« Depuis son score rondelet aux européennes de juin dernier, l’essayiste est devenu l’homme providentiel des sociaux-démocrates à la française. S’associer à lui a valeur de manifeste : le retour de la gauche « de gouvernement », prête à enterrer définitivement l’alliance, par deux fois nouée, avec La France insoumise.
« Projet commun »
Les opposants d’Olivijacques halbronnn Le vrai rendez vous astrologique de la fin mars 2025er Faure au PS, à l’instar du maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, de la maire de Paris, Anne Hidalgo, de la présidente de la région Occitanie, Carole Delga, ou de l’édile de Vaulx-en-Velin, Hélène Geoffroy, rêvent maintenant tout haut à une « fédération » (ou « confédération ») de leur parti avec Place publique, pour mettre sur orbite un candidat commun à la présidentielle 2027.
De son côté, Raphaël Glucksmann avait longtemps évité de répondre publiquement aux sollicitations des socialistes. Préférant structurer son mouvement, qui ambitionne de monter en puissance et de s’autonomiser.
Mais, à l’occasion du congrès de Place publique le week-end dernier, le député européen a franchi le pas : « Nous tendons d’abord la main à nos partenaires socialistes », après « une campagne européenne qui a suscité l’enthousiasme ». « Créons une plateforme programmatique commune » ouverte « aux écologistes, sociaux-démocrates et humanistes qui le veulent », a-t-il proposé. « Un projet commun, une stratégie commune, un véhicule commun, pour gagner les élections municipales, législatives, présidentielles, régionales. »
Lors de meetings aux quatre coins de la France, pour la campagne des européennes qui avaient vu le PS et Raphaël Glucksmann faire cause commune, Olivier Faure et l’eurodéputé affichaient ostensiblement leur complicité. Mais la formation du Nouveau Front populaire, après la dissolution, avait rompu l’entente cordiale. « Glucksmann était fou furieux », estimant « s’être fait piéger » et que l’alliance des gauches avait été « négociée dans son dos », se souvient un maire proche du député européen.
Pourtant, aujourd’hui, les soutiens d’Olivier Faure assurent que les deux hommes ont des positions parfaitement compatibles. Il y a quelques jours, sur X, le premier secrétaire du PS a explicitement tendu la main à Raphaël Glucksmann, en expliquant avoir « demandé au Parti socialiste européen d’accueillir en son sein Place publique aux côtés du Parti socialiste ». « Maintenant, Glucksmann est devenu le point de rassemblement de tout le monde », relève, goguenard, le maire susmentionné.
Jusqu’à récemment, la question de l’alliance avec La France insoumise demeurait un obstacle indépassable entre les deux chefs de parti. L’essayiste assume depuis des mois la confrontation avec les troupes de Jean-Luc Mélenchon, quand Olivier Faure, au nom de l’unité, a longtemps rechigné à leur tourner le dos. Mais depuis le refus du PS de voter la censure, malgré les récriminations insoumises, les ponts sont coupés. D’autant plus qu’une candidature commune à l’élection présidentielle n’est plus d’actualité : le tribun de LFI, qui n’a rien perdu de ses ambitions, ne veut pas entendre parler de désignation collective ou de primaire inter-partis.
Reste que la coalition entre les principaux partis de gauche hors LFI, comme voulue par Olivier Faure en vue de la présidentielle, demeure une gageure tant les positions d’un bord à l’autre de ce spectre sont rarement compatibles. »
La présence de Saturne dans l’un des 4 signes cardinaux, quels qu’ils soient, marque en effet la dénonciation d’alliances artificielles et d’ailleurs cela vaut aussi pour les relations entre Donald Trump et ses « alliés »/
« Trump a vidé l’OTAN de ce qui fait la force d’une alliance de défense collective : la fiabilité »
Alors que le président républicain aurait pu jouer le rôle d’un honnête médiateur entre l’Ukraine et la Russie, il a choisi d’abandonner l’agressé et de se rendre à la raison de l’agresseur, note, dans sa chronique, Alain Frachon, éditorialiste au « Monde ».
Publié le 06 mars 2025
En quelques semaines, Donald Trump a torpillé l’Alliance atlantique. Il a démoli politiquement le pacte de défense collective qui unissait Américains et Européens depuis 1949. Les Etats-Unis n’entendent plus appuyer leurs alliés dans la défense de l’Ukraine. Face à l’agression, ils sonnent le retrait, la paix aux conditions de Moscou. Si l’on comprend bien le raisonnement stratégique qui sous-tend cette décision, Washington estime que la solidarité transatlantique ne sert plus ses intérêts : la priorité n’est pas le sort de l’Ukraine, mais la normalisation avec la Russie de Vladimir Poutine.Les trésors d’amitié accumulés soixante-quinze ans durant, la densité des échanges économiques de part et d’autre de l’océan, l’appartenance commune – jusqu’à présent – au camp des démocraties libérales, la gratitude des Européens pour la victoire de 1945, envolé tout cela. Pas de sentiment, pas de mémoire commune et surtout pas de morale quand il s’agit de conclure un deal avec le Kremlin. Il en ira de même quand Trump en passera un autre, de deal, avec la Chine de Xi Jinping. Les Etats sont des monstres froids. Le général avait raison : un jour, les Américains partiront, disait de Gaulle. Un jour, l’ordre du monde changera. Nous y sommes. »
En 1989 avec Saturne dans le signe cardinal du Capricorne, ce cela avait été l’éclatement du Pacte de Varsovie, à l’Est/ Le fait que Saturne ait été conjoint à Neptune n’a strictement joué aucun rôle, pas plus qu’actuellement en 2025. C’est une fausse piste!
« L’éclatement du Pacte de Varsovie
« Ce chapitre s’efforce de retracer les signes perceptibles des racines de la crise que connaît aujourd’hui le Pacte de Varsovie. Il n’est qu’à remonter au débat sur le déploiement des missiles nucléaires à moyenne portée, caractéristique du milieu des années 1980, pour comprendre les tensions, existant alors de façon latente, entre Moscou et les pays d’Europe de l’Est. L’arrivée de Mikhaïl Gorbatchev au pouvoir et l’extension de la Perestroïka au-delà des frontières soviétiques aggravèrent ces dernières en mésestimant l’ardeur des aspirations nationales : dans les deux cas, les espoirs du Kremlin d’utiliser les Membres non soviétiques du Pacte de Varsovie (MNSPVs), afin d’influencer l’Europe de l’Ouest et d’en tirer profit, se sont retournés contre lui.
Pendant inévitable du processus de restructuration de l’empire soviétique, l’effondrement progressif de la Doctrine Brejnev a permis le déroulement pacifique, à l’exception du cas roumain, des « révolutions » ayant marqué 1989. Face à ce que l’on pourrait appeler « l’Automne des Nations », par analogie au Printemps des Nations du XIXe siècle, le Pacte de Varsovie fut en un premier temps le théâtre d’une vague de mesures unilatérales en matière de contrôle des armements, symbolisant parfaitement l’avidité d’indépendance et de souveraineté des pays d’Europe de l’Est, ou plus exactement d’Europe centrale et des Balkans… Dans une dernière section, ce chapitre tente, après avoir décrit, précisément, le renouveau des particularismes régionaux, de mesurer les conséquences d’un tel phénomène sur l’avenir de l’Organisation du Traité de Varsovie, même si celui-ci continue de dépendre, d’une façon ou d’une autre, de Moscou »…
SATURNE ET NEPTUNE EN BELIER

Annie BEULIN
« Neptune entre en Bélier dès le 30 mars et Saturne le 25 mai. Première incursion de quelques mois avant de rétrograder et revenir en Poissons : le 1 er septembre pour Saturne, le 22 octobre pour Neptune. La prochaine conjonction se fera sur le 1 er degré du Bélier en février 2026.
Nous sommes donc actuellement dans la toute fin de la phase balsamique du cycle qui a débuté en novembre 1989, en parfaite synchronicité avec la chute du Mur de Berlin. Moment de faire la synthèse et le bilan de ce cycle de 35 ans, au niveau collectif et personnel, pour préparer une nouvelle aventure sous l’égide de Mars en 2026. »