jacques halbronn Critique linguistique comparée. La corruption des langues Le cas de l’italien

Posté par nofim le 7 juillet 2025

jacques  halbronn  Critique  linguistique comparée. La corruption des langues Le cas de l’italien .

 

Dans une précédente étude, nous  avons mis  en évidence le lien  entre passé composé et  futur au prisme de l’usage des affixes. En français, J’ai aimé  donne au futur j’aimerai. Dans les deux cas, le « ai » sert respectivement de passé (et ainsi de suite pour les autres personnes du verbe  avoir). En espagnol   he comido  pour le passé fait pendant à  comere  pour le  futur, la finale « e » correspondant au « he ». Mais  en italien,  ho mangiato  pour le passé composé cohabitera pour le  futur avec mangiare. On a donc d’un côté une finale en 0 et dans l’autre une Finale en é décalée par rapport à « he »

En ce qui concerne les participes (participe passé)on note que l’italien  et l’espagnol préconisent des finales  en « do » ou  en « to ». aloque le françaiss aurait usé de finales   d’une seule finale suffixale  en « ed », par la suite  changées en « é ». Pour marquer le  féminin, l’italien et l’espagnol recourent alternativement  à  « o » et à  « a » alors que le  français, au départ, devait avoir utilisé  « ed » et « ede » avant de passer à « é » et à « ée », jouant ainsi sur la  (non) prononciation de la consonne finale/ Quant à l’anglais, langue  fortement emprunteuse au français, il a préservé la finale ed et n’aura pas suivi le passage au  « é », consistant à aligner l’écrit  sur l’oral. On rappellera nos observations sur l’hébreu, en ce qui concerne l’usage des pronoms personnels  comme  substituts  au verbe  avoir (latin  haber) En hébreu, la forme féminine du pronom se termine  par un shewa et la masculine, par un « a ».  alors que cela devrait être l’inverse Gadol:  grand Gdola :grande. Une  bénédiction (Kidoush) comme  » Baroukh  ata » est un  barbarisme

 

 

 

 

JHB 07 07  25

Publié dans LINGUISTIQUE | Pas de Commentaire »

jacques halbronn Linguistique française. Le cas du passé simple, entre avoir et être. La question des affixes.

Posté par nofim le 1 juillet 2025

jacques   halbronn   Linguistique  française. Le cas du passé simple, entre avoir et être. La question des affixes.

 

Nous  avons déjà   traité du role du verbe avoir  dans la conjugaison du  français. pour former, en tant qu’affixe, le passé composé en position préfixale et le futur, en position suffixale, nous aborderons à présent  le cas du passé simple, en français dont nous avions antérieurement signaler les points communs  avec l’imparfait du  subjonctif. 

Je fis, que je  fïsse

il  fît, qu’il fît

Les terminaisons du passé simple peuvent intriguer et l’on peut se demande d’où cela « sort »!  Il s’agit  d’affixes collés au  « radical » par une combinatoire  consonantique (cf notre texte sur le Shewa)

Sur le  web

Pour former le passé simple d’un verbe du 1er groupe, on ajoute au radical les terminaisons -ai, -as, -a, âmes, -âtes, -èrent. Ex. : Il parla. Pour former le passé simple d’un verbe du 2e groupe, on ajoute au radical les terminaisons -is, -is, -it, -îmes, -îtes, -irent. Ex. : Il grandit. »

On peut en effet, rapprocher de « imes » de nous sommes  et  « îtes » de vous êtes.

En réalité, il s’agit d’une sorte de cas intermédiaire puisque la conjugaison au singulier emprunte au  verbe avoir les suffixes des trois « personnes »  alors que la conjugaison au pluriel   emprunte, cette fois,  au  verbe être mais seulement pour le première  et deuxiéme personne, la troisième personne au pluriel  du passé simple, étant dérivée de l’infinitif. Ainsi, le passé simple serait une sorte d’interface ente le passé composé et le futur. On notera que la terminaison en « ai » de la première personne du singulier recourt en effet au verbe avoir   ; j’ai,  je passai à distinguer du traitement  de l’imparfait. 

Dans ce cas, nous avons au singulier des finales  en « ais » pour la première et deuxième personne  et en ‘ait  » pour la troisieme; Quant  au pluriel  de l’imparfait, il s’agit de glisser   un  « i »  sur la forme au présent: nous pensons/nous pensions -  vous pensez/ vous pensiez; Mais là encore, la  troisiéme personne détone  avec ils pensaient, ce qui reprend la tonalité du singulier « il pensait avec une finale que l’on retrouve au présent: ils pensent. Il y aurait donc un rapprochement à   faire entre le présent  et l’imparfait

 

 

 

 

 

JHB 01 07 25

Publié dans LINGUISTIQUE | Pas de Commentaire »

jacques halbronn La Vie astrologique. Barbault et la vente des livres. Quelle est donc la « vraie » astrologie »? Origine de « very »

Posté par nofim le 28 juin 2025

jacques  halbronn    La Vie  astrologique. Barbault  et la vente des livres Quelle est la « vraie » astrologie? Origine  de « very »

On lite sur la 4e de couverture de 1964. La crise mondiale de 1965 (Ed  Albin Michel), la présentation suivante de l’auteur « Devenu Vive -président du Centre International d’Astrologie »,il est le principal  représentant de l’aile marchante de l’astrologie. Sa  collection d’ ouvrages sur les douze signes du Zodiaque (plus de 600.000 exemplaires vendus en  français et diverses traductions en ont fait l’astrologue le plus lu dans le monde » Barbault était alors âgé de 42 ans.  La série, parue aux Ed du Seuil, dont il s’agit est en fait l’oeuvre d’un collectif  relié à l’association « CIA » . La liste des collaborateurs est d’ailleurs fournie pour  chacun des 12  livrets. On reléve  entre autres les noms de Jean-Pierre Nicola, de  Jacqueline Aimé, Claire Santagostini,, mais il est précisé « sous la direction de François Régis Bastide,. Nous mêmes, aurons à gérer une telle situation, 20 ans plus tard, en  mentionnant le mouvement astrologique  unifié

Il semble, donc,  assez  déplacé de se référer à de tels ouvrages, voués à être  réédités, des décennies durant, liés au mois de naissance, pour décréter que  Barbault serait l’astrologue « le plus lu  dans le monde », en 1963. Examinons le niveau d’astrologie de ces livrets  de Barbault découpés en trois parties « Etre, paraitre, exister », ce qui n’est pas sans  rappeler le  RET de Nicola: On nous  y présente les thèmes de personnalités lus ou moins  célébres  mais sans mention  de  transit , ce qui s’imposerait dans une approche  astro-biographique

Sur le web

«  Depuis plus de quarante ans, André Barbault est l’un des grands vulgarisateurs français de l’astrologie, apprécié pour sa rigueur et ses qualités pédagogiques. Auteur de nombreux ouvrages, il a signé des classiques, du Traité pratique d’astrologie (1961) au Petit Manuel d’astrologie (1972). »

Dans sa  boulimie de  grands éditeurs (Seuil, Albin Michel, Fayard, Payot, Grasset, Rocher)  Barbault aura probablement regretté de ne pas  avoir rédigé le Que Sais  je sur l’astrologie (PUF), ou les Clefs pour l’Astrologie (Seghers), dans des collections pluridisciplinaires sans parler de l’article Astrologie  de l’Encyclopaedia Universalis  ou le Dictionnaire de l’astrologie  chez Larousse. En  tout cas, le succés remarquable de la série zodiacale à la fin des années cinquante, l’aura marqué dans sa quarantaine;  en  venant confirmer  une vocation de leader.  Cette collection comportait une méthode de calcul du thème natal qui disparaitra par la suite. Il est tout de même assez  paradoxal que  Barbault  ait pris ses distances par rapport au  référentiel zodiacal dont il lui est apparu qu’il n’avait pas sa place en  astrologie mondiale. Dès les années cinquante, son traitement du cycle Saturne Neptune  n’en avait tenu aucun compte.

On notera l’Avertissement ouvrant (en pages roses) chaque  volume de la Collection, dans la première mouture et consistant en un véritable manuel (on le retrouve dans l’édition  flammande)

NE LISEZ PAS CE LIVRE  « si vous cherchez le moyen infaillible de gagner à la loterie, si vous  croyez que le  8  ne  vous est pas favorable.Si vous croyez  que les natifs de votre signe doivent porter  des pierres de lune pour être aimés le mercredi, si vous  estimez qu’il y a  de bons et de mauvais signes, que le mot  « décan » est un mot  sérieux. Si vous pensez que les Gémeaix  ne peuvent aimer que des béliers. MAIs  AlORS VOUs POUVEZ  LIRE CE LIVRE   si vous  admettez qu’ »il y a quelque chose de vrai » dans l’Astrologie, Si  vous  reconnaissez  la valeur psychologique de ces symboles que sont les signes du Zodiaque. Si  vous  apercevez  un fonds  commun chez êtres astrologiquement ressemblants (..)Si vous  voulez  nous  faire le plaisir d’étudier avant toute chose les pages roses  de l’Astrologie »  On poursuit « Il  n’entre pas  dans  notre propos de reprendre le procès de l’astrologie. cette grande méconnue et de la présenter sous son vrai  visage, nous l’avons fait ailleurs etc »

Telle est bien la question, un demi siècle plus tard: quel est le « vrai visage de l’astrologie ». Et force  est de constater que Barbault n’était pas en mesure d’accéder à la « vérité de l’astrologie », ce à quoi prétendit Michel Gauquelin;  avec sa « Vérité sur l’Astrologie » mais  là encore, sans y parvenir vraiment. L’Astrologie septénale serait-elle la plus proche de ce qu’est fondamentalement l’Astrologie?

 

 

Origin and history of very:  ancien  français    »verai » (latin:  verus)


 

« very(adj.)

late 13c., verreiverray  »true, real, entitled to the name, genuine; » late 14c. « actual, sheer; » from Anglo-French verrai, Old French verai  »true, truthful, sincere; right, just, legal, » from Vulgar Latin *veracus, from Latin verax (genitive veracis) « truthful, » from verus  »true » (source also of Italian vero), from PIE root *were-o-  »true, trustworthy. »The meaning « greatly, extremely » is by mid-15c. The word was used as a pure intensive by late 14c. Writers in 16c. introduced verierveriestThe very thing  »just what is suitable or requisite » is by 1690s. »

 

 

 

JHB 29 06 25

Publié dans ASTROLOGIE POLITIQUE, LINGUISTIQUE | Pas de Commentaire »

jacques halbronn Linguistique. La pratique du Shewa instrumentalisée en français oral. Les affixes

Posté par nofim le 27 juin 2025

jacques  halbronn  Linguistique. La pratique du Shewa  instrumentalisée en français oral. Les  affixes

  Dans ce texte, nous voudrions faire la synthèse de nos diverses études sur ce sujet et montrer que dans la plupart des langues dont nous avons quelque pratique, il y a  eu une déperdition de la pratique du Shewa dont la raison d’être est devenue très floue  au fil  du temps. 

Le rôle du Shewa est de relier  deux monémes en procédent à une réduction laquelle permet la mise en oeuvre d’une forme d’unité. On distinguera le shewa prefixal  du shewa suffixal. Le  cas le plus remarquable que nous ayons mis en  évidence concerne la conjugaison. Il s’agit de « souder » au radical  un  affixe. J’ai aime(r) versus J’aimer-ai. On observe que l’auxiliaire  avoir sert ici d’affixe.  Oralement,  le shew de « aimerai »  donne « aim’rai, ce qui correspond à la fonction abréviative du Shewa. Dans les langues sémitiques, le  pronom personnel  sert de suffixe pour marquer le passé. Katabnou: nous avons écrit, le nou étant issu d’Anahnou.

Un autre exemple est lié aux marqueurs de genre. Exemples: petite  et petit.  Pour passer du  féminin au masculin, en  français, on ne prononce pas la consonne finale.  On devrait logiquement, écrire « petite » et prononcer ou non le « e » final, selon le contexte. Il semble que, croyant bien faire, on aura supprimé le « e » final de l’adjectif  et du participé.   

Le  processus  de soudure de l’affixe (préfixal) au  radical vaut notamment pour l’article (défini  ou indéfini) mais aussi pour le démonstratif  (ce), le relatif  (‘que), le pronom  personnel ( j’aime) avec le plus souvent l’usage d’une apostrophe. C’est ainsi que l’emprunt à l’arabe aura souvent pris la forme  article plus nom comme  un tout.(alchimie).

L’on passe du préfixe « de » au préfixe ‘dis », du fait de la liaison selon que le préfixe est suivi d’une consonne ou d’une voyelle/ ex/ Défaite, désastre.

 

 

 

 Sur le web

 Le Shewa «  est employé en linguistique pour désigner la voyelle moyenne centrale, notée [ə] dans l’alphabet phonétique international (API). Il correspond à peu près au e dit muet du français moderne. Il se trouve dans des mots comme « menu », « samedi » ou comme prothèse vocalique (épenthèse) dans « ours(e) brun ».

 

 

 

 

 

 

JHB  29. 06 25

Publié dans LINGUISTIQUE, POLITIQUE | Pas de Commentaire »

jacques halbronn Origine du nom Mitterrand.

Posté par nofim le 20 juin 2025

jacques halbronn Origine du nom Mitterrand. 

 

Selon nous, Mitte signifie milieu (comme pour Mittwoch (mercredi), milieu de semaine, Mittag, Mitternacht. etc En anglais, on troube « Middle ».

 

  et Rand signifi bord.

 

 

« Möchten Sie am Rand oder in der Mitte sitzen »? Préférez vous asseoir au milieu ou sur le côté? On  aura compris que Mitterrand ne devrait pas s’écrire avec un double « R’/

 

 

 

 

 

 

JHB 20 06 25

 

Publié dans LINGUISTIQUE, POLITIQUE | Pas de Commentaire »

jacques halbronn Linguistique. Phonologie Pour une théorie générale des affixes et la question de l’état neutre en sémiologie.

Posté par nofim le 13 juin 2025

jacques halbronn  Linguistique. Phonologie.  Pour une théorie générale des affixes  et la question de l’état  neutre en sémiologie. Morphosémantique.

 

 

 

  Etat de la  question

wikipedia »

« En morphologie, domaine de la linguistique, un affixe (du latin ad-fixus > affixus, « (qui est) fixé contre ») est un morphème en théorie lié qui s’adjoint au radical ou au lexème d’un mot. Des affixes peuvent se lexicaliser et donc devenir des morphèmes libres : c’est par exemple le cas pour le préfixe ex- dans une expression comme mon ex, à savoir mon ex-mari / -petit ami, etc.

Selon la norme ISO 4:1997, un affixe est un « morphème, à l’exclusion des radicaux et des désinences, qui se fixe au début ou à la fin d’un radical pour en modifier le sens ou la catégorie lexicale ou grammaticale ». Cette norme distingue le préfixe, « affixe qui précède un radical ou un autre préfixe », du suffixe, « affixe qui suit un radical ou un autre suffixe ». Les affixes sont principalement de deux natures : les affixes grammaticaux et flexionnels et les affixes de dérivation ».

Selon nous, la notion d’affixe suppose un stade premier de  neutralité dans la mesure ou un affixe peut signifier des valeurs opposées, ce qui est d’ailleurs, peu ou prou, lié à la dualité  du préfixe et du suffixe. Cela apparait notamment, dans nos récents travaux, au niveau des marqueurs de passé  et de futur. En français, le suffixe associé à un infinitif  détermine le mode  futur tandis que le préfixe concernerait,  assez  logiquement, le passé. Un principe d’ailleurs non respecté dans les langues sémitiques où le préfixe est lié au futur et le suffixe au passé. Il importe, selon nous, d’élargir les acceptions du mot « affixe » en ce que cela n’implique pas que celui-ci soit « collé » au mot qu’il précéde ou qu’il suit. Cela permet ainsi d’englober  le futur des verbes, dans les langues germaniques ( will, wird) ainsi que les marqueurs négatifs (ne/pas) placés devant le terme à traiter; 

La  question des préfixes  englobe notamment la prononciation des « nasales ».

« Les règles de nasalisation du français transforment la prononciation des voyelles lorsqu’elles sont suivies d’une consonne nasale, créant ainsi des sons uniques qui font partie intégrante de la langue française. Ce processus phonétique est essentiel pour distinguer les mots, car il implique que le flux d’air soit redirigé par le nez. La compréhension de ces règles améliore la prononciation du français, et il est donc essentiel que les apprenants maîtrisent les voyelles nasales pour une communication claire et précise ».

Un  préfixe peut  en  effet marquer négativement une proposition. Mais dans bien des cas, il aura perdu  sa « nasalisation » et le français aura su maintenir celle-ci à la différence des  autres langues latines (vamos, allons) ou  germaniques (nein) non L’anglais, certes, distinguera pour l’article indéfini  le « a » (bird (un oiseau) et le  « an » (eye, un oeil), selon qu’il procéde un consonne ou une voyelles. Cette  distinction n’est d’ailleurs plus  en vigueur en français  si ce n’est en tant que marqueur de  genre, à l’oral du fait  de la diphtongue (un/une, le « a » anglais dérivant du « un »  français) Ce qui montre que les articles peuvent tout à fait être qualifiés d’affixe. D’ailleurs, en hébreu comme en  arabe, l’article défini est attaché au mot qu’il désigne, ce qui explique que des emprunts à l’arabe  aient englobé le ‘al » (comme pour alcool, hasard etc) Il  en est de même pour les « pronoms » -comme leur nom l’indique placés avant le nom. C’est ainsi qu’en  hébreu et en arabe, les préfixes marquant le passé et le futur sont dérivés des pronoms personnels, avec d’ailleurs des exceptions pour la première personne du singulier (Katavti (j’ai écrit) au lieu de Katavni, par référence à ‘Ani »(Je, moi) tout comme Katavnou (nous  avons écrità renvoie  correctement,  cette  fois,  à Anahnou.(nous)  qui  comporte le même radical qu’au singulier avec le N comme marqueur tout comme le Thav est marqueur de la deuxiéme personne du singulier  et du pluriel. Nous avons signalé la possibilité de considérer le  verbe  (auxiliaire) avoir comme pouvant servir de pronom personnel de par sa terminaison qui se  retrouve dans la conjugaison du passé (en préfixe) et du futur (en suffixe) D’ailleurs, dans les autres langues latines, l’usage du pronom personnel est bien moins courant, à   juste titre, qu’en  français. (Yo)Te Quiero,  je t’aime)

On  aura compris que la question des consonnes nasales autour de la consonne « N » (et accessoirement de la consonne « M ») est absolument majeure et constitue une perte pour la plupart des langues ici référées. On a a ainsi la trace d’un processus tombé en désuétude en tant que marqueur du positif  et du négatif.  Prononcer « impossible » à la française est à comparer avec le traitement tant en anglais qu’en espagnol tout comme la forme  « vamos » a perdu le « n » , alors qu’initialement on devait entendre, comme en français, le son « on »? Le  tilde montre bien à quel point cette lettre avait un statut à part. Encore au XVIe siècle, le tilde annonçait la nasale associée à la voyelles. (cf « combien »  dans  la Préfacé à César dans les Centuries de Nostradamus). 

On  aura compris  que l’affixe, dès lors qu’il n’est pas spécifié,  correspond à un état neutre, en puissance, indéterminé et pouvant inverser  symétriquement  l’acception d’un « radical », tout et son contraire. C’est dire toute l’importance qu’il convient de lui accorder en renforçant ses variations, au niveau  phonologique. (morpho-phonologie) Ajoutons que les substantifs font appel à la suffixation: finales  en « ment » (en anglais en ly), en té (en anglais en ty), en ure (aventure) etc

En anthropolinguistque, nous dirons  que selon le  phénoméne  de cyclicité, l’on  est voué, périodiquement, à basculer d’une tendance A  à  une tendance B qui en prend le contre-pied, ce qui suppose des marqueurs suffisamment repérables, à l’oreille (phonologie). Les langues qui ne disposent plus de marqueurs  suffisamment accentués sont en état de dysfonctionnement et présentent une ergonomie médiocre; avec des conséquences pouvant se révéler très significatives. 

En ce qui concerne la question des liaisons, c’est une cause de confusion pour le passage de l’ »écrit à l’oral en ce que cela génére une certaine indétermination, ce qui expliquerait  le  flottement existant quant à la prononciation des consonnes finales puisqu’avec la liaison, le « r » de l’infinitif se fait entendre devant une voyelle mais pas devant une consonne.

(cf  notre mémoire  Linguistique de L’erreur Et Epistemologie Populaire. Mémoire sur les emprunts linguistiques, sous la direction de Louis Jean Calvet . Paris V 1987/.. Dans ce mémoire, il  y a près de 40 ans, nous accordions  une certaine importance à l’erreur. C’est ainsi que la régle des affixes a pu  affecter des cas non concernés par la dite régle. On  aura ainsi traité un début de mot  sans tenir compte de l’existence ou non d’un préfixe (pronom,  négation (privatif),  démonstratif, article, auxiliaire  avoir  comme  marqueur du passé etc) Le  fait de coller une consonne contre un radical  implique  que nous ayons  affaire à deux mots  au départ distincts (comme  article  plus radical) Exemple;  « un p’tit peu »  n’est pas acceptable car il ne s’agit pas  alors de combiner deux  facteurs. 

En  fait, les préfixes jouent  un rôle déterminant sur le plan sémantique. Une grande partie de la signification d’un mot étant tributaire de son préfixe, ce qui relativise singulièrement  l’importance à accorder au radical, ce dernier étant voué à changer de sens selon le préfixe qui lui est attaché  et qu’il partage avec toute une série de  radicaux. Tous les mots commençant par le même préfixe présentent des points communs et ce sont ceux-ci qui déterminent le sens à assigner au dit préfixe. On pense au préfixe « pré » dans prévoir, prédire, prémonition, préférer, présenter, prénom, présage, prévenir  etc , il indique bien ce qui vient avant ou ce qui est annoncé avant.  Le seul fait de connaitre le sens du préfixe  suffit à se  faire une première idée du mot ainsi concerné; Voir aussi, les préfixes  « en » et « dé », entre autres. A contrario, les suffixes ne sont pas spécialement porteurs de sens  et ne jouent qu’un rôle morphologique. D’où la discipline de « morphosémantique »  qui englobe les  divers  affixes.(https://fr.linkedin.com/pulse/morphos%C3%A9mantique-des-pr%C3%A9fixes-et-suffixes-jacques-halbronn) En ce qui concerne la  didactique des langues, la méthode des affixes que nous préconisons nous semble promise à un bel  avenir. il convient de décomposer systématiquement le mot en faisant apparaitre ses affixes. Si l’on prend, par exemple, le mot « Renaissance », on relévera le préfixe « re » et le suffixe ‘ance », ce qui permettra de dégager le  verbe naitre, le participe « né ». 

Mais  ajoutons  que l’usage du Shewa  vaut aussi pour les suffixes, en  français: c’est notamment le cas pour la formation du  futur à partir de l’infinitif.  En italien, nous trouvons  abbiamo mangiato  et mangeremo. mais il n’y a pas de recours au shewa.Quant à l’espagnol,  il utilise volontiers le verbe « tener » pour « avoir! /Le suffixe utilisant le  verbe avoir, comporte un  shewa à l’oral;   manger, je mang(e) rai) pour la première conjugaison. On note que le français  fait un usage du shewa à l’oral plus  systématique que l’hébreu. 

Il nous  faut signaler en français une particularité du passé composé, lequel fait appel dans certains cas à l’auxiliaire « être »:  il a  tué et il s’est  tué, il  a trompé, il s’est trompé. Cela concerne la forme réflexive. Mais l’on trouve « il est parti »  et non pas « il a parti ».

 

 

 

 

Bibliographie


jacques halbronn  Linguistique. Phonologie  Pour une théorie générale des affixes et la question de l'état neutre  en sémiologie. dans LINGUISTIQUE
Blogger.com
http://editionsgrandeconjonction.blogspot.com › 2023/10
 
« La fonction morphologique et phonologique des diphtongues. »
 dans LINGUISTIQUE
Unblog.fr
http://nofim.unblog.fr › 2023/12/22 › jacques-halbronn…
 
« Pour nous, une langue doit comporter des marqueurs phonologiquement forts tout comme une société, les deux plans étant interdépendants. » 
JHB  23 06 22

Publié dans LINGUISTIQUE | Pas de Commentaire »

Jacques Halbronn Linguistique comparée au prisme du « sheva ».

Posté par nofim le 11 juin 2025

Jacques  Halbronn  Linguistique comparée au prisme du « sheva ». 

On  notera que le français est la seule langue latine ayant maintenu la pratique orale  du « sheva » et des « diphtongues.   L’article défini au masculin du  français sert de préfixe se collant devant un nom, on rend  en français le « e » (sheva) par une apostrophe, quand on opte pour une  transcription phonétique ( je vais manquer l’train)  le pronom personnel à la première personne du singulier, « je » subit le même sort « J’pense ». Il reste que l’anglais, en suivant l’exemple matriciel du français, utilise l’apostrophe pour ses formes négatives, mais ce n’est pas le « e » qui est alors impacte mais le « o »: passage du « ne » au  « no ».I do not  I don’t, I cannot, I can’t  etc.  En ce qui concerne le son diphtongué, « nasalisé » l’on retrouve en anglais le « an » du français dans « want », can’t, et le « on » dans « don’t.

En espagnol, on trouve des traces de diphtongaison dans la conjugaison à la première personne du pluriel : vamos viendrait de ‘vamons », le tildé   » servait à signaler qu’une lettre avait été écartée pour économiser de la place dans un texte. Ce trait ondulé s’est ensuite imposé comme une abréviation dans les écrits latins, chez nos voisins les Goths et dans l’alphabet cyrillique où il répond au nom de titlo. » Selon nous, cette abréviation de l’écrit aura fini par  générer une abréviation de l’oral, d’où la perte de nasalisation par comparaison avec le  français: le « ons  » du  français faisant ainsi pendant au « os » de l’espagnol.

En allemand, on trouve des traces de nasalisation: le « ein » et le « nein » allemands devaient à l’origine ressembler à l’oral  au « un » et au « non » du français; Le « ein » allemand s’oppose au féminin au « eine » mais cela conduit à prononcer le « e » final de « eine » et à renoncer à nasaliser le masculin « ein »

En  ce qui concerne les langues sémitiques, elles ont perdu l’emploi du pronom personnel dans la formation du passé et du futur, à la différence du français qui  se sert du verbe avoir et de l’infinitif comme nous nous en sommes expliqués ailleurs. C’est ainsi que tant l’hébreu que l’arabe utilisent le préfixe « t » à la première personne  du singulier du passé  alors que ce préfixe est réservé à la deuxiéme personne. D’ailleurs, à la première personne du pluriel, c’est bien le pronom personnel  en « n » qui est utilisé pour marquer le passé.

Ce bref  tour d’horizon devrait avoir montré que le français aura mieux su maintenir ses codes de prononciation que les autres langues référées ici. Mais des  traces demeurent avec les mots en « n » de l’allemand et les mots en « os » de l’espagnol. Il importe,  en  tout cas, de comprendre que l’écrit  ne fournit pas  ipso  facto  ses  codes  de prononciation, d’autant que cela dépend du contexte, si l’on admet que l’écrit reléve d’une neutralité qui peut  basculer, dans le positif  et le négatif, dans le passé et le futur. Sellon nous, l’écrit ne saurait  anticiper sur son usage..Dans le  cas de noms propres, convient-il de respecter les pratiques locales? Signalons  le rôle des diphtongues nasales en tant que marqueur d’une proposition négative, à commencer par le « non »  du  français  ou le  préfixe « in/im » dans impossible, inouï etc Seul le  français respecte la fonction nasale du « n », (initiale de  « nasal »  comme par hasard! Dans les autres langues, le n préfixal ou suffixal  est prononcé à tort.

 

 

 

 

JHB 13 06 25

Publié dans anthropolinguistique, LINGUISTIQUE | Pas de Commentaire »

jacques halbronn Le dossier de la langue anglaise au prisme de la phase « Din » de l’Astrologie septénale. Vers le coup de grâce.

Posté par nofim le 10 juin 2025

jacques  halbronn   Le dossier de la langue anglaise au prisme de la phase « Din » de l’Astrologie septénale. 

 

Astrologiquement, le temps est propice pour dénoncer certaines impostures et supercheries de mauvais aloi puisque Saturne amorce  présentement une période « Din » de 3 ans et demi  (1260 jours, 42 mois) S’il y a bien un scandale à l’échelle de notre  Terre, c’est bien celui de l’anglais. Nous avons traité à de nombreuses reprises de cette  affaire mais plutôt « crié dans le désert ». Pourtant bien des raisons militent en ce moment pour plaider dans le sens d’une démystification de l’anglais, au sortir d’une phase « Hessed » (Grâce),d’un certain « état de grâce », assez factice. Peut-on en effet tolérer bien plus longtemps qu’un tel corpus hybride, bâtard, puisse se présenter comme LA langue mondiale de l’Humanité.? Même le BREXIT n’aura pas suffi à faire perdre à l’anglais sa prétendue centralié, sous tendues par un certain « soft power’ largement répandu. Solution de facilité consistant à entériner un « fait accompli »!

Encore  faudrait-il que l’on fasse appel à la linguistique comparée et que l’on confronte l’anglais au français mais à un français qui aura enfin pris conscience de sa puissance; Certes, il fut un temps où la domination du français était reconnue et les langues germaniques mais aussi slaves en témoignent mais  si elles empruntèrent massivement au lexique de cette langue,  elles n’en avaient pour autant toute la mesure et la description du français  n’est toujours pas parvenu à en dégager la véritable supériorité! Le  français est la reine des langues et elle est fondamentalement la langue de l’élite. Or, le propre de la phase DIN consiste précisément  à  remettre chacun à sa  juste place, dans un esprit de verticalité.

Avec la phase DIN qui se profile, on a une fenêtre de tire  pour 3 ans et demi qu’il va falloir exploiter à fond. L’enjeu d’une phase DIN est la déconstruction de la phase HESSED, d’en mettre en évidence les incohérences, les imitations et les calques qui la truffent et la parcourent. Il faut lui porter le « coup de grâce ».

 

L’expression coup de grâce est utilisée pour désigner un coup fatal porté à une personne ou un animal blessé en vue de « l’achever voire « d’abréger ses souffrances ».

Définitions

Dans le sens propre

À l’origine « porter — ou donner — le coup de grâce » est une expression de nature métaphorique datant du XVIIIe siècle, laquelle désigne le dernier coup qu’un exécuteur donne à un supplicié afin de terminer ses souffrances[2],[3]. Ce terme correspond, dans un sens plus large, à l’homicide de civils ou militaires, amis ou ennemis, avec ou sans le consentement du blessé. Ce terme est également utilisé dans l’activité cynégétique, voire dans le monde de l’équitation, lequel constituer à tuer un animal blessé afin, selon l’auteur de ce coup, d’abréger, là aussi, ses souffrances«  »

Dans le sens figuré

Cette expression est quelquefois utilisée de manière figurée afin de décrire le dernier acte d’une série d’événements menant à la fin d’une entité. Par exemple : « L’entreprise était au bord de la faillite depuis des années, le coup de grâce vint de la hausse soudaine des prix du pétrole. » 

Dans le langage séfirotique que nous utilisons en astrologie séfirotique, la Sefira  Hessed signifie justement la Grâce.

 

  »Hessed, חסד, se traduit par « Miséricorde », « Clémence » ou « Grâce » et on la connaît également sous le nom de Guedoulah, גדולה, c’est-à-dire « Majesté » ou « Magnificence ».  

La phase Hessed se caractérise par une certaine complaisance, une complicité, une connivence  (préfixe « cum: » avec) L’Union fait la Force.

 

JHB 10 06 25

Publié dans astrologie septennale, LINGUISTIQUE | Pas de Commentaire »

jacques halbronn linguistique. comment gérer au mieux le processus des « liaisons » en français;

Posté par nofim le 10 juin 2025

jacques  halbronn  linguistique. comment  gérer au mieux le processus des « liaisons »  en français

 

 

La langue  française  accorde une certaine importance à l’oral  en ce qui concerne la pratique des liaisons. Mais il ne s’agit pas, comme on le croit le plus souvent, de respecter une certaine régle dans le  cas où la liaison s’impose  mais bien plutôt de contrôler les incidences de  nos choix lexicaux en connaissance de  cause. Cela  rejoint la question des rimes. D’où la formule  « cela ne rime à rien’ On ne peut pas aligner les mots n’importe  comment. 

C’est ainsi que  se pose, en français, la question des consonnes  finales à prononcer ou pas de façon à éviter les dérives de la  polyphonie; A  et  as,  mangez et manger, nous irons/ils iront. comment donc distinguer ces diverse forme différentes  à l’écrit mais se confondant à l’oral.  Pour nous, le probléme est d’autant plus significatif  que nous envisageons la suppression des pronoms personnels en français  en nous contentant de l’auxiliaire  avoir; Rappelons que dans les autres langues latine, les pronoms personnels sont souvent évacués. On dira  Te quiero  et non Yo te quiero. Mais avec le verbe avoir, on rencontre le doublon  a et as, au singulier,  ons et ont, au pluriel Cela se  heurte au fait qu’en français, la consonne finale ne se prononce que dans certains cas et notamment lorsqu’il  y a liaison; On dira:  tu as envie mais quid de  tu as peur? Dans un cas, l’on capte le « s » (tu  as  z-envie)  pas dans l’autre  cas. Il importe donc de  choisir des séquences appropriées. D’où, notamment, l’usage du  « à » qui permet de contourner le probléme : il mange  et  il  a  à manger, ce qui  expliquerait  en anglais l’usage du « to »  (équivalent du  à)  pour former l’infinitif. He wants to eat. 

Rappelons. que pour nous, le locuteur  francophone averti  se doit d’opérer un certain nombre de choix « euphoniques », à l’oral,  ce qui implique un véritable travail  de  composition à l’instar du versificateur devant respecter certains paramétres (rimes, pieds) tout en faisan sens, comme si  tout allait de soi. JHB  10 06  25

 

Publié dans LINGUISTIQUE | Pas de Commentaire »

jacques halbronn L’astrologie septénale sert de barométre pour apprécier le potentiel d’un leader à un instant T

Posté par nofim le 6 juin 2025

 

jacques  halbronn  L’astrologie septénale sert de barométre pour apprécier le potentiel  d’un leader à un instant T 

 

Nous ne sommes pas toujours en pleine possession(au top) de nos moyens et il est important que l’on soit en mesure de connaitre notre niveau de compétence, selon qu’il va monter ou selon qu’il  va  chuter, ce qui peut se produire assez brusquement dans les deux sens  tant l’astrologie en ce sens serait une « science exacte », mathématiquement parlant.

Actuellement  avec l’entrée de Saturne en Bélier, nous allons devoir assister à un chassé croise assez impressionnant et frappant, ce qui est l’heure de vérité pour la cause de l’astrologie que nous défendons. Cela signifie que ceux qui étaient en haut vont descendre de leur piédestal  et que ceux qui étaient en marge vont se retrouver en position centrale. Tel est, selon nous, le véritable enjeu de la prévision astrologique et c’est le créneau qui doit pouvoir l’imposer définitivement, à l’avenir, notamment en raison des aller- retours et des va  et  vients que cela implique.

D’aucuns  feront la fine bouche parce qu’ils ne prennent pas la mesure d’un tel  enjeu alors que cela impacte fortement la question du pouvoir,  du  leadership, tous azimuts, sous toutes les latitudes.  Nous pensons que certaines phases  favoriseraient certaines catégories de la population. La phase dit  » Hessed », celle de la Grâce, est une phase d’horizontalité, où le relationnel, la soldarité ( la « fraternité », comme dit la devise républicaine) est une valeur majeur Cela correspond à un temps de carence de la verticalité avec une perte des moyens chez ceux qui dominaient !A  contrario ,en phase « Din », de jugement, les porteurs de la valeur Hessed sont en facheuse posture  au niveau  individuel, ils ne font plus le poids..

Cela conduit à une sensation de décalage entre le passé et le présent, on ne se reconnait plus, on est un « has been » mais inversement, une nouvelle phase se présentant, c’est le « come  back », le deuxiéme souffle, le Retour. Cette dualité  est une donnée anthropologique de  toute première importance qu’un Albert Camus, dans son Mythe de Sisyphe a peut être appréhendée  mais n’aura pas su modéliser.

 

Wikipedia

Le Mythe de Sisyphe est un essai d’Albert Camus, publié en 1942. Il fait partie du « cycle de l’absurde », avec Caligula (pièce de théâtre, 1944), L’Étranger (roman, 1942) et Le Malentendu (pièce de théâtre, 1944).

 

Dans cet essai, Camus introduit sa philosophie de l’absurde : la recherche en vain de sens de l’homme, d’unité et de clarté, dans un monde inintelligible, dépourvu, selon lui, de Dieu et par conséquent, de vérités et valeurs éternelles. Le personnage de Sisyphe incarne cette répétition mécanique de la vie, Camus en fait également un personnage tragique en raison de sa conscience. Mais cette prise de conscience de l’absurde nécessite-t-elle le suicide ? L’écrivain répond : Non, elle nécessite la révolte. »   Nous préférons parler  de la Roche Tarpéienne  jouxtant le Capitole.

Mais en linguistique, la question des préfixes  nous avertit de la perspective d’un tel basculement. Il suffit d’un « presque rien » impercepible, pour passer d’une extréme à l’autre. du positif au négatif

 »

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB 06 06 25

Publié dans astrologie septennale, LINGUISTIQUE | Pas de Commentaire »

12345...63
 

Hertiuatipo |
L'actualité du droit d... |
Beats Pas Cher |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Lixueosche
| Kenpkcv
| Luivaterfoxs