Type planétaire et cyclicité : le débat
Posté par nofim le 29 août 2013
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Posté par nofim le 29 août 2013
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Posté par nofim le 29 août 2013
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Posté par nofim le 29 août 2013
« Je n’ai pas trouvé dans la nature (c’est-à-dire dans le ciel et non sur terre où vous dites qu’il faut chercher avant de trouver l’équivalent au ciel) de témoignage de l’existence d’un tel cycle naturel de 7 avec un nom propre donné par les anciens. Par contre il existe l’alternance entre vaches grasses et vaches maigres qui justement ne s’apparentent pas au type que vous posez. »
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Posté par nofim le 29 août 2013
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Posté par nofim le 29 août 2013
Je vois bien que vous voulez être en somme le Descartes de l’astrologie en tentant de lui appliquer sa méthode de la mise entre parenthèses de tout ce qui n’a pas été démontré et donc définissant l’astrologie comme la conception cyclique de toute temporalité vous cherchez le cycle universel premier et vous faites l’hypothèse qu’il doit s’agir d’une période récurrente de 7 années au cours de laquelle un signal qui est à son commencement s´épuise progressivement jusqu’à ce qu’un autre lui succède et ensuite cherchant dans les phénomènes célestes quel cycle pourrait correspondre à cette durée, vous ne voyez que le rapport entre la durée de la révolution sidérale de Saturne avec ses conjonctions à 4 étoiles royales, chacune d’entre elles représentants un de ces signaux allant à l’épuisement. Mais ce faisant, vous ne pourrez aboutir pour l’astrologie, si toutefois l’entreprise pourrait aboutir à un résultat, qu’à ce qu’a abouti la méthode cartésienne, c’est-à-dire à l’insertion de l’astrologie dans cette conception du monde plate, sans profondeur et dépourvue de sens transcendant qui est celle de la science moderne. Pour reprendre ce qu’a écrit Gilbert Durand, “un signal prévient simplement de la présence de l’objet qu’il représente” (Gilbert Durand, L’imagination symbolique, PUF, 1964). On n’a donc là ni signifiant ni signifié.
On se demande quel objet de la vie des sociétés humaines ou quel phénomène naturel terrestre sans cesse répété on pourrait rapporter à ce signal dont les anciens auraient pris conscience puisque vous affirmez, dans l’optique de la thèse qui vous est si chère de l’instrumentalisation des phénomènes célestes aux fins des buts humains sociaux et en rapport avec les phénomènes naturels terrestres que vous dites plus facilement lisible par l’homme que les célestes. Je vous cite : “Ce qui est clair, c’est que les humains sont aptes à analyser le monde d’en bas infiniment mieux que le monde d’en haut qui ne saurait être un point de départ.” Je comprends bien d’ailleurs que vous inversiez le précepte d’Hermès car c’est dans la logique de votre théorie de l’instrumentalisation. D’ailleurs vous ne faites pas que l’inverser, vous la tronquez car dans “Ce qui est en bas, est comme ce qui est en haut; et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, pour faire les miracles d’une seule chose ”, il est évident que le point le plus important est l’unité c’est-à-dire le “pour faire les miracles d’une seule chose”. Et cela veut dire que ni le terrestre ni le céleste au sens des cieux visibles ne sont premiers dans ce qui fait le principe des sciences hermétiques, donc de l’astrologie. Il est évident que rien de naturel, ni terrestre ni céleste au sens indiqué à l’instant, d’une durée de 7 ans ne pourra être décelé. La seule chose qui m’est venu à l’esprit en vous lisant c’est l’alternance des vaches grasses et des vaches maigres, mais cette thématique n’est le résultat d’aucune observation d’une récurrence constante (qui contredirait d’ailleurs votre thèse de répétition sans aucune distinction de différences entre les successives phases comme il n’y a aucune différence selon vous entre un jour et un autre, une semaine et les suivantes, entre chaque mois), sinon l’information par autre chose de la réalité de la vie sociale de l’homme mise en rapport avec les phénomènes naturels terrestres. Quelle autre chose, j’y viens bientôt. Mais avant je dirai qu’en fait dans les cycles de la nature observables de tout temps par l’homme il n’y a que le jour et la nuit (donc le 2), les quatre principales phases de la lune (donc à la fois le 4 et le 7), un certain accomplissement des possibilités des changement de la lune ou un certain retour du soleil à une position initiale qui devient ce qui peut être appelé année au cours de laquelle on observe des changements cycliques dans la nature qui conduit grosso modo à une division par 12, mais au-delà de la journée, de la semaine, des mois et de l’année, rien d’autre n’a trouvé de nom pouvant être inspiré par l’observation des phénomènes terrestres. Pour m’en tenir qu’à la période de 7 ans, elle n’a aucun nom sinon dans des applications politiques extrêmement pointues (septennat). Donc en toute rigueur, on ne pourrait l’appeler que semaine d’années par analogie. Si bien que si l’on voulait absolument suivre la voie que vous indiquez, les seuls phénomènes de départ desquels on devrait partir ne se rapportent qu’au soleil et à la lune e à leur rapport cyclique, comme tout l’indique de fait. On retrouve en effet les mesures lunaires et solaires dans toutes les périodisations existant dans les pratiques astrologiques qui sont parvenues jusqu’à nous, comme les demeures et maisons lunaires, les fridaires, les profections, les directions, les progressions, les révolutions. Il s’agit bien du cycle céleste universel et qui se confond avec les cycles universels terrestres du jour et de l’année, en passant par les mois et les saisons, réalisant une vision cyclique unique englobant unitairement ciel et terre et se démultipliant dans tous les autres cycles qui ne font que se modeler sur lui à différentes échelle de temps. J’en viens maintenant à ce qui en vérité informe tout cela, aussi bien les cycles terrestres que les célestes, des plus petits au plus grands, qui informe aussi bien la représentation de l’espace comme celle du temps, c’est évidemment les nombres, dans leur forme de nombres entiers c’est-à-dire l’expression de la quantité discontinue, qui est au-delà du temps et de l’espace et de l’humain (“Car Dieu a tout créé avec mesure, nombre et poids” : Sg 11, 20. ). Et il s’agit en quelque sorte encore de cycles car c’est au-delà de la temporalité ce qui lui donne forme et multiplicité, a partir des quatre premiers nombres, le un, le deux, le trois et le quatre, d’où tout est sorti, à commencer par les autres nombres et donc le 7 et le 12 qui sont à la base de l’astrologie, quoi que vous ne cessiez de répéter que ce n’est pas à son origine (vous venez encore de le dire dans une autre publication que je n’ai pas encore vraiment lue) ». |
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Posté par nofim le 29 août 2013
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Posté par nofim le 29 août 2013
Dans un texte intitulé « L’impossible oracle des étoiles », le (co) responsable belge d’Astroemail nous prend en parti en nous dotant d’un dessin amusant, dont on le remercie.
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