jacques halbronn Astrologie septennale et conscience de la relativité du temps.

Posté par nofim le 9 mars 2025

jacques  halbronn  Astrologie septennale  et la conscience de la relativité du temps. 

 

Comme on dit, « chaque chose en son temps »  et selon l’Ecclesiaste,  il  y  a un temps pour tout, ce qui signifie que l’on ne peut agir n’importe comment, à n’importe quel moment. On pense aussi à l’impératif  right time, right place, right man. Autrement dit, toute action doit respecter une certaine structure objective du temps, elle peut être opportune à un moment donné et ne plus l’être à un autre moment, ne plus être en adéquation, « ad hoc ».

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« Ad hoc est une locution latine qui signifie pour cela. Elle s’emploie pour qualifier ce qui convient parfaitement à une situation, à un usage, à un moment précis. » On ne saurait donc reprocher à quelqu’un de ne pas rester figer sur une position qui n’est plus « relevante ». Le « plus » est ici très significatif.  Comme on  dit, avant l’heure, ce n’est pas l’heure, après l’heure, ce n’est plus l’heure. Il n’est plus temps, le délai, l’échéance sont dépassés/ Ce qui indique que notre astrologie comporte un compte à rebours, que le temps imparti n’est pas extensible à volonté. Il y a là une morale, une éthique du temps qui s’incarne dans le droit constitutionnel. Il y a un temps pour se faire élire et un temps pour gouverner, il y a un temps où l’on est dans l’opposition et un temps où l’on accède au pouvoir. Mais notre astrologie entend bien apporter un soubassement scientifique au balisage du temps de la Cité et c’est probablement ce qu’il est devenu urgent d’instaurer désormais 

 

 

 

 

 

 

JHB  09 03 25

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jacques halbronn Théologie. Astrologie. Droit. Du respect des échéances dans la Cité

Posté par nofim le 3 mars 2025

jacques  halbronn  théologie. Astrologie. droit Du respect des échéances dans la  Cité.

 

  Dans le judaisme, on insiste nettement sur la nécessité d’observer les « mitzwoth » (d’où la cérémonie  de la Bar Mitzwah). Le Shema Israel  reprend le verbe commander sans parler des X Commandements (exposés dans le Pentateuque)

sur le  web:

Verbe « Commander » en hébreu

létsavot / métsavèh / tsivah

    צִיוָּוה / מְצַוֶּוה / לְצַוּוֹת

 

 Le probléme, c’est que l’on a perdu  le   référentiel concerné, il s’est en quelque sorte égaré et l’on se contente de succédanés, d’ersatz de substitution, cela vaut notamment pour les calendriers constitutionnels lesquels fixent des échéances, des  délais  de tant d’années pour tel mandat, telle législature. Il est impératif de respecter ces instructions, comme dans le cas du paiement des loyers, à une certaine date, ce qui est sanctionné, le cas échéant, par une clause résolutoire de dissolution du bail.

Dans le cas du judaisme, il est question de son « observation » (Shomrey (gardiens) Shabbat) de telle heure à telle heure, entre le vendredi et le samedi, d’une tombée de la nuit à la suivante, avec l’apparition des premières étoiles.  Malheureusement, les jours de la semaine constituent une tradition probablement arbitraire et fluctuante.

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« Dans la civilisation romaine, les noms des 5 planètes du système solaire étaient aussi les noms de dieux importants. Les Romains ont décidé de nommer chaque jour à partir d’un astre errant. L’origine des jours de la semaine en France est donc romaine. »
En s’éloignant , se démarquant, de l’astrologie (cf entre autres un Maimonide,  voir notre ouvrage « Le monde  juif  et l’astrologie. Formation  et  fortune » Ed Arché 1985) le judaisme moderne, épousant les querelles modernes à son propos,  se sera privé dramatiquement d’un champ de recherche aux retombées théologiques  majeures. Or, le chapitre Ier  de la Genése où il est dit que Dieu créa le Cie (Shamayim)l ET la Terre (Eretz)
déclare expressément toute l’importance à accorder aux signes(Ot) célestesוְהָיוּ לְאֹתֹת וּלְמוֹעֲדִים, וּלְיָמִים וְשָׁנִים , au quatrième  jour. Le  but est d’éclairer la Terre  לְהָאִיר עַל-הָאָרֶץ

 

יד וַיֹּאמֶר אֱלֹהִים, יְהִי מְאֹרֹת בִּרְקִיעַ הַשָּׁמַיִם, לְהַבְדִּיל, בֵּין הַיּוֹם וּבֵין הַלָּיְלָה; וְהָיוּ לְאֹתֹת וּלְמוֹעֲדִים, וּלְיָמִים וְשָׁנִים.  14 Dieu dit: « Que des corps lumineux apparaissent dans l’espace des cieux, pour distinguer entre le jour et la nuit; ils serviront de signes pour les saisons, pour les jours, pour les années;
טו וְהָיוּ לִמְאוֹרֹת בִּרְקִיעַ הַשָּׁמַיִם, לְהָאִיר עַל-הָאָרֶץ; וַיְהִי-כֵן.  15 et ils serviront de luminaires, dans l’espace céleste, pour éclairer la terre. » Et cela s’accomplit.
טז וַיַּעַשׂ אֱלֹהִים, אֶת-שְׁנֵי הַמְּאֹרֹת הַגְּדֹלִים:  אֶת-הַמָּאוֹר הַגָּדֹל, לְמֶמְשֶׁלֶת הַיּוֹם, וְאֶת-הַמָּאוֹר הַקָּטֹן לְמֶמְשֶׁלֶת הַלַּיְלָה, וְאֵת הַכּוֹכָבִים.  16 Dieu fit les deux grands luminaires: le plus grand luminaire pour la royauté du jour, le plus petit luminaire pour la royauté de la nuit, et aussi les étoiles.
יז וַיִּתֵּן אֹתָם אֱלֹהִים, בִּרְקִיעַ הַשָּׁמָיִם, לְהָאִיר, עַל-הָאָרֶץ.  17 Et Dieu les plaça dans l’espace céleste pour rayonner sur la terre;
יח וְלִמְשֹׁל, בַּיּוֹם וּבַלַּיְלָה, וּלְהַבְדִּיל, בֵּין הָאוֹר וּבֵין הַחֹשֶׁךְ; וַיַּרְא אֱלֹהִים, כִּי-טוֹב.  18 pour régner le jour et la nuit, et pour séparer la lumière des ténèbres. Dieu considéra que c’était bien.
יט וַיְהִי-עֶרֶב וַיְהִי-בֹקֶר, יוֹם רְבִיעִי.  {פ} 19 Le soir se fit, le matin se fit, – quatrième jour.

 

Or, un tel « éclairage » doit être compris à tous les niveaux, comme c’est le cas du terme « éclairé »

 

web  être éclairé

Avoir des connaissances et du discernement ; témoigner de ces qualités ; sensé, avisé : Un homme éclairé. Avoir un avis éclairé. « 

On dit « Un  homme averti en vaut deux » 

Il s’agirait donc de restituer, de reconstituer, les bons (right) signes à suivre, ceux qui ont été fixés pour longtemps par quelque « plan  divin », celui de la Création en s’abstenant d’y déroger. Mais encore faudrait-il  en avoir connaissance alors que ce savoir se sera corrompu. du fait d’une certaine incurie.

Que dire de la constitution de la Ve République qui autorise le Chef de l’Etat à dissoudre l’Assemblée Nationale en en perturbant, ce faisant, les termes du calendrier initial alors même que l’on aura voulu, il  y a  un quart de siècle, aligner le mandat présidentiel sur les législatures d’une durée de 5 ans (Quinquennat)?

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« Le président a le pouvoir de dissoudre l’Assemblée nationale. La dissolution met fin au mandat des députés en fonction et entraîne l’organisation de nouvelles élections législatives. La dissolution ne peut pas être organisée dans certains cas :

  • dans l’année qui suit une précédente dissolution ;
  • lors de l’application des pouvoirs exceptionnels du président de la République (article 16) ;
  • quand la fonction de président de la République est exercée par intérim par le président du Sénat. » 
  • Les  astrologues eux mêmes, auront – depuis un demi  siècle – mis à mal le calendrier des échéances célestes, en renonçant à respecter le calendrier zodiacal des 12  « signes »  égaux et récurrents. (cf André Barbault. Les astres et l’Histoire, Ed  Pauvert, 1967) Avec l’Astrologie Septennale, nous  avons remis de l’ordre dans une astrologie à la dérive et le Droit Constitutionnel devrait tôt ou tard intégré cette donnée dans son calendrier et l’on pense notamment à  l’Union Européenne, actuellement dotée d’un nombre considérable de  ‘solutions », d’un pays à l’autre..

 

 

JHB 03 03 25

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jacques halbronn Droit et périodicité. La notion d’échéance.

Posté par nofim le 28 février 2025

jacques  halbronn   Droit  et périodicité.  la notion d’échéance.
Or, en  astrologie, la notion de périodicité selon une répartition égale, soit  un étalement régulier n’est pas toujours respecté. Il l’est très nettement en revanche en Astrologie septennale. On dira que l’astrologie est la science des échéances, des termes.   D’où l’importance de connaitre le calendrier des termes , c’est à dire du rythme imposé par le plan de la Création ( Genése I,1) Ce n’est pas le cycle solaire qui doit servir de référence mais le cycle saturnien, sur la base de 7 années. Ce n’est que tous les 7  ans, en effet, qu’il y a stricto sensu une « révolution », au sens astronomique du terme, cette acception ayant été transposée par les historiens (« révolution française » etc) Les centenaires d’un événement ne correspondent pas à un cycle céleste mais le jubilé (50 ans 7×7) est recevable/

 
« Tu compteras sept semaines d’années, sept fois sept ans, c’est-à-dire le temps de sept semaines d’années, quarante-neuf ans. Le septième mois, le dixième jour du mois tu feras retentir l’appel de la trompe ; le jour des Expiations vous sonnerez de la trompe dans tout le pays. Vous déclarerez sainte cette cinquantième année et proclamerez l’affranchissement de tous les habitants du pays. Ce sera pour vous un jubilé (יוֹבֵל) : chacun de vous rentrera dans son patrimoine, chacun de vous retournera dans son clan. »

Sur le  web; Echéance

« .− Date à laquelle un règlement est exigible ou à laquelle un engagement doit être satisfait. La première échéance du bail. Je vais la mettre en banque cinq ou six jours avant l’échéance pour éviter des frais d’agio ou d’escompte (Pagnol, Fanny,1932, III, 1, p. 170):

1. Les billets arrivaient à l’échéance, s’augmentaient d’une foule de renouvellements… A. Daudet, Les Rois en exil,1879, p. 210.
SYNT. L’échéance du 1erjanvier; le jour de l’échéance; carnet, livre d’échéances; à chaque échéance trimestrielle; les échéances de remboursement des emprunts; échéance proche, lointaine; venir à échéance; les effets venus à échéance; lettre arrivée à échéance.
− P. ext. Date à laquelle un événement doit arriver, qui marque la fin d’un délai. L’échéance éloignée de la récolte; les échéances de l’avenir. L’échéance du débarquement étant maintenant imminente (De Gaulle, Mém. guerre,1956, p. 220):

2. L’agonie est une échéance… Le connu devient abîme aussi bien que l’inconnu, et ces deux précipices, l’un où l’on a ses fautes, l’autre où l’on a son attente, mêlent leur réverbération. C’est cette confusion des deux gouffres qui épouvante le mourant. Hugo, L’Homme qui rit,t. 1, 1869, p. 128.
− Locutions

♦ À échéance. Dans un certain délai. M. Clemenceau est un Émile Ollivier à échéance de quatre ou cinq ans (Jaurès, Guêpier marocain,1914, p. 384).Giraud est, dès à présent, liquidé politiquement. Darlan sera, à échéance, impossible. Vous resterez seul (De Gaulle, Mém. guerre,1956p. 52).
♦ À échéance (+ adj.). À plus ou moins brève, longue échéance; à échéance plus ou moins lointaine; un effort de prévision à longue échéance; une politique foncière à brève échéance; condamné à brève échéance; une promesse à courte échéance; les prêts à courte échéance sont peu nombreux. Et maintenant, bien chère madame, je vous souris… c’est un sourire à longue échéance, vous pouvez n’y répondre que demain (Giraudoux, Lucrèce,1944, I, 8, p. 72).

Rem. Échéance désigne simultanément la date d’expiration d’un délai et le temps du délai lui-même.
B.− Ensemble des effets et dettes dont le règlement doit être fait à une date donnée. Une lourde échéance; faire face à ses échéances. Il m’a répondu [cria Nanaqu’il avait de trop fortes échéances. Il ne sort pas de ses mille francs par mois (Zola, Nana,1880, p. 40).Je te dis que j’ai une échéance dont je n’ai pas le premier sou (Cendrars, Bourlinguer,1948, p. 44).
Prononc. et Orth. : [eʃeɑ ̃:s]. Ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. 1. Ca 1220 escheance « succession, héritage » (Gautier de Coincy, Mir., éd. F. Kœnig, I Mir 25, 139), seulement au Moy. Âge; 2. 1678 « terme d’un délai » (La Fontaine, Fables, livre X, 15, 35). Dér. du rad. du part. prés. de échoir*; suff. -ance*. Fréq. abs. littér. : 390. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 418, b) 357; xxes. : a) 735, b) 667. Bbg. Pauli 1921, p. 96. »

 

 Le respect du Shabbat reléve d’un principe d’échéance lié à au jour de Saturne (Saturday) . Le nom hébraique (cf le Sefer Yetsira) de cette planéte est Shabtai.(cf Jacques Halbronn Au 7 e jour: la planéte Saturne (Shabtay) prend le relais de Dieu)

Sur le web

« Dans quel but devons-nous nous souvenir du jour du Sabbat ? La réponse est dans la Bible — Exode 20.8 (SEG) : « Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. »

À quel moment, selon l’Écriture, le Sabbat débute-t-il et prend-il fin ? La réponse est dans la Bible — Lévitique 23.32 (SEG) : « Dès le soir (…) jusqu’au soir suivant, vous célébrerez votre sabbat. »

À quel moment le soir débute-t-il ? La réponse est dans la Bible — Marc 1.32, RSV. « Le soir, après le coucher du soleil, on lui amena tous les malades et les démoniaques. »

Aucun travail ne doit être fait durant le Sabbat. C’est dans la Bible — Exode 20.9-10 (SEG) : « Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l’Éternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l’étranger qui est dans tes portes. » Notons que le Shabbat ne commence par à la tombée de la nuit – comme on le croit généralement- mais au lever du jour, le vendredi soir est appelé  « veille (Erev) du Shabbat »

 

Droit   constitutionnel  Toute constitution  fixe par avance un système d’échéance, un échéancier à respecter impérativement, par exemple, un renouvellement tous les 4 ans dans la constitution américaine, toujours en vigueur depuis la fin du XVIIIe siècle. En cas de décés ou de démission, le Vice -président prend automatiquement le relais sans qu’il soit nécessaire ni même possible de procéder à une nouvelle élection avant terme.

 

Droit  commercial  La  clause résolutoire dans les baux locatifs

   L’entrave à la périodicité  est à la base de la  justification d’une clause résolutoire dans les baux.. Elle concerne avant tout les échéances de loyer, les « termes » et tout rupture quant au rythme des versements  doit être sanctionné. On parle généralement du « terme » du loyer et du versement périodique de charges qui viennent s’y  ajouter, toujours  dans une dynamique de récurrence, de répétition.

A contrario, tout élément ne comportant pas une dimension périodique, cyclique, ne saurait compromettre sérieusement un tel agencement.

Sur le web

« Qu’est-ce que les charges locatives ?

 

En plus du loyer, le locataire s’acquitte d;e charges qui rassemblent les taxes locatives, les dépenses d’entretien courantes, les consommations d’eau et les petites réparations des parties communes. Ces frais sont avancés par le propriétaire mais remboursés par le locataire, qui règle chaque mois ou chaque trimestre une provision sur charges, dont le montant est basé sur les dépenses cumulées l’année précédente, c’est-à-dire sur les chiffres arrêtés lors de la précédente régularisation de charges ou sur le budget prévisionnel, si le logement est en copropriété. Le montant des charges doit être mentionné dans le contrat de bail de location. »

 

 

JHB 28 02 25

 

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jacques halbronn Importance of the Retrogradation of Saturn in Astrology Seven.

Posté par nofim le 12 février 2025

jacques  halbronn  Importance of the  Retrogradation of Saturn in Astrology Seven.

A  very convincing point to prove the value of this new type of Astrology has  to do with Retrogradation.

« A planetary retrograde is about how we see the orbit of other planets from our vantage point on Earth. From our perspective, these planets appear to be moving in reverse motion — moving backward through the zodiac. The length of each retrograde varies, as some happen for just three weeks and others for half a year »

In Astrology 7, such a phenomenon is not to be neglected. In any case, Saturn’s retrogradation is meaning ful  when it occurs at the frontier between two signs, that is two periods. If Saturn has entered a fixed sign, for instance and retrogrades in the previous mutable sign, that will interfere with the « natural » process of the cycle.   

One could even say that retrogradations are an excellent way/method to prove our astrology which is much more precise than other types. Let us repeat what is the impact of  each of the  thrée phases  starting from  the mutable period, then passing to the cardinal period and finishing with the fixed period.  The three periods are strongly  interconnected so that it is difficult to sustain which is the first of the three to begin with. On can start with  fixed Saturne, that is a time of hesitation, of disorientation, followed by  a mutable  Saturn,  which creates  a need of integration, of identification within a  group and finally  Saturn reaches a cardinal sign, which develops the ambition of becoming the center of the said group and afterwards, Saturne will  return to another fixed sign and so on, and so forth.

 

 

 

 

JHB  12/ 02 25

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jacques halbronn Théologie et Anthropologie. Avant et après l’INTERVENTION.

Posté par nofim le 29 décembre 2023

jacques  halbronn   Théologie et Anthropologie.   Avant et après l’INTERVENTION.

 

  Nous préférons employer le terme « intervention »  que Création car le terme Création ne laisse pas assez de place à ce qui a précédé. Or,  ce qui nous intéresse, dans le cadre de la théologie « restreinte », c’est le processus de reformatage et certainement pas l’idée de création ex  nihilo.(big bang de la cosmologie versus cosmogonie).  Le terme « intervention », en revanche, laisse clairement entendre qu’il y a eu un avant et un après, faute de quoi on glisserait dans  une forme de syncrétisme synchronique aux dépens d’une approche diachronique.

En ce sens, il existe pour nous une humanité « pré-adamique »  et les Juifs seraient le fer de lance d’une humanité adamique confrontée à la première qu’elle est vouée à dominer périodiquement mais qu’elle doit ménager selon le calendrier astrologique de 7 années en 7 années que nous avons décrit par ailleurs. Nous avons ainsi montré qu’il existait une astrologie d’avant l’Intervention  -celle décrite par Michel Gauquelin, dans les années cinquante du XXe siècle- et une autre inhérente à la dite Intervention – celle que nous avons décrite et qui en diffère sensiblement, l’une étant de type darwinien, marquées par une adaptation à un certain environnement alors que l’autre est marquée par une programmation rigoureuse, une (re) formatisation  architecturale, dument planifiée. En son premier chapitre, qui ouvre toute la Bible,  Le Livre de la Genése, selon nous, évoque à sa façon une telle dualité, un tel contraste. Certes, l’on pourrait comprendre le mot Ciel ( Shamyim) comme englobant la totalité de l’univers  mais nous pensons que le binome « le ciel et la terre » permettent de constituer une théologie que nous qualifions de restreinte, à savoir que le ciel en question ne viserait que notre systéme solaire  formant binome avec notre terre. Et d’ailleurs, si l’on refusait une telle lecture, il faudrait se demander qui a créé ce « Dieu ». D’ailleurs, dans la Kabbale, on parle du Sefer Yetsira, du livre de la Formation.

א בְּרֵאשִׁית, בָּרָא אֱלֹהִים, אֵת הַשָּׁמַיִם, וְאֵת הָאָרֶץ.  1 Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre.
ב וְהָאָרֶץ, הָיְתָה תֹהוּ וָבֹהוּ, וְחֹשֶׁךְ, עַל-פְּנֵי תְהוֹם; וְרוּחַ אֱלֹהִים, מְרַחֶפֶת עַל-פְּנֵי הַמָּיִם.  2 Or la terre n’était que solitude et chaos (Tohu  Bohu); des ténèbres couvraient la face de l’abîme, et le souffle de Dieu planait à la surface des eaux.
ג וַיֹּאמֶר אֱלֹהִים, יְהִי אוֹר; וַיְהִי-אוֹר.  3 Dieu dit: « Que la lumière soit! » Et la lumière fut.

 

 Cette notion d’intervention, nous l’appréhendons à toutes sortes de niveaux dans le sens d’une interférence avec un développement « normal » d’une langue, d’un peuple qui se voient perturbés dans leur progression naturelle.  Tout colonisateur, tout envahisseur,  génére un impact « invasif » qui  vient changer le cours des choses.  La notion d’intervention que nous préférons à celle de création – laquelle prête à confusion- implique un avant et un après la dite intervention, ce qui constitue un point essentiel pour penser la diachronie. La théologie adamique est axée sur cette idée d’Intervention et plutôt que de diviser le temps entre un avant et un après JC,il serait plus valable de parler d’un temps avant et après l’Intervention, même, si l’on n’est pas en mesure de préciser à quel moment exactement celle-ci a pu avoir lieu.

 

 

 

 

 

 

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jacqies halbronn La dialectique Géographie (espace) -Histoire ( temps)

Posté par nofim le 24 octobre 2023

jacqies halbronn    La  dialectique  Géographie (espace) -Histoire ( temps) 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  24 10 23

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jacques Halbronn Le premier passage en pleine conscience de l’axe Fomalhaut- Régulus

Posté par nofim le 29 décembre 2022

jacques Halbronn  Le premier passage en pleine conscience de l’axe Fomalhaut- Régulus

 

Nous avons récemment annoncé notre retour aux 4 étoiles fixes royales,une piste que nous avions fini par abandonner.(cf 

JACQUES HALBRONN : APPRENDRE A PENSER « SOLEIL https://ericlenouvel.wordpress.com › jacques-halbronn-…) 

 A un certain stade de notre réflexion, nous avions envisagé que ces étoiles fixes avaient pu laisser la place à d’autres, du fait de la précession des équinoxes.  Nous avions pris connaissance de l’approche de Dane Rudhyar (cf Alex Ruperti. La montée vers le Verseau,  dans notre collectif de 1979 Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau, Ed Albatros, pp. 321  et seq). Rudhyar accordait ainsi une certaine importance au fait que Régulus avait quitté le signe du lion, en tropique, pour  celui de la Vierge, ce qui valait pour les autres étoiles fixes royales, toute passée des signes fixes aux signe mutables, Aldébaran et Antarés se situant désormais en Gémeaux et Sagittaire.
Or, récemment, nous avions signalé que pour nous le début des saisons correspondait non pas à la croix cardinale mais à la croix mutable, d’où l’importance que nous accordions au passage de Saturne alternativement sur l’axe Gémeaux Sagittaire et sur l’axe Vierge Poissons, en signes tropiques.  Nous indiquions même il y a peu que le fait que le mois de février comporte un jour supplémentaire en année bissextile – mois où débute le signe des poissons- validait l’idée selon laquelle le véritable point vernal se situait sur l’axe vierge poissons.  La boucle était bouclée. Il ne nous restait plus qu’à raccorder cet axe avec la binome Régulus-Fomalhaut correspondant à l’axe vierge-poissons. 
Nous allions être amenés à  prendre au sérieux l’existence d’un calendrier à grande échelle sur près de 26. 000 ans, tel que largement exposé par nos nombreux collaborateurs dans « Aquarius », ensemble de plus de 400 pages, notamment chez Fernand Schwarz et Robert Amadou ou encore Jean-Charles  Pichon.
cf notice wikipedia:
« La précession des équinoxes est le décalage progressif de la direction où sont vues les étoiles, d’un siècle à l’autre, à raison d’une rotation complète, tous les 26 000 ans environ, effet produit par un lent changement de direction de l’axe de rotation de la Terre, dans la même durée. » 
Nous dirons que tous les 6000 ans environ les axes des fixes royales coincide avec l’un ou l’autre des axes saisonniers de notre Terre. Or, nous sommes actuellement à l’un de ces moments clef puisque l’axe équinoxial se superpose, en quelque sorte, à la polarité Régulus-Fomalhaut à 0° des signes tropiques de la vierge et des poissons.
Mais, un autre facteur entre ici en jeu à savoir que cela fait certainement une éternité que notre Humanité pourra franchir ce cap en toute conscience, du fait de l’importance accordée par nos soins à la planéte Saturne  Nous avions certes publié, il y a près de 30 ans, une brochure  intitulée  » L’Astrologie selon Saturne » (, Ed La Grande Conjonction, 1994/1995) axée sur le passage de Saturne sur le signe des poissons  et même, par la suite, avions relié ce passage aux étoiles fixes royales.  En fait, ce délai est significatif puisque Saturne se retrouve dans la même configuration équinoxiale, qui est, selon notre Astrologie EXOLS, le retour à un respect des fondamentaux de l’Humanité, passant ainsi de la Subconscience à la Surconscience.
Désormais, il existe un certain nombre de personnes, sur nos réseaux, qui auront pris connaissance de ces lois et donc on peut dire que le passage de Saturne, dans quelques mois, sur l’axe stellaire et conjointement sur l’axe vernal revêt une signification toute particulière. Il est possible que soit en train de se déployer et d’aboutir un plan d’épanouissement de notre Humanité dont le seuil aurait été fixé de longue date pour l’an 2023. Notons aussi qu’en 1979 quand parut Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau, on entrait en phase équinoxiale, en poissons puis en bélier comme cela sera le cas pour les années à venir. Le Colloque qui avait servi de socle à ce volume s’était déroulé à l’automne de 1977.
Examinons les positions de Dane Rudhyar au sujet de Régulus en précisant que pour ce dernier ce n’était pas la constellation qui comptait mais une certaine étoile.(cf article de Ruperti, op. cit. p. 327) Il concluait à l’importance à accorder aux moments où  il y a une relation entre étoiles  fixes et point vernal  De fait; la thèse selon laquelle le point vernal entrerait dans une constellation zodiacale n’est guère acceptable car ce qui compte, c’est bien la relation entre deux points sur une base ternaire, triangulaire: une étoile, un axe saisonnier et une planéte. Rudhyar n’avait pas compris toute l’importance à accorder à Saturne mais s’était concentré sur la Lune qui est structurée cycliquement comme Saturne (28/7 jours/années).

 

 

 

 

jacques Halbronn  Le premier passage en pleine conscience de l'axe Fomalhaut- Régulus dans ASTROLOGIE POLITIQUE 51VSG934wjL._SX308_BO1,204,203,200_

Editions Albatros, L’autre Monde à Paris,1979, in 8 (24 x 15,5 cm), 411 pages. Illustration de 16 pages d’hors-texte en noir, et de graphiques dans texte. Couverture souple illustrée. +++++++ Ouvrage dans lequel une vingtaine de personnes familières du langage astrologique, s’interrogent sur la nature d’un de leurs concepts les plus importants, celui des ères en général, et de l’Ere du Verseau en particulier. Au sommaire : Le ciel sur la terre ou le mythe à l’histo

 

 

 

 

 

JHB  29 12 22

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jacques halbronn La cyclologie astrologique et les changements immédiats de phase.

Posté par nofim le 9 juin 2022

jacques halbronn   La cyclologie astrologique et les changements immédiats de phase. 

 

Dans notre brochure de 1994-1995, L’Astrologie selon Saturne, nous avions  déterminé des « fenêtres » à cheval  sur le point vernal, ce qui correspondait à l’idée d’un certain continuum d’une période à l’autre, impliquait l’existence d’une orbe  allant de la fin du signe des Poissons au début du signe du Bélier, à l’instar du glissement progressif d’une saison vers la suivante. Une telle approche nous apparait désormais insoutenable car précisément, le passage d’une phase à la suivante n’a rien de « progressif » mais serait plutôt à qualifier de « brusque », d’ »immédiat ». Dans un précédent article consacré à la « Révolution Française » (sur le même support  NOFIM.unblog.fr), nous avions souligné le contraste entre 1789 et 1791, du fait du passage d’une phase solsticiale à une phase équinoxiale. En 1789, Louis XVI restait au pouvoir, en 1791, ce fut la « fuite à Varennes »  suivie en 1793 de son éxécution. Il y a bien là deux temps contrastés.

On retrouve ce même contraste entre 1848 et 1849, soixante ans plus tard. En 1848, c’est le « printemps des peuples », expression typiquement solsticiale, qui n’est pas sans évoquer 1989 également liée à une phase solsticiale mais en 1989, c’était le début d’une telle phase de 7 ans, alors qu’en 1848, c’en est la fin et très vite ce sera la répression, avec le passage en 1849 à une phase équinoxiale,  plus favorable aux empires qu’aux nations. D’où notamment la répression avec le président Louis Napoléon Bonaparte, sous la Seconde République, avant le coup d’Etat de 1851 qui aboutira au Second Empire, le mot Empire étant à tonalité équinoxiale et ne respectant pas les clivages historiques nationaux.(cf  Ephémérides https://www.astro.com/swisseph/swepha_f.htm) 

De même avons nous récemment montré que 1995 était la fin d’une phase solsticiale et pas encore le début d’une phase équinoxiale, laquelle verra se mettre en place une nouvelle cohabitation en 1997.  Il est donc essentiel de bien séparer les deux phases et de souligner le caractère très marqué du passage d’une phase à une autre  et c’est justement ce basculement brusque qui prouve l’astrologie telle que nous la formulons vu que le paradigme en vigueur tendrait plutôt vers  une évolution progressive à l’instar du cycle saisonnier. Or, si le découpage en 4 temps du cycle planétaire fait  bien écho au dit cycle, cela ne signifie aucunement que sa dynamque soit du même ordre. Il y a là comme une sorte de « miracle astrologique » du fait même d’un tel basculement remarquable qui n’est pas sans évoquer le premier chapitre de la Genése avec le Fiat Lux:

 

 

א בְּרֵאשִׁית, בָּרָא אֱלֹהִים, אֵת הַשָּׁמַיִם, וְאֵת הָאָרֶץ.  1 Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre.
ב וְהָאָרֶץ, הָיְתָה תֹהוּ וָבֹהוּ, וְחֹשֶׁךְ, עַל-פְּנֵי תְהוֹם; וְרוּחַ אֱלֹהִים, מְרַחֶפֶת עַל-פְּנֵי הַמָּיִם.  2 Or la terre n’était que solitude et chaos; des ténèbres couvraient la face de l’abîme, et le souffle de Dieu planait à la surface des eaux.
ג וַיֹּאמֶר אֱלֹהִים, יְהִי אוֹר; וַיְהִי-אוֹר.  3 Dieu dit: « Que la lumière soit! » Et la lumière fut.
ד וַיַּרְא אֱלֹהִים אֶת-הָאוֹר, כִּי-טוֹב; וַיַּבְדֵּל אֱלֹהִים, בֵּין הָאוֹר וּבֵין הַחֹשֶׁךְ.  4 Dieu considéra que la lumière était bonne, et il établit une distinction entre la lumière et les ténèbres.
ה וַיִּקְרָא אֱלֹהִים לָאוֹר יוֹם, וְלַחֹשֶׁךְ קָרָא לָיְלָה; וַיְהִי-עֶרֶב וַיְהִי-בֹקֶר, יוֹם אֶחָד.  {פ} 5 Dieu appela la lumière jour, et les ténèbres, il les appela Nuit. Il fut soir, il fut matin, un jour.

 

 

 Le défaut de notre publication d’il y aura bientôt 30 ans, tient au fait que nous mettions de facto sur le même plan, une révolution des peuples se révoltant contre toute forme d’empire, de régime unique, et  celle visant à unifier et à dépasser les clivages, ce qui risque d’hypothéquer la précision et la pertinence des prévisions. En fait, les deux processus s’enchainent et le risque tient à une telle ambivalence, à un tel télescopage car les deux phases successives  se déploient en sens inverse!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  09 06 22

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Jacques Halbronn Temps indéfini ou temps cyclique?. Le cas de l’évenement unique à célébrer

Posté par nofim le 18 avril 2022

Jacques  Halbronn Temps indéfini ou temps cyclique? Le cas de l’événement  unique à célébrer.

 

Les débats actuels autour des enjeux électoraux révélent une sorte d’idéologie du temps indéfini, illimité. C’est ainsi que le référendum de 2005 est présenté comme exprimant une réponse définitive qui ne saurait être remise en question. C’est la position d’un Michel Onfray qui crie au scandale parce que les conclusions du dit référendum ont été réaménagées par la suite. Vox populi, vox Dei.

Lu dans la revue Front Populaire:

 

« Les 15 ans du « non » au référendum

Il y a quinze ans, le 29 Mai 2005, près de 55 % des Français rejetaient le projet de traité établissant une constitution pour l’Europe. Une formidable expression de la souveraineté nationale qui sera désavouée trois ans plus tard, lorsque députés et sénateurs adoptèrent le Traité de Lisbonne, au mépris de la volonté populaire ».

 

On entend  ainsi certains décréter qu’un réferendum devrait fixer des lignes pour le long terme alors même que le dit réferendum ne peut s’inscrire que dans une certaine conjoncture. Tout se passe comme s’il y avait la volonté de figer les choses une fois pour toutes et que l’important n’était pas tant ici le contenu que la forme.  Abordons à présent un autre sujet d’actualité, à savoir le « miracle » de la Résurrection de Jésus, présenté comme la pierre de touche du christianisme. Là encore,  un instant T  se voit doté d’un impact indéfini, ad vitam aeternam. A cette approche, nous opposerons celle de temps cyclique, à savoir l’existence d’une dialectique du flux et du reflux et le maintien de cette dialectique à travers le temps.

Or, la doctrine chrétienne nous présente la dite Résurrection pascale comme un événement inoui, unique en son genre, ce qui renvoie à l’idée d’un temps « indéfini ». Or, il semble bien que certaines religions étaient axés sur le retour d’un phénoméne récurrent, ce qui va à l’opposé du temps « indéfini », permanent, pérenne, constant. Le miracle, ici, est, selon nous, de l’ordre du recommencement, d’une attente d’une nouvelle manifestation.. 

Force est de constater que le christianisme s’est fixé sur un seul événement, non reproductible, qui est la Résurrection, le retour du monde des morts, ce qui nous oblige à survaloriser le dit événement sur la base de témoignages anciens. Imagine-t-on que l’on nous parle d’un phénoméne qui n’est pas censé se reproduire, et donc s’observer!

Jean Michel Castaing (aletheia) n’écrit-il pas :

« La résurrection de Jésus nous rejoint aujourd’hui parce qu’elle fut un événement réel, objectif, qui avait besoin de témoins pour prendre tout son sens. Les apôtres furent les témoins de cet événement qui bouleversa leurs vies – comme il peut transformer la nôtre dès maintenant.

« La Résurrection de Jésus est un fait objectif. Bien que l’événement n’eût aucun témoin et qu’il transcende nos cadres spatio-temporels habituels (par lui Jésus entre dans la vie divine), cependant il s’inscrit dans notre histoire. En effet, la Résurrection est arrivée à un moment bien précis du temps, et elle a touché une personne qui a vécu une existence terrestre »?

 

 

Pour nous, en tout cas, il s’agirait là d’un contre-sens théologique lequel ne saurait se dissocier d’un processus cyclique et donc reproductible, selo une certaine exigence épistémologique.  Ce qui a été sera. Un phénoméne ne saurait être cantonné au passé mais se doit d’être manifeste ici et maintenant. Prenons le cas du génie. Devrait-on se contenter d’évoquer des génies du passé? Heureusement, tel n’est nullement le cas et  chaque génération peut se glorifier d’un certain nombre de génies, de « justes » (selon la terminologie liée  à la discussion autour du sort de Sodome et Gomorhe. De même, toute naissance présente un caractère merveilleux et cela vaut pour la naissance de Jésus mais nous savons que le « miracle »‘ de la naissance est  constamment attesté et n’a pas à être célébré comme un évenement révolu. C’est d’ailleurs toute l’ambiguité du processus de  célébration, comme dans le cas de la Sortie d’Egypte, célébré à Pâques. Tout miracle est voué à se répéter  périodiquement, même si l’on peut essayer d’en déterminer la première occurence.   Par ailleurs, la grandeur d’un pays  ne saurait se réduire à quelque événement aussi remarquable serait-il mais exige des confirmations régulières sinon on bascule dans le « has been ».  Et d’ailleurs, cela deviendrait l’exception qui confirme la régle, ce qui montre bien que nous n’accordons de peu de crédit à ce qui ne peut se rééditer, comme dans le cas d’un sportif qui se glorifierait d’un exploit qu’il ne serait pas en mesure de renouveler.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  18 04 22

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Jacques Halbronn Epistémologie. Dialectique du visible et de l’invisible, de la source et de l’aboutissement

Posté par nofim le 28 mars 2022

Jacques  Halbronn  Epistémologie. Dialectique du visible et de l’invisible, de la source et de l’aboutissement 

 

 

 

 L’Humanité semble se diviser entre ceux qui s’attachent au visible  et ceux qui entendent explorer l’invisible. Entre les deux clans, un certain dialogue de sourds, entre démarche apologétique et démarche  archéologique.  Cette dialectique correspond au processus de procréation:  invisibilité de la conception et visibilité de la naissance (cf celle de Jésus et la représentation de la créche de Noël).

En ce qui concerne les défenseurs du « fait accompli », à savoir ceux qui sont persuadés que ce qui nous parvient est le fruit de toute une histoire dont il s’agirait de décrypter, d’interpréter le sens, il suffirait de prendre bonne note du résultat final qui nous est donné à voir à l’image d’un arbre qui n’aura cessé de pousser, de mûrir et dont il faut cueillir et recueillir les fruits.Le structuralisme peut être instrumentalisé dans ce sens, au nom d’une synchronie qui ferait peu ou prou fi de la diachronie;.  D’où la conviction chez la plupart des praticiens et des pratiquants qu’il faut s’en tenir au cours qui aura été suivi dans la longue durée d’autant qu’ils spéculent sur une certaine finalité (téléologie)

Inversement, ceux qui entendent restituer, reconstituer le plan d’origine, de départ – dont nous sommes -  adopteront une approche archéologique (cf l’archéologie du savoir de Michel Foucauld) et auront pour but de faire apparaitre les principes, les fondements, le plan premier qu’il s’agisse de la genése d’une langue, de la formation d’une tradition, d’un corpus, d’une oeuvre etc. On quitte alors la proie du visible pour l’ombre de l’invisible.  Selon nous, la mission du philosophe reléverait de ce dernier cas de figure, ce qui passe par une décantation, un élagage: on sépare le bon grain de l’ivraie.

Nous avons, pour notre part, rencontré bien des résistances dans le domaine des recherches linguistiques. Un de nos mémoires(Université Paris V) fut rejeté en 1989 du fait d’un  rapport  de  Hayim Vidal Sephiha (1923-2019) – pour ne pas le nommer- car notre propos était de restituer l’agencement originel d’une grammaire, quant à sa symétrie, sa cohérence initiale.  Nous avons en effet la faiblesse de croire qu’au commencement d’une entreprise, d’une construction, il y a une volonté d’harmonie, d’équilibre, de logique qui risque fort de se dégrader au fil du temps et que l’historien aurait pour tâche de retrouver; De même, nous avons dénoncé divers effets du syncrétisme consistant à vouloir harmoniser après coup, ce qui est disparate, hybride, notamment en ce qui concerne l’astrologie, la Bible, les Centuries de Nostradamus.

Nous pensons au défunt Patrice Guinard (1957-2021) qui s’evertua au cours de ses dernières années (sur son site CURA.free.fr), à démontrer que la succession- fort aléatoire- des éditions des Centuries correspondait rigoureusement  au projet initial de l’auteur (1503-1566), retardant ainsi d’autant un consensus autour de notre critique nostradamique.(cf notre post doctorat, EPHE  2007) Au fond,  rien à entendre les avocats d’un aboutissement final, d’une consécration terminale, ne serait dû au hasard, à l’emprunt, à la contrefaçon, à l’antidatation. Tout ferait sens!  On observe que dans les deux cas de figure, il y a  quéte d’harmonie, que ce soit  a priori ou a posteriori. On pourrait rapprocher ces deux « écoles » des notions d’équinoxialité  pour l’évolutive et de solsticialité pour l’involutive.(Astrologie EXOLS)

 

 

 

 

JHB  28 03 22

 

 

 

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