jacques halbronn Anthropolinguistique. Astrologie septennale. Messianité judéité et Maternité-Olfactivité

Posté par nofim le 21 mars 2025

 

 

jacques   halbronn Anthropolinguistique.  Astrologie  septennale;Messianité -judéité et  Maternité-Olfactivité 

 

  Notre propos vise à insister sur l’importance des clivages de genre, sur le rôle central de la dualité  en linguistique mais aussi dans le champ des « topiques sensorielles ».

On ne saurait minimiser  en  effet, par exemple, le référentiel féminin  pour le  judaisme. On est  juif par la mère. Un  cas particulièrement remarquable concerne les débuts du Livre de l’Exode et la naissance de Moîse mais l’Annonciation (par Gabriel) à Marie de la naissance de Yehoshua renforce l’importance à accorder à la Nativité, déjà marquante avec l’annonce par de la naissance du  fils de Sarah, Isaac (Yitshaq)  Nous  avons parallélement  travaillé sur les facteurs spécifiques des  femmes, au niveau olfactif, l’odorat,  il  faut le  souligner, a une forte persistance  et (im)prégnance, davantage que l’ouïe qui laissera moins de  traces. Au regard de l’Anthropolinguistique, force est de conster la récurrences des marqueurs de genre mais plus largement la dialectiques des voyelles  et des consonnes.

Il nous apparait qu’il  y aurait bel et bien deux  humanités; l’un masculine, l’autre féminine , vivant parallélement, en  symbiose, selon des valeurs  toutefois  bien distinctes et complémentaires. Les femmes constitueraient une sorte de vivier dans lequel il faudrait aller puiser pour en extraire des hommes remarquables. On  doit donc s’attendre, en phase cardinale, à un approfondissement du clivage entre ces deux populations l’une quantitative – les femmes, l »autre qualitative, les hommes/ Michel Gauquelin a bien montré que ses statistiques  ne fonctionnaient que par la haut de la pyramide. Il s’agit d’un processus de décantation, de sélection  qui s’opère selon une certaine programmation.  

Nous avons souligné à quel point les femmes se caractérisaient collectivement de par leur sensibilité sensorielle  olfactive, ce qui tendait à les isoler en qu’entité sociale à part. Une telle olfactivité exacerbée  les condamne à vivre en ghetto. On connait la formule « elle ne voit pas plus loin que le bout de son nez »/

web 

« Cette expression apparue vers la fin du XVIe siècle signifie que l’on manque de clairvoyance. En effet, le nez symbolise une distance courte, au sens de « prévision ». Celui qui « ne voit pas plus loin que le bout de son nez » manque de discernement et n’envisage pas les événements sur du long terme. »  

Mais nous comprenons cette formule autrement en tant que démarche  réductrice. Celui qui ne sent pas « bon » est viscéralement et collectivement, rejeté en tant que paria mais celui qui  hyper-réagit  aux stimuli olfactifs fait également probléme.

 

Esquisses pour une anthropologie du corps en transformation. Les filles de 6-8 ans présentant une puberté précoce

Toward an anthropology of the changing body: early puberty among six- to eight-year-old girls
Maria Teixeira, Dr Camille Vasse, Pr Jean-Claude Carel et Dr Dominique Simon

« Pour comprendre le retentissement que peuvent avoir les pubertés précoces chez les filles de 6-8 ans, une recherche interdisciplinaire (anthropologie sociale, endocrinologie) a été menée en Île-de-France parmi des populations aux origines diverses. Celle-ci a permis de suivre la construction sociale du corps genré des enfants dans le cadre d’une temporalité accélérée, de rapports sociaux d’âge complexes, et de statuts sociaux en transformation. Une analyse des répercussions des modifications corporelles, non seulement sur l’enfant mais aussi sur son entourage familial et social, a été réalisée. Le corps est façonné par des soins qu’inculquent les parents et des normes transmises par la médecine. Produits d’hygiène, vêtements et sous-vêtements sont autant d’éléments matériels qui font partie de la construction statutaire et genrée de l’enfant, destinés à faire en sorte qu’il respecte les normes de la pudeur et de la propreté à la fois visuelles et olfactives. Mais l’apprentissage de normes relatives au corps, à ses symbolisations et à son entretien tout au long de l’existence, n’est pas sans s’accompagner de certaines contestations. Cette période est aussi un moment où les enfants éprouvent leurs premiers émois amoureux. »

La dimension olfactive semble, en tout cas, prédisposer les  femmes aux questions de santé, d’hygiène, ce qui en fait des vigies, aux aguets de tout ce qui « puerait » avant même tout constat visuel. Tout se passe comme si la femme « pensait » par ses narines! Son nez serait particulièrement intelligent  et vigilant. 

 Au niveau linguistique, la langue française  est un excellent  exemple d’une telle dynamique de dualité. On a  déjà  eu l’occasion de s’arrêter  sur les couples de consonnes, notamment le  g  et le n  comme  sang  et saigner, avec inversion de l’ordre. En comparaison, l’anglais ne tend guère à illustrer une telle dualité. Il  y  a bien   de  l »ing » (sing,  song) mais on ny  trouve pas de « ign ». On  sait par ailleurs  que les adjectifs et les participes de l’anglais ne marquent ni le genre, ni le nombre, ni à l’oral ni à l’écrit.  Le  français  distingue  Libre et  Liberté,  en introduisant une voyelles entre les consonnes,  tout comme Vrai  et Vérité, Possible et Possibilité  etc L’anglais  prononce  « Possibel « et est incapable de prononcer la séquence  ble. De même  trouve-t-on en anglais    « very »  mais pas « vrai » (cf la série des mots se terminant  en able), Center mais pas  « centre ».

 

 

JHB 22  03  24

 

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jacques halbronn Un Messie prend en charge une certaine population et non pas le monde entier Quid de l’astrologie?

Posté par nofim le 14 mars 2025

jacques  halbbronn Un  Messie prend en charge une  certaine population pour un certain temps Quid de l’Astrologie?

 

  C’est un erreur manifeste que de croire qu’un Messie serait doté d’une mission  universelle Un tel personnage est désigné, dans le Livre d’Ezékiel, comme  « fils d’Adam » (Ben Adam), ce qui ne vise pas n’importe qui/ Les messies sont les  guides de notre Humanité mais leur rôle est circonscrit dans le temps et dans l’espace/ C’est ainsi que  la mission d’un Moïse, d’une Cyrus, d’un Jésus visera un  certain  monde. Or,  force est de constater, de  par  un processus mimétique qu’il  y a tendance  chronique au débordement.

En astrologie, on en est arrivé  à  croire que tout un chacun dispose à la naissance d’une empreinte cosmique  alors que seule une élite est directement impactée, ce qui  fausse  absolument  le recours à l’usage de l’Astrologie. D’aucuns objecteront que cela ne permet plus dès lors de faire des prévisions individuelles. Ce  qui est une erreur méthodologique  majeure car cela revient à  ignorer le processus  de  l’influence  astrale. Il  y a certes l’astrologie mondiale qui se rapproche certes davantage de la véritable vocation de l’Astrologie. Malheureusement,  cette « Mondiale »  recourt à des périodes beaucoup trop longues de plusieurs dizaine d’années sinon de centaines d’années, avec le Colloque consacré à la fin du mois de mars 2025  au passage de Saturne-Neptune sur le point vernal.

L’Etoile des Mages en rapport  avec la naissance d’un prochain Messie/Sauveur en la persone de Moïse ou de   Jésus, (ICHTUS)- ce qui va alerter les autorités à prendre des mesures préventives,  est d’un enseignement utile. Cela indique qu’une certaine programmation  est à l’oeuvre pour indiquer, signaler une « nativité » majeure, qu’elle est inscrite de longue date dans le dessein, le plan de la  « Création » C’est à rapprocher de l’image du Tsadiq, du Juste (episode de Sodome et Gomorrhe, Genése) Une toute petite minorité pourrait ainsi sauver toute une Cité.

Ce Messie se voit désigner un certain peuple qui n’est pas le sien (« Nul n’est prophéte en son pays ») comme le montre nettement le début du Livre de l’Exode. Mais  il  y aura toujours une certaine conflictualité entre un messie et  masse qu’il aura à guider. En Astrologie Septénnale, la phase cardinale, tous les 7 ans, serait donc celle d’un temps messianique de 840 jours  en durée, au sortir d’une phase mutable, d’un caractère bien différent et suivie d’ une phase fixe marquée par l’urgence du présent.

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jacques halbronn Astrologie septennale; Etre (Cardinal) et Avoir (Mutable) Caste versus Peuple

Posté par nofim le 22 février 2025

 

jacques  halbronn  Astrologie Septennale. Etre (Cardinal)  et Avoir (‘Mutable) Caste,  versus Peuple

 

La dialectique Etre  Avoir  est au coeur de notre cyclologie. L’Etre est un enjeu individuel, personnel  alors que l’Avoir est une donnée collective, partagée, commune.En phase  mutable (Saturne en gémeaux, vierge, sagittaire ou poissons), on ne prend pas en compte la valeur personnelle et l’on raisonne sur le quantitatif et non sur le qualitatif alors qu’en phase cardinale – Saturne entre prochainement dans cette phase,en passant des poissons au bélier, l’on abandonné l’avoir pour privilégier l’être, c’est à dire celui qui joue un rôle central autour duquel la masse va graviter. Rappelons qu’un député (un « mandaté », un délégué) est élu par des gens qui gravitent autour de lui. La notion de « représentant »  (d’où aux USA House of Representatives (sic)) du peuple est une pure fiction. La révolution copernicienne, ici, c’est de comprendre que ce n’est le député qui tourne autour du peuple mais le peuple autour du député. 

Selon nous, la notion de peuple dérive de celle de caste, de secte ou de langue. Elle n’est pas en soi pertinente et reléve du domaine du  juridique, de l’administratif.  Michel Gauquelin, en astrologie statistique (L’influence  des astres,  Ed Dauphin 1955), avait raison de privilégier la profession sur la psychologie car elle constitue un élément remarquable, observable. Le phase cardinale n’ »accorde d’importance qu’aux compétences objectives, repérables  alors que la phase mutable se contente d’un acte de volonté, souvent lié à du mimétisme. Et c’est ce mimétisme qui génére une expansion, une extension du noyau radical, ce qui conduit  à un magma  superficial qui ne tient que par pure convention  (cf  notre DESS  en ethnométhodologie  Le milieu  astrologique, ses structures et ses membres, Paris VIII, 1995  sous la direction d’Yves Lecerf. 

La phase cardinale  fonctionnera  donc  sur des  qualités, des capacités, de vraies compétences individuelles.  (registre de l’Etre)  alors que la phase mutable s’appuie sur des appartenances plus ou moins fantasmatiques de l’Avoir, qui sont celles des masses. L’être  (se) donne, crée alors que l’avoir  reçoit, récupère, s’approprie, imite. En phase  mutable, l’on ne veut pas reconnaitre les spécificités individuelles, innées, l’on ne retient que ce qui  a été obtenu hic et nunc. En phase cardinale, en revanche, l’on est disposé à reconnaitre le mérite, la valeur d’une personne, sa supériorité.

Sur le  web

« Le verbe « être » est généralement utilisé pour exprimer un état, une attitude, une action.

Tu es très sage en classe.
Je suis malade ce matin.

Le verbe avoir est généralement utilisé pour exprimer la possession.

J’ai un appartrement en ville.
J’ai une poussière dans les yeux ».

JHB  23  02 25

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jacques halbronn EPistémologie.théologie. Linguistique et gravitation (astronomie). Dialectes satellites.

Posté par nofim le 17 février 2025

jacques   halbronn  EPistémologie, théologie..  Linguistique et   gravitation (astronomie). Dialectes satellites.

 

Il  importe de relativiser  la question des frontières, sous toutes leurs formes, d’autant que celles-ci occultent les véritables clivages, ce sont des superstructures.

Sur le  web

  »superstructure   Dans l’analyse marxiste, ensemble, formé par le système politique (appareil d’État) et le système idéologique (juridique, scolaire, culturel, religieux), qui repose sur une base économique donnée (par opposition à infrastructure). »

 L »‘infrastructure est un ensemble d’éléments, d’ouvrages ou d’installations interdépendants qui supportent en partie ou en totalité une structure ou un réseau. »

Ce qui importe selon nous n’est pas ce  qui est à l’origine  mais bien ce qui a été reformaté, transmuté, transformé. C’est  ainsi que le français  vaut avant tout comme un modéle de formatage par delà la question étymologique ou celle des emprunts même si le fait qu’il ait été beaucoup emprunté au français  est significatif, indicatif,  symptomatique  jusqu’à un certain point de sa puissance de  gravitation laquelle résulte de son aptitude à unifier des composantes plus ou moins aléatoires..

Comme nous l’avons déjà exposé, une langue peut s’être satellisée par rapport à une autre langue tout comme un pays aura pu être colonisé, intégré au sein d’un empire. Qu’il y ait de la résistance de la part des entités ainsi traitées se conçoit certes mais il n’en reste pas moins  que, théologiquement,  notre Humanité, comme nous nous en sommes expliqués à maintes reprises, est le résultat d’un (re)formatage, d’un nouvel Ordre, ce qui pose la question du créationnisme.

Il y a  un temps pour rechercher ses racines  et un temps pour les dépasser et toute cyclologie valable doit articuler ces deux temps, en alternance (cf la dialectique « cardinal/mutable » en Astrologie Septennale). 

Selon l’approche du reformatage, il s’est établi une certaine unité du fait précisément du refoulement des différences. Relisons une fois de plus le chapitre XI du Livre de la Genése, qui aura fait l’objet de contresens. La dispersion  apparait à deux stades, au verset 4 et aux versets 8 et 9  et on a tendance à ne retenir que le second. Or, dès le verset 4 il  est dit :’ pour ne pas nous disperser sur toute la face de la terre. »c’est la racine  Pé-tsadé qui est chaque fois présente, sous trois formes différentes:  פֶּן-נָפוּץ  וַיָּפֶץ הֱפִיצָם :

 

ד וַיֹּאמְרוּ הָבָה נִבְנֶה-לָּנוּ עִיר, וּמִגְדָּל וְרֹאשׁוֹ בַשָּׁמַיִם, וְנַעֲשֶׂה-לָּנוּ, שֵׁם:  פֶּן-נָפוּץ, עַל-פְּנֵי כָל-הָאָרֶץ.  4 Ils dirent: « Allons, bâtissons-nous une ville, et une tour dont le sommet atteigne le ciel; faisons-nous un établissement durable, pour ne pas nous disperser (nafots)sur toute la face de la terre. »
ה וַיֵּרֶד יְהוָה, לִרְאֹת אֶת-הָעִיר וְאֶת-הַמִּגְדָּל, אֲשֶׁר בָּנוּ, בְּנֵי הָאָדָם.  5 Le Seigneur descendit sur la terre, pour voir la ville et la tour que bâtissaient les fils de l’homme;
ו וַיֹּאמֶר יְהוָה, הֵן עַם אֶחָד וְשָׂפָה אַחַת לְכֻלָּם, וְזֶה, הַחִלָּם לַעֲשׂוֹת; וְעַתָּה לֹא-יִבָּצֵר מֵהֶם, כֹּל אֲשֶׁר יָזְמוּ לַעֲשׂוֹת.  6 et il dit: « Voici un peuple uni, tous ayant une même langue. C’est ainsi qu’ils ont pu commencer leur entreprise et dès lors tout ce qu’ils ont projeté leur réussirait également.
ז הָבָה, נֵרְדָה, וְנָבְלָה שָׁם, שְׂפָתָם–אֲשֶׁר לֹא יִשְׁמְעוּ, אִישׁ שְׂפַת רֵעֵהוּ.  7 Or çà, paraissons! Et, ici même, confondons leur langage, de sorte que l’un n’entende pas le langage de l’autre. »
ח וַיָּפֶץ יְהוָה אֹתָם מִשָּׁם, עַל-פְּנֵי כָל-הָאָרֶץ; וַיַּחְדְּלוּ, לִבְנֹת הָעִיר.  8 Le Seigneur les dispersa (yifotz) donc de ce lieu sur toute la face de la terre, les hommes ayant renoncé à bâtir la ville.
ט עַל-כֵּן קָרָא שְׁמָהּ, בָּבֶל, כִּי-שָׁם בָּלַל יְהוָה, שְׂפַת כָּל-הָאָרֶץ; וּמִשָּׁם הֱפִיצָם יְהוָה, עַל-פְּנֵי כָּל-הָאָרֶץ.  {פ} 9 C’est pourquoi on la nomma Babel, parce que là le Seigneur confondit le langage de tous les hommes et de là l’Éternel les dispersa (hepitsam) sur toute la face de la terre.

 

 On  est donc  face à une telle dialectique: faut-il  se résigner à la diversité ou bien  résister à une force centrifuge en batissant une Tour? Il semble, comme dit l’Ecclésiaste, qu’il y ait un temps (Et (Ayin Thav),Zeman) pour chaque chose.

Chapitre III

 

א לַכֹּל, זְמָן; וְעֵת לְכָל-חֵפֶץ, תַּחַת הַשָּׁמָיִם.  {פ} 1 Il y a un temps pour tout, et chaque chose a son heure sous le ciel.
ב        עֵת לָלֶדֶת,        וְעֵת לָמוּת;
          עֵת לָטַעַת,        וְעֵת לַעֲקוֹר נָטוּעַ.
2 Il est un temps pour naître et un temps pour mourir, un temps pour planter et un temps pour déraciner ce qui était planté;
ג        עֵת לַהֲרוֹג        וְעֵת לִרְפּוֹא,
          עֵת לִפְרוֹץ        וְעֵת לִבְנוֹת.
3 un temps pour tuer et un temps pour guérir, un temps pour démolir et un temps pour bâtir;
ד        עֵת לִבְכּוֹת          וְעֵת לִשְׂחוֹק,
          עֵת סְפוֹד         וְעֵת רְקוֹד.
4 un temps pour pleurer et un temps pour rire, un temps pour se lamenter et un temps pour danser;
ה        עֵת לְהַשְׁלִיךְ אֲבָנִים,        וְעֵת כְּנוֹס אֲבָנִים;
          עֵת לַחֲבוֹק,         וְעֵת לִרְחֹק מֵחַבֵּק.
5 un temps pour jeter des pierres et un temps pour ramasser des pierres, un temps pour embrasser et un temps pour repousser les caresses;
ו        עֵת לְבַקֵּשׁ         וְעֵת לְאַבֵּד,
          עֵת לִשְׁמוֹר        וְעֵת לְהַשְׁלִיךְ.
6 un temps pour chercher [ce qui est perdu] et un temps pour perdre, un temps pour conserver et un temps pour dissiper;
ז        עֵת לִקְרוֹעַ        וְעֵת לִתְפּוֹר,
          עֵת לַחֲשׁוֹת        וְעֵת לְדַבֵּר.
7 un temps pour déchirer et un temps pour coudre, un temps pour se taire et un temps pour parler;
ח        עֵת לֶאֱהֹב         וְעֵת לִשְׂנֹא,
          עֵת מִלְחָמָה        וְעֵת שָׁלוֹם.  {פ}
8 un temps pour aimer et un temps pour haïr, un temps pour la guerre et un temps pour la paix

 

 

Il  faut savoir dans quel camp l’on se  trouve, du côté de l’affaiblissement de l’Humanité en pronant la diversité ou du côté de son renforcement en favorisant l’unité et l’abolition des différences. En ce sens, le texte de la Genése campe un dieu ambivalent qui redoute  l’Unité de l’Humanité et lui  place des obstacles. Mais comme nous l’avons exposé ailleurs, ce texte est éminemment syncrétique et est traversé par des idéologies antagonistes.

JHB 17 02  25

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jacques halbronn Astrologie septennale et théologie. La phase mutable qui précéde la phase cardinale est une alternative au plan divin.

Posté par nofim le 15 février 2025

jacques  halbronn  Astrologie septennale  et théologie. La phase mutable qui précéde la phase cardinale  est une alternative au plan divin. 

 

Pour prendre la mesure de la dialectique des phases en Astrologie septénnale, il est conseillé de se situer sur le plan  théologique, l’astrologie étant au coeur de ce que nous appelons le « plan divin ». Inversement, quand Saturne quitte un signe mutable (Gémeaux, Vierge, Sagittaire, Poissons) c’est cette fois les lois « divines » et non plus  « humaines », pré-adamiques, qui prendront le dessus. Entre ces deux phases, le temps du Saturne « fixe » est celui d’une certaine transition/confusion. *

   Donc, dans la phase mutable qui se termine à présent et qui aura duré un tiers de 7 années, soit 840 jours, un angle de 30°(90/3), on aura vécu une forme d’ubris, de révolte, de rébellion contre les lois « célestes ». Les sociétés ont voulu croire en la toute puissance de leurs propres décisions (d’en bas). C’est ainsi qu’en France, en 2024, le résultat des élections  aura été mis en avant alors que le droit constitutionnel  établit, élabore un calendrier parfaitement arbitraire et aléatoire, ne reposant sur aucune chronologie  astrale. La candidate au post de Première Ministre proposée par le Nouveau Front Populaire, Lucie Castets, n’avait pour elle que le fait qu’elle avait été élue par un coalition arrivée en tête, sans majorité absolue. Si  l’on compare son profil  de  carrière à celui d’un Elon Musk, pressenti pour jouer un rôle clef aux côtés du président étatsunien, Donald Trump. (cf notre précédent texte), le contraste est saisissant et il est le révélateur de ce qui oppose la phase cardinale à la phase mutable. Mais est-ce que la classe politique française  dispose à présent de personnalités à la hauteur d’une mission cardinale? That is the question! Car de telles personnalités sont rares. Certes, mais on les repère assez facilement, si ce n’est qu’on est en mesure de les faire accepter par une assemblée élue en phase mutable, en principe, pour 5 ans. D’où il ressort qu’une dissolution un après la précédente, serait probablement la meilleur solution, vu qu’elle serait à nouveau impactée, cette fois, par une phase mutable. 

On aura compris que la cyclologie propre à l’Astrologie septénnale, a  une vertu dialectique, en ce sens qu’elle se ménage des aller retours, des lâchers prise et des reprises en main, faisant ainsi la part du  diable.

 sur le  web

« faire la part du diable \

  1. Ne pas juger avec trop de rigueur les actions, la conduite d’une personne , et tenir compte de la faiblesse humaine[
    • Quant à moi, continua le lazzarone avec une certaine mélancolie, tu comprends, Nanno, s’il faut absolument, pour que ma sœur soit heureuse, faire la part du diable, eh bien, laisse le bout de ma corde aux mains de maître Donato, et ne t’occupe que d’elle(Alexandre Dumas, LA SAN-FELICE, Tome II, (1864 – 1865), page 19″
    • Toute la question, en matière de cyclicité est  bien d’accepter de prendre le risque que l’on bloque la « roue » et entrave le « retour ». Or, une démocratie doit accepter  l’alternance et donc l’alternative entre plusieurs solutions, à tour  de rôle, une « rotation » du pouvoir, ce qui implique de faire le deuil, temporairement, d’une situation  qui n’est plus  de  mise.  Il revient aux leaders  de donner l’exemple, ce qui se conçoit dès lors que les vrais chefs sont impactés par la cyclicité astrale et seront amenés à un « chemin de Damas ».
    •   Sur le web:

« Un chemin de Damas est : une conversion, un changement brusque d’idées ou d’orientation (idéologique notamment), une révélation, un retour à la vérité. 

Chemin de Damas : origine de l’expression

« Cette expression est inspirée par le récit des Actes (des Apôtres) dans le Nouveau Testament. Paul (Saul ou Saoul), citoyen romain juif, persécute avec acharnement les « disciples du Seigneur », c’est-à-dire les adeptes de Jésus. Alors qu’il est sur le chemin de Damas pour en persécuter d’autres, Jésus apparaît à lui :

3. Poursuivant sa route, il approchait de Damas quand, soudain, une lumière venue du ciel l’enveloppa de son éclat.
4. Tombant à terre il entendit une voix qui lui disait : « Saoul, Saoul, pourquoi me persécuter ? »
5. – « Qui es-tu, Seigneur ? » demanda-t-il. « Je suis Jésus, c’est moi que tu persécutes.
6. Mais relève-toi, entre dans la ville, et on te dira ce que tu dois faire. »
7. Ses compagnons de voyage s’étaient arrêtés, muets de stupeur : ils entendaient la voix, mais ne voyaient personne.

Actes, 9, La vocation de Saul

Par la suite, Jésus fait savoir à Paul par Ananias qu’il doit devenir l’un de ses apôtres : « cet homme est un instrument que je me suis choisi pour répondre de mon nom devant les nations païennes, les rois et les Israélites » (Actes, IX, 15). Bref, Paul s’est converti : il a rejoint le camp de ceux qu’il persécute. »

 

 

 

 

JHB 15 02 25

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jacques halbronn Linguistique . Importance de la distinction consonnes (contenant) et voyelles (contenu)

Posté par nofim le 14 février 2025

jacques  halbronn   Linguistique et théologie .  Importance de la distinction/séparation  sacrée entre  consonnes (contenant) et voyelles (contenu) 

 

Il nous apparait que l’on a oublié la portée symbolique  de  cette catégorisation que l’on justifie (cf infra)par des raisons mécaniques (résonnance, entrave)

sur le  web

 Voyelle: « Phonème caractérisé par une résonance de la cavité buccale (voyelle orale), parfois en communication avec la cavité nasale (voyelle nasale). vocaliqueLettre qui sert à noter ce son (a, e, i, o, u, y)

Consonne: « Un des deux types de sons du langage, caractérisé par la présence d’un obstacle dans le conduit vocal (occlusion ou constriction), qui entrave l’écoulement du flux d’air phonatoire » 

Ce qui nous intéresse ici, c’est toute l’importance à accorder au  « ballet » des voyelles et des consonnes, à leur chorégraphie et c’est en français qu’une telle dynamique a su garder tout son impact et ses enjeux. On trouve certes, dans les langues dites sémitiques, une différenciation marquée entre ces deux catégories de « phonémes » puisque leur alphabet , stricto sensu, ne comporte que les consonnes, les voyelles devant être ajoutées, en quelque sorte, par le locuteur. Or, lorsque cet alphabet est passé en grec (alpha, béta, gamma, ce qui a donne le terme « alphabet »), on trouve à la fois consonnes et voyelles, à commencer par la lettre A, prise, cette fois, en tant que voyelle, issue du Alef/Alif, ce qui correspond à un refus de perpétuer une telle séparation.

En ce qui concerne le français, il s’agit d’une langue qui joue fortement sur le différentiel  consonne/voyelle et donc qui a  su  rester fidéle à de très anciens principes structurels que bien des langues ne seront pas parvenues à  pratiquer. C’est ce qui nous  a fait dire que le français est une langue « sacrée », une langue « nouvelle (cf le « novlangue » dans le 1984 d’Orwell) au sens où nous l’entendons dans notre théologie, ce qui implique qu’il ait existé des langues antérieures de la même façon que nous parlons d’Adam, comme  « homme nouveau », du systéme solaire comme un nouveau type de ciel (Shamayim, Genése I) .

 

C’est ainsi que la diphtongue du français ne permet plus d’entendre la consonne « n » (en, an, un, on etc) mais, par ailleurs, le français use de l’apostrophe pour ne pas prononcer  une voyelle (j’aim, j’t'aime). Un fois que l’on a réussi à appréhender un tel processus, il devient possible de réfléchir aux emprunts au  français car comment traiter d’un emprunt sans ce stade préalable? Ce qui nous améne sur le terrain de l’emprunt  linguistique et de l’interdépendance entre les langues, relativisant ainsi  leur séparation. Le linguiste Michel Launey, par exemple, perpétue une telle étanchéïté entre elles. Ce qui pose la question des dialectes souvent mal introduite. Le dialecte n’est pas nécessairement de telle ou telle langue mais peut avoir été satellisé par une langue donnée, tout en conservant certains traits d’origine, ce qui est notamment le  cas de l’anglais par rapport au français. Pour nous, l’anglais fait désormais partie, de facto, de la familles des langues « latines » ou mieux encore des langues « francisées », les autres langues « latines »  étant corrompues en comparaison du français, notamment de par leur incapacité à veiller à la dialectique consonnes/voyelles. Pour ceux qui voudraient encore raccrocher l’anglais à la famille « germanique », nous signalerons que le marqueur  en « s » du pluriel des noms anglais est totalement étranger à l’allemand et qu’il émane du français. Mais l’anglais aura mal emprunté au français, n’en aura pas saisi le mode d’emploi. La masse de mots français se retrouvant en anglais, y compris dans le langage le plus basique, témoigne de sa part d’une certaine fascination. Inversement, les langues latines ne connaissent pas la diphtongue française ni les formes en « au », « ou » qui se retrouvent en anglais. En ce sens, l’anglais serait phonologiquement plus proche du français (cf   la prononciation à la française du « au »  de « daughter » (en allemand Tochter)  que ne l’est l’italien ou l’espagnol où le a et le u  du ‘ »au » sont séparés).

Tout se passe comme si le  français avait de tout temps été perçu comme la langue de référence sur laquelle il convenait de s’aligner avec plus ou moins de bonheur.

 

 

 

JHB  14 02 25

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jacques halbronn Judaïsme La confusion de forme et de fond autour du mot « Israel » confirmée lors de l’Office hebdomadaire du Shabbat

Posté par nofim le 11 février 2025

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jacques  halbronn Judaïsme   La confusion  de forme et de fond autour du mot « Israel » confirmée lors de l’office  hebdomadaire du Shabbat

Selon nous, le suffixe « ide » renvoie à « fils de » et donc les Enfants d’Israel, dans le Livre de l’Exode, notamment, devraient être ainsi qualifiés, d’Israélides de même que Maimonide  est fils de Maimon.  De même, les descendants de Sem doivent être appelés « Sémides » et non pas « Sémites »/(d’où antisémide et non antisémite. Au niveau des dynasties, l’on trouve, dans le monde arabo-musulman, les Abbassides, descendants d’Abbas. (-cf infra). ou les Séleucides.  Par ailleurs, nous ne souscrivons pas à la présentation ci-dessous qui préte à confusion.

Sur  le  web
Israélite.  « À la fin du Xe (10e) siècle av. J.-C., les tribus d’Israël se sont divisées en 2 : au Nord, il y a eu le royaume d’Israël (durant 2 siècles, on a continué à appeler ses habitants les Israélites). Au Sud, il y a eu le royaume de Juda (ou Judée). Les habitants de ce royaume étaient appelés les Judéens. Le mot “juif” vient de “Judéen”. » Le Schisme révéle en vérité une distinction majeure et il est par trop  superficiel de parler d’une « division » alors qu’il s’agit du rejet d’une unité factice, typiquement impériale. Paradoxalement, le Pentateuque, oeuvre essentiellement des Israélides,   réussira à étayer la thèse d’une unité originelle avec les Douze Tribus. Cette pseudo « unité »  est d’ailleurs assenée dans le Shema Israel  autour du mot « Ehad »
En effet, Moïse l’Hébreu au  chapitre III  du Livre de l’Exode est envoyé vers les Beney Israel, c’est à dire les Israélides, de la maison de Jacob-Israel,  dont il se démarque à plus d’une reprise. Avouons que ce chapitre est assez obscur.  Dieu parle à Moïse sans l’inclure au sein de « son » peuple (à Lui, Dieu) et Moïse lui même ne s’y inclut pas!
י וְעַתָּה לְכָה, וְאֶשְׁלָחֲךָ אֶל-פַּרְעֹה; וְהוֹצֵא אֶת-עַמִּי בְנֵי-יִשְׂרָאֵל, מִמִּצְרָיִם.  10 Et maintenant va, je te délègue vers Pharaon; et fais que mon peuple, les enfants d’Israël, sortent de l’Égypte. »
יא וַיֹּאמֶר מֹשֶׁה, אֶל-הָאֱלֹהִים, מִי אָנֹכִי, כִּי אֵלֵךְ אֶל-פַּרְעֹה; וְכִי אוֹצִיא אֶת-בְּנֵי יִשְׂרָאֵל, מִמִּצְרָיִם.  11 Moïse-dit au Seigneur: « Qui suis-je, pour aborder Pharaon et pour faire sortir les enfants d’Israël de l’Égypte? »
Un peu plus loin,  il est question du « Dieu des Hébreux » ( Elohey Ivriim) et non plus du Dieu des Enfants d’Israel.
 

יח וְשָׁמְעוּ, לְקֹלֶךָ; וּבָאתָ אַתָּה וְזִקְנֵי יִשְׂרָאֵל אֶל-מֶלֶךְ מִצְרַיִם, וַאֲמַרְתֶּם אֵלָיו יְהוָה אֱלֹהֵי הָעִבְרִיִּים נִקְרָה עָלֵינוּ, וְעַתָּה נֵלְכָה-נָּא דֶּרֶךְ שְׁלֹשֶׁת יָמִים בַּמִּדְבָּר, וְנִזְבְּחָה לַיהוָה אֱלֹהֵינוּ.  18 Et ils écouteront ta voix; alors tu iras, avec les anciens d’Israël, trouver le roi d’Égypte et vous lui direz: ‘L’Éternel, le Dieu des Hébreux, s’est manifesté à nous. Et maintenant nous voudrions aller à trois journées de chemin, dans le désert, sacrifier à l’Éternel, notre Dieu’

 Que dire de ce chant remerciant Moîse d’avoir « donné » la Torah?

 Web

« Le « chant » récité au moment de l’élévation du sefer Torah auquel vous faites allusion est un verset du livre de Devarim (4,44) ; retranscrit en phonétique, ca donne ; « Vezot Hatorah acher sam Moche lifné béné Israël » en ajoutant les mots  » al pi adonai beyad Moche.Torat Emet natan lanou, baroukh acher ba’har banou » qui signifie : « Ceci est la loi que Moche exposa aux enfants d’Israël, selon la parole de D. par l’intermédiaire de Moche.Il nous a donne une loi de vérité, béni soit celui qui nous a choisi (parmi les nations) »  Le public  qui  récite une telle louange ne s’identifie-t-il pas, sans l’ombre d’un doute, aux « Beney Israel », avec l’utilisation de la première personne du pluriel « lanou , banou, anahnou)?

« Le « chant » récité au moment de l’élévation du sefer Torah  est un verset du livre de Devarim (4,44) ; retranscrit en phonétique, ca donne ; « Vezot Hatorah acher sam Moche lifné béné Israël » en ajoutant les mots  » al pi adonai beyad Moche.Torat Emet natan lanou, baroukh acher ba’har banou » qui signifie : « Ceci est la loi que Moche exposa aux enfants d’Israël, selon la parole de D. par l’intermédiaire de Moche.Il nous a donne une loi de vérité, béni soit celui qui nous a choisi (parmi les nations) »

 

מד וְזֹאת, הַתּוֹרָה, אֲשֶׁר-שָׂם מֹשֶׁה, לִפְנֵי בְּנֵי יִשְׂרָאֵל. 

Deutéronome IV,  44 Or, ceci est la doctrine que Moïse exposa aux enfants d’Israël

 

Archives

Sur le web:

ISRAÉLITE

 adjectif

Étymologie :x ve siècle. Emprunté, par l’intermédiaire du bas latin Israelita, du grec Israêlitês, adapté de l’hébreu yisrêli, de même sens. Cet adjectif est dérivé de yisrael, proprement « Que Dieu règne », nom donné à Jacob après sa lutte contre l’ange, puis à tout le peuple juif, dont il est l’ancêtre.
■  Anciennement. Relatif aux descendants de Jacob, au royaume d’Israël, au peuple hébreu, à sa religion.

▪ Aujourd’hui. Relatif à la communauté, à la religion juive. Le culte israélite. Le consistoire israélite.
▪ Subst. Un, une israélite. »   
 Pour notre part, nous pensons que  la forme « Beney Israél » doit être  rendue par  « Israélide » comme Moïse ben Maimon donne Maimonide/ Le suffixe « ide » indique une filiation  comme le « vitch » en slave alors que le suffixe en ‘ »ite » est souvent utilisé pour désigner des maladies.(bronchite, appendicité etc)
Sur le  web
« C’est à Cordoue que Moïse ben Maïmon, Maïmonide (de son nom entier en arabe Abu Amram Mousa ben Maimoun Abd Allah), »

Nahmanide

Moïse Nahmanide (en hébreu : משה בן נחמן גירונדי Moshe ben Nahman Gerondi, acronyme : רמב »ן Ramban, 

 

 
Qu’en est -il  de « sémite »?
Sur le web

« Sémite : histoire d’un mot

C’est en 1781 qu’un linguiste allemand a inventé le mot «sémite ». Un mot paré d’une caution scientifique imaginaire et qui, comme son contrepoint «antisémite», un siècle plus tard, devint bien vite indispensable : la haine des Juifs avait désormais un nom, et un alibi.

Imaginons ce que pourrait être l’article « Sémite » dans un dictionnaire des idées reçues du XXe siècle : « Les Sémites sont les descendants de Sem, fils de Noé, c’est-à-dire essentiellement les Juifs et les Arabes. Parmi les populations européennes ou moyen-orientales, ils se distinguent des aryens ou indo-européens. » Qui songerait à remettre en cause cette notion, qui semble venue du fond des âges ? »

Sur le  web

Abbassides

Wikipédia
https://fr.wikipedia.org › wiki › A…
 
«  Les Abbassides (en arabe : بنو العباس, romanisé Banu al-ʿAbbās, en français : « Les fils d’Abbas ») »
Séleucides
« Les Séleucides (en grec ancien Σελευκίδαι / Seleukidai) sont une dynastie de l’époque hellénistique issue de Séleucos Ier , l’un des Diadoques d’Alexandre le Grand, qui a constitué un empire formé de la majeure partie des territoires orientaux conquis par Alexandre, allant de l’Anatolie à l’Indus. »
« Dans la mythologie grecque, les Atrides sont les descendants d’Atrée. Le destin des Atrides est marqué par le meurtre, le parricide, l’infanticide et l’inceste. Seule Athéna interrompt le cycle de la violence en faisant juger Oreste, le matricide, sur la colline de l’Aréopage, par l’Héliée, le premier tribunal criminel de l’Athènes antique« 
JHB  08 02  25

Publié dans Bible, judaîsme, Juifs, LINGUISTIQUE, théologie | Pas de Commentaire »

jacques halbronn Les Enfants(Beney) d’Israel au coeur du texte « Emeth » faisant suite à la lecture du Ecoute (Shema) Israel.

Posté par nofim le 9 février 2025

jacques  halbronn   Les » Enfants  (Beney) d’Israel  » au coeur du texte « Emeth » faisant suite à la lecture du Ecoute (Shema) Israel. 

 

Si la lecture de ce texte  -notamment lors des offices du Shabbat – censé être au coeur de la foi  juive, ne mentionne pas le nom d’Israel sinon en son commencement tiré de Deutéronome VI, 4-9), c’est en fait dans sa suite, dans le Emeth, que cette référence est réitérée:

« Assemblée: Moïse et les Enfants d’Israel ont entonné un cantique d’actions de grâces, ils se sont écriés « Nul n’est comparable à toi » Puis , à la fin,  »Dieu »  est présenté comme le « libérateur d’Israel »  et de tous les opprimés » . Il convient d’ailleurs de compléter quelques lignes plus loin  avec  le « Hashkivénou »   » Sois lié Seigneur qui étends sur nous et sur tout ton peuple Israel, sur Jérusalem  et sur toutes les nations,Ta paix tutélaire » et le « Veshamerou » (Exode  XXXI, -16-17): « Les Enfants d’Israel observeront le Shabbat; ils le célébreront  jusqu’à la génération la plus reculée. Ce sera entre Moi  et les Enfants d’Israel le signe d’une alliance éternelle » et enfin avec le Kaddish, qui fait suite : » Que le nom sublime du Seigneur soit exalté (..) Qu’il établisse son Régne, qu’Il accorde Son salut  et hâte la venue du Messie, pour Israel et pour l’humanité , bientôt et de nos jours. Dites. Amen » (Siddour Taher Libénou, Ed MJLF, 1997-2001, pp 71-77)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB 09 02 25

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jacques halbronn Théologie. Les miracles « feu de paille » versus la Création.(Genése I) Saut quantique.

Posté par nofim le 2 février 2025

jacques  halbronn Théologie.  Les miracles  « feu de paille »  versus la Création.(Genése I) 

 

 La notion de miracle est des plus ambigues. En fait le miracle remet en question les lois existantes. La question est de savoir s’il en établit de nouvelles. Si ce n’est pas le cas, c’est un feu de paille. 

Pour nous, en  effet, le seul  vrai dieu qui se soit impliqué pour notre Humanité  n’est ni celui identifié à la Nature, ni celui qui n’est pas en mesure de créer un monde nouveau, une néo-nature, une Sur-Nature. Le dieu décrit au premier chapitre de la Genése correspond seul à notre idée de Dieu. Ce n’est pas pour autant un dieu qui s’adresse aux hommes mais c’est un dieu qui les prend en charge, en mettant sur pied toute une  programmation basée sur des corps célestes qu’il aura aménagés selon un « dessein  intelligent », « néo-créationniste », programmation invariable mais marquée par une cyclicité.

 

Sur le  web

« Le dessein intelligent (intelligent design1 en anglais) est une théorie pseudo-scientifique selon laquelle « certaines observations de l’Univers et du monde du vivant sont mieux expliquées par une cause « intelligente » que par des processus non dirigés tels que la sélection naturelle. »

Cette thèse a notamment été développée par le Discovery Institute, un cercle de réflexion conservateur chrétien américain. Le dessein intelligent est présenté comme une théorie scientifique par ses promoteurs  mais, dans le monde scientifique, il est considéré comme relevant de la pseudo-science, par des arguments aussi bien internes à la biologie (les promoteurs du dessein intelligent apparaissant aux biologistes comme ne tenant pas compte de nombreuses observations) qu’épistémologiques (en particulier le critère de réfutabilité de Karl Popper). Le dessein intelligent est désormais classé aux États-Unis dans les théories néo-créationnistes, en particulier à la suite de la publication du Wedge document. »

 

On peut parler de miracle en ce sens qu’il s’agit d’un « saut » quantique qui ne correspond pas à un processus évolutif  « normal ».

Sur le  web

« Comprendre le Saut Quantique

  • Un saut quantique est un changement brusque et instantané de l’état d’un système quantique, comme le passage d’un électron d’un niveau d’énergie à un autre.
  • Ce phénomène contredit l’idée classique selon laquelle les changements d’énergie se produisent de manière continue.
  • Les sauts quantiques sont responsables des émissions électromagnétiques, telles que la lumière, qui se manifestent sous forme de photons. » 

 

  • On aura compris que selon nous les récits de miracles (de la Traversée de la Mer Rouge lors de la Sortie d’Egypte aux  « miracles » accomplis par  Jésus)  ne  revêtent pas la même portée que  le récit de la Création, relatée dans  Genése I. Il  est regrettable que le récit  du Livre de l’Exode ait occulté celui du Livre de la Genése, qui a une toute autre dimension.

 

 

 

 

 

JHB 02 02   25

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jacques halbronn Le mimétisme théologique/ Pluralisme et syncrétisme

Posté par nofim le 31 janvier 2025

jacques  halbronn   Le mimétisme  théologique / pluralisme et   syncrétisme. 

 

 On peut raisonnablement penser que telle religion aura fait l »objet d’un processus mimétique, d’une façon ou d’une  autre. Peut-on pour autant que tout ce qui se référe à un même concept désigne ipso facto un même objet? D’aucuns se permettent en effet d’affirmer qu’il n’y a qu’un seul Dieu comme dans la parabole des aveugles et de l’éléphant. 

A la vérité, on  ne saurait exclure la possibilité de création de dieux de natures fort différentes. Dire que le dieu des Chrétiens ou des Musulmans est le même que celui des  « juifs »  est un propos assez récurrent et quelque peu abusif pour l’excellente raison que celui qui emprunte ne prend pas nécessairement la mesure de ce qu’il entreprend! 

Selon nous, il semble bien que l’on voit cohabiter un dieu très impersonnel  et un dieu très personnel et qu’il serait  syncrétique de vouloir en tenter la synthèse.  Nous préférons, tout au contraire, insister sur l’existence de formes très différenciées même si elles  ne s’affirment pas comme telles. Entre ces deux extrémes, se situe le dieu biblique, au sens du chapitre Ier de la Genése, tel que nous l’avons décrit dans un récent texte, le dit chapitre ayant été d’ailleurs  « charcuté » à l’envi et défiguré pour lui faire dire ceci ou cela; On passe ainsi d’un dieu créateur et à un homme créateur (de dieux), à l’imitation du premier.

Dès lors quelle valeur accorder à de telles créations? C’est toute la question de la créativité de l’erreur  (cf notre contribution aux Eloges, Ed Lierre & Coudrier, 1991 (avec Alain Kieser  et Anne Rose). Le seul dieu qui nous intéresse est transcendental, à savoir qu’il accomplit des travaux au  delà des possibilités humaines ordinaires que l’on qualifie volontiers de  « miracles » mais il peut tout à fait exister de pseudo-miracles et pour nous les seuls vrais miracles  ne sont pas ponctuels mais structurels, durables, à l’instar  de la « Création »,  ce qui n’est pas le cas de la traversée de la Mer Rouge (Livre de l’Exode) ou des guérisons opérées par  Jésus.(Evangiles).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB 31 01 25

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