jacques halbronn Economie/ Le différentiel de genre: quéte des personnes ou celle des biens?.
Posté par nofim le 6 janvier 2023
jacques halbronn Economie. Le différentiel de genre: quéte des personnes ou celle des biens?
Poursuivant nos travaux sur le masculin et le féminin (les topiques sensorielles), nous entendons approfondir la thématique de l’être et de l’avoir au regard de la problématique de possession. Hommes et femmes ont ils les mêmes motivations et objectifs dans leur rapport au monde.? Epistémologiquement, nous privilégions la dualité et la dialectique et donc la complémentarité et l’alternance.
On mettra l’accent sur la pratique de l’accumulation et en quelque sorte de la capitalisation, la « collection », sous des formes de « richesses » différentes mais quelque part comparables avec pour corollaire un certain manque à l’autre extrémité de la polarité que nous posons, celle des personnes et des biens matériels. Cette approche nous semble plus concrète que celle de l’être et de l’avoir qu’elle prolonge. Quand on veut dresser le bilan d’une vie, il est bon de se situer sur ces deux plans dont pour notre part nous percevons clairement ce qui les relie e les oppose, en termes de « valeurs ».
Pour notre part, nous reconnaitrons avoir donné la priorité aux personnes, comme en témoignent nos Guides astrologiques, lesquelles recensent notamment les personnes ayant contribué à nos réseaux, selon une certaine synergie, à commencer par notre longue série de Colloques Astrologiques (mais aussi judaiques) à partir de 1974.’Hotel Méridien Porte Maillot) sans oublier la myriade d’interviews filmés pour « teléprovidence » (chaine You tube de la Subconscience). Il faudrait ajouter les rencontres intimes qui se sont succédé entre 1973 et 2016 (dont nous avons constitué un volume de correspondances et de journaux en changeant les noms ) Inversement, nous aurons fait preuve d’un certain « détachement » par rapport aux biens matériels, même si nous avons constitué – dès 1972 – une bibliothèque-librairie (dont on trouvera le catalogue sur Rakuten, à la « boutique » Vulcainjh (depuis 2013) En fait, notre Bibliothèque Universitaire de Recherche Astrologique vaut peut être d’abord par ses archives d’une diversité et d’une richesse remarquables, sa correspondance, plus que par ses imprimés, d’autant qu’une partie de son fonds d’imprimés et de microformes ont été numérisées, respectivement par la BINA, la bibluithèque Internationale de Numérisation Astrologique (BINA) et sur le site prophéties.it.
L’importance que nous avons accordé à la couverture vidéo depuis 1984(Congrès de Lyon) ce qui sera exploité et prolongé sur Internet, témoigne de cet intérêt pour les gens, de préférence aux publications d’ »actes » (à la façon d’un Yves Lenoble, fin XXe début XXIe siècles) En ce sens, on pourra dire que nous sommes un être foncièrement « social » au carnet d ‘adresses impressionnant, dans la durée tant auprès des astrologues que des médiums. Selon nous, les hommes politiques doivent avoir en eux cet instinct de « collection » de contacts et un certain besoin d’impacter largement et dans la durée en passant par les publications. En ce sens, il ressort que notre intérêt pour les livres démontre qu’il s’agit bien là d’un média.
Inversement, chez la gent féminine, le processus nous semble inverse, à savoir une acception plus concréte de la « possession », inséparable de l’acquisition d’objets ayant une certaine valeur marchande,objets que l’on se procure et que l’on peut céder, un tel « commerce » ne semblant pas du même ordre que celui des personnes, des « sujets ». Chez la femme, la quête passera par des formules officielles, devant notaire, des certificats avec la hantise du vol, du cambriolage, ce qui exige de prendre des mesures, des assurances ad hoc. Chez l’homme, le risque se présentera différemment autour des questions d’honneur, de réputation, de popularité, d’élection, plus dans la sphère publique que privée.
L’idée de « réussite » ne sera donc pas vécue pareillement pour les deux genres (sexes) et il sera loisible à l’un de souligner les échecs de l’autre en minimisant ses réalisations. Pour une femme, une précarité matérielle sera inévitablement un signe de fragilité et pour un homme, une vie qui n’aura pas exercé d’impact social sera « ratée ». En ce sens, le couple nous apparait comme une formule assez heureuse alliant les deux valeurs, chacun apportant une dimension qui aura pu avorter chez l’autre.
JHB 08 01 23
Publié dans anthropocosmologiz, ECONOMIE, féminisme, FEMMES, POLITIQUE | Pas de Commentaire »