jacques halbronn Astrologie et Ethique. Paradoxe . Les phases favorables peuvent générer des abus.
La notion de phase favorable ou défavorable est assez ambivalente car en période « favorable », l’on risque d’être tenté d’abuser de la situation, ce qui est susceptible de se mettre « en faute », ce qui sera sanctionné lors de la phase « défavorable ». Il est essentiel de respecter le principe de cyclicité : ‘la roue tourne », ce qui exige de la part de l’astrologue d’avoir une approche dialectique. Or, force est de constater qu’André Barbault, n’a pas sérieusement développé celle-ci dans ses multiples publications. Certes, son indice cyclique comporte -t-il une courbe ascendante et une courbe descendante. En revanche, son étude du cycle Saturne-Neptune, sous la forme qui est la sienne ces derniers temps,dans l’attente d’une nouvelle conjonction, fait totalement abstraction, désormais de toute processus inverse, ne faisant plus référence qu’aux conjonctions se produisant tous les 36 ans!
Nous pensons qu’une approche cyclique exige absolument une division en deux temps – ce qui est la base de notre Astrologie Septénale (Din/Hessed). Cette dualité n’est possible que par rapport à une division de l’écliptique en lien avec les axes équinoxiaux et solsticiaux, constituant des périodes de 7 ans, elles mêmes divisée en deux périodes de 3 ans et demi. Barbault a dès les années 50 (et même avant), sacrifié le référentiel zodiacal au profit des combinatoires planétaires lesquelles ne permettent pas un découpage régulier et égal des phases, à la différence du cycle des saisons. C’est ce qui hypothèque, plombe, ses divers modéles. La question du Bien et du Mal est au coeur de la pensée astrologique et elle doit y être réintégrée Certains astrologues ont décidé d’aborder de front ce problème
cf
.
Michaël MANDL
« Le Bien et le Mal en astrologie »
« Comment comprendre les harmonies et les dissonances ?
La terminologie astrologique est souvent associée à des jugements de valeur, notamment s’agissant de connotations harmonieuses ou dissonantes et même bénéfiques ou maléfiques, qu’il s’agisse des planètes, des aspects ou des maisons. Ainsi, Mars et Saturne seraient deux maléfiques, tandis que Vénus et Jupiter seraient bénéfiques ; il en va de même pour les aspects, respectivement les carrés et les oppositions d’une part et les sextiles et les trigones d’autre part ; quant aux maisons, l’axe 5/11 serait bénéfique, tandis que l’axe 6/12 serait maléfique, ainsi que la maison 8. Comment faut-il comprendre et interpréter ces attributions ? »
On notera cependant que ce chercheur ne se référe pas aux saisons et au Zodiaque, ce qui est assez caractéristique des errements de l’astrologie contemporaine. Nous exposerons ci après l’approche qui est la notre, à titre de comparaison et d’alternative, à la lumière de la dualité du Bien et du Mal, au coeur de certaines religions.
Evangile selon Matthieu, chapitre 6
…12« Pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés; 13 ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du malin. Car c’est à toi qu’appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen! 14 Si vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre Père céleste vous pardonnera aussi;… »
Ce texte du Nouveau Testament n’est selon nous compréhensible qu’à la lumière de l’Astrologie Septénale. Nous avons exposé, dans d précédents textes, que certaines personnes étaient portées par la phase Hessed et d’autres par la phase Din. Or, ces phases propices sont également celles qui soumettent à la tentation, qui nous aménent à offenser autrui, à lui faire du tort, à l’offenser. Et ce sont les autres phases, allant en sens inverse, qui nous permettront de nous repentir, de nous faire pardonner nos excés, nos abus de pouvoir. Autrement dit, telle phase fera de nous des bourreaux et d’autres des victimes et c’est la vraie mission de l’astrologue que de nous préparer à cette double épreuve.
Le passage, tous les 3 ans et demi (cf le Livre de Daniel) est littéralement crucial en ce qu’il génére un basculement, c’est la Roue de Fortune (du Tarot) Celui qui est marqué par le Hessed doit savoir que cette phase Hessed l’exposera à des tentations alors que le Din sera celle de l’expiation, la repentance, la réparation, le dédommagement (des préjudices causés), le châtiment. Pour celui qui est marqué par le Din, le processus sera mathématiquement inverse. Les changements de phase provoquent immédiatement et assez brusquement de nouvelles perspectives. En effet, pour notre Astrologie Septénale- ce qui permet justement de la valider en tant que science- c’est bien à des dates précises que le basculement a lieu, soit tous les 1260 jours.
En ce sens, le christianisme nous semble fortement, puissamment inspiré par l’Astrologie Septénale, laquelle est très ancienne même si sa formulation est récente vu qu’une fausse astrologie s ‘y est substituée des siècles durant. Mais le Christianisme aura perdu en route le mode d’emploi lequel, en tout état de cause, n’est pas nécessaire en ce que le processus est actif en nous, selon la Nouvelle Alliance (Jérémie XXXI, Epitre aux Hébreux). Mais l’exposé précis et circonstancié de cette cyclicité n’en est pas moins souhaitable. Qui est Hessed et qui est Din? Les gens du Hessed, ce sont ceux qui aiment à se rassembler au sein d’une Eglise, d’ un territoire bien délimité alors que les gens du Din sont de fortes personnalités chargées de prendre en charge le « troupeau » à l’image d’un Moïse envoyé vers les Enfants d’Israel (livre de l’Exode) ou d’un Jésus se dédiant, à son tour, à ces même enfants, 2000 ans plus tard.
Matthieu XV24 Jésus « répondit: « Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël. »
On dira que la phase Hessed est marquée par un manque de rigueur (Din) et la phase Din par un manque d’amabilité. Il est clair que chaque nouvelle phase causera un certain mal chez ceux ayant baigné dans la phase précédente,
On pense au pharmakon pour décrire une telle ambivalence:
« C’est le philosophe Bernard Stiegler qui emprunte cette notion de « pharmakon » à Jacques Derrida, lui-même l’empruntant à Platon. En grec, le pharmakon désigne à la fois le remède et le poison. Et pour Stiegler, toute technologie est pharmakon, elle est à la fois poison et remède »
jacques halbronn La question juive au prisme de l’astrologie septénale, séfirotique
En 1978, nous avions proposé ( http://nofim.unblog.fr › 2024/03/06 › jacques-halbronn…) une clef séfirotique pour aborder le tarot. Récemment, nous avons mis en oeuvre les Sefiroth pour décrire l’alternance des phases en Astrologie Septénale.
Nous entendons intervenir ici dans le débat autour du sionisme à la lumière de cette nouvelle forme d’astrologie qui est en fait sa forme originelle (Ur-Astrologie).Selon nous, il y a une polysémie du fait juif, l’une tendant vers le sionisme, l’autre vers le diasporisme, alternativement, ce qui génére deux types de crise, celle de la Solution Finale (1942) et celle de la Solution « moderne » (1897, cf notre ouvage, le sionisme et ses avatars au tournant du XXe siècle avec un fac simile de la première édition française de l’Etat Juif, Ed Ramkat, 2002), On notera que dans les deux cas, le mot allemand « Lösung » -solution est utilisé, la solution finale étant la « Endlösung ».
Nous dirons qu’en phase Hessed (dite de Grâce), les Juifs sont perçus comme entité géographique, comme Etat (Israel) avec ses frontières et son armée alors qu’en phase Din (dite de Jugement), les Juifs sont immergés individuellement au sein des divers ensembles, difficilement repérables de par leur diversité, ce qui conduira à leur imposer le port de l’étoile jaune, pendant la Seconde Guerre Mondiale pour qu’on puisse, quand même, les identifier et les rassembler (Vel d’Hiv etc)
En octobre 2023, Saturne entamait une phase Hessed en passant de la fin du signe du verseau et en entrant dans celui des Poissons. On était donc dans une dynamique territoriale, étatique, avec notamment la question sensible des tracés frontaliers; Mais la mise en camp de concentration relevait de la même logique du Hessed, du regroupement. Dans les deux cas, d’ailleurs, 1942 et 2023, il s’agissait d’un certain artifice, qui n »était pas fondé dans la longue durée historique mais sur une création ponctuelle. Comme disait Herzl, cela ne sera plus une Agada, une légende, un mythe. De même Auschwitz réalisait les rêves les plus fous de Hitler dans son « Mein Kampf ». Il convient d’ailleurs d’opposera au rassemblement du Vel d’Hiv de 1942 les lois prises par Vichy, lors de la prise de pouvoir de Pétain
phase I 1940 (saturne en « Din ») On est dans le qualitatif Saturne est en bélier puis passe dans la première partie du signe du taureau.
« Le statut du 3 octobre s’articule autour de deux points principaux : le premier définit qui est dorénavant juif ; le second vise à ôter « toute influence politique » aux Juifs, en édictant des interdictions professionnelles. La cible principale est la fonction publique, dont certains postes sont frappés d’interdictions totales (art. 2), les autres d’interdictions partielles, l’accès à ces emplois – subalternes par définition – n’étant ouvert qu’aux anciens combattants (art. 3). Le secteur privé est visé en second lieu, suivant un même schéma d’interdictions totales et partielles : les emplois dans la presse, la radio et le cinéma sont interdits aux Juifs (art. 5) ; les professions libérales et les postes auxiliaires de la justice ne sont pas interdits dans l’immédiat, en attendant que « des règlements d’administration publique […] aient fixé pour eux une proportion déterminée » (art. 4), soit, en clair, l’annonce d’un numerus clausus. Mais les décrets d’application concernant le secteur privé ne verront pas le jour avant que le second statut ne soit promulgué en juin 1941. Dans cet intervalle, c’est essentiellement le premier volet des interdictions, touchant à la fonction publique, qui fait l’objet d’une application conduisant à l’exclusion de 2 900 personnes. »
phase II 1942 (Saturne en Hessed) On est dans le quantitatif.
« Au cours de l’été 1942, le régime de Vichy négocie avec les responsables de la police allemande un accord pour leur livrer 10 000 Juifs de la zone non occupée et 20 000 Juifs de la zone occupée. Pour tenir ces engagements, le gouvernement français exécute les grandes rafles de l’été 1942. La France non occupée est alors la seule zone en Europe où les autorités compétentes livrent de leur propre initiative des Juifs aux nazis.
Au mois de juillet 1942, le gouvernement de Vichy demande aux Allemands l’autorisation de déporter les enfants de moins de seize ans, jusqu’alors exclus des convois de déportation. Les autorités allemandes acceptent cette demande et le 14 août 1942 le premier convoi incluant des enfants part de Drancy en direction d’Auschwitz. Les maisons d’enfants de la zone non occupée ne sont plus des refuges sûrs. »
Nous passons actuellement en mai- juin 2025 en phase Din de Saturne (entrée en bélier), cela signifie le recul d’une approche quantitative et donc le déclin de la dynamique sioniste et le regain d’une approche qualitative s’attaquant à l’élite juive et non plus au « peuple », au troupeau. Dans l’histoire juive, ce sont souvent les élites qui furent visées et non le vulgum pecus.
jacques halbronn Dialectique antisémitisme/antisionisme au prisme de l’astrologie septénale.
Nous distinguerons deux types de juifs, le type Hessed et le type Din, deux catégories de notre Astrologie septénale. L’un tend vers le sionisme, l’autre vers la présence diasporique. En phase din, le sionisme est ma vu, en phase hessed, le diasporisme est rejeté. Il est possible de calculer très exactement le passage d’une phase à l’autre, en rapport avec le passage de la planéte Saturne sur les axes saisonniers (équinoxiaux/solsticiaux). Le passage s’effectue avec Saturne à 15° de l’un des 4 signes fixes, tous les 3 ans et demi (28/4/2). Il y a quelques bases à acquèrir mais rien à voire avec le labyrinthe de l’astrologie « généthliaque », du thème astral.(consulter les éphémérides sur le web astro-institut ou Dame de trefle)
En novembre 1947, lorsque l’ONU accorda aux Juifs une partie de la Palestine mandataire, Saturne se trouvait au début d’une phase Hessed,à la moitié environ du signe fixe du Lion. En 1941, une précédente phase Hessed, avec Saturne à la mi-Taureau) avait conduit à la « solution finale ».
Quel rapport demandera-t-on entre ces deux périodes? Dans les deux cas, un rejet du diasporisme juif, de l’immersion juive parmi les nations. Deux solutions: leur extermination ou leur ghettoïsation,leur exfiltration aussi loin que possible. Rappelons qu’un Edouard Drumont, l’auteur de la France juive, saluera la parution de l’Etat Juif de Theodore Herzl. Le sionisme serait donc compatible avec l’antisémitisme et l’antisémitisme servirait de facto les interêts du sionisme, un fait connu et reconnu.
Inversement, en phase Din – comme c’est le cas pour la phase qui vient à présent, c’est le sionisme qui est diabolisé alors que la dispersion, l’immersion des juifs au sein de la Société ne ferait pas problème. Chacun de ces courants fait probléme, à tour de rôle.
Mais selon nous, le monde juif est constitué de deux populations de nature différente. Les Juifs d’en haut, notamment dans la sphère publique, seront visés par les mesures « antijuives » du régime de Vichy, bien plus que ceux d’en bas qui ne constituent pas un enjeu significatif. Dans un second temps,( celui de la Solution Finale), en 1942, avec la Rafle du Vel d’Hiv, ce sont les juifs du tout venant qui seront cette fois massivement interpellés et déportés, avec l’aide des fiches de l’administration, ce qui conduira au port obligatoire de l’étoile jaune;.
Historiquement, un tel clivage se manifeste à la mort du roi Salomon et la création d’un Etat d’Israel, face à un Etat de Judah (autour du temple de jérusalem), la Bible est traversé par un tel clivage( on se reportera à nos études à ce sujet) En fait, la création de l’Etat du Nord est le fait de populations locales vassalisées par les envahisseurs, instaurant une aristocratie, à l’instar de ce qui se produira au XIe siècle après JC lors de la conquête normand. On dira que les Juifs »Din » sont les descendants génétiques d’une telle aristocratie, habituée à être minoritaire et toutefois dominante. C’est dire que le sionisme n’attirera finalement, durablement (et non pas ponctuellement) que les descendants des populations colonisées des millénaires plus tôt. On doit également inclure dans ce groupe les habitués des synagogues. En 1978, nous avions fondé le CERIJ (Cercle d’Etude et de Recherche sur l’Identité Juive) en opposition au grégarisme tant synagogal qu’israélien, à la suite d’une expérience dAlya entre 1968 et 1969. Il est vain de rechercher à voire une entité d’un seul tenant dans le monde juif et d’ailleurs, il y a une forme d’incompréhension entre ces deux volets dont les tenants se rejettent volontiers la responsabilité des affres de la condition/identité juive. En juin 1967, De Gaulle dressera un portrait sévére des Juifs en tant que peuple, au lendemain de la Guerre des Six Jours, alors que l’on est en phase Din, peu favorable à un tel rassemblement . Au lendemain de la Révolution Française, Clermont Tonnerre rejettera l’idée d’une « nation » juive alors qu’il accueillera les Juifs en tant que citoyens à part entière.
)jacques halbronn Histoire juive. Le paradoxe des « Enfants », de la ‘Maison » d’Israel
A la mémoire d’Edouard Gourévitch, aumonier au Lycée Pasteur, Neuilly (92 qui le prépara à sa Bar Mitzwa en 1960, célébrée à la synagogue de cette ville.
wikipedia
« Édouard Gourévitch est apprécié des élèves de ses cours d’instruction religieuse – dont Jacques Halbronn, au lycée Pasteur – qui lui manifestent une fidélité jusqu’à la fin de sa vie. Le rabbin Jérôme Cahen lui succède à ce poste.
En quoi consiste ce « paradoxe »? alors que l’on peut lire qu’au VIIIe siècle avant JC, le Royaume d’Israel fut détrui, force, néanmoins, est de constater que la référence aux « enfants d’Israel » ou à la Maison d’Israel aura perduré jusqu’à nos jours , cette référence figurant dans le livre de l’Exode, dans le « Shema israel », dans le Kadish en araméen,,dans les Evangiles (« brebis perdues de la Maison d’Israel » sans parler du Livre du prophéte Amos (cf Anthonioz (Stéphanie) » Le livre d’Amos La fin du royaume d’Israël ou la narration d’une autodestruction »in Collectif :Les Récits de destruction en Méditerranée orientale ancienne) Revenons à Exode iii, quand Moïse rencontre le peuple de Yahwé dans la région de Madian/, la situation est plus nette que pour Abraham auquel est promis une belle progéniture à venir.Genèse 17
…4Voici mon alliance, que je fais avec toi. Tu deviendras père d’une multitude de nations. 5On ne t’appellera plus Abram; mais ton nom sera Abraham, car je te rends père d’une multitude de nations. 6Je te rendrai fécond à l’infini, je ferai de toi des nations; et des rois sortiront de toi.… D’un côté; on a un peuple virtuel, au futur, de l’autre, un peuple déjà constitué certainement depuis déjà quelque temps(« . Cela n’est pas sans faire penser à ce qui se produira en Palestine avec l’annonce virtuelle d’un Foyer Juif » (A national hjome for the Jewish People) encore dans les limbes (1917 Déclaration Balfour, mandat de la SDN accordé aux Britanniques) On a déjà signalé à quel point la Shoah n’avait pas eu affaire – à la différence de l’Arménie – à un peuple installé dans un territoire depuis des générations. Encore de nos jours, les immigrés nord africains en France imaginent que les Juifs qui s’y trouvent ont des aieux « là bas » et parlent tous plus ou moins l’hébreu. Qu’est ce qui a donc pu se passer pour que l’on en soit arrivé là avec cette omniprésence du mot Israel, tant à la synagogue actuellement, dans les livres de prière que pour nommer le nouvel Etat en 1948? Il est vrai que le Livre de la Genése entretient l’idée des 12 tribus, descendants de Jacob, fils d’Isaac et petit fils d’Abraham, ce qui est une fiction si l’on admet que la révolte contre la maison de David émanait de populations asservies. Il y a là décidément l’élaboration d’un narratif en décalage avec les Livres des Prophétes, lesquels évoquent fréquemment le schisme d’après la mort de Salomon. Notons qu’à la synagogue, les rouleaux de la Torah ne concernent que le Pentateuque, même si l’on y greffe (haftarah) quelques passages des livres dits prophétiques. Il y a bien là, quoi qu’il en soit, un fait accompli qui n’aura guère de nos jours suscité de protestations. Mais n’est-il pas temps, en cette phase « Din » (selon notre Astrologie Septennale) de signaler un tel état de choses, fortement syncrétique?
En fait, il semble bien que dans les synagogues se fasse surtout entendre la voix des colonisés, des asservis, des occupés – les gens d’Israel- (« Nos ancêtres les Gaulois ») qui tentent de s’intégrer, de s’imprégner; en s’inventant une fausse filiation faisant remonter à Jacob alias Israel les 12 tribus.
1 Jacob fit venir ses fils et il dit: « Rassemblez-vous, je veux vous révéler ce qui vous arrivera dans la suite des jours.
ב הִקָּבְצוּ וְשִׁמְעוּ, בְּנֵי יַעֲקֹב; וְשִׁמְעוּ, אֶל-יִשְׂרָאֵל אֲבִיכֶם.
2 Pressez-vous pour écouter, enfants de Jacob, pour écouter Israël votre Père.
alors que les Juifs ‘laïcs » seraient du côté des colonisateurs, à l’instar d’un Moïse. Le texte ci dessous, issu du Cinquiéme livre -ajouté »- du Pentateuque – s’adresse aux colonisateurs.
Deutéronome VI :10-12
« Tu posséderas de grandes et bonnes villes que tu n’as pas construites, des maisons pleines de toutes sortes de biens et que tu n’as pas remplies, des citernes que tu n’as pas creusées, des vignes et des oliviers que tu n’as pas plantés. »
jacques halbronn Dominique de Villepin. Entre 2003 et 2025 selon l’Astrologie Septenale.
La cote de Villepin suit celle de Saturne entrant en phase Din(0° des signes cardinaux). Saturne, sortant des Poissons (phase Hessed) passe en bélier ( phase Din) L’écart de 22 ans entre les dates de 2003 et 2025 correspond à 3 fois 7 ans (21) Tous les 7 ans, la même configuration, donc le même climat (Zeitgeist) se représente avec au bout de 3 ans et demi un processus inverse (Saturne à 45° des axes équinoxiaux/solsticaux)
Il est normal que le retour de Saturne en phase « Din » lui soit favorable et le conduise à un positionnement comparable quant à l’analyse politique. Cela montre que les sondages d’opinion constituent une référence plus fiable que les élections.(cf nos exposés autour de cette dialectique) On notera que le temps « Din » n’est pas celui de l’amitié, du copinage, de la complaisance à tout prix et quand ce temps arrive, au bout de trois ans et demi (1260 jours), on ne fait plus de cadeaux, on ne laisse plus rien passer. Inversement, quand le temps Din s’achève, c’est l’heure des complots, des complicités, de la vengeance. Il serait bon d’étudier comment Villepin aura vécu la phase Hessed qui suivra la phase Din.Cela débute avec Saturne passant à 15° du signe fixe du taureau. Villepin sera balayé par Sarkozy lors de l’élection présidentielle de 2007, ouvrant une phase Hessed, ce qui fait de Nicolas Sarkozy un personnage « Hessed » aux amitiés parfois sulfureuses.
Une démocratie et une dictature. Une campagne présidentielle et de l’argent noir. Une guerre et des morts. « Personne n’y comprend rien », se rassure Nicolas Sarkozy au sujet de ses liens avec le colonel Kadhafi. Alors que s’ouvre le procès de l’affaire des financements libyens, voici le film qui va enfin vous permettre de tout comprendre à l’un des scandales les plus retentissants de la Ve République. » En 2012, avec Saturne en phase Din, Sarkozy sera battu par François Hollande aux élections présidentielles.
sur le web
« Dominique de Villepin à nouveau en tête du classement des personnalités politiques préférées Dominique de Villepin a gagné du terrain après une série ses déclarations sur la guerre à Gaza et la crise entre Paris et Alger. Il est soutenu à gauche, avec 55 % de bonnes opinions – dont 65 % à La France insoumise – comme à droite (55 %), notamment dans son ancienne famille politique Les Républicains (70 %). Image auteur par défaut Par AFP Publié: 13 Mai 2025 à 11h59
Selon une étude Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio publiée ce lundi, l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin est de nouveau ce mois-ci la personnalité politique préférée des Français devant Edouard Philippe.
Il
Discours de Dominique de Villepin à l’ONU Dominique de Villepin prononçant son discours le 14 février 2003 devant le Conseil de sécurité des Nations unies. PrésentationPrononcé le 14 février 2003 Autres informationsAuteur Dominique de Villepin
Le discours de Dominique de Villepin aux Nations unies est un discours prononcé par le ministre des Affaires étrangères de la République française, Dominique de Villepin, le 14 février 2003, devant le Conseil de sécurité des Nations unies, au siège des Nations unies à New York. Il y exprime l’opposition de son pays face à une éventuelle intervention militaire alliée contre l’Irak. Contexte Conflit latent avec l’Irak
En 2002, à la suite des attentats du 11 septembre 2001, les États-Unis accusent l’Irak de détenir des armes de destruction massive. La France cherche dans un premier temps à éviter un conflit diplomatique avec les États-Unis et soutient donc la résolution 1441 du Conseil de sécurité des Nations unies, qui autorise l’ONU à envoyer des inspecteurs en Irak[1]. Cependant, George W. Bush, président des États-Unis, et Tony Blair, premier ministre du Royaume-Uni, affirment sur la scène internationale que l’Irak empêche les inspections et commencent à évoquer une intervention militaire[1].
L’année 2003 commence sous le signe d’un éloignement franco-américain au sujet de l’Irak, ainsi que d’un rapprochement diplomatique entre la France, l’Allemagne et la Russie, qui sont opposés à une éventuelle guerre[1],[2]. Le président français, Jacques Chirac, craint qu’une intervention ne déstabilise la région et qu’« une multitude de mini-Ben Laden soit créée », prophétisant sans le savoir l’émergence de Daech. Conflit diplomatique avec les États-Unis Colin Powell tenant une fiole d’anthrax lors de la session du 5 février 2003 du Conseil de sécurité, prétendant que l’Irak est susceptible de posséder des armes de destruction massive.
Le 5 février, Colin Powell, secrétaire d’État des États-Unis, réussit à remporter l’adhésion du Conseil de sécurité en montrant au Conseil et à la télévision une fiole, prétendue preuve de la possession par l’Irak d’armes biochimiques[3]. Le discours de Dominique de Villepin doit aussi répondre au secrétaire américain de la Défense, Donald Rumsfeld, qui a déclaré en janvier que la France et l’Allemagne relèvent désormais de « la vieille Europe », par opposition à une Europe de l’Est émergente constituant « la nouvelle Europe »[4].
Le président Jacques Chirac décide d’envoyer son ministre des Affaires étrangères, Dominique de Villepin, pour défendre la position de la France. Discours Rédaction
Le discours est préparé en France par le ministre et son équipe, dont notamment Bruno Le Maire[5]. Il est revu et corrigé par le président[6]. Son contenu n’est pas communiqué aux alliés de la France afin de provoquer un effet de surprise[7]. Il est retravaillé jusqu’à la dernière minute[8]. Gérard Araud écrit au sujet de la rédaction du discours que « Des allers-retours sans fin entre le rédacteur et le ministre, des dossiers qui volent, des bouleversements de dernière minute [...] ; en un mot, l’enfer, mais un enfer qui pouvait déboucher sur un grand discours »[9].
Dominique de Villepin s’exprime après Hans Blix (ONU), Mohamed el-Baradei (AIEA), Farouk el-Chareh (Syrie), et avant Soledad Alvear (Chili), Tang Jiaxuan (Chine), Ana Palacio (Espagne), Igor Ivanov (Russie), Jack Straw (Royaume-Uni) et Colin Powell[10](États-Unis). Texte du discours
Le texte in extenso se trouve sur plusieurs sites Internet[11]. Sa conclusion est le passage le plus fréquemment cité[12] :
« Dans ce temple des Nations Unies, nous sommes les gardiens d’un idéal, nous sommes les gardiens d’une conscience. La lourde responsabilité et l’immense honneur qui sont les nôtres doivent nous conduire à donner la priorité au désarmement dans la paix.
Et c’est un vieux pays, la France, d’un vieux continent comme le mien, l’Europe, qui vous le dit aujourd’hui, qui a connu les guerres, l’occupation, la barbarie. Un pays qui n’oublie pas et qui sait tout ce qu’il doit aux combattants de la liberté venus d’Amérique et d’ailleurs. Et qui pourtant n’a cessé de se tenir debout face à l’Histoire et devant les hommes. Fidèle à ses valeurs, il veut agir résolument avec tous les membres de la communauté internationale. Il croit en notre capacité à construire ensemble un monde meilleur. »
Analyse Refus d’une guerre et préférence pour l’inspection
Dominique de Villepin exprime l’opposition catégorique de la France face à une éventuelle intervention militaire alliée contre l’Irak en l’état actuel de la situation. Il met en avant les résultats positifs des inspections des émissaires de l’ONU[4]. Remise en question des affirmations américaines
Villepin remet également en question l’affirmation de Powell selon laquelle il existerait un lien entre le régime irakien et Al-Qaïda, en se fondant sur les sources de la DGSE[13].
Quelques semaines plus tard, la guerre d’Irak est néanmoins déclenchée, emmenée par les États-Unis, sans aval de l’ONU. Postérité RéactionsAccueil positif
Le discours est applaudi par son auditoire, fait rare dans l’enceinte du Conseil de sécurité[2]. Pour certains auteurs, il s’agit du premier applaudissement dans cette enceinte où il est d’ordinaire de coutume de ne pas applaudir[14].
L’historien Henri Amouroux remarque que l’insistance de Dominique de Villepin sur le fait que « personne ne peut [...] affirmer aujourd’hui que le chemin de la guerre sera plus court que celui des inspections » sera vérifié dans les années suivantes, le conflit en Irak s’enlisant[15].
Dans son ouvrage How the French Think, Sudhir Hazareesingh souligne le caractère d’après lui « très français » de ce discours. Il est construit sur un rythme d’opposition binaire entre conflit et harmonie, intérêt privé et intérêt général, morale politique et politique de puissance ; il utilise des valeurs considérées comme universelles comme base d’une réflexion politique[16]. Tensions franco-américaines
Le discours provoque des tensions entre la France et les alliés des États-Unis[3]. Il accentue la rupture entre la France et le Département d’État des États-Unis, courroucé et inquiet par la revitalisation du camp opposé à la guerre par le discours de Villepin[17]. Il tend considérablement les relations entre Powell et Villepin, qui ne se rétabliront que l’année suivante[18],[19]. Afin de se venger de l’affront français, les États-Unis s’opposent à la nomination de Français dans les instances internationales et cessent d’inviter le chef d’État-major français à certaines réunions[9]. Article connexe
: Ressentiment antifrançais aux États-Unis#Guerre d’Irak.
Le discours lance une vague de francophobie aux États-Unis, alimentée par des ouvrages écrits par des conservateurs américains, tel que The French Betrayal of America en 2005[20]. Afin de réduire les tensions entre les deux alliés et faire comprendre aux Américains sa position, Jacques Chirac donnera ensuite une interview au Time[6]. Un moment marquant de la diplomatie française
Les chercheurs en relations internationales Jeremy Shapiro et Philip Gordon voient dans le discours de Villepin l’influence gaulliste du président Jacques Chirac[21]. Dans la culture populaire
Ce discours est considéré comme un moment fort de la politique étrangère de la France et apparaît à ce titre dans la culture populaire française. En 2005, Arnaud Fleurent-Didier le met en musique et le publie en ligne[22],[23]. La bande dessinée Quai d’Orsay (tome 2, 2011) et le film qui en est adapté (2013) y font aussi référence[24]. Il apparaît également dans des manuels de culture générale[4].
Dans son roman Les Saisons inversées paru en 2018, le diplomate français Renaud Salins Lyautey en donne une lecture plus critique :
« [...] En contraignant un membre permanent du Conseil de sécurité à frapper en dehors de toute légalité internationale, nous [la France] allions créer un périlleux précédent. Il [Pierre Messand, diplomate français fictif du roman] se montrait particulièrement inquiet des leçons qu’en tirerait à l’avenir, par exemple, un autre membre permanent comme la Russie.
[...] Personne n’a pu dissuader un membre permanent du Conseil de sécurité de s’en prendre à un petit pays. L’ONU a démontré sa totale impuissance. C’est un échec absolu du système de sécurité collective mis en place en 1945.
[...] Turpin admit intérieurement qu’il n’avait jamais envisagé l’affaire irakienne sous cet angle. Jusqu’à cet instant, il avait toujours fait sienne l’idée répandue selon laquelle la France avait traité ce dossier avec panache et perspicacité. »
Notes et références
(en) Charles Sowerwine, France since 1870, Palgrave, 2018 (ISBN 978-1-137-40611-8, lire en ligne [archive]). Frédéric Bozo, Histoire secrète de la crise irakienne : La France, les États-Unis et l’Irak, 1991–2003, Place des éditeurs, 2013 (ISBN 978-2-262-04353-7, lire en ligne [archive]). Leah Pisar, Orage sur l’Atlantique: La France, les Etats-Unis face à l’Irak, Fayard, 2010 (ISBN 978-2-213-66064-6, lire en ligne [archive]). Paul Saegaert, Une année de culture générale aux toilettes, Leduc.s Humour, 2015 (ISBN 978-2-36704-084-4, lire en ligne [archive]). Olivier Biscaye, Bruno Le Maire, l’insoumis, Éditions du moment, 2015 (ISBN 978-2-35417-438-5, lire en ligne [archive]). (en) Jacques Chirac, My Life in Politics, St. Martin’s Publishing Group, 2012 (ISBN 978-1-137-08803-1, lire en ligne [archive]). (en) Jeffrey Eric Jenkins, The Best Plays Theater Yearbook, Limelight Editions, 2007 (ISBN 978-0-87910-346-0, lire en ligne [archive]). Thierry Desjardins, Villepin, le cauchemar de Sarkozy, Fayard, 2012 (ISBN 978-2-213-66469-9, lire en ligne [archive]). Gérard Araud, Passeport diplomatique : trente-sept ans au Quai d’Orsay, 2019 (ISBN 978-2-246-82111-3). Françoise Boursin, « Dominique de Villepin et Colin Powell : Deux rhétoriques face à face », Communication et Langages, no 145, 2005, p. 95–106 (DOI 10.3406/colan.2005.3361). Sophie Guerrier, « Le discours de Villepin sur l’Irak à l’ONU », Le Figaro, 8 avril 2014 (lire en ligne [archive], consulté le 27 janvier 2022). « Citation de Dominique de Villepin [archive] », sur qqcitations.com (consulté le 27 janvier 2022). Jeanne-Marie Barbéris, « Les moments, les lieux et leurs hommes : la construction d’un idiolecte en discours oral », Cahiers de praxématique, no 44, 2005, p. 143–168 (DOI 10.4000/praxematique.1680, lire en ligne [archive]) : analyse des discours de Dominique de Villepin, de Colin Powell et de Jack Straw.
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(en) FilmInk Digital July 2014 v9.31: Australia’s Best Movie Magazine, FilmInk, 2014 (lire en ligne [archive])
Jacques halbronn Le démarcage de l’un au pluriel dans le judaisme: Shabbat, Pessah. La planéte Saturne(Shabtay)
Nois voudrions montrer que le judaisme entend dans ses traditions, mettre en évidence le carctère particulier d’un éléments appartenant à un ensemble. C’est particulièrement sensible lors de la fête de Pessah, où l’on insiste sur la séparation entre une certaine nuit (Layla) et les autres tout comme entre un certain jour (Yom) et les autres
Ma Nichtana – מה נשתנה Chant de Pessa’h pour enfants
Ma Nichatana מה נשתנה, qu’est-ce qui a changé ? Magnifique chanson de Pessah re-visitée par Eden Alene qui avait représenté Israël à l’Eurovision en 2021 Ici a cours D’hebreu vous l’offre avec les paroles et la traduction pour ne pas en manquer un mot ! פסח שמח
Chébékhol haleiloth, eïn anou matbiline, afilou paam é’hath
Car totues les nuits de l’anée, nous ne trrempons pas les aliments que nous mangeons même une seule fois
Et le sixième jour : “Etaient accomplis les cieux et la terre et tout ce qu’ils renferment. Dieu acheva au septième jour Son ouvrage et Il cessa au septième jour tout le travail qu’Il avait fait. Et Dieu bénit le septième jour et le sanctifia, car en ce jour Il cessa Son œuvre pour la laisser en devenir” (Genèse 2:1-3).
Hagada de Pessah
« Béni sois-Tu Eternel notre Dieu, qui as distingué le sacré du profane, la lumière des ténèbres, le Chabbat des six autres jours de la semaine, la sanctification du Chabbat et celle du jour de Fête. Et comme Tu as distingué et sanctifié le Chabbat des autres jours de la semaine, Tu as distingué et sanctifié le peuple d’Israël. Béni sois-Tu Eternel notre Dieu, qui distingues le sacré du Chabbat du sacré de la Fête. »
Or, en astrologie septénnale, on refuse l’idée que toutes les planétes du systéme solaire auraient à servir à la pratique de l’astrologie – ce qui conduit d’ailleurs à valider le « thème natal », constitué d’un tel ensemble. Il n’y a que Saturne, pour nous, qui doit servir à l’Astrologie à l’exclusion/exception des autres astres.
jacques halbronn Le hassidisme à l’aune de l’astrologie septénale
Notre Humanité est structurellement marquée par la dualité, à tous points de vue tant dans l’espace que dans le temps et il importe que ces deux plans s’ajustent heureusement, harmonieusement, ce qui implique d’accepter une certaine dimension cyclique, une alternance entre les Sefiroth Hessed et Din au centre de l’Arbre Séphirotique lequel comporte deux branches de nature opposée. On retrouve dans le judaïsme deux courants dont l’un justement a pris le nom de Hessed. Il semble que cette dualité se retrouve dans les Evangiles.(Pharisiens, Saducéens)
sur le web
La naissance du hassidisme, Mystique, rituel et société (XVIII°- XIX°siècle) – Jean Baumgarten
« Jean Baumgarten réalise dans cet ouvrage la première synthèse en français sur le mouvement hassidique, qu’il étudie dans sa totalité: de sa dimension théologique à son organisation sociale, des coutumes religieuses aux techniques mystiques. Le livre permet ainsi de situer le hassidisme dans l’histoire de la mystique juive, d’en recomposer la genèse mais aussi de cerner la nouveauté doctrinale des premiers maîtres qui, notamment dans la prière extatique, la danse, le chant, cherchent à provoquer l’union du corps avec le monde divin. »
Sur le web
Différences entre ‘Hassidim & Mitnagdim
Rédigé le Mardi 13 Décembre 2022
La question de Aaron B.
Bonjour Rav,
Quelles sont les différences entre les ‘Hassidim et les Mitnagdim ?
La réponse de Rav Gabriel DAYAN
Bonjour,
Les ‘Hassidim et les Mitnagdim [opposants] sont tous des bons juifs extraordinaires et ils suivent la même Torah.
A ce sujet, il n’y a pas de discussion.
Lorsque le ‘Hassidisme a vu le jour, les grands de l’époque ont eu une peur bleue. Ils virent dans ce courant, une « réforme » de la religion, due aux innovations allant, selon eux, trop loin [selon les Mitnagdim : étude la Torah délaissée au profit d'autres pratiques, insistance démesurée sur la relation directe avec D., risques de déviation vers l'hérésie dus à la "trop grande importance" accordée au Tsadik].
Cette manière de réagir ne nous est pas étrangère.
Lorsque les premières éditions du Michné Torah écrit par le Rambam ont vu le jour, ses opposants brulèrent de nombreux volumes face à tous, afin de bien montrer qu’il ne faut pas étudier dans ses livres.
Lorsque les premières Matsot fabriquées à la machine furent commercialisées, les grands de l’époque interdirent de les consommer sous peine d’être accusé de consommation de ‘Hamets.
De nos jours, le Rambam est considéré comme l’un des plus grands décisionnaires et les Matsot faites à la machine bénéficient de la surveillance des plus grandes autorités rabbiniques mondiales.
Depuis le 19ème siècle, le ‘Hassidisme est de plus en plus accepté et nombreux sont ceux qui ne voient plus en lui une rupture avec la tradition, bien au contraire. »
Opposition au hassidisme
par DavidEncaoua
Allan NADLER, The Faith Of The Mithnagdim: Rabbinic Responses to Hassidic Rapture/, The John Hopkins University Press, 1997.
Vus de l’extérieur et superficiellement, les Juifs – qu’on désigne sous le nom générique d’ « orthodoxes » – qui aspirent à pratiquer intégralement les commandements de la Torah et à s’y conformer dans tous ses rituels, semblent former un monde compact, homogène, unanime, voire monolithique. Un regard plus serein et attentif révèle rapidement que cette vision unitaire est totalement fallacieuse : les divergences, les fractures, les oppositions, voire les conflits abondent, diversement motivés. Si la Torah, comme l’indique son étymologie, désigne un chemin, la question de l’itinéraire à choisir ne cesse de se poser. Un des mérites de l’ouvrage d’Allan Nadler, La foi des Mitnagdim, Réponses Rabbiniques à l’enthousiasme hassidique est d’éclairer un conflit majeur né au XVIIIème siècle au sein des communautés juives observantes d’Europe de l’Est. Il traite de la querelle qui a opposé les représentants de deux grands courants de pensée juive : les ‘Hassidim et les Mitnagdim. »
Astrologiquement, nous pensons qu’il existe une alternance, chaque période couvrant 1260 jours (cf Livre de Daniel) avec un contre pied quand on passe d’un temps à un autre, selon la présence de Saturne sur les axes équinoxiaux/solsticiaux ou au contraire à 45° de ces axes.(chaque quadrant couvrant 90°) Selon nous, la phase Hessed est un rejet prométhéen du plan divin et la phase Din son respect et une volonté de rigueur faisant suite à un certain relâchement hessédien..
web »Selon les Mitnagdim, le hassidisme délaisse l’étude de la Torah » au profit d’autres pratiques, insistance démesurée sur la relation directe avec D., risques de déviation vers l’hérésie dus à la « trop grande importance » accordée au Tsadik ». La prière est privilégiée par la Hassidouth alors que le courant « Din » s’en tient à un plan établi une fois pour toutes et qui n’exige aucune intervention subséquente.
JHB 09 05 25
jacques halbronn La devise républicaine au prisme de l’Astrologie Septénnale.
wikipedia « La triade Liberté, Égalité, Fraternité est la devise officielle de la République française depuis l’article 4 de la Constitution de 1848 de la IIe République, inscrite à partir du centenaire de la prise de la Bastille qui devient fête nationale sur les frontons des édifices publics sous la IIIe République et reprise dans l’article 2 de la Constitution de 1958 de la Ve République. »
Or, tant en 1789 qu’en 1848, Saturne se trouvera dans le signe mutable des Poissons (cf notre Astrologie selon Saturne, 1994-95). Cette devise refléte un certain état d’esprit typique de la sephira Hessed (cf notre étude à ce sujet) bien caractérisée par la notion de Fraternité mais aussi de Liberté, aux tonalités féminines. Nos travaux sur les femmes viennent confirmer un tel écho.L’éthique féminine est typiquement marquée par une quéte , un impératif, d’harmonie, d’entente, de grâce, de pitié, (compassion)de tolèrance, de miséricorde, de libérté-libèration et ce, à n’importe quel prix. « Il est interdit d’interdire ». On refuse les contraintes. On a le droit de dire ce qu’on veut. A l’opposé, la bête noire serait la sephira Din (ou Guévourah) qui fait primer une certaine rigueur (Dura lex sed lex), le respect, l’observance, de régles communes, le maintien d’une discipline, le sens du devoir. En fait, les valeurs « républicaines » en question sont bel et bien marquées par l’idée d’entraide, de solidarité, de budget « social » pesant lourd sur l’économie d’un pays comme la France, générateur d’endettement démesuré, à la longue. Au prisme de l’astrologie septennale, on doit donc s’attendre avec le passage de Saturne des poissons vers le bélier – donc du mutable vers le cardinal – à un certain désenchantement pour une période de 3 ans et demi. En effet, au bout de ces 1260 jours, chacune des phases est vouée, en son temps, à passer le relais. C’est dire que cette « triade » -Liberté, Egalité, Fraternité » ne reflétera que la moitié du processus global, ce qui risque de venir fausser le jeu politique fondé sur l’alternance.. On décalera tout de 45°. Sous vichy, la devise était travail famille, patrie. ce qui correspond à l’esprit de la phase cardinale de Saturne/ web La révolution nationale Le régime de Vichy entreprend une rénovation morale et patriotique du pays qui se traduit par un retour aux valeurs traditionnelles. La devise officielle de cette révolution nationale est « Travail, famille, patrie ». Vichy réorganise le travail en corporations (comme sous l’Ancien régime). Dès 1941, la Charte du travail affirme les bases d’une organisation corporatiste et institue des ordres (encore en vigueur aujourd’hui) pour les professions libérales : médecins, notaires, architectes. Dans l’optique d’un retour aux traditions, l’artisanat et les formes traditionnelles de la vie économiques en général sont mis en valeur. Ainsi le travail de la terre est remis au goût du jour et pour encourager le retour à la terre, le gouvernement recourt au slogan : « la terre ne ment pas ». Au lendemain de la Seconde guerre Mondiale, les pièces portant cette devise ne seront pas immédiatement retirées. *
Il conviendra d’établir une typologie séfirotique. Si Hessed correspond plus au féminin et Din au masculin, cela signifie – par delà la question de l’homosexualité – qu’il y a lieu de distinguer astrologiquement les personnes portées par la première phase du cycle de 7 ans (qui va du début d’un signe cardinal au milieu d’un signe fixe) et celles portées par la phase seconde (qui va du milieu d’un signe fixe au tout début d’un signe cardinal selon le processus saturnien, soit deux périodes de 3 ans et demi, ce qui justifie que dans le judaisme on ait deux débuts d’années séparés de 6 mois.(Pessah, au printemps) et Rosh Hashana, à l’automne)
w51 1/11 p. 329-332« La Tour de Garde » annonce le Royaume de Jéhovah 1951 Témoins de Jéhovah
“ Un temps, des temps et la moitié d’un temps ”
1. Quels textes des Écritures nous aident à déterminer la signification d’“ un temps ” et pourquoi cela ne pouvait-il se rapporter à une période de 360 ans ?
IL est admis qu’un “ temps ” se rapporte à une année. Cela signifie donc “ un an, deux ans et la moitié d’un an ”, au total trois ans et demi. On confirme cette manière de calculer un “ temps ” par l’emploi inspiré de l’expression de l’Apocalypse 12:6 : “ Mille deux cent soixante jours ” qui, selon la méthode biblique de calcul, équivalent à trois ans et demi. L’Apocalypse 11:2 parle aussi de la “ ville sainte ” foulée aux pieds pendant quarante-deux mois. Dans le passé, les exégètes ont calculé cette période sur la base d’un an pour un jour, ce qui faisait 1 260 ans. Il n’y a cependant aucune raison valable pour faire cette conclusion ; ces prodiges ne peuvent se produire qu’après 1914, au cours de notre génération. Il est scriptural et juste de comprendre par “ un temps, des temps et la moitié d’un temps ” une période de 1 260 jours littéraux, soit trois ans et demi. »
jacques halbronn Sociologie . L’identité juive est plurielle et diversifiée.
Cette identité ( cf la création du CERIJ Cercle d’Etude et de Recherche sur l’Identité Juive en 1978) souffre de certains rapprochements. On pense notamment au pseudo paralléle entre juifs et arabes. D’aucuns s’imaginent que ces deux « populations » entretiennent le meme rapport à la langue. Or, il n’en est rien et un tel propos est tout à fait anachronique; Les Juifs n’ont pas des grands parents hébréophones et ce sont les petits enfants qui connaissent mieux l’hébreu que leurs aieux, s’ils ont passé quelque temps en Israel; La fréquentation de la synaogue, quant à elle, de confère qu’un vernis superficiel se réduisant au déchiffrement de textes (vocalisés) dont le contenu n’est pas appréhendé directement et en profondeur par les locuteurs; Quant à d’autres aspects identitaires, ils vont prendre les formes les plus variées, tant au niveau de la langue que du milieu social. Savoir que telle personne est « juive », d’origine juive, ne veut rien dire, tant les cas de figure sont multiples. Les Juifs font partie de l’ensemble « blanc » (caucasien) et ne se distinguent qu’artificiellement, comme avec l’Etoile Jaune, sous l’Occupation. Le port même de celle-ci prouve que ce n’est pas par le faciés qu’on peut les reconnaitre, si ce n’est du fait d’un certain mimétisme.
Armand Levy et Jacques halbronn L’élection de Doris Bensimon à la prséidence de Liberté du Judaisme
Il est bon de rappeler que c »est grâce à nous, que Doris Bensimon était devenue Présidente de LDJ, ce qui ne semble pas avoir été rappelé. à l’occasion de son décés. Elie Garbarz nous avait fait élire Secrétaire général de LDJ au vu de notre activité au sein de la communauté judaico-laïque et c’et à ce titre que nous avions mis en avant, en 1994, le nom de Doris Bensimon, que nous connaissions depuis les années 70, aux Langues O: ce qui avait d’ailleurs donné lieu à une coopération entre LDJ et le CERIJ (comme le signale Armand Lévy sans citer notre nom) avec notamment un Colloque en commun à la clef.
cf sur la plateforme SCRIBD Cahiers Du Cerij Dir – Jacques Halbronn
« Collection de cahiers entre 1990 et 2006 dans le cadre des activités du CERIJ, le Centre d’Etude et de Recherche sur l’Identité Juive, fondé en 1978″
Ci dessous , extraits d’une lettre que Doris nous avait adressé en remerciement.
Lettre du 11 décembre 1994 Extraits:
,Doris Bensimon Cher Jacques Halbronn Merci pour mon élection comme présidente de LDJ. Dès mon retour d’srael le 22/12§94 je vous passerai un coup de fil pour fixer une rencontre qui nous permettra de mieux nous connaitre personnellement et de prépare l’ aG du 8. 02. 95. A bientôt Très cordialement DB
Armand Lévy in Recueil de témoignages!
« Doris Bensimon, Présidente de L.D.J. Un jour de février 1995, Doris m’appelle et m’annonce qu’elle vient d’être élue Présidente de l’Association, qu’une équipe nouvelle a été créée et qu’elle souhaitait me confier la fonction de trésorier. Bien que n’étant pas ami des chiffres, j’acceptai cette proposition. Je la connaissais depuis peu. Je venais de finir un manuscrit sur les juifs marocains et lui avais envoyé préalablement des extraits. J’en profitai pour lui demander d’en faire la préface. Elle accepta spontanément et me demanda de venir chez elle. Elle me reçut avec simplicité et gentillesse, me parlant de l’intérêt qu’elle portait au judaïsme marocain. Elle avait passé une année à Fès comme jeune enseignante dans un lycée. L’entretien fut chaleureux. Elle alla me chercher des rafraichissements et des gâteaux secs. Si je décris ce dernier point, c’est que tout du long de ces années de travail en commun avec mes collègues de Bureau et du CA, toutes les réunions se terminaient par des collations, sucreries ou fromages. Il en était de même lors de la participation à l’envoi de la Lettre aux abonnés qui comprenait quelques personnes, sa femme de ménage et son mari et l’un ou l’autre d’entre nous. Pour avoir une vue globale des différentes activités contenues dans cette Lettre, on retrouve des conférences dont le thème avait été préalablement réfléchi entre nous, une rubrique débat centrée plus précisément sur les notions d’identités plurielles et la transmission, le coin des livres où était prévu un commentaire sur les livres parus, enfin une rubrique sur les randonnées et les visites de musées ou de rues dans Paris. Quelques années plus tard, on ajoutait des réunions portant sur la commémoration laïque des fêtes juives de Pessah, Rosh Hachana ou Chavouot. A ces occasions, on se réunissait pour un repas de fête. Nous avions dans ces années- là effectué des voyages, notamment à Strasbourg, accueillis par l’Association Vladimir Rabi. Un colloque avait été également organisé par L.D.J. en 1996 sur la Judaïcité française, les migrations juives en France et les Juifs de France dans l’Europe. Notre partenaire à ce colloque était le Cerij. Par la suite des colloques internationaux ont été organisés à Paris en participation avec l’A.J.H.L.et plus tard à New-York, dont nos amis nous rendirent compte. Doris Bensimon, en nous quittant, nous laisse un héritage culturel, fruit de son expérience et de son engagement de militante juive laïque. Elle a manifesté pour Israël un attachement indéfectible par ses nombreux voyages annuels où elle retrouvait ses amis de toujours. A nous de continuer dans la voie qu’elle nous a tracée. Armand Levy
jacques halbronn adresse à la Maison d’Israel un message astrologique
Selon nous, les gens de la Maison d’Israel auront survécu à la destruction de leur Royaume par les Assyriens. et Jésus bien après avait décidé de s’adresser à eux d’où son périple en Galilée qui se termina par un échec. Cela aboutira à ce que ses partisans aillent prospecter auprès des paiens, qui se feront appeler » Chrétiens ». La maison d’Israel attendait un Messie, prenant la suite de Moïse. Ce Messie serait porteur d’une nouvelle Alliance alors que les Dix Commandements (Exode XX) déllivrés par Moïse étaient qualifiés ( Jérémie XXXI) d’Ancienne Alliance ( problématique reprise dans l’Epitre aux Hébreux dans le « Nouveau Testament ». Dans le Shema Israel, l’on observe un mélange, un flottement entre Ancienne et Nouvelle Alliances. Ce qui est inscrit sur les poteaux n’est pas ce qui l’est dans les coeurs.
Shema!
». Que les paroles que Je t’adresse aujourd’hui soient gravés sur ton coeur. (…) Tu les attacheras en signe sur ta main et elles seront comme fronteaux entre tes yeux. Tu les écriras sur les poteaux de ta maison et à tes portes »
Le Kaddish en araméen, récité chaque semaine, par le public des synagogues invoque l’attente messianique chez les Enfants d’Israel. Il importe de clarifier deux points: d’une part, que ce public est l’héritier spirituel des Enfants d’Israel, d’où sa récitation du « Shema Israel », qu’il a effectivement rejeté Jésus comme le Messie attendu alors que Jésus prétendait correspondre à un tel profil prophétisé. D’autre part, il nous apparait que ce refus était fondé sur l’insuffisance des propositions de Jésus, se prétendant comme le nouveau prophéte annoncé par Moîse. Cette « Nouvelle Alliance » promise, passait, pour Jésus, par le baptéme, ce qui ne faisait pas le poids. Ce n’est pas vers l’eau (Mayim) qu’il fallait s’orienter mais bien vers le Ciel!(Shamayim). Nous avons montré que le Shabbat était lié à la planéte Saturne (Shabtay) et qu’il supplantait les six jours de la semaine. Ce qui est rappelé dans la Hagadah de Pessah, ce qui signifiait que c’est vers Saturne qu’il fallait observer en ses phases successives. Rappelons l’importance accordés à « trois ans et demi », soit la moitié d’une période de 7 ans? Or, la seconde moitié est réputée négative venant dissoudre, dénier ce qu’aura apporté la première moitié.
web
» Un temps, des temps et la moitié d’un temps ”
IL est admis qu’un “ temps ” se rapporte à une année. Cela signifie donc “ un an, deux ans et la moitié d’un an ”, au total trois ans et demi. On confirme cette manière de calculer un “ temps ” par l’emploi inspiré de l’expression de l’Apocalypse 12:6 : “ Mille deux cent soixante jours ” qui, selon la méthode biblique de calcul, équivalent à trois ans et demi. L’Apocalypse 11:2 parle aussi de la “ ville sainte ” foulée aux pieds pendant quarante-deux mois. »
1260, 1290, 1335 jours — Daniel 12:7, 11, 12 (Christian Briem; Traduit de l’allemand « Antworten auf Fragen zu biblischen Themen » = Réponses à des questions sur des thèmes bibliques, Ed. CSV, 2005 — p. 368)
Autrement dit, Jésus n’était pas en mesure de révéler et d’accomplir les vraies lois du plan divin et il usa de faux fuyants. Ces lois sont celles de l’astrologie septénnale, du Shabbat saturnien, célébré à Pessah.
Jérémie XXXI
ה יָמִים בָּאִים, נְאֻם-יְהוָה; וְכָרַתִּי, אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל וְאֶת-בֵּית יְהוּדָה–בְּרִית חֲדָשָׁה.
30 Voici, des jours vont venir, dit le Seigneur, où je conclurai avec la maison d’Israël et la maison de Juda une alliance nouvelle,
31 qui ne sera pas comme l’alliance que j’ai conclue avec leurs pères le jour où je les ai pris par la main pour les tirer du pays d’Egypte, alliance qu’ils ont rompue, eux, alors que je les avais étroitement unis à moi, dit le Seigneur.
32 Mais voici quelle alliance je conclurai avec la maison d’Israël, au terme de cette époque, dit l’Eternel: Je ferai pénétrer ma loi en eux, c’est dans leur coeur que je l’inscrirai; je serai leur Dieu et ils seront mon peuple.
33 Et ils n’auront plus besoin ni les uns ni les autres de s’instruire mutuellement en disant: « Reconnaissez l’Eternel! » Car tous, ils me connaîtront, du plus petit au plus grand, dit l’Eternel, quand j’aurai pardonné leurs fautes et effacé jusqu’au souvenir de leurs péchés.
L’enseignement de Jésus autour du Sabbat était bien trop vague:
sur le web
« Jésus a enseigné que le jour du sabbat a été fait pour notre bien (voir Marc 2:27). L’objectif du sabbat est de nous donner un jour par semaine où nous dirigeons nos pensées et nos actions vers Dieu. Ce n’est pas simplement un jour pour nous reposer de notre travail. C’est un jour sacré pour adorer et vénérer Dieu. »
Il importe donc, à l’avenir, que notre astrologie shabbatique soit enseignée et appliquée dans les synagogues non pas seulement sur une base hebdomadaire de jours mais aussi d’années.