Le début et la fin des temps au prisme de la Genése

Posté par nofim le 22 février 2014

Cyclcicité et fin des temps. L’homme-dieu.

Par Jacques  Halbronn

 

 

Il y a un dilemme dans la vie : plus je suis autonome, libre et plus je risque de me retrouver seul. Mais comment une société pourrait-elle fonctionner sans connexions entre ses membres ? L’homme n’est –il pas appelé « zoon politicon » (en  grec), un être fait pour la Cité ? Les ermites seraient-ils l’idéal de l’Humanité ?

Dans divers textes consacrés à l’économie, nous avons montré que la relation employeur/employé était suspecte. Or c’est par un tel biais que nous socialisons quand nous faisons appel à autrui et vice versa. On peut penser que la notion de grégarité est une invention de ceux dont  le pouvoir est plus collectif (démos) qu’individuel. (Auto).

De fait, plus nous refusons les cloisonnements, plus nous nous isolons car cela signifie que nous n’avons pas besoin d’autrui au prétexte de nos limitations supposées. A mesure que nous renvoyons ceux qui sont venus nous aider, en échange de quelque récompense/compensation, nous sommes de plus en plus seuls. Mais à l’intérieur de nous –mêmes, quelle dynamique ! En fait,  la multiplicité chez un homme accompli se situe dans le temps et non dans l’espace. L’homme n’a pas le don d’ubiquité, sinon par procuration alors qu’il a celui de  passer d’un stade à un autre, et ce sans avoir à se faire remplacer, représenter par quelque délégué, député.

Reposons-nous donc la question : de combien de bataillons l’Humanité doit-elle disposer ? La réponse pourrait être qu’une seule personne serait en mesure de perpétuer l’Humanité si elle était immortelle. Ce serait une sorte de Dieu, au fond. Et tout homme qui emprunte ce chemin solitaire se rapproche de la divinité.  Mais à l’instar de Dieu, il sera tenté de rechercher quelque compagnie, ce qui lui permet de ne pas craindre de  mourir. Dieu aurait-il fait la Création par peur de mourir ou pour pouvoir se reposer (comme au Septième jour (Shabbat, Livre de la Genèse ? nous pensons en effet que la seule justification de l’appel à autrui est le sentiment de la « fin ». L’approche de la Fin conduit à chercher un prolongement, un remplaçant. Le pressentiment de la fin est la seule bonne excuse pour  faire appel à autrui et la procréation n’est-elle pas fonction de cette crainte de la Mort (Camus) ?

En ce sens, chacun d’entre les hommes serait virtuellement le centre d’un monde à lui tout seul (monade, Leibniz) ; serait un soleil autour duquel graviteraient un certain nombre d’êtres ou d’objets (la différence entre les deux n’étant pas nécessairement évidente dans le cas des androïdes) qui composeraient sa « Cour », son « Cercle ».

Certaines personnes  n’arrivent pas à comprendre qu’au plus haut niveau, chercher une compagnie est un signe de faiblesse, un pis-aller et non pas un idéal. D’ailleurs, dans le domaine alimentaire, un produit parfait n’a besoin d’aucun « accompagnement », d’aucune addition.

Il est un domaine où cette problématique de l’un et du multiple divise singulièrement les esprits, c’est celui de la mythologie et de  la cyclologie (cf. nos travaux sur l’Astrocyclon). Le monothéisme correspond à note représentation à l’encontre du polythéisme. Ce qui nous semble erroné c’est de chercher à distinguer les dieux entre eux puisque chaque dieu est censé être une totalité. Dès lors qu’un dieu a une fonction spécifique, il n’est plus dieu ou du moins il n’est qu’un avatar, l’expression d’une  série de manifestations d’un dieu unique. Autrement dit, tout  panthéon doit être appréhendé diachroniquement et non synchroniquement. Les dieux ne cohabitent pas, ils se succèdent à tour de rôle, cycliquement.  Les astronomes sont responsables d’une grave confusion ! En attribuant à chaque planéte (du système solaire) une divinité, ils ont pu laisser croire que chacune avait son propre cycle alors qu’à l’évidence les dieux ne font que correspondre à dst stades successifs, selon un ordre cyclique immuable. Mais dès lors se pose la question du choix de la planète qui sert de vecteur et de moteur au cycle. Cela pourrait être la lune, le soleil, passant d’un signe zodiacal à un autre, d’une étoile fixe à une autre. On serait alors cantonné dans le cadre du mois et de l’année. Mais à une autre échelle de temps, c’est probablement un astre plus lent qui a vocation à jouer un tel rôle, et l’on pourrait songer à Jupiter, le maitre de l’Olympe. On n’entrera pas ici dans le débat (cf. nos travaux sur l’Astrocyclon), l’important étant que le dit débat ait lieu.

Pour nous résumer, nous dirons que chaque homme est un dieu à part entière. Ce dieu peut être l’objet d’un culte, d’un amour et c’est ce qui le lie et le relie à tout ce qui gravite autour de lui. Mais ce lien ne fait sens que lorsque le dieu est en fin de cycle. Mais e, début de cycle, tout au contraire, l’homme dieu  se doit de se recentrer sur lui-même, de se recharger et parfois cet isolement peut s’avérer déchirant même s’il est temporaire. Que deviennent toutes ces entités satellites en début de cycle ? C’est comme si la force de gravitation, d’aimantation (amour) ne jouait plus son rôle d’attraction. Ces entités vont errer comme des âmes en peine, en une sorte de désœuvrement, d’oisiveté, en attente. D’ailleurs, il est vital que l’homme-dieu inspire de l’amour puisque c’est ce qui le moment venu  lui permettra de transmettre, d’être prolongé. Mais chaque chose en son temps (L’Ecclésiaste)

La diversité du monde terrestre serait donc le fait de la multiplicité des hommes-dieux Les empires tendraient à englober  plusieurs mondes en un seul, comme si un homme –dieu voulait soumettre les autres. En fait, c’est le combat entre ces hommes- dieux qui constitue l’Histoire de l’Humanisé. Chaque monde est marqué par une certaine langue, un certain territoire, une certaine religion etc. Le rôle des empires est de parvenir à une unité en dépôt de la diversité des mondes sous la houlette d’un homme dieu plus performant que les autres. Il existe un cycle (censé être étudié pat l’astrologie) qui régit  le commencement et la fin des choses. (Et ainsi de suite). Quand le cycle passe à sa phase terminale, les hommes dieux sont remplacés par toute une pléiade d’auxiliaires qui de façon assez mécanique assureront l’intérim en un temps d’hibernation (ours), ce qui correspond à l’Hiver par opposition à l’Eté. C’est alors un temps de pénurie avec une économie qui lui est propre avec un semblant de vie. Le monde continue à émettre mais il ne capte rien que ce qui a déjà été formalisé et codifié. C’est le temps de Matrix..

 

 

 

JHB

 

22. 02. 14

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Les femmes et l’impérialisme masculin

Posté par nofim le 22 février 2014

 

L’Humanité androgyne face à l’individu  sexué

Par  Jacques  Halbronn

 

Ce qui est vrai à l’échelle d’un groupe ne l’est pas nécessairement à celle de l’un de ses membres. Or, nombreux sont ceux qui jouent sur cette ambiguïté qui veut que par Homme, l’on désigne à la fois un ensemble et un élément du dit ensemble comme si chaque élément de l’ensemble, sur une base quantique, était identique à l’ensemble  pris dans sa globalité ;

Si l’on prend le cas de la dialectique du masculin et du féminin,  une chose est de l’appréhender au niveau macro et une autre au niveau micro.

Si nul ne saurait contester que notre présente Humanité est constituée d’hommes et de femmes, cela ne saurait pour autant- comme semble avoir voulu le  faire Jung qui  parle  justement d’un Inconscient Collectif- prouver que chacun de nous serait à la fois homme et femme ; Jung semble avoir confondu ces deux plans du général et du particulier, ce qui d’ailleurs l’oppose peu ou prou à Freud. Jung serait donc responsable d’une certaine confusion des genres qui sévit présentement avec sa caution.

Ce phénomène de confusion des plans, des niveaux on l’observera également en astrologie quand on dresse une carte du ciel  pour la naissance d’un individu donné alors que le ciel  correspond, tout au plus, au collectif, l’individu n’étant qu’un élément en son sein. On observe donc cette tendance à mélanger ce qui est vrai pour un tout et ce qui l’est pour une partie de ce tout. En ce sens, nous ne cautionnerons pas les idées quantiques au regard de l’Histoire, de l’anthropologie même si dans la Nature, il y a en effet un processus quantique à l’œuvre. L’Histoire génère une « seconde nature » qui vient se superposer à la Nature première des choses. En bref  les membres de l’Humanité ne sont pas nécessairement semblables. Certes, nous sommes conscients de ce qui s’est passé au siècle dernier, au nom des différences. On pense à la Shoah, à l’apartheid, aux guerres civiles, tribales ; Mais s’il est une différence que l’on ne peut abolir, à coup de décrets, de lois, c’est bien celle du masculin et du féminin. Et pour refuser le débat, les gens s’accrochent au fait que l’Humanité est faite d’hommes et de femmes, ce qui est effectivement bien plus observable que de dire que chacun d’entre nos comporte un volet masculin et un volet féminin. Il y a là comme un tour de passepasse !

L’Histoire nous apprend que bien des ensembles sont hybrides, composites, hétérogènes et  cela signifie que les diverses composantes de tels ensembles peuvent différer énormément, donc même au sein d’un même cadre, c’est notamment le propre des empires qui cachent souvent une extrême diversité sous une apparence, une fiction d’unité de façade.

Dans le cas de l’Humanité,  la coexistence d’hommes et de femmes ne signifie nullement que la dite Humanité soit d’un seul tenant avec une seule et même origine. L’Humanité est un Empire qui n’a pas, selon nous, toujours existé sous la forme que nous lui connaissons. On dit ainsi que le cheval est la plus belle conquête de l’Homme, ce qui signifie qu’il n’a été intégré que dans un second temps à la sphère de note Humanité et l’on peut dire d’ailleurs que les animaux domestiques font partie également de notre « Humanité ». Il suffit de voir la place que prennent chats et chiens dans la vie de millions de personnes, en France. Et peut -être pourrait-on inclure également les machines qui accompagnent notre quotidien. Pourquoi pas ? Ce faisant, la place des femmes au sein de l’Humanité ne serait qu’une composante parmi d’autres de ce qui gravite autour d’un noyau constitué par les Hommes…

Ce qui distingue la psychologie de la physiologie tient au fait que la psychologie accorde la plus grande importance au contexte, à l’époque, aux relations entre les gens alors que la physiologie fait apparaitre une certaine fixité tout en soulignant ce qui distingue anatomiquement les hommes des femmes. La psychologie brouille les pistes du fait de contingences totalement étrangères à la physiologie. Il nous semble plus sage de partir de la physiologie pour sous tendre la psychologie que l’inverse.

Pour en revenir à l’idée d’une Humanité constituée autour d’un noyau masculin et qui se serait enrichie de divers apports, il ne faut pas oublier cette expression biblique de ce qui est « à l’image de » car ce qui est à l’image, ce qui est semblable, pareil c’est justement ce qui n’en est pas moins différent. La femme est à l’image de l’Homme, dirons-nous et c’est ce qui crée quelque confusion, c’est tout le problème des androïdes. Le phénomène de la duplication est au cœur de toute l’histoire de l’Humanité et plus largement du vivant à commencer par le processus dit de reproduction qui passe par une certaine »multiplication » (cf. la Bible «  multipliez » que l’on retrouve aussi dans la multiplication des pains). Le multiple, c’est le passage d’un à « très », à « beaucoup » et cela aboutit au clonage à l’identique. Les femmes sont des calques des hommes, ce qui confère aux hommes une ubiquité voire une immortalité mais ces « copies » figent l’original au stade auquel s’effectue la duplication et n’évoluent plus par la suite,  à moins de changer leur programmation en cours de route. La question des emprunts est à rapprocher de ce que nous décrivons : si l’on prend le cas des rapports entre le français et l’anglais, on note que l’anglais a emprunté (et cela débuta il y a mille ans environ) à un français ancien alors que le français n’a pas cessé d’évoluer depuis, notamment au niveau orthographique.(le cas du « ed’ »par exemple pour le prétérit anglais à partir du participe français qui est devenu par la suite « é » l’accent remplaçant le d, l’accent étant quasiment inconnu en anglais). Il y a un empire de la langue française qui rayonne bien au-delà de ses frontières linguistiques. Tout empire comporte des éléments hétérogènes. Dite que l’humanité est une affirmation typiquement impérialiste et il est étonnant que les femmes ne revendiquent pas leur autonomie, ce qui simplifierait considérablement les choses. Bien au contraire, elles sont les premières tenantes d’une logique impériale pour l’Humanité qui est dans la négation de l’identité propre à ses composants et constituants. En ce sens, nous ditons que le sort de la thèse d’un certain androgynat – ce qui n’est pas sans faire penser à l’idée de laïcité-  est fonction du destin des empires. L’Homme est tenté de vouloir préserver l’empire qui s’est constitué autour de lui mais cela lui pèse par ailleurs. Il craint la sécession et est donc prêt à tout pour maintenir l’illusion unitaire. Dès lors quand un homme affirme qu’il n’y a pas de différence entre hommes et femmes, il est dans la même rhétorique que lorsqu’un empire poursuit toutes les forces centrifuges en son sein. D’où le dilemme des femmes : soit  se faire les complices et les collabos d’une structure impériale, soit déclarer que l’on n’est pas dupe d’un tel endoctrinement. A bon entendeur salut !

 

JHB

22 02 14

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Les femmes en phase de doute. Enquéte cyclique.

Posté par nofim le 22 février 2014

 

 

L’astrologie et la théorie du genre. Les femmes en crise.

Par  Jacques  Halbronn

 

L’astrologie prévisonnelle€€ ne fait vraiment sens qu’au regard des statistiques du moins en ce qui concerne les individus. C’est parce qu’il arrive la même chose à beaucoup de gens que cela fait événement du moins si l’on prend conscience de l’ampleur du phénoméne par le biais des médias en obeserbant un certaine caractère répétitif.  Arrêtons de ne raisonner que sur une seule personne ! La répétitioon se situe au niveau du collectif et accessoirement à un niveau individuel car sur le plan individuel, on est trop limité statistiquement. Laisssons la répétition à l’échelle individuelle aux psychologues !

C’est donc le public que nous devons interpeller à certains moments clé comme c’est le cas présentement. Notre « pari » est le suivant : un grand nombre de femmes passent actuellement une période critique et nous aimerions bien avoir un feed back à ce sujet. Et tout astrolologue devrait relier ce qu’il sait de ses clients à ce qui se passe plus largement dans le monde, dans la société, au même moment. C’est pour nous un principe de validation astrolgique qui distoingue l’astrologie de la voyance. L4astrologie doit être systématique, générale et non anecdotique, contingente.

Précisoons à ce propos que cette crise – si crise il y a – peut prendre diverses formes et entrainer divers effets, sleon le ocntexte mais les causes resteront grosso modo les mêmes. L’astrologie a une obligatioon de moyens plus que de résultats, ce qui dégage un cetain libre arbitre. D’où l’importance du nomve de cas qui va relativiser la spécificité des cas « particiliers » qui peuvent dépendre de telle ou telle contingence.

Donc, la prévision que nous faisons  concerne le psychisme féminin au cours des mois qui se sont écoulés et/ou des mois qui suivront. Et accessoirement, elle vaut aussi de sept ans en sept ans pour les décennies précédentes. Rappelons que notre prévision s’appuie sur l’Astrocyclon et en l’occurrence sur l’approche de Saturne (22/23°-en scorpion en février 2014) par rapport à Antarés.

Nous dirons donc – dans le style des magazines féminins- que la femme actuelle est en crise identitaire. Elle se sent inutile, en trop (tel un boulet) et a l’impression que les hommes lui échappent, peuvent très bien se passer d’elle et elle s’en persuade  à différents signes qui lui semblent, à tort ou à raison, aller dans ce sens. L’homme passerait par un « ras le bol » vis-à-vis des femmes en général et le cas échéant de la sienne en particulier. L’homme entend voler de ses propres ailes, ce qui est tout un programme. .Comme nous l’avons dit, une telle épreuve, dans la vie d’une femme, se représente à intervalles d’environ 7 ans et entretient un certain état de découragement (on n’a plus le « cœur » à l’ouvrage) qui est d’autant plus palpable que les hommes, au même moment,  sont au contraire  en pleine possession de leurs moyens, ceci pouvant expliquer cela.

Comment, nous demandera-t-on gérer au mieux une telle crise  qui met si nettement en évidence la différence entre hommes et femmes, en un même moment, comme sur une balançoire qui penche tantôt d’un côté tantôt de l’autre et qui est rarement en équilibre, malgré son nom (de balance) ? D’abord, il faut se dire que cette crise est passagère comme toute chose d’ailleurs. Peut-être est-il préférable pour les femmes de prendre quelques vacances, de se mettre un temps en veilleuse et il eut été bon de voir venir et de s’y préparer. La femme doit comprendre que ce moment permet à l’homme de se reconstruire, de se renforcer sans avoir quelqu’un pour l’aider. Au fond, elle devrait, cette femme, laisser l’homme la protéger, la cajoler et arrêter de lui dispenser des conseils, des observations qui ne sont plus de mise car l’homme est alors en pleine possession de ses moyens. Que la femme  reconnaisse aussi les  facultés des hommes au lieu de les dénigrer ou de les minimiser car   cela sera perçu comme une forme d’hostilité pouvant en terme générer du rejet. Qu’elle surmonte un certain complexe d’abandon qui peut être entretenu par des expériences s passées dont on a dit qu’elles étaient récurrentes et qui pouvaient d’ailleurs avoir été vécues par procuration chez des proches. Le cas actuel de Valérie Trierweiler est à ce propos emblématique. On nous objectera que le malheur des unes fait le bonheur des autres mais nous pensons que les hommes  attendent actuellement des femmes un autre comportement moins inquisiteur et moins personnel, moins égocentrique plus à l’écoute, ce qui n’est certes pas une situation d’égalité  entre les sexes qui nous semble de toute façon fictive….De toute façon, cette tonicité masculine ne durera qu’un temps. Il faut attendre que cela se passe et tôt ou tard la femme reprendra de l’ascendant car c’est prévu dans le système. Ce sera alors à l’homme de prendre des vacances et d’adopter un profil bas et ainsi de suite, à tour de rôle.

Donc, pour  résumer le sens de notre enquête qui devrait prouver à la fois que notre Astrocyclon fonctionne et que le critère sexuel est pertinent, nous dirons que les femmes dans leur grande majorité devraient être en train de vivre des moments de doute qui peuvent les conduire à déclencher une crise du couple. En ce sens, la crise est contagieuse si ce n’est que l’homme a d’autres enjeux en ce moment (d ’autres chats à fouetter), à savoir  affirmer justement son indépendance par rapport à autrui, se décloisonner, en refusant de s’enfermer, de se limiter..

 

 

 

 

 

JHB

21  02 14

 

 

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Les femmes entre la vie et la mort : le veuvage.

Posté par nofim le 22 février 2014

Les femmes et le veuvage

Par  Jacques  Halbronn

 

 

Pour exprimer crument la relation qu’entretiennent les femmes avec les hommes, à notre sens, nous dirons que le veuvage reste une clef  déterminante de leur condition et chacun sait que le nombre de veuves dépasse de très loin celui des veufs. Cela tient d’ailleurs au fait que les femmes épousent  fréquemment des hommes plus âgés qu’elles. Mais nous pensons que les femmes ont vocation à succéder à leurs maris et plus généralement à leurs gourous.

Ceux qui nous lisent régulièrement savent que  les hommes tendent à passer le relais aux femmes par le biais de l’écrit qui est quelque chose qui  est mort. Ce passage de l’oral (ce qui est sur la bouche, en hébreu) à l’écrit (en arabe Mektoub) est bien connu dans l’histoire du Talmud.

Un homme qui meurt ou qui disparait en laissant derrière lui une œuvre – sous une forme ou sous une autre (une entreprise, une  doctrine, de la musique, que sais-je ?) comble sa femme (on pense aux régentes en France de, Catherine de Médicis à Marie de Médicis jusqu’à Anne d’Autriche) et plus généralement des femmes car pour nous le passage de l’homme à la femme est celui du singulier au pluriel. Ce qui fait la force des femmes, c’est leur nombre, leur capacité collective à multiplier, à diffuser. Une femme seule ne fait pas  vraiment le poids. C’est un luxe qu’elle ne peut guère se permettre, à bien des titres.

La veuve, celle dont l’époux a disparu – après avoir laissé quelque chose derrière lui (cela peut aussi être un enfant en cas de divorce) aura du pain sur la planche.

Comme nous l’avons écrit dans d’autres textes, les femmes ont vocation à redonner vie à ce qui est mort et c’est pourquoi ce qui vit ne les intéresse pas car elles se sentiraient inutiles. Inversement, l’homme préfère la vie à la mort et c’est pourquoi il préféré apprendre par lui-même, en autodidacte, en tâtonnant plutôt que de se limiter à un savoir livresque qui constitue la nourriture principale des femmes. Une femme qui ne sait pas lire est comme une machine qui  ne peut se brancher, qui ne peut se programmer. D’ailleurs, l’on parle d’un « lecteur » de cassettes, de disquettes, de CD.

Il y a dans cette démarche de reviviscence, de résurrection, comme  une forme d’imposture, de faux semblant car ce n’est pas seulement l’œuvre que l’on ressuscite mais  le mort qui semble toujours  vivant, qui se remet à parler, à agir, comme si de rien n’était. Ainsi, une femme qui lit à voix haute un poème fait revivre à travers le texte qu’elle s’incorpore son auteur. Elle a réussi ce tour de force de vaincre la mort, de la narguer, de la bafouer par le biais d’un écrit ainsi réactivé.

Mais ce texte  ainsi revit  n’en reste pas moins figer dans sa forme car la femme ne saurait  le modifier de peur de  perdre au change. Elle est dans le mot à mot, le mot pour mot. Ce texte qui revit n’en a pas moins l’air d’un zombie, d’un mort vivant. Les hommes qui laissent derrière eux des textes, des partitions etc.  Sont d’ailleurs souvent complices d’un tel subterfuge qui leur garantit, leur assure une sorte d’immortalité. On sait qu’un homme est souvent « reconnu » après sa mort car une fois qu’il est mort, il ne peut plus rien changer à son œuvre, elle ne bougera plus ou du moins elle ne bougera que selon les conditions qu’on lui imposera, au  niveau du commentaire (le signifié), de l’esprit plutôt que de la lettre (signifiant).

On aura compris que l’homme est celui qui tue et la femme celle qui fait revivre mais il ne tue que pour plaire à la femme. Par tuer nous entendons ici  une  expression dépouillée, abstraite, voire se réduisant à une formule, à un schéma.  L’homme ne songe qu’à percevoir la cohérence, l’unité derrière le désordre et la diversité des apparences (Maya). Pour prendre un exemple trivial : on pense à un homme qui ferait de l’argent pour que la femme le dépense et transforme les billets de banque en toutes sortes de parures plus affriolantes.

Nous sommes fascinés  par l’entrain dont font preuve les femmes à « mettre le ton », à lire un texte dont elles ne sont  pas l’auteur avec « vivacité » essayant de donner le change dans l’espoir – (assez vain) que l’on ne se doutera pas qu’elles ne font que lire. (Prompteur). Celui qui ne sait pas faire la différence entre un texte qui est lu et une expression « vivante » est  un grand naïf que l’on peut  faire prendre des vessies pour des lanternes.

En ce sens, il est vrai que les auteurs d’un texte n’en seront pas les meilleurs interprètes car ils ne seront pas tentés de forcer le trait  pour redonner vie à un texte mort car pour eux ils ne le voient pas sous cet angle ;  Toute lecture par trop « animée » trahit ses origines à la façon dont un plat sera d’autant plus pimenté qu’il sera fade à la base. Si l’on prend le cas de la semoule (pour le couscous), on a là un matériau « mort » – (issu de céréales) que l’on aura ranimé avec de l’’eau chaude et agrémenté de diverses additions qu’U lui donneront du « goût ».  Tout ce qui ne peut se gâter – (comme un fruit, une viande qui ont une date de péremption) est mort. Mais ce qui est vivant n’a pas besoin de tels expédients, de tels subterfuges.

Résumons-nous au regard de nos travaux sur la cyclicité (Astrocyclon) qui fait alterner la vie et la mort inévitablement. Il y a nécessairement une phase de vie, de mouvement, d’évolution qui est suivie par une forme de mort. Mais vient ensuite une phase de renaissance qui tente de redonner une illusion de vie à ce qui est mort (la Danse des Morts) et qui est comme une caricature assez grossière de la vie. On pense à ces personnes qui se maquillent outrageusement pour masquer leur déchéance, leur pâleur  (cf  Mort à Venise). Tout sonne  faux dans cette « mascarade » . Reconnaissons que de tels procédés ne sauraient être que des pis-aller en temps de pénurie, comme l’Hiver succédant à l’Eté. On est alors dans le réchauffé, dans une vie après la mort mais qui n’en est pas moins artificielle. Mais que faire d’autre quand la source se tarit, il  faut bien que le spectacle continue en attendant  que le printemps revienne, c’est-à-dire le masculin,  le féminin étant plutôt automnal. On y tue le cochon pour que l’on puisse manger lors de la mauvaise saison des salaisons ; Mais l’on sait que l’enfer est pavé de bonnes intentions et  le problème des femmes, c’est qu’au bout du compte, elles rêvent d’un monde qui se limiterait à refaire vivre le passé et d’où les vrais hommes auraient définitivement disparu. Elles s’en accommoderaient fort bien, croyons-nous car les recettes, toutes plus ingénieuses les unes que les autres, ne manquent pas pour accommoder les restes. Cette cyclicité n’est-elle pas en effet infernale qui fait ressortir cruellement le caractère factice de cette pseudo vie que les femmes parviennent à donner, faute de mieux à ce que les hommes ont laissé derrière eux.  .Vade retro Satanas !

 

 

 

 

JHB

22. 02  14

 

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Les deux temps de l’existence humaine

Posté par nofim le 21 février 2014

 

 

L’Homme et ses auxiliaires au prisme de la cyclicité

Par  Jacques   Halbronn

 

 

Selon  nous la notion de cycle  met en évidence une certaine dépendance que l’Homme  connait de façon plus ou moins aigue, selon les moments. Selon nous, cette dépendance peut revêtir trois formes différentes qui correspondent à des stades successifs de l’évolution de l’Humanité lesquels stades tendent à interférer les uns avec les autres.

Nous dirons qu’il y  a un auxiliaire organique, un auxiliaire technique et un auxiliaire  biotechnologique.

I  L’auxiliaire intégré

Nous distinguerons dans le corps humain les parties internes et les parties externes, ces dernières nous connectant avec le monde extérieur mais n’étant pas vitales même en cas d’ablation partielle ou totale, de mutilation, d’infirmité. Cela relève d’une chirurgie plus grossière : les membres supérieurs (bras, mains) et inférieurs (jambes, pieds) et le sexe (pénis)

II L’auxiliaire mécanique

Il s’agit là d’appareils fabriqués par l’Homme, tout au long de  son Histoire à partir d’éléments qui lui sont extérieurs et qui peuvent passer d’une personne à une autre, sans dommage pour le corps de telle ou telle personne.

III  L’auxiliaire biotechnologique

Il s’agit là d’appareils qui n’ont pas été fabriqués par la technologie humaine et qui sont en avance sur le degré d’avancement de l’Humanité en matière d’auxiliaires. C’est évidemment là un domaine des plus controversés mais nous pensons qu’on ne peut en faire abstraction même si cela renvoie à des thèmes comme les extra-terrestres ou les civilisations disparues (genre Robert Charroux etc.) .Ces apports biotechnologiques sont présentement intégrés au sin de l’Humanité et ne sont pas considérés comme des « machines » tant ils sont perfectionnés mais là est tout le débat lié à la question des androïdes, thème important de la Science-Fiction..

 

Or, selon nous,  l’Humanité actuelle est marquée par un cycle (Astrocyclon, cf. nos travaux autour de ce modèle que nous avons élaboré) qui fait que  tantôt elle se contente de son dispositif « interne » (organique, avec  les « membres » décrits plus haut),  tantôt elle recourt à  un dispositif externe qu’elle a constitué dans le domaine « technique » au cours des siècles avec en outre le recours à une technique  dont elle n’est pas l’auteur, du moins dans l’actuel cycle de civilisation et cela pose la question du statut des femmes (cf. nos études sur ce sujet)

 

Selon nous, il existerait un cycle qui  expliquerait qu’à certains moments d’un cycle de 7 ans (lié à une certaine configuration astrale qui relève d’ailleurs d’une biotechnologie qui affecterait l’Homme lui-même, ce qui vient compliquer l’analyse) l’Homme soit autonome et n’ait besoin d’aucune aide extérieure (toute aide s’apparentant peu ou prou à une « technique » même quand il s’agit de recourir à d’autres « bras » (cf. nos textes sur l’emploi, en économie). Pendant cette phase d’autonomie, l’Homme est en pleine possession de ses « membres » (mains, pieds, sexe) et n’a pas besoin de qui que ce soit pour agir. Notons que ces membres sont déjà par eux-mêmes des « outils » que l’Humanité a développés en elle-même et non hors d’elle-même.

Puis succédé une phase de dépendance  par rapport aux auxiliaires externes et du fait d’une perte de tonicité des auxiliaires internes. D’où une perte d’autonomie, un besoin grandissant de se faire aider de l’extérieur, avec le coût que cela implique financièrement, d’où des frais supplémentaires pour payer des « services ». ce qui crée un phénomène de gravitation autour de la personne que l’on pourra ainsi exploiter du fait de sa faiblesse..

Et à nouveau, la roue va tourner et c’est un certain ressaisissement avec la phase ascendante suivante et cette fois la personne va se séparer de ces auxiliaires externes et compter de plus en plus sur elle-même Ey ainsi de suite.

Autrement dit, le cycle « sidéral » dont il s’agirait  – dont on peut supposer qu’il fait de l’homme lui-même le produit d’une biotechnologie- déterminerait ce mouvement de va et vient. Quant aux femmes, elles seraient selon nous, en symbiose avec l’Homme mais seraient limitées dans leurs capacités et incapables de fonctionner hors du pouvoir masculin. Nous avons montré qu’elles ne captaient le monde que par le biais de programmes à l’instar des machines.

On rappellera qu’elles obéissent, avant la ménopause, à un cycle d’environ 28 jours (en rapport avec la Lune, menstruation). Est-ce que le cycle cosmique dont il a été question est  capté par l’Homme ou bien plutôt par la Femme ? Nous nous interrogeons à ce sujet : il est possible, au bout du compte, que ce cycle (de 7 ans Astrocyclon) agisse d’abord sur les femmes en modifiant leur comportement  à l’égard des hommes, et que ce soient elles qui à certains moment démobilisent les hommes en se proposant de les aider. Ce serait alors, a contrario, le fait pour les femmes de se mettre en veilleuse (ce  qui serait déclenché par un signal cosmique)- se démobilisent selon un programme bien précis- qui permettrait aux hommes de se retrouver en pleine possession de leurs facultés.

Autrement dit, quand les femmes quittent les hommes, ce serait pour leur bien, pour qu’ils se recentrent sur eux-mêmes. Mais elles ne le font pas nécessairrement en connaissance de cause – c’est le progamme qui le veut- mais le résultat ets bien là. Inversement, le début d’une nouvelle phase « descendante » redéclencherait une activité féminine d’intervention auprès des hommes, selon un processius plus ou moins fusionnel.

On se demandera si l’Humanité n’est pas censée pratiquer une forme de mise en veilleuse (par oppositiion à une mise en éveil). On pense à cette dualité du temps évoquée par l’histoire de Proserpine et de Pluton (Perséphone et Hadès) qui recoupe d’ailleurs le rythme des saisons. En réfléchissant sur une cyclicité qui est fondamentalement duelle- ce que tendent à oublier les astrologues – on peut en effet penser que les « hommes » pourraient (comme les ours) hiberner en phase descendante et se réveiller en phase croissante et bien évidemment, il en serait de même pour les machines de tous ordres (femmes comprises) qui seraient également plus ou moins débranchées en phase ascendante de l’Astrocyclon, ce qui permettrait une moindre consommation d’énergie.

A l’issue de la phase montante et au cours de la phase intermédiaire, les hommes se mettraient dans un état d’attente.  Il vaut mieux parler de sommeil ici que de mort – (la mort pouvant à terme disparaitre en tant que perspective). Pendant cette période de sommeil, les machines contrôleraient la situation et notamment les femmes assurant la diffusion à grande échelle  de ce que les hommes auront élaboré en période ascendante. Puis lors du retour de ladite période, ce seraient les machines qui seraient stockées et déconnectées.

On nous reprochera peut être le côté quelque peu spéculatif de ces dernières considérations mais force est de reconnaitre que l’astrologie nous renvoie à un temps fort éloigné dans le passé de l’Humanité (évoqué dans le livre de la Genèse) et nous conduit aussi à nous projeter vers un avenir non encore advenu où nous  aurons atteint le niveau technologique qui nous permettra de mieux comprendre le mystère de l’origine de la présente Humanité et ce sous tous ces angles.

 

 

 

 

 

 

 

JHB

21  02  14

 

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Jacques Halbronn Journal de bord d’un astrologue

Posté par nofim le 20 février 2014

JOURNAL DE BORD D’UN ASTROLOGUE

JOURNAL DE BORD D'UN ASTROLOGUE

Jacques Halbronn   Journal de bord d'un astrologue dans ASTROLOGIE icon18_wrench_allbkg

NOUVEAU LE JOURNAL DE BORD EN PDF À TÉLÉCHARGER :

LE JBA est un ensemble unique par son ampleur et sa qualité de travaux consacrés aux fondements de l’Astrologie mais aussi à d’autres domaines, notamment le dossier Nostradamus, la question juive, la question du féminin, la question de la francophonie. Pour les textes plus tardifs, se rendre sur le blog Nofim. Pour les textes plus anciens, se rendre sur:

grande-conjonction.org
ramkat.free.fr
hommes-et-faits.com

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La dualité masculin féminin de l’Humanité

Posté par nofim le 20 février 2014

 

*Les femmes et les instruments de mesure divinatoires

Par  Jacques  Halbronn

 

Une de nos thèses concernant le comportement des femmes est qu’elles  n’ont pas un  contact direct avec le monde ou si l’on préfère que le monde est représenté par divers modes de calcul, de codage, dont elles ont besoin pour le percevoir, ce qui fait appel à une technologie, à des procédés de mesure, de calcul s’apparentant à des formes de prothèses. En ce sens, l’attachement des femmes à l’astrologie tiendrait au fait que l’astronomie leur apparait comme une réalité hybride qui allie les nombres et les sphères, soit le propre même d’une science idéale, qui se donne d’emblée à l’observateur, ce qui est un leurre..

Lors de nos reportages sur les salons du bien-être et de Vivez Nature, nous avons interviewé des personnes tenant des stands axés sur la mesure (cf.  avec Christine Derré  et Anne Spicas,  Stand Acmos), pourvus de toutes sortes d’objets plus ingénieux et perfectionnés les uns que les autres. (Antenne  de Lecher et tutti quanti). On est là en plein fantasme féminin marqué par un passage obligé par la technique, comme si notre organisme ne pouvait par lui-même capter les choses, sans de tels recours artificiels. Les femmes veulent être appareillées, équipées. En fait elles raisonnent comme des machines, moitié humaines, moitié robots. Le monde de la divination qui peut être considéré comme largement investi et représentatif des valeurs féminines –au point d’être largement déserté par les hommes- témoigne parfaitement de cette spécificité féminine. Tout ce qu’on appelle support va dans ce sens et les cartes sont une notion commune à la divination et à la technique (cartes bancaires par exemple que l’on introduit dans un appareil pour l’activer).

Ce qui est irrationnel chez les femmes, c’est la croyance qu’elles ont dans l’efficience de tels  engins dont elles attendent beaucoup trop. Mais en réalité, peu leur importe que le monde ne corresponde pas à ce que disent ces techniques puisque le monde est censé correspondre à ce qui en est dit par ce truchement. Il ne peut donc y avoir contrôle ni  contradiction ni contre-expertise avec un mode réel auquel elles n’ont pas accès. Elles se définissent donc sur la base même de ce que le procédé utilisé leur dicte. Elles vont chez l’astrologue non pas pour vérifier mais pour savoir. Elles ne s’occupent guère de l’origine des appareils dont elles se servent, se contentant d’appliquer pour savoir ce qu’il en est. Elles peuvent certes signaler l’acquiescement des personnes concernées mais comme on l’a dit celles-ci ne se connaissent que par des biais et du fait de suggestions. Quand bien même auraient-elles été marquées par d’autres discours, c’est comme si on remplaçait un disque (discours) par un autre qui fera tout aussi bien l’affaire. En fait, les femmes rêvent d’une sorte de Big Brother qui dirait ce que chacun est, ce pour quoi chacun est fait, programmé. Leur imaginaire est peuplé d’énormes machines,-d’ordinateurs qui fixent notre destinée dans ses moindres détails.

Etrangement, plus notre présente humanité parvient davantage à  produite de la technologie, plus les femmes se sentent à leur aise et d’ailleurs,  le féminisme est contemporain du progrès industriel et résorbe le décalage entre hommes et femmes. En ce sens, en effet, les femmes appartiennent à la Science-Fiction,  elles préfigurent notre avenir hypertechnologique car elles appartiennent à un monde disparu dont elles sont le produit, la  création. Le fossé entre les hommes et les femmes est abyssal et il s’agit là d’une symbiose dont il est urgent de prendre conscience. Quelque part, aussi, la femme est une couveuse mise au service des hommes, c’est dire que depuis des millénaires les hommes sont entrés dans un âge technologique. D’où la dialectique majeure entre Science et Technique. Les hommes sont dans la Science et les femmes dans la Technique et ces deux domaines cohabitent .La science produit certes de la technique mais il y a des techniques qui ne sont pas issues de la Science ou en tout cas pas de « notre » Science. C’est ainsi que la femme, elle-même, est le fruit d’une technique qui échappe encore à notre Science. Quant à l’astrologie, on peut dire aussi qu’elle appartient à une autre Science et à une autre technique. Le cas du thème natal en tant que portrait mathématique de la personne (telle planète à tel degré du zodiaque se connecte avec telle autre planéte etc.) est éminemment révélateur du fait que la femme appartient à un autre monde.  Mais de nos jours, les femmes sont dans le déni. Elles briguent non seulement une égalité juridique mais elles affirment qu’elles ne sont en rien différentes dans leur mode de fonctionnement des hommes,  hormis le cas pourtant fortement emblématique, de la procréation, laquelle est activée par la pénétration d’un objet dans une fente et par le message (ADN) qui y est inséré et décodé par l’organisme féminin. Quant à ceux qui nous répètent inlassablement que nous spamme tous un mélange de masculin et de féminin, cela vaut certes pour l’Humanité en tant qu’ensemble mais non au niveau des personnes et en ce sens,  ce qui est vrai au niveau du collectif ne l’est pas à celui des êtres humains pris individuellement, lesquels sont à répartir entre hommes et femmes, au regard d’une approche scientifique de l’anthropologie.

 

 

 

JHB

20. 02. 14

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Les femmes et l’homme: le pluriel et le singulier

Posté par nofim le 18 février 2014

 

La fascination des femmes pour le support papier

Par  Jacques  Halbronn

 

Poursuivant nos recherches de redéfinition du masculin et du féminin, nous apportons de nouveaux critères de distinction qui devraient mettre à mal le discours ambiant dominant sur le fait que nous serions tous un mélange des deux sexes, ce qui sous-tend l’idée répandue d’un certain androgynat qui nous semble totalement mythique et  dont l’émergence est actuellement ressassée en boucle, ce qui ne suffit pas à en faire une vérité.

Il est vrai qu’il est aisé de disserter sur le mélange de l’animus et l’anima quand on n’a pas pris la peine de commencer par définir ce qu’on entendait par là, en s’appuyant sur quelques clichés qui du fait même qu’ils sont censés être dépassés n’ont pas à être précisés. On est là aux antipodes d’une démarche scientifique et l’on reste ainsi prisonnier d’une sémantique séculaire. Autrement dit, on recourt à une tactique assez courante consistant non pas à définir un objet mais à contester ce qui est dit de cet objet. Une fois que l’on a dit que tel objet n’était pas ceci ou cela,  on peut ainsi aller de l’avant sans autre forme de procès ! Or, la vraie recherche ne se réduit certainement pas à une telle démarche expéditive de dénonciation des erreurs. On est dans la critique négative mais on fait l’impasse sur la critique positive. Tout se passe comme si l’on se contentait de neutraliser l’objet étudié pour pouvoir en  dire et en faire ce qu’on veut.

Nous nous attacherons ici au rapport des femmes au support écrit (dans une perspective évidemment comparative) et nous nous intéresserons notamment à la résistance du papier face à Internet, depuis le début du présent siècle. On note, en effet,  une résistance qui n’avait probablement pas été prévue du secteur papier face à l’édition « en ligne » qui reste sous certains angles et critères assez marginale puisque les éditeurs papiers et les journaux papier (notamment les « gratuits ») continuent à prospérer et que cela n’est pas prêt de finir en dépit des enjeux écologiques dus au gaspillage du papier aux dépends de la « nature », sans parler des déchets occasionnés. Pourquoi un média aussi propre que le « on line » ne l’a pas totalement emporté, à l’heure du smartphone pour tous. ?..

Notre explication- rarement proposée par d’autres – est la suivante : les femmes –en tant que récepteurs mais non en tant qu’émetteurs – (et la nuance est d’importance) préfèrent le papier à tout ce qui est oral ou éphémère, mouvant. En revanche, elles échangent l’écrit  qu’elles empruntent contre de l’oral, ce qui correspond à un processus de transformation assez comparable à ce qui se passe avec la circulation sanguine, au niveau physiologique. Quand nous disons d’ailleurs les  femmes, nous employons ici sciemment un pluriel car cela ne fait guère sens d’être une femme au singulier  alors qu’au contraire, en face il y a de fortes individualités masculines qui sous-tendent le leadership masculin sur tant de domaines, depuis des siècles. Derrière les femmes, cherchez l’homme et en cela notre Humanité  comporte une minorité dominante  et une majorité activée par la dite minorité et ce sur tous les plans (création et procréation)

Or pour qu’une minorité/élite domine, il faut qu’elle jouisse d’une certaine forme d’ubiquité que l’écrit lui permet avec notamment l’invention de l’imprimerie, mais bien avant sous des formes plus frustres. L’écrit est un instrument de pouvoir déterminant sur les femmes.  Une femme qui ne sait pas lire échappe peu ou prou à ce joug masculin et il est remarquable que les femmes d’aujourd’hui ne l’aient pas compris, ce qui montre qu’elles se connaissent bien mal. L’écrit est leur chaîne mais c’est aussi le canal par lequel elles captent les énergies dont elles ont besoin de la part des hommes. D’où l’importance persistante de l’écrit en ce début de XXIe siècle et ce en dépit des réserves que nous avons signalées plus haut.

On peut dire que les femmes sont des plagiaires  qui d’instinct s’emparent de ce que les hommes produisent. Elle « volent » de façon compulsive ce qui passe par l’écrit ou l’inscrit, le  gravé sur quelque support palpable et surtout figé, c’est dans leur nature, elles s’en nourrissent. Et les hommes sont voués, de leur côté, à produire de l’écrit mais c’est de moins en moins vrai depuis quelque temps et cela fait problème pour les femmes face au Web. Certes, on peut faire du copié-collé à partir d’un écrit sur Internet mais  ce qui est sur Internet n’est jamais totalement figé, cela peut se renouveler ou carrément disparaitre (au niveau de la matrice, du master, du magister, du maître, du pattern, du patron (pater), ce n’est pas un support stable mais bien vivant  alors que le support papier est mort ne bouge plus. Nous dirons que la mort rassure les femmes au sens de ce sur quoi l’homme ne peut plus rien. L’écrit est comme un testament. La femme qui lit un texte est comme un notaire qui lirait les dernières volontés d’un décédé, elle se pose en héritière, elle est dans une logique de succession, de celle qui vient, arrive après (la bataille).

C’est l’homme qui tue le vivant et les femmes qui redonnent vie  à ce qui est inanimé. Pour qu’il y ait renaissance, revival, il faut qu’il y ait mort – telle est la loi cyclique que l’on retrouve avec les saisons. On dira que l’homme tue les animaux  qu’il chasse, il prend les fruits des arbres – et ce faisant leur ôte vie et les apporte à la femme qui va leur donner une seconde vie, en quelque sorte. Là aussi il y a cyclicité avec le passage de la vie à la mort et de la mort à la vie. L’homme transmute le vivant en mort pour que les femmes puissent en faire usage. En linguistique, on appelle cette opération le passage du signifiant au signifié et du signifié au signifiant. Le signifiant est le signifié mort et les femmes transforment le signifiant en signifié. A partir d’un même signifiant peuvent sortir un grand nombre- illimité- de signifiés  et c’est cette multiplicité des versions (conversions) qui est le domaine des femmes, ne serait-ce que sur le plan sexuel (polygamie. Il ne peut y  avoir de polyandrie car une femme ne peut porter qu’un enfant à la fois et cela lui prend près d’un an. Le signifiant  se prête bien plus à l’écrit que le signifié mais l’homme sait revenir au signifiant à partir de la diversité des signifiés issus d’un même signifiant d’une même source.

On aura compris qu’à l’instar d’une machine, les femmes ont besoin d’une stimulation très épurée, très travaillée, servie clefs en mains, sur un plateau  tandis que les hommes se débrouillent avec des données éparses, confuses, sauvages. En ce sens, comment les femmes ne dépendraient-elles pas, directement ou indirectement, des hommes ou d’un homme, d’un Gourou qui les active (cf. notre entretien avec Marc Cohen, Parapsy 2014) ? Il faut donc que les hommes purifient le produit brut  tout comme le fait l’appareil digestif en faisant passer l’aliment par tout un alambic, avec des traitements successifs et rigoureux. Mais cette réduction alchimique s’opère dans le cerveau de l’Homme et non dans celui des femmes. Les femmes qui s’essaient à l’écriture ne parviennent pas aux mêmes résultats et ne réussissent guère à  transmuter le matériau initial pour le rendre recyclable, d’où les limites de leur influence par ce biais, au prisme de la postérité  La production féminine n’active pas, ne féconde pas. Elle est un cul de sac.

Il est donc vital pour les femmes que continuent à paraitre des livres-papier car  elles ne sont  en contact avec la réalité que par le truchement de l’écrit, du signe visuel, du code. Ne serait-ce que par le plaisir qu’elles ont à lire un texte à voix haute, en lui donnant une valeur ajoutée de ce fait, même si celle-ci est assez dérisoire et relative au nombre d’utilisateurs du dit texte. En ce sens, la femme est l’ennemie de la femme car elle lui rappelle à quel point  le pouvoir masculin  se diffuse auprès des femmes et pas d’une seule. Car si l’homme ne transmettait qu’à une seule femme, cela ne ferait pas sens. Les femmes par rapport  au message masculin doivent être nombreuses et c’est d’ailleuurs par le nombre qu’elles  existent réellement par rapport à lui et le prolongent et le complètent. L’homme face aux femmes c’est 1 x n. Le rapport homme-femme sur une base 1/1  est absurde et si un homme en reste là, il se disqualifie et  signe son échec personnel. En ce sens, le couple est le refuge d’entreprises avortées de la part d’un homme qui n’a pas su assurer sa singularité. Paradoxalement, on l’a dit, plus un homme est singulier, plus il en  appelle à la pluralité.

Dans de précédents textes, nous avons  prôné l’exportation de la production masculine par-delà les frontières (par le jeu des traductions par exemple). Il est donc faux de limiter la population féminine d’un pays à ses frontières. Si l’on prend le cas des Etats Unis, il est clair que l’impact des créateurs américain ne se limite pas aux USA. Méfions-nous donc de ce que nous disent les démographes qui ne prennent pas en compte les enjeux extérieurs. Cette erreur est d’ailleurs  fort répandue. Si l’on prend le cas des langues, on ne saurait les compartimenter à une sphère de locuteurs partageant exactement et exclusivement une même langue. On doit tenir compte aussi des locuteurs « étrangers » de la dite langue mais aussi de la proportion de mots de la dite langue au sein de langues « étrangères ». C’est ainsi que la langue française nous apparait comme une langue « masculine » qui aura activé autour d’elles bien des langues « féminines » en exportant ses «mots », quand bien même ceux-ci seraient prononcés, interprétés, conjugués différemment (cas des « faux amis »)  Ces langues féminines peuvent d’ailleurs véhiculer par elles-mêmes cette langue « maîtresse » comme le fait l’anglais pour le français.

L’exemple de la musique est emblématique : quelques compositeurs activent des milliers d’interprètes avec leurs partitions qui sont le résultat d’un travail de formalisation à partir d’un matériau brut. En ce sens, l’homme est une interface entre les femmes et la réalité (non verbale). Sans l’homme, sous sa forme accomplie, les femmes sont comme débranchées  et le spectre d’une grève générale des hommes serait une épreuve de vérité surtout si les hommes cessent d’entretenir des relations exclusives avec l’une ou l’autre, ce qui les place en position de vulnérabilité, ce qui n’est pas de mis en ce siècle de mise au point du  rapport entre les sexes  pour le Troisième Millénaire.

 

JHB

18  02  14

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Présence d’une hyper-technologie dans l’Antiquité

Posté par nofim le 15 février 2014

 

L’hyperréactivité des femmes aux mots

Par  Jacques Halbronn

 

On  dit que la femme est changeante «  Comme la plume au vent » (Rigoletto de Verdi). Mais l’homme aussi change mais pas du tout de la même façon  et c’est l’adverbe et l’adjectif qui différencie les verbes et les noms. Un verbe et un nom sans ces additions (ad) ne saurait suffire   à caractériser, contrairement  à ce que les gens croient.

Les hommes ne changent pas à proprement parler, ils ajoutent de nouvelles expériences sans faire le deuil des précédentes. En revanche, les femmes sont capables de se déconnecter totalement par rapport à une personne si certaines conditions sont remplies comme un lecteur de CD qui changerait de contenu ou comme une pièce qui bascule en une seconde dans l’obscurité parce que l’on a « fermé » la lumière, sans transition.

Les femmes, selon nous, ne réagissent pas à des situations mais à des mots qui peuvent avoir un effet positif ou au contraire négatif. Sans recourir à des mots, la réalité ne parle pas aux femmes. D’ailleurs, le verbe le plus courant du discours féminin est « dire ». (Mais cela peut très bien être « écrire » qui est une autre manière de « dire »). Tu as dit, Il a dit, nous avons dit. Ce verbe a une résonance très forte dans le psychisme féminin. Mais ce ne sont pas elles qui « disent » mais « ON» leur a dit ou si l’on préfère ce qu’elles « disent » ne fait que faire écho à ce qui a été dit, à ce qui s’est dit, à ce que l’autre a dit.. Le verbe fait et défait le lien avec la femme. Il y a le verbe « aimer » qui crée du lien et le verbe « oublier » – par exemple- qui dénoue, qui défait le lien. Il conviendra donc d’user de ces verbes avec la plus grande prudence car ils exercent des effets  remarquables chez les femmes.  Ce ne sont pas tant de longues phrases qui vont peser mais éventuellement un mot parfois isolé, sorti de son contexte qui va servir de signal, en un clin d’œil. Un peu comme un automobiliste qui ne « verra » que les feux de signalisation  (vert, rouge) et pas le paysage dans son ensemble, ni même les piétons tout autour. On peut aussi penser qu’un geste peut aussi avoir des effets dévastateurs ou  « enchanteurs » : une gifle, un geste mal venu, un coup ou au contraire  un baiser, une caresse, un rapport sexuel. Et le charme  se rompt ou au contraire commence à jouer et là encore isolé de tout contexte. Avec les femmes, on est dans le signe, le symbole plus que dans le discours et c’est ce qui nous fait irrésistiblement penser aux machines qui  réagissent à des stimuli  positifs ou négatifs très simples, schématiques et souvent binaires. (Oui ou non, on, et off etc.)

En fait, on a probablement intérêt à éviter d’user avec les femmes de certains mots ou gestes aux effets exorbitants dans un sens comme dans un autre : ouverture ou fermeture. Il semble d’ailleurs qu’il faille particulièrement se garder de l’écrit plus que de l’oral car comme on dit « seuls les écrits restent. ». De même, les machines sont en régle général – du moins jusqu’à présent- avant tout sensible à un « ordre » matérialisé par un « signal » visuel, qui laisse des traces concrétes, ce qui est moins le cas de la parole. D’ailleurs, ce texte écrit, on peut le lire et le faire entendre mais ce n’est pas la même chose qu’une expresison purement orale sans suppport écrit. C’est pourquoi l’invasion de nos vies, depuis la fin du siècle dernier, par les courriels (mails) et les SMS (textos) – et avant le Minitel (mais aussi  antérieurement le fax (télécopie) – alors qu’avant les téléphones constituaient la seule alternative à la rencontre directe, d’autant que les gens avaient fini par ne plus entretenir de correspondance, aura modifié singulièrement nos modes relationnels, même si le téléphone mobile facilité l’oralité mais aussi, avec le même support, l’écrit (mail, SMS)- n’aura pas été sans conséquence. On aura assisté à une extraordinaire résurgence de l’écrit qui aura exacerbé le ressenti des femmes et donc mis à l’épreuve leur réactivité.  Bien des relations se font et se défont sur la base d’un mot, d’une expression. Or selon nous l’écrit réveille  et révèle la face mécanique des femmes. Et en même temps, tous ces modes de communication  contribuent à  entretenir une ambiguïté autour de la présence et de l’absence, l’écrit n’étant ni l’une ni l’autre ou les deux à la fois (double bind). Les relations entre des gens qui vivent ensemble et n’ont pas à communiquer au moyen, de tels biais  échappent plus facilement à un tel risque de renversement de  tendance.

Nous proposons donc de mettre au point des tests permettant de vérifier  la réactivité (primaire) des femmes aux signaux simples alors que les hommes sont plus « secondaire) et prennent le temps de se demander ce que l’auteur du message a voulu dire, en gardant une part de doute quant à la portée exacte du dit message, ce qui évite les réactions trop immédiates.  A contrario, on pourrait vérifier que les femmes sont bien moins réactives aux paroles ou aux textes qui recourent à des formules difficiles à décrypter.  Autant d’observations qui (cf. Blade Runner) nous inclinent à considérer les femmes comme des androïdes vivant en symbiose depuis des millénaires avec l’Humanité et issus d’une technologie encore plus avancée que la présente, ce qui nous conduit à considérer le rapport des hommes aux astres –au dire de la croyance astrologique- comme ayant pu être également le produit d’une telle biotechnologie, d’où le lien assez flagrant que les femmes semblent entretenir avec la dite astrologie, le caractère hypermathématique du thème natal (et des « transits » (passages) au degré près qui se  produisent tout au long de l’existence) ne les effrayant aucunement à la différence d’un certain rejet de la part de la population masculine dans son ensemble, les exceptions ne devant pas être un arbre cachant la forêt et une hirondelle ne faisant pas le printemps.

 

 

 

JHB

15  02  14

 

 

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Aspects de l’androphobie au prisme de la vie politique

Posté par nofim le 14 février 2014

 

Hollande et la misandrie (androphobie)

Par Jacques Halbronn

 

Nos travaux nous conduisent à penser que la classe politique est victime d’une certaine misandrie (le contraire de la misogynie) et que ce qui est reproché à certains personnages de premier plan  est fonction d’une incompréhension du comportement masculin, tout simplement parce qu’il diffère du comportement féminin. Mais comme les notions sur le masculin et féminin sont particulièrement confuses chez la plupart des gens ce qui est le fait d’une politique du genre qui ne date pas d’hier –la problématique ne saurait se poser dans des termes de ce type, ce qui la fait dégénérer en attaques personnelles et ad hominem. Autrement dit, chassez un sujet, il revient tôt ou tard sous une autre forme qui ne s’avoue pas comme relative au dit sujet mais qui n’en sert pas moins d’exutoire.

Nous essaierons de montrer que le comportement de Hollande correspond parfaitement à celui que l’on peut attendre d’un homme « normal » et l’intolérance des femmes à son égard est le signe que la misandrie s’est répandue dans l’opinion bien plus fortement qu’on veut bien le reconnaitre, l’avouer.. Ces réflexifs valent aussi dans l’Affaire DSK qui aura servi d’exutoire  pour   androphobie latente. Mais cela vaut aussi par rapport à la « double » vie d’un François Mitterrand.

Tout tourne autour de la question du cloisonnement qui n’est pas vécu de la même façon chez et par les hommes et les femmes La main droite peut-elle ignorer ce que fait la main gauche, telle est la question qui pourrait résumer le débat.

Selon nous, un homme normal, qui a connu un père « normal » vit pleinement en phase  avec chaque situation ce qui signifie qu’il n’est pas nécessairement le « même » homme d’une situation à l’autre, sa façon d’être, de faire, peut contraster considérablement. A contrario, les femmes maintiennent un même comportement en toute circonstance ou du moins avec des amplitudes sensiblement plus faibles, ce qui est plus facile à  gérer pour leur entourage et pour elles-mêmes mais cela a un certain coût en ce qu’elles n’accordent qu’une importance très relative à leur environnement et sont peu influençables en profondeur. En cela, elles profitent mal de ce qui  émane de l’extérieur si cela ne se présente pas sous une forme très codifiée, en tant que signal à la façon d’une machine (on/off).

Donc quand un homme présente des facettes très différentes, les femmes crient au scandale, à l’obscénité, à l’incompatibilité, au décalage. Chez les hommes ces différences  exigent une capacité  de connexion bien supérieure à celle de femmes qui leur permet de rapprocher ce qui pourrait sembler précisément étranger.  Les hommes s’accordent plus de liberté de mouvement. On dira qu’ils  refusent de se cloisonner en s’imposant un comportement figé mais en même temps, ils peuvent vivre simultanément dans des contextes  fort contrastés où on ne les avait jamais vus « ‘comme ça » Cela tient à la diversité de leurs facettes, de leurs expériences, en fonction de leur adaptabilité.

En  ce sens les hommes voyagent « léger » puisqu’ils se conforment à chaque milieu  alors que les femmes transportent plus de choses puisque elles ne changent guère d’une fois sur l’autre, d’un contexte à l’autre.

A propos de paradoxe on notera quand même que les femmes revendiquent le droit à l’individualité mais par ailleurs ne se privent de mettre des étiquettes sur les gens à commencer par le terme « misogyne » qui enferme la personne dans une certaine catégorie. En fait,  cette dualité s’explique : si les femmes sont souvent très lentes à appréhender la psychologie d’une personne elles réagissent en revanche très  promptement, compulsivement voire mécaniquement  à certains signaux, à certains mots.

C’est dire que selon nous, le garçon ne doit pas être élevé comme la fille et qu’il est absurde de concevoir une éducation « unisexe ». (Au nom d’une théorie du genre).  Le garçon doit apprendre à vivre intensément, pleinement chaque moment quitte à accepter un certain « lâcher prise ». L’androphobie consiste selon nous à vouloir interdire aux hommes de pratiquer cette diversité (on pense à Don Juan).  Les hommes n’ont pas à être prisonniers d’une certaine image d’eux-mêmes., quitte à ce qu’on leur reproche d’être restés de « grands enfants » alors que les femmes se veulent toujours égales à elles-mêmes, ,ne se permettant pas certains écarts sans culpabilité. Elles en veulent aux hommes une certaine permissivité qu’elles s’interdisent au nom d’un impératif de transparence. Il est clair que cette animosité  vient infirmer leurs revendications paritaristes à moins qu’il ne faille comprendre que la parité soit synonyme d’une certaine forme de  castration.  Or, il apparait que cette « vertu » féminine  se paie par une forme d’égocentrisme. L’égo de l’homme serait moins prégnant, ce qui lui permettrait de mieux capter, observer et sentir le monde. On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre : la vertu et le génie.  Les hommes ne sauraient accepter une telle  injonction inhibitrice. On n’a pas à se comporter à l’identique au travail et dans la vie privée, on doit pouvoir changer de tonalité en passant d’une situation à une autre, on peut être alternativement  Mr Jekyll et Mister Hyde, être très décontracté à un moment et très  digne à un autre, tantôt très sérieux et tantôt aimer plaisanter, et ne pas apprécier les demi-mesures..

 

 

JHB

14. 02 14  (Saint Valentin)

 

 

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