jacques halbronn La vraie notion de synchronie en astrologie
Posté par nofim le 17 mai 2022
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Posté par nofim le 17 mai 2022
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Posté par nofim le 17 mai 2022
Jacques Halbronn Epistémologie. Le critère démonstratif du mouvement
Une question récurrente est celle de l’identification des catégories sociales, dans le temps et dans l’espace. Qui est qui? Voilà qui pose le probléme du mouvement et de ce qu’il nous enseigne. Cela reléve du visuel, de l’observable au regard du cinétique. A un premier degré, l’on peut tenir compte de l’apparence, celle de l’âge, du sexe, de la race, de la « couleur » de la peau tout comme sur un tableau de bord, on a affaire à différents signaux, éventuellement dotés de teintes différentes. On pense aux feux de signalisation. C’est là un critère objectif immédiatement identifiable et perceptible.
Mais il y a un second degré qui exige du temps et donc une observation prolongée, « durable ». Nous entendons par là le repérage de personnes se distinguant, sortant du rang, se mettant en avant, bref se faisant remarquer d’une façon ou d’une autre. On ne contestera pas que le propre d’un leader c’est de savoir mobiliser, rassembler, à la façon d’un aimant agissant sur de la limaille de fer. A contrario, il n’y aura pas grand mérite si le groupe préexiste. A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. (Corneille) Il est important que certaines personnes soient capable de faire bouger les lignes. La Bible nous parle de « Justes » dans le dialogue du Livre de la Genése relatif au sort de la cité de Sodome. Sans une certaine proportion d’entre eux, la ville est condamnée à la destruction de la même façon qu’un organisme déficient en globules, par exemple, sera, à terme, voué à dépérir.
Il nous semble que c’est un assez bon critère que celui du mouvement que tel ou tel acteur aura su générer. Et on reste bien dans le cadre du mouvement, du changement perceptibles. Ce critère vient, en effet, heureusement compléter celui, évoqué plus haut, de l’apparence. Dans les deux cas, on est bien dans le visuel. S’agit-il d’une complémentarité ou d’une dialectique voire d’une opposition?. Pour nous, produite du mouvement au sein d’une société reléve du miracle, bien plus que ceux que l’on met en exergue dans la Bible autour d’un Moïse ou d’un Jésus. Nous leur préférerons un Cyrus en ce sens que le fait d’avoir ramené les Juifs dans leurs pays d’origine mérite d’être qualifié de miracle et selon nous le personnage de Moise a été inspiré par celui de Cyrus, par delà la chronologie antidatée, fournie dans l’Ancien Testament.
Pour en venir à la question juive contemporaine, nous pensons que le critère du mouvement s’applique assez aisément en ce sens que parmi les personnages qui ont su faire bouger les choses, la proportion de Juifs est impressionnante, notamment sur les cinq derniers siècles et cela vaut pour le présent siècle. Ce serait donc un signe distinctif, non visuel au niveau de l’apparences physique certes -come d’aucuns ont cru bon de le penser- mais de leur présence dans toutes sortes de processus de mouvement observables. De la sorte, c’est une toute nouvelle définition, identification du Juif qui se voit ainsi proposée. Le caractère minoritaire de la présence juive dans le monde confère à une telle aptitude une portée démonstrative d’autant plus marquante.
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JHB 17 05 22
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Posté par nofim le 17 mai 2022
Didier Raoult en vidéo sur Dailymotionwww.dailymotion.com › topic › xjmjg
Didier Raoult et l’astrologie
ANTIDOTE
Le directeur de l’IHU de Marseille nous a gratifiés d’une sortie de route assez spectaculaire mardi dernier, dans son dernier bulletin scientifique publié sur la chaine Youtube officielle de l’institut.
Dans cette séquence, il décide de se lancer dans une charge assez improbable contre les modèles mathématiques utilisés pour prédire l’évolution des épidémies.
Je ne suis pas d’accord et je veux faire mes excuses quand je me trompe. Quand je dis que les modèles prédictifs sont de mêmes natures que les astrologues : les astrologues sont supérieurs.
Donc pour le professeur Raoult, les prédictions astrologiques sont supérieures aux prédictions basées sur la modélisation mathématique des épidémies.
Alors c’est peut-être du second degré, mais le problème c’est qu’il poursuit son laïus pendant de longues minutes en expliquant que l’astrologie, contrairement aux modèles mathématiques qu’il dénonce, s’appuie sur des observations millénaires liées aux dates de naissance or, dit-il, il y a des études scientifiques qui montrent qu’il y aurait corrélation entre durée de vie et mois de naissance.
En quoi cette séquence pose-t-elle problème ?
À plusieurs titres. D’abord ça dénigre de fait, tout un pan de recherche scientifique basée sur la modélisation des prédictions épidémiques. Ensuite, son propos sur l’astrologie, quoi qu’on en pense, revient à lui donner du crédit, alors que rien aujourd’hui ne valide sur le plan scientifique les croyances ou les pratiques liées à l’astrologie. Ensuite ça n’est pas n’importe qui qui parle, on a une personnalité de premier plan, un directeur d’un institut universitaire renommé, qui a une véritable popularité, avec des fans qui boivent littéralement ses paroles.
Enfin les croyances ésotériques, notamment l’astrologie, sont devenues un véritable phénomène qui augmente depuis 20 ans.
Y a-t-il des estimations ?
Oui un sondage de novembre 2020 effectué par l’IFOP révélait que 41% des Français étaient perméables à l’astrologie. Un phénomène qui touche particulièrement les jeunes de 18 à 24 ans qui sont plus de 70% à croire aux parasciences. Et c’est d’autant plus alarmant que le premier motif de consultation de pseudo experts en sciences occultes, c’est la santé.
C’est aussi un véritable business, où les consultations sont facturées parfois plusieurs centaines d’euros
Et tout cet écosystème se nourrit essentiellement de l’insécurité sociale, du malêtre ou de la crédulité de personnes parfois fragiles. Et on peut donc trouver navrant qu’en 2022, des scientifiques comme Raoult, sans oublier les grands médias avec leurs horoscopes, donnent encore du crédit à ce type de croyance. Parce que banaliser la pensée magique, ça n’est jamais anodin.
Légende du visuel principal: Didier Raoult et l’astrologie © Getty / Aurelien Meunier
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Posté par nofim le 15 mai 2022
Jacques Halbronn Les pseudo miracles du Royaume d’Israel et des Evangiles.
Qu’en peut-on et doit-on parler de « miracle »? Selon nous, le miracle est lié à la notion de création et n’a rien à voir avec une exception aux lois « naturelles ». Comment peut-on raisonnablement s’imaginer qu’un miracle remettrait en question le plan divin? Or, dans la bouche d’un grand nombre, le miracle ne respecterait pas le fonctionnement, le cours normal des choses comme dans le cas de la traversée de la Mer Rouge, la guérison des maladies, des infirmités voire la mort, d’où la célébration de la « résurrection », du temps de la Pâques. Dans notre ouvrage Le monde Juif et l’astrologie, nous avions abordé l’idée de miracle quand on nous montre que l’on peut échapper à l’influence astrale -notamment si l’on respecte les commandements et autres mitzwoth- mais dans ce cas, encore faut-il croire à la dite influence pour être en position de la contrecarrer. Quant à Maimonide, il tendrait à penser que les miracles seraient prévus d’entrée de jeu dans le plan de la Création, ce qui montre que leur fonction n’est pas de remettre en question celui-ci. Pour nous, le miracle reléve d’un acte créatif et non disruptif, il est nécessaire, il est une condition du bon fonctionnement du monde et en l’absence de miracle, le monde irait mal.
Maintenant, force est de constater que la Bible met en scéne, tant dans l’Ancien que dans le Nouveau Testaments, ce que nous avons appelé le miracle disruptif, comme dans le cas de Moïse et de Jésus. Or, pour nous, le personnage de Moise, campé dans le Livre de l’Exode, est une invention israélite, ce qui ressort notamment de la référence constante à Israel, et notamment aux « Beney Israel » et ce, dès les premières lignes. Le personnage de Jésus nous semble d’ailleurs largement calqué sur celui de Moïse, ne serait-ce que par les conditions de sa naissance.
A partir de là, le personnage de Jésus serait le produit d’un certain mimétisme, d’une « préfiguration » mais il y aurait erreur sur le modéle à suivre, ce qui est le pire qui puisse arriver à celui qui « copie » mal, comme nous l’avons montré pour les contrefaçons de l’oeuvre de Nostradamus
Selon nous, le miracle est consubstantiel à la dynamique de la Création, ce qui ressort déjà du début de la Genése..
On est loin du miracle « mosaïque »:
« Moïse étendit le bras sur la mer. Le Seigneur chassa la mer toute la nuit par un fort vent d’est ; il mit la mer à sec, et les eaux se fendirent. » (Exode 14, 21-27) et ce commentaire sur Internet de s’interroger: . » Le miracle accompli par Moïse, premier personnage à être nommé « homme de Dieu » dans la Bible, est sans doute l’un des plus célèbres. Il permit à tout un peuple d’échapper à l’armée égyptienne. Mais un tel miracle est-il scientifiquement et physiquement possible ? » Quelle différence entre le Livre de la Genése et celui de l’Exode! La philosophie n’est pas la même!
Il importe de comprendre que dans la théologie juive telle que nous l’appréhendons il convient de rendre grâce à Dieu du « miracle » de la Création et de ne pas mettre cela sur le compte de la « Nature ». On dit d’ailleurs qu’un « miracle n’a pas eu lieu », quand les choses n’ont pas pris la tournure souhaitée. On ne doit pas prier pour que les choses ne se fassent pas mais pour qu’elles se fassent et s’en féliciter quand le projet aboutit, s’accomplit en dépit des obstacles. Au fond, nous ne sommes pas loin de penser qu’une certaine idée du miracle reléverait plutôt de Satan, de l’adversaire capable de mettre en échec le plan divin par des « miracles ». Or, nous sommes obligés de devoir constater que le judaisme tel qu’il se présente actuellement est fortement imprégné de l’israélisme, ne serait-ce que par cette référence à Israel dans l’invocation la plus sacrée.
Wikipedia:
« Le Chema Israël s’insère dans un long sermon prodigué par Moïse aux enfants d’Israël peu avant sa mort rapporté dans le livre du Deutéronome au chapitre 6. Énoncé après la seconde version du Décalogue, il constitue le fondement du message mosaïque » En réalité, c’est dans le livre des Prophétes que cette injonction se trouve et le Pentateuque est en fait repris du dit Livre. Ne nous fions surtout pas à la chronologie biblique!
JHB 15 05 22
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Posté par nofim le 15 mai 2022
jacques Halbronn Astrologie EXOLS La phase équinoxiale exige un leadership de haute volée.
A la différence de la phase solsticiale qui conduit à respecter un certain statu quo, une gestion pragmatique de la diversité, la phase équinoxiale constitue une épreuve de vérité pour une société, selon qu’elle disposera ou non d’une élite vraiment performante car la tache à accomplir n’est certainement pas à la portée du premier venu. Il s’agit en effet, d’en revenir en amont à des fondamentaux, de remonter jusqu’aux « principes », à la conception première, matricielle, ce qui exige, disons-le, un certain « génie » qui ne court pas les rues.
Le mot « union » est souvent galvaudé et se limite bien souvent à de la juxtaposition. C’est ainsi que dans les années cinquante du siècle dernier, il y a eu échec de la Communauté Européenne de Défense (CED), à cause notamment de la France et l’on a pu constater que cette Communauté, devenue Union Européenne, ne s’y est pas forcément bien pris, dans le bon ordre. Actuellement, on parle de « fédération », d’union, mais il s’agit bien plutôt d’une réminiscence nostalgique, propre à une phase solsticiale. Il faut un « titan » politique, scientifique, religieux, pour résorber les clivages en vigueur, lors de l’avénement d’une nouvelle phase équinoxiale, qui soit à la hauteur de l’enjeu, du défi.
En effet, la phase équinoxiale a vocation à remettre les pendules à l’heure, à renouer avec le plan « divin » dont l’astrologie est, selon nous, le fer de lance, d’évacuer les scories, les dérives, les altérations. On prendra deux exemples de feuillles de route: l’astrologie et le judéo-christianisme.
I L’Astrologie
La prochaine phase équinoxiale devrait, en principe, permettre une refonte compléte du corpus astrologique. Il y a beaucoup d’appelés et peu d’élus pour nettoyer les Ecuries d’Augias (Travaux d’Hercule) On a vu le cas d’André Barbault, qui, en 1967, dans Les Astres et l’Histoire (Ed Pauvert), proposa – déçu par le cycle Saturne Neptune vers lequel il reviendra 22 ans plus tard – un nouveau « modéle universel », ne tenant plus compte du nom des planétes ni de leur position sur l’écliptique. Or, en cette année 1967, Saturne passait en mode équinoxial, sur le point vernal, à 0° Bélier et les esprits étaient donc disposés à assumer une telle révolution. Malheureusement, le modéle barbaultien-hérité de Gouchon – était mal ficelé et son application va conduire à un fiasco prévisionnel autour de l’annonce d’une Troisiéme Guerre Mondiale, prévue pour le début des années 80, quand la « concentration planétaire » atteindra son maximum (à partir de 5 planétes, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton, donc 3 transsaturniennes inconnues de l’Antiquité). On peut espérer que l’Astrologie EXOLS que nous avons formulée connaitra un certain impact lors de la prochaine phase équinoxiale de 7 ans, ce qui peut conduite à un désenclavement de l’astrologie ce que Barbault n’aura jamais réussi à obtenir.
II le judéo-christianisme
Dans le domaine des religions « bibliques », « monothéistes », il y aurait également du pain sur la planche et l’on a du mal à imaginer une refonte de la relation entre judaisme et christianisme, à l’occasion d’une prochaine phase équinoxiale de Saturne. Là encore, le poids des traditions exigerait un travail herculéen pour repenser tout un systéme doctrinal. Pour notre part, là encore, nous avons proposé certaines pistes mais cela semble un tâche « surhumaine », relevant du miracle. Notons d’ailleurs que l’astrologie aurait son rôle à jouer pour repenser une telle théologie.
JHB 15 05 22
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Posté par nofim le 15 mai 2022
Jacques Halbronn Astrologie. L’épineuse question des « orbes » et la répartition du temps. Quand on interroge un astrophile/astrologue sur la durée d’impact d’une configuration astrale, se souléve nécessairement la question dite des « orbes ». On nous répond que tout dépend de l’orbe que l’on s’est fixée et cela vaut aussi, au niveau informatique. On s’accorde en général sur une fourchette, une « marge », entre 5 et 10° mais cela peut varier selon les critères choisis. On s’intéressera ici aux causes puis aux conséquences d’une telle problématique.
I Les causes
Dès lors que l’on dresse une carte du ciel, pour un instant T, les « aspects » seront rarement exacts (partils), d’où le recours à l’orbe. Ensuite, comme l’on prend en compte un nombre important de planétes et autres facteurs, l’on ne peut, en principe,accorder des marges trop importantes vu qu’il faudra répartir le gâteau du temps en parts en proportion. L’accroissement du nombre de facteurs conduit mécaniquement à diminuer l’ampleur des orbes accordées.
Par ailleurs, les astrologues penchent volontiers pour un certain degré de précision, ce qui est susceptible, d’affecter le montant « orbique », ce qui va dans le sens de la demande de précision quant à l’heure (et donc du lieu) de naissance. C’est ainsi que Roger Héquet ( ACB) sera en faveur d’orbes très faibles. On fait de nécessité vertu.
II Les conséquences
Le grand perdant, dans cette affaire, est la notion de phase, de période au profit du surinvestissement de celle d’événement « ponctuel ». Or, pour déterminer une période, il faut aménager un commencement et une fin, tout comme on a besoin de deux points pour tracer une ligne. En outre, comme son nom l’indique, l’orbe est « circulaire », c’est à dire qu’elle couvre à égalité ce qui précéde et ce qui suit le moment de la configuration stricto sensu. Faut il alors circonscrire une phase autour du dit moment, en amont comme en aval?
Nos propositions Pour notre part, la période étant un commencement, il n’y a pas de raison que cela couvre ce qui est avant la configuration. Par ailleurs, en référence au cycle saisonnier, comme au mouvement diurne, on va d’un point à un autre, et le printemps va s’étaler sur trois mois. et ainsi de suite et le pic ne sera pas le début du processus. Il est clair que selon l’option choisie, la prévision variera singulièrement. On nous répondra peut être qu’une configuration sera effective jusqu’à ce que se présente une autre configuration englobant d’autres facteurs mais cela conduit à des périodes de tailles extrémement variables et nullement calibrées. Pour nous, l’astrologie a besoin d’un mode unique de balisage du temps, d’une seule et même « unité » de mesure.
JHB 15 05 22
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Posté par nofim le 15 mai 2022
jacques Halbronn Sociologie. Intégration. Les handicaps temporaires et les pérennes
En matière d’intégration, toutes les différences ne pésent pas du même poids. Il est clair que l’enfant qui vient au monde sera confronté à des obstacles temporaires qui se résorberont avec le temps. Ce ne sera qu’une question de temps. L’obstacle linguistique est également voué à s’estomper, à des degrés divers, avec l’apprentissage des langues pour un étranger. Quant à l’obstacle religieux, il pourra être franchi par la conversion ou par une pratique privée, ce qui peut relever de la laîcité plus ou moins marquée d’une société à l’autre.
Il en est autrement des « handicaps » -au prisme de l’intégration- liés au sexe, à la couleur de la peau qui ne disparaissent pas avec le temps et ce, même sur des générations, ce qui montre les limites de la francophonie des immigrés. Le conflit ukrainien a mis en évidence cet apparent paradoxe, à savoir que les immigrés ukrainiens, quelle que soit leur méconnaissance de la langue française, auront à terme des perspectives d’intégration, plus heureuses que les originaires de pays « francophones » d’Outre mer. On est là face à des « handicaps » pérennes que ni la naturalisation, ni la conversion ne sont en mesure de dépasser. Il en est de même pour le sexe, même si l’on peut envisager des opérations « transgenre ». La différence, c’est qu’une femme peut éventuellement engendrer des garçons alors qu’en ce qui concerne la couleur de la peau, il faudrait passer par le métissage, ce qui ne résout pas totalement le probléme « visuel », celui de la perception « immédiate », laquelle reste déterminante. Entendons par là que ce n’est que dans un second temps, que l’on pourra prendre connaissance d’autres données chez autrui que celle qui « sautent aux yeux » (le rôle du « faciés » pour les contrôles d’identité, de police) et relévent de certains automatismes, car, qu’on le veuille ou non, les contacts sociaux impliquent un premier tri, qui ne donne pas du temps au temps.
JHB 15 05 22
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Posté par nofim le 13 mai 2022
jacques Halbronn L’astrologie ou l’art de savoir attendre
Selon nous, savoir prévoir, c’est avant tout savoir attendre. C’est ce que l’on peut attendre de l’astrologie, précisément et ce que l’on aura longtemps attendu qu’elle le permît. Il s’agit ici de définir une nouvelle politique de l’astrologie qui lui confère une utilité sociale, autre que celle des « horoscopes ». Même Descartes renoncera, il y a 400 ans, à écrire en latin certaines de ses oeuvres afin d’atteindre un public plus large.
Dans les années trente, une grave erreur fut commise, tant il est vrai que le mieux est l’ennemi du bien (cf La croyance astrologique moderne, Ed. L’Age d’homme). On avait commencé par proposer, dans les années trente, une même prévision pour tout un chacun., ce qui évitait l’écueil de la connaissance de la date de naissance. Ce fut une occasion manquée car assez vite, croyant bien faire, on répartit les prévisions entre les 12 signes, sans parler des 36 « décans », ce qui correspondait à un plus grand besoin de précision. Marie louise Sondaz s’engagea notamment dans cette voie (cf . https://astroscept.com/2019/04/05/questions-du-public-origine-des-horoscopes-de-presse-en-france-sitp-bruxelles/#more-2393)
Savoir attendre le bon moment et adopter la bonne aptitude. DEux cas de figure: soit on est en phase équinoxiale et on attend le retour d’une prochaine phase solsticiale, soit l’inverse.
Dans le premier cas, on attendra éventuellement un « retour d’affection » ou le « »retour de l’enfant prodigue », ce qui prendra tournure lors du prochain passage de Saturne sur l’axe solsticial mais on aura sept ans pour concrétiser.
Dans le second cas, on souhaiterait plutôt mettre fin à une situation qui n’en finit pas de durer ou de se représenter et alors, la prochaine phase équinoxiale permettra de se libérer de certaines contraintes.
Ce sont de tels services que l’astrologie, telle que nous la concevons, est susceptible de rendre. C’est à la fois peu et beaucoup. Mais l’on aura compris que si l’astrologie, sous cette forme, était parvenue à s’intégrer pleinement dans notre paysage et non point par la bande, et à la marge, on n’aurait pas trop à se plaindre, chez les astrologues si ce n’est que cette astrologie de par sa simplicité d’emploi risquerait de mettre pas mal de monde au chomage ou en tout cas impliquerait une certaine forme de recyclage. Dans bien des domaines, les gens ont appris à se passer de l’aide de praticiens spécialiés, de l’automobile à l’ordinateur et seule une élite est chargée d’améliorer les produits.
JHB 13 04 22
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Posté par nofim le 13 mai 2022
Jacques Halbronn Astrologie EXOLS Histoire récente (Solsticialité) et Plan divin (Equinoxialité)
Nous serons en mesure de préciser davantage ce qui oppose, distingue, les deux phases de notre Astrologie au prisme du rapport avec le passé. Le passé solsticial diffère en effet singulièrement du passé équinoxial.
Le passé solsticial
La phase solsticiale de 7 ans est marquée par le souvenir de temps antérieurs vécus, faisant référence dans notre mémoire, tant collective qu’individuelle. On connait, en psychologie, le processus du scénario répétitif qui périodiquement vient perturber, envahir nos enjeux présents, de façon obsédante voire compulsive et ce, d’autant plus, que nous vivons dans une synchronie, c’est à dire dans une forme de réciprocité, de ressenti mutuel, avec autrui, puisque l’astrologie EXOLS est fondamentalement synchronique, ne s’intéressant pas au thème natal individuel mais sous tend l’idée d’un destin commun. On sait qu’une critique récurrente contre l’astrologie tient au fait que certains événements collectifs seraient en contradiction avec la croyance dans le thème natal.
On ne comprend pas les enjeux d’une époque si l’on ne fait pas la part du souvenir. C’est ainsi que la phase solsticiale actuelle polarisera les populations sur des moments marquants du passé : d’où la référence à l’Union de la Gauche et à la Cohabitations, dans le débat actuel autour des élections législatives, d’où celle à l’URSS ou de l’Union Européenne dont on voudrait écrire une nouvelle page et ainsi de suite. Un temps de nostalgie que celui de la solsticialité; avec un attachement puissant au passé, ce qui réactive des structures anciennes avec plus ou moins de bonheur, ce qui fait écran, résistance au futur.
Le passé équinoxial
A contrario, la phase solsticiale qui par définition, s’intercale entre deux phases équinoxiales et vice versa, remontera vers un passé beaucoup plus lointaine, celui des origines. On n’est plus alors dans le même processus mémoriel et il revient au philosophe d’explorer le temps des commencements par delà les vestiges et les ruines dont s’occupe la science historique. Il s’agit alors de reconstituer le puzzle primordial, ce que nous appelons le plan divin ou « ichtien » en référence à l’image d’un Jésus, « fils de Dieu. », expression véhiculée par les Evangiles mais déjà présente au tout début du Livre de la Genése quand il est question de la création du Ciel et de laTerre, le terme création étant incompatible avec l’idée cartésienne de Nature.
En phase équinoxiale,.le plan divin reprend la place qui est la sienne et abolit ce qui aura hanté, meublé la phase solsticiale. C’est ainsi qu’Emmanuel Macron- passé par la philosophie, aura été élu en fin de phase équinoxiale, ce qui lui aura permis de mettre sur la touche les anciens partis (PS, LR). Mais, dès le début de 2018, une nouvelle phase solsticiale se mettra en place et l’on pense aux Gilets Jaunes obnubilés par le mythe de la Prise de la Bastille ou à la Russie, obsédée par le souvenir de l’Union Soviétique sans parler de la mémoire des grandes épidémies de l’Histoire,tout cela au cours de la suite de son quinquennat,la phase solsticiale en cours ne s’achevant qu’à la fin de 2025.. C’est alors que de nouvelles structures pourront se mettre en place, en rapport avec le « plan divin ».
L’enjeu principal est de débloquer, alors, des traditions sclérosées, figées et notamment dans le domaine du religieux, des Ecritures, des Langues, du politique. L’équinoxialité aura accouché ainsi, dans les années cinquante du siècle dernier, de la Communéuté (Union) Européenne, ce qui correspond à un dépassement du passé..En phase équinoxiale, toute une série de barrages sont voués à sauter et ce en très peu de temps car nous ne sommes pas ici dans le champ de la Nature mais dans celui de la Technologie « ichtienne » la plus avancée.
L’astrologie devrait pouvoir surfer sur cette nouvelle « vague » équinoxiale en se libérant de ses dérives et de ses hérésies de même que le monde judéo-chrétien devrait trouver un nouvel équilibre en repensant les modalités de l’idée d’une centralité juive.
JHB 13 05 22
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Posté par nofim le 13 mai 2022
Jacques Halbronn Recherches sur le personnage de Jésus : Moïse, Cyrus, Israel et ICHTUS
Dans cette étude, nous entendons mieux cerner le personnage et la mission dévolue à Jésus autour des questions suivantes: quels fut sa mission, son statut, quelles étaient ses origines?
I Nous dirons que Jésus fut perçu comme « fils de Dieu », si l’on se base sur le sigle ICHTUS,lequel indique, en grec, cet état et non point qu’il était « Dieu
Ichthus ou Ichtys (du grec ancien ἰχθύς / ichthús, « poisson ») est l’un des symboles majeurs qu’utilisaient les premiers chrétiens en signe de reconnaissance. Il représente le Sauveur durant les débuts de l’église primitive. En grec IΧΘΥΣ, est un acronyme pour « Ἰησοῦς Χριστὸς Θεοῦ Υἱὸς Σωτήρ » / « Iêsoûs Khristòs Theoû Huiòs Sôtếr » soit « Jésus-Christ, Fils de Dieu, [notre] Sauveur ». Désormais, il reste un symbole stylisé en forme de poisson formé de deux arcs de cercle, ainsi qu’un acronyme (ou un acrostiche). »
On proposera de parler d’une théologie « ichtienne » pour désigner celle qui tient au « Fils de Dieu », expression à ne pas prendre à la lettre. Le Fils est celui qui crée à partir d’une matière première et il importe de ne pas confondre son oeuvre (intelligent design) avec celle de la Nature..
II Bous dirons que Jésus n’a pas préché auprès des siens, qu’il était Juif mais ne s’adressait pas aux Juifs, mais aux Israélites, d’où ses miracles en Galilée, autour du Lac de Tibériade..
Louis Segond Bible
Il (Jésus) répondit: Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël. |
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Exode Chapitre III Le buisson ardent Dialogue de Dieu avec Moïse
Selon nous, en tout état de cause, le personnage de Moise aura été calqué, en amont, sur celui du Persan Cyrus, appelé Messie (Isaie 45), chargé de ramener les Juifs en « Palestine ». Quant à Jésus, son personnage doit également à Cyrus, cette fois en aval.
JHB 13 04 22
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