – concernait la seule Russie. 1989 n’a pas sonn� le glas de la Russie, n’a pas non plus plac� la Russie sur le m�me plan que les Etats Unis, n’a pas davantage rapproch� l’une de l’autre. Aucun des sc�narios envisag�s par Barbault ne s’est r�alis�.

On ne peut m�langer Russie et bloc communiste et surtout il ne faut pas lier les �v�nements du lendemain de la Seconde Guerre Mondiale avec ceux du d�but du XXe si�cle. A vrai dire si l’on revient sur le pronostic de l’Yonne R�publicaine, du Ier janvier 1953, que faut-il comprendre de la formule�: « Du fait que le parti communiste russe est n� sous la conjonction de 1881 et qu’il a pris le pouvoir � celle de 1917, on doit penser que l’ann�e 1953 sera capitale pour l’URSS »

A la rigueur, on pourrait consid�rer l’expansion du communisme sovi�tique au del� des fronti�res de la Russie comme un �tape essentielle mais… Elle n’eut pas lieu en 1953. Comment A. B. ne s’est-il pas rendu compte qu’il ne prenait pas en compte ce qui s’�tait pass� sous ses yeux au cours des derni�res ann�es�? La r�ponse est simple�: il ne voulait voir l’Histoire qu’au travers les lunettes d’une certaine astrologie.

Etrangement A. B. semble ne pas accorder toute son importance � l’expansionisme sovi�tique d�s 1939 � moins qu’il ne souhaite pas signaler cette affaire d�licate du rapprochement entre Hitler et Staline qui perturba les communistes fran�ais�: pas un mot de l’invasion conjugu�e de la Pologne, du fait du pacte germano-sovi�tique ni d’ailleurs des « r�volutions » communistes en Europe de l’Est, � la fin des ann�es 1940, qui sont l’expression d’une v�ritable conqu�te. (voir La crise mondiale, pp. 92-93). Or, c’est bien cela qui justement sera remis en jeu en 1989�! On nous parle de la fin de quelque chose dont on n’a pas bien situ� l’origine.

Certes, A. B. s’est �galement consacr� � une typologie �v�nementielle, avec l’indice de concentration. Mais est-ce que la dialectique guerre/paix est vraiment pertinente�? Ne vaut-il pas mieux classer les conflits en plusieurs cat�gories�? Cette polarisation sur la « paix » rel�ve presque d’une vision mythique de l’Histoire et on rappellera que la propagande russe a tr�s fortement investi le mot « paix », ses adversaires apparaissant toujours comme ceux qui menacent la paix du monde. Toujours la rh�torique communiste�!

Il importe que le chercheur en astrologie mondiale commence par analyser le terrain avant de chercher une corr�lation plan�taire�: tout se passe comme si A. B. avait d�fini d’une part une philosophie cyclique de l’Histoire, faite d’�tapes successives et de l’autre un mod�le plan�taire, sans �tre parvenu � ajuster ces deux niveaux.

Barbault utilise une grille qui fait alterner les moments de crise et les moments de progression et ce un an sur deux environ, par le jeu des aspects. N’est-ce pas l� un rythme trop rapide et qui reste � la surface des choses�?

Conclusion

 

Il semble bien que Barbault, dans les ann�es Cinquante, de m�me qu’il a souhait� relier l’astrologie � la psychanalyse freudienne, a �t� tent� de se servir du marxisme pour refonder l’astrologie mondiale.

Il est assez remarquable de voir Barbault commenter son propre texte sur Saturne-Neptune et s’accorder un satisfecit. Apparemment, c’est « le » pronostic de sa carri�re. Pour aucun autre, A. B. n’aura fait une telle r�trospective. Il lui aura fallu attendre l’�ge de 70 ans ou presque pour enfin toucher dans le mille�! Il revient de loin, depuis la d�convenue de 1971 et plus g�n�ralement, par del� l’erreur de date, la croyance utopique du d�passement historique des USA par l’URSS vou�e � ne jamais se r�aliser�! Il y a ceux qui se trompent dans la date d’une guerre mais au moins la guerre existe mais A. B. lui annonce un non-�v�nement�! Qu’est ce qui est pire�: annoncer un �v�nement qui n’aura pas lieu � comme Barbault pour la Troisi�me Guerre Mondiale � ou ne pas annoncer un �v�nement qui aura lieu. Barbault s’est beaucoup moqu� de ces astrologues d’avant guerre � pas la sienne, mais la vraie � qui ont manqu� le conflit. Mais la question reste ouverte�: cette guerre �tait-elle in�vitable et d�finitivement �crite dans le ciel�? Comment peut-on reprocher quelque chose qui aurait pu �tre �vit�? De m�me, d’ailleurs, que rien ne prouve que la premi�re Guerre Mondiale �tait in�vitable. C’est l� une vision somme toute assez na�ve de l’Histoire. C’est justement le syndrome de la recherche r�trospective qui conduit � rechercher une justification de ce qui s’est finalement pass� Il importe que le chercheur connaisse de tr�s pr�s tous les tenants et aboutissants et pas seulement ce qui s’est produit au bout du compte.

Mais d’un autre c�t�, est-ce une si bonne chose de faire des pr�visions en astrologie mondiale plut�t que de rendre compte de la succession des �v�nements�? Il est � craindre que l’astrologue ne s’implique trop personnellement et cherche ensuite � n’importe quel prix � interpr�ter ce qui se produit dans le sens de sa pr�vision. Par ailleurs, encore faudrait-il user, pour qualifier les rendez-vous annonc�s, d’un langage un peu moins simpliste que le terme « important »�; on pr�f�rerait une typologie un peu plus �labor�e. Quant � l’attribution de tel cycle � tel pays, cela nous laisse perplexe�: nous ne croyons pas � un tel compartimentage. Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, un cycle concerne automatiquement deux camps adverses, il est n�cessairement ambivalent, favorisant alternativement les camps en pr�sence.

D�s 1976, dans Clefs pour l’astrologie, parues chez Seghers (pp.158-160), nous avions avanc� la date de 1988 comme devant correspondre � une p�riode de d�colonisation, � la mise � mal des empires. A. B. ne mentionne pas notre travail bien qu’il en ait fait la critique dans l’Astrologue. Il ne s’en fait pas davantage l’�cho � propos de la r��dition de 1993, lorsque, nous commentons les �v�nements r�cents (pp. 134-138). A lire A. B., on a l’impression qu’il est le seul � �crire sur ce sujet ou que son approche est la seule digne d’�tre comment�e. Hors de l’astrologie selon A. B., point de salut�!.

Donc, en 1976, dans Clefs, nous montrions que le passage de Saturne au d�but du Cancer et du Capricorne correspondait toujours � une phase de 7 ans environ de d�membrement des empires, de par le monde. Or, en 1988, Saturne entrait en Capricorne�! Nous ne d�signions certes pas l’URSS pour 1988 mais notre syst�me « pr�voyait » le type d’�v�nements auxquels l’URSS fut confront�e.

On nous fera remarquer que peut-�tre l’astrologie ne peut pas aller au del� d’un certain seuil de pr�cision et que le bilan barbaultien reste somme toute globalement positif… C’est oublier ou ne pas vouloir comprendre qu’en de�� d’un certain seuil, les r�sultats obtenus ne sont tout simplement pas significatifs et rel�vent du hasard qui fait se rencontrer les mots et les choses…

Il �tait important de montrer de quelle fa�on l’astrologue �tait marqu� par les id�ologies r�gnantes.

 

 

J. H. Le 3 juillet 2001�

JHB 04. 06  25

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jacques halbronn Psychosociologie/topologie. Domaine de compétence. Dialectique avec l’Astrologie Septénale.

Posté par nofim le 30 mai 2025

jacques  halbronn  Psychosociologie/topologie. Domaine de compétence. Dialectique  avec l’Astrologie Septénale.

 

Par psychotopologie – ce qui renvoie aux topiques sensorielles dont nous  avons déjà  traité à maintes reprises – il s’agit de déterminer les limites de nos compétences et donc de reconnaitre celles d’autrui qui nous manquent.

On s’intéressera ici à l’usage du « moi je », et des cas où le subjectif peut devenir objectif, ce qui correspond à notre domaine de compétence. En ce sens, notre étude vient compléter celle qualifiée de « principe de  Peter »? On est ici dans le domaine du spatial, de la géographie des aptitudes ce qui vient compléter nos  travaux en cyclologie (astrologie septénale) dans le domaine du temporel. Il s’agit de déterminer quel est notre domaine de compétence et par  voie de conséquence  d’incompétence, celui où notre parole peut  faire autorité et ne pas etre qualifiée de « subjective » .  Dans quel domaine a-t-on le droit de décréter une vérité, a-t-on accés à une véritable connaissance et dans quel domaine, ce n’est pas le cas, Il ne s’agit pas ici de psychogénése, de changement de mentalité avec l’âge mais bien d’un clivage structurel, notamment applicable au sexe masculin et féminin.

sur le  web

« Le principe de Peter (appelé parfois « syndrome de la promotion Focus ») est une loi empirique[] (issue de faits expérimentaux, ou validée par l’expérience) relative aux organisations hiérarchiques proposée en 1969 par Laurence J. Peter et Raymond Hull dans leur ouvrage The Peter Principle (traduction française Le Principe de Peter, 1970[3]).

Selon ce principe, « dans une hiérarchie, tout employé a tendance à s’élever à son niveau d’incompétence », avec pour corollaire que « avec le temps, tout poste sera occupé par un employé incapable d’en assumer la responsabilité ». Au cours de sa carrière, un employé compétent va en effet être promu à des responsabilités toujours plus élevées, jusqu’à arriver à un poste pour lequel il n’a pas les compétences requises » 

  Selon nous, seuls les leaders de première grandeur – homme ou femmes – sont impactables par le cycle de Saturne. Ils sont distingués en phase Din  « (phase de  jugement) et  sont impuissants, mal inspirés,  en phase Hessed (phase de grâce) Nous en donnerons de nombreux exemples dans une prochaine étude consacrée à Golda Meir (Guerre de Kipour 1973), Margaret Thatcher (mise à l’écart),  Emmanuel Macron (dissolution de 2024). La Roche Tarpéienne est près du Capitole.

 

 

JHB 30 mai 2025

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jacques halbronn Astrologie Septénale. Peut-on comparer 1933 et 2024?

Posté par nofim le 27 mai 2025

jacques  halbronn  Astrologie Septénale. Peut-on comparer 1933 et 2024?

 

  Le travail statistique exige de regrouper des situations  à la fois  comparables  et relevant de contextes historico- géographiques bien différents. L’étude que nous présentons ici pourra choquer certains  mais selon nous, l’astrologie se doit  d’effectuer des rapprochements. Les deux dates que nous mettons en exergue  sont séparées de 91 ans et 91 ans, c’est 13 fois 7 ans. Et nous savons, en Astrologie septénale, que tous les 7 ans, l’on retrouve même configuration  saturnienne. La période  de 7 ans se divise en deux temps de 3 ans et demi  si bien que le passage d’une phase à l’autre s’effectue à 15° d’un signe fixe.

  En 1933, chacun  sait que ce fut – au mois  de  janvier -la  nomination par le président Hindenburg d’Adolf Hitler au poste de chancelier. Saturne est alors en train de passer de la phase 1 (Din)  à la phase 2 (Hessed) à 15° du signe du Verseau, ce qui ouvre donc une période de 1260 jours. On  sait  que très vite, Hitler obtiendra les pleins pouvoirs  et  verrouillera la domination nazie.

En 2022 Saturne se retrouvait  à 15° Verseau comme en 1933 puis  va entrer en poissons, où il restera jusqu’à ces derniers jours, quand il passera dans le signe  cardinal du bélier.  La période 2022-24  de  type Hessed,  aura conféré au rôle clef à Jean Luc Mélanchon: NUPES, puis   NFP, après la dissolution de l’Assemblée  Nationale  par EMmanuel Macron de  juin 2024.  On sait que sous couvert de former un « front républicain »  face au RN, Mélanchon  aura voulu mettre en minorité Macron qui avait eu l’imprudence de s’allier avec lui pour empêcher le RN d’obtenir le poste de Premier Ministre. C’est ainsi que Mélanchon, au lendemain des élections, aura brigué le poste de Premier Ministre (l’équivalent de chancelier) pour son camp, bien que n’ayant qu’une majorité relative. Macron n’aura pas  suivi l’exemple de Hindenburg mais aura vu brandir la menace d’une motion de censure qui emportera  Barnier.

Que se serait-il passé, peut-on se demander si Mélanchon était arrivé au pouvoir ? Il est probable qu’il serait parvenu à une certaine domination,  comme le fit en son temps Hitler, toutes proportions  gardées. Mélanchon n’hésiterait pas à surfer sur le phénoméne de l’immigration. Et la comparaison  est tentante entre l’humiliation  de  la défaite allemande de 1918  et  le traumatisme de la décolonisation de 1960. 

Désormais, on passe en phase DIN et les conditions ne sont plus les mêmes tout comme  en  juin 1944, Saturne entrait en cancer en zone DIN également :ce sera le débarquement de Normandie et la suite.  Rappelons qu’en  astrologie septénale,  le bélier et le cancer s’équivalent (on suit en cela l’exemple d’un Reinhold Ebertin  et de son « Astrologie à 90° »)  En début de phase DIN sont activés les « anti-corps » qui vont neutraliser la dynamique « Hessed » et inversement en phase Hessed, la phase DIN baisse de régime et  ne parvient plus à se faire entendre. Hessed, c’est  une certaine désinhibition, d’une libération par rapport à des  tabous; c’est l’homme prométhéen qui défie les lois divines.

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB 27 05 25

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Jacques halbronn Astrologie Septénale. Les effets de l’entrée de Saturne en Bélier. Le relais des leaders.

Posté par nofim le 24 mai 2025

Jacques  halbronn  Astrologie Septénale. Les  effets de l’entrée de Saturne  en Bélier.  Le relais des leaders.

 

L’entrée de cet  astre n’a pas la même signification pour les tenants de l’Astrologie  traditionnelle (cf  l’article de Bernard Duchatelle) et pour ceux de l’Astrologie Septennale. Pour nous, le Bélier n’est qu’un des 4 signes cardinaux  (au même titre que le cancer, la balance ou le capricorne) En outre, le Bélier  se prolonge  jusqu’au mileu du signe fixe du Taureau (idem pour le cancer qui  va  jusqu’à 15° lion, la balance  jusqu’à 15° Scorpion, le Capricorne  jusqu’à 15° Verseau). Chaque signe cardinal ouvre une période de 3 ans et demi, que nous appelons  phase « Din » et laisse ensuite la place à une autre période de même durée: phase Hessed. Nous associons  Din à DEUS  et  Hessed à HOMO.

Actuellement, par conséquent, nous devrions  voir le relais passer des leaders de type Hessed à ceux de  type Din, pour 3 ans et demi (7 ans/2, 1260  jours). Nous avons en politique française deux excellents exemples pour illustrer un tel changement,  chez  les Républicains, avec Bruno Retailleau  et chez les Socialistes  avec Nicolas Mayer-Rossignol. 

 

Mayer Rossignol :

  « Candidat à la direction du PS, comme en 2023, où il avait échoué d’un cheveu, le maire de Rouen s’est invité ce matin de mai au 106, la salle de concert de sa ville, pour faire entendre une autre petite musique. « Au congrès de 2023, on sortait de nulle part, retrace-t-il, blazer bleu sur une chemise blanche. Cette fois, des personnalités comme Karim Bouamrane [maire de Saint-Ouen, NDLR], Philippe Brun et Jérôme Guedj [députés et figures de l’aile gauche, NDLR] nous ont rejoints. Ce n’est pas un PS flou, mais une ligne d’affirmation, ­proeuropéenne, qui met fin à l’alliance avec LFI. Qui est content du PS aujourd’hui ? Il faut se remettre à bosser et créer une grande fédération avec Raphaël Glucksmann, Bernard Cazeneuve, Yannick Jadot, etc. » Le congrès de Nancy est le 81e congrès ordinaire du Parti socialiste, qui doit se dérouler du 13 au 15 juin 2025 à Nancy (Meurthe-et-Moselle).

Bruno Retailleau,  Sur le web

 » Le résultat est sans appel, une véritable gifle. Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a largement battu son rival Laurent Wauquiez pour l’élection à la présidence des LR, dimanche 18 mai. Sur les 121.617 électeurs inscrits, conséquence d’un mouvement de fortes adhésions ou réadhésions, l’ancien président du groupe LR du Sénat a totalisé 74,3% des voix, contre 25,7% pour le président du groupe Droite républicaine. Bruno Retailleau plie le match, avec les trois quarts des suffrages.

La folle semaine de Retailleau et de LR, qui rêvent déjà de 2027

« Avec la large élection de Bruno Retailleau à leur tête, les Républicains ont fait un retour en force fracassant cette semaine. Sur le déclin, les macronistes, le président de la République en premier, ne sont pas forcément ravis.

 

Il convient, à titre de comparaison, d’étudier le phénoméne de Saturne  entrant en phase Din  (passage sur les axes  équinoxiaux et solsticiaux) dans le cadre de la Vie Astrologique, lorsque Saturne entra dans le signe du Cancer en 2003, quittant le signe des Gémeaux. On note ainsi que les colloques organisés par Yves Lenoble  trouvent leur terme en cette même année 2003  et que Jacques  Halbronn organise en 2004, à la maison des associations du XIIIe arrondissement, rue Caillaux,  un Congrès qui surclasse complétement celui de Lenoble par la qualité des participants https://www.youtube.com/watch?v=bo8bLI2Yuzc qui ne sont pas de simples « astrophiles » (à savoir des étudiants ou des amateurs en Astrologie » entourant une brochette de quelques conférenciers, monologuant, sans  débat digne de ce nom et  rémunérés par un public payant.

WEb

Yves Lenoble : « De 1991 à 2003 il organise au Palais des Congrès de la Porte Maillot à Paris le congrès annuel des astrologues et astrophiles français qui a pu réunir  400 personnes. » Déjà en 1997, 7 ans plus  tôt, sous Saturne en bélier, Halbronn  avait affirmé son leadership en publiant un remarquable Guide Astrologique, entreprise que Lenoble n’avait pas su mettre en oeuvre. Ce Guide fut un travail collectif, chaque astrologue  y apportant sa contribution  autobiographique. Ce Guide aura un retentissement considérable: il suffit de consulter sur Google toutes les mentions qui en sont faites.En 2009,  avec Saturne  entrant en Balance, autre signe  cardinal, Halbronn organise un Colloque à Montréal.(https://www.youtube.com/watch?v=tXOoL6tytTo:   En 1980-81, sous Saturne en balance,  Halbronn  avait organisé des colloques internationaux  à Bruxelles et Londres et lancé une Fédération des  astrologues de langue française, qui tiendra un congrès  à Luxembourg.  Inversement,  en phase Hessed,  il  connaitra une certaine baisse de  régime (Réunion de 2015 au Palais de la Chine, Paris XIIIe) avec l’entrée de Saturne dans le signe mutable du Sagittaire avec déjà la phase Hessed, à partir  de 15° Scorpion) Par ailleurs,  Halbronn  avait  cesse de couvrir en 2014 les Colloques de Bordeaux et met fin à ses expéditions en province.Trente ans plus  tôt, Halbronn n’avait pas réussi à se maintenir à la tête du GERASH (1986)  où il avait  été élu Vice Président, puis en charge, du fait de la démission de Patrice Louaisel, toujours  sous Saturne en Sagittaire. En 2025,  Halbronn  devrait  retrouver une position centrale, du fait de Saturne  revenant en signe cardinal  aux dépends des leaders de la phase Hessed qui s’achève, soit 21 ans après le Colloque de 2004 qui avait éclipse Lenoble. Nous avons récemment développé la notion d’anticorps, lors du changement de phase, permettant de neutraliser les valeurs de la phase finissante, leur portant le coup de grâce. Comme on sait, les savetiers sont les plus mal chaussés et les astrologues ne se servent guère entre eux de l’astrologie  

 

 

  JHB 24 05 25

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jacques halbronn Astrologie. Discours de la Méthode

Posté par nofim le 20 mai 2025

jacques  halbronn  Astrologie. Discours  de la Méthode  

 

 

En 1976,  il y aura sous peu 50 ans, nous avons publié dans la revue  féminine Cosmopolitan (dir Juliette  Boisriveaud) un gros dossier intitulé  ‘Astrologie Sensorielle ».

jacques  halbronn  Astrologie. Discours  de la Méthode dans ASTROLOGIE POLITIQUE
 dans astrologie septennale dans epistémologieCOSMOPOLITAN FRANCE 1977 RITA TELLONE CLOTILDE RAQUEL WELCH FASHION BEAUTY RARE | eBay  Nous proposions des  tests liés aux 4 sens  (ouie, odorat, vue,  gout) associés à 4 planétes – Mars, jupiter, Saturne et Uranus dont nous fournissions  des courbés basées sur les aspects du Seleil avec l’une de ces 4 planétes. On était encore loin de l’Astrologie selon Saturne, direction que nous prendrons au début des années 90.
La méthode préconisée, à l’époque, ne partait pas des  courbes astrologiques mais bien d’un critère sensoriel. Pourtant, ces  courbes, nous les présentions mais elles n’étaient pas censées constituer un point de départ. Or, en astrologie, il faut passer par le calendrier mais non pas pour ériger le thème natal, une fois pour toutes, mais pour établir un certain profil de vie non pas personnel  mais que nous partageons avec autrui, ce qui permet de faire des statistiques. Michel Gauquelin aura été, comme Barbault, un précurseur avec ses limites.
D’où la question que nous posons ici d’un « discours de la méthode » (cf Descartes, qui, d’ailleurs, dans son texte, s’en prenait à l’Astrologie au début du XVIIe siècle, siècle que nous qualifierons de siècles des critiques, précédant le XVIIIe, dit « siècle des Lumières »  (cf notre post doctorat  2007 sur la naissance de la critique nostradamique)  
Selon nous, il faut partir d’un modéle astrologique bien défini, bien repérable à l’instar d’un phare au milieu des  ténébres. Autrement dit, l’astrologie n’est pas un point d’arrivée mais de départ car elle offre une certaine simplicité dès lors qu’elle s’articule sur un schéma clairement établi.  Clarté des périodes, clarté de leur signification.
Or, force est de constater que l’astrologie mondiale, qui devrait montrer l’exemple, que l’on étudie les ouvrages d’un André Barbault ou à sa suite d’un Charles Ridoux,  en est arrivée à partir des événements pour mettre en avant telle ou telle configuration astrale et non l’inverse.
Certes, l’on peut comprendre que d’aucuns puissent être tentés par une telle « méthode et s’imaginer que c’est ainsi que l’astrologie aura pu, peu à peu, se constituer. Avec une telle méthode, plus on dispose d’une panoplie imposante de possibilités, de  combinaisons,  mieux cela vaudra puisqu’il y  aura toujours un  « match » en perspective!
Or, pour notre part,  nous pensons l’inverse, à savoir que l’astrologie doit jouer cartes sur table avec des catégories immuables, fixées une fois pour toutes et donc éminemment prévisibles alors que l’on ne sait jamais ce qu’un astrologue ordinaire va tirer de son chapeau! Mais cela correspond à une phase de maturité de l’Astrologie , finis les tâtonnements  de l’enfance! Ce n’est pas l’astrologie qui doit chercher à sa valider en montrant qu’elle n’est jamais à court d’explications mais c’est au monde de s’aligner sur une certaine astrologie. L’astrologie doit signaler  des temps  forts, des temps de bascule à respecter, déterminer des bornes  de temps. Avant l’heure, après l’heure, les  comptes à rebours exigeant une grande précision dans l’action. Faute de quoi, on agira et réagira avec retard, ne sachant ni quand commencer, ni quand arrêter. L’astrologie donne des antennes même si elle agit en nous.
Encore  faut-il souligner que telle phase (dite Din en Astrologie Septénale) concerne une élite de personnalités alors que telle autre (dite Hessed) concerne  le vulgum pecus, la masse. Comme dit l’Ecclésiaste, il y a un temps pour chaque chose et c’est notre astrologie qui est en mesure de l’indiquer, pas l’astrologie ordinaire , sans colonne vertébrale. Celui qui ne suit pas les phases que nous avons définies court à l’échec et au discrédit. Tel  est bien le véritable en jeu de l’Astrologie  selon Saturne.

 

 

 

 

JHB 21 05 25

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Roger Benoit Jourlin Essai d’autobiographie

Posté par nofim le 18 mai 2025

Roger Benoît Jourlin3, rue Pierre Brossolette – Bâtiment B – Escalier 394 130 Nogent sur Marne 06 68 35 87 48 roger.jourlin@gmail.com 09 81 46 37 35 1

 
 Au cours d’une longue expérience professionnelle internationale à Air France, particulièrement riche en contacts humains des plus variés, Roger – Benoît Jourlin né à Paris en 1931, a mené par ailleurs une ample recherche philosophique et acquis une connaissance approfondie des enseignements traditionnels occidentaux, puis orientaux auprès de personnalités telles que Graf K. von Dürckeim, Roger Godel et pratiqués avec Arnaud Desjardins disciple de l’indien Swami Prajnanpad, ou encore dès son arrivée en France le Japonais Taisen Deshimaru qui introduisit le Sôtô Zen en Europe (tous trois favorables à l’Astrologie). 2. En ce qui concerne l’Astrologie, qu’il a pu découvrir dès 1955 avec Armand Barbault frère ainé d’André Barbault, il s’est consacré à en déterminer le schéma explicatif et à en dégager la rationalité. Dans le respect de la tradition, ainsi que dans le cadre de la modernité et de la transdisciplinarité, il aborde en philosophe l’astrologie comme une discipline « illuminatrice », fondée autant sur la raison et la rigueur que sur l’intuition et l’imagination, en symbiose avec toutes les autres formes de connaissances.À compter de 1961, retraité d’Air France, il peut, bien que non-professionnel, se consacrer pleinement à l’Astrologie. Chercheur, auteur, conférencier, il milite activement, pour la revalorisation de l’identité culturelle de l’astrologie ainsi que des divers courants qui selon lui en prouvent la vitalité et la richesse exceptionnelle. Il est l’auteur de deux ouvrages : « Le Cercle astrologique » (Dervy, 1997) et « Déterminisme universel et Liberté humaine » (Dervy, 2005).Ci- dessous copies des quatrièmes de couverture des deux ouvrages Le Cercle astrologique : L’Astrologie occidentale, riche d’une tradition millénaire fondée sur l’intuition et la raison, le symbolisme et l’empirisme, manquait simplement de la base doctrinale nécessaire à son évolution.L’auteur nous propose une doctrine moderne en harmonie avec la doctrine antique des Éléments comme avec les avancées scientifiques les plus récentes.La découverte par Roger-Benoît Jourlin du Cercle astrologique représente une étape décisive dans l’histoire de l’astrologie dont la rationalité spécifique nous est enfin définie. En présentant pour la première fois publiquement le schéma explicatif de l’astrologie, l’auteur fort d’une expérience de plus de 50 ans en France et à l’étranger, nous fait prendre conscience que, loin d’être un système clos, l’astrologie occidentale est un immense courant de pensée et une discipline « illuminatrice » en symbiose avec toutes les formes de connaissance : le mythe, la philosophie, et bien entendu la science.Le Cercle astrologique destiné à un large public de profanes, sceptiques, adversaires et partisans, constitue un ouvrage de référence pour l’astrologue néophyte ou confirmé, le psychologue, le thérapeute, le peintre, le poète.Le Cercle astrologique devrait être l’occasion pour le lecteur de s’émerveiller de la modernité de l’astrologie occidentale qui annonce et prépare une nouvelle converge du savoir et de la connaissance.L’ouvrage a été sélectionné par la BNF, la Bibliothèque Nationale de France et consultable sur son site GALLICA
2Déterminisme universel et liberté humaineLa sagesse peut être considérée comme le chemin à parcourir mais aussi comme la fin du chemin, la méthode et l’accomplissement. Elle repose sur la connaissance de soi-même, objet traditionnel et privilégié de l’astrologie occidentale, laquelle peut nous révéler, de façon précise, les ressources dont nous disposons, ainsi que la meilleure manière de les utiliser face aux défis de la vie.Une longue pratique professionnelle a convaincu Roger-Benoît Jourlin que, dans le thème de naissance, la circonférence symbolise le monde phénoménal des apparences où s’expriment la multiplicité et le déterminisme, et que le centre du cercle, auquel chaque point de la circonférence est relié, représente l’essence, le monde nouménal, l’unité, notre essence.Il apparaît que les situations internes et externes, agréables ou désagréables, que nous recontrons et créons en partie sont indiquées essentiellement par les « aspects », c’est-à-dire certains écarts angulaires précis qui, dans un thème, relient les planètes à la fois entre elles et avec les autres facteurs. Il importe donc de comprendre en profondeur la nature de chaque aspect.Le schéma explicatif des aspects qui, pour la première fois, est mis à la disposition des astrologues, constitue un outil performant d’information et de formation personnelle. Il témoigne en outre du rôle incomparable que peut tenir l’astrologie occidentale dans la connaissance de soi et l’accession au bien-être intérieur, auquel nous aspirons plus ou moins consciemment, dans nos luttes pour l’Avoir et le Pouvoir.Le livre est suivi de quatorze études de personnages confrontés au pouvoir, avec leur thème : Colbert, Louis IV, Marie-Antoinette, Napoléon Ier, Charles De Gaulle, Yvonne Vendrous, Valéry Giscard d’Estaing, François Mitterrand, Jacques Chirac, Jean-Marie Lepen, Lionel Jospin, Bernard Tapie, Nicolas Sarkozy et Jean-Pierre Raffarin.3. À la parution de ce dernier ouvrage, la prestigieuse revue « L’ASTROLOGUE » que dirige André Barbault lui consacre dans son numéro 150 la chronique suivante

 
Roger JOURLIN

 

1 Je dois beaucoup à Spinoza qui nous engage sur un humanisme de qualité. Je reprends un extrait d’un ouvrage, je crois d’Henri Atlan: Les étincelles de hasard

« C’est à la fois, la dimension relationnelle de l’existence humaine et la tendance naturelle de l’esprit humain à connaître et comprendre les relations qui l’unissent à la nature et à ses semblables, pour conquérir sa liberté, qui font de l’homme une personne.Et cela vaut aussi pour le déficient mental, le vieillard ou même le comateux profond, s’ils sont encore des personnes, c’est que intrinsèquement leur nature est toujours celle d’un etre désireux de connaître, mais dont le désir est entravé, voire écrasé, par une nécessité extrinsèque. De plus, ils demeurent des personnes en raison des relations que leurs proches continuent d’entretenir avec eux. Par l’amour et le respect qui leur sont adressés,

ils ne sont pas des corps sans âme. S’ils ne sont pas ou plus des personnes pour eux- mêmes, ils sont et restent des êtres dignes de l’humanité pour ceux qui les entourent et prennent soin d’eux. Tout homme peut donc en conséquence accéder à la dignité de personne. »

2 Si j’ai évoqué Nagarjuna, c’est parce que l’amour inconditionnel du bouddhisme ne se porte pas uniquement sur l’homme, mais sur tous les êtres, sur toute la nature

3 Je dois beaucoup à d’autres « maîtres », mais je dois dire que celui dont je suis le plus proche est le moine vietnamien Thich Nhat Hahn qui devrait vous apporter beaucoup y compris professionnellement (il a fait connaitre la « pleine conscience)

Conclusion

1 Au plan spirituel mon credo à 94 ans :

Le seul bien absolu est l’Amour inconditionnel

La morale suprême c’est la soumission à la vérité :

Acceptation de ce qui est

Action qui me parait juste (pour moi et les autres)

 

En communion

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jacques halbronn L’astrologie est science du court terme et du récurrent et non du long terme et de l’exceptionnel.

Posté par nofim le 14 mai 2025

jacques  halbronn  L’astrologie est science du court terme et du récurrent et non du long terme  et  de l’exceptionnel.

On  commet  l’erreur  de  croire que l’Astrologie  aurait  vocation à rendre compte d’événements remarquables  et distants les uns des autres.  Laissons ce  genre de mirage aux historiens ordinaires. Quant aux astrologues du XXe siècle,  encore attachés au Ciel astronomique dans toute  sa splendeur, ils n’auront pas compris que l’astronomie est un matériau brut qui doit être  transmuté par l’astrologie et donc considérablement décanté et élagué, ce que nous rappelle le judaisme  quand il privilégie un certain jour et une certaine nuit par rapport  à l’ensemble  des  jours et des  nuits.ls n’auront pas compris que l’

Nous avons  toujours éprouvé une certaine admiration face à ces astrologues qui manient, qui jonglent  avec  un nombre incroyable de facteurs à la manière d’un Charles Ridoux (Evolution géopolitique mondiale. Le tournant  (1980-2020) Ed du Rocher 2002) se voulant « dans la lignée des  travaux d’André Barbault »

L’usage même des planétes au delà de Saturne  nous  semble bien être le péché originel de cette astrologie « moderne ». Pour nous l’astrologie est née pour éclairer les hommes depuis des millénaires et elle n’aura pas attendu la fin du XVIIIe siècle pour disposer des moyens qui lui étaient nécessaires. En tout état de cause, l’astrologie  a une obligation de simplicité et c’est ce  glissement vers une complexité débridée  qui aura été à l’origine du métier d’astrologue, seul capable, nous dit-on, de se repérer dans un tel labyrinthe cosmique. D’ailleurs, l’informatique n’aura fait qu’aggraver la situation à telle enseigne que bien des astrologues sont impuissants sans l’aide de leur machine. On pense à l’ACB de Roger  Héquet;  On n’est plus du tout avec ces gens là dans l’observation directe du ciel  (et encore moins avec les astres invisibles à l’oeil nu) C’est là un contre sens  anthropologique de première magnitude que nous n’aurons cessé de dénoncer  depuis 1976, avec en 1994, notre Astrologie selon Saturne qui n »était encore qu’une ébauche. On  notera que les avocats ont le même probléme que les astrologues en ce qu’ils dépendent toujours plus des  bases de données sur le web.

En ce qui concerne l’enseignement de Barbault en matière d’astrologie mondiale, on notera que son graphique confère à l’aspect d’opposition un statut  allant à l’encontre de celui de la conjonction alors que ces deux aspects sont tout à fait comparables  tout comme la nouvelle et la pleine lunes, dans le même axe, à l’instar des deux équinoxes  et des deux solstices.  Autrement dit, l’opposition de Saturne à Neptune aurait la même portée que la conjonction, ce qui donnerait des échéances tous les 18 ans et non tous les 36 ans. C’est d’ailleurs ce qu’avait laissé entendre Barbault  dans la Crise Mondiale (1964) à propos de l’échéance de 1971. Mais par la suite, il préférera  s’en tenir au seul retour de la Conjonction, ce qui avait l’avantage de diminuer sensiblement le nombre de rendez- vous, réduit à moins de 3 par siècle (3  fois 36 = 108 ans) ! On est loin d’une science du « court terme »! L’ouvrage  de Ridoux  est celui d’un littéraire, jonglant  avec toutes sortes de personnages comme dans les romans et les pièces de  théatre ou dans les  films. Le lecteur sature très vite  face à cette usine à  gaz multifactorielle, diffuse et confusé  ô combien. L’astrologie n’a  vraiment que faire d’un tel soutien! En fait, il y a une astrologie pléthorique qui cherche à se structurer au contact du monde  et une autre qui tend à structurer le monde,  au prisme d’un paradigme épuré/

 

 

 

JHB   18 05 25

 

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jacques halbronn Dominique de Villepin. Entre 2003 et 2025 selon l’Astrologie Septenale.

Posté par nofim le 13 mai 2025

jacques  halbronn   Dominique de Villepin. Entre 2003 et 2025 selon l’Astrologie Septenale.

La  cote  de Villepin  suit  celle de Saturne entrant en phase Din(0° des signes cardinaux). Saturne, sortant des  Poissons (phase Hessed) passe en bélier ( phase Din) L’écart  de 22 ans entre les dates de 2003  et 2025 correspond  à 3 fois 7 ans (21) Tous les 7 ans, la même configuration, donc le même climat  (Zeitgeist) se représente avec au bout de  3 ans et demi un processus inverse (Saturne à 45° des axes équinoxiaux/solsticaux)

Il est normal que le retour de Saturne en phase « Din » lui soit  favorable et le conduise à un positionnement comparable  quant à l’analyse politique. Cela montre que les sondages d’opinion constituent une référence plus fiable que les élections.(cf nos exposés autour  de cette dialectique)  On notera que le temps « Din » n’est pas celui de l’amitié,  du copinage,  de la complaisance à tout prix et quand ce temps  arrive, au  bout de trois ans et demi (1260  jours), on ne  fait plus de cadeaux, on ne laisse plus rien passer. Inversement, quand le temps Din s’achève,  c’est l’heure des complots, des  complicités, de la vengeance. Il serait bon d’étudier comment Villepin  aura vécu la phase Hessed qui suivra la phase Din.Cela  débute avec Saturne passant à 15° du signe fixe du taureau. Villepin  sera  balayé par Sarkozy lors de l’élection présidentielle de 2007, ouvrant une phase Hessed, ce qui fait de  Nicolas Sarkozy un personnage « Hessed »   aux amitiés parfois  sulfureuses.

poster du film Bande-annonce Personne n'y comprend rien
8 janvier 2025 en salle | 1h 43min | Documentaire

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Sur le web

Une démocratie et une dictature. Une campagne présidentielle et de l’argent noir. Une guerre et des morts. « Personne n’y comprend rien », se rassure Nicolas Sarkozy au sujet de ses liens avec le colonel Kadhafi. Alors que s’ouvre le procès de l’affaire des financements libyens, voici le film qui va enfin vous permettre de tout comprendre à l’un des scandales les plus retentissants de la Ve République. » En 2012, avec Saturne  en phase Din, Sarkozy sera battu par François Hollande aux élections présidentielles.

 

 

sur le  web
« Dominique de Villepin à nouveau en tête du classement des personnalités politiques préférées
Dominique de Villepin a gagné du terrain après une série ses déclarations sur la guerre à Gaza et la crise entre Paris et Alger. Il est soutenu à gauche, avec 55 % de bonnes opinions – dont 65 % à La France insoumise – comme à droite (55 %), notamment dans son ancienne famille politique Les Républicains (70 %).
Image auteur par défaut
Par AFP
Publié: 13 Mai 2025 à 11h59

 

Selon une étude Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio publiée ce lundi, l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin est de nouveau ce mois-ci la personnalité politique préférée des Français devant Edouard Philippe.

Il

Discours de Dominique de Villepin à l’ONU
Dominique de Villepin prononçant son discours le 14 février 2003 devant le Conseil de sécurité des Nations unies.
PrésentationPrononcé le    
14 février 2003
Autres informationsAuteur    
Dominique de Villepin

 

Le discours de Dominique de Villepin aux Nations unies est un discours prononcé par le ministre des Affaires étrangères de la République française, Dominique de Villepin, le 14 février 2003, devant le Conseil de sécurité des Nations unies, au siège des Nations unies à New York. Il y exprime l’opposition de son pays face à une éventuelle intervention militaire alliée contre l’Irak.
Contexte
Conflit latent avec l’Irak

En 2002, à la suite des attentats du 11 septembre 2001, les États-Unis accusent l’Irak de détenir des armes de destruction massive. La France cherche dans un premier temps à éviter un conflit diplomatique avec les États-Unis et soutient donc la résolution 1441 du Conseil de sécurité des Nations unies, qui autorise l’ONU à envoyer des inspecteurs en Irak[1]. Cependant, George W. Bush, président des États-Unis, et Tony Blair, premier ministre du Royaume-Uni, affirment sur la scène internationale que l’Irak empêche les inspections et commencent à évoquer une intervention militaire[1].

L’année 2003 commence sous le signe d’un éloignement franco-américain au sujet de l’Irak, ainsi que d’un rapprochement diplomatique entre la France, l’Allemagne et la Russie, qui sont opposés à une éventuelle guerre[1],[2]. Le président français, Jacques Chirac, craint qu’une intervention ne déstabilise la région et qu’« une multitude de mini-Ben Laden soit créée », prophétisant sans le savoir l’émergence de Daech.
Conflit diplomatique avec les États-Unis
Colin Powell tenant une fiole d’anthrax lors de la session du 5 février 2003 du Conseil de sécurité, prétendant que l’Irak est susceptible de posséder des armes de destruction massive.

Le 5 février, Colin Powell, secrétaire d’État des États-Unis, réussit à remporter l’adhésion du Conseil de sécurité en montrant au Conseil et à la télévision une fiole, prétendue preuve de la possession par l’Irak d’armes biochimiques[3]. Le discours de Dominique de Villepin doit aussi répondre au secrétaire américain de la Défense, Donald Rumsfeld, qui a déclaré en janvier que la France et l’Allemagne relèvent désormais de « la vieille Europe », par opposition à une Europe de l’Est émergente constituant « la nouvelle Europe »[4].

Le président Jacques Chirac décide d’envoyer son ministre des Affaires étrangères, Dominique de Villepin, pour défendre la position de la France.
Discours
Rédaction

Le discours est préparé en France par le ministre et son équipe, dont notamment Bruno Le Maire[5]. Il est revu et corrigé par le président[6]. Son contenu n’est pas communiqué aux alliés de la France afin de provoquer un effet de surprise[7]. Il est retravaillé jusqu’à la dernière minute[8]. Gérard Araud écrit au sujet de la rédaction du discours que « Des allers-retours sans fin entre le rédacteur et le ministre, des dossiers qui volent, des bouleversements de dernière minute [...] ; en un mot, l’enfer, mais un enfer qui pouvait déboucher sur un grand discours »[9].

Dominique de Villepin s’exprime après Hans Blix (ONU), Mohamed el-Baradei (AIEA), Farouk el-Chareh (Syrie), et avant Soledad Alvear (Chili), Tang Jiaxuan (Chine), Ana Palacio (Espagne), Igor Ivanov (Russie), Jack Straw (Royaume-Uni) et Colin Powell[10](États-Unis).
Texte du discours

Le texte in extenso se trouve sur plusieurs sites Internet[11]. Sa conclusion est le passage le plus fréquemment cité[12] :

    « Dans ce temple des Nations Unies, nous sommes les gardiens d’un idéal, nous sommes les gardiens d’une conscience. La lourde responsabilité et l’immense honneur qui sont les nôtres doivent nous conduire à donner la priorité au désarmement dans la paix.

    Et c’est un vieux pays, la France, d’un vieux continent comme le mien, l’Europe, qui vous le dit aujourd’hui, qui a connu les guerres, l’occupation, la barbarie. Un pays qui n’oublie pas et qui sait tout ce qu’il doit aux combattants de la liberté venus d’Amérique et d’ailleurs. Et qui pourtant n’a cessé de se tenir debout face à l’Histoire et devant les hommes. Fidèle à ses valeurs, il veut agir résolument avec tous les membres de la communauté internationale. Il croit en notre capacité à construire ensemble un monde meilleur. »

Analyse
Refus d’une guerre et préférence pour l’inspection

Dominique de Villepin exprime l’opposition catégorique de la France face à une éventuelle intervention militaire alliée contre l’Irak en l’état actuel de la situation. Il met en avant les résultats positifs des inspections des émissaires de l’ONU[4].
Remise en question des affirmations américaines

Villepin remet également en question l’affirmation de Powell selon laquelle il existerait un lien entre le régime irakien et Al-Qaïda, en se fondant sur les sources de la DGSE[13].

Quelques semaines plus tard, la guerre d’Irak est néanmoins déclenchée, emmenée par les États-Unis, sans aval de l’ONU.
Postérité
RéactionsAccueil positif

Le discours est applaudi par son auditoire, fait rare dans l’enceinte du Conseil de sécurité[2]. Pour certains auteurs, il s’agit du premier applaudissement dans cette enceinte où il est d’ordinaire de coutume de ne pas applaudir[14].

L’historien Henri Amouroux remarque que l’insistance de Dominique de Villepin sur le fait que « personne ne peut [...] affirmer aujourd’hui que le chemin de la guerre sera plus court que celui des inspections » sera vérifié dans les années suivantes, le conflit en Irak s’enlisant[15].

Dans son ouvrage How the French Think, Sudhir Hazareesingh souligne le caractère d’après lui « très français » de ce discours. Il est construit sur un rythme d’opposition binaire entre conflit et harmonie, intérêt privé et intérêt général, morale politique et politique de puissance ; il utilise des valeurs considérées comme universelles comme base d’une réflexion politique[16].
Tensions franco-américaines

Le discours provoque des tensions entre la France et les alliés des États-Unis[3]. Il accentue la rupture entre la France et le Département d’État des États-Unis, courroucé et inquiet par la revitalisation du camp opposé à la guerre par le discours de Villepin[17]. Il tend considérablement les relations entre Powell et Villepin, qui ne se rétabliront que l’année suivante[18],[19]. Afin de se venger de l’affront français, les États-Unis s’opposent à la nomination de Français dans les instances internationales et cessent d’inviter le chef d’État-major français à certaines réunions[9].
Article connexe

: Ressentiment antifrançais aux États-Unis#Guerre d’Irak.

Le discours lance une vague de francophobie aux États-Unis, alimentée par des ouvrages écrits par des conservateurs américains, tel que The French Betrayal of America en 2005[20]. Afin de réduire les tensions entre les deux alliés et faire comprendre aux Américains sa position, Jacques Chirac donnera ensuite une interview au Time[6].
Un moment marquant de la diplomatie française

Les chercheurs en relations internationales Jeremy Shapiro et Philip Gordon voient dans le discours de Villepin l’influence gaulliste du président Jacques Chirac[21].
Dans la culture populaire

Ce discours est considéré comme un moment fort de la politique étrangère de la France et apparaît à ce titre dans la culture populaire française. En 2005, Arnaud Fleurent-Didier le met en musique et le publie en ligne[22],[23]. La bande dessinée Quai d’Orsay (tome 2, 2011) et le film qui en est adapté (2013) y font aussi référence[24]. Il apparaît également dans des manuels de culture générale[4].

Dans son roman Les Saisons inversées paru en 2018, le diplomate français Renaud Salins Lyautey en donne une lecture plus critique :

    « [...] En contraignant un membre permanent du Conseil de sécurité à frapper en dehors de toute légalité internationale, nous [la France] allions créer un périlleux précédent. Il [Pierre Messand, diplomate français fictif du roman] se montrait particulièrement inquiet des leçons qu’en tirerait à l’avenir, par exemple, un autre membre permanent comme la Russie.

    [...] Personne n’a pu dissuader un membre permanent du Conseil de sécurité de s’en prendre à un petit pays. L’ONU a démontré sa totale impuissance. C’est un échec absolu du système de sécurité collective mis en place en 1945.

    [...] Turpin admit intérieurement qu’il n’avait jamais envisagé l’affaire irakienne sous cet angle. Jusqu’à cet instant, il avait toujours fait sienne l’idée répandue selon laquelle la France avait traité ce dossier avec panache et perspicacité. »

Notes et références

(en) Charles Sowerwine, France since 1870, Palgrave, 2018 (ISBN 978-1-137-40611-8, lire en ligne [archive]).
Frédéric Bozo, Histoire secrète de la crise irakienne : La France, les États-Unis et l’Irak, 1991–2003, Place des éditeurs, 2013 (ISBN 978-2-262-04353-7, lire en ligne [archive]).
Leah Pisar, Orage sur l’Atlantique: La France, les Etats-Unis face à l’Irak, Fayard, 2010 (ISBN 978-2-213-66064-6, lire en ligne [archive]).
Paul Saegaert, Une année de culture générale aux toilettes, Leduc.s Humour, 2015 (ISBN 978-2-36704-084-4, lire en ligne [archive]).
Olivier Biscaye, Bruno Le Maire, l’insoumis, Éditions du moment, 2015 (ISBN 978-2-35417-438-5, lire en ligne [archive]).
(en) Jacques Chirac, My Life in Politics, St. Martin’s Publishing Group, 2012 (ISBN 978-1-137-08803-1, lire en ligne [archive]).
(en) Jeffrey Eric Jenkins, The Best Plays Theater Yearbook, Limelight Editions, 2007 (ISBN 978-0-87910-346-0, lire en ligne [archive]).
Thierry Desjardins, Villepin, le cauchemar de Sarkozy, Fayard, 2012 (ISBN 978-2-213-66469-9, lire en ligne [archive]).
Gérard Araud, Passeport diplomatique : trente-sept ans au Quai d’Orsay, 2019 (ISBN 978-2-246-82111-3).
Françoise Boursin, « Dominique de Villepin et Colin Powell : Deux rhétoriques face à face », Communication et Langages, no 145,‎ 2005, p. 95–106 (DOI 10.3406/colan.2005.3361).
Sophie Guerrier, « Le discours de Villepin sur l’Irak à l’ONU », Le Figaro,‎ 8 avril 2014 (lire en ligne [archive], consulté le 27 janvier 2022).
« Citation de Dominique de Villepin [archive] », sur qqcitations.com (consulté le 27 janvier 2022).    Jeanne-Marie Barbéris, « Les moments, les lieux et leurs hommes : la construction d’un idiolecte en discours oral », Cahiers de praxématique, no 44,‎ 2005, p. 143–168 (DOI 10.4000/praxematique.1680, lire en ligne [archive]) : analyse des discours de Dominique de Villepin, de Colin Powell et de Jack Straw.

(en) Bruce P. Montgomery, Richard B. Cheney and the Rise of the Imperial Vice Presidency, ABC-CLIO, 2009 (ISBN 978-0-313-35621-6, lire en ligne [archive]).
(en) Peter Schmidt, A Hybrid Relationship: Transatlantic Security Cooperation Beyond NATO, Peter Lang Publishing, 2008 (ISBN 978-3-631-57236-8, lire en ligne [archive]).
Henri Amouroux, Trois fins de règne, Metvox Publications, 2018 (ISBN 979-10-94787-46-5, lire en ligne [archive]).
(en) Sudhir Hazareesingh, How the French Think: An Affectionate Portrait of an Intellectual People, Penguin Books Limited, 2015 (ISBN 978-0-14-197480-4, lire en ligne [archive]).
(en) Ofira Seliktar, The Politics of Intelligence and American Wars with Iraq, Springer, 2008 (ISBN 978-0-230-61040-8, lire en ligne [archive]).
(en) Karen DeYoung, Soldier, Knopf Doubleday Publishing Group, 2006 (ISBN 978-0-307-26593-7, lire en ligne [archive]).
(en) Time, Time Incorporated, 2003 (lire en ligne [archive]).
(en) Kenneth R. Timmerman, The French Betrayal of America, Three Rivers Press, 2005 (ISBN 978-1-4000-5367-4, lire en ligne [archive]).
(en) Philip Gordon et Jeremy Shapiro, Allies At War, McGraw Hill Professional, 2004 (ISBN 978-0-07-144690-7, lire en ligne [archive]).
Martin Cazenave, « Arnaud Fleurent-Didier met De Villepin en musique », Les Inrockuptibles,‎ 15 avril 2005 (lire en ligne [archive], consulté le 27 janvier 2022).
[vidéo] « Arnaud Fleurent-Didier – Un monde meilleur… (14 février 2003, discours à l’ONU) [Extraits [archive]] », sur YouTube.

    (en) FilmInk Digital July 2014 v9.31: Australia’s Best Movie Magazine, FilmInk, 2014 (lire en ligne [archive])

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jacques halbronn La Vie Astrologique . Les Congrès régionaux (1976 -2025)

Posté par nofim le 9 mai 2025

 jacques  halbronn  La Vie Astrologique . Les Congrès  régionaux (1976 -2025)

La  tradition des congrès régionaux doit beaucoup au MAU lequel  engagea très tôt une politique de décentralisation, au lieu de tout polariser sur Paris. Saluons les initiatives de la FDAF de poursuivre dans cette voie.  On énuméra (sans souci d’exhaustivité)  de mémoire, tous les lieux de rencontre  régionale proposés, suscités par jacques  Halbronn : 1976 Reims, 1978 Lille, Saint Maximin, 1979  Genéve, Nice, Lumbin,  1980 Strasbourg, Bruxelles, 1981 Luxembourg, Londres, 1982, Athènes,  Toulouse et Metz, 1983  Tournai, 1984 Lyon, 1985 Orléans, 1986 Amiens, 1990 Rouen, 1991  Montluçon, 1992  Angouléme, 1993,  1994, Tel Aviv, Dijon 2009 Montréal, 2011  Toulouse, 2013-2014  Reims, Lille, Nantes, Le Havre. Tous ces colloques ont été l’expression du rayonnement de l’astrologie  francophone, outre, bien entendu, ceux que nous organisâmes à Paris  de 1975 à 1995  puis en 2004, 2007 (avec nombre d’enregistrements vidéo à l’appui).  Il est vrai que le distantiel  a parfois découragé le présentiel mais il est bon que la FDAF n’oublie pas cette dimension de la rencontre.

Le Colloque de Lille  qui se présente en ce mois de Mai,  marche sur nos pas. En ce qui concerne son thème, on peut sérieusement regretter de ne pas avoir été invité par la FDAF à présenter nos travaux en Astrologie Septennale.

 

 

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6 févr. 2025 — Comment va le monde ? Samedi 24 mai 2025. Lille – 9h à 18h. Congrès Régional. Les conférences qui rythmeront ce congrès seront présentées par.
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8 réactions · il y a 3 mois
 
Le prochain congrès régional FDAF aura lieu en présentiel à Lille le samedi 24 mai 2025. Comment va le monde ? Regards croisés de 6 …

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Comment va le monde ? – Congrès Régional FDAF


Mahn – Astrologie
https://www.astrologie-mahn.com › évènement › comm…
 
… fdaf-federation-des-astrologues-francophones/evenements/comment-va-le-monde →. Date et heure. 24/05/2025 à 24/05/2025. Lieu. Lille. Types d’évènements

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