Le début et la fin des temps au prisme de la Genése

Posté par nofim le 22 février 2014

Cyclcicité et fin des temps. L’homme-dieu.

Par Jacques  Halbronn

 

 

Il y a un dilemme dans la vie : plus je suis autonome, libre et plus je risque de me retrouver seul. Mais comment une société pourrait-elle fonctionner sans connexions entre ses membres ? L’homme n’est –il pas appelé « zoon politicon » (en  grec), un être fait pour la Cité ? Les ermites seraient-ils l’idéal de l’Humanité ?

Dans divers textes consacrés à l’économie, nous avons montré que la relation employeur/employé était suspecte. Or c’est par un tel biais que nous socialisons quand nous faisons appel à autrui et vice versa. On peut penser que la notion de grégarité est une invention de ceux dont  le pouvoir est plus collectif (démos) qu’individuel. (Auto).

De fait, plus nous refusons les cloisonnements, plus nous nous isolons car cela signifie que nous n’avons pas besoin d’autrui au prétexte de nos limitations supposées. A mesure que nous renvoyons ceux qui sont venus nous aider, en échange de quelque récompense/compensation, nous sommes de plus en plus seuls. Mais à l’intérieur de nous –mêmes, quelle dynamique ! En fait,  la multiplicité chez un homme accompli se situe dans le temps et non dans l’espace. L’homme n’a pas le don d’ubiquité, sinon par procuration alors qu’il a celui de  passer d’un stade à un autre, et ce sans avoir à se faire remplacer, représenter par quelque délégué, député.

Reposons-nous donc la question : de combien de bataillons l’Humanité doit-elle disposer ? La réponse pourrait être qu’une seule personne serait en mesure de perpétuer l’Humanité si elle était immortelle. Ce serait une sorte de Dieu, au fond. Et tout homme qui emprunte ce chemin solitaire se rapproche de la divinité.  Mais à l’instar de Dieu, il sera tenté de rechercher quelque compagnie, ce qui lui permet de ne pas craindre de  mourir. Dieu aurait-il fait la Création par peur de mourir ou pour pouvoir se reposer (comme au Septième jour (Shabbat, Livre de la Genèse ? nous pensons en effet que la seule justification de l’appel à autrui est le sentiment de la « fin ». L’approche de la Fin conduit à chercher un prolongement, un remplaçant. Le pressentiment de la fin est la seule bonne excuse pour  faire appel à autrui et la procréation n’est-elle pas fonction de cette crainte de la Mort (Camus) ?

En ce sens, chacun d’entre les hommes serait virtuellement le centre d’un monde à lui tout seul (monade, Leibniz) ; serait un soleil autour duquel graviteraient un certain nombre d’êtres ou d’objets (la différence entre les deux n’étant pas nécessairement évidente dans le cas des androïdes) qui composeraient sa « Cour », son « Cercle ».

Certaines personnes  n’arrivent pas à comprendre qu’au plus haut niveau, chercher une compagnie est un signe de faiblesse, un pis-aller et non pas un idéal. D’ailleurs, dans le domaine alimentaire, un produit parfait n’a besoin d’aucun « accompagnement », d’aucune addition.

Il est un domaine où cette problématique de l’un et du multiple divise singulièrement les esprits, c’est celui de la mythologie et de  la cyclologie (cf. nos travaux sur l’Astrocyclon). Le monothéisme correspond à note représentation à l’encontre du polythéisme. Ce qui nous semble erroné c’est de chercher à distinguer les dieux entre eux puisque chaque dieu est censé être une totalité. Dès lors qu’un dieu a une fonction spécifique, il n’est plus dieu ou du moins il n’est qu’un avatar, l’expression d’une  série de manifestations d’un dieu unique. Autrement dit, tout  panthéon doit être appréhendé diachroniquement et non synchroniquement. Les dieux ne cohabitent pas, ils se succèdent à tour de rôle, cycliquement.  Les astronomes sont responsables d’une grave confusion ! En attribuant à chaque planéte (du système solaire) une divinité, ils ont pu laisser croire que chacune avait son propre cycle alors qu’à l’évidence les dieux ne font que correspondre à dst stades successifs, selon un ordre cyclique immuable. Mais dès lors se pose la question du choix de la planète qui sert de vecteur et de moteur au cycle. Cela pourrait être la lune, le soleil, passant d’un signe zodiacal à un autre, d’une étoile fixe à une autre. On serait alors cantonné dans le cadre du mois et de l’année. Mais à une autre échelle de temps, c’est probablement un astre plus lent qui a vocation à jouer un tel rôle, et l’on pourrait songer à Jupiter, le maitre de l’Olympe. On n’entrera pas ici dans le débat (cf. nos travaux sur l’Astrocyclon), l’important étant que le dit débat ait lieu.

Pour nous résumer, nous dirons que chaque homme est un dieu à part entière. Ce dieu peut être l’objet d’un culte, d’un amour et c’est ce qui le lie et le relie à tout ce qui gravite autour de lui. Mais ce lien ne fait sens que lorsque le dieu est en fin de cycle. Mais e, début de cycle, tout au contraire, l’homme dieu  se doit de se recentrer sur lui-même, de se recharger et parfois cet isolement peut s’avérer déchirant même s’il est temporaire. Que deviennent toutes ces entités satellites en début de cycle ? C’est comme si la force de gravitation, d’aimantation (amour) ne jouait plus son rôle d’attraction. Ces entités vont errer comme des âmes en peine, en une sorte de désœuvrement, d’oisiveté, en attente. D’ailleurs, il est vital que l’homme-dieu inspire de l’amour puisque c’est ce qui le moment venu  lui permettra de transmettre, d’être prolongé. Mais chaque chose en son temps (L’Ecclésiaste)

La diversité du monde terrestre serait donc le fait de la multiplicité des hommes-dieux Les empires tendraient à englober  plusieurs mondes en un seul, comme si un homme –dieu voulait soumettre les autres. En fait, c’est le combat entre ces hommes- dieux qui constitue l’Histoire de l’Humanisé. Chaque monde est marqué par une certaine langue, un certain territoire, une certaine religion etc. Le rôle des empires est de parvenir à une unité en dépôt de la diversité des mondes sous la houlette d’un homme dieu plus performant que les autres. Il existe un cycle (censé être étudié pat l’astrologie) qui régit  le commencement et la fin des choses. (Et ainsi de suite). Quand le cycle passe à sa phase terminale, les hommes dieux sont remplacés par toute une pléiade d’auxiliaires qui de façon assez mécanique assureront l’intérim en un temps d’hibernation (ours), ce qui correspond à l’Hiver par opposition à l’Eté. C’est alors un temps de pénurie avec une économie qui lui est propre avec un semblant de vie. Le monde continue à émettre mais il ne capte rien que ce qui a déjà été formalisé et codifié. C’est le temps de Matrix..

 

 

 

JHB

 

22. 02. 14

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Les femmes en phase de doute. Enquéte cyclique.

Posté par nofim le 22 février 2014

 

 

L’astrologie et la théorie du genre. Les femmes en crise.

Par  Jacques  Halbronn

 

L’astrologie prévisonnelle€€ ne fait vraiment sens qu’au regard des statistiques du moins en ce qui concerne les individus. C’est parce qu’il arrive la même chose à beaucoup de gens que cela fait événement du moins si l’on prend conscience de l’ampleur du phénoméne par le biais des médias en obeserbant un certaine caractère répétitif.  Arrêtons de ne raisonner que sur une seule personne ! La répétitioon se situe au niveau du collectif et accessoirement à un niveau individuel car sur le plan individuel, on est trop limité statistiquement. Laisssons la répétition à l’échelle individuelle aux psychologues !

C’est donc le public que nous devons interpeller à certains moments clé comme c’est le cas présentement. Notre « pari » est le suivant : un grand nombre de femmes passent actuellement une période critique et nous aimerions bien avoir un feed back à ce sujet. Et tout astrolologue devrait relier ce qu’il sait de ses clients à ce qui se passe plus largement dans le monde, dans la société, au même moment. C’est pour nous un principe de validation astrolgique qui distoingue l’astrologie de la voyance. L4astrologie doit être systématique, générale et non anecdotique, contingente.

Précisoons à ce propos que cette crise – si crise il y a – peut prendre diverses formes et entrainer divers effets, sleon le ocntexte mais les causes resteront grosso modo les mêmes. L’astrologie a une obligatioon de moyens plus que de résultats, ce qui dégage un cetain libre arbitre. D’où l’importance du nomve de cas qui va relativiser la spécificité des cas « particiliers » qui peuvent dépendre de telle ou telle contingence.

Donc, la prévision que nous faisons  concerne le psychisme féminin au cours des mois qui se sont écoulés et/ou des mois qui suivront. Et accessoirement, elle vaut aussi de sept ans en sept ans pour les décennies précédentes. Rappelons que notre prévision s’appuie sur l’Astrocyclon et en l’occurrence sur l’approche de Saturne (22/23°-en scorpion en février 2014) par rapport à Antarés.

Nous dirons donc – dans le style des magazines féminins- que la femme actuelle est en crise identitaire. Elle se sent inutile, en trop (tel un boulet) et a l’impression que les hommes lui échappent, peuvent très bien se passer d’elle et elle s’en persuade  à différents signes qui lui semblent, à tort ou à raison, aller dans ce sens. L’homme passerait par un « ras le bol » vis-à-vis des femmes en général et le cas échéant de la sienne en particulier. L’homme entend voler de ses propres ailes, ce qui est tout un programme. .Comme nous l’avons dit, une telle épreuve, dans la vie d’une femme, se représente à intervalles d’environ 7 ans et entretient un certain état de découragement (on n’a plus le « cœur » à l’ouvrage) qui est d’autant plus palpable que les hommes, au même moment,  sont au contraire  en pleine possession de leurs moyens, ceci pouvant expliquer cela.

Comment, nous demandera-t-on gérer au mieux une telle crise  qui met si nettement en évidence la différence entre hommes et femmes, en un même moment, comme sur une balançoire qui penche tantôt d’un côté tantôt de l’autre et qui est rarement en équilibre, malgré son nom (de balance) ? D’abord, il faut se dire que cette crise est passagère comme toute chose d’ailleurs. Peut-être est-il préférable pour les femmes de prendre quelques vacances, de se mettre un temps en veilleuse et il eut été bon de voir venir et de s’y préparer. La femme doit comprendre que ce moment permet à l’homme de se reconstruire, de se renforcer sans avoir quelqu’un pour l’aider. Au fond, elle devrait, cette femme, laisser l’homme la protéger, la cajoler et arrêter de lui dispenser des conseils, des observations qui ne sont plus de mise car l’homme est alors en pleine possession de ses moyens. Que la femme  reconnaisse aussi les  facultés des hommes au lieu de les dénigrer ou de les minimiser car   cela sera perçu comme une forme d’hostilité pouvant en terme générer du rejet. Qu’elle surmonte un certain complexe d’abandon qui peut être entretenu par des expériences s passées dont on a dit qu’elles étaient récurrentes et qui pouvaient d’ailleurs avoir été vécues par procuration chez des proches. Le cas actuel de Valérie Trierweiler est à ce propos emblématique. On nous objectera que le malheur des unes fait le bonheur des autres mais nous pensons que les hommes  attendent actuellement des femmes un autre comportement moins inquisiteur et moins personnel, moins égocentrique plus à l’écoute, ce qui n’est certes pas une situation d’égalité  entre les sexes qui nous semble de toute façon fictive….De toute façon, cette tonicité masculine ne durera qu’un temps. Il faut attendre que cela se passe et tôt ou tard la femme reprendra de l’ascendant car c’est prévu dans le système. Ce sera alors à l’homme de prendre des vacances et d’adopter un profil bas et ainsi de suite, à tour de rôle.

Donc, pour  résumer le sens de notre enquête qui devrait prouver à la fois que notre Astrocyclon fonctionne et que le critère sexuel est pertinent, nous dirons que les femmes dans leur grande majorité devraient être en train de vivre des moments de doute qui peuvent les conduire à déclencher une crise du couple. En ce sens, la crise est contagieuse si ce n’est que l’homme a d’autres enjeux en ce moment (d ’autres chats à fouetter), à savoir  affirmer justement son indépendance par rapport à autrui, se décloisonner, en refusant de s’enfermer, de se limiter..

 

 

 

 

 

JHB

21  02 14

 

 

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Jacques Halbronn Journal de bord d’un astrologue

Posté par nofim le 20 février 2014

JOURNAL DE BORD D’UN ASTROLOGUE

JOURNAL DE BORD D'UN ASTROLOGUE

Jacques Halbronn   Journal de bord d'un astrologue dans ASTROLOGIE icon18_wrench_allbkg

NOUVEAU LE JOURNAL DE BORD EN PDF À TÉLÉCHARGER :

LE JBA est un ensemble unique par son ampleur et sa qualité de travaux consacrés aux fondements de l’Astrologie mais aussi à d’autres domaines, notamment le dossier Nostradamus, la question juive, la question du féminin, la question de la francophonie. Pour les textes plus tardifs, se rendre sur le blog Nofim. Pour les textes plus anciens, se rendre sur:

grande-conjonction.org
ramkat.free.fr
hommes-et-faits.com

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La dualité masculin féminin de l’Humanité

Posté par nofim le 20 février 2014

 

*Les femmes et les instruments de mesure divinatoires

Par  Jacques  Halbronn

 

Une de nos thèses concernant le comportement des femmes est qu’elles  n’ont pas un  contact direct avec le monde ou si l’on préfère que le monde est représenté par divers modes de calcul, de codage, dont elles ont besoin pour le percevoir, ce qui fait appel à une technologie, à des procédés de mesure, de calcul s’apparentant à des formes de prothèses. En ce sens, l’attachement des femmes à l’astrologie tiendrait au fait que l’astronomie leur apparait comme une réalité hybride qui allie les nombres et les sphères, soit le propre même d’une science idéale, qui se donne d’emblée à l’observateur, ce qui est un leurre..

Lors de nos reportages sur les salons du bien-être et de Vivez Nature, nous avons interviewé des personnes tenant des stands axés sur la mesure (cf.  avec Christine Derré  et Anne Spicas,  Stand Acmos), pourvus de toutes sortes d’objets plus ingénieux et perfectionnés les uns que les autres. (Antenne  de Lecher et tutti quanti). On est là en plein fantasme féminin marqué par un passage obligé par la technique, comme si notre organisme ne pouvait par lui-même capter les choses, sans de tels recours artificiels. Les femmes veulent être appareillées, équipées. En fait elles raisonnent comme des machines, moitié humaines, moitié robots. Le monde de la divination qui peut être considéré comme largement investi et représentatif des valeurs féminines –au point d’être largement déserté par les hommes- témoigne parfaitement de cette spécificité féminine. Tout ce qu’on appelle support va dans ce sens et les cartes sont une notion commune à la divination et à la technique (cartes bancaires par exemple que l’on introduit dans un appareil pour l’activer).

Ce qui est irrationnel chez les femmes, c’est la croyance qu’elles ont dans l’efficience de tels  engins dont elles attendent beaucoup trop. Mais en réalité, peu leur importe que le monde ne corresponde pas à ce que disent ces techniques puisque le monde est censé correspondre à ce qui en est dit par ce truchement. Il ne peut donc y avoir contrôle ni  contradiction ni contre-expertise avec un mode réel auquel elles n’ont pas accès. Elles se définissent donc sur la base même de ce que le procédé utilisé leur dicte. Elles vont chez l’astrologue non pas pour vérifier mais pour savoir. Elles ne s’occupent guère de l’origine des appareils dont elles se servent, se contentant d’appliquer pour savoir ce qu’il en est. Elles peuvent certes signaler l’acquiescement des personnes concernées mais comme on l’a dit celles-ci ne se connaissent que par des biais et du fait de suggestions. Quand bien même auraient-elles été marquées par d’autres discours, c’est comme si on remplaçait un disque (discours) par un autre qui fera tout aussi bien l’affaire. En fait, les femmes rêvent d’une sorte de Big Brother qui dirait ce que chacun est, ce pour quoi chacun est fait, programmé. Leur imaginaire est peuplé d’énormes machines,-d’ordinateurs qui fixent notre destinée dans ses moindres détails.

Etrangement, plus notre présente humanité parvient davantage à  produite de la technologie, plus les femmes se sentent à leur aise et d’ailleurs,  le féminisme est contemporain du progrès industriel et résorbe le décalage entre hommes et femmes. En ce sens, en effet, les femmes appartiennent à la Science-Fiction,  elles préfigurent notre avenir hypertechnologique car elles appartiennent à un monde disparu dont elles sont le produit, la  création. Le fossé entre les hommes et les femmes est abyssal et il s’agit là d’une symbiose dont il est urgent de prendre conscience. Quelque part, aussi, la femme est une couveuse mise au service des hommes, c’est dire que depuis des millénaires les hommes sont entrés dans un âge technologique. D’où la dialectique majeure entre Science et Technique. Les hommes sont dans la Science et les femmes dans la Technique et ces deux domaines cohabitent .La science produit certes de la technique mais il y a des techniques qui ne sont pas issues de la Science ou en tout cas pas de « notre » Science. C’est ainsi que la femme, elle-même, est le fruit d’une technique qui échappe encore à notre Science. Quant à l’astrologie, on peut dire aussi qu’elle appartient à une autre Science et à une autre technique. Le cas du thème natal en tant que portrait mathématique de la personne (telle planète à tel degré du zodiaque se connecte avec telle autre planéte etc.) est éminemment révélateur du fait que la femme appartient à un autre monde.  Mais de nos jours, les femmes sont dans le déni. Elles briguent non seulement une égalité juridique mais elles affirment qu’elles ne sont en rien différentes dans leur mode de fonctionnement des hommes,  hormis le cas pourtant fortement emblématique, de la procréation, laquelle est activée par la pénétration d’un objet dans une fente et par le message (ADN) qui y est inséré et décodé par l’organisme féminin. Quant à ceux qui nous répètent inlassablement que nous spamme tous un mélange de masculin et de féminin, cela vaut certes pour l’Humanité en tant qu’ensemble mais non au niveau des personnes et en ce sens,  ce qui est vrai au niveau du collectif ne l’est pas à celui des êtres humains pris individuellement, lesquels sont à répartir entre hommes et femmes, au regard d’une approche scientifique de l’anthropologie.

 

 

 

JHB

20. 02. 14

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Les aléas de la vulgarisation des arts divinatoires

Posté par nofim le 19 février 2014

 

L’autonomisation du public  dans le cas des arts divinatoires (astrologie incluse)

Par  Jacques  Halbronn

 

 

Notre enquête vidéo à Parapsy  2014  nous aura permis de prendre pleinement  conscience de la question de la divulgation auprès du public des arts divinatoires, non pas tant au niveau de la consultation auprès d’un praticien que dans ce qu’on peut appeler l’auto-consultation. Nous avons été directement concernée par ce dossier avec notre Astrocyclon et notre enquête nous aura donc conduit à réfléchir à notre propre stratégie de communication.

Au cours de notre reportage (cf. sur You Tube et sur Futur Video), nous avons  interviewé des personnes qui avaient mis au point des produits que tout un chacun était censé pouvoir utiliser, de façon autonome, notamment par le biais de cartes, de « tarots » de toutes sortes. La mise en cartes des savoirs divinatoires est présentement à la mode. En principe, cela signifie que les gens peuvent  à loisir « jouer » à se tirer les cartes. Ceux qui lancent de tels produits espèrent que leurs jeux se vendront bien même si cela se fait aux dépens des praticiens patentés. C’est en quelque sorte du commerce en gros et non de détail. C’est le Tarot pour tout le monde, l’astrologie pour tout le monde etc. Et l’informatique facilité également une telle vulgarisation en numérologie et en astrologie ne serait-ce qu’au niveau des calculs. On notera d’ailleurs une baisse sensible de la scolarisation notamment dans le domaine des écoles d’astrologie, depuis une vingtaine d’années, qui est due à la facilitation de l’accès à l’astrologie. On n’a plus besoin de savoir dresser un thème, avec les outils de travail traditionnels (éphémérides, tables de maisons, régimes horaires cf. notre entretien avec Michèle Darles, You Tube). En bref, il devrait y avoir de plus en plus de gens en France équipés, formés pour consulter sur soi-même mais aussi, par-dessus le marché, sur autrui, à titre amateur voire professionnel (commercial).

Que penser d’une telle situation et d’une telle évolution ? Nous commencerons par nous demander si un tel processus est si récent que cela. Le cas du Tarot, précisément, nous semble typique d’une entreprise fort ancienne de vulgarisation, du recours au tirage de cartes pour  recourir au bénéfice  (dans tous les sens du terme) de la divination et il est donc normal que cela soit toujours le procédé préféré/ La « cartomancie » est la voie royale de la vulgarisation d’un ésotérisme appliqué. (cf. nos entretiens avec Angelo Lauria, sur You Tube)

Nous donnerons une réponse de Normand (pas de Lenormand !) à cette question. Tantôt c’est bon, tantôt cela ne  l’est pas tant que ça ! Autrement dit, c’est cyclique. Il y a un temps où il vaut mieux qu’une même personne s’occupe du plus grand nombre en agissant sur les foules (on pense à Saï Baba, en Inde, que nous avions suivi en 1976) et un temps où cela n’est plus possible et où l’on peut être amené à mettre la parole par écrit, sous forme de cartes, de livres, comme ce fut le cas pour Socrate, Jésus ou au siècle dernier pour Aïvanhov (Fraternité Blanche) et tant d’autres.

Pour nous,  une telle translation fait problème car elle correspond à une certaine forme de cristallisation et de desséchement. Car pour transmettre, il faut que les choses se refroidissent et donc  perdent de leur vitalité. Bien plus, on peut penser que sans certaines facultés médiumniques ces cartes (y compris la « carte du ciel » des astrologues) ne se suffisent pas à elles-mêmes, contrairement à ce que peuvent vouloir prétendre les vendeurs. Le problème, c’est que bien des praticiens ne sont pas dés médiums et utilisent ces « jeux » au premier degré avec des résultats mitigés.

Dans le cas de notre Astrocyclon, nous pensons toutefois, qu’il en est autrement du fait même que l’on ne se situe pas dans une démarche divinatoire,  c’est-à-dire individuelle. Car pour nous toute demande par trop personnelle appelle le divinatoire. Or l’astrocyclon n’est pas un outil d’investigation individuelle mais collective, voire universelle, au même titre que la physiologie (par opposition à la psychologie).  Un savoir pour tout  le monde doit selon nous être le même pour tout le monde comme un cours sur l’anatomie. Chacun doit se reconnaitre autour d’un seul et même exposé.

En conclusion, nous dirons –comme d’ailleurs les praticiens le reconnaissent fréquemment- que  ceux-ci ne se sentent pas toujours aussi inspirés et doivent se servir de « supports » lors d’un passage à vide. Toute la question est de savoir si ces « cartes » ont en soi un quelconque intérêt quand on les mélange et les distribue dans un ordre aléatoire  au lieu d’en respecter la structure séquentielle de base qui a une portée universelle. Pour nous, un savoir mis en cartes  est suspect car il  éparpille sa part de sagesse (sapience). Nous sommes en faveur, en tout état de cause de ce que l’on pourrait appeler un tirage séquentiel. On tire un fil et le reste suit. Il n’y a donc qu’une seule carte à tirer puisque les autres cartes s’enchainent  selon un ordre établi et qui reste inchangé (cf. nos textes sur la séquentialité).

 

 

 

 

 

JHB

19 02 14

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