jacques Halbronn Le leadership juif en milieu astrologique Années 84-86 Daniéle Rousseau -Jacques Halbronn

Posté par nofim le 19 décembre 2022

 jacques Halbronn Le leadership juif en milieu astrologique Années 84-86 Daniéle Rousseau -Jacques  Halbronn

 

  En 1978, Saturne passait sur l’axe Vierge Poissons, ouvrant ainsi une phase équinoxiale de 7 ans. Lisons la bréve présentation de sa carrière astrologique dans les Dossiers de l’Histoire, au numéro 59 consacré à l’Astrologie en 1986, où elle se présente en tant que « Danièle Sarah Rousseau » -(p. 114) : « ses  créations:  1984 la Fédération Francophone d’Astrologie.(FFA) et 1985 le forum Symbolisme et Astrologie, à Cannes »

 

Article  sur la judéité de   Daniéle (Brami) Rousseau trouvé sur Internet:

 

« A l’heure où le féminisme revendicatif a le vent médiatique en poupe, il est un autre féminisme, plus doux, qui ne fait pas beaucoup de bruit : celui qui se met au service des autres. C’est le nouveau combat de Danielle Rousseau de Giovanni.(…)  Elle raconte sa vie qui a démarré sous le soleil d’Afrique du Nord. En 1944, son année, la Tunisie, son pays, sort des affres de la Seconde Guerre Mondiale. Les troupes alliées ont remporté les batailles contre les troupes d’élites de Rommel. A Tunis, la capitale, le 1er décembre, naît Danielle Brami.

« C’est certainement grâce à la Tunisie que j’aime autant la vie et les gens. J’aime les couleurs, j’aime le soleil. J’ai eu la chance de naître dans un pays où il y a une capacité de vivre ensemble extraordinaire. Avec les trois religions monothéistes, il n’y avait pas de différences entre les catholiques, les juifs et les musulmans. Nous vivions avec une curiosité bienveillante les uns vis-à-vis des autres. » Etonnante cette réalité qui semble être révolue et n’appartenir qu’au passé. Son nom de jeune fille est Brami qui veut dire « fille d’Abraham ».(..). Deux ans après la proclamation solennelle de l’indépendance de la Tunisie, le 20 mars 1956, en 1958, cette famille amoureuse de la France et de la Tunisie choisit de garder la nationalité française et de rentrer en France. « Mon papa ne souhaitait pas prendre la nationalité tunisienne. »

La famille atterrit à Paris et vit, au début, chez leur tante. Danielle se souvient que ce n’était pas évident de « vivre à 9, dans cet appartement. » La vie est difficile.(…) Dans un premier temps, avant de créer sa petite entreprise, elle crée son activité et devient professeur de yoga. Puis, dans un esprit de start-up, avant-gardiste, elle lance des outils « pour faire du bien aux autres ». Elle organise des conférences, avec des personnalités comme Gérard Blitz, le fondateur du Club Med. C’est certain, la petite Danielle de Tunis a un don. « Oui, j’ai toujours eu ce don de convaincre des gens, des personnalités incroyables, de venir parler, enseigner aux autres. J’ai envie de partager. » C’est ce qui la définit, le partage. (…)

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Une entrepreneuse dans les étoiles

Danielle continue, à travers le yoga et ses conférences, à chercher à donner du sens à sa vie. Elle découvre, à la fin des années 70, l’astrologie, qu’elle utilise comme un outil d’analyse et de compréhension pour accompagner les personnes dans leur développement personnel. Née juive, dans une famille séfarade, elle n’a aucun problème avec Dieu, l’éthique, et, la religion. « Je ne suis pas pratiquante, mais ma culture religieuse est une vraie richesse. C’est en arrivant en France, que j’ai appris qu’être juive pouvait être un problème. » Danielle trace son chemin à travers sa quête de sens, sa course aux étoiles.

« A 40 ans, elle devient véritablement entrepreneuse, crée sa société qui organise le salon Symbolium à Cannes, autour du développement personnel, des symboles et de l’astrologie. Pourquoi à Cannes ? « Parce que c’était le festival des stars du cinéma, et, je voulais en faire le festival des étoiles », répond-elle en rigolant. Elle change de braquet et devient une communicante très demandée. Elle a conseillé les grands de ce monde. » Yves Lenoble évoque cette période dans son « L’arbre généalogique du milieu astrologique français en 2003 http://www.yveslenoble.com › 2015/06/18 › larbre-gen…

 

« On notera autour de 1985 deux tentatives de fédération. Danièle Rousseau regroupe en 1984 au sein de la Fédération Francophone d’Astrologie (F.F.A) Alex Ruperti, Marief Cavaignac, Jean-François Berry, Marielle Garel, André Barbault, Joëlle de Gravelaine, Solange de Mailly Nesle, Yves Lenoble tandis qu’un groupe concurrent se crée en 1985 autour de Denise Daprey, la Fédération des Enseignants en astrologie (F.E.A.). La F.F.A. donna l’occasion à Marielle Garel, Solange de Mailly Nesle, Marie Cavaignac, Jean-François Berry et Yves Lenoble de se rencontrer. Par la suite ils se retrouvèrent régulièrement et créèrent l’association « Mercure » dans le but d’organiser des stages d’été. » Lenoble ne donne guère de précisions sur la FEA alors qu’il est plus exhaustif pour la FFA. Il indique certes que la présidente en est Denise Daprey, mais c’est un peu court pour un arbre généalogique digne de ce nom!(cf GUIDE DE LA VIE ASTROLOGIQUE 2006-2007 – Unblog.fr http://maqor.a.m.f.unblog.fr › files › 2017/08)

L’histoire de la FEA remonte à Jacques Halbronn ( né à paris, en 1947), lequel en 1984, au congrès qu’il organise à Lyon, présente le Syndicat National de l’Enseignement Astrologique (voir la vidéo sur You tube) en présence de Denise Daprey. Cela deviendra la Fédération de l’Enseignement Astrologique. Maisle SNEA date en fait de 1978 (début de phase équinoxiale) lors d’un congrès international (en partie filmé) à Paris, à la Porte Maillot, suivi en 1979 d’un Colloque à Paris, en partie filmé également (cf la Saga du MAU) Dans la foulée, Halbronn met en place en 1980 une Fédération des Astrologues de Langue française, à Bruxelles (congrès l’année suivante à Luxemboug) qui précéde donc la FFA  de Daniéle Rousseau.   

Par ailleurs,  Jacques Halbronn, qui connaitre un début d’Alya en 1968-69 fonde en 1978, en début de phase équinoxiale, le Cercle d’Etude et de Recherche sur l’Identité Juive (CERIJ) qui publiera des Cahiers et organisera des Colloques. En 1979, halbronn soutiendra une thèse de doctorat (EPHE Ve section) qui paraitra en 1985 sous le titre « Le monde  juif et l’astrologie ». En 2002, il publiera un diptyque intitulé Prophetica Judaica  Aleph et Beith (Ed Ramkat)

 

Nos commentaires cyclologiques. Avec l’entrée de Saturne en phase solsticiale, en 1986,  l’impact judaique va décliner, durant les 7 anéees suivantes, jusqu’en 1993 , et Yves lenoble occupera alors une position centrale avec ses congrès annuels, associés à un Salon des Astrologues, au Palais des Congrès(Porte Maillot). En 1994,Halbronn  publie un Nouveau Guide de la Vie Astrologique qui rassemble les notices de plusieurs centaines d’astrologues (le précédent étant paru en 1984 aux ed La Grande Conjonction Guy Trédaniel) lors de la dite phase équinoxiale étudiée plus haur. Ce Guide a failli paraitre aux Ed. du Rocher, un contrat ayant été signé mais au dernier moment, l’éditeur se rétracta. L’ouvrage sera publié en 1997  aux Ed. Olivier Laurens. Une autre édition paraitra en 2006 à l’approche d’une nouvelle phase équinoxiale laquelle verra naitre la chaîne astrologique « Téléprovidence » (2008)

 

JHB  19 12 22

 

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jacques Halbronn Génie et préscience, science infuse. Le rapport oral/écrit.

Posté par nofim le 17 décembre 2021

jacques  Halbronn  Génie et préscience, science infuse.

 

 

Ce que Descartes appelle le « bon sens » (Début  du Discours de la Méthode) est une notion assez mal définie.(cf ‘ L héritage cartésien : l’égalité épistémiq due’ par  Louise Marcil-Lacost). Nous faisons partie de ceux qui pensent que la formule est soit ironique, soit erronée, fondée sur une certaine illusion puisque nous associons le bon sens au génie.  Pour nous, le bon sens est lié à une forme de préscience, qui donnerait des antennes à certains, leur permettant de s’orienter dans le dédale des savoirs et des « sciences », tel un fil d’Ariane. Ceux qui seraient dépourvus de ce « bon sens » ne seraient pas en mesure de séparer le bon grain de l’ivraie, le vrai du faux, seraient comme des « égarés » (cf le Guide de Maimonides). Seuls quelques élus, au fond, auraient cette grâce que l’on appelle aussi science infuse, ce qui renvoie au subconscient ou à la Subconscience versus la Surconscience. (cf notre mémoire sur SCRIBD  Réforme et réenchantement, 2014)

Nous  choisirons l’image du lecteur de l’hébreu qui doit connaitre la langue avant d’avoir accés à l’écrit. Il ne déchiffrera que ce qu’il connait déjà, par avance. L’oral ici est la clé, l’antichambre de l’écrit.  Il est vrai que ce qui nous est transmis par l’écrit est susceptible d’avoir subi bien des altérations, des corruptions de toutes sortes, problématique qui en vérité aura été au coeur de nos recherches. Et le conseil des Evangiles quant au bon grain et à l’ivraie  ne nous dit pas comment procéder pour y parvenir, pas plus que ne le fait Descartes, d’ailleurs. Quelque part, la préscience implique un certain sentiment de « déjà vu », une familiarité avec le sujet abordé qui permet de s’y retrouver, de s’y repérer dans le temps et dans l’espace, dans la diachronie comme dans la synchronie. C’est tout un art de savoir reconstituer, réparer ( le Tikoun des Kabbalistes) et ce n’est pas donné à tout le monde même si personne ne se plaint de manquer d’un certain « flair ». (cf nos Mathématiques Divinatoires, préface de Jean Charles Pichon, 1983). Le structuralisme  implique  probablement de telles dispositions d’esprit. Celui qui n’est pas « doué » est condamné pathétiquement  à une certaine vanité de ses entreprises et tentatives. Pour nous la philosophie s’inscrit dans une certaine quéte maieutique  de « vérité » (sophia)  mais l’on sait que « les grands esprits se rencontrent. »Nos avons pu remarquer que nous sommes inégaux dans notre aptitude à connecter, à croiser les données dont nous disposons et cela tient notamment à une certaine rigidité du langage, de la pensée chez ceux qui  sont privés de génie, du fait d’un manque de fluidité. Ils ne font assez marcher leurs méniges, faire remuer leur « matière grise ».

Pour en revenir au langage (cher à Chomsky), nous dirons que la langue française parlée comme il faut -et non écrite est propice  à développer l’intelligence en raison même de son économie de moyens, de son abstraction. Nous pensons notamment à ce sens de l’enchainement des mots, des liaisons, des apostrophes, qui exige une écoute très pointue  de l’auditeur, une forte concentration et en ce sens, notamment à la radio. Cela contraint l’auditeur à faire appel à toutes ses ressources pour décoder ce qu’il entend, ce qui exige en fait qu’il sache déjà, par avance, ce qui est en train d’être dit; ce qui nous raméne à l’idée de prescience, ce dont le nouveau né doit certainement être pourvu, lui qui ne peut s’aider des béquilles de l’écrit. A contrario, celui qui a trop pris l’habitude de lire risque fort de tarir  une certaine forme d’inspiration et donc d’improvisation… 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  17 12 21

 

 

 

 

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