jacques Halbronn Astrologie EXOLS La phase équinoxiale en revient aux dialectiques fondamentales.

Posté par nofim le 13 juillet 2022

jacques  Halbronn    Astrologie EXOLS   La phase équinoxiale en revient aux dialectiques  fondamentales.

 

  Nous avons établi que toute phase équinoxiale était favorable à la Gauche et cela signifie le respect du « plan divin », de notre héritage auquel notre Humanité doit périodiquement se ressourcer avec des parenthèses de 7 ans qui laissent libre cours à nos fantaisies -en phase solsticiale.   Marx et Freud auront contribué à explorer ce « plan », l’un en ce qui concerne ce clivage majeur de la Lutte des Classes, l’autre en s’intéressant au masculin et au féminin, outre le fait que par leur oeuvre, ils auront mis en évidence la manifestation d’un certain génie  juif.  Ces phases équinoxiales sont assez éprouvantes et il convient de se préparer à la prochaine qui ne manquera pas de se produire au bout de 3 ans environ, donc  dans le cours  de l’an 2025 et ce pour une durée de 7 ans.

 

Il faut comprendre que ces diverses dialectiques peuvent être vécues de diverses manières: soit en  assumant celles-ci soit en les diabolisant. C’est ainsi que la Shoah se produisit en phase équinoxiale, du fait d’une certaine exacerbation de la dialectique Juifs/.non Juifs. D’aucuns y virent une guerre avec la puissance  juive, c’est dire toute l’importance qu’ils accordaient au phénoméne, lequel se verra minimisé et relativisé  lors de la phase solsticiale qui suivit, dans le cours  de  1944, lorsque toutes sortes de superstructures vinrent occulter une telle dynamique, à commencer par la création de l’Etat d’Israel ( 1947-1948)…

On sait aussi à quel point,  en phase solsticiale -ce qui est le cas en ce moment puisque l’on va vers une prochaine phase équinoxiale- l’on se plait à nier la dualité hommes-femmes, au nom de la parité, comme dans le gouvernement actuel, ce qui n’est nullement la reconnaissance du rôle des femmes alors même que c’est le déni de leur spécificité. IL y a là, évidemment, comme un dilemme dans la mesure où  affirmer une différence, c’est s’exposer à une accusation de discrimination. Mais nier cette différence, n’est ce pas encore plus  grave? L’essentiel   consiste à reconnaitre cette différence, quand bien même cela reviendrait à combattre le camp adverse. D’ailleurs,  en ce qui concerne la Lutte des Classes,  il s’agit d’en décrire toute la verticalité en une sorte de « contrat social ». 

Un autre champ de la plus haute importance concerne l’astrologie -la « bonne »-  et le rôle qu’elle joue de façon subconsciente, dans le plan divin en organisant le temps de la Cité de la façon la plus heureuse. Toute tentative de se substituer à la périodicité qu’elles sous tend est une dérive qui ne manquera pas de se produire en phase solsticiale, notamment en inventant des temporalités et des durées factices et fictives. Il revient à la phase équinoxiale de remettre les pendules à l »heure.

Enfin, last but non least, se pose la question de la présence juive au monde et du rôle  à  faire jouer aux  Juifs, individuellement, chacun sur sa branche,répartis dans le monde bien plus que rassemblés, « concentrés ».

En tout état de cause, la phase équinoxiale a vocation à mettre à bas tout ce que les sociétés humaines ont été amenées à élaborer en tant que superstructures (cf Marx), et ce sur deux plans: d’une part, ce qu’elles ont voulu occulter des phénoménes propres au plan divin (Torah) et de l’autre les divisions supplémentaires qu’elles se sont plu à rajouter. On pense d’une part à la parité, à la conversion et de l’autres à toutes sortes de frontières artificielles.  On aura compris à quel point ces deux phases sont contrastées, la phase solsticiale correspondant à une forme d’émancipation par rapport au plan divin tandis que la phase équinoxiale est le temps d’une restauration de la conscience du dit plan.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  13 07 22

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jacques Halbronn Un corpus sentimental au prisme d’une cyclologie saisonnière et des tropiques sensorielles.

Posté par nofim le 24 juin 2022

 

Jacques  Halbronn

 

 

 

 

 

UN CORPUS  SENTIMENTAL  AU PRISME D’ UNE   CYCLOLOGIE SAISONNIERE ET DES TOPIQUES SENSORIELLES.

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avant- propos

 

 

 

 

Notre corpus est constitué d’archives personnelles s’étalant sur plus d’un demi-siècle, constituées d’une correspondance avec des femmes ainsi que  d’éléments d’un journal intime. relatifs  à  ce même domaine. Il s’agit d’un genre littéraire qui repose sur un vécu – la vie est un roman -et sur une mémoire s’inscrivant elle-même dans le temps. Tout y est marqué par  l’immédiateté du ressenti  et échappe au réchauffé.  Rappelons les Fragments d’un Discours amoureux de Roland Barthes ou l’œuvre de Marcel Proust,  notamment Un Amour de Swann,  sans oublier la récente parution concernant la vie  affective de  François Mitterrand (entre 1962  et 1995)  ou encore le  journal (Tagebücher) de  Kafka, obsédé par l’idée de mariage.( Journauxlettres à sa famille et à ses amis, traduits par Marthe Robert, Claude David et Jean-Pierre Danès, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1984).

 

Nous avons pensé qu’il serait intéressant d’appliquer à un ensemble  dont  l’élaboration n’était pas centrée sur une quelconque volonté de valider  un  double modéle, saisonnier  et sensoriel.

 

 

I  L’approche saisonnière. 

 

 

 Par cyclologie « saisonnière », nous entendons  une forme d’astrologie articulée sur les axes  équinoxiaux et solsticiaux, donc basée sur une analogie reliant la cyclicité planétaire  à celle du Soleil.

. Notre  grille a le mérite d’une  relative simplicité d’application. Exposons-en d’emblée les grandes lignes. De même que l’année se divise en Quatre Saisons,  tout comme d’ailleurs le cycle soli-lunaire ( Nouvelle Lune, premier quartier, pleine lune, second quartier), nous utiliserons le cycle de Saturne dont les composantes chiffrées recoupent celles de la Lune, ce qui donne des périodes de 28  ans chacune, alternativement qualifiées d’équinoxiales et de solsticiales, sur la base du passage de la planète Saturne au niveau  des axes des équinoxes et des solstices. Certes, d’entrée de jeu, l’astrologie apparaitra comme un fil conducteur mais il n’en reste pas moins que la grille que nous entendons appliquer ici ne saurait coincider avec le « corpus astrologique » en vigueur. Ce n’est pas par hasard que nous publions à présent ce corpus mémoriel, vu que la période actuelle, marquée au coin de la solsticialité, s’y prête. Enfin, l’idée que nous nous sommes faits de la question  juive aura pu sensiblement évoluer et il convient ici  de se situer dans une démarche diachronique et d’éviter de prendre l’ensemble comme un tout intemporel synchronique. Il s’agit au fond d’une expérience pilote de traitement d’un corpus étalé sur plusieurs décennies et qui pourrait susciter des émules. En tout état de cause, il s’agit d’une tentative de validation d’une approche proprement astrologique à partir d’un document dont la précision chronologique est l’interface nécessaire par excellence. L’astrologie que nous entendons ainsi valider implique l’existence d’un vécu collectif, d’un esprit du temps (Zeigeist) partagé, où ce que nous éprouvons fait écho , trouve son répondant chez l’autre.

Au fond, on assiste à la  naissance d’une sorte de  Don Juan, de Casanova, confronté  avec la « femme (fatale) de sa vie », celle qui le poursuivra, le troublera,  pendant plus de 30 ans, au milieu, au travers de ses conquétes successives – si tous les noms ont été changés, les textes sont  tous d’époque, sans retouche rétroactive. Comme dit le personnage incarné par Jean-Claude Brialy, dans le Genou de Claire, film d’Eric Roehmer, être amoureux d’une femme  donne des droits . En effet, aimer une femme, c’est en trouver la clef et révéler à chaque femme ce qui fait son charme.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

II Les  topiques sensorielles

 

Par  « topiques  sensorielles »,  nous entendons  une référence aux « cinq sens » – vue, ouie, odorat, gout, odorat  en rapport avec les notions freudiennes de « ça »  et de « surmoi », ce qui nous sert à appréhender la dialectique du masculin  et du féminin, ce qui est évidemment au coeur de notre « corpus sentimental ». Selon nous, le ça   est marqué par une volonté de se soustraire au Surmoi, un besoin de libération, une forme de défoulement, de débordement. Pour les femmes,  cela affecterait, impacterait le  rapport à la vue et à l’ouie- ce qui est donné à voir, à montrer et à entendre ou faire entendre et pour les hommes la gestion des trois autres sens, sur un plan plus physique (cf notre publication « Astrologie Sensorielle » in revue Cosmopolitan, numéro de janvier 1976). Ce qui contribue à forger des « valeurs » différentes, d’où une certaine conflictualité entre les sexes. C’est ainsi que les hommes seront, entre autres, heurtés par un manque de tact, par  des propos intempestifs chez les femmes et les femmes se plaindront d’un harcellement physique, de viol, de la part des hommes. En effet, le ça des femmes se heurtera, se confrontera au Surmoi des hommes et vice versa.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  INTRODUCTION  AU CORPUS   SENTIMENTAL

 

 

 

    Nous diviserons un tel corpus en trois temps : le moment matriciel, la première récurrence, la seconde récurrence, suivant de quinze ans environ la première, soit un demi-cycle de Saturne, englobant une phase équinoxiale de 7 ans suivie d’une phase solsticiale de même durée avec en appendice les suites, tous les 15 ans. La thèse  centrale  s’articule  sur l’impact à retardement d’ »un certain imaginaire rétrospectif  et rétroactif Nous  inviterons  ainsi notre lecteur à  expliquer le présent par le passé  au prisme de notre astrologie EXOLS (cf supra). Selon nous,  l’astrologie détermine une récurrence et c’est d’ailleurs en cela qu’elle se trouvera validée, au prisme de l’activation de nos fonctions mémorielles. Ajoutons que le passé sert d’objectif à atteindre en phase solsticiale et de repoussoir en phase équinoxiale.  Si l’on prend le cas de la période solsticiale actuelle (printemps 2022) l’on ne peut que remarquer le rôle du passé: nostalgie de l’Union de la Gauche, de l’Union Soviétique, de la Communauté Européenne de Défense (CED), qui ne fut pas appliquée à l’époque etc.  Mais signalons aussi en 1976,  avec Chirac, en phase solsticiale, la création du RPR,  avec ce mot « Rassemblement » qui fait écho au RPF de De Gaulle. On peut même voir dans le RN de Marine Le Pen, à la place du FN,  une référence gaulliste. Cherchez toujours la référence du passé dans les actions engagées, ce qui est le gage de la récurrence, comme clef cyclologique. Mais, notre grille peut tout à fait couvrir les événements  de la vie « privée ». En ce qui concerne le recherche dans ce domaine, il nous semble bien préférable de travailler sur des journaux ou/et des correspondances que de se fier à la seule mémoire de l’intéressé-e. En tout état de cause, rien ne vaudra la confrontation entre deux écrits, celui  de l’astrologue et celui, étalé dans le temps, du consultant.  Au vrai, les scénarios sont assez comparables d’un cas à un autre. Au départ, nous trouverons de l’équinoxialité mais par la suite cette équinoxialité nourrira la solsticialité. Nous prendrons notre propre exemple pour illustrer notre propos. En 1967-69, nous étions engagés dans un certain dépaysement en nous rendant en Israël. On était alors pour tout le monde en phase équinoxiale.  Insistons sur ce « pour tout le monde » puisque nous ne prenons pas en compte le thème natal individuel mais bien une cyclologie « universelle » balisée de 7 ans en 7 ans à partir du passage de Saturne sur les axes équinoxiaux et solsticiaux. Mais en 1976, sous une phase solsticiale, cette fois, la référence fut bel et bien 1967-69, en écho. Il s’agissait de renouer avec un premier temps. Mais ce n’était pas fini car quinze ans plus tard,  sous une nouvelle phase solsticiale, en 1993-1994, le référentiel israélien fut réactivé et nous allions  avoir affaire à des personnages que nous avions connus lors de la précédente phase solsticiale. Nous nous trouvons donc dans une série se déployant de 1967 à 1995, soit sur une trentaine d’années, 1995 – début de phase équinoxiale -mettant fin à une phase solsticiale. Notons que la solsticialité est  certes vécue et partagée par toutes les parties. Mais comme on a dit plus haut, rien ne vaut l’existence d’un corpus matériel objectif, préétabli,   de journaux et de correspondances, d’où la nécessité pour les personnes ainsi suivies astrologiquement de rassembler un maximum de documents pouvant faire foi. Cela dit, vue la simplicité de notre formule du fait que chaque période dure 7 ans, il n’est pas nécessaire de disposer d’une chronologie très pointue en raison de la durée impartie. Nous sommes là en face d’un phénomène synchronique remarquable. Il ne s’agit plus ici de relier ce qui se passe en bas avec ce qui se passe en haut mais bien de s’en tenir, pour l’essentiel, à ce qui se présente en bas, d’une époque à l’autre. Cela exige, évidemment, de la part de l’astrologue ordinaire de devoir renoncer à mobiliser toutes les planètes du système solaire, se retrouvant à la foi dans le thème natal et par le biais des transits. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple?   On  aura compris  que cette synchronie génère une même dynamique puissante à tous les niveaux et que la somme des vécus solsticiaux constitue et compose un phénomène marquant de convergence  sociale, de consensus.  Ce sont  les revirements dans un sens ou dans un autre vécus dans un même temps, collectivement aussi bien qu’individuellement,  qui contribuent à une  validation de l’astrologie  même si la projection vers l’avenir n’est nullement à exclure. C’est en tout cas la simultanéité des changements, lors du passage de l’équinoxial  vers le vertical  et vice versa, qui devrait fonder la « croyance » astrologique – liée à une théologie spécifique et nous qualifierons un tel processus de « miracle » car la durée de 7 ans ne correspond à aucune causalité « naturelle ».                                                                

 

 

 

A  suivre  sur la plateforme SCRIBD

 

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jacques Halbronn La semence au coeur des relations homme-femme

Posté par nofim le 18 juin 2022

jacques  Halbronn  La semence au coeur des relations  homme-femme   

 

 

La semence, sous toutes ses formes, n’est guère spectaculaire, elle est discrète, risque de passer inaperçue et ses effets ne se manifestent qu’avec le temps, au bout d’un certain temps, si tant est qu’entre temps, en cours de  route, il n’y ait pas eu avortement.  On étudiera d’une part la faculté de semer chez l’homme et de l’autre chez la femme. Il importe d’avoir en tête un tel parallélisme même si la semence des uns ne se présente pas comme celle des autres. 

Il est clair que la semence masculine est un phénoméne bien connu, avéré de longue date, même si cela n’a pas toujours été le cas dans les temps anciens. Au bout de 9 mois, le fruit de ce qui a été semé apparait, du moins pour ce qui est de l’espèce humaine. L’homme est programmé pour se rapprocher des femmes et y déposer sa semence, par le biais des organes génitaux des deux sexes.

En revanche, la semence émanant de la femme est quelque chose de moins connu, de moins mesuré, ce qui crée un certain déséquilibre en ce que cela est moins bien renseigné, attesté. Ne serait-ce que par la matérialité, la substance  de cette semence  est plus impalpable. Mais il nous a semble heureux d’employer le même mot, dans les deux cas, quitte à préciser par un adjectif ce qui les distingue. Et dans ce cas, cette semence pourrait n’être que le propre, le privilége de la « femelle » humaine. 

Il s’agirait pour la femme de « semer » des graines, des germes, dans l’esprit de tel ou tel homme de son choix ainsi que dans sa progéniture masculine.  De même que la semence masculine est à destination du sexe féminin,  la semence féminine concernait les hommes et non les femmes. On pourrait dire que l’homme n’est pas équipé pour  traiter de la semence masculine et que la femme ne l’est pas pour traiter de la semence féminine. Il y a là comme un chassé croisé.

On  n’ignore pas les cas de femmes qui ont su encourager des hommes à se réaliser, à produire. Derrière une réussite masculine sur le plan social, il faudrait chercher la femme, la mère, l’épouse, la soeur, la grand mère, la cousine, l’institutrice etc. Dans les Evangiles, on voit les femmes jouer un certain rôle auprès de l’homme Jésus, de  Marie, sa mère à Marie de Magdaléna (Marie madeleine)   

Il  y a de part et d’autre, un devoir, un impératif de fécondation de l’autre sexe, selon les modalités que l’on vient de préciser. Accepter la semence de l’autre est une façon d’l'honorer. Entendons par là que l’avortement demandé par une femme reléverait d’une forme de déni de l’autre tout tout comme le refus de la part de  l’homme de donner, de confier, sa semence à une femme qui le demande en se contentant de se masturber, gaspillant ainsi cette semence.  Mais cela vaut tout autant en sens inverse, quand une femme refuse d’encourager un homme (un fils, un époux, un éléve etc), de le promouvoir ou quand un homme rompt ce lien, rejette un tel don, fait preuve d’ingratitude. Des traumatismes peuvent venir de tels dysfonctionnements relationnels. Dans le judaisme, une certaine tradition veut que l’épouse permette à l’époux de se réaliser en subvenant aux besoins du ménage.

Nous dirons que le couple doit se constituer en respectant ce double engagement, cette double condition : l’homme choisit la femme pour semer en son corps  et la femme choisit l’homme pour semer en son « âme », sa psyché. L’accomplissement devra donc être la procréation, la naissance de l’enfant, l’accouchement d’une part et de l’autre, l’on parlera de maieutique, qui transpose la problématique sur un autre plan.

On sait que notre modéle ne correspond pas vraiment à certaines revendications « féministes ».  Pourquoi l’homme aurait-il le monopole de la création, abandonnant à la femme celui de la procréation? Mais Antoine Fouque ‘(MLF) ne distingue-t-elle pas entre génitalité féminine et génialité masculine?  La semence, en tout cas, est dotée d’une vertu de génération et il importait de souligner le rôle déterminant de la « semence » au féminin. La femme qui aide l’homme à se réaliser, qui croit en lui, qui parie, investit sur lui, ne fait-elle pas preuve d’un certain génie, d’une forme de prémonition, d’intuition?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  18 06 22

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Jacques Halbronn Psychologie sensorielle et topiques freudiennes. Le Bien et le Mal. Le Surmoi et le ça

Posté par nofim le 10 juin 2022

Jacques  Halbronn Psychologie sensorielle et topiques freudiennes. Le Bien et le Mal. , le Surmoi et le ça 

 

A la lumière de nos travaux sur le « genre » et la dynamique sensorielle (cf nos précédents textes sur NOFIM.unblog.fr), nous proposerons aux thérapeutes une nouvelle grille, en rapport avec le sentiment de culpabilité généré par la pulsion du  « çà ».  Il s’agira d’orienter l’entretien avec le patient sur certains sujets  lui faisant probléme et qui diffèrent selon le sexe, ce qui contribuera à la mise en question de la « théorie du genre » selon laquelle tout ne serait que construction sociale.(ce qui renvoie en astrologie EXOLS à la tendance solsticiale et anti-équinoxiale).

En d’autres termes, il s’agit d’explorer le domaine du péché qui n’est pas du même ordre chez Adam  et chez Eve mais reléve de la dialectique du ça  et du Surmoi. Nous dirons que les femmes péchent par la parole et par le visuel  et les hommes par ce qui tient au gout, à l’odorat et au toucher. Ce serait dans ces domaines respectifs que se situerait la tentation du Mal,  du « faire (du) mal ».  Inversement, le Surmoi mettrait à l’abri du péché, serait comme un  garde fou. 

Le thérapeute -mais aussi le confesseur) sera donc invité à explorer avec son patient le champ du ça. C’est ainsi que nous dirons que  toute femme aura été marquée, dans son histoire, par sa « langue » soit en révélant ce qui aurait du rester caché, secret, soit en exprimant son ressenti de façon intempestive et déplacée. D’où une problématique du repentir, de la faute  du verbe à essayer de  se faire pardonner.  Inversement,  son Surmoi lui aura évité certaines tentations « physiques ». 

 Il faut comprendre que le Mal en question  reléve d’un désir de vengeance, de « compensation » dans le tort causé. Chez la femme, cela passera par la calomnie, la médisance, l’indiscrétion et chez l’homme par  la « tromperie » à l »encontre de sa partenaire,  en vue de faire « payer »  l’autre qui l’aura « bien mérité » de par l’humiliation, la frustration  infligées.subies,ou en tout cas ressenties. 

Inversement, l’homme ne cédera pas aussi facilement à la délation que la femme et la femme respectera plus souvent l’exclusivité du couple que l’homme.   Ajoutons  que l’homme est lié à l’Etre et la femme à l’Avoir, ce qui va nécessairement causer un conflit de « valeurs », de priorités.  L’homme est capable de sacrifier l’Avoir sur l’autel de l’Etre et inversement pour la femme.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB   06 06 22 

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jacques halbronn Le toucher au prisme de la psychologie sensorielle. Astrologie des Cinq sens.

Posté par nofim le 21 mai 2022

 

 jacques  halbronn   Le  toucher au prisme de la psychologie sensorielle. Astrologie des Cinq sens;

 

Fin  1976, nous avions publié un dossier intitulé « Astrologie sensorielle » (revue Cosmopolitan) et nous avions alors mis de côté le sens du toucher,  de façon à passer du 5 au 4, établissant, ce faisant, un lien entre l’ouie, la vue, l’odorat et le gout et  4 planétes du systéme solaire, Mars, Jupiter, Saturne et Uranus (dans le désordre). Or, récemment-il n’est jamais trop tard pour bien faire- nous avons réalisé que le toucher  jouait un rôle majeur au niveau  relationnel. Rappelons que nous articulons notre « psychologie sensorielle » sur la dialectique Hommes-femmes et l’on sait à quel point le toucher impacte les relations sexuelles. Très tôt nous avons besoin de « toucher » l’autre et le baiser reléve bien évidemment de ce sens.   Une telle réflexion nous invite à relier l’odorat et le goût de façon à libérer un espace pour le toucher, si l’on veut s’en tenir au 4. 

Le ça masculin- en référence aux topiques freudiennes- inclurait l’ensemble gout-odorat & toucher et l’on comprend mieux les accusations de viol, de gestes déplacés à l’encontre de la gent masculine, marquée par une telle  compulsivité sensorielle. Inversement, les femmes controleraient mieux  ce registre mais seraient en défaut au regard de l’ouie et de la vue, d’où des épanchements et des débordements  dans le champ de la parole et de l’habillement, sachant que le ça est le lieu d’expression d’un besoin de liberté par delà  les interdits sociaux.

En ce sens, l’on comprend que dans les rapports hommes femmes, la spontanéité (donc le ça) concernera la parole, la confidence, pour la femme et les premiers contacts physiques à l’initiative de l’homme (caresses furtives etc). C’est ainsi que l’on brise la glace des deux côtés.

Certes, le toucher, à la différence des 4 autres sens n’est-il pas localisé exclusivement au niveau de la tête, ce qui avait pu nous conduire la présentation antérieure, mais, au bout du compte, il nous semble désormais inconcevable de mettre ce sens sur la touche tant son rôle nous apparait comme  déterminant dans la relation intime. Par ailleurs,  au niveau musical, le  toucher  et l’ouie sont liés comme nous l’avons pu constater dans notre activité de compositeur – et notamment en ce qui concerne la « blind music », où il s’agit de ne pas se servir de la vue;

 

 

 

 

 

JHB   21 05 22

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jacques halbronn La vraie notion de synchronie en astrologie

Posté par nofim le 17 mai 2022

jacques halbronn La vraie notion de synchronie en astrologie   
Quand il est question de synchronie ou de synchronicité en astrologie,  on pense généralement aux corrélations entre les hommes et les astres. Or, force est de constater que de telles corrélations ne sautent pas aux yeux dans la mesure où les astres constituent un monde lointain et dont nous n’avons pas, pour le moins, une appréhension évidente. En revanche,  une autre synchronie s’offre à nous, bien plus repérable, c’est celle qui nous relie, nous connecte aux autres humains, dans un même temps.
Or, la façon dont les astrologues d’aujourd’hui abordent le rapport de l’individu au cosmos ne fait-elle point abstraction d’une certaine communauté de destin  quand on se focalise sur le thème natal? Un moyen terme est la prise en compte du signe de naissance, ce qui divise l’impact planétaire en 12   cas de figure. Pour notre part, nous ne voyons point là une « bonne idée » et il nous semble tout de même plus sain de rechercher un impact général qu’un tel compartimentage. Cela est encore bien trop alambiqué pour espérer parvenir à mettre en évidence la réalité du rapport  Ciel-Terre, pour parler comme dans le premier verset du Livre de la Genése, ce qui doit passer par le constat d’une certaine synchronie entre les humains, laquelle n’est possible-paradoxalement- que du fait même du rapport Ciel-Terre, en tant que  cause centrale d’un tel phénoméne.
En d’autres termes, il importe que l’impact d’une configuration donnée  concerne tout le monde, au même moment, et  ce, sans le moindre décalage. Rappelons qu’en astrologie EXOLS, l’on travaille sur une succession  et une alternance (équinoxe/solstice) de phases de 7 ans. Cela conduit à des mouvements en sens inverse et l’on imagine quelle serait la confusion si cela partait dans tous les sens, ce serait carrément illisible, sans parler du nombre de planétes prises en compte. On se contentera donc, prudemment, de suivre l’alternance de deux temps, l’équinoxial et le solsticial,  avec leurs impacts respectifs, à partir du cycle de Saturne autour des axes équinoxiaux et solsticiaux.. En phase solsticiale, on voudra maintenir un certain statu quo, en préservant les diverses structures existantes, telles que les religions et les nations, en s’inspirant d’un imaginaire collectif  traditionnel. Il faut comprendre que lors d’un tel changement de phase, les sociétés tendront à se comporter « comme un seul homme » en un même mouvement. Et c’est l’observation massive et quantitative d’une telle synergie d’ensemble, ce qui n’empêchera nullement une certaine diversité puisque les mémoires du passé peuvent indéfiniment varier . Mais  la démarche mémorielle sera grosso modo la même, partout sur notre globe. Inversement, en phase équinoxiale, il ne s’agira pas d’un retour vers un passé existentiel, à l’échelle de quelques générations  mais bien plutôt d’une passé « essentiel », d’une problématique métaphysique visant à restituer le « plan divin », ce qui exige de creuser bien plus profond que pour la phase solsticiale et là encore, une même synergie devrait pouvoir s’observer et se préter à la comparaison et à la convergence, par delà les différences  qui tendront cette fois à s’estomper. Dans le cas de la solsticialité, on sera plutôt sur une pente centrifuge et dans celui de l’équinoxialité, sur une pente centripéte.
JHB   17 05 22

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jacques Halbronn Sociologie. Intégration. Les handicaps temporaires et les pérennes.

Posté par nofim le 15 mai 2022

jacques  Halbronn  Sociologie.  Intégration. Les  handicaps  temporaires  et les pérennes   

 

En matière d’intégration, toutes les différences ne pésent pas du même poids.  Il est clair que l’enfant qui vient au monde sera confronté à des obstacles temporaires qui se résorberont avec le temps. Ce ne sera qu’une question de temps.  L’obstacle linguistique est également voué à s’estomper, à des degrés divers,  avec l’apprentissage des langues pour un étranger. Quant à l’obstacle religieux, il pourra  être franchi par la conversion ou par une pratique privée, ce qui peut relever de la laîcité plus ou moins marquée d’une société à l’autre.

Il  en est autrement des « handicaps » -au prisme de l’intégration- liés au sexe, à la couleur de la peau qui ne disparaissent pas avec le temps et ce, même sur des générations, ce qui montre les limites de la francophonie des immigrés. Le conflit ukrainien a mis en évidence cet apparent paradoxe, à savoir que les immigrés ukrainiens, quelle que soit leur méconnaissance de la langue française, auront à terme des perspectives d’intégration, plus  heureuses que les originaires de pays « francophones » d’Outre mer. On est là face à des « handicaps » pérennes que ni la naturalisation, ni la conversion ne sont en mesure de dépasser. Il en est de même pour le sexe, même si l’on peut envisager des opérations « transgenre ».  La différence, c’est qu’une femme peut  éventuellement engendrer des garçons alors qu’en ce qui concerne la couleur de la peau, il faudrait passer par le métissage, ce qui ne résout pas totalement le probléme « visuel », celui de la perception « immédiate », laquelle reste déterminante. Entendons par là que ce n’est que dans un second temps, que l’on pourra prendre connaissance d’autres données chez autrui que celle qui « sautent aux yeux » (le  rôle du  « faciés » pour les contrôles d’identité, de police) et relévent de certains automatismes,  car, qu’on le veuille ou non,  les contacts sociaux impliquent un premier tri, qui ne donne pas du temps au temps.    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB   15 05 22

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jacques halbronn Epistémologie. La notion d’individu, comme cache misère de l’ignorance structurelle

Posté par nofim le 29 avril 2022

jacques halbronn Epistémologie  de l’astrologie  La notion d’individu, comme cache misère de l’ignorance structurelle 

 

Quand on ignore à quelle catégorie correspond un « objet » d’étude, on sera tenté de le décrire comme un phénoméne particulier, qu’il importe d’appréhender en tant que tel. Or, une telle présentation des choses est surtout aveu d’ignorance, d’incompétence comme quand on ne parvient pas à identifier un dysfonctionnement,  à le qualifier, à le diagnostiquer. Car une maladie n’est gage de l’individualité d’une personne tant qu’on ne l’aura pas « nommée ». explicitement. Il importe de rappeler que la nouveauté ne signifie pas une non appartenance. Un physicien qui innove reste un physicien et d’ailleurs, tout comme un compositeur, que vaudrait son travail s’il n’apportait pas quelque chose de neuf. Autrement dit, ni la maladie, ni la créativité  ne font obstacle au processus de classement. 

Or, dans le cas de l’astrologie, il semblerait que l’on ait choisi de jouer la carte de la « personnalité », comme dirait Rudhyar (Astrology of Personality)., ce qui est un leurre. Il n’est de science que du général et engager la recherche astrologique dans le créneau « individu » nous semble assez malheureux. C’est d’ailleurs en ce sens que l’on pourrait qualifier l’astrologie de « pseudo-science » autour de cet « outil » que serait le thème natal (astrologie généthliaque).

Par  ignorance structurelle, nous entendons l’incapacité à prendre connaissance des catégories, des clivages qui balisent toute société dans le temps et dans l’espace. Dans l’espace, comme dans le cas emblématique de l’homme et de la femme et dans le temps, à propos de la succession et de la durée des périodes, des phases. C’est ainsi que se polariser sur un instant donné serait la marque d’une certaine ignorance structurelle, incapable de situer cet instant au sein d’un ensemble, d’une série tout comme se polariser sur un individu donné, comme s’il était un cas unique en son genre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  28 04  22

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jacques Halbronn La femme, par qui le scandale et l’offense arrivent

Posté par nofim le 28 avril 2022

jacques  Halbronn   La femme, par qui le scandale et l’offense arrivent .

 

 

  Dans nos travaux consacrés aux topiques  freudiennes, nous avons notamment étudié la question de la formation du Surmoi féminin par le père (et inversement pour celle du Surmoi masculin par la mère) en situant le « ça » (« Es ») en dialectique avec le Surmoi. Nous dirons que le ça  correspond à un relâchement du Surmoi, à un « défoulement » à l’encontre du « refoulement » surmoïque, ce que nous associons à une affirmation de liberté, d’un droit au dépassement des limites, des bornes, à leur « outrepassement » (trespass). Chez la gent masculine, les effets d’un tel processus affecteront surtout le physique: excés de boisson, pondéral (en rapport avec le goût et l’odorat) alors que chez la gent féminin, les « dégâts » se situeront plutôt au niveau relationnel, sociétal.

Que doit-on entendre par là?. Nous avons annoncé la couleur, avec notre titre: le scandale et l’offense. La tentation pour les femmes serait de braver les interdits quant à ce qui peut ou ne peut pas se dire, d’où une propension à révéler des « secrets » susceptibles de faire scandale et à manquer de tact  par une sorte de jubilation, de défoulement à surprendre sans craindre le scandale.  On pense à la formule chrétienne du « pardon des offenses » et selon nous celle-ci émanent souvent des comportements féminins et d’ailleurs,  l’exacerbation du « ça » ou le « pied de nez » au Surmoi sont souvent  justement suivis d’un désir de se faire pardonner par l’offensé car celui qui aura ainsi  débordé  aux dépens de son prochain, sera éventuellement pris  de remords.

 

  On pense évidemment aux accusations de viol formulées par les femmes (cf le récent ouvrage autour de l’intouchable PPDA) Selon notre grille de lecture, révéler que l’on a eu à subir un viol peut tout à fait s’inscrire dans une certaine propension des femmes  à  vouloir  ‘choquer » par leurs  propos et d’ailleurs, sans aller jusqu’à des plaintes en bonne et due forme, il est possible que les rencontres privées entre femmes ne sont pas exemptes de révélations plus ou moins calomnieuses – ou en tout cas indiscrétes, indécentes  voire obscénes- aux dépens des hommes, notamment dans les sociétés au sein desquelles les femmes se sentiraient frustrées, à un titre ou à un autre, ce qui pourrait s’apparenter à une forme de vengeance.. Est- ce à dire que dans certains cas, l’on ne serait point tenté d’en rajouter d’autant qu’il n’y a a généralement pas de témoin, vues les circonstances. 

Ce point là nous semble remarquable car les femmes ont une propension à raconter des choses que leur auditoire n’est pas en mesure de vérifier et qui ne dépendent que d’elles. On est ici loin des débats philosophiques, socratiques auxquels chaque participant peut apporter sa contribution car il y est alors  question  de données accessibles à tous, à un degré ou à un autre. C’est ce qui distingue d’ailleurs l’auteur de romans, de scénarios, de l’essayiste.

Revenons sur notre philosophie du couple homme-femme car les deux sexes ne sont pas sur la même longueur d’onde. La femme a besoin d’admirer la trajectoire de l’homme, ce qui signifie qu’elle est censée investir dans la longue durée alors que l’homme sera marqué par la présence physique  d’une femme, ici et maintenant, jour après jour.  La formule  « sois belle et tais-toi » semble assez bien résumer la situation dans la mesure où les tendances décrites plus haut risquent de mettre en péril  un tel « échange de bons procédés ».

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB   28 04 22

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Jacques Halbronn Cyclologie et Sexologie.

Posté par nofim le 16 avril 2022

Jacques Halbronn    Cyclologie  et Sexologie. 

 

 

Selon nous,la détermination du caractère de base ne dépend pas de l’étude des astres puisque les astres ne sont responsables que de ce qui est mouvement.Il y aurait là contradiction dans les termes. Notons  que la carte du ciel  ne respecte pas un tel principe, elle est un « arrêt sur image », une fixation arbitraire qui introduit une spatialité  au sein d’une temporalité. Et c’est précisément cet  OVNI  qu’est le « thème » qui serait devenu  la pierre de touche de la pratique astrologique depuis tant de siècles.  Nous avons proposé dès 1976 dans « Astrologie Sensorielle » (Ed Cosmopolitan, en ligne sur la plateforme SCRIBD) de rechercher la signature planétaire d’une personne au moyen de tests liés à sa structure sensorielle. 

 Nous associons à présent une telle structure avec le sexe. Les hommes seraient plutôt Ouie et Vue et les femmes plutôt Goût et Odorat. (cf nos vidéos à ce sujet), ce qui détermineraient une différence des « surmois » et des « ças », pour reprendre la terminologie des topique  freudiennes. Le Surmoi masculin  controlerait l’ouie et la vue mais connaitrait un relachement pour le goût et l’odorat et inversement pour le Surmoi féminin. 

Nous ajouterons qu’il se produit une forme de sublimation permettant la synthèse  entre le Surmoi  et le ça. L’homme  comme la femme parviendraient à maitriser leur  « ça » en se servant de leur « surmoi » . C’est ainsi que l’homme arriverait à éviter les excés liés à l’odorat et au gout en faisant intervenir la vue et l’ouie.  Il se contenterait, de préférence, à regarder plutôt qu’à toucher,  tant dans le  domaine alimentaire que sexuel, d’où l’importance de nos jours de la pornographie, ce qui passe par les arts plastiques, et par le cinéma que nous assimilerons à un art plastique. Quant à la femme, elle  parviendrait à controler les derives de son ‘ »ça » auditif et visuel en faisant jouer le gout et l’odorat. On pense à la dimension sociale du repas (goût), entre autres.   

D’après notre anthropocosmologie, il importe de ne pas tout miser sur la dimension céleste mais bien de faire appel parallélement à la dimension terrestre, et donc anatomique, sensorielle fixe en introduisant un aspect cyclique, lié aux phases de 7 ans (cf Astrologie EXOLS) dans la description dynamique du psychisme..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB   16 04 22

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