jacques halbronn La devise républicaine au prisme de l’Astrologie Septénnale. Saturne en bélier (cardinal) en 1940

Posté par nofim le 3 mai 2025

jacques   halbronn  La  devise républicaine au prisme de l’Astrologie Septénnale. Saturne en bélier  (cardinal) en 1 940

 

 wikipedia

« La triade Liberté, Égalité, Fraternité est la devise officielle de la République française depuis l’article 4 de la Constitution de 1848 de la IIe République, inscrite à partir du centenaire de la prise de la Bastille qui devient fête nationale sur les frontons des édifices publics sous la IIIe République et reprise dans l’article 2 de la Constitution de 1958 de la Ve République. »

Or, tant  en 1789 qu’en 1848, Saturne se trouvera dans le signe mutable des Poissons (cf notre Astrologie selon Saturne, 1994-95). Cette devise  refléte un certain état d’esprit typique de la sephira  Hessed (cf notre étude à ce sujet) bien caractérisée par la  notion de Fraternité mais aussi de Liberté, aux tonalités féminines. Nos travaux sur les femmes viennent confirmer un tel écho.L’éthique féminine est typiquement  marquée par une quéte , un impératif, d’harmonie, d’entente, de grâce, de pitié, (compassion)de tolèrance, de miséricorde, de libérté-libèration et  ce, à n’importe quel prix.  « Il est interdit d’interdire ». On refuse les contraintes. On a  le  droit de dire ce qu’on veut.

A l’opposé, la bête noire serait la sephira Din (ou Guévourah) qui fait primer une certaine rigueur (Dura lex  sed lex), le respect, l’observance, de régles communes, le maintien d’une discipline, le sens du  devoir.

En  fait, les valeurs « républicaines » en question sont bel  et bien marquées par l’idée d’entraide, de solidarité, de budget « social » pesant lourd  sur l’économie d’un pays comme la France,  générateur d’endettement démesuré, à la longue.

 Au prisme de l’astrologie septennale, on doit donc s’attendre avec le passage de Saturne des poissons vers le bélier – donc du mutable vers le cardinal -  à un  certain désenchantement pour une période de 3 ans et  demi. En  effet, au bout de ces 1260 jours, chacune des phases est vouée, en son  temps, à passer le relais. 

C’est dire que cette  « triade » -Liberté, Egalité, Fraternité » ne reflétera  que la moitié du processus global, ce qui risque de venir  fausser le jeu politique fondé sur l’alternance.. On décalera tout de 45°. Sous vichy, la devise était travail famille, patrie. ce  qui correspond à l’esprit  de la phase cardinale de Saturne/

web

 La révolution nationale
Le régime de Vichy entreprend une rénovation morale et patriotique du pays qui se traduit par un retour aux valeurs traditionnelles. La devise officielle de cette révolution nationale est « Travail, famille, patrie ».

jacques   halbronn  La  devise républicaine au prisme de l'Astrologie Septénnale. Saturne en bélier (cardinal)  en 1940 dans astrologie septennale 20812

a. Le travail
Vichy réorganise le travail en corporations (comme sous l’Ancien régime). Dès 1941, la Charte du travail affirme les bases d’une organisation corporatiste et institue des ordres (encore en vigueur aujourd’hui) pour les professions libérales : médecins, notaires, architectes. Dans l’optique d’un retour aux traditions, l’artisanat et les formes traditionnelles de la vie économiques en général sont mis en valeur. Ainsi le travail de la terre est remis au goût du jour et pour encourager le retour à la terre, le gouvernement recourt au slogan : « la terre ne ment pas ».
 dans sociologie
Au lendemain de la Seconde guerre Mondiale, les pièces portant cette devise ne seront pas immédiatement retirées

JHB 03 05 25

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jacques halbronn Sociologie et théologie du monde juif: le clivage entre grégarité et élitisme

Posté par nofim le 19 avril 2025

jacques  halbronn  Sociologie  et théologie  du monde  juif: le clivage entre  grégarité et élitisme 

 

 O n  a pu remarquer à quel point la situation au Proche Orient pouvait affecter la  vie des Juifs en diaspora mais l’inverse est également à envisager: la  réussite de certaines personnalités  réputées comme  « juives » n’aura-t-elle pas affecter le sort des masses juives? Nous serions  ainsi en face de deux phénoménes coexistant au sein du monde  juif et qui en s’enchevétrant viennent singulièrement embrouiller l’analyse  de la « question   juive ».  Nous espérons apporter quelque lumière sur un tel  sujet lancinant.

D’une part, nous avons affaire à un peuple parmi tant d’autres rassemblant une certaine quantité d’habitants, de résidents et nécessairement, chacun est voué à naitre au sein de l’un de ces ensembles, par le droit du sang et/ou du sol. D’autre part, il existe, si l’on en croit le récit de la Création (Genése) une lignée « adamique » ou « adamide » -plus correctement dit- qui est la cheville ouvrière d’un « plan divin. » Ces Adamides peuvent apparaitre un peu partout sur notre  « Terre » (Eretz), programmés pour obéir au Ciel. (Shamayim) Ici, la Terre n’est pas quelque « terre promise » mais notre planéte toute entière – le mot « terre » ayant plusieurs acceptions tout comme d’ailleurs le mot « ciel » -ou cieux. Quant à la Loi, elle aussi, elle peut être entendue de diverses manières, une loi « extérieure » (celle de l’Ancienne alliance, Livre de  Jérémie XXXI) ou une loi « intérieure (celle d’un Nouvelle Alliance, idem). Or,  les juifs « grégaires » correspondraient à l’Ancienne alliance tandis que les Juifs Adamides, dispersés sur toute la surface de la Terre, correspondraient à la Nouvelle Alliance.(revendiquée abusivement  et à contre sens  par le Christianisme).

Certes entre ces deux  facette du monde  juif, il  a pu exister des intersections, dans la mesure même où les Adamides ont eu à s’occuper des populations, des communautés les plus diverses. Que l’on se rappelle la demande à Samuel pour qu’on donne aux « Juifs » un roi  comme autres peuples. L’épisode de Moïse (Livre de l’Exode, ch III) délégué par  un » Jéovah » pour guider les « Enfants d’Israel, quelle que soit sa véracité  est emblématique  tout comme un Jésus déclarant se destiner, des siècles plus tard, à la même « Maison d’Israel », rassemblant les reste du Royaume d’Israel, détruit au VIIIe siècle avant notre ère (-722)

Autrement dit, le peuple en question  obéit au même scénario que tous les autres et il peut y naitre des personnages remarquables qui d’ailleurs peuvent tout à fait s’exporter vers d’autres latitudes  géographiques et inversement  des  leaders venus d’ailleurs peuvent avoir décidé de s’occuper du dit peuple, notamment par la conversion.

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  19 04 25

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jacques halbronn La Vie Astrologique. Deux congrès anniversaires: 2004 (MAU) et 2025 (Source)

Posté par nofim le 29 mars 2025

Jacques  halbronn  La  Vie  Astrologique. Deux congrès anniversaires: 2004 (MAU) et 2025 (Source) 

  En novembre 2004, nous célébrions, avec la présence de  Julienne Mullette (Sturm), fondatrice de l’ISAR (International Society for Astrological Research) le trentième  anniversaire du congrès  de Paris- Porte Maillot  de 1974. 2025 correspond au 20e anniversaire de la création  de l’association Source  qui tient ce week- end de la fin mars, un Congrès à Paris en cette occasion mais aussi au cinquantième anniversaire de la fondation du Mouvement Astrologique  Universitaire (MAU) Etrangement,  Source nait au lendemain de notre Congrès de 2004 auquel avait participé Yves Lenoble, qui avait  travaillé  avec Catherine Gestas, dans le cadre de SEP Hermés (depuis 1990, Porte Mailot) après  avoir collaboré avec Danièle Rousseau, dans le cadre de la FFA (Fédération Française d’Astrologie, fondée en 1984) – sans oublier l’AGAPE de Solange  de Mailly Nesle (école fondée en 1989) et avec nous mêmes, aux débuts du MAU. Par ailleurs,  Yves  Lenoble  aura été mobilisé dans l’entreprise d’Astroflash (autour d’André Barbault) et aura été marqué par  l’Astrologie Conditionaliste de Jean-Pierre Nicola.

L’ambition du Congrès Source 2025-  auquel nous avons assisté dans sa partie conclusive,  est d’emblée sensiblement plus modeste, de par son envergure, que celui  du Congrès MAU 2004. le nombre d’intervenants chercheurs  bien plus restreint.  Les  enjeux ne semblent pas avoir été les mêmes. Pour Catherine Gestas, la quantité  a toujours primé  sur la qualité  et une brochette de personnalités  lui suffisait, le gros du public étant constitué d’inconnus anonymes sans bagage significatif. Les intervenants des meetings  SEP Hermés étaient généreusement rémunérés, du fait même des entrées payantes du public et ils avaient droit à d’amples temps de parole , en raison même de leur petit nombre. A l’inverse, les rencontres MAU ne comportaient aucune  gratification et impliquaient surtout des débats et non des cours magistraux mais ne prévoyaient pas la présence d’un « public’  d’éléves qu’il aurait  fallu ménager, probléme qui se posera avec Frank Agier et sa structure vidéo payante, Baglis.  En 2007, va  prendre forme l’idée de télévision astrologique, à la suite des tentatives de Roger Héquet puisant dans nos enregistrements vidéo, à commencer par  ceux du Colloque de 2004,  ce sera TELEPROVIDENCE .Enfin, on saluera la  récente  création de la BINA, Bibliothèque Internationale de Numérisation Astrologique,qui met en ligne une partie des fonds de périodiques de la Bibliotheca Astrologica, fondée par nous en 1972.

Une différence majeure entre   nos activités et celles de Catherine Gestas, aura tenu au fait que nous ne nous sommes aucunement limité à Paris et avons pleinement assumé une dimension internationale francophone (Bruxelles, Genéve,  Montréal  etc)  mais aussi « provinciale » avec des rendez vous dans tout l’hexagone,  en connexion notamment avec les rencontres de Lyon  (RAO de Frank  Nguyen) et de Bordeaux (Atelier d’Astrologie d’Aquitaine de Josette  Bétaiolle)  Il aura fallu des  guides entiers ‘entre 1989 et 2006) pour recenser de  façon exhaustive nos rassemblements.  Le MAU  a su séparer  ses activités d’enseignement de celles liées aux colloques nationaux et internationaux  car il a vite compris que cela impliquait des processus radicalement différents, d’où la création en 1975 de la Faculté Libre d’Astrologie de Paris qui permettait de disposer de fonds permettant d’avoir des colloques à entrée libre alors que SEP  Hermés et Source auront voulu fonctionner autrement, avec  pour conséquence le faible nombre d’intervenants et le manque de débat entre eux, ce qui explique que nous n’ayons pas été invités à nous exprimer de façon critique sur le thème »  Saturne-Neptune  en bélier »lequel  est  vécu comme l’annonce d’un individualisme (renforçant l’astrologie individuelle) faisant suite au collectivisme des Poissons. La mise en valeur exacerbée  de la tonalité  Bélier  est ici  aux antipodes de l’astrologie mondiale de Barbault et l’insistance sur la  typologie des 12  signes appartient à une autre époque.https://fr.scribd.com/document/478879729/Premiere-partie 

Personnalités présentes identifiées  à ces  journées Source:Marielle Garrel(Clavel) ( à la naissance du MAU et de la FLAP en 1975), Denis Labouré, Bernard Duchatelle,  Samuel Djian Gutenberg, Elisabeth Frésard, Catherine Louis, Yves Lenoble, Lynn Bell, Catherine Gestas, Luc Bigé, Philippe Thibaut, Emmanuel Leroy, Martine Barbault,  Denis Avronsart etc  plus  les  femmes astrologues de la « Nouvelle Vague » avec Sarah Chouraqui.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB  31 03 25

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jacques halbronn Linguistique De l’infinitif au futur. La suffixation à l’oral

Posté par nofim le 24 mars 2025

 jacques  halbronn   Anthropolinguistique  Epistémologie. De l’infinitif  au futur . La suffixation à l’oral.

 

Nous  avions déjà signalé  que le  futur en français dérivait de l’infinitif. Le mot même d’infinitif est à rapprocher d’indéfini. Dans notre dispositif, il correspond à un état  virtuel, latent en attente de précision, d’orientation à l’instar de l’adjectif et du participe.

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Le verbe à l’infinitif et le verbe conjugué

. »Tous les verbes sont conjugués. Le verbe à l’infinitif est toutefois conjugué à un mode impersonnel, sans sujet. Il est aussi la forme nominale du verbe ». 
  Un tel   second stade reléve au départ de l’oralité  alors que le premier se situe au niveau de l’écrit lequel s ‘ouvre à plusieurs lectures, du moins avant qu’une certaine pratique n’en vienne à le corrompre, en l’alignant  abusivement sur  l’oral, ce qui aura égaré bien des linguistes dans leur entreprise de description des langues.
  Le passage à l’oral implique un processus d’addition, de suffixation. C’est ainsi que l’infinitif « manger » donnera « mangerai », en se servant du verbe avoir ‘ai, as, as, ons  etc). L »anglais n’a pas  su  adopter cette approche suffixale et, comme l’allemand, il fait précéder l’infinitif d’un auxiliaire (shall, will,  werden )
La  suffixation caractérise le genre et à l’oral – mais seulement  à l’oral, il convient de préciser le masculin  et le féminin.  L’anglais  a raison  de ne pas le préciser en amont (oral) mais il ne réussit pas pour autant à marquer le genre. Il en reste donc même à l’oral au stadde « neutre ». L’allemand , quant à lui, distingue déjà à l’écrit  le  genre à commencer par l’usage de l’article indéfini (ein (e) mais là  encore, il ignore la régle que pratique le français  quand il distingue à l’oral le « un » (perte du n)  et le « une » (maintien du n). Idem pour petit  et petite.  D’autres langues comme l’italien ou l’espagnol,  se contentent du  « o » pour marquer le masculin et du « a » pour marquer le féminin  au lieu de jouer sur  l’alternance  voyelle/consonne comme en français (Jean/ Jeanne) Dans le  cas de l’hébreu, l’adjectif  au féminin  comporte un « a » final (d »où le shewa rendu phonétiquement par une apostrophe)  mais au masculin, il se termine par une consonne:  qatan; q’tana -(petit/petite) mais sans recourir à la diphtongaison. A ce propos, rappelons que l’apostrophe élimine les voyelles alors que l’accent (sur le e) élimine les consonnes à l’oral, ce qui a d’ailleurs conduit le participe français  en « ed à remplacer le  d  par un é (ce dont témoigne l’emprunt  anglais) mais dans ce cas, cela compromet la formation du féminin  de la première conjugaison du français  en « er » , ce qui n’est pas le cas, en revanche, pour l’infinitif  en « ir » : écrit (e). 
Il est temps de reformuler les régles de prononciation du français mais en insistant sur l’importance du stade oral car il importe de rétablir la conscience de l’état neutre à l’écrit, ce que l’anglais a réussi à faire mais sans parvenir à clarifier correctement le processus phonologique/

 

  JHB   24 03 25

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jacques halbronn Sociolinguistique. les deux aspects de la francisation.

Posté par nofim le 15 février 2025

jacques  halbronn  Sociolinguistique.   les deux aspects de la francisation.

 

 

   On peut parler, selon nous, de la francisation des langues d’une part et de la francisation des mots  de l’autre. Dans le premier cas, l’anglais nous apparait comme l’exemple par excellence d’une francisation   externe, non liée à une présence sur le sol français et dans le second cas, il s’agit d’intégrer des mots étrangers au sein du modéle  français, donc de ne pas tenter de les préserver dans leur statut d’origine comme c’est de plus en plus souvent le cas, désormais. 

 

I la  francisation des langues 

L’emprunt  au français de la part de diverses langues  correspond à ce que nous appelons « francisation » et qui peut être assimilé à une latinisation- ce qui fait débat. Une langue qui se francise se satellise, ipso facto, par rapport  au français, même en l’absence d’une occupation français de son territoire.

La notion de colonisation est ambigue dans la mesure où elle est souvent présentée comme une contrainte alors qu’il s’est agi d’une certaine fascination pour ce que la France représente, donc d’un mimétisme plus ou moins bien conduit, au demeurant. 

Il y a dialecte et dialecte. d’une part quand il s’agit d’une dérivation à partir d’une langue matricielle et de l’autre, quand il s’agit d’une satellisation d’une langue par rapport à une autre/. Il s’agirait de distinguer  et  de reconnaitre  ces deux cas de figure.  Le second cas est celui d’une langue au départ différente qui tend à se modeler – dans tous les sens du terme-sur une autre langue. Pour l’anglais, il est clair qu’il ne dérive pas initialement du français mais aussi qu’il aura perdu une grande partie de son héritage premier (germanique).

 

II la francisation des mots

Dans ce dernier cas, c’est la langue française qui se trouve menacée par une influence étrangère si elle ne met pas en oeuvre une politique de francisation et donc d’adaptation à son modéle, à sa matrice.  On a un grand nombre d’exemples de francisation réussie de mots étrangers, communs comme propres, qui auront perdu certains traits de départ, que ce soit au regard  de l’écriture ou que ce soit  au niveau de leur prononciation. Nous avons récemment proposé de recourir au « e » final pour justifier la prononciation des consonnes finales. On devrait donc écrire  « Mohamede » et non Mohammed. à moins que l’on ne préfére la forme  ancienne, « Mahomet »/

En  tout état de cause, il ne semblerait  guère praticable de s’efforcer de respecter les prononciations d’origine et leur translittération (tel quel) ne serait- ce que parce que certains phonémes sont étrangers au clavier phonologique du  français comme le « Het »(Ahmed, Bach)

 

 

 

JHB 15 02 25

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jacques halbronn Sociolinguistique. Le statut argotique du franglais. Noms propres et respect du systéme français.

Posté par nofim le 28 janvier 2025

jacques  halbronn  Sociolinguistique.  Le statut  argotique du franglais.  Noms  Propres  et  respect du systéme  français.

 

Selon nous,  le français s’expose à trois  types de dérives, liées  à l’emprunt  linguistique.  Dans tous les cas se pose le probléme de l’intégration  de mots étrangers ou passés par l’étranger, ce qui vaut aussi pour l’intégration de populations ethniquement étrangères, la présence physique étant déjà en soi assimilable à un langage visuel non verbal.

Le cas du  franglais

On sait que l’arabe, du fait de la colonisation et de l’immigration aura contribué à la formation de l’argot français:  flouss pour argent,  toubib  pour médecin, chuya pour « un peu »,  kif kif pour c’est pareil,  bled pour pays etc . Or, l’on peu en dire autant du franglais qui n’est jamais qu’une forme d’argot, perçu comme  étranger à la langue française tout en étant compris par le francophone moyen : leader,  smoking, bizness etc.   On trouve aussi de éléments allemands, russes, italien et autres au sein de l’argot du français. Précisions cependant que la réciproque n’est pas vraie et notamment que les mots français en anglais, d’une façon générale, ne sont pas assimilables à un quelconque « slang »., ce qui est révélateur d’un autre rapport de force.

 

Les noms propres    Le  traitement des noms propres, des « noms de famille », des termes géographiques etc  est un véritable casse tête. On sait que dans bien des cas, les expressions  étrangères auront été reformatées : on dit Rome et non pas Roma, Florence et non Firenze, Barcelone et non Barcelona,  Moscou et non Moskva, Leonard  et non Leonardo. Mais se pose aussi la question non seulement de l’écrit mais de sa prononciation comme dans le cas de « Berlin », qui est diphtongué en français ou Buenos Aires ou Hambourg, où le  g final ne se prononce pas en français alors que le « Ham » est diphtongué!.  Toutefois Washington  se prononce à l’anglaise, sans la diphtongue  du « in »  et non à la française. Il y a également le traitement des noms de famille que l’on a tendance de plus en plus à ne pas prendre la peine de « franciser » On dira « Rothschild » à l’allemande  en prononçant le « d » final.. On dira « Poutine » à la russe et non « Poutin » à la française,  en dépit du précédent « Berlin ». En ce qui concerne Van Gogh, on ne respecte nullement le processus de francisation en faisant sonner le ‘g » final, ce qui pose d’ailleurs la question du respect de la prononciation d’origine qui est gutturale pour le « g ». Quant à Mohamed, il a été rendu pendant des siècles par la forme « Mahomet » (cf la chanson satirique, « Mahomet est prophéte ») alors qu’actuellement, d’aucuns entendent respecter  peu ou prou la prononciation d’origine avec notamment le traitement de la consonne finale.

 

Méconnaissance du systéme du  français 

 

 La question est de savoir si une langue dispose ou non d’un modéle central régissant  de façon systématique  l’ensemble de ses eléments, en passant par un creuset ( melting pot).  L’apprentissage de  la lecture – et son corollaire, l’exercice de la dictée- est censé familiariser le locuteur à  la pratique d’un certain code s’imposant dans tous les cas de figure. Mais ce code est en fait  imposé par la pratique de la langue orale, sans nécessairement de référence à l’écrit, d’où une faible conscience théorique du modéle censé s’appliquer. Nous sommes en faveur d’un certain « purisme » sur la base de descriptions que nous avons eu l’occasion de présenter dans divers textes.  C’est ainsi que les marqueurs de nombre avec l’usage du « s » final  apparaissent comme un trait remarquable propre au modéle français de par leur non -réalisation, sauf en cas de liaison.  D’une façon  générale, une consonne ne peut ou ne doit se prononcer en français que si elle est suivie d’une voyelle. Ce qui peut affecter le marqueur de genre, quand on passe de grande à grand. Inversement, les voyelles sont remisées en français de façon à constituer des « clusters » consonantiques, cela donne notamment des apostrophes. Je t’aime devient J’t'aime… l’anglais a emprunté un tel processus! I don’t, I can’t au lieu de I do not, I cannot etc

(cf notre thèse « avortée » sur ce sujet avec Louis Jean Calvet, Paris V) Essai de description du système du français à la lumière des relations interlinguistiques (1989)

Selon nous, une langue se caractérise non pas son lexique mais par sa façon d’intégrer  des mots de toutes sortes d’origine en les reformatant de la même façon que notre nouveau monde est le reformatage de l’ancien;

 

 

 

 

 

JHB  28 01 25

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jacques halbronn Astrologie. Les lois de l’alternance cyclique. Le TIKOUN, 3e temps.

Posté par nofim le 26 décembre 2024

jacques halbronn  Astrologie. Les lois de l’alternance cyclique 

 

Nos travaux  auront finalement abouti à constituer une cyclologie ternaire comportant un temps intermédiaire, de pause, d’attente, correspondant au «  »transit » de Saturne sur l’un des 4 signes dits « fixes », au sortir d’une phase cardinale et avant de passer vers une phase mutable.

Or, il est essentiel de respecter un tel « timing » sans chercher à tricher, car ces trois périodes sont solidaires, chacune préparant la phase suivante. En ce sens, il faut voir dans la volonté de prolonger une phase au delà du temps qui lui est structurellement imparti, une attitude éminemment critiquable et un contre- sens politique.

Résumons-nous :

1   un premier temps, cardinal, de construction (on pense à la Tour de Babel, livre de la Genése), où l’on échafaude un futur à venir,  ce qui est le lot de la Gauche. On élabore des plans, des « constitutions », des « programmes ».

2 un deuxiéme temps, « fixe », de consolidation, de sédimentation, où l’on stabilise, on  habite, meuble  un nouveau cadre de vie

3 un troisiéme temps  « mutable »; qui est  marqué par un processus d’élagage, de décantation, de purification, que l’on associera à l’idée kabbalistique  de TIKOUN, de réparation. Ce  troisiéme et  dernier temps est l’occasion d’un examen de conscience (cf le Yom Kippour, Jour du (grand) Pardon)

Ce  dernier temps prépare, on l’aura compris, le retour du premier temps avec le passage de Saturne dans un nouveau quadrant saisonnier de 90°) et ainsi de suite. 

Si l’on applique notre modéle à la situation actuelle,  il ressort que Saturne étant passé en Poissons, signe mutable, il   eut  été logique de ne pas empêcher la Droite  de  faire ses preuves et l’idée, au lendemain de la victoire du RN  aux européennes d’un » front républicain » en vue d’empêcher cela n’était pas approprié.  Nous pensons que les données techniques et éthiques de l’alternance devront s’affirmer avec l’arrivée de Saturne en signe  cardinal, pour un nouveau cycle de 7ans, à condition que l’on ait fait le ménage en temps utile.

 

 

 

 

 

JHB   26 12 24

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jacques halbronn Astrologie et Sociologie politique. Les trois modes et les trois blocs

Posté par nofim le 25 décembre 2024

jacques  halbronn  Astrologie et Sociologie politique. Les  trois modes et les trois blocs   

En hommage à Maurice Duverger

Nous avons récemment montré que la division en 3 de chaque quadrant saisonnier n »était pas sans pertinence et qu’elle correspondait à  trois postures politiques: renouvellement des systémes  ( gauche), statu quo (centre), élimination de certains facteurs (droite) Il nous reviendra dans les prochaines semaines de valider une telle correspondance dans le cadre de notre Astrologie STP.

Au risque de caricaturer les dites postures, nous dirons que la gauche est tentée par l’élaboration d’un changement structurel, politique, économique, notamment autour de nouvelles constitutions, d’une nouvelle organisation socio-économique ( Processus constitutionnel  depuis 1789, programme commun) sous Saturne en signe cardinal alors que la droite prône une élimination de certaines catégories de populations (Juifs, immigrés, étrangers, quand Saturne est  en signe mutable. Quant au « Centre », il prospère dans une certaine forme de sur-place( quand Saturne est en signe fixe)

 

 

 GAUCHE

Arnaud Montebourg et Bastien François : La Constitution de la VIe République. Réconcilier les Français avec la démocratie. (Odile Jacob, 2005, 192 pages.) Jack Lang : Changer. (Plon, 2005,182 pages.)

 Jean Luc Mélanchon

« À travers le processus constituant, les Français·es de 2022 pourront exprimer, trois siècles plus tard, leurs aspirations, leur soif et leurs besoins et en déduire de nouvelles règles du jeu, communes parce qu’élaborées en commun, respectées parce que légitimes.

Tout le programme de la Révolution française se trouvait ainsi dans les cahiers. La plupart sont toujours d’actualité. La Constituante est ainsi une stratégie révolutionnaire : une stratégie de rupture profonde autant que pacifique et organisée.

La Constituante ne sera pas un Parlement bis, qui déciderait en chambre de l’avenir du pays. Elle sera le point d’orgue d’un processus global qui mettra en mouvement le peuple tout entier, d’une véritable ébullition démocratique qui s’emparera ainsi du pays. Très loin du « grand débat » de Macron, elle évitera les exercices de communication, la mainmise des gouvernants actuels, et les « comités théodule » dont on sait par avance que rien n’en sortira.

Tout ce processus est pensé pour maintenir un lien permanent entre les Constituant·es et le peuple : ce n’est qu’ainsi qu’il pourra susciter une large adhésion et permettra au peuple de se refonder. Car la démocratie n’est pas qu’une question d’institutions et d’élections : c’est un projet commun qui lie chacune et chacun avec la République. L’Assemblée constituante permettra de le régénérer, pour que le peuple français puisse s’affirmer à nouveau en tant que sujet politique. 

Comment nous allons passer à la 6e République

Convoquer l’Assemblée constituante

Il revient au Président de la République nouvellement élu de lancer le processus constituant par la publication d’un décret convoquant un référendum, dont l’organisation sera confiée au ministère de l’Intérieur, ministère en charge du pilotage des élections. 

Le référendum permet de demander au peuple français s’il souhaite se refonder en convoquant une Assemblée constituante chargée de rédiger une nouvelle Constitution, à travers une question sans ambiguïté qui pourrait être formulée ainsi : « Voulez-vous une nouvelle Constitution, élaborée par une Assemblée constituante dans le cadre du processus décrit dans le projet de loi annexé au présent bulletin ? ».

Un décret présenté au Conseil constitutionnel définit le contenu du projet de loi référendaire, soumis à l’approbation de nos concitoyens tel qu’il est prévu par l’article 11 de la Constitution. 

Le projet de loi que nous soumettons à référendum précise comment les futurs Constituant·es sont désigné·es, la façon dont ils et elles travailleront et garantit le mode de validation démocratique de la future Constitution. Fixer dès le départ, clairement et publiquement, les règles du jeu est une condition essentielle de la confiance retrouvée avec le peuple. »

DROITE  Sur le web

« Le RN veut abroger le droit du sol permettant aux enfants nés en France de parents étrangers de devenir français à leur majorité. Si le Conseil constitutionnel ne s’est jamais prononcé sur la question, il pourrait estimer que le droit du sol est un principe fondamental reconnu par les lois de la République et censurer la mesure. Sans préciser lesquelles, le parti souhaite aussi la « suppression de toutles dérogations qui empêchent les expulsions d’étrangers », et annonce le « retour du délit de séjour irrégulier »Les dispositions de la loi immigration de 2024 censurée pour des raisons de procédure seront rétablies et les conditions de séjour des étrangers durcies. Ainsi, un étranger ne pourra plus rester sur le territoire après six mois sans travail. »

 

CENTRE

Sur le web

« L’expression favorite d’Emmanuel Macron a-t-elle vécu ?

Pendant sa campagne, le discours d’Emmanuel Macron était conçu comme un subtil jeu d’équilibre ; chaque idée était contrebalancée par son inverse, nuancée par son contraire. C’est ce qu’on avait appelé le syndrome « En même temps », selon l’une des expressions les plus utilisées par le candidat Macron. Une expression qu’il avait même fait scander à la foule, en signe de ralliement, lors d’un meeting, le 17 avril à Bercy.

S’agit-il de l’influence du fameux « balancement circonspect » qu’on affute à l’ENA ? Est-ce plutôt une inclination philosophique pour le ying et le yang ? Ou bien tout simplement la meilleure définition du positionnement centriste ? «  

  Nous  dirons que la Gauche est liée au  futur, le centre au présent et la Droite au passé

JHB 26 12 24

Publié dans ASTROLOGIE POLITIQUE, sociologie | Pas de Commentaire »

jacques halbronn Des préalables à toute construction constitutionnelle. *Apport de l’astrologie.

Posté par nofim le 20 novembre 2024

 

 

jacques  halbronn Des préalables à toute construction constitutionnelle 

 

Pour qu’une constitution  soit viable, elle doit impérativement répondre à une double exigence, à une double  compétence sociale, celle du temps et celle de l’espace.

Celle du temps : comment fixer le début et donc la fin d’un mandat. Peut-on déterminer une date selon des critères conjoncturels et donc aléatoires ou  selon des critères structurels, à partir d’un certain modéle cyclique garantissant la mise en oeuvre d’un processus  d’alternance?

Celle de l’espace, à savoir quels critères déterminent qui est ou non électeur puisque c’est cette population  qui sera mobilisée  d’une façon ou d’une autre.

 Wkipedia

 

Le suffrage censitaire est le mode de suffrage dans lequel seuls les citoyens dont le total des impôts directs dépasse un seuil, appelé cens, sont électeurs. Parfois, le cens pour être éligible est fixé à un seuil plus élevé. Il existait des variantes, à mi-chemin entre le suffrage censitaire et le suffrage universel, dans lesquelles chaque électeur a un poids différent selon son niveau d’imposition, notamment le système des trois classes en Prusse et le vote plural en Belgique. Ces modes de suffrages s’utilisaient en Europe jusqu’au milieu du XXe siècle.

Théorie

Emmanuel-Joseph Sieyès considérait que le vote était une fonction et que par conséquent seuls les individus ayant les capacités (intelligence, niveau économique) d’exercer cette fonction devaient y participer. Selon cette théorie, seuls « les actionnaires de la grande société » seraient suffisamment légitimes pour exercer l’activité de vote. Sieyès distingue les « citoyens actifs », ceux qui paient suffisamment d’impôts directs et qui sont capables de voter, des citoyens passifs, dont la richesse ne justifie pas une imposition, et incapables de voter. Sieyès justifie cette position en constatant que seuls les citoyens riches contribuent à la bonne marche de l’économie nationale et qu’il est par conséquent juste qu’ils influent sur la vie politique par le truchement du vote. Ceci explique le suffrage censitaire dans la constitution de 1791, dont Sieyès a contribué à la rédaction.

Ce mode de suffrage est à mettre en perspective avec la théorie de la souveraineté nationale. La souveraineté appartient à la nation, le droit de vote n’est donc pas un droit pour les citoyens mais une fonction, contrairement au droit qui découle de la théorie de la souveraineté populaire. » 

C’est ainsi que la réforme de 1962   modifiait l »électoral invité à élire le président  de la République sous  la constitution de 1958, ce qui provoqua une motion de censure aboutié, et la chute du cabinet Pompidou.  Il est clair que la question de l’intégration ou non  de la population immigrée changerait la donné politique, dans l’état actuel des choses. Or un tel débat dépend d’une analyse sociologique.

En ce qui nous concerne, faut-il  encore organiser des élections au suffrage universel  alors que les sondages d’opinion sont censés  refléter fidélement  l’évolution de l’opinion. Par ailleurs, sur la base d’une science chronologique, il  nous apparait comme tout à fait possible de déterminer le programme à appliquer durant une période donnée.  En phase « mutable », on doit choisir une personne ayant un certain charisme, une autorité permettant de rassembler par delà les diversités  alors qu’en phase « fixe », il semble préférable, ponctuellement, de suivre les mouvements de la base.

 

 

 

JHB 20 11 24

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Jacques halbron Comment se sont formés les peuples? l’attraction de la Judée.

Posté par nofim le 9 novembre 2024

jacques  halbronn   Comment se sont formés les peuples?  L’attraction de la Judée.

 

  Selon nous, le plan divin aura mis en place un noyau actif que l’on peut qualifier d’adamique secrétant des leaders capables de rassembler  et d’organiser des populations, au cours des siècles, des millénaires, les femmes étant utilisées pour la multiplication  et la génération.

 Genése  I

כז וַיִּבְרָא אֱלֹהִים אֶת-הָאָדָם בְּצַלְמוֹ, בְּצֶלֶם אֱלֹהִים בָּרָא אֹתוֹ:  זָכָר וּנְקֵבָה, בָּרָא אֹתָם.  27 Dieu créa l’homme (Adam)à son image; c’est à l’image de Dieu qu’il le créa. Masculin et  féminin  furent créés à la fois.
כח וַיְבָרֶךְ אֹתָם, אֱלֹהִים, וַיֹּאמֶר לָהֶם אֱלֹהִים פְּרוּ וּרְבוּ וּמִלְאוּ אֶת-הָאָרֶץ, וְכִבְשֻׁהָ; וּרְדוּ בִּדְגַת הַיָּם, וּבְעוֹף הַשָּׁמַיִם, וּבְכָל-חַיָּה, הָרֹמֶשֶׂת עַל-הָאָרֶץ.  28 Dieu les bénit en leur disant « Croissez et multipliez! Remplissez la terre et soumettez-la! Commandez aux poissons de la mer, aux oiseaux du ciel, à tous les animaux qui se meuvent sur la terre! »

La  question que nous nous posons  est celle de la localisation de cette entité. Mais cela reste une question relativement secondaire, l’important étant la manifestation de cette présence au fil des âges telle qu’on peut l’observer.   On peut penser  à la généalogie de Juda, qualifié de roi par son père Jacob (cf Genése  49), centrée sur la « Judée », laquelle prend son nom de Juda (Yehouda) qui a donné  leur nom aux  « Juifs » (en allemand  Juden), au judaïsme.

Peut être cette  « terre » de Judée entretient elle un lien spécial, magnétique,   avec  la dite population,   à l’instar de certains astres (Lune et Saturne)

 

JHB 09 11  24

Publié dans judaîsme, Juifs, sociologie | Pas de Commentaire »

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