jacques halbronn La centralité française. Les systémiques, les creusets, les melting pots

Posté par nofim le 16 février 2025

jacques  halbronn  La centralité  française. Les systémiques, les creusets, les melting pots

 

Il importe de comprendre que notre monde s’est organisé autour de « systémes » et cela vaut pour notre « systéme solaire ». avec ces corps qui gravitent autour d’une certaine étoile, le Soleil (héliocentrisme);, d’où l’importance de déterminer des « centralités ».

En ce sens, il importera de ne pas confondre la cause et ses effets, erreur très souvent commise. Dans le cas de la « langue » française; ce qui importe, comme le croient la plupart des linguistes, les mots qu’elle contient à un instant T mais le traitement que le français a fait subir aux mots les plus divers, en application d’une certaine systémique.

Le fait de rappeler que tel mot de la langue française aurait telle ou telle origine est assez vain car ce qui importe est ce qu’elle en a fait et cela vaut aussi, probablement, pour ce qui est des populations englobées dans l’espace « français », par delà leurs origines respectives  et diverses. C’est cette unité fondamentale qu’offrent les systémiques françaises   tant sur le plan politique que linguistique -ce qui ne fait qu’un – qui structure toute la civilisation. On retrouve là l’image de la Tour de Babel dont on nous dit qu’elle effraya les dieux parce qu’elle s’opposait à la dispersion des humains qui les attendait:

 

Genése XI

ד וַיֹּאמְרוּ הָבָה נִבְנֶה-לָּנוּ עִיר, וּמִגְדָּל וְרֹאשׁוֹ בַשָּׁמַיִם, וְנַעֲשֶׂה-לָּנוּ, שֵׁם:  פֶּן-נָפוּץ, עַל-פְּנֵי כָל-הָאָרֶץ.  4 Ils dirent: « Allons, bâtissons-nous une ville, et une tour (Migdal) dont le sommet atteigne le ciel; faisons-nous un établissement durable, pour ne pas nous disperser sur toute la face de la terre. »
ה וַיֵּרֶד יְהוָה, לִרְאֹת אֶת-הָעִיר וְאֶת-הַמִּגְדָּל, אֲשֶׁר בָּנוּ, בְּנֵי הָאָדָם.  5 Le Seigneur descendit sur la terre, pour voir la ville et la tour que bâtissaient les fils de l’homme;
ו וַיֹּאמֶר יְהוָה, הֵן עַם אֶחָד וְשָׂפָה אַחַת לְכֻלָּם, וְזֶה, הַחִלָּם לַעֲשׂוֹת; וְעַתָּה לֹא-יִבָּצֵר מֵהֶם, כֹּל אֲשֶׁר יָזְמוּ לַעֲשׂוֹת.  6 et il dit: « Voici un peuple uni, tous ayant une même langue. C’est ainsi qu’ils ont pu commencer leur entreprise et dès lors tout ce qu’ils ont projeté leur réussirait également.
ז הָבָה, נֵרְדָה, וְנָבְלָה שָׁם, שְׂפָתָם–אֲשֶׁר לֹא יִשְׁמְעוּ, אִישׁ שְׂפַת רֵעֵהוּ.  7 Or çà, paraissons! Et, ici même, confondons leur langage, de sorte que l’un n’entende pas le langage de l’autre. »

 

 Il importe peu que les langues soient diverses dès lors qu’elles sont soumises à un seul et même système. Nous avons montré, dans nos travaux, que le français était capable de « franciser » n’importe quel mot, de plier tous les mots à un seul et même traitement, ce qui sous-tend l’Unité. C’est la notion de creuset (melting pot) que les Américains revendiqueront sur le modéle français. La colonisation  est fondée sur la croyance en une telle systémique de transmutation. L’idée de laicité  fait abstraction des origines des composantes. En ce sens, la systémique française serait comparable à un « trou noir » :

  »En astrophysique, un trou noir est un objet céleste si compact que l’intensité de son champ gravitationnel empêche toute forme de matière ou de rayonnement « . 

Par mimétisme, d’aucuns ont pu croire qu’il leur suffirait d’importer le fruit d’une telle alchimie  sans être initié à ses codes, ce qui produit toutes sortes de déviances, par ignorance. Et c’est ainsi que nous lirons le passage (cf supra) sur la Tour de  Babel.  Dès lors que l’on entend rappeler la diversité des origines linguistiques, ethniques ou autres, l’on s’engage dans une remise en question de la systémique française, laquelle peut avoir revêtu les apparences les plus diverses, à travers les âges au point que le français actuel ne correspond pas nécessairement à  ses manifestations antérieures .

La  question de la prononciation du français est un enjeu absolument capital (/https://france3-regions.francetvinfo.fr/centre-val-de-loire/indre-loire/tours/pourquoi-parle-t-on-le-meilleur-francais-en-val-de-loire-2942445.html  et nous avons mis en garde contre la question des noms propres qui pourraient  miner l’harmonie, l’homogénéité, générale du modéle français.  C’est tout le probléme de l’intégration et de l’assimilation  des éléments étrangers qui se pose ici.

 

JHB 16 02  25

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jacques halbronn Les trois visions du monde selon l’astrologie septennale.

Posté par nofim le 25 janvier 2025

jacques  halbronn  Les trois visions du monde  selon l’astrologie septennale.     

 

La division en 3 secteurs de chaque saison conduit à un ensemble duodénal. (12). Mais ce serait une erreur que de vouloir  distinguer les saisons entre elles alors qu’il s’agit de montrer en quoi elles se ressemblent, ce qu’avait bien compris Reinhold Ebertin qui réduisait le Zodiaque à 90° (360/4)

« Reinhold Ebertin : Vie et Contributions

  • Reinhold Ebertin (1901-1988) était un astrologue allemand, enseignant et éditeur, connu pour avoir développé la cosmobiologie en s’appuyant sur les recherches d’Alfred Witte. Il a publié des ouvrages influents, notamment « Combinaison des Influences Célestes », et a exploré des applications médicales de l’astrologie. » On lira la traduction de ses Combinaisons  par Henri Latou (Ed du Rocher)
  • Nous avions eu un entretien avec lui en 1971 à Aalen, en compagnie de Paul Colombet et Henri Louis Le Corre.Nous dirons que ces trois «  Weltanschauungen » (représentations du monde)  auxquelles renvoie le trio  cardinal, fixe, mutable  sont une clef essentielle pour l’Histoire des Religions.  Vision  grecque,  vision  juive  et vision chrétienne. 
  • Chaque quadrant saisonnier est  constitué de trois temps, sur la base de la présence de Saturne.
  • Le temps cardinal correspond au plan divin, le temps fixe, au temps de la Science, le temps mutable au temps de l’homme-dieu.  L’astrologie mondiale repose selon nous sur ces trois piliers, en alternance, sur une période de 7 ans, soit 840 jour pour chacun (2 ans et 4 mos,  7 ans/3)  Il y a de fortes tensions entre ces trois « régnes » qui alternent non pas de façon  évolutive mais au contraire, avec des passages immédiats d’une phase à la suivante , d’où l’importance qu’il y a à se préparer en temps utile à chaque changement structurel. Il ne faut ni s’y prendre trop  tôt  ni  trop tard! Dès lors, le Droit Constitutionnel ne saurait ignorer un tel calendrier, passer outre, beaucoup plus longtemps. A la fin du XVIIIe siècle, les sociétés ont voulu croire qu’elles pouvaient, par le biais de « constitutions »  maitriser le temps, comme elles le faisaient pour l’espace, dans la dynamique de la Révolution Industrielle en cours. Malheureusement, la montagne aura accouché d’une souris et on en est pas plus avancé de nos jours du fait du retard qu’a pris l’astrologie à trouver son bon mode d’emploi, ce que prétend avoir enfin réalisé, notre Astrologie Septennale Mieux vaut tard que jamais
  •   Récapitulons.
  • En phase cardinale, le plan divin est rappelé par ceux qui ont la charge de veiller sur son respect, à savoir les Juifs. Mais là encore,  le judaisme se sera longtemps fourvoyé.  Mais le processus subconscient n’en est pas moins  à l’oeuvre, visant évacuer les scories  en désignant  ceux qui ont vocation  à guider l’Humanité sur le bon chemin.
  • En phase « fixe », il y  a régression, et l’on en revient à un état antérieur à l’instauration du plan divin, de la Création d’un nouveau monde. C’est le regne de la Science et les Scientifiques prennent  le pouvoir en niant l’existence même d’un  Plan divin.. Lors de la pandémie du Corona virus, on a parle de « dictature sanitaire » mais cela vaut également pour les exigences écologiques
  • En phase mutable, c’est le troisiéme temps qui entend placer l’Homme au centre et l’on peut parler de l’Homme-dieu, ce qui correspond au christianisme, à l’ Humanisme. C’est l’homme se  voulant créateur à son  tour.
  • Mais,  bientôt, les 7 ans se seront écoulés et l’on retrouve le temps cardinal  et ainsi de suite. On est bien loin ici de ces Ages couvrant des siècles, voire des millénaires. L’astrologie septennale est à taille humaine et fonctionne, comme son nom l’indique sur des unités de 7 années.
  • Notre cycle de 7 ans permet à trois sensibilités de s’exprimer  à tour de rôle; ce qui correspond à trois formes de religion en alternance. En signe cardinal,  la religion du dieu  créateur de notre Humanité et instaurant des lois célestes , en signe fixe, celle du dieu  du « big bang » et en signe mutable, le dieu créé par notre Humanité et introduisant des Commandements  Si l’on s’en tient au Livre de Jérémie (ch XXXI), l’ancienne alliance est celle du dieu inventé par les hommes alors que la nouvelle alliance est celle instaurée par les dieux..

 

 

 

 

 

JHB 25 01 25

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Jacques halbronn Epistémologie . L’astrologie essentielle pour la Science et la théologie.

Posté par nofim le 16 décembre 2024

 

Jacques  halbronn  Epistémologie . L’astrologie essentielle pour la Science et la théologie

 

La  question n’est pas de décréter si l »astrologie est « une » science mais -ce qui a une toute autre importance, si l’astrologie  est de la Science, car si elle en est,  la Science ne saurait se permettre de l’ignorer au risque de s’appauvrir fatalement. L’astrologie, en soi, serait partie prenante de la Science, serait incontournable par delà ses divers avatars. De même, il nous apparait que l’astrologie serait une dimension essentielle de la théologie. Et là encore, une théologie sans astrologie est-elle viable? L’usage du mot « Ciel » fait probléme dans le champ du  religieux : on nous parle de la Création du monde, des astres mais on ne nous dit pas en quoi ceux-ci constituent une loi divine s’imposant aux humains lesquels auraient le devoir de la respecter au lieu de se contenter de « commandements » émanant de la Société et non des lois célestes et l’astronomie sans astrologie n’est plus qu’un ornement  subsidiaire. Que les astronomes n’aient pas su mettre en évidence l’impact du cosmos sur notre Humanité constitue un échec caractérisé, qui les délégitime et le fait que certaines formulations associées à l’astrologie soient controuvées ne fait que souligner leur incurie.Autrement dit, il est du devoir de l’Astronomie de veiller  à ce que le lien entre les Cieux et la Terre  soit correctement établi. JHB 16 12 24

 

 

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jacques halbronn Réflexions autour du Cogito, du « je pense » comme raison/nement

Posté par nofim le 22 novembre 2024

jacques  halbronn  Réflexions  autour du Cogito, du « je pense » comme raison/nement 

  La  formule n’est  attestée qu’en français dans l’oeuvre de Descartes si bien que la traduction latine  nous apparait comme appauvrissante puisque le pronom personnel « je », existant à deux reprises, n’y figure pas explicitement. Nous  nous sommes intéressés au dualisme intérieur et au fait qu’Adam ait  été crée « à l’image de Dieu » ‘masculin »  et  « féminin  et non  « homme et femme »/

Selon nous, le « je pense » renverrait à cette « raison » qui est en moi, avec les exigences qui sont les siennes.

 

Sur le  web  « Le bon sens n’est pas l’opinion commune que partage monsieur tout le monde. Le bon sens c’est la raison, c’est-à-dire pour Descartes la faculté à distinguer le vrai du faux, et le bien du mal sur le plan moral. »

Sans cette « raison » raisonnante, qui serais-je donc?  Nous avons, dans de récents textes, signalé que le type « auditif » masculin était instinctivement occupé et équipé pour détecter tout ce qui allait contre la raison alors que le type « olfactif » féminin veillait à la santé physique plus que mentale.

Entendons par là que la vigilance  au prisme de la raison définirait l’être masculin dans ses manifestations les plus essentielles. Dès lors  puis-je me  percevoir comme « étant »  si ma raison me lâche, si  ma pensée devient confuse, si elle tend  à « confondre  » . Inversement, le  » sum », le  » je suis » , chez la  femmes passera par le repérage non pas des erreurs de la pensée mais par celui  dérangements intestinaux, source de bien des nuisances olfactives »/

 

 Le Monde: notre deuxiéme cerveau.

« C’est un étrange voyage au cœur de nos entrailles que propose Cécile Denjean dans ce documentaire parfois complexe mais passionnant. Notre ventre abrite plus de 200 millions de neurones connectés qui transmettent des ordres. Ce « cerveau du bas », qui règne sur une impressionnante colonie de bactéries, décide-t-il de nos humeurs ? »

 

 C’est donc que  le « sum » de la femme ne s’ancre pas sur les mêmes instances que celui de l’homme., d’où des vigilances, des missions, des responsabilités différentes (et complémentaires) Dans les deux cas, il existe une instance qui a  ses propres exigences, ce qui fait de nous, tant homme que femme, des êtres duels, condamnés à vivre une telle dualité;

JHB 22 11  24

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jacques halbronn Réflexions autour du Crépuscule des Magiciens, 1965

Posté par nofim le 14 novembre 2024

jacques halbronn Réflexions autour du Crépuscule des Magiciens, Le réalisme fantastique contre la culture. Editions  Rationalistes  Yves Galifret (1919-2013)  1965 

On peut parler  ici d’un enseignement du mépris, pour reprendre la formule de jules isaac. Cela  annonce le Manifeste des 186 qui  paraitra dans la revue The humanist, dix ans plus tard  : nous avions organisé un colloque  à Paris, en décembre 1975 pour y répondre.

Parmi les auteurs de ce collectif de 1965: René Etiemble, R. Imbert Nergal, Ernest  Kahane, jean claude Pecker, Evry Schatzmann, A l’époque,  était paru en 1971 le Retour des Astrologues dir. Edgar Morin. (Cahiers Nouvel Obs). Bien entendu, le titre fait écho au « Matin des Magiciens ».(Gallimard, 1960)

 

Wikipedia:

« Le Matin des magiciens, introduction au réalisme fantastique est un livre de Louis Pauwels et Jacques Bergier publié en octobre 1960 aux éditions Gallimard dans la « collection blanche ». Le courant du « réalisme fantastique » annoncé par le titre secondaire fut aussi celui de la revue Planète, lancée l’année suivante par les mêmes auteurs. Grand succès de librairie à son époque, l’ouvrage connaît encore une influence majeure dans le domaine de la « pyramidologie », dans les courants contemporains de l’occultisme ou encore dans la vague d’interprétations sur le mysticisme nazi qui a suivi. »

Soixante ans après ce Crépuscule, qui s’en prenait notamment, à la revue Planète et à  son directeur, Louis Pauwels,, où  en sommes nous?

Selon nous, la dimension théologique ne saurait être mise de côté car se pose la question de ce que nous appelons la  » Surnature » (voir notre texte sur le Tsimtsoum  des kabbalistes) laquelle ne saurait être balisée, explorée de la même façons que la « Nature » car c’est un systéme fermé,cloisonné, relevant d’un « intelligent design », d’un travail d’architecte. Selon nous, l’astrologie reléve de cet « autre monde » créé « par dessus », d’un « méta ». les astrologues n’ont généralement pas compris que leur « science  » relevait de la Sur Nature et non de la Nature, qu’elle impliquait l’existence d’une « technique », d’une  biotechnologie »  (combinaison du minéral et de l’animal) très avancée. Notre XXIe siècle nous permettra de mieux en mieux de prendre la mesure  du monde tel qu’il aura été  (re) formaté par les dieux évoqués dans le premier chapitre de la Genése.

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jHb 15 11 24

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jacques halbronn Astrologie. Psychosociologie. Genre Dialectique Lune F, Saturne M.

Posté par nofim le 8 novembre 2024

jacques  halbronn  Astrologie. Psychosociologie. Genre Dialectique Lune F, Saturne M.   

 

Nous proposerons ici  un modéle plus élaboré que jusques à présent de nos  recherches  notamment dans le rapport  Espace- temps, Sol (terre)-sang.

Les femmes ont une réussite collective formatée à très large échelle, au prisme de la procréation, de la grossesse, de l’accouchement, performances au demeurant assez banales, tout comme la menstruation et la ménopause et qui n’exigent pas un état de conscience spécialement développé. En ce sens, on associera la condition féminine au Temps, à la génération, à la généalogie, d’où, par exemple, l’importance du culte de  la Vierge dans le christianisme;

En revanche, les hommes se trouvent en compétition hiérachique  entre eu, en ce qui concerne leur réussite socio-professionnelle très relative et variable dans les domaines les plus  variés  voire les plus  imprévisibles. Les hommes les plus remarquables sont capables de rassembler, de réunir, de regrouper, de reconnecter, de franchir certains barrages et clivages, certaines barrières. En ce sens, on associera la condition masculine à l’Espace.

Les hommes forts ont des disciples, tel Jésus, les femmes (f)ont des enfants,  produisent une progéniture (mère, grand mère), une famille. La  façon dont les femmes accomplissent leur « mission » est bien connue anatomiquement  et  relevant d’une certaine mécanique alors que  pour les hommes, c’est un domaine beaucoup moins bien balisé et théorisé.Les femmes correspondent à la démocratie directe, basée sur une certaine égalité alors que les hommes correspondent à la démocratie indirecte, à l’oeuvre au sein de cénacles, d’aréopages élitiques, sélectifs.

Pour les femmes, le rapprochement avec la Lune est bien connu, et l’on sait que le cycle des « régles » offre les mêmes chiffres que celui  de la lune, sur une base mensuelle d’environ 28 jours. Pour les hommes, l’on passe des jours aux années, avec les 28 ans -environ- de Saturne. Mais au sujet de Saturne, c’est un  point qui ne fait guère consensus, en raison du retard pris dans la recherche  astrologique. Les longues périodes saturniennes laissent plus de place à l’espace alors que les courtes périodes lunaires  reléveraient plutôt du temps;

 

 

 

 

 

JHB 08 11 24

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jacques halbronn Réflexions autour de L’Etre Cosmique de Solange de Mailly Nesle 1985

Posté par nofim le 3 mai 2024

jacques  halbronn  Réflexions autour de L’Etre Cosmique de Solange de Mailly Nesle 1985 (flammarion) 

 

 

Dans son ouvrage paru il y a près de 40 ans, L’Etre cosmique Dialogues entre l’astrologie et la Science,  Solange de Mailly considère que l’Astrologie appartient à un registre différent de celui de la Science.   Mais où  se situe précisément un tel  clivage? Et d’ailleurs de quelle astrologie est-il question? Il  est possible  que la lecture de cet ouvrage ait inspiré sur ‘La pensée astrologique », qui paraitra en 1ç86 (avecla réédition de l’HIstoire de l’Astrologie de Serge Hutin (Ed Artefact) Pour  nous, il existe deux stades de l’astrologie, l’un  fondé sur un savoir astronomique rudimentaire – la Lune  et le mouvement diurne de certains astres, au cours d’une journée., dont on ne connaissait même pas les durées de révolution, ce qui eut exigé de les situer en rapport avec les étoiles fixes  au cours de leur périple. Cette proto-astrologie  aura été fabriquée par les humains selon un processus d’instrumentalisation donc de projection d’un ordre social sur le monde céleste, ce qui passait aussi par la mythologie. Par la suite émergea une autre astrologie, d’un niveau de savoir technoscientifique bien supérieur à ce que notre Humanté était en mesure de mettre en place et en oeuvre.  Cette nouvelle astrologie se sera inspirée de la première en alignant les données d’un astre (qui prendra le nom de Saturne) sur celles de la Lune, à savoir 28 jours terrestres et 28 années terrestres. On n’est plus dès lors dans une simple observation du ciel mais réellement dans un processus de formation, de formatag qui a fort bien pu déboucher sur un ordre mis en évidence par la « Loi de Bode » (1772) (cf p. 215) Triomphe de la Technique sur la Science, laquelle se voit décantée, réduite à  un schéma extrémement simple. Il pourra sembler paradoxal que cette astrologie ne  tienne pas compte de tous les astres visibles depuis la Terre mais se contente de se servir d’une seule planéte, à savoir Saturne, établie en tant qu’octave supérieure de la Lune.  Les autres astres visibles se verraient instrumentalisés pour représenter une division en 4, propre à la fois au cycle lunaire (nouvelle Lune etc) et au cycle saisonnier, lié à l’inclinaison de l’axe de la Terre,  fixé en conséquence grâce à  une forte maitrise technologique.  Autrement dit, entre la Lune et Saturne, l’on disposait d’un quatuor, Mercure, Vénus, mars, Jupiter lequel n’avait aucun rôle cyclique à jouer dans cette nouvelle donne et dont le nombre avait été déterminé en conséquence. Rien à voir, donc, avec cette proto-astrologie, si bien dévoilée par Michel Gauquelin à partir de 1955 autour de la Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne dont les mouvements seront déterminants à la différence de leur statut dans l’autre systéme. Dans tous les cas de figure, on aura compris que les « influences » seraient établie, déterminées par les récepteurs humains et non par la Nature. Et c’est cette idée d’instrumentalistaion qui était, dans les deux cas, au coeur de notre texte de 1986. Il ne s’agit donc pas, selon nous, d’essayer de montrer que l’astrologie aurait été le fait d’une observation de ses effets « naturels » comme l’ont présenté tant d’astrologues qui refusaient de voir dans l’astrologie une création en quelque sorte artistique, une architecture. Et c’est probablement là que nous différerons de la problématique de Solange de Mailly Nesle. Mais, le propos liminaire de l’auteur à teneur religieuse nous convient assez car il faut bien admettre une intervention venue d’ailleurs pour sous tendre notre propos. Que par la suite, l’astrologie ait été découverte par l’observation  n’est pas contradictoire mais cette observation n’aura pas fondé l’astrologie mais aura révélé un « plan divin » déjà en place. En ce sens, la problématique de sa validation, une fois une telle structure constituée, ne saurait échapper aux exigences méthodologiques du milieu scientifique. En effet, cette autre astrologie n’aura eu que faire du thème de naissance propre à la proto-astrologie mais reléve d’une approche  collective, – propre à une astrologie « mondial »  et nullement individuelle. Comme nous l’écrivions dès 1976, près de  dix ans avant la parution de l’ouvrage de l’auteur, le thème astral nous apparaissait comme une dérive divinatoire, une « astromancie » articulée sur un certain état du ciel à décoder. Comme le notait déjà Gauquelin, l’influence n’était perceptible que sur des groupes socioprofessionnels et leurs représentants les plus doués. De la même  façon,  cette nouvelle astrologie n’agirait que sur une élite, des « chefs » capables d’entrainer les masses, ce qui renvoie à la notion de prophéte voire de peuple élu. Mais cette nouvelle astrologie, en dépit de ses origines étrangères à notre Humanité,  nous semble parfaitement vérifiable, au sens de Popper (principe de réfutabilité). Les périodes saturniennes de 7 ans (28/4) se limitent à une alternance entre un temps féminin (solsticial) et un temps masculin (équinoxial). étant entendu que le féminin est la matrice du masculin lequel le structure et le formate. Après ce préambule, intéressons nous d’abord  à l’entretien  de SMN avec Daniel Verney( pp. 198 et seq) en dénonçant son approche de l’aspect d’opposition  qui lui fait considérer le cancer et le capricorne comme antagonistes (p; 216) alors que c’est l’aspect de carré qui souligne les tensions, l’axe équinoxial est en carré avec l’axe solsticial  alors que l’opposition met en rapport des facteurs placés sur un même axe/ Il y a là un contre sens qui risque de fausser complétement toute forme de prévision. D’ailleurs, l’astrologie aura beaucoup souffert d’une déficience concernant les phases contraires  C’est ainsi que Barbault fait de la conjonction des planétes une position diamétralement opposé à celles de l’opposition, ce qui le conduit à placer les conjonctions en bas de sa courbe (tension)  et les oppositions au sommet (détente) SMN ne reléve pas une telle bévue. Il  est vrai que Lune et Saturne sont associés à des signes opposés, cancer et capricorne mais l’on sait à quel point ces deux astres présentent des analogies numériques (28/4=7)  Daniel Verney affirme dans son entretien à quel point le thème natal occupe une place centrale pour l’Astrologie, ce qui montre qu’il n’a pas été sevré d’une première approche de l’astrologie. 

Voyons à présent ce qui est dit dans l’ouvrage à propos de Gauquelin.(pp 192  et  seq) SMN affirme « Le  statistiques de M. Gauqueli relévent du quantitatif tandis que l’astrologie fait appel à un ordre qualitatif ». La statistique permet de regrouper des données éparses en un nombre limité de catégories. Pour nous, l’astrologie est le pôle masculin face à l’astronomie qui est le pôle masculin.  En ce sens, l’astronomie correspondrait à une « matière » première que l’astrologie aurait à décanter, à réduire alchimiquement; SMN ne capte pas cette fonction réductrice et formatrice  de l’Astrologie. En ce qui concerne la question causale, nous avons déjà expliqué que la Technique instrumentalise la Science, n’en retient que ce dont elle  a besoin. On ne mange pas tout ce qui se présente dans une carte de restaurant, on opére des choix. Toute la question est de savoir si le choix qui est effectué produit une nouvelle réalité, par dessus la réalité première, matricielle, ce qui renvoie à l’humanisme. Au risque d’etre accusé de misogynie, SMN adopte un point de vue féminin et ne parvient pas à comprendre le rôle de l’humain dans la Création, ce qui affaiblit considérablement sa position face à la Science.  En 1986, nous avons développe un commentaire dans la Pensée Astrologique, sur l’instrumentalisation arbitraire -dans une démarche d’autodétermination- par les humains mais aussi par d’autres animaux et  végétaux de leur environnement De la même façon que le calendrier électoral qui est instauré par telle ou telle Constitution devient une réalité tangible. Le probléme, c’est que l’Astrologie semble ne relever ni d’une réalité « objective » ni d’un consensus « subjectif » mais d’un entre deux, une subjectivité objectivée par la technologie, entre Nature et Culture; A propos des rapports  Astronomie/astrologie, nous pensons qu’il est question d’un couple et que l’astronomie est le facteur féminin qui fournir un matériau au facteur masculin qu’est l’astrologie. On parle souvent d’un divorce entre ces deux domaines, cela tient au non respect des rôles respectifs, et l’astronomie a pris le dessus sur ‘l’astrologie en lui imposant notamment, comme dans la Tétrabible de Ptolémée, de se servir de la totalité des planétes connues. Par ailleurs,  quand  l’autrice parle des rapports entre planétes et zodiaque, elle n’est pas au courant du fait que le symbolisme zodiacal est issu du symbolisme mythologique, mais le dispositif des maitrises a  été décalée(cf notre article Astrologie, in Encyclopaedia  Universalis, 1994) Mais comment reprocher à un auteur l’ignorance de recherches postérieurs à la publication de son travail?

 

 

 

 

 

 

 

 

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jacques halbronn Les quatre visages de l’astrologie à ne pas confondre

Posté par nofim le 29 avril 2024

jacques  halbronn  Les  quatre  visages de l’astrologie à ne pas confondre. 

 

Il faut arrêter de parler d’une seule Astrologie car selon nous, il s’agit d’un amalgame, d’un syncrétisme entre 4 formes qui n’ont pas grand chose à voir entre elles.

On distinguera d’abord les astrologies à usage privé  et celles à usage public dont le modus opérandi diffère considérablement puis l’on ne confondra pas les travaux cherchant à valider  statistiquement la notion d’influence astrale ou de lien entre les hommes et les astrres et ceux visant à proposer un modéle de gouvernance. Plusieurs dialogues sont en jeu; celui avec l’individu lambda, avec sa famille et celui avec les hommes de science, les gens de religion et les politiques.   

 

I Dialogue avec la personne lambda 

 Il s’agit là d’un entretien reposant sur des données inaccessibles pour le praticien et cela passe donc sur ce que le client est disposé à fournir, à confirmer ou à infirmer. c’est très différent si le praticien a  affaire  à une « personnalité » sur laquelle on peut se renseigner mais en même temps d’aucuns objecteront que l’astrologue n’aurait alors pas grand mérite à faire des corrélations. l’enjeu est donc bien le travail en aveugle du devin. C’est le terrain du thème natal (astrologie généthliaque)

 

II Dialogue avec des scientifiques. 

Les travaux statistiques ne s’adressent pas aux particuliers mais à des chercheurs désireux de vérifier ce qu’il en est des rapports entre les hommes et les astres. Cela n’a pas d’incidence sur une pratique, un usage de l’astrologie d’autant que  l’on  affaire à des catégories socio professionnelles , comme chez Gauquelin,  et non à des équations individuelles comme dans le premier cas.

 

III Dialogue avec  des gens de religion. 

L’argumentation n’est pas la même que dans les deux cas précédents, elle concerne la théologie et le plan divin lequel sera  ou non jugé compatible  avec l’approche astrologique, notamment en ce qui concerne le libre arbitre. Que disent les Ecritures à propos de l’astrologie? Le terrain, là  encore, diffère des deux précédents,

 

IV Dialogue avec les politiques. 

C’est le créneau de ce que nous appellerons l’Astrologie Politique, « Mondiale »; Il ne s’agit pas de la sphère privée, d’une astrologie du thème de naissance mais d’une astrologie de pleine visibilité et donc aussi simple que possible, à l’instar des constitutions qui sous tendent les élections dans les différents pays/ Le tableau de bord est le systéme solaire et le message dont il est porteur. Cette astrologie  vise à une certaine clarté d’exposé aisément compréhensible. CE n’est ni l’astrologie des consultations ni des cours d’astrologie  mais une astrologie publique dont une manifestation est celle du signe du mois, popularisée par les médias et les livrets zodiacaux, souvent vilipendés par les praticiens du premier « dialogue’. André Barbault  a contribué  tant en ce qui concerne l’astrologie mondiale que pour la littérature zodiacale (collection aux éditions du Seuil). Nous mêmes avons élaboré des modéles depuis 1976 (Astrologie Sensorielle, « selon Saturne,  EXOLS)

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB 29 04 24

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jacques halbronn Nature, Technique, Cultuure Les différents types d’arbitraire.

Posté par nofim le 12 avril 2024

jacques  halbronn  Nature, Technique, Cultuure  Les différents types d’arbitraire. 

 

Tous les  arbitraires ne se valent pas. Il y a l’arbitraire de la Nature qui est « ce qu’il est », fruit de l’Evolution sur lequel l’Homme n’a guère prise. A l’opposé, il y  a celui de la Culture, complétement dépendant du dessein  humain et qui est à sa merci. Entre les deux, l’arbitraire de la Technique qui exige un certain  niveau de connaissance pour être reconsidéré. Il dépend du savoir de  celui qui entend corriger cet arbitraire. Prenons le cas  du systéme solaire: dans l’état actuel de nos  dispositions, nous ne sommes pas en mesure, d’en modifier l’ordre, la cyclicité, plus que nos prédecessurs du XVIIIe siècle mais il est possible que dans un siècle ou deux, nous ne soyons plus toujours aussi impuissants. Tout est donc relatif; Prenons la question de « Dieu », des « dieux »est- ce que tous les « dieux » se valent? Actuellement, on a quand même l’impression d’un certain libéralisme en la matière, à savoir que tout le monde serait en mesure de se forger un dieu, à sa guise. Nous préconisons de distinguer les dieux qui nous ont créés  et ceux que nous-même; avons  créés. En d’autres termes, on peut croire en  un « Dieu » qui nous serait inaccessible car dans ce cas, il  ne serait pas de notre fabrication « maison » par opposition à un « dieu »  à l’image de l’humain ce  qui n’est pas la même chose que l’inverse. C’est  ainsi que le dieu des Hébreux est nécessairement doté d’un puissant savoir biothechnologique qui lui aura permis de mener à bien un certain nombre d’opérations/ A contrario  un personnage comme Jésus n’a pas la même faculté créatrice, il doit se contenter de performances, d’expériences thaumaturgiques; La notion de miracle  est au coeur de notre débat. inventer un monde astrologique  d’ordre anthropocosmologique est d’une autre trempe (cf supra)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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JHB 12 04 24

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jacques halbronn Epistémologie et théologie. Le trio Nature, Technique, Culture

Posté par nofim le 8 avril 2024

jacques  halbronn   Epistémologie et théologie.  Le trio  Nature, Technique, Culture.

Il existe trois niveaux de réalité, celui, ontologique, des  choses en soi, celui des choses transformées, inventées par un « esprit » humain -dans un sens non  nécessairement limité à notre Terre, c’est le plan de la Technique- et enfin celui  des choses sur lesquelles on aura  projeté des valeurs sans que ces choses aient été modifiées dans leur substance, c’est le plan de la Culture.

Or, il importe de ne pas confondre ces trois plans et de présenter comme science ce qui reléve de la Technique et vice versa ou de présenter comme technique ce qui reléve de la Culture et vice versa.

Au niveau théologique, qu’est ce que cela implique?  On peut notamment, selon nous, distinguer  judaisme et christianisme en disant que l’un reléve de la technique, de la (bio)technologie  alors que l’autre ne serait déterminé que culturellement alors que la Science se situerait plus en amont, comme un phénoméne dont l’existence ne dépendrait pas d’un dessein intelligent/Opposition  entre la matière et l’Esprit. 

Entendons nos propos ainsi: nous opposons un Deus Faber,qui forge (tel Vulcain/Hephaistos) un nouveau monde en décalage par rapport à un « Premier mobile » et un Dieu qui n’est certes pas en mesure, à la différence du Deus Faber (qui fabrique) de transformer la matière mais qui peut lui attribuer, lui conférer un nouveau sens, un nouveau statut. 

 Le chapitre Ier du Livre de la Genése met en scéne, campe un « démiurge » capable de restructurer dans sa substance même  la réalité  alors que le Nouveau Testament, en dépit de son évocation anachronique d’une Nouvelle Alliance qui suppose de disposer d’une technologie très sophistiquée, se limite en pratique à une dynamique purement culturelle qui se contente de produire de nouvelles représentations, c’est à dire de modifier notre regard sur le monde sans changer pour autant celui-ci.   Avec le christianisme, on se libére des contraintes de la Nature, de la Science, de la Technique pour basculer vers une Humanité qui s’autodétermine de par sa seule volonté. C’est l’homme qui se reformate plutôt qu’il ne reformate le monde. On pense à Descartes:

Sur le web

  »Cette citation de Descartes est issue du Discours de la méthode et apparaît au moment où Descartes se demande quel genre de préceptes moraux adopter quand on part à la recherche de la vérité. Parmi ces préceptes moraux, il édite celui-ci : « il faut changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde ».

Au niveau culturel, on est dans le n’importe qui et le n’importe quoi; ce qu’est en soi le réel  ne compte pas car ce réel peut changer de par mon seul désir, sans aucune intervention sur ce qu’il est/serait en soi. 

Si l’on comprend généralement la dialectique entre Nature et Culture, le plan intermédiaire échappera le plus souvent car la Technique ne saurait se réduire ni à la Science (Deus sive Natura), ni à la Culture, impuissante à changer le monde en soi mais seulement pour soi.

 Sur le web

 Distingué de l’en-soi, le pour-soi désigne ce qui fait qu’un être a conscience de son existence. Il ne doit pas être confondu avec le cogito – le « je pense » qui ne porte que sur l’existence d’un « je » universel. Le pour-soi est donc lié au recentrement de l’être sur sa particularité propre. Chez Hegel, l’être-pour-soi est à la fois l’être qui se rapporte immédiatement à lui-même et l’être qui s’oppose à l’en-soi en tant qu’il en refuse toute influence sur son mode d’être. Pour Sartre, il est ce par quoi l’homme se distingue des choses. L’existentialisme affirme en effet que seul l’homme peut se « pro-jeter » au-delà de son être, qu’il n’est pas enfermé dans un en-soi : « Le pour-soi seul est transcendant au monde », écrit Sartre. Mais l’homme n’est pas seulement un pour-soi, car, par son corps, sa naissance, son éducation, il subit sa facticité et peut renoncer à sa liberté en se faisant « en-soi ». Oscillant entre ces deux modes d’être, il peut se définir alors comme « en-soi-pour-soi ».  On dira que la culture va avec le devoir et la technique avec la nécessité, d’où le passage de l’Ancienne Alliance à la Nouvelle Alliance,  sous tendues par toute une structure systémique. La culture est dans le champ du vouloir, la technique dans celui du pouvoir.

 

 

JHB  08 04 24

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