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Les femmes et l’appropriation du masculin

Posté par nofim le 30 septembre 2013

 

Les  femmes  en position d’interprètes et de traductrices

Par  Jacques Halbronn

 

On sait que notre ^propos est de démystifier une certaine idée de la femme, quitte à ce que l’on nous traite de misogyne. L’être signifie que l’on ne veut pas adhérer à une certaine mystique  qui voudrait que les femmes doivent tôt ou tard égaler les hommes voire les dépasser car pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Une telle vision des choses est selon nous due à certaines confusions qu’il importera ici de dénoncer.

 

Nous voudrions aborder ici la question du décalage entre ce que disent  ou écrivent les femmes et ce qui leur correspond réellement. En effet, les femmes sont souvent des « porteuses », ou des « transporteuses » en tant que messagères. C’est notamment le cas des interprètes en musique et des traductrices  dans le domaine littéraire.

Nous avons pu remarquer que ces femmes étaient souvent complétement décalées par rapport à ce qu’elles produisaient comme si ce qui émanait d’elle leur était largement étranger.

Il n’est pas rare en effet qu’une pianiste reconnaisse qu’elle ne serait pas en mesure de composer ou d’improviser, qu’une traductrice semble ne pas être en mesure de produire le moindre texte personnel dans le domaine de sa spécialité. Il y a là un problème de niveau.

On peut ainsi dire que les femmes ne sont  pas marquées  par un certain eudémonisme (cf. Jean Cottraux, A chacun sa créativité. Paris, Odile Jacob  2010) c’est-à-dire  le besoin de créer quelque chose de personnel même si ce n’est pas nécessairement très performant. Il n’est pas nécessaire de réussir pour persévérer, dit-on.

En ce sens, les femmes nous donnent l’impression d’un décalage entre le contenant et le contenu, le médium et le message (MacLuhan). En tant que contenant,, elles peuvent être tentées de contenir, au sens de tenir ensemble les choses les plus diverses en leur conférant quelque  semblant d’unité.  Un contenu suffisamment compact n’a pas besoin de contenant tout comme un signifiant n’a pas forcément besoin d’un signifié, un viande  ne nécessite une « garniture » etc  Les femmes ont la conviction qu’il faut ajouter. Le progrès pour elles dans l’addition, l’enrichissement en quelque sorte. En d’autres termes, le progrès serait une nécessaire aliénation comme s’il ne pouvait émaner de l’intérieur de l’être.

C’est pourquoi le débat est d’emblée faussé. Les femmes se plaignent qu’on les a privé de quelque chose, qu’on ne leur a pas donné, accordé certains droits. Elles ne sont aucunement en train de revendiquer une transformation intérieure. Elles n’envisagent que des changements externes.

Le problème dans les revendications des femmes c’est paradoxalement que cela n’est pas très difficile de les satisfaire. mais que cela relève d’un certain vernis. Elles croient que le fait d’obtenir ce qu’elles désirent suffira à leur bonheur  alors que l’essentiel du travail se situe sur un autre plan. On peut demander à un homme de mieux s’habiller, peut-on demander à une femme de devenir créative, d’apporter à l’Humanité, en tant que personne, une contribution majeure. Ce n’est pas la même échelle. C’est un marché de dupes car les hommes peuvent entendre ce que leur disent les femmes mais l’inverse n’est pas vrai car on est dans une autre dimension que la femme ne peut vivre que sur un mode fantasmatique en situant la création dans la transcendance : ce ne seraient pas les hommes qui leur seraient supérieurs mais les dieux qui  les auraient inspirés. Il faudrait donc demander aux dieux de se tourner vers les femmes. Sans leur aide, les femmes ne parviendront pas à rattraper les hommes, pensent-elles. Elles n’ont donc rien trouvé de mieux que de situer la supériorité masculine dans le  registre du magique, de façon à dépouiller les hommes d’une quelconque légitimité à les dominer. C’est là une forme subtile de castration.  Tout se jouerait donc dans les présents que nous feraient les fées à la naissance. (cf. les contes de fées)

Les relations des femmes avec leurs partenaires ici et maintenant sont ambiguës : elles les « trompent » très facilement sur le plan intellectuel avec  tel ou tel auteur ou compositeur. C’est leur mode d’être polygame alors même qu’elles pourraient s’intéresser à la production de leurs proches. C’est ce que nous avons  appelé une certaine muflerie féminine qui est  au demeurant fort répandue. Cela vaut notamment pour les interprètes de musique de divers compositeurs ou les traductrices de divers auteurs. Pour notre part, nous pensons que le couple implique un respect mutuel entre un homme et une femme et que  la moindre des choses est que la femme soit à l’affut de ce que  « son »’homme va accoucher (maïeutique). Nous employons sciemment ce verbe pour souligner  l’abus consistant à  insister sur la procréation féminine comme si l’on voulait  occulter la créativité masculine et ce d’autant que les femmes sont bien armées pour aider leurs partenaires à accoucher, c’est-à-dire à mener à son terme l’œuvre entreprise. C’est même certainement là que se situe une complémentarité qui ne doit pas être définie comme une domination masculine et en cela il serait bon que les femmes se revalorisent dans leur différence au lieu de convoiter le statut des hommes. Or, l’on se heurte à cet obstacle qui tient au fait que les femmes s’intéressent plus à ce qui se passe  à l’extérieur qu’à l’intérieur d’elles-mêmes, ce qui circonscrit assez bien leurs limites et rend compte d’un certain malthusianisme culturel qui fait qu’elles vivent sur un héritage  du passé et qu’elles sont difficilement en prise avec ce qui est encore en train de se constituer. Elles préférent répartir au mieux les richesses existantes que d’en découvrir de nouvelles.

 

 

 

 

 

Les  femmes  en position d’interprètes et de traductrices

Par  Jacques Halbronn

 

On sait que notre ^propos est de démystifier une certaine idée de la femme, quitte à ce que l’on nous traite de misogyne. L’être signifie que l’on ne veut pas adhérer à une certaine mystique  qui voudrait que les femmes doivent tôt ou tard égaler les hommes voire les dépasser car pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Une telle vision des choses est selon nous due à certaines confusions qu’il importera ici de dénoncer.

 

Nous voudrions aborder ici la question du décalage entre ce que disent  ou écrivent les femmes et ce qui leur correspond réellement. En effet, les femmes sont souvent des « porteuses », ou des « transporteuses » en tant que messagères. C’est notamment le cas des interprètes en musique et des traductrices  dans le domaine littéraire.

Nous avons pu remarquer que ces femmes étaient souvent complétement décalées par rapport à ce qu’elles produisaient comme si ce qui émanait d’elle leur était largement étranger.

Il n’est pas rare en effet qu’une pianiste reconnaisse qu’elle ne serait pas en mesure de composer ou d’improviser, qu’une traductrice semble ne pas être en mesure de produire le moindre texte personnel dans le domaine de sa spécialité. Il y a là un problème de niveau.

On peut ainsi dire que les femmes ne sont  pas marquées  par un certain eudémonisme (cf. Jean Cottraux, A chacun sa créativité. Paris, Odile Jacob  2010) c’est-à-dire  le besoin de créer quelque chose de personnel même si ce n’est pas nécessairement très performant. Il n’est pas nécessaire de réussir pour persévérer, dit-on.

En ce sens, les femmes nous donnent l’impression d’un décalage entre le contenant et le contenu, le médium et le message (MacLuhan). En tant que contenant,, elles peuvent être tentées de contenir, au sens de tenir ensemble les choses les plus diverses en leur conférant quelque  semblant d’unité.  Un contenu suffisamment compact n’a pas besoin de contenant tout comme un signifiant n’a pas forcément besoin d’un signifié, un viande  ne nécessite une « garniture » etc  Les femmes ont la conviction qu’il faut ajouter. Le progrès pour elles dans l’addition, l’enrichissement en quelque sorte. En d’autres termes, le progrès serait une nécessaire aliénation comme s’il ne pouvait émaner de l’intérieur de l’être.

C’est pourquoi le débat est d’emblée faussé. Les femmes se plaignent qu’on les a privé de quelque chose, qu’on ne leur a pas donné, accordé certains droits. Elles ne sont aucunement en train de revendiquer une transformation intérieure. Elles n’envisagent que des changements externes.

Le problème dans les revendications des femmes c’est paradoxalement que cela n’est pas très difficile de les satisfaire. mais que cela relève d’un certain vernis. Elles croient que le fait d’obtenir ce qu’elles désirent suffira à leur bonheur  alors que l’essentiel du travail se situe sur un autre plan. On peut demander à un homme de mieux s’habiller, peut-on demander à une femme de devenir créative, d’apporter à l’Humanité, en tant que personne, une contribution majeure. Ce n’est pas la même échelle. C’est un marché de dupes car les hommes peuvent entendre ce que leur disent les femmes mais l’inverse n’est pas vrai car on est dans une autre dimension que la femme ne peut vivre que sur un mode fantasmatique en situant la création dans la transcendance : ce ne seraient pas les hommes qui leur seraient supérieurs mais les dieux qui  les auraient inspirés. Il faudrait donc demander aux dieux de se tourner vers les femmes. Sans leur aide, les femmes ne parviendront pas à rattraper les hommes, pensent-elles. Elles n’ont donc rien trouvé de mieux que de situer la supériorité masculine dans le  registre du magique, de façon à dépouiller les hommes d’une quelconque légitimité à les dominer. C’est là une forme subtile de castration.  Tout se jouerait donc dans les présents que nous feraient les fées à la naissance. (cf. les contes de fées)

Les relations des femmes avec leurs partenaires ici et maintenant sont ambiguës : elles les « trompent » très facilement sur le plan intellectuel avec  tel ou tel auteur ou compositeur. C’est leur mode d’être polygame alors même qu’elles pourraient s’intéresser à la production de leurs proches. C’est ce que nous avons  appelé une certaine muflerie féminine qui est  au demeurant fort répandue. Cela vaut notamment pour les interprètes de musique de divers compositeurs ou les traductrices de divers auteurs. Pour notre part, nous pensons que le couple implique un respect mutuel entre un homme et une femme et que  la moindre des choses est que la femme soit à l’affut de ce que  « son »’homme va accoucher (maïeutique). Nous employons sciemment ce verbe pour souligner  l’abus consistant à  insister sur la procréation féminine comme si l’on voulait  occulter la créativité masculine et ce d’autant que les femmes sont bien armées pour aider leurs partenaires à accoucher, c’est-à-dire à mener à son terme l’œuvre entreprise. C’est même certainement là que se situe une complémentarité qui ne doit pas être définie comme une domination masculine et en cela il serait bon que les femmes se revalorisent dans leur différence au lieu de convoiter le statut des hommes. Or, l’on se heurte à cet obstacle qui tient au fait que les femmes s’intéressent plus à ce qui se passe  à l’extérieur qu’à l’intérieur d’elles-mêmes, ce qui circonscrit assez bien leurs limites et rend compte d’un certain malthusianisme culturel qui fait qu’elles vivent sur un héritage  du passé et qu’elles sont difficilement en prise avec ce qui est encore en train de se constituer. Elles préférent répartir au mieux les richesses existantes que d’en découvrir de nouvelles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB

30. 09 13

 

 

 

 

 

 

 

 

JHB

30. 09 13

 

Publié dans FEMMES | Pas de Commentaire »

La mort de Jaurés et la phase B en astrocyclologie

Posté par nofim le 30 septembre 2013

L’astrocyclogie et la mort de Jaurès en Juillet 1914

 Par  Jacques Halbronn

 

 

Le 31  juillet 14, date de l’assassinat  de Jean Jaurès où est Saturne ? Il est à  27° Gémeaux, c’est-à-dire à la fin de ces 56 mois « conjonctionnels». La planéte entre en cancer à la fin du  mois suivant. Jaurès est victime de son pacifisme. C’est un personnage de type A  qui ne survit pas au passage en phase B. La mort de Jaurès est bien plus significative que celle de Staline qui meurt dans son lit en 1953, même si ses conséquences sont éventuellement moindres, mais cela ne relève plus de l’astrologie qui n’a que faire des répercussions liées à des contextes qui lui échappent et qui varient indéfiniment d’un cycle de 7 ans au suivant. La Grande Guerre qui éclate alors sera marquée par la violence et l’extrême dureté des affrontements qui en feront un véritable carnage.  Rien à voir avec la Seconde Guerre Mondiale, on en conviendra qui se conclut, pour un temps, par l’armistice de  juin 40 ! Ce qui montre à quel point il était vain de la part de Barbault de coupler ces deux événements comme étant le socle de son indice de concentration planétaire.

Mais lisons de nouveaux  extraits  de  la prose de Christian Moysan – qu’il faudrait inventer s’il n’existait pas  concernant nos travaux (sur Face Book aldébaran) au prisme de cette mort de Jaurés à Paris, à la veille de l’ordre de mobilisation générale, il y a 99 ans.

C.M.

 «  On notera « l’allongement » significatif de la phase A halbronnienne, passée depuis le 7 mars dernier de la moitié du cycle de 7 ans à ses deux tiers.
Relevons encore la précision – nouvelle chez l’auteur – de la durée de la phase A : 56 mois, pas un de plus ni de moins. »

Ou encore :

« Bien sûr cette durée ne doit pas être stupidement prise au pied de la lettre comme certains esprits bornés seraient tentés de le faire! Car on sait que selon l’astrocyclologie s’intercale entre les phases A et B une troisième qui correspond à un temps « interstitiel », « équinoxial », période de transition, imprécise par définition. Et comme cette phase intermédiaire peut aussi bien être invoquée qu’ignorée par l’astrocyclologue, la durée des phases A et B pourra donc fluctuer opportunément dans des proportions très sensibles, de sorte que cette « géométrie variable » du système lui permettra toujours de « s’ajuster aux faits ». On mesure par-là les avantages de l’astrocyclologie, système invertébré à force de souplesse, sorte de mollusque protéiforme spécialement conçu pour épouser les contours des faits, y « coller » à volonté. »

Notre commentaire :

En aucun cas, il n’est question de ne pas tenir  compte de la phase B comme le prétend Moysan. Nous lui avons attribué le tiers du cycle de 7 ans, soit 28 mois, ce qui n’est pas rien. Certes, cette phase est d’abord marquée par un manque (cf. notre  récente étude sur l’anthropologie du manque sur le blog  Nofim). La première Guerre Mondiale est puissamment marquée par cette phase B d’absence conjonctionnelle que nous appelons désormais de disruption et qui dure  en gros tout au long du passage de Saturne en signe cardinal. (En l’occurrence le cancer). L’Europe se déchire mais la configuration est analogue à celle de 1989 qui se déroule sans sang versé (le sang n’est pas le critère) et il y a plusieurs façons pour un bloc de s’autodétruire. Saturne est alors en capricorne, en plein milieu d’une phase , donc à un stade un peu plus avancé, appliquant au point  opposé en quelque sorte à la conjonction, soit 45° dans le cadre du cycle de 7 ans.(qui divise tout par 4) Bien au contraire, ces phases disruptives nous passionnent peut ère plus encore que les phases conjonctionnelles du fait d’un certain lâcher prise par rapport aux forces centrifuges que l’on ne parvient plus à tenir, à contenir. M. Mosan nous reproche de ne pas découper  nos périodes selon des critères spatiaux. Nous préférons nous fier au temps qui s’écoule. On sait que ce débat existe pour la domification et les critères de  trisection des angles. Nous pensons, en effet, que les êtres humains ont un sens aigu de la durée des choses, du compte à rebours et qu’ils conçoivent aisément ce qu’est un début, un milieu et une  fin de phase, comme s’ils avaient un sablier dans la tête. Plutôt que de découper en se fondant sur des notions aussi  confuses que les signes zodiacaux dont le processus de continuité d’un signe à l’autre est pour le moins problématique, nous préférons  user d’un langage aussi simple que possible et qui n’est pas plombé par une tradition  obscure et opaque. Il est vrai que certaines personnes ont besoin qu’on les prenne par la main. Nous préférons nous adresser à des adultes….De même que dire quand M. Moysan nous reproche de perfectionner notre modèle, de le compléter ? C’est l’aveu qu’il a un gros problème avec le temps ! Nous croyons au « work in progress »et si nos aménagements améliorent nos performances, qui irait s’en plaindre, ?  Moysan veut en quelque sorte opposer ce que nous écrivons maintenant à ce que nous avons écrit  il y a 6 mois (en mars 2013), non pas en termes de prévision mais en terme de modèle ! A quoi rime cette petite guérilla  qui ressemble à une sorte de vendetta ? Il nous reproche de signaler que chaque tiers de 7 ans correspond à 28 mois (cf. notre récente étude sur ce nombre, sur le blog  nofim). Il oublie de préciser que ces 28 mois sont marquées par des évolutions et que le passage d’une phase de 28 mois à une autre n’est aucunement rigide. Mais ailleurs, il nous  reproche d’avoir un modèle trop souple !

Mais nous avons gardé le meilleur pour la fin :

CM : «  JHB ne part pas de la constatation objective des faits pour y relever d’éventuelles récurrences de nature à fonder a posteriori un modèle théorique, mais pose a priori ce modèle comme axiome, comme un carcan – mais paradoxalement souple! – dans lequel il entend faire entrer les faits, lesquels devront donc nécessairement présenter dans la phase où ils se produiront ses caractéristiques supposées. »

Notre commentaire : on aime assez que Moysan emploie l’adverbe « paradoxalement » qui trahit le fait qu’il n’y comprend rien Mais on a le droit de parler même quand on n’a rien à dire, n’est-ce pas ? Quelle constatation « objective des faits » ?  Est-ce que les deux guerres mondiales sont un «fait » à prendre en bloc comme le propose Barbault ? ou bien est-ce que l’astrologie de Moysan dresse un thème spécifique pour chaque « fait », de façon à éviter toute généralisation ? M.. Moysan semble bien en effet partisan de l’astrologie explicative par le biais du thème et là on ne piourra pas lui reprocher un quelconque rapprochement entre deux faits, les seuls rapprochements qu’il s’autorise sont ceux qui relient les faits  aux astres ! La synchronie pour des astrologues type Moysan, est avant tout une affaire de relation entre le haut et le bas. On est dans la verticalité. On peut certes, à son avis – il  ne le dit pas aussi clairement  mais cela va de soi dans sa tête- relier des astralités entre elles mais pas des « faits ». Entre eux, ce qui est inévitablement source de débats sans fin selon la grille utilisée par les uns et par les autres. C’est cela que Moysan ne supporte pas.

On pensait que les gens étaient plus à l’aise dans le rapprochement entre les faits sur terre que dans celui des astralités mais pour Moysan c’est tout l’inverse et cela mérite le détour. Nous avions en effet, il y a déjà quelque temps, lancé une invitation à la recherche chez les astrologues en l’incitant à collecter des séquences de faits récurrents mais évidemment on peut se demander ce que c’est que cela. Evidemment pas des faits   en copié collé, nécessairement désignés selon les mêmes mots. Nous avions laissé le champ  ouvert sans mettre en avant le modèle de l’astrocyclologie puisqu’il s’agissait seulement d’une collecte de données à traiter ultérieurement en rapport avec d’éventuelles configurations célestes  avec la probabilité  de devoir éliminer une grande partie des techniques astrologiques en vigueur et de ne garder que celles qui se révéleraient viables. On attend toujours que M. Moysan nous fournisse sa liste de récurrences socio-historiques mais comment le pourrait-il  tant il a de mal à relier les choses qui se passent ici-bas entre elles. Idem d’ailleurs, très vraisemblablement pour ce qui est de relier les personnes entre elles, sans passe par l’astrologie. Gageons que cela lui est totalement impossible !

Et c’est d’ailleurs pour cela que Moysan est venu à l’astrologie et c’est cet avantage insigne qu’offre l’astrologie, comme dirait Patrice Guinard, par rapport à la philosophie. C’est l’astrologie qui nous dit ce que l’on peut rapprocher et non à l’esprit humain qui ne peut qu’errer sur cette voie, n’est-il pas vrai. Des gens comme Moysan sont plus à leur aise dans les cieux que sur terre où ils ne cessent de trébucher d’où leur recours à l’astrologie qui radiographie tout. M. Moysan se prend dès lors pour un grand savant qui n’avance rien qui ne soit étayé mathématiquement et astronomiquement et il regarde avec condescendance ceux qui ne peuvent pas se rattacher à une astrologie en bonne et due forme (c’est-à-dire plantureuse, généreuse) ou qui n’auraient droit pour tout potage qu’à la maigrichonne astrocyclologie qui vous laisse en plan avec ses indications par trop vagues en terme de dates, sous prétexte qu’elle veut garder la ligne. M. Moysan nous a fait amplement la démonstration de son impuissance  à décoder sans le recours de l’astrologie les récurrences et les cycles qui se déroulent autour de nous. Pour lui, chaque événement est unique n son genre et seul le thème, de par sa complexité même, est, en mesure de lui rendre  justice. Idem pour les personnes. C’est pourquoi M. Moysan a horreur des classements par signes dans lesquels on voudrait faire entrer des tas de gens qui n’ont selon lui pas grand-chose en commun.  Le mot  classement d’ailleurs lui donne des boutons dès lors qu’il n’est pas validé par des configurations qui se recoupent car dès lors le rapprochement est indiscutable. C’est pourquoi nous demandons à nouveau à M. Moysan qu’il nous soumette des listes d’événements récurrents (sans l’aide de l’astrologie) pour que l’on puisse juger de sa capacité opérer des rapprochements. Car il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs : il est évidemment plus facile de rapprocher des planètes que des gens mais toute la question était de parti de certains faits récurrents ou semblables pout trier les configurations astrales qui font sens. Mais alors, on va voir M. Moysan  hésiter indéfiniment pour rapprocher quoi que ce soit car la réalité humaine est infiniment plus complexe, du moins en apparence, quand on ne sait pas la décanter, que les planètes qui ont moins l’avantage d’être « cash ». C’est Mars ou ce n’est pas Mars qui est à tel endroit.. Certes il peut être configuré avec autre chose mais on ne peut perdre de vue que c’est bien Mars. A contrario dans le monde qui est le notre , tout est tellement  plus sinon  trop compliqué, n’es-ce pas M. Moysan ?…Et c’est pourquoi nous dit-il il faut partir avec des biscuits. Sinon on a vite fait de se casser le nez. Il y a chez Moysan comme une peur de manquer et disons le une certaine boulimie. Une tête bien pleine plutôt que  bien faite, on l’aura constaté au fil de ses prestations successives…..

 

 

 

 

 

JHB

30. 09 13

Publié dans ASTROLOGIE POLITIQUE, HISTOIRE | Pas de Commentaire »

Les ingrés, un outil pour débutant en astrologie

Posté par nofim le 30 septembre 2013

 

Les ingrés en astrologie  et la précession des équinoxes

 

Par  Jacques Halbronn

A  Christian Moysan

 

Ce qui distingue le thème d’ingrés de celui de la révolution solaire ou de la lunaison tient au fait que ce thème dépend de la précession des équinoxes (cf. nos récents textes mis en ligne sur ce sujet sur le blog « nofim », rubrique astrologie)

En effet, la RS correspond au retour du soleil sur sa position natale, ce qui n’implique pas nécessairement la prise en compte du zodiaque pour établir  un thème. Il en est de même des aspects et des transits. Quant à la Lunaison, tout comme le thème hebdomadaires (almanachs de Nostradamus) ; elle peut elle aussi ne pas se référer au zodiaque, sinon accessoirement. Il en est tout autrement du thème d’ingrés et il est remarquable que M. Moysan ait choisi de travailler avec cette technique plombée directement par la précession des équinoxes ce qui va obliger cet astrologue à devoir s’expliquer dans le débat sur la précession, du fait qu’il ait choisi probablement un des maillons les plus faibles de tout l’édifice astrologique pour étayer son travail prévisionnel. Quelle imprudence suicidaire !

En effet, le seul fondement de l’ingrés est bien le passage exact, à la minute près, du soleil sur l’axe équinoxial ou sur l’axe solsticial, soit  4 possibilités, ce qui nous renvoie d’ailleurs à la division en 4 préconisée pour toute approche astrologique d’un cycle si ce n’est qu’au lieu de se servir de quatre repères bien concrets comme les étoiles fixes, l’ingrés  se sert d’un découpage fictif au regard du moins de l’astronomie même si l’astronomie peut être instrumentalisée pour permettre de dresser le thème de l’ingrés. On entend par instrumentalisation, un détournement d’un système à des fins qui ne lui correspondent pas.  Tenir compte des saisons en astronomie est  une pure fantaisie, même si les astronomes eux-mêmes ont pu y recourir en tant que métalangage de pure commodité comme ils ont pu le faire pour les constellations zodiacales.

La précession des équinoxes  décale tout le zodiaque et notamment   pose la question des conjonctions planétaires. Nous ne pensons pas qu’il soit pertinent, en aucune façon, de s’intéresser  à une quelconque conjonction du soleil avec le « point vernal » ou avec le point « automnal » (à l’opposé) comme c’est le cas actuellement (dans l’étude de Moysan relative à la Syrie) ou tout autre point estival ou hivernal. On peut étudier la conjonction du soleil avec la Lune ou plutôt de la Lune avec le Soleil, puisque la Lune est la plus rapide (ce qui en fait selon nous une énergie  masculine, polygamique en quelque sorte, (cf. la Lune et ses 28 épouses dans le Mahabarata). On peut à la rigueur étudier le passage du soleil sur sa position natale mais l’on sort alors complétement de l’astronomie pour  basculer dans la fiction de conjonctions se produisant à des dizaines d’années d’intervalle, le cas échéant, critique qui vaut pour tout type de transit d’ailleurs., notion totalement anachronique.

En fait, toute astrologie qui  travaille sur le passage d’un astre dans le zodiaque se réfère implicitement aux étoiles fixes qui parsèment le dit zodiaque et qui sont traditionnellement chargées de certaines énergies. Diverses traditions attribuent d’ailleurs aux étoiles fixes des correspondances planétaires.

Donc, comme la précession des équinoxes est un phénomène bien connu des astronomes (depuis Hipparque), le zodiaque tropique se trouve actuellement singulièrement décalé. Expliquons-nous à la lumière de nos travaux en astrocyclologie.

Jusqu’à présent, on pouvait croire que l’on s’autoriserait à passer outre mais ce n’est plus guère possible.

Si l’on admet en effet que tout cycle doit impérativement s’articuler sur une conjonction,  on doit référer tout cycle à la dite conjonction, étant entendu que la « jonction » entre la planéte considérée et  une étoile fixe ou une planéte est   centrale sur le plan énergétique (quel que soit le sens que l’on veuille donner à ce terme). On a donc le choix, outre la tolérance pour un « retour » d’une planéte sur sa position natale voire d’un transit quelconque sur telle ou telle planéte du « radix » (thème natal), entre un cycle planétaire (entre deux planètes selon la définition des frères Barbault), et une conjonction sidérale d’une planéte avec une étoile fixe donnée, ce qui ne correspond pas , a priori, avec l’axe équinoxial ou avec l’axe solsticial qui sont la base des ingrés dont se sert M. Moysan.. On aurait pu admettre que M. Moysan fit le thème de la conjonction du soleil avec telle ou telle étoile fixe mais pas avec une abstraction. En effet, le Zodiaque ne fait sen sens astrologie que dans la mesure où elle est truffé d’étoiles fixes ; ce qui en constitue le vrai tissu.

M. Moysan répliquera certainement que le Zodiaque est fondé sur le cycle des saisons et qu’il est donc « normal » que  l’on s’intéresse aux commencements de chacune des 4 saisons, d’où les ingrés. Rappelons que dans ce cas, comme le note Patrice Guinard (Manifeste)  cela ne vaudrait que pour le Soleil, ce qui serait une vision assez limitative à l’encontre des autres planètes. En revanche, si l’on admet que ce sont les étoiles qui sont le facteur visuel agissant,  la précession des équinoxes est sans importance et la question des saisons totalement annexe. Quant au débat sur l’origine du symbolisme zodiacal, il ne s’agit en effet que d’une affaire d’emprunt matriciel, ce qui signifie que pour illustrer la notion de cycle, l’astrologie a été amenée, au cours de son Histoire à recourir  aux savoirs les plus divers, sans qu’il faille prendre ceux-ci à la lettre, au premier degré, de telles représentations étant interchangeables..

Ce faisant, M. Mosan ne rend guère service à l’astrologie qu’il défend puisqu’il en présente les données les plus douteuses et les plus fragiles pour constituer une prévision de fortune et de rencontre,  à savoir le rapprochement qu’il énonce entre le dénouement  de  la crise syrienne et sin interprétation du thème de l‘ingrés solaire  de la fin septembre 2013.(0° Balance en tropique). Il entend ainsi expliquer le climat politique actuel dans le monde  par le thème d’ingrés, c’est-à-dire l’étude de toutes les relations entre les astres à ce moment-là, y compris les maisons horoscopiques, lors de la prétendue « conjonction » du soleil avec le 0° Balance. (Si encore c’était une étoile de cette constellation du même nom que le signe !)

On n’épiloguera pas sur  l »étrangeté d’une telle procédure qui inscrit les événements actuels dans un cadre trimestriel, ce qui en minimise d’autant l’importance à leur accorder. On passe de Charybde en Scylla ; on quitte le surdimensionnement des planètes transsaturnienens pour le sous-dimensionnement des ingrés saisonniers ! On passe d’un risque de surévaluation  à un risque de sous-évaluation de la conjoncture actuelle, ce qui nous montre bien tout l’intérêt d’une unité astrologique de 7 ans, qui est un juste milieu raisonnable.

Une telle intrusion de l’ingré en astrologie mondiale introduit  une dimension aléatoire considérable qui nuit à l’évidence à la fluidité du cycle par la prise en compte de tout le système solaire au lieu de suivre  un cycle bien défini et  structuré en phases de même dimension.   Songeons que trois mois plus tard, un nouvel ingrés va encore changer la donne sans que l’astrologue puisse en quoi que ce soit modéliser le suivi astronomique. C’est la politique de Gribouille ! Rappelons que pour l’astrocyclologie, on est au début d’une période « conjonctionnelle » de 58 mois avec bien entendu une phase croissante qui commence actuellement et qui sera suivi après la conjonction de Saturne à Antarès d’une phase décroissante de même durée avant de basculer 28 mois en phase de disruption (B), le total faisant 7 ans. Dans ce cas, le malheureux  ingres saisonnier brandi par Moysan  ne fait vraiment pas le poids avec ses 3 mois ! il est vrai que pour ceux qui ne sont pas à leur aise dans la prévision, le recours  au thème d’ingrés est conseillé aux débutants en astrologie tout comme celui de révolution solaire (qui ne vaut que pour 12 mois). On est là dans le petit bain et tout le monde est content de pouvoir recourir à son savoir-faire en matière d’interprétation de thème mais  cette astrologie-là n’est qu’un cache-misère.  A propos,  ce fameux thème d’ingrés qui était censé marquer un revirement du côté russe semble avoir fait long feu dans l’immédiat vu la suite des événements. On est vraiment là dans une astrologie de bas étage et réservée à des astrologues sans grande envergure. Il est vrai que ceux-ci avaient jusqu’ à présent des excuses en raison du marasme de l’astrologie cyclique. Mais désormais M. Moysan a pris connaissance de l’astrocyclologie et  n’a rien trouvé de mieux, néanmoins, que de nous sortir cette vieille lune désuète de l’ingrés, tant la coïncidence entre la date d’une première déclaration russe, restée sans lendemain,  et le passage du soleil à 0° balance l’avait frappé. Mais c’est bien sûr , dirait le commissaire Bourrel..

 

JHB

30.09. 13

 

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Anthropologie du manque et Astrologie

Posté par nofim le 30 septembre 2013

 

L’anthropologie du manque appliquée à l’astrologie

Par  Jacques  Halbronn

A  Saskia Brown

 

Nous avons, parallèlement à nos travaux sur l’astrologie, développé ce que l’on pourrait appeler une anthropologie du manque. Cette démarche a pour effet de permettre de produire des modèles binaires gagnant beaucoup en simplicité sur les modèles antérieurs, les nôtres comme ceux des autres.

On aime à rappeler l »étrange théorie des Anciens selon laquelle la nuit était due à une émanation noire du Soleil et le jour donc ç une émanation blanche.

C’est un peu, toutes proportions gardées, ce qui se passe dans des domaines comme la caractérologie et la cyclologies, par-delà la question astrologique dont nous traiterons de façon spécifique ici. Nous nous sommes notamment intéressés par le passé à diverses  questions liées à la pénurie. Mais l’on  retiendra la parabole biblique sur les vaches grasses et les vaches maigres. Cela nous renvoie à des dialectiques comme celle du plein et du vide, de la présence et de l’absence qui sont d’ailleurs le fondement de toute problématique cyclique.

 

 

I  Anthropologie du manque et caractérologie

 

Freud avait mis en avant  la question du « manque » dans l’anatomie féminine (autour du phallus) et en avait tiré certaines conclusions sur lesquelles on ne reviendra pas ici.

Mais il reste que le manque a une certaine valeur heuristique. Il fouette l’ingéniosité, encourage à l’astuce, aux expédients, suscite un certain « progrès », notamment dans le domaine de l’invention technique mais aussi sur le plan culinaire, la pénurie est à ‘l’origine d’un très grand nombre de préparations. (cf. l’ouvrage « La table du pauvre ») Le manque conduit au « système D » , terme en usage dans les années 40, pour désigner une certaine débrouillardise, en un temps de rationnement et de privation.

Dès lors, on peut raisonnablement se demander si certains traits de caractère ne sont pas fonction de manques et ne relèveraient donc pas d’un processus réellement  autonome…Or, l’astrologie est souvent  tentée de conférer  un astre, un signe à chaque comportement au lieu de considérer une dynamique de manque. Cela a évidemment l’avantage, si l’on peut dire,  de pouvoir enrôler un maximum de facteurs divers – ce qui est un de problèmes majeurs d’une certaine pensée astrologique, que nous avons souvent dénoncé- mais cela tend évidemment à alourdir considérablement les modèles astrologiques élaborés. Un cas remarquable est la pratique des couples planétaires (à ne pas confondre avec les cycles planétaires), qui firent l’objet de publications dans les années cinquante, sous la direction d’André Barbault (au CIA, rééed. Ed. Traditionnelles dans certains cas) : Lune-Soleil, Mars- Vénus, Jupiter-Saturne, Uranus-Neptune. (cf. aussi sur ce sujet les ouvrages de Hadès). Le cas Mars- Vénus est emblématique : pour traiter de cette dialectique, on recourt à deux planètes alors même qu’il est assez évident que lorsque Mars est faible, cela favorise les valeurs vénusiennes. (-à moins que cela ne soit l’inverse). En effet, toute cyclicité tend à  impliquer son contraire. Un seul cycle suffit donc pour rendre compte d’une dialectique notamment par le jeu des aspects planétaires. (Dont l’opposition).

La doctrine des tempéraments avait déjà montré le mauvais exemple en attribuant une humeur particulière  à chacun  alors qu’il eut suffi de parler d’un manque pour déterminer le pôle inverse. On avait ainsi deux entités pour le prix d’une !

D’ailleurs dans le cas de la distinction hommes –femmes, l’on est en droit de se demander si l’on a affaire à deux principes différents ou si le féminin ne se définit pas du fait d’un manque par rapport au masculin, un manque qui par le jeu de la compensation peut générer un comportement  tout à fait distinct.

De même en astrocyclologie, la population « B » n’est-elle pas avant tout une population qui est en manque par comparaison avec la population A. ? On retrouve notamment là la question du mimétisme qui est évidemment lié  au fait de pallier, avec plus ou moins de bonheur, quelque manque ou sensation de manque.

 

 

II   Anthropologie du manque et cyclologie

Si l’on passe  à la question du cycle, nous avons à maintes reprises défini la phase B  comme née du manque suscité par la perte d’énergie propre à la phase A. Là encore, nous avons d’astrologues – la grande majorité au demeurant- qui trouvent nécessaire de faire jouer chaque fois une planéte, notamment pour indiquer un changement. Ils ont même trouvé bon  d’attribuer le changement à une planéte en particulier, à savoir Uranus (découverte en 1781  et censée désigner les bouleversements révolutionnaires outre-manche (cf. La vie astrologique il y a  cent ans, Ed. Trédaniel,  1992), ce qui supposait que les astrologues des siècles passés n’étaient pas outillés pour annoncer le changement, ce qui est une  idiotie comme le montre les nombreuses prévisions  qui ont jalonné l’Histoire de l’Astrologie.

Selon nous, donc tout cycle comporte un temps que nous qualifierons de « disruption ». (À l’opposé de la position de conjonction mais à réduire dans le cadre d’un cycle de 7 ans, l’opposition de 180° étant assimilé à un semi-carré de 45°)

*Pendant ce temps de « disruption » (d’interruption de la dynamique énergétique), il y a manque à combler et ce à tous les points de vue.

Une absence notamment de certaines dynamiques unitaires – la disruption est une crise du processus unitaire- qui exige d’improviser des solutions de continuité, de concevoir des ersatz (succédanés sous l’Occupation allemande). C’est le passage de la phase A à la phase B pour employer une terminologie purement pédagogique.

Et bien entendu, cela conduit les populations de type B (cf. supra) a monter au créneau et à développer des revendications à l’encontre de la population A. Bien entendu, lorsque la phase A  revient, le personnel B est  remis à sa place et ne peut continuer plus longtemps  à faire illusion, en tant que copie face à l’original.

On aura compris que la phase B n’exige aucunem ent un astre spécifique mais se résout par une absence.

 

Voilà donc une illustration de cette anthropologie du manque qui s’articule directement sur la question du binaire. On sait qu’il est courant de dire que les aveugles privés d’un sens compensent en développant davantage d’autres sens. Tout le monde de la technique est fonction, selon nous, du handicap à compenser. On connait le cas de l’athléte Pictorius qui court avec un appareillage du fait de son handicap. Même le dopage est né d’un manque, c’est dire que le manque a pu inspirer à travers les siècles de remarquables inventions et créations à l’instar de tous ces plats cuisinés qui ne sont jamais rien d’autre qu’une substitution et donc qu’une imposture par référence à un produit faisant défaut  et dont on tente souvent  d’occulter l’éclipse. Le manque, c’est le faux, le reflet, le miroir et quelque part le diable. ..

L’existence même de la conjonction  produit  du manque en ce sens que s’il n’y avait point manque, vacance, il n’y aurait pas retour, remontée (évolution/involution). Face à Dieu, se positionne nécessairement  quelque Satan.

 

JHB

30. 09. 13

 

 

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les classement zodiacaux et la précession des équinoxes

Posté par nofim le 29 septembre 2013

 

La
quadruplicité (les trois modes) et la précession des équinoxes

Par  Jacques
Halbronn

 

 

Les
astrologues d’aujourd’hui  pratiquent la
politique de l’autruche par rapport à la précession des équinoxes. Certes, ils
s’intéressent  à l’ère du verseau par une
sorte de vanité à traiter de la « grande » Histoire  (cf. Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau,
Ed Albatros, 1979) mais cela n’est pas censé affecter leur pratique de
l’astrologie ordinaire et notamment individuelle. Quelle erreur !

Dane
Rudhyar avait bien compris que l’entrée de Regulus, étoile du Lion, dans le
signe (tropique) de la Vierge était importante mais cela vaut pour l’ensemble
du Zodiaque et notamment pour les trois autres étoiles fixes royales  Aldébaran, Antarès et Fomalhaut qui sont
toutes passées dans un autre signe tropique, à savoir, respectivement les Gémeaux,
le Sagittaire et les Poissons…

Il
convient en effet d’admettre que ces étoiles fixes  imprègnent la partie du zodiaque
tropique  qu’elles atteignent.  En réalité, il vaudrait mieux dire  que le passage d’une planéte  est affecté par les étoiles fies qu’elle
rencontre – en laissant de côté pour l’instant la question du choix des planètes
et en admettant pour l’heure que cela concerne toutes les planètes y compris
les transsaturniennes.

On
admettra donc que toute conjonction d’une planéte du système solaire avec une
étoile fixe royale détermine la structure de son cycle. Certes, on peut vouloir
s’en tenir aux combinaisons de deux planètes mais dans ce cas l’on manque la
dualité planéte/zodiaque et l’on a des cycles qui ne correspondent pas à la
disposition des dites planètes dans le système solaire – (Loi de Bode). Il est
pour le moins étrange de parler du cycle de 84 ans d’Uranus et de ne
s’intéresser qu’à la combinaison d’Uranus avec une autre planéte, ce qui ne
restitue ni le cycle de l’une ni de l’autre mais une sorte de temps
intermédiaire. (C’est le « cycle planétaire » défini par les frères
Barbault).

On nous
objectera qu’il est tout à fait loisible à l’astrologue de suivre une planéte à
travers le Zodiaque mais dans ce cas l’on en revient à l’objection
initiale  à savoir la place des étoiles
fixes royales sur le parcours de la planéte considérée à moins de se contenter
de prendre pour repère le point vernal (0° Bélier), mais peut-on alors parler
d’une conjonction et donc d’un cycle car sans conjonction il n’y a pas de
cycle ?

Nous
avons montré en astrocyclologie que les trois modes avaient changé de
positionnement.  C’est ainsi que les
signes fixes sont devenus mutables,  les signes
mutables sont devenus cardinaux et les signes cardinaux sont devenus fixes. Il
y a eu « shift », glissement précessionnel.

Du fait
donc de la précession,  les signes
cardinaux ne sont plus cardinaux, les signes fixes ne sont plus fixes et les
signes mutables ne sont plus mutables, si tant est que ces trois
« modes » (on dit aussi en Inde « gunnas ») soient
clairement définis. On pourrait d’ailleurs en dire autant des classements des
signes selon les 4 Eléments mais cela ne nous intéresses pas au même degré, vu
que nous ne leur accordons pas une place déterminante dans l’interprétation, ne
serait-ce que la question problématique de l’ordre des Eléments (feu-terre-air-eau).
En revanche, les trois modes nous parlent : ils correspondent à la
division du cycle de 7 ans en trois secteurs de 28 mois. Les signes cardinaux,
initialement, correspondent au temps qui précède la conjonction. Les signes
fixes sont  le lieu où se défait    progressivement  la conjonction et les signes mutables sont le
temps de la « disruption », d’un état intermédiaire assez trouble
(que nous appelons phase B).

Or,
cette disposition est décalée du fait de la précession des équinoxes : les
signes cardinaux sont « mutables », les signes mutables sont
« fixes » et les signes fixes sont « cardinaux » ! Ils
ne balisent plus de la même façon le parcours des planètes dans le Zodiaque, si
l’on admet que le cycle d’une planéte est lié aux conjonctions successives
qu’elle connaitra avec les dits étoiles fixes royales.

On peut
certes continuer à nier l’importance de telles conjonctions comme alternative à
celles entre deux planètes dont nous avons vi quels problèmes cela posait. Mais
dans ce cas, l’on se retrouve avec de pseudo-conjonctions des planètes avec le
début des  12 Signes et qui n’a aucune
réalité céleste et est une simple projection
sans aucun intérêt astronomique si ce n’est en tant que commodité
aléatoire et dont on peut fort bien se passer (expendable- c’est-à-dire non
indispensable), ce qui n’est pas très glorieux de la part d’astrologues
désireux de se mettre en conformité avec la réalité astronomique. Ce n’est pas
parce que les éphémérides utilisent tel ou tel langage, telle ou telle
représentation, que cela fait de ces conventions des vérités
astronomiques ! Ne jouons pas sur les mots : c’est le cas de le
dire ! A contrario, si les astrologues disent qu’ils tiennent compte des
conjonctions (certes totalement  dues à
un effet de perspective), entre planètes et étoiles, les astronomes seront en
mesure de « visualiser » la chose et même d’en faire des clichés.

Cela
signifie qu’actuellement, le signe du Bélier, par exemple, ne correspond pas à
un signe cardinal mais à un signe mutable, ce qui change considérablement, son
interprétation. En effet, le signe mutable est un temps de « disruption »,
le plus grand écart avec les étoiles fixes royales. C’est d’ailleurs dans les
signes cardinaux qu’ont eu lieu au XXe siècle tous les démembrements de blocs
de celui de l’empire colonial français à celui du bloc communiste en Europe,
sans parler de Mai 68. Mais ces signes cardinaux doivent en réalité être
appréhendés comme des signes mutables. Cela vaut actuellement pour Uranus en
Bélier ou Pluton en capricorne, entre autres. Il faut tenir de la réalité
cyclique sur le terrain et non d’un simple discours symbolique déconnecté de la
réalité astronomique. D’ailleurs Barbault se méfiait comme de la peste de la
prise  en compte des signes zodiacaux en
astrologie mondiale encore que ce faisant il jetait le bébé avec l’eau du bain.
Il ne s’agit pas en effet d’ignorer le Zodiaque mais bien de le décaler du fait
de la précession des équinoxes. En effet, le Zodiaque ne fait sens qu’en fonction
des étoiles fixes qui sont en son sein. Si l’on s’en tient aux 4 étoiles fixes
royales qui  permettent – mieux que le carrés
qui sont des fictions qui là encore ne correspondent à rien d’intéressant au
regard de l’astronomie- de découper en 4 toute révolution planétaire, un
principe qu’Yves Lenoble reconnait comme récurent (cf. son traité des cycles)-
la nouvelle théorie cyclique exige de tout relier aux conjonctions des planètes
avec ces 4 points sidéraux.  Que par
ailleurs, l’astrocyclologie privilégie Saturne ne doit pas être une excuse pour
ne pas aborder le problème plus largement, même dans le cadre d’’une multicyclicité…

Alors,
on nous répondra que le zodiaque tropique actuel donne entière satisfaction,
que l’entrée d’une planéte dans un signe est déterminante et que le  début d’un signe cardinal est puissamment  significatif d’une nouvelle énergie. Or, avec
le décalage précessionnel, on est passé d’une série de signes qui
correspondaient à la phase post-conjonctionnelle à des signes  qui  désormais
sont  disjonctionnels,
c’est-à-dire tout en bas de la courbe d’intensité (en analogie avec le fonds du
ciel, le nadir, à 45° environ des deux étoiles fixes royales, celle qui précède
et celle qui suit). Quant à l’argument des observations sur le terrain, nous
avons montré qu’il ne tient pas et l’exemple de 1989 devrait faire école. On
peut certes soutenir que cela aura correspondu à la renaissance de toutes
sortes d’Etats (comme d’ailleurs 28 ans plus tôt en Afrique) Mais ce serait là
commettre une grave erreur géopolitique. N’oublions pas que pour nous
Européens, l’Union Européenne est une victoire qui l’emporte singulièrement sur
la dislocatiin des empires aussi problématiques seraient-ils. Or, cette Union
ne correspond évidemment nullement  à la
« dynamique » de 89 qui va en sens inverse. (En dépit de la
conjonction Saturne-Neptune mais c’est là une autre histoire liée à la valeur
des « cycles planétaires » -(à deux planètes). Rappelons aussi le
contresens historique  commis par
Barbault (en 1967. Les Astres et l’Histoire) quand il associe le processus
conjonctionnel au bas de son diagramme et le haut à l’opposition (donc à la
disruption). Non, il serait bon que les astrologues comprissent que la conjonction
est liée à un phénomène de rassemblement, d’union, de fédération. La guerre
n’est pas une union mais une rupture et croire qu’une Guerre Mondiale est un phénomène
unitaire parce qu’elle englobe tout le monde est une plaisanterie, car un tel affrontement
ne relève évidemment pas d’une dynamique conjonctionnelle pas plus d’ailleurs
que toute guerre civile ! On ne confondra pas l’acte de se battre avec
celui de s’unir, même si parfois la guerre débouche sur la paix, lorsque la
nouvelle conjonction se profile à l’horizon. En définissant mal les processus,
on ne sera pas surpris de faire des prévisions qui échouent. Quant à jouer à
pile ou face avec les prévisions en annonçant que cela se passera « bien »
ou « mal », ce n’est pas de l’astrologie sérieuse. L’astrologie n’a
pas vocation à se servir d’un tel langage, elle doit décrire des comportements et
non des conséquences ultimes tellement aléatoires et contingente. Pour faire
image, je peux annoncer qu’il pleuvra mais non les dégâts que cela produira
sauf à prendre connaissance du contexte, peu de temps avant l’évènement
annoncé. Ce qui disqualifié toute prévision précise 36 ans à l’avance, comme
prétend l’avoir fait Barbault. L’astrologie n’a pas à  jouer aux dés !

 

 

 

 

 

JHB

29. 09.
13

 

 

 

 

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L’astrologie en entreprise Un nouveau modéle

Posté par nofim le 29 septembre 2013

 

 

Astrologie et CV : objectif  recrutement en entreprise. Une nouvelle approche.

Par  Jacques Halbronn

 

 

On a beaucoup débattu sur l’usage de l’astrologie pour le recrutement dans les entreprises.  Or, selon nous, il s’agit probablement de l’application la plus heureuse qui se puisse concevoir à condition de déterminer une politique viable du modus operandi.

Il ne s’agit pas, en effet, de partir de la date de naissance pour sélectionner un candidat. Un tel recours est totalement hors de question en astrocyclologie. En revanche, les différentes dates qui jalonnent un curriculum vitae sont tout à fait susceptibles d’être traitées par notre approche.

Un astrocyclologue compétent doit être en mesure d’exploiter cette série de dates correspondant à des moments importants de la carrière du candidat, quitte, bien entendu, à compléter lors d’un entretien.

Ce que les entreprises  peuvent demander à un astrocyclologue  c’est de déterminer  le profil de vie du candidat mais non pas comme le ferait un astrologue ordinaire en accumulant les paramètres. Au contraire, on lui demande à cet astrocyclologue de réduire les cas qui se présentent à deux catégories seulement A  ou B.

Nous avons depuis longtemps prôné l’usage de courbes pour déterminer l’appartenance d’une personne à tel ou tel groupe (cf. le dossier « Astrologie Sensorielle »,  in revue Cosmopolitan, fin 1976). Mais à l’époque nous avions 4 catégories (associées aux planètes Mars, Jupiter, Saturne et Uranus).  A présent, il n’y a que  2 catégories. C’est peu  mais  c’est  essentiel pour l’entreprise (terme à prendre au sens le plus large) pour choisir ses leaders car tel est bien l’enjeu principal.

Nous citions alors des passages des Confessions de Jean-Jacques Rousseau : « Qu’on se rappelle un de ces courts moments de ma vie où je devenais un autre et cessais d’ être moi ; on le trouve encore dans le temps dont je parle, mais au lieu de durer six jours ou six semaines, il dura près de six ans et durerait  peut-être  encore sans les circonstances  particulières  qui le firent cesser et me rendirent à la nature, au dessus de laquelle  j’avais voulu m’élever »  ou encore « L’ambition  n’eut jamais  chez moi que les courts intervalles  où toute  autre passion me laissait libre  mais un de ces intervalles  eût suffi pour me rengager’ »

Cette Astrologie que nous préconisions en 76 se voulait planétaire et non plus zodiacale : « Connaitre sa planète, c’est connaitre aussi son cycle, son rythme biocosmique, donc prévoir son avenir (et l’améliorer)  en ne s’embarquant pas sur la planète de n’importe qui ». En gros, cela impliquait de déterminer laquelle des courbes astrocycliques (sinusoides) correspondaient le mieux au profil de vie de la personnne considérée. Nous avions à l’époque élaboré une typologie sensorielle (d’où le nom de l’article), chacun des 4 sans (on excluait le toucher) correspondant à l’une des 4 planétes retenues. Entretemps, nous avons évidemment considérablement évolué  avec ce que l’on peut appeler  une astrologie de la présence et de l’absence. Ce qui débouchait sur un modèle beaucoup plus épuré dans une diaélectique du plein et du vide. Il n’était pas utile de recourir à plusieurs planétes pour rendre compte de sensibilités différentes mais il suffisait de parler de façon binaire d’un courant qui passe ou ne passe pas ou plus, pour distinguer les tempéraments et les phases.

Ainsi,  en astrocyclologie, les leaders ont des « creux », des  passages à vide, au cours des phases dites de disruption. A ces moments-là ils sont méconnaissables ou si l’on préfère  on les distingue mal du vulgum pecus  et c’est alors que peuvent se commettre des erreurs fatales dans le recrutement. A l’astrocyclologue de contribuer à les éviter pour  l’entreprise.

Pour ce faire, l’astrocyclologie, éventuellement aidé d’un logiciel met en mémoire les données (data) du CV qui lui a été fourni et   parvient ainsi à sélectionner les CV correspondant le mieux aux diagrammes de l’Astrocyclologie.

Le but de l’opération est  de repérer les éléments les plus prometteurs, ceux dont les prochaines années sont les plus propices à la réussite. Cela ne passe aucunement, comme en astrologie classique, par la montée du thème natal lequel ne constitue pas une donnée utile en astrocyclologie. On, sort donc de cette chasse aux anniversaires et aux documennts  d’état civil au profit du CV qui est effectivement  bien plus difficile à établir, ce qui explique d’ailleurs  la tendance dominante Che les astrologues actuels à faire abstraction du facteur temps dans leur étude, hormis bien entendu la fameuse heure de naissance, parfois complétée par quelque certificat de mariage, de divorce et tutti quanti comme si l’ »astrologie était  fonction du  livret de famille…

L’idée sous-jacente à notre méthodologie du recrutement  est fonction de la thèse suivante à savoir que nous ne sommes pas tous réceptifs de la même façon à la cyclicité liée aux signes célestes. Il y a  ceux qui sont dynamisés par la formation de ces signes (à savoir une série de conjonctions se produisant tous les 7 ans, sur la base du cycle de Saturne) et ceux qui ne le sont que sous la domination et la conduite des premiers.

Il est clair que l’entreprise doit savoir ce qu’elle veut, ce qu’elle fait, où elle va. Si elle veut recruter des personnages de premier plan, des « locomotives », des « chefs » qui seront aux premières loges en phase conjonctionnelle ou si elle entend  embaucher des seconds couteaux, des lieutenants, des sousfifres.

On aura compris que le facteur Temps joue ici un rôle tout à fait essentiel du fait de la cyclicité. En effet, cet « état de grâce » de ces leaders est  marqué par la cyclicité, c’est-à-dire qu’il ne se maintient pas indéfiniment au « top ». L’intéressant pour une entreprise – comme à la Bourse- est de recruter ces leaders au bas de la courbe en sachant que, dans tant de temps –ce que peut préciser l’astrocyclologie avec toute la fiabilité nécessaire- leur cote va remonter. On peut parler ici d’une Bourse de l’emploi qui correspond tout à fait au processus de l’astrocyclologie.

L’astrocyclologue d’entreprise  a donc pour mission de classer les candidats  en deux « familles », la famille « A » et la famille «  B ». La famille A est portée par la phase A (conjonctionnelle qui couvre 56 mois sur un cycle de 7 ans, avec temps ascendant jusqu’à la conjonction et temps descendant, étant entendu qu’au cours de ces phases on assiste à une accélération puis à une décélération)

Quant à la famille B, elle souffre en période A, en ce sens qu’elle est doit renoncer à des positions obtenues en phase B et inversement la famille A souffre en phase B pour les raisons opposées. C’est ce moment de « souffrance » qui permet notamment de distinguer entre les deux familles puisque ce moment n’est pas le même. On est là dans une forme d’alternance du personnel. En ce sens, le malheur des uns fait le bonheur des autres.

C’est un  point qui nous avait intrigué et que nous avions traité en son temps (in revue Trois-Sept-Onze, Lyon, RAO, à propos de Laurent Fabius). Comment un même facteur peut agir si différemment sur deux personnes ? Cela devait s’expliquer par une condition différente du récepteur humain.

Tout cela implique, on s’en doute, que pour quelque raison, nous naitrions plutôt « A » que « B », ce qui est au cœur diu modèle astrocyclologique. On pourra dire dans un premier temps que cela pourrait statistiquement correspondre à la distinction des « genres » (hommes/femmes), les hommes étant plutôt de type A et les femmes de type B. Mais on ne saurait se contenter de cette première approximation car encore faut-il que les potentialités tant A que B aient été activées au cours de la vie, du fait notamment de l’ éducation. Force est de constater qu’une grande partie de la population est inclassable tant chez les hommes que chez les femmes, ce qui est source de bien des confusions et des erreurs de jugement. D’où l’importance des tests cycliques et des CV pour  tous les candidats. En effet, il importe aussi que le entreprises embauchent tant de vrais types A que de vrais types B, pour qu’une synergie puisse se faire entre les deux familles, complémentaires, optimalement, dans le meilleur esprit.

Cela dit, on peut tenter d’établir le portrait psychologique du type A et du type  B  et mettre en place une batterie de tests comportementaux, comme nous l’avions fait en 1976, sur une base sensorielle qui ne nous intéresse plus tant que cela pour l’heure, préférant la notion de démarche cognitive.  On dira que le type A se reconnait- du moins quand il est en pleine possession de ses moyens, donc en phase A – mais cela vaut évidemment à titre rétrospectif (d’où l’importance du CV) par un  sens du rassemblement, de l’Unité par-dessus les clivages tant sur le plan social qu’intellectuel ou autre. A contrario, le type B se reconnait – avec les mêmes précautions d’usage- par une tendance à un certain cloisonnement, à mettre des limites de toutes sortes du fait de l’importance qu’il accorde aux détails. Si le type A capte  l’unité du monde, le type B en capte la diversité

On aura compris que le deux type sont effectivement complémentaires et peuvent être amenés à s’affronter  mais aussi à alterner, la phase A  mettant en avant le type A et la phase  le type B/

On aura compris que nous allons vers une typologie des comportements et des phases d’une très grande simplicité de lecture, comparée à celle proposée par l’astrologie classique.

A l’issue de l’entretien, un certificat sera établi par l’astrocyclologue  précisant le type A ou B  mais en ajoutant également  si le type est nettement activé ou pas. Si ce n’est pas le cas,  le candidat  ne sera pas intégrable dans l’entreprise ou devra passer de nouveaux tests plus pointus. En effet, il  peut y avoir eu des interférences qui exigent une thérapie préalable que l’astrocyclologue pourra éventuellement conduire selon des modalités à préciser.

Nous proposerons donc pour l’année universitaire 2013-2014 une formation « Astrocyclogie et recrutement entreprises » qui constituera un heureux recyclage pour les praticiens tant en astrologie que dans le conseil en général.

Cf   csafranc@yahoo.fr  tel   et SMS  06 60 75 52 48  pour les séminaires.

 

JHB

29. 09. 13

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L’astrologie en entreprise. Les nouvelles approches

Posté par nofim le 29 septembre 2013

 

 

Astrologie et CV : objectif  recrutement en entreprise. Une nouvelle approche.

Par  Jacques Halbronn

 

 

On a beaucoup débattu sur l’usage de l’astrologie pour le recrutement dans les entreprises.  Or, selon nous, il s’agit probablement de l’application la plus heureuse qui se puisse concevoir à condition de déterminer une politique viable du modus operandi.

Il ne s’agit pas, en effet, de partir de la date de naissance pour sélectionner un candidat. Un tel recours est totalement hors de question en astrocyclologie. En revanche, les différentes dates qui jalonnent un curriculum vitae sont tout à fait susceptibles d’être traitées par notre approche.

Un astrocyclologue compétent doit être en mesure d’exploiter cette série de dates correspondant à des moments importants de la carrière du candidat, quitte, bien entendu, à compléter lors d’un entretien.

Ce que les entreprises  peuvent demander à un astrocyclologue  c’est de déterminer  le profil de vie du candidat mais non pas comme le ferait un astrologue ordinaire en accumulant les paramètres. Au contraire, on lui demande à cet astrocyclologue de réduire les cas qui se présentent à deux catégories seulement A  ou B.

Nous avons depuis longtemps prôné l’usage de courbes pour déterminer l’appartenance d’une personne à tel ou tel groupe (cf. le dossier « Astrologie Sensorielle »,  in revue Cosmopolitan, fin 1976). Mais à l’époque nous avions 4 catégories (associées aux planètes Mars, Jupiter, Saturne et Uranus).  A présent, il n’y a que  2 catégories. C’est peu  mais  c’est  essentiel pour l’entreprise (terme à prendre au sens le plus large) pour choisir ses leaders car tel est bien l’enjeu principal.

Nous citions alors des passages des Confessions de Jean-Jacques Rousseau : « Qu’on se rappelle un de ces courts moments de ma vie où je devenais un autre et cessais d’ être moi ; on le trouve encore dans le temps dont je parle, mais au lieu de durer six jours ou six semaines, il dura près de six ans et durerait  peut-être  encore sans les circonstances  particulières  qui le firent cesser et me rendirent à la nature, au dessus de laquelle  j’avais voulu m’élever »  ou encore « L’ambition  n’eut jamais  chez moi que les courts intervalles  où toute  autre passion me laissait libre  mais un de ces intervalles  eût suffi pour me rengager’ »

Cette Astrologie que nous préconisions en 76 se voulait planétaire et non plus zodiacale : « Connaitre sa planète, c’est connaitre aussi son cycle, son rythme biocosmique, donc prévoir son avenir (et l’améliorer)  en ne s’embarquant pas sur la planète de n’importe qui ». En gros, cela impliquait de déterminer laquelle des courbes astrocycliques (sinusoides) correspondaient le mieux au profil de vie de la personnne considérée. Nous avions à l’époque élaboré une typologie sensorielle (d’où le nom de l’article), chacun des 4 sans (on excluait le toucher) correspondant à l’une des 4 planétes retenues. Entretemps, nous avons évidemment considérablement évolué  avec ce que l’on peut appeler  une astrologie de la présence et de l’absence. Ce qui débouchait sur un modèle beaucoup plus épuré dans une diaélectique du plein et du vide. Il n’était pas utile de recourir à plusieurs planétes pour rendre compte de sensibilités différentes mais il suffisait de parler de façon binaire d’un courant qui passe ou ne passe pas ou plus, pour distinguer les tempéraments et les phases.

Ainsi,  en astrocyclologie, les leaders ont des « creux », des  passages à vide, au cours des phases dites de disruption. A ces moments-là ils sont méconnaissables ou si l’on préfère  on les distingue mal du vulgum pecus  et c’est alors que peuvent se commettre des erreurs fatales dans le recrutement. A l’astrocyclologue de contribuer à les éviter pour  l’entreprise.

Pour ce faire, l’astrocyclologie, éventuellement aidé d’un logiciel met en mémoire les données (data) du CV qui lui a été fourni et   parvient ainsi à sélectionner les CV correspondant le mieux aux diagrammes de l’Astrocyclologie.

Le but de l’opération est  de repérer les éléments les plus prometteurs, ceux dont les prochaines années sont les plus propices à la réussite. Cela ne passe aucunement, comme en astrologie classique, par la montée du thème natal lequel ne constitue pas une donnée utile en astrocyclologie. On, sort donc de cette chasse aux anniversaires et aux documennts  d’état civil au profit du CV qui est effectivement  bien plus difficile à établir, ce qui explique d’ailleurs  la tendance dominante Che les astrologues actuels à faire abstraction du facteur temps dans leur étude, hormis bien entendu la fameuse heure de naissance, parfois complétée par quelque certificat de mariage, de divorce et tutti quanti comme si l’ »astrologie était  fonction du  livret de famille…

L’idée sous-jacente à notre méthodologie du recrutement  est fonction de la thèse suivante à savoir que nous ne sommes pas tous réceptifs de la même façon à la cyclicité liée aux signes célestes. Il y a  ceux qui sont dynamisés par la formation de ces signes (à savoir une série de conjonctions se produisant tous les 7 ans, sur la base du cycle de Saturne) et ceux qui ne le sont que sous la domination et la conduite des premiers.

Il est clair que l’entreprise doit savoir ce qu’elle veut, ce qu’elle fait, où elle va. Si elle veut recruter des personnages de premier plan, des « locomotives », des « chefs » qui seront aux premières loges en phase conjonctionnelle ou si elle entend  embaucher des seconds couteaux, des lieutenants, des sousfifres.

On aura compris que le facteur Temps joue ici un rôle tout à fait essentiel du fait de la cyclicité. En effet, cet « état de grâce » de ces leaders est  marqué par la cyclicité, c’est-à-dire qu’il ne se maintient pas indéfiniment au « top ». L’intéressant pour une entreprise – comme à la Bourse- est de recruter ces leaders au bas de la courbe en sachant que, dans tant de temps –ce que peut préciser l’astrocyclologie avec toute la fiabilité nécessaire- leur cote va remonter. On peut parler ici d’une Bourse de l’emploi qui correspond tout à fait au processus de l’astrocyclologie.

L’astrocyclologue d’entreprise  a donc pour mission de classer les candidats  en deux « familles », la famille « A » et la famille «  B ». La famille A est portée par la phase A (conjonctionnelle qui couvre 56 mois sur un cycle de 7 ans, avec temps ascendant jusqu’à la conjonction et temps descendant, étant entendu qu’au cours de ces phases on assiste à une accélération puis à une décélération)

Quant à la famille B, elle souffre en période A, en ce sens qu’elle est doit renoncer à des positions obtenues en phase B et inversement la famille A souffre en phase B pour les raisons opposées. C’est ce moment de « souffrance » qui permet notamment de distinguer entre les deux familles puisque ce moment n’est pas le même. On est là dans une forme d’alternance du personnel. En ce sens, le malheur des uns fait le bonheur des autres.

C’est un  point qui nous avait intrigué et que nous avions traité en son temps (in revue Trois-Sept-Onze, Lyon, RAO, à propos de Laurent Fabius). Comment un même facteur peut agir si différemment sur deux personnes ? Cela devait s’expliquer par une condition différente du récepteur humain.

Tout cela implique, on s’en doute, que pour quelque raison, nous naitrions plutôt « A » que « B », ce qui est au cœur diu modèle astrocyclologique. On pourra dire dans un premier temps que cela pourrait statistiquement correspondre à la distinction des « genres » (hommes/femmes), les hommes étant plutôt de type A et les femmes de type B. Mais on ne saurait se contenter de cette première approximation car encore faut-il que les potentialités tant A que B aient été activées au cours de la vie, du fait notamment de l’ éducation. Force est de constater qu’une grande partie de la population est inclassable tant chez les hommes que chez les femmes, ce qui est source de bien des confusions et des erreurs de jugement. D’où l’importance des tests cycliques et des CV pour  tous les candidats. En effet, il importe aussi que le entreprises embauchent tant de vrais types A que de vrais types B, pour qu’une synergie puisse se faire entre les deux familles, complémentaires, optimalement, dans le meilleur esprit.

Cela dit, on peut tenter d’établir le portrait psychologique du type A et du type  B  et mettre en place une batterie de tests comportementaux, comme nous l’avions fait en 1976, sur une base sensorielle qui ne nous intéresse plus tant que cela pour l’heure, préférant la notion de démarche cognitive.  On dira que le type A se reconnait- du moins quand il est en pleine possession de ses moyens, donc en phase A – mais cela vaut évidemment à titre rétrospectif (d’où l’importance du CV) par un  sens du rassemblement, de l’Unité par-dessus les clivages tant sur le plan social qu’intellectuel ou autre. A contrario, le type B se reconnait – avec les mêmes précautions d’usage- par une tendance à un certain cloisonnement, à mettre des limites de toutes sortes du fait de l’importance qu’il accorde aux détails. Si le type A capte  l’unité du monde, le type B en capte la diversité

On aura compris que le deux type sont effectivement complémentaires et peuvent être amenés à s’affronter  mais aussi à alterner, la phase A  mettant en avant le type A et la phase  le type B/

On aura compris que nous allons vers une typologie des comportements et des phases d’une très grande simplicité de lecture, comparée à celle proposée par l’astrologie classique.

A l’issue de l’entretien, un certificat sera établi par l’astrocyclologue  précisant le type A ou B  mais en ajoutant également  si le type est nettement activé ou pas. Si ce n’est pas le cas,  le candidat  ne sera pas intégrable dans l’entreprise ou devra passer de nouveaux tests plus pointus. En effet, il  peut y avoir eu des interférences qui exigent une thérapie préalable que l’astrocyclologue pourra éventuellement conduire selon des modalités à préciser.

Nous proposerons donc pour l’année universitaire 2013-2014 une formation « Astrocyclogie et recrutement entreprises » qui constituera un heureux recyclage pour les praticiens tant en astrologie que dans le conseil en général.

Cf   csafranc@yahoo.fr  tel   et SMS  06 60 75 52 48  pour les séminaires.

 

JHB

29. 09. 13

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l’astrologie et les nombres (4, 7, 12, 28)

Posté par nofim le 29 septembre 2013

 

L’importance du 28 en astrologie

Par Jacques  Halbronn

 

Nous avons récemment fait une découverte astronumérique intéressante. Si l’on divise 7 ans par 3, on obtient, grosso modo, 28 mois. Or on avait obtenu 7 ans en divisant  28 ans par 4, 28 étant  le nombre d’années terrestres (ou solaires en géocentrique) que met Saturne pour accomplir un « retour » complet par rapport  à un point de départ fixe. Cela ne vaut évidemment pas dans le cas d’un couple planétaire incluant Saturne, vu que l’autre planéte bouge, ce qui n’est en revanche pas le cas si l’autre partenaire est une étoile fixe. Rappelons que 28 est aussi lié à la Lune et en divisant par 4 on a des semaines de 7 jours.

Tout cela nous conduit à une division en 12 du cercle, et si l’on multiplie 28 mois  par 12, on arrive à 28 ans.

Nous aurions donc là l’explication de l’importance du  12  en astrologie et l’on voit que le 12  et le 28 peuvent se combiner.  Le mois lunaire fait d’ailleurs 28  jours.

Ce qui  nous intéresse ici est de légitimer notre division du cycle de 7 ans en trois avec une phase ascendante vers la conjonction, une phase descendante depuis la conjonction  et ce que l’on pourrait appeler une phase de disruption (terme employé en anglais)  venant s’intercaler entre les deux autres.  Nous avions précédemment  proposé une division en 2 ou en  4 mais cela  ne permettrait pas d’aboutir à  ce nombre 28 qui est un nombre clef et récurrent. Cela confère par la même occasion une place importante au trigone (120°) et donc au quart du trigone, le semi-sextile (30°) puisque tout est divisé par 4 sur la base de la matrice lunaire mensuelle (et accessoirement sur la base du cycle des 4 saisons, 4 temps)

Rappelons que pour nous,  la première phase du cycle de 7 ans se situe  un tiers de temps avant la  conjonction, ce qui explique que le bélier soit le premier signe et non le cancer qui correspond structurellement à la conjonction (solstice).

Récapitulons : on divise d’abord par 4 le cycle complet, ce qui donne 4 sous-cycles de 7 ans (et de 7 jours si l’on part de la Lune et non de Saturne). Ces 4 sous-cycles sont censés être strictement identiques.  En revanche,  la division en 3 de chaque sous-cycle introduit une dynamique interne, avec les trois temps  ascension, descente, disruption (ou disjonction). La conjonction Saturne- Etoile fixe royale  est le deuxième temps du cycle de 7 ans mais elle en est évidemment le centre de gravité, le pivot ; la clef de voute.

On comprend à quel point l’utilisation sauvage du symbolisme zodiacal est toxique pour l’astrologie en ce qu’il  occulte la  division en 4 au profit d’un continuum à 12  secteurs que l’on retrouve avec encore plus d’évidence peut être avec les  12 maisons horoscopiques. C’est là que s’instaure en effet une certaine confusion, un trouble lancinant dans l’esprit des élèves en astrologie (sorte de double bind, de double discours).

Certes, on nous fera remarquer que la tradition astrologique classe les signes en cardinaux, fixes et mutables (quadruplicité), ce qui montre bien qu’elle entérine la division en 4 du cycle sidéral complet.  Mais elle n’en continue pas moins à différencier nettement  les 12  signes et il ne viendrait pas  à l’esprit des astrologues francophones de mettre le bélier et la balance sur le même pied (ce qui se pratique en revanche en Allemagne-Ecole Ebertin)  Quant à la référence aux saisons, elle tend à égarer les esprits dans la mesure où l’on nous expliquera que les signes d’Eté ne sont pas le signes d’automne et ainsi de suite, ce qui ne peut qu’occulter le modèle  dont nous traitons ici qui implique que la seule progression se  situe dans le cade de chaque signe de 7 ans et non d’un cycle de 7 ans à l’autre.

Le rapprochement entre les  12  signes zodiacaux et la division en 4 puis en 3 est certes tentant mais l’on voit à quel point l’astrologie doit se méfier des saisons. On peut certes se servir des saisons pour  comprendre le cycle de 7 ans à condition d’admettre qu’il n’y a que 3 saisons, le printemps qui monte vers l’Eté, l’Eté qui descend vers l’Automne et un troisième temps qui correspond à l’hiver. Rappelons que l’année chinoise commence avant le printemps  et donc  en gros cela suppose une division en 3…

La division en 4 n’est pas liée aux saisons mais aux  4 phases de la Lune. On a vu qu’il fallait absolument diviser 28 pour avoir 7  et 7  ans par  3  pour retrouver 28 mois…Selon nous, la division en 4 saisons n’est pas pertinente pour l’astrologie.

Ajoutons que le cas des maisons horoscopiques est encore plus patent et l’on voit bien à quel point l’astrologie, à un certain moment de son Histoire, a eu partie liée avec le symbolisme saisonnier. On sait en effet que les 12 maisons sont bien différenciées, même si on peut les classer  en angulaires, succédentes et cadentes. Chaque « quarte » est perçue comme spécifique à l’instar des 4 saisons.

En ce qui concerne les triplicités, on notera qu’elles divisent bien  le zodiaque en 3 temps identiques.(série feu-terre-air-eau).  Or, comme on l’a montré, c’est le cycle de 7 ans qui doit être divisé en 3 temps de 28 ans. Mais l’on peut continuer en divisant chaque temps de 28 mois  en 4, ce qui donnera des sous- secteurs de 7 mois, soit un total de 48 sous-secteurs.(4×12) et chaque mois peut  être associé à l’un des astres du Septénaire (sur le modèle des jours de la semaine)..

 

 

 

 

JHB

28. 09 13

 

 

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les mirages de l’astrologie mondiale

Posté par nofim le 28 septembre 2013

 

Des guerres mondiales à la décolonisation : itinéraires d’astrologues

Par  Jacques Halbronn

 

Notre adolescence aura été marquée par la décolonisation et les débuts de la Ve République  tout comme celle d’André Barbault le fut par la Guerre d’Espagne et  les prémisses de la Seconde Guerre Mondiale.

En  1976, nous écrivions dans Clefs pour l’Astrologie (Ed. Seghers, p ; 159) : « En  1944,  un grand nombre  de nouveaux Etats apparaissent  dans la communauté internationale : l’Inde, la Chine, Israël, les deux Allemagnes, l’Indonésie etc. Puis en  1951 et jusqu’en 1959 on replonge  dans les guerres coloniales ‘(Indochine, Algérie, Corée). A partir de 1959, nouvelle période de  cristallisation, on voit des dizaines de nouveaux Etats apparaître en l’espace de quelques années, en particulier en Afrique

Enfant, dès l’école primaire, nous étions fascinés par l’apprentissage des capitales des Eats et donc nous avons été sensibilisés par l’émergence de nouvelles capitales de nouveaux Etats, ce qui compliquait singulièrement notre tâche. C’est probablement  l’observation d’un tel phénomène ; bien antérieure à l’apprentissage de l’Astrologie qui nous aura marqués. Par la suite, nous avons pensé qu’un tel phénomène devrait s’expliquer par l’astrologie si l’astrologie avait une quelconque valeur mais nous étions également  conscients qu’il resterait à définir de quelle astrologie il s’agirait.

En 1980, nous revenions sur ces travaux ; «  Quelques constations, écrivions-nous (in revue Nouvelle Acropole  « L’astrologie mondiale et les années 80, p. 26, n°58  Juin 1980) guidèrent nos premières réflexions qu’il fut possible de systématiser  dans un deuxième temps.  Ainsi le passage de Saturne en  Bélier au début de la Seconde  Guerre Mondiale tout comme lors de la Guerre des Six Jours qui allait permettre  d’ «étendre  considérablement  son territoire (…) A l’inverse, le passage de Saturne en Capricorne en 59 allait sonner le glas de l’Empire colonial français etc. »

Bien entendu, c’était il  y  a 33 ans et nous avons  avancé dans notre réflexion structurelle tant sur le plan astronomique qu’historique. Mais l’essentiel de la problématique était déjà bien en place à savoir la dialectique expansion des empires et au contraire leur démantèlement, ce qui préfigurait ce qui allait se passer en 89 à l’Est de l’Europe, environ trente ans après la décolonisation africaine du début des années 60..Et déjà Saturne était le vecteur principal ainsi qu’un cycle de 7 ans (le quart de la révolution de Saturne).

Mais à l’époque, nous n’avions cure des étoiles fixes et nous arrangions du passage d’une planéte sur les axes équinoxiaux et solsticiaux qui relèvent d’une pure  projection aucunement visible à l’œil nu.  De même nous posions une période d 7 ans contre la précédente et la suivante alors qu’à présent, la  dualité se situe au sein même de la période de 7 ans.

Dans le cas de la Guerre des Six  Jours – qui nous aura marqué existentiellement-  nous allions être conduits à inverser l’analyse : ce n’est pas tant Israël qui s’était étendu que le monde arabe qui avait été mis à mal. Il est vrai que nous avions découvert qu’un événement n’est pas nécessairement lié à une présence mais pouvait l’être à une absence et les aspects ont vocation à traiter de cette absence, l’opposition étant l’aspect d’absence par excellence, c’est-à-dire le point d’écart maximum entre les deux planètes (ou planéte  face à étoile)  formant cycle… Le passage de saturne en signe cardinal  était à l’évidence génératrice de bouleversement et cela sera confirmé en 89.

Il est d’ailleurs étonnant que Barbault n’ait pas été davantage marqué intellectuellement par la question de la décolonisation et du maintien des empires et autres unions ou communautés. Il était par trop obnubilé par le modèle des Deux Guerres Mondiales au lieu de resituer celles-ci dans une problématique plus large, celle des rapprochements et des séparations. Cela lui eut permis d’étoffer un peu plus pertinemment son cycle Saturne-Neptune. Encore en 67, dans Les Astres et l’Histoire, il en restait à des formulations vagues comme « grave » ou « pas grave » qui appartiennent plus à l’astrologie individuelle qu’à l’astrologie mondiale. Si une personne  peut se contenter de telles expressions,  cela ne fait pas vraiment le poids au niveau géopolitique. Et par ailleurs, nous ne pensons pas que l’astrologie puisse nous dire que le contexte  fera que tel processus se terminera bien ou mal,  ce qui est de l’ordre du « terminal » étant radicalement étranger à l’astrologie et ne pouvant être atteint qu’en recourant à d’autres informations liées au contexte immédiat. C’est pourquoi il est inconcevable qu’une prévision faite à 36 ans d’intervalles ne soit pas « précisée » au fil du temps par des compléments contextuels qui ne se manifestent que par la suite.

De fait, dès 1976, nous avions mis l’accent sur le passage de Saturne en signe cardinal (cf. supra), ce qui correspond au « bas » de la courbe cyclique, en quelque sorte à l’opposition, ce qui donne 45° si l’on divise par 4 dans le cadre d’une division quaternaire du cycle de Saturne. Ajoutons qu’en décembre 89,  Saturne était  au milieu du signe du capricorne. Rappelons notre passage concernant la même position en 59.  Visiblement, Barbault n’avait pas situé son cycle Saturne-Neptune dans le cadre des empires qui se défaisaient, où que ce soit dans le monde mais dans celui des Guerres Mondiales. :

Mais surtout comme nous l’avions dit un tel démantèlement n’est absolument pas lié à une conjonction mais à une disjonction ! C’est donc totalement par hasard que 89 aura correspondu à une disjonction de Saturne au même e moment que le même saturne se trouvait conjoint à la transsaturnienne invisible Neptune, jouant en quelque sorte, chez Barbault, le rôle d’un étoile fixe. Faut-il aussi rappeler que dans l’astrologie mondiale selon Barbault, le signe où se produisent les configurations est totalement indifférent puisque les conjonctions sont mouvantes,  à l’instar de la fête du Ramadan alors que dans notre système elles  restent fixes d’une fois sur l’autre. A trente ans d’intervalle, Saturne se retrouvera en conjonction ou en disjonction exactement  dans les mêmes lieux,, du fait d’un mouvement précessionnel insensible à l’échelle d’un siècle….Rappelons que  dans la théorie des grandes conjonctions Jupiter-Saturne, il y a un intervalle d’un trigone, environ, d’une conjonction à l’autre et que même pour  les conjonctions soleil-Lune, il y a un intervalle d’un semi-sextile d’une fois sur l’autre, ce qui fait que toutes ces conjonctions  se baladent dans tout le zodiaque d’autant que par leur nombre, elles se manifestent  un peu partout en même temps../

On aura compris que la notion d’empire est parfaitement compatible avec celle d’union, de fédération tout comme celle de dislocation l’est avec celle de guerre civile, sans qu’il y ait quelque fatalité astrologique à ce que les choses se terminent comme ceci plutôt que comme cela. C’est pourquoi l’astrologie est un outil qui exige d’être manié par des non astrologues. La prévision globale incluant l’astrologie mais l’incluant seulement est une affaire trop^ sérieuse pour être laissée aux mains des seuls astrologues.

On  a déjà dit aussi- mais on ne le répétera jamais assez- que ce processus dialectique ne fait guère sens au niveau individuel, ce qui fait que l’astrologie individuelle  débouche sur une impasse théorique, puisqu’elle fait abstraction du seul facteur auquel l’astrologie puisse s’accrocher à savoir le tissu social.

Nous avons souligné à quel point- paradoxalement- la crise du processus unitaire était souvent plus manifeste que  le moment où ce processus agit sans trop d’encombres contextuels (extra-astrologiques).  Ce sont donc les disjonctions de 180° ramenées à 45° par une réduction par 4 qui correspondent au passage de Saturne dans les signes cardinaux. On comprend mieux, dès lors, pourquoi nous avions été  attirés par les équinoxes et les solstices qui correspondent aux dits signes cardinaux si ce n’est que ces passages sur les axes saisonniers étaient tout à fait aléatoires, ceux-ci correspondant à un mi- point entre deux étoiles fixes royales et donc à une absence et non point à une présence. Une telle coïncidence aurait pu nous figer indéfiniment dans l’erreur tout comme  ce fut le cas pour les tenants du cycle Saturne- Neptune tombant en signe cardinal en 89 tout comme d’ailleurs en 53, lors de la précédente conjonction Saturne-Neptune.36 ans, c’est très proche de 5 cycles de 7 ans ! En revanche en 1917, la conjonction Saturne-Neptune  est approximative et rappelons qu’il y eut deux révolutions à quelques mois d’intervalle en cette même année. Fin signe cardinal (en cancer) en début d’année et début signe fixe en fin d’année. Si l’on  considère le signe, l’on note que la conjonction est séparante en octobre/

Novembre 17 et appliquante en février 17, Neptune se trouvant dans les deux cas au début du Lion…

Mais les victimes collatérales de ces  coïncidences sont ceux qui vont partir sur une fausse piste du fait d’une fausse interprétation des facteurs qui rendent compte des « faits ». En fait, dans tous les cas où Saturne-Neptune se forme, cela correspond à une « disjonction «  du cycle de 7 ans ! Et  l’on pourrait prouver que  les échéances ne sont pas sur 36 ans mais bien sur 7 ans, avec des fortunes diverses d’ordre contextuel extra-astrologique. Ainsi en 68, le printemps de Prague eut lieu avec saturne en disjonction bélier, trois cycles de 7 ans avant  1989…

Certains horoscopistes nous diront que quand il y a un événement, il faut regarder la totalité du ciel et que « tout » joue. Nous pensons au contraire que le thème est un artefact sans aucune valeur intrinsèque et que si l’on veut  travailler sur les cycles, on doit faire abstraction de ce qui n’en fait pas partie, même sur le plan astronomique.

 

JHB

28. 09  13

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L’interprétation astrologique des événements

Posté par nofim le 28 septembre 2013

La  « guerre civile »  de 1961. Un débat sans enjeu prédictif

Par  Jacques Halbronn

« Il n’y a rien de nouveau sous le soleil » ‘(L’Ecclésiaste)

 

 

M. Moysan nous entreprend à nouveau sur la situation de la France en 1961. Nous sommes d’autant plus libres pour en parler qu’il ne s’agit nullement ici d’une prévision que nous aurions faite pour cette période car à cette époque, nous étions vraiment trop jeune et ne connaissions rien de l’astrologie. Nous ne sommes donc pas dans la situation d’un Barbault défendant la qualité de  son pronostic pour 1989, formulé en 1953.

Voilà donc un nouvel échantillon de la prose que Moysan dépose sur le site Aldébaran où nous l’accueillons volontiers car il apporte sans le vouloir de l’eau à notre moulin, en dépit des apparences.

C.M. : « On ne doute pas un seul instant que le Professeur Halbronn saura utiliser les infinies ressources d’une astrocyclologie qu’il a habilement conçue « tout terrain » et à géométrie variable. Et si, en dépit de cette remarquable souplesse native, l’astrocyclologie ne parvient pas à faire « coïncider » la vraie phase A ou la fausse B avec les faits historiques, reste toujours, en dernier recours, la possibilité de substituer à l’interprétation historique de référence la « vision halbronnienne de l’Histoire ». Vision « originale » dont on n’a pu constater la pertinence dans l’exemple du putsch avorté d’un « quarteron de généraux », élevé par Jacques HALBRONN au rang de véritable guerre civile. Ou encore dans la politique de collaboration de la France de Vichy avec l’Allemagne nazie, récemment mise sur le même pied que la construction européenne du Traité de Rome, puisque se produisant toutes deux en phase A!  Ainsi, contrairement à ce qu’il ne cesse d’affirmer par ailleurs, JHB ne part pas de la constatation objective des faits pour y relever d’éventuelles récurrences de nature à fonder a posteriori un modèle théorique, mais pose a priori ce modèle comme axiome, comme un carcan – mais paradoxalement souple! – dans lequel il entend faire entrer les faits, lesquels devront donc nécessairement présenter dans la phase où ils se produiront ses caractéristiques supposées ».

Notre commentaire : M ; Moysan nous reproche nos rapprochements alors que toute l’astrologie est une affaire de rapprochements car qu’est ce que l’analogie sans le rapprochement ?  Or, quand on ne fait pas de rapprochement, on bascule irrésistiblement dans l’astrologie au jour le jour, à l’astrologie du thème pour un lieu et une heure donnés de sorte que ce n’est jamais la même chose. Pensez-vous, même des jumeaux nés à quelques minutes d’intervalle on arrive astrologiquement à les distinguer. M. Moysan appartient à une astrologie qui distingue et nous à une astrologie qui rapproche. M. Moysan dispose d’un mode de saucissonnage du cosmos extrêmement sophistiqué, il découpe des tranches très fins pour qu’il y en ait pour tout le monde, on est dans le rationnement vu le nombre de bouches  à nourrir. Et quand on parle de simplifier l’astrologie, en deux temps, c’est lui qui nous accuse dessaisonner l’astrologie ! C’est  la paille et la poutre.  Il nous pale de géométrie variable pour notre astrologie mais alors celle qu’il défend  elle l’est mille fois plus !  On notera d’ailleurs qu’il nous retourne systématiquement les formules que nous utilisons à son encontre.

M. Moysan nous reproche de vouloir faire entrer une série de données dans un même modèle au lieu d’adapter l’astrologie à la différence des faits « spécifiques ». On peut dire qu’il n’a strictement rien compris à l’esprit de l’astrologie. Que dirait Moysan de l’indice de concentration planétaire de Gouchon-Barbault. Moysan est un astrologe aux méthodes de l’astrologie individuelle égaré dans l’astrologie mondiale !

Certes, une théorie doit se constituer sur des données qui sont mise en avant avec la théorie et ce sont des données particulièrement  marquantes bien évidemment. On ne va bâtir une théorie sur des cas embrouillés, sans lisibilité. La pomme de Newton était un exemple simple alors que la loi de la gravitation concerne des phénomènes bien plus complexes à cerner.  On passe ensuite au stade de l’application de la « loi » et peu à peu l’on montre l’ampleur de son champ d’application même dans des cas particulièrement intriqués, où il  y a, comme on dit, du « bruit » qui vient parasiter la perception des choses.  Résumons-nous : une loi s’élabore sur des cas flagrants et s’applique à des cas qui le sont parfois beaucoup moins. M. Moysan semble ne pas avoir compris l’existence de ces deux temps et les confondre allégrement.

Cela dit, il est tout à fait légitime de  débattre de la pertinence des analogies et  Roger Héquet, il y a quelques années, lors d’un de nos colloques (cf. sur teleprovidence.com) avait déjà avancé un argument  contre certains travaux en disant que pendant la même période des choses très différentes pouvaient avoir lieu. C’est là un argument qui souvent  tient à un refus de percevoir des similitudes  et qui ne tient pas compte de l’évolution du cycle. On rappellera à ce sujet un principe simple : dès lors que l’on sait que l’on applique ou que l’on se sépare du « centre » conjonctionnel, les choses évoluent dans un sens ou dans un autre, non pas parce que l’on aura compartimenté le cycle, mais tout bêtement parce que le temps passe, s’écoule. Ce que Moysan ne comprend pas, c’est que tout découpage d’un cycle n’est jamais qu’un pense-bête, qu’une « borne » indicative comme on en trouve sur les panneaux routiers. Ce que l’on demande à l’astrologue est très simple : qu’il nous dise à quel endroit on est par rapport au « centre ».  Et le malheur, c’est qu’à cette  question très simple il n’est pas à même de répondre pour la simple raison qu’il est perdu dans son fouillis cyclique, dans ses ingres successifs (tous les  trois mois ! ) qui partent tantôt dans un sens, tantôt dans un autre. Une astrologie girouette. Alors pour masquer ses échecs, on n’a rien de plus pressé que d’affirmer qu’il est impossible de généraliser ; de se référer à un seul et unique cycle. Car de  quoi aurait-on l’air.  C’est comme ces statisticiens qui ont fait chou blanc et qui juraient que l’on ne pouvait pas faire de staitisyqiues en astrologie parce qu’ils ne savaient pas s’y prendre. Jusqu’où va la vanité (et l’acrimonie)  de ceux qui ont échoué et qui ne supportent pas que d’autres réussissent ?

Mais venons-en au corps de notre sujet à savoir les événements que nous aurions abusivement rapprochés sous prétexte qu’ils correspondaient à une même phase de notre système, encore que nous préférons  parler de notre  « échelle ». (Comme on parle de celle de Richter). Notre ami Stanislas Marquis avait élaboré une sorte de coefficient pour notre cycle saturnien te finalement c’est plus sain que de découper ne phase tout en ayant des repérés indicatifs.

Donc M. Moysan nous affirme que le « putsch » des généraux  de 61  n’était pas une « guerre civile » et n’avait rien à voir avec Mai 68, que l’armistice de 40  n’avait rien à voir avec le Traité de Rome de 57 ! Défendant son approche d’une astrologie « ponctuelle », tout rapprochement  est carrément insupportable pour le sieur Moysan.

Il est vrai que M. Moysan veut  appréhender le monde dans ses manifestations ultimes. Il n’a que mépris pour ce qui est de l’ordre de tentatives sans lendemain comme ce fameux putsch d’un « quarteron » de généraux, selon la formule de De Gaulle. M. Moysan ne craint pas l’anachronisme qui vient d’un trop grand recul et qui n’est pas de mise en astrologie. Nous ne sommes pas pour télescoper les «événements » en les regardant depuis Sirius et ne retenant que les plus marquants du moins au stade de l’application et non plus de la constitution d’une théorie. Il y a un temps pour chaque chose.

Comme on l’a dit plus haut, nous ne sommes pas en train de défendre une prévision que nous aurions faite pour l’avenir et sur laquelle nous chipoterions, comme le fait Barbault. Nous avons choisi cet événement de notre propre chef et donc délibérément. Nous avons souligné, maintes fois, que l’astrologie n’était pas là pour nous dire si une entreprise va ou non réussir mais si elle va être initiée. Et qui contestera que ce  qui fut  déclenché en 61 portait les potentialités d’une guerre civile ? Que cela ait été enrayé est une autre affaire que l’astrologue doit toujours envisager. Ce qui compte ce n’est pas le « quoi » mais le «comment »,  non pas le résultat mais les « moyens ». Et du coup, nous avions vécu à l’époque, même si cela n’a duré que peu de temps, ces « incidents » comme gravissimes, avec des appels e Michel Debré à la population, le 23 avril.  A  0h45  il  apparaît à la télévision et appelle la population à se rendre sur les aéroports « à pied ou en voiture », « dès que les sirènes retentiront », pour « convaincre les soldats engagés trompés de leur lourde erreur » et repousser les putschistes6  (cf. Wikipédia)

A vouloir trop  « spécifier » chaque « fait », M. Moysan n’arrivera à rien et ne pourra rien rapprocher  mais il a choisi le parti inverse ! Comment dans ce cas, pourrait-on rapprocher à 7 ans d’intervalle 68 de 61 ?  On peut discuter indéfiniment sur ce qui distingue tel « fait » de tel autre et oui, en effet, une « loi » (terme utilisé par Barbault «  Loi fondamentale de l’astrologie » est censée dépasser les cas d’espèces et constitue une grille de lecture, en effet qui implique de « nettoyer » les événements comme on fait la vaisselle. Et ce dont précisément les historiens depuis les années Trente du siècle dernier sont en quête, à  la suite de Marc Bloch  c’est précisément d’une telle loi.Même si  cela défrise M. Moysan qui crie à l’imposture :

..Passons au second exemple, celui  du rapprochement franco-allemand de 40 et de 57.  Que les circonstances aient été des plus différentes, ne saurait nous empêcher de le proposer. Mais là encore, nous ne défendons pas nos « prévisions » pour une époque où  nous ‘n’étions pas encore en activité. Les « faits » » subsistent, les » partenaires » sont les mêmes ! A quoi bon pinailler ? L’astrologie ne sort pas grandie par les procédés d’un Moysan qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez !

Nous avions souligné à quel point Moysan a du mal à comprendre les exposés les plus simples.   Un peu comme un aveugle qui se meut  merveilleusement dans un espace encombré mais familier mais qui trébuche sur le premier meuble venu dans un espace qu’il n’a pas eu le temps de baliser :

J.H. : Bien plus, qu’est-ce qu’un aspect sinon un orbe ? Si nous avions dit qu’il fallait accorder de l’importance au semi-sextile qui précédé la conjonction et au semi-sextil qui la suite, cela aurait été du pareil au même. Le semi-sextil si on le resitue non plus dans une périodisation de 90° mais de 360°, c’est tout simplement le trigone (4×30).
C.M. : On appréciera la clarté et la rigueur du raisonnement alambiqué que le Professeur Halbronn met en œuvre quand il mixe dans sa cornue monocyclique le trigone et le semi-sextile en un improbable mixte pour justifier son orbe de 30°! »
 Notre commentaire :  il n’est quand même pas très compliqué de comprende que lorsque l’on divise un cycle en 4, on doit aussi diviser les aspects par 4 et donc, oui,  le trigone d’un cycle d’un seul tenant devient un semi-sextile tout comme l’opposition devient un semi-carré. C’est vraiment élémentaire mais . M. Moysan n’a pas l’habitude et donc pour la énième fois, il commet un contresens. Il est vrai qu’il n’a eu que quelques semaines pour comprendre notre système alors qu’il a mis 20 ans pour comprendre celui qu’on lui a enseigné ! Mais un rien le déstabilise, le trouble par rapport à l’idée qu’il se faisait de l’astrologie  et il veut que tout le monde le sache, et en témoigner urbi et orbi !.Il a une vocation de martyr.

 

 

 

 

 

JHB

28. 09 13

Publié dans ASTROLOGIE POLITIQUE, HISTOIRE | Pas de Commentaire »

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